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dimanche 24 novembre 2024 - 18h38rech / rep
cptr-b3-42@ init

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(taille reelle)
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En m'endormant ce soir-là, était-ce un rêve ? je sentis comme une présence derrière la porte de la chambre, quelqu'un s'approchait, à pas feutrés. Je cessais de bouger. Il faisait nuit dans la chambre. la porte s'ouvrit doucement. Sous la lumière naissante, une idée imprécise. J'étais dans une douce pénombre, la porte s'est ouverte ... discrètement ... un silence ...Je fermai les yeux, je sentis un parfum féminin, qui m'ennivra. Elle était là, tout près. J'avais l'impression qu'elle me regardait Je devinais son corps plus que je ne la voyais Mes yeux se firent prunelles Je sentis frémir sa peau Je la découvris enfin dans la pénombre, approchant sous une chemise de nuit légère et translucide. Le tissu flottait doucement sur la pointe de ses seins, Juste quelques dentelles qui caressaient sa poitrine sa respiration était rauque et son débit saccadé. Elle ouvrit doucement sa chemise, et l'écarta devant moi
Marthe était maintenant là, devant moi, terriblement troublante, me regardant fixement avec un air de tendresse. Je découvrais discrètement toute la sensualité de ses formes. Elle apparut de nouveau dans l'ombre, très proche de moi Je n'endendis plus rien ... Le silence dura une éternité. J'entendis enfin un bruit feutré de tissu ... qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique ... un nouveau silence. Elle jouait de ma résistance. Je sentis le contact d'une main ... Je tressaillais. J'entendis alors une douce voix me murmurer à l'oreille
- Detends-toi ! Laisse toi aller !
l'autre main se posa sur mon ventre ... Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sentis des gestes lents. Mon drap s'est subitement écarté. poussé par des doigts graciles, mon pyjama glissa furtivement vers le bas. Une douce chaleur humide et moite envahit mon bas ventre, sur le haut de mes jambes, tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Un parfum capiteux flottait dans l’espace. Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul. Je portais ma main au bas de mon ventre. Mes doigts se glisserent dans une texture fine et soyeuse. C’était la longue chevelure de Marthe. Mes mains caressaient la nuque, qui fléchissait en de longs mouvements réguliers , effleurant à peine les sillons de la peau si douce et tiède. Et maintenant, je caressais son épaule qui ondulait, La gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe, c’était une bouche humide, sensuelle, charnelle ! Elle s’était glissée discrètement dans la pièce , pour me prodiguer cette sublime fellation. Les mouvements de sa tête furent d’une extrême lenteur, Sa langue fougueuse lècha ensuite mon gland avec plus d’insistance. En mouvements circulaires, ses lèvres s’enroulerent autour de ma verge. Elle me suça plus profondément en accélérant la cadence. Je ne résistai plus. Mon sperme se répandit dans sa bouche. Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, pour nettoyer mon gland de la dernière goutte. Je sentis des jambes nues qui s'enroulerent autour de mes cuisses. Une peau douce qui caressait la mienne, elle s'allongea sur moi. Je sentis mon sexe aspiré dans un écrin chaud. Je n'y tins plus. Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme gicla en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs prolongeait sa jouissance.
- Merci mon chéri Tu m'as donné du plaisir. Maintenant, il faut dormir !
Elle se redressa brusquement. J'eu à peine le temps de distinguer sa silhouette qui disparaissait dans l’embrasure de la porte.