Je regardai ma Belle-maman qui, nue et sans la moindre gêne, monta sur mes genoux et me demanda de baiser avec avidité sa belle poitrine. Elle posa l’une de ses mains sur ma joue et dit :
- Mon bon Gendre, vous avez pu le constater, ma fille et moi, Nous nous aimons, nous avons besoin l’une de l’autre ….
J’étais abasourdi et ne savais que dire… Elles essayèrent, l’une et l’autre de me rassurer, d’apaiser mon désarroi, me serrant contre elles, leurs mains dans mes cheveux, leurs haleines toutes proches, la chaleur de leurs corps nus si près qu’elle finissait par me troubler… Belle-maman reprit :
- Mon cher Gendre, ne pouvons-nous pas partager avec vous notre Amour commun ?
- Ma fille est ma maîtresse comme elle est votre femme, je suis veuve et donc seule
- j’aime faire l’amour avec elle, entre femmes, dans le secret, la complicité… le comprenez-vous ?
Ma femme réfléchissait, silencieuse, l’une de ses mains caressant délicieusement ma cuisse comme pour me rassurer, me mettre en confiance … Allaient–elles ainsi me troubler au point de me faire comprendre, admettre et accepter l’idée d’un « ménage à trois » dans la licence la plus complète ? Mon épouse m’embrassa sur les lèvres et me retint serré contre elle. Ma Belle-mère me passa ses bras autour du cou et m’embrassa fougueusement au coin de la bouche en murmurant :
- Mon cher gendre ... Depuis le temps que j’en avais envie !
Je sentais tous mes sangs battre dans mes artères. Ce deux Femmes étaient en train de m’attirer entre leurs bras, sans que je n’aie pu même dire un seul mot… Nous gagnâmes le salon et « mes » deux femmes me prirent à part.
- Voilà ce à quoi nous avons pensé avec Maman, dit mon épouse d’une voix basse :
- pourquoi ne serions-nous pas heureux de temps en temps, avec toi, à trois ?
- Maman serait comblée et toi, mon Amour, tu aurais tes deux petites femmes prêtes à t’aimer,
- partageant tous les plaisirs les plus fous… Qu’en dis-tu ?
Elle disait cela avec un tel aplomb que j’en étais désarmé… elle m’embrassa, Belle-maman aussi et… sur la bouche…
Je pris sa taille et après tout, décidai de me laisser aller aux plaisirs troubles … Je me mis à lutiner ma Belle-mère qui se laissa faire, visiblement contente d’avoir allumé des feux inesperés. Ma femme se joignit à nous pour un baiser en trio des plus ardent. Notre immoralité était scellée.
Nous dînâmes d’un bon appétit et décidâmes, pour notre première nuit à trois, d’être on ne peut plus libérées. Nous gagnâmes la chambre et je demandai à mes deux femmes de ne point quitter leurs bas et douces lingeries de soie, car cela m’excitait et je voulais entendre les bruissements légers de la soie en nos accords charnels. Elles ne surent point me refuser un tel plaisir ; elles revinrent du cabinet de toilette fraîches, parfumées, épanouies, souriantes et plus séduisantes que jamais. J’avais déjà pu contempler à maintes reprises les jolies jambes de ma Belle-mère mais là, je m’abandonnai à ma lubricité de mâle à l’affût, contemplatif, lascif, ne quittant plus des yeux mes deux charmantes aimées.
Je m’approchai de ma Belle-mère, la serrait étroitement, ma verge raide, coincée dans le fossé ombreux de ses tendres cuisses, mes bourses, pleines, et bien au chaud entre ses rondeurs abricotières… Comme elles étaient chaudes et douces ! Je succombai. Je me mis à bander entre les fesses charnues de ma Belle-mère, Ma femme, par en dessous, commença à me peloter les bourses, Je fis aller et venir ma queue, droite, dressée dans l'entre-fesses, me frottant délicatement sur les soies de mes deux femmes qui se balançait à présent au rythme de mes allées et venues, ce qui avait pour effet d’activer ma raideur, ma queue dressée comme un phare sur l’océan de chair blanche ... Les bas crissaient en douceur, Quelle délicieuse bandaison je faisais là, rivé à ce fessier superbement rond, douillet, n’attendant que mon bon plaisir…
Je n’y tins plus et donnai ma verge dure à sucer à ma femme qui enfourna mon prépuce, le couvrit de salive, puis, le pointa d’elle-même dans la chatte de belle-maman… Une délicieuse chaleur couvrit mon prépuce, gagna le long de ma verge, se répandit sur mes bourses que ma femme pelotait toujours ; je poussai et entrai majestueusement dans les grandes levres ouvertes et chaudes de ma Belle-mère, celle-ci émit une petite plainte étouffée, la bouche rivée à la chatte de sa fille qu’elle était en train de sucer de plus belle. Je prenais mon temps, goûtant pleinement à ce plaisir imprévu et fus vite au fond du merveilleux puit, mes bourses frottant les poils frisés de la jolie chatte toute humide ; Je déchargeai abondamment dans le ventre de cette divine belle-maman, planté dans son humidité ; Elles jouirent toutes les deux, Je fis aller et venir encore un peu ma verge et quittai la si accueillante chatte…
Belle-maman reprit une position normale dans le lit et me dit d’un air malicieux :
- Alors, mon Gendre chéri, comment avez-vous trouvé ma petite minoune ?
- Délicieuse, absolument délicieuse
je répondis par un baiser sur les lèvres chaudes de ma Belle-maman, la serrant contre moi. Elle me serra contre elle, je rebandais, elle dit
- Quel plaisir nous allons avoir tous les trois, mes doux Chéris !
et elle se saisit de ma queue encore humide de foutre et la suça lentement, se gorgeant de mon foutre, ardente, vicieuse, sensuelle à souhait
- Ma Chérie, quelle queue a ton mari, tu ne m’avais pas dit cela, petite cachottière !
- Tu voulais la garder pour toi, eh bien, ma Chère, maintenant, nous partageons…
Et elle rit, d’un rire de gorge qui fit tressauter ses beaux seins… J’avais encore envie de la baiser… Étendu entre mes deux « Maîtresses », celles-ci s’employaient à me branler, à visiter intimement mes arrières, palpant mes couilles, les gardant en leur paume (ô combien chaude !), s’embrassant sur la bouche, se faisant des caresses et marmonnant des bribes de mots osés :
- Oh, que c’est bon, ma Chérie, embrasse-moi encore ca, tu m’excites, ouuuuhhhh… .vvvouiiiii…
Et tout ceci se terminait par des bruits mouillés, gloutons qui n’eurent de cesse de me faire à nouveau bander entre leurs mains… Je suçai les seins de ma Belle-mère, tétant goulument à ces petits frangins dressés, aréoles dilatées, je les gobais de toute ma bouche affamée… Jeanne jouissait, elle devait être très sensible et jouir par les seins, tandis que sa fille, elle, c’était le clitoris… à peine un frôlement et le clitounet se dressait, même à travers le slip et la robe ou le pantalon quand nous dansions ou nous enlacions amoureusement…
J’avais retrouvé ma raideur et ma queue s’annonçait prometteuse dans sa future pénétration. Je me devais maintenant de prendre ma femme, dont le désir se faisait sentir, excitée qu’elle était par notre nouvelle relation avec sa mère et voulant en quelque sorte s’exhiber devant celle-ci, lui donner du plaisir par la vue de nos deux corps unis devant elle. Françoise se mit sur moi, à califourchon et ne tarda pas à se mettre en chatte une queue qui, bientôt la prit à fond en des trots saccadés…
Sa mère, à nos côtés se masturbait, ne nous quittant pas des yeux et disant des :
- Oh, mes Chéris, ouuiiii, c’est bon de vous voir, allez-yyyyy, quelle belle branle je faiiiiisss, vous me rendez folle
- De fait, je déchargeai assez rapidement en Françoise qui criait, haletait, caressant d’une main les petits seins tout agités de sa Chère Maman… Je finis ma semence à petits flots, enfilant à fond ma compagne, mes mains sur elle pour mieux la retenir collée contre moi… Jeanne jouissait comme une hystérique, griffant les draps d’une main, continuant à titiller son clitoris, à le pincer, à s’enfoncer deux ou trois doigts dans le con, telle une furie, les yeux au ciel, le regard perdu, mourant…
Qu’il était bon de contempler cette femme mûre, belle, coquine à souhait, là, au creux de notre lit conjugal, se donnant du plaisir sans retenue, sous nos yeux, dépourvue de pudeur… Comme il était bon d’être tous les trois à présent réunis, soudés, partageant notre secret, notre grand secret ! Cette pensée m’excita et je me mis à rebander dans le sexe de ma femme qui recommença à se démener sur ma queue ; je forniquai à nouveau en sa profonde chatte, tandis que sa mère ayant joui à plusieurs reprises à nos côtés, se mit sur mes fesses, les épousant pleinement de son con écrasé contre mon fossé ; mon anus sentait la chaleur de la vulve poilue… Ma Belle-mère s’excitait sur moi, dansait, se frottait contre moi, me tenait par les hanches, son visage dans mon cou, pendant que je baisais sa fille, elle murmura en haletant : « Baisez bien ma petite salope, allez, plus vite, mon Gendre chéri, mettez-la à fond, ouiiiii, ouiiiii, je suis fooollle de votre baaaiiiise, mes Amours… ». Je déchargeai en Françoise qui releva les jambes et nous étreignit tous deux… Nous étions soudés, terriblement vicieux, fous de sexe et d’inceste. Je sentis la cyprine de Jeanne couler doucement en mon fossé, mon anus imprégné de ce beau jus intime que cette dive femme, pressée là sur mes fesses, me faisait partager… Ma Belle-maman se dégagea et se pencha sur mon cul pour en licher la sève qu’elle avait déposée, elle me fit ainsi une toilette des plus approfondie, mon anus fut liché de belle façon, mon fossé nettoyé, sa langue insistant perversement, pointue, dansante, chercheuse… comme elle léchait bien, la belle garcière mature !! Ma Belle-mère délaissa mon cul et, haletante, ébouriffée, rouge, encore toute excitée, vint s’étendre à côté de sa fille, laquelle recouvrait peu à peu ses esprits après notre coït, allongée sur le dos, seins dressés aux belles aréoles rose-brun. Elles se tournèrent l’une vers l’autre et s’étreignirent coquinement en s’embrassant tendrement. Je vins tout contre les jolies fesses de Jeanne, les épousai étroitement, passant mon bras autour de la taille de mes deux femmes, nous étions délicieusement bien ainsi. Mon phallus reprenait peu à peu de sa vigueur se tendant vers le fossé culin si doux et chaud… Ma Belle-mère dit à sa fille : « Il bande encore ton Cher mari, je le sens tout contre mon cul, ma Chère, se pourrait-il qu’il ait le dessein de me vouloir bien enculer ? J’en serais ravie… qu’on se le dise… » ajouta-t-elle en tournant légèrement la tête vers moi par-dessus son épaule dénudée… Françoise répondit en gloussant : « Chéri, tu sais, Maman aime cela, tu devrais accéder à son désir… ». A quoi sa mère répondit faiblement : « Oui, mon Cher, mon défunt mari avait bien l’habitude de passer par la « porte du jardin » – formule recherchée s’il en est – pour me signifier qu’une jolie queue bien dirigée dans son magnifique popotin, lui ferait grand honneur… Et elle ajouta : « Vous êtes à point, mon Chéri, puis-je vous recevoir ? » avec un accent très XVIème des plus séduisant et convaincant… Ma femme ajouta : « Tu sais Maman chérie, qu’Armand est un sodomite remarquable qui sait me prendre merveilleusement par là et, ma foi, fort souvent pour mon plus grand plaisir ! ». Ce à quoi ma Belle-mère rétorqua : « Quelle chance, mon Amant de Gendre, vous allez donc pouvoir satisfaire mon vice… je n’osais vous le demander… faites-donc, à votre guise et prenez moi bien et de forte manière en ce petit endroit que volontiers je vous consens… » Quelle vicieuse ! Elle aimait tout décidément, sa fille, son gendre, la sodomie, les plaisirs de Lesbos et… vous le verrez plus tard, ceux de la Zoophilie… mais patience…
De fait, je bandais de plus en plus, les rondes fesses de « Maman » m’excitant au plus haut point… Je suggérai : « Mes Amours, je souhaiterais vous honorer généreusement toutes les deux par cette voie cachée aussi, voici ce que je vous propose : vous allez vous disposer à cheval l’une sur l’autre, étroitement serrées, vos jolis culs bien à portée (sous entendu de vit !) et ainsi, je pourrai vous servir bien courtoisement et vous bien visiter chacune à tour de rôle ; ainsi, aurez-vous, mes Chéries, ma queue en cul d’une régulière façon et profiterez-vous là de mes… « hommages » sodomites en même temps… ». L’idée fut bien reçue et elles se disposèrent aussitôt comme prévu, la mère sur la fille, celle-ci aquatrepattée au bord du lit ; quelle belle position, quelle vue, mes Amies et Amis, j’allais pouvoir accéder alternativement en un cul comme en l’autre, prenant un plaisir fou à les bien enculer à petits ou longs coups selon ma fantaisie… Je me mis donc en place, debout derrière elles, impatientes qu’elles étaient de sentir ce vit les visiter par la « porte de derrière »… La Mère s’agitait un peu sur sa fille, frottant son petit con poilu contre les chaudes fesses qu’elle épousait de tout son ventre… Je m’accroupis et donnai de la langue alternativement en chaque anus, le titillant, le salivant, le picotant du pointu de ma chienne charnue qui frétillait en ces séants… Je glissai même profondément la pointe de ma langue en chaque anus qui, en se contractant, semblait vouloir la retenir prisonnière en ses ardents satins. Les culs balancèrent un peu, de petits gémissements se firent entendre, cuisses et fesses superbes à ma vue… Quand je les eus bien préparées, poussant ici du médius en l’un et de l’autre médius en l’autre, en taquinant aussi plus bas le clitoris, je me frayai un chemin par un doigtage appliqué qui fut récompensé, car les anus se dilatèrent, s’ouvrirent, roses petits bombons plissés, ô combien attirants ! Ma queue fin prête et dardée, je l’humidifiai de salive et le prépuce humide et brillant commença son œuvre en ma femme, laquelle s’ouvrit du cul parfaitement et me reçut à petits coups de fesses jolis… je la pénétrai pleinement, fis aller et venir ma belle queueline ainsi en son petit trou-caca mignon (elle en avait l’habitude, nous aimions cela tous les deux, notre vice… si toutefois, l’on peut l’appeler ainsi)… puis, je déculai d’elle et vins prendre à son tour l’anusienne fleur de ma Belle-mère qui attendait ; je percevais son souffle, le nez dans les cheveux de sa fille, les seins collés à son dos, l’étreignant fougueusement en attendant d’être prise… Elle le fut bien vite, j’écartai ses fesses, l’anus s’ouvrit, petit puits rose magnifique, j’y plongeai mon vit et poussai… il entra sans difficulté, facilité en cela par les belles humeurs culines de sa chère fille ; ma Belle-mère geignit (de contentement) et me donna quelques petits et lents coups de cul qui eurent pour effet de l’empaler jusqu’à mes couilles… je raidis ma queue, dard en ses profondeurs et m’activai… Que cela était bon, mes Chères et Chers, quelle délicieuse douceur, une tiédeur absolue, un cul de Roi, un fourreau à ma gueuse queueline !! L’anus de ma Belle-maman me serrait fort, anneau de chair sur les rondeurs de mon phallus, me retenant, glissant, se serrant à nouveau puis s’ouvrant… je naviguai ainsi quelques instants, puis je déculai d’elle et vins retrouver sa fille en dessous… Ma queue était rouge vif, tendue à l’extrême, une excitation peu banale, bien que la sodomie à chaque fois provoquât sur mon anatomie une forte, très forte érection ! Je fouillai ma femme en plusieurs coups de bite, m’enfonçai, me retirai, poussai à nouveau – elle était folle de jouissance et criait sous sa mère qui la bais ait en cou, lui faisant une succion à la racine des cheveux – comme si elle eût pris en gueule un chaton… Je sentais monter mon jus, ma lave, pourrais-je encore la retenir ?

Je sortais, je rentrais, je changeais de couloir culin, quelle ivresse ! Ma queue comme paralysée par l’immense plaisir qui s’en venait faisait ici l’office d’un beau boutillon que j’administrais à ma volonté, à mon rythme, à ma cadence, bien soucieux cependant de donner le plus de plaisir possible à mes deux partenaires… Je me retirais d’un cul, celui-ci me cherchait, remontait et je partais vers l’autre cul qui m’attendait, m’aspirait, me serrait… je le quittais à son tour pour retrouver l’autre… je partais, je revenais, j’entrais, je sortais dans un galop anal infernal, maintenant par les hanches mes deux coursières aux fesses brûlantes…
Je commençai à jouir en ma Belle-mère… un petit flot bouillant projeté profondément dans le rectum… je ressortis de suite… poussai dans le cul de Françoise… déchargeai… un autre beau flot brûlant, puis je revins en ma Belle-mère, l’enculant à fond et déposant mon foutre en obole aux fins fonds de l’abysse satiné… puis, je déculai d’elle et revins vers ma femme où je me vidai définitivement, haletant, suant, essoufflé, rouge, vidé de mon foutre… Je restai en cul de Françoise toujours dominée par sa mère qui l’étreignait hystériquement… Un long filet de foutre blanc épais s’écoulait peu à peu du bel anus de ma Belle-mère, descendait doucement vers les poils fournis de sa chatte, longeait les lèvres gonflées par le plaisir, se perdait ensuite dans mes poils et à la racine de ma queue, toujours fichée en cul de ma femme… le foutre ne s’arrêtait plus… lave gluante débordant du volcan anusien de Jeanne… Je déculai de Françoise… son petit anus dilaté expulsa une petite giclée blanche, molle, un peu translucide, gélatineuse qui, de l’anus gagna sa chatte pour s’écouler sur le drap en petites gouttes étirées et flasques…
Ma Belle-maman encore excitée — était-ce l’odeur de nos culs, de nos suints intimes et celle de leur cyprine ? — je ne sais, mais elle semblait soudain folle de luxure… elle descendit des fesses de sa fille, s’accroupit et se mit à licher comme une démente, ma semence qui s’échappait du beau con de Françoise ; elle lécha, lécha, écartant bien les fesses, les claquant par intervalle, poussant sa langue pointue en l’anus rose refermé, comme une petite bouche pincée… Ma femme, sous cette caresse, fit aller de haut en bas son petit cul et se mit à geindre doucement, la langue licheuse de sa mère et la salive de celle-ci contribuant à apaiser le feu de son cul qui venait d’être pris si joliment… Puis, ce fut au tour de ma femme de lécher sa mère, cul levé, fesses écartées, elle lui fit même office, même vice, même caresse linguale appliquée… Jeanne jouissait à petits souffles rauques… aquatrepattée, les mains bien à plats, sur le tapis au pied du lit… Bien que la vue fut de bon aloi, je ne me mis point à rebander et filai au cabinet de toilette pour me bien purifier après tant de folies anales… Mes femmes m’y rejoignirent.
Nous prîmes un petit encas, bûmes un peu de champagne et nous nous couchâmes, tous trois enlacés pour tenter de trouver un sommeil réparateur… Il était deux heures du matin. Apaisés, épuisés, les yeux cernés, nous nous endormîmes, abandonnés et sereins. Le lendemain, nous devions partir en voiture pour le Vercors où nous attendait notre vieil Ami le Berger, nous ayant proposé de nous recevoir pour une semaine sur ses hauteurs, près de ses pâturages, en sa cabane confortable et isolée où mon épouse et sa mère pourraient satisfaire en toute discrétion leurs envies zoophiles… Mais, je vous en reparlerai… patience, mes Amies et Amis. D’ici là, faites de beaux rêves, à bientôt !