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jeudi 28 novembre 2024 - 11h23rech / rep
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(taille reelle)
Julien était curieux de tout ()
Julien était curieux de tout et en particulier du fonctionnement des rapports amoureux. Plusieurs fois il m'interrogeait sur les femmes, l'amour, le désir. Je lui disais qu'à l'occasion je lui expliquerai un certain nombre de choses à savoir. Il n'aura pas attendu très longtemps.
Ce soir là, j'étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque Julien a frappé à la porte. Il voulait apprendre, savoir, découvrir comment nait le désir. Il est venu dans mes bras, sa tete sur mon épaule, touchée par ce geste de confiance, j'ai tenté de lui expliquer, par les mots d'abord. Il était vraiment blotti tout contre moi. Je me suis rendu compte qu'entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie et que ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. Il ne pouvait ignorer que j'étais nue en dessous de ma chemise de nuit. J'ai alors senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. Il bandait sans complexe et j'ai réalisé que j'en étais la cause. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il s'est agrippé à moi. Il se rendait compte de ce qui se passait dans son corps, j'ai alors tenté de lui expliquer. il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux seins bien ronds, à peine affaisés sous la dentelle, qu'il commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon dos. J'avais le vertige. Il s'est retrouve à hauteur de ma bouche. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mon cou, puis sur mes joues, puis à la naissance de mes lèvres. Il m'affolait litteralement.
N'y tenant plus, j'ai alors posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord. Puis nous nous sommes embrassé de manière plus appuyée. J'ai introduit doucement ma langue entre ses lèvres. Il a introduit la sienne, Il s'abandonnait à mon baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma chemise de nuit. Il me serrait contre lui. J'étais en train d'accepter de tout partager. Nos corps se sont rapproché et se sont déchainé d'une intense passion. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits, mais il me fixa d'un regard suppliant.
J'eu alors une intense envie de me laisser aller à mon attirance violente pour ce jeune corps. Je décidais de l'emmener avec moi. Je l'entraînais sur mon lit. Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé mon corps ... Je l'ai caressé tendrement, puis, le sentant prêt, je l'ai guidé vers moi. Il s'est positionne sur moi, et je me suis offerte à lui. J'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. Il a alors entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir et qu'il jouisse avec moi. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
Je lui demandais d'accélérer. Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se ruait au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait,
Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.

Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.