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dimanche 24 novembre 2024 - 18h20rech / rep
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(taille reelle)
souvenirs d'un lundi après-midi ()
C'était la derniere journée de notre coiffeuse avant la fermeture annuelle , les derniers clients étaient partis. Il ne restait plus que moi. J'etais assis à quelques metres d'elle. Occupée un moment à regarder ses comptes, elle croisait et décroisait ses genoux denudés au comptoir et cela me fascinait. Je me suis souvenu des delicieux moments ou elle me coiffait en glissant sa main dans mes cheveux me provoquant de doux frissons. Sa poitrine venait alors s'appuyer legerement sur mon visage au contact de ma joue. Je respirai ses effluves et son parfum ce qui me troublait au plus haut point. Je me suis rappelée de ses regards furtifs vers moi les semaines précédente lorsque j'attendais d'être coiffé et que je la regardais parfois avec un peu trop d'assiduité
- A ta disposition, quand tu veux ! .
Elle me reveilla brutalement de mes reveries interdites. En m'installant dans le fauteuil, je pressentais que quelque chose d'imprevu pouvait arriver. Je remarquai immediatement qu'elle avait ouvert le haut de sa robe laissant entrevoir une gorge genereuse. Elle commenca à me coiffer beaucoup plus lentement que d'habitude en mettant directement ses souples rondeurs au contact de mon visage. Je respirai les effluves d'un envoutant parfum de lavande. J'avais la tres nette impression qu'elle agissait ainsi de maniere deliberée.
Elle soulevait les bras pour enfiler sa main dans ma chevelure, degageant sous ses aisselles une douce odeur ensorcelante, je n'arrivai plus à dissimuler mon émoi de plus en plus visible sur mon pantalon. Elle me regarda en me gratifiant d'un sourire ravageur ce qui ne fit qu'aggraver mon état. Elle stoppa un instant son travail et me regarda droit dans les yeux:
- J'ai bien vu ton regard depuis tout à l'heure, ce n'est pas la premiere fois !
- Tu aimes bien me regarder ? Je te plais tant ?
- A chaque fois que tu viens, ton regard ne me quitte pas !
- Toi, tu as besoin de soins particuliers !
Je n'ai pas compris tout de suite le sens de cette phrase, jusqu'à ce qu'elle se dirige vers la porte qu'elle ferma à clef, puis elle abaissa le rideau et revint vers moi. Elle vint se positionner face à moi dans cette officine desormais vide. Sans dire un mot, et tout en me regardant fixement, elle déboutonna, un à un, les boutons de sa robe, livrant à mon regard une delicieuse combinaison blanche ornée et deux splendides poitrines, à peine comprimées par le doux tissu.
- Tu veux les voir ?
Elle était desormais là devant moi, sans complexe, robe ouverte. Les caresses du tissu sur sa peau laissaient saillir les pointes de ses seins, épousant au plus pres son corps de belle femme mure. Puis elle fit glisser subrepticement la bretelle droite de son soutien-gorge, dégagea l'épaule gauche. Ses seins s'affaisserent un peu, tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leva d'un coup sous le fin tissu de mon pantalon, il durcissait et pointait maintenant de maniere indecente.
Elle remonta ses mains sous ses lourdes poitrines qu'elle soupesa et malaxa lascivement sous mes yeux jouant avec les plis du tissu leger. une peau somptueuse, de longues jambes fines, moulées par le tissu luisant, j'étais interdit. Mes yeux buvaient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes.
- Tu peux les toucher ! Ne sois pas timide
Je commencai alors à la carresser, à palper ses beaux seins, souples sous la soie.
- Tes mains sont chaudes !
La pression montait de nouveau d'un cran. Encouragé par l'absence de reactions negatives, ma main droite glissa plus bas, sur sa peau douce au dessus de genoux, je remontai alors doucement ma main sous la combinaison de soie blanche au contact d'une cuisse douce et chaude, elle ne reagissait toujours pas mais son sein droit vint s'appuyer plus franchement sur mes lèvres. Je continuai ma progression entre ses deux cuisses qui se sont alors écartés comme si elle m'encouragait à poursuivre. Ma main remontait plus haut, se glissait maintenant entre ses deux cuisses la ou le peau est si douce et chaude, elle arrivait au contact d'une fine culotte de soie legerement humide, lorsque brutalement, elle serra ses cuisses autour de ma main et me fixa avec des yeux presque severes. Son visage se transformait. Elle commença à trembler. Des frissons de plus en plus forts la secouerent. Elle se cambra dans un spasme violent et retomba toute molle contre moi. Je sentais le doux tissu effleurer mon ventre. Je touchai cette lingerie fine et douce, pleine de de son odeur.

Elle s'installa alors assise, sur le buffet. Tout en me regardant fixement, elle defit discretement une fine culotte qui tomba à terre. Elle me regarda en me fixant intensément, elle me chevaucha sur le siege, releva sa jupe, extirpa mon sexe raide comme une barre et le presenta devant sa vulve humide et grande ouverte. Puis, vint le moment sublime ! Elle se laissa glisser lentement, tout doucement sur mon mat congestionné. Elle s'enfonca en moi, Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, elle m'aspirait dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante.
- Et maintenant ! ... Prends ton plaisir !
Un va et vient s'amorça absorbant ma verge comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient.
Je la pénétrai puissement. Son regard devint plus brillant, legerement vitreux, je m'enivrai de ses effluves. Elle m'encourageait, le spectacle de ses seins ballottant sous mes yeux me donnait encore plus de la vigueur, nos ventres se touchaient, se frottaient l'un contre l'autre. Empalée à fond, elle remuait pour bien me sentir en elle, tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, ses seins ballottaient de droite à gauche, elle gemissait, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait ! Je n'y tins plus ... je me figeai, je me bloquai ... et je me lâchai au fond de son ventre. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je m'affaissai sur elle.
- Ca va mieux ? ... Tu as aimé ?
Lorsqu'elle s'est retirée de moi, lentement, sortant ma verge ramollie de sa vulve trempée, je restais assis, affalé sur le fauteuil avec mon sexe gluant posé tristement à travers mon bas-ventre. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, sur ses cuisses, et descendait jusqu'à ses pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Elle me fit un baiser, fouillant ma bouche,

Puis elle se rhabilla et me signifia qu'il était temps de sortir
J'ai repensé toute la nuit à ma tendre caresse sur ses seins, mes rales éperdus au moment de l'orgasme, ma verge gonflée de sève qui enflait dans son ventre, lovée autour de sa vulve, son vagin qui me serrait convulsivement et me massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos