Ma tante s'était mis dans la tête de m'initier aux choses de la vie. ses 50 ans face à mes 18 ans alimentaient souvent mes pollutions nocturnes. ses lèvres aux couleurs soutenues donnaient a ses yeux noirs un velouté incroyable. Elle m'entraîna ce jour là dans sa chambre dont le lit préparé sentait le propre de la soupline.
- Déshabille-toi, vite !
Elle tourna les talons et quitta la chambre aussi doucement qu’elle était y était entrée. J'étais complètement ébranlé par ce qui allait de se produire. Une fois nu, je me glissai sous le drap cachant ma virilité brûlante par pruderie. Mon sexe était à l'étroit. Un bruit de froissement de tissu me fit revenir à moi. Ma tante se tenait devant le lit. Elle était magnifique. Elle avait déboutonné sa robe, et reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement.
Elle referma la porte à clé ! Tout doucement elle vint s'asseoir à coté de moi sur le lit, ses seins libres ondulant sur une transparence laissaient voir des pointes roses. Ses jambes laissaient apparaître une cuisse splendide. Elle se pencha pour réajuster l’oreiller et, ce faisant, fit bailler son décolleté un peu plus, Sa poitrine imposante débordait du soutien gorge. Elle arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande. Puis elle glissa ses doigts dans ma chevelure. sa bouche couvrit mes lèvres, mes joues, mon cou. mon penis en feu sentit son sein gauche le heurter. Le contact du tissu et le moelleux de son sein lourd aggrava mon etat ! elle prit ma main tremblante, la dirigea sous le plissé, pour la poser sur le haut du sein, c'était moelleux comme jamais, j'eus un regard sur sa peau de pèche qui se troublait : la sueur perlait en gouttes vers son décolleté ; sa main chercha et flatta mes testicules, elle serra mes bourses.
Puis, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et vint m'enjamber à califourchon, elle souleva sa nuisette qui se gonfla en retombant sur mes flancs. D'une main, elle guida son sexe bandé vers elle, vers cette moite ouverture, chaude comme un cocon, puis, se laissa pénétrer doucement, se donnant ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés causés par les mouvements de mon sexe dans son vagin. Je m'enfonçai dans ses chairs, lentement, profondément, puis nous restames ainsi un moment sans bouger à se contempler l'un à l'autre unis, bonheur de se faire languir, de déguster avant d'engloutir, l'un à l'autre, lui en elle. Elle se plantait sur la hampe verticale de mon érection suintante, ses lèvres humidifiées presque inondées absorberent mon jeune dard jusqu'a la base, elle mit ses seins en appui sur mon torse écrasant ses deux éminences contre mon corps. Je sentis alors ma verge dure se napper comme un coulis enrobe un fruit ; son liquide plus le mien englobèrent ma tige sur toute sa longueur ! c'était chaud et aqueux, son vagin se contracta d'un mouvement de constriction réflexe ; l'étranglement de mon sexe décupla s'il se put mon pulsionnel plaisir. Pubis contre pubis elle remit ses blonds cheveux d'un geste de la main des plus sensuels reprendre place dans son dos, elle se dégagea un peu, abandonnant ses liquidités presque amniotiques c'est moi qui poussai mes hanches vers ses fuites. Lea passa ses doigts dans mes cheveux, encadrant mon visage de ses mains chaudes. Ils s'appartiennaient un peu plus. A la fois troublé et inquiet, Kevin caressait la peau fraîche et lisse, arpentant le corps féminin en tous sens.
Puis les vagues se firent plus fortes, un roulis nous ébranlait, nos sens en fusion. Elle haletait, elle se cambra et enroula ses jambes, allant et venant entre mes cuisses, l'eau saline jaillit de sa source puis en elle comme un éclair fulgurant. Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe de femme absorbant mon penis eut pour effet de m'amener rapidement à une explosion de mes sens. J'eu la force en six secondes d'aller et venir trois fois, dont deux qui se traduisirent par un gémissement de ma tante, j'explosai de tout mon corps, avec elle, secouée de spasmes, je débandais en elle ! Nous etions l'un sur l'autre à jouir du même orgasme.
Lorsqu'elle bascula sur le dos, mon sexe qui obturait son étui laissa ses eaux m'inonder, Elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager sous peine de souffrir un maximum.
Lorsque je me réveillais le lendemain, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur ma tante. Elle portait un plateau où se trouvaient, un petit déjeuner. Elle posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Tu as bien dormi, il faut te nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger. Sa chemise de nuit était ouverte sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous le fin tissu, ses cuisses étaient gainées de bas sombres. Il mangea tout. Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de lui Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Elle ne portait pas de culotte. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds
Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter.
- Tu sais, Même si tu es faible, même si tu souffres, ta volonté, je suis là pour lui répondre et te remettre en forme.
Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu, dans la convalescence.
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Ses joues sont légèrement rougies. Elle prend ma main, la dirige vers elle. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Tout se precipite.
Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main.
Puis ses cuisses se deserrent comme pour m'inviter. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante de desir s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe et sa culotte. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Ma main remonte le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains.
Elle était desormais là devant moi, sans complexe, en tenue legere, offerte. Les caresses du tissu sur sa peau laissaient saillir les pointes de ses seins, épousant au plus pres son corps souple et chaud. Puis elle fit glisser subrepticement ses bretelles. Ses seins s'affaisserent un peu, tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leva d'un coup sous le fin tissu de mon pantalon, il durcissait et pointait maintenant de maniere indecente.
Elle remonta ses mains sous ses lourdes poitrines qu'elle soupesa et malaxa lascivement sous mes yeux jouant avec les plis du tissu leger. Mes yeux buvaient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse, de longues jambes fines, moulées par le tissus luisant, j'étais interdit.
- Caresse les ! Il ont besoin de tes mains chaudes !
Je commencai alors à la carresser, à palper ses beaux seins, souples sous la soie.
Puis elle commença à se frotter sur mes reliefs, la pression monta de nouveau d'un cran. Puis, encouragée, ma main droite glissa plus bas, sur sa peau douce au dessus de genoux, je remontai alors doucement ma main sous la combinaison de soie blanche au contact d'une cuisse douce et chaude. Je continuai ma progression entre ses deux cuisses qui se sont alors écartés comme si elle m'encouragait à poursuivre. Ma main remontait plus haut, se glissait maintenant entre ses deux cuisses la ou le peau est si douce et chaude, elle arrivait au contact d'une fine culotte de soie legerement humide, lorsque brutalement, elle serra ses cuisses autour de ma main et me fixa avec des yeux presque severes.
- Continue !
Son visage se transformait. Elle commença à trembler. Des frissons de plus en plus forts la secouerent. Elle se cambra dans un spasme violent et retomba toute molle contre moi. Je sentais le doux tissu effleurer mon ventre. Je touchai cette lingerie fine et douce, pleine de de son odeur. Elle releva alors sa jupe, me chevaucha, extirpa mon sexe raide comme une barre et se laissa glisser lentement, tout doucement sur mon mat congestionné. Elle s'enfonca en moi, Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, elle m'aspirait dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça absorbant ma verge comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux.
Elle se laissa glisser voluptueusement, je la pénétrai puissement. Son regard devint plus brillant, legerement vitreux, je m'enivrai de ses effluves. Elle m'encourageait, le spectacle de ses seins ballottant sous mes yeux me redonnait encore de la vigueur, nos ventres se touchaient, se frottaient l'un contre l'autre. Empalée à fond, elle remuait pour bien me sentir en elle, tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, ses seins ballottaient de droite à gauche, elle gemissait doucement, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait ! Je n'y tins plus ... je me figeai, je me bloquai ... et je me lâchai au fond de son ventre. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je m'affaissai sur elle.
- Ca va mieux ? ... Tu as aimé ?
Lorsqu'elle s'est retirée de moi, lentement, sortant ma verge ramollie de sa vulve trempée, je restais assis, affalé sur le fauteuil avec mon sexe gluant posé tristement à travers mon bas-ventre. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, sur ses cuisses. Elle était ouverte comme jamais, ses énormes seins étaient rouges et gonflés, du sperme coulait sur ses cuisses et descendait jusqu'à ses pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Elle me fit un baiser, se rhabilla et me signifia qu'il était temps de sortir
J'ai repensé toute la nuit à ma tendre caresse sur ses seins, mes rales éperdus au moment de l'orgasme, ma verge gonflée de sève qui enflait dans son ventre, lovée autour de sa vulve, son vagin qui me serrait convulsivement et me massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
La porte de la salle de bain est restée entr'ouverte. Marthe est là, sans complexe, en combinaison de soie, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, Les caresses du tissu laissent saillir les pointes de ses seins, épousent au plus prêt son corps souple et chaud. elle joue des plis de sa combinaison, en se tenant les seins, ses poitrines genereuses se balançent légèrement sous sa chemise transparente. Elle remonte ses mains sous ses seins qu'elle soupese et les malaxe lascivement sous le tissu leger. Mes yeux boient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse, de longues jambes fines, moulées par le tissus luisant,
- Ca va mon chéri ? Tu peux venir, tu sais !
La plénitude de ses seins, de ses hanches, font monter mon excitation. J’ai chaud.
- Je t'impressionne ? Approche toi !
Je pose mes mains sur ses hanches, je les glisse sur la fine dentelle, je flatte son ventre, Je remonte vers ses poitrines,
- Que fais-tu ? Tu caresses mes seins ? ils sont encore bien fermes, tu ne trouves pas ?
je les empoigne à pleine main pour les masser doucement. Elle se met à gémir et se colle contre moi. Elle fait glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, Puis elle dégage l'épaule gauche. Ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leve d'un coup sous le fin tissu de mon pyjama Je sens sa chaleur contre mon torse, sa croupe contre mon bas ventre. Mon sexe se durcit encore et pointe entre ses cuisses
- Je te fais de l'effet, je vois !
Mes mains caressent son ventre, descendent encore jusqu’à son sexe. Je le masse un moment avant d’y entrer deux doigts. Elle commence à se tordre sous mes caresses, et ses cuisses massent mon sexe dressé.
- Tu es en train de m'exciter !
je la serre plus fort, incrustant plus avant mon penis à travers le tissu, je l’embrasse dans le cou. Je commence à la caresser d’abord doucement puis plus fermement. Elle commence à haleter. Elle se tord, s’arc-boute, elle gemit. Elle se frotte contre moi. la pression monte. J'empoigne les seins sous la soie. Je les malaxe dans tous les sens, la chair a un moélleux exceptionnel. Je les tiens serrés l'un contre l'autre. Puis je glisse ma main sur sa vulve mouillée, la masse doucement
- Tu touches des endroits intimes !
Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense, et me dit d'une voix que je ne lui connais pas :
- Tu es fou. Je n'ai jamais joui aussi fort !
Son visage se transforme, elle semble réfléchir, puis me lance
- Viens ! On ne va pas en rester là !
Elle saisit sa culotte de soie qu'elle fait glisser sur ses cuisses. Un bruit d'élastique. Un silence. Je la tire vers moi, Je saisis ses seins au creux de mes deux mains. Je les caresse toujours avec douceur. puis je soulève sa chemise de soie le long de ses hanches je dirige mon gland et le frotte sur toute la surface de sa vulve, et ... je la sens ... impression delicieuse ... absorber mon gland. Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle s'empale profondément d'un seul coup de rein. je la pénétre puissement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. Elle est profondément empalée sur ma verge. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Elle se met soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonne. je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte en moi. Je me bloque bien au fond d'elle et je pars en de longues giclées dans son ventre.
- Eh bien ! J'ai l'impression que ça va mieux ! Embrasse moi !
- Viens allons dans ma chambre !
Elle me prend par la main, m'emmène dans la pièce adjacente et referme la porte derrière nousDélicatement, elle dégage les bretelles de sa combinaison noire. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds.
- Tu peux la prendre ! je te la donne ... en souvenir
Je prend la combinaison noire encore tiède et respire ses effluves. Je l'enfile et profite de la douceur du nylon sur ma queue tendue, La douceur, la fraîcheur du tissu fait gonfler ma verge comme jamais encore. Sa douce lingerie sent la femme, c'était chaud, c'était doux ! je me caresse le torse, les cuisses, les fesses, avec le doux tissu la jolie dentelle de la poitrine titille agréablement mon torse.
- Tiens ! prends la nuisette dans la table de nuit !
En ouvrant le tiroir, je tombe sur ses dessous intimes. Ses petites culottes rangées sommairement, sophistiquées, en soie ajourées de dentelles.Je m'empare de sa nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide
- Mets la sur moi !
Je la passe au dessus de sa tête et l'ajuste sur sa poitrine. le haut épouse la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissent sur le satin; descendent vers ses cuisses, avec de longs va et vient . Le tissu devient manifestement mouillé. Je glisse mes doigts sous la soie.
Elle passe une jambe entre les miennes, entoure ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sens le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine Puis elle écrase ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me regarde en souriant.
- Eh bien ? qu'attends tu ? Avances tes doigts là, plus bas dans mon pubis, écartes mes lèvres.
- Tu vois elles sont toutes distendues, pretes pour t'accueillir.
- Profites-en, hume pleinement l’odeur de mon sexe, enivre-toi de mes effluves.
- Approche ton sexe, Vas-y, Enfouis-le bien profondément, écarte bien les lèvres,
- Hummmm comme je le sens bien. je bouge pas,
- Laisses moi te serrer avec mes jambes. Et toi au fait ? Tu tiens toujours ?
- Je te sens fort, périlleux, fougueux. Laisse-toi aller mon bel homme, je suis tout à toi.
- Vas-y ... encore ... ouiii ... ça vient !
- OUIII ! .... tu es un amant exemplaire. Moi aussi j’ai joui, Oh que c'est bon !
Ma queue reste bien enfouie dans son sexe, elle diminue un peu de volume mais reste quand même bien dressée. Elle en profite pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarde pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande de nouveau au fond de son ventre,
- oh oui, je te sens, remplis-moi encore, enfonce moi, là je vais jouir, viens !
Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus !
- Regarde bien mes seins, c'est bon ! tu es bien profond en moi, vas-y, coulisses fort !
Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je jouis une deuxième fois, je sens un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Elle se couche sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes haletants, apaisés, heureux. Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances.
Cette lingerie, pleine de mon odeur, de son odeur
Pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir,
Cette lingerie que j'aime écarter un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle.
Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de la sienne,
Qui me fait comme un souvenir le jour durant.
Cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme
Joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses.
Cette lingerie si remplie de nous deux,