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jeudi 28 novembre 2024 - 12h30rech / rep
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(taille reelle)
Sa peau etait chaude, un peu moite ()
Sa peau etait chaude, un peu moite. J'aimais la carresser avec douceur, elle semblait aimer. Ses reins se creusaient, elle fermait les yeux, la bouche légèrement entre-ouverte, elle posait, une de ses main sur la mienne, et me guidait parfois vers des endroits plus intimes. J'aimais la regarder, admirer ses formes, ses rondeurs, son corsage bien rempli était près à éclater. Elle me lancait alors:
- Qu'est ce que tu regardes Nicolas ?
- Je regarde tes collines vallonnées !
Elle baissait les yeux, les relèvait et me souriait, J'avais le cœur qui bat. je vois la naissance d'un delicieux soutien gorge brodé et gonflé à bloc laissant déborder un peu de chair plus blanche. Je reste stupéfait devant ces seins qui ne bougent presque pas !
J'approche mon visage du sien. Elle ferme les yeux. Je lui fais un baiser sur la joue, sur l'oreille, elle ne dit rien, Je sens sa main caresser mes cheveux ! Je prends l'autre sein doucement dans ma main gauche.
- Nicolas est-ce que je te fais bander ?
Je reste interloqué !
- Barbara ! Depuis que tu es là, avec moi, je bande
Elle me regarde fixement ... puis, d'un coup, m'enlace et m'embrasse à pleine bouche !Je ne sais plus où je suis, je sens son corps sensuel contre le mien, ses seins pointus, et ses fesses dans mes mains ! il fait chaud, je me frotte de plus en plus à sa peau de velours, mon torse contre son dos, je prends ses seins dans chaque main... je l'embrasse dans le cou, les oreilles, le visage, puis sur la bouche ... baiser, long, sensuel... Je me penche, suce un téton et elle plaque mon visage contre elle. Je caresse ses cuisses, elle a un sein dehors ... Je caresse sa toisonJe touche ses poils, Elle tressaille, me laisse faire, et enfin, je sens sa fente, chaude, humide que je parcours d'un doigt... Elle tremble et soudain se dégage de moi, s'allonge, écarte les cuisses et me dit simplement
- VIENS !
je me retrouve sur elle, frottant mon corps doucement sur le sien, un délice... La chaleur du soleil dans mon dos, l'odeur des pins, le bonheur ! Je l'embrasse à pleine bouche, elle me serre fort dans ses bras et ses cuisses se relèvent... et d'un coup comme par miracle, je sens mon sexe aspiré, entrer dans le sien, glisser dans sa douce moiteur. Tout doucement comme dans un rêve, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un gros soupir, me regarde avec des yeux troubles Je fais quelques va-et-vient, elle s'accroche à mon cou et bouge son bassin en criant plusieurs fois mon prénom. Je ne peux plus résister... Je m'enfonce en elle, au fond de son ventre et je me vide en elle, un plaisir immense. Je n'arrête pas de jouir, elle tremble de partout. Nous sommes l'un dans l'autre, je la contemple ... Elle pleure : Nous restons ainsi enlaces, nos sexes emboités delicieusement.
- Tu m'a remplis de toi ! J'ai jamais senti ça ! On est fous ! Oh ! J'en peux plus !
Mon sexe palpite toujours en elle, je sens ses poils soyeux, elle m'enlace et me tend ses lèvres en me disant merci ! Elle me montre son nouveau soutien gorge, en fait jaillir un téton : elle presse ses seins l'un contre l'autre dans un geste superbe, une offrande dont la vue m'excite. Je suçe ses deux tetons avec ardeur
- Que c'est bon ce que tu me fais !
mon sexe se durcit de nouveau, elle s'approche, me le branle doucement, puis me dit :
- J'aime bien voir ton sexe qui bande, J'ai encore envie que tu le mettes en moi !
elle se glisse sur moi, jupe à la ceinture, les seins dehors, elle se tortille sur moi les yeux fermés, frottant son sexe au mien chatouillé par ses poils, elle est déchaînée, m'embrasse, me lèche le visage. Sous elle, je tiens mon sexe contre sa fente, puis elle s'empale sur moi d'un coup poussant un cri !
- Mmmmmh ! Que c'est bon !
Puis elle m'embrasse, on se tortille, on s'agite, sa chatte est brûlante, trempée, on tremble de partout, une étreinte, un orgasme, je me vide en elle pour un bonheur inouï qui nous laissera pétrifiés de longues minutes, elle est ouverte comme je ne l'avais jamais vu, obscène presque, mais oh combien desirable dans cette offrande. Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d'un regard trouble J'approche mon sexe du sien, le frotte dessus, je pose mon gland sur le trou, pousse un peu, le ressort, c'est le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs très rouges, elle pousse un gros soupir quand j'arrive à fond, je fais durer le plaisir, mais d'elle-même elle bouge, me fait comprendre qu'elle a envie de jouir avec moi, j'accélère, je n'en peux plus, elle jouit soudain et au dernier moment, je fuse, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, je me plaque sur elle, écrasant ma semence sur nos deux corps et on s'embrasse longtemps. on se donne un dernier baiser les larmes aux yeux.