Elle sort de la piscine, l'eau coule dans ses longs cheveux noirs,
sur sa peau brune, et plus bas, dans le grand sillon,
dans ce grand puits profond, dont on ne désire que d'atteindre le fond.
Des grands seins aux bouts noirs. elle m'attends
Elle connaît mon désir, mon attrait pour ses formes rondes et voluptueuses
Je m'approche. J'avance mon sceptre, le glisse entre ses deux cuisses
vers ses grandes lèvres rosées. Elle les écarte pour y accueillir mon glaive de chair,
Je saisis ses deux seins dont les pointes s'érigent, le les palpe doucement
Et je m'enfonce en elle, je glisse entre ses lèvres faisant réagir son corps en entier,
Je pénètre sans résistance et m'enfonce jusqu'à sa source profonde.
sa bouche s'ouvre, son souffle chaud exhale des filets de salive.
J'explore ce doux et chaud territoire, ce corps tremblant et frémissant.
Tout le corps feminin commence à trembler,
les chairs ondulants sous les coups de mes bourses qui frappent contre l'entrée du puits.
Son corps se mouille, son visage se crispe, ses yeux se ferment, sa bouche s'ouvre,
sa mâchoire se serre, le cou s'arc-boute. elle serre les jambes autour de ma taille,
les muscles se referment sur le sceptre de ma future royauté.
Je suis prisonnier d'elle, en elle. Elle me serre et me griffe, comme une chatte enflammée.
Elle a le visage rouge, laisse échapper un cri, J'augmente la cadence de mes assauts
je la prend d'assaut et je conquiers le territoire,
je l'envahis jusqu'au plus profond de son séant.
Penché sur elle, fusionné au plus profond d'elle,
Elle se cabre brusquement, les seins durs et hérissés s'affermissent dans mes mains.
Je sens son souffle rapide, son haleine, de sa bouche qu'elle ne peut plus refermer,
Nos gémissements se succédent.
alors que le fond du puits je touche, atteignant la source du plaisir suprême.
Je sens son souffle chaud qui jaillit, au paroxysme du plaisir, elle tressaillit.
Elle me sert avec l'intensité de son plaisir, déchirant la nuit d'un long gémissement,
sous les assauts répétés, sous les coups du bélier, cognant de plus en plus vite
dans un grand couloir mouillé qui se ressert de plus en plus,
J'explose dans son ventre, en décharges multiples
et je me laisse retomber sur elle, totalement vidé.
J'écarte ses cheveux de son front trempé
et je trempe mon regard dans l'éclat amoureux et embrasé de ses yeux lumineux.
Ses yeux verts félins en dessous desquels saillissent des joues rouges.
Une main indiscrète qui descend le long des hanches
ou qui remonte le ventre jusque sous les seins.
Les nuits sont froides dans le désert,
au coeur des palmiers verts, dans cet oasis, dans ce palais.
Mais les plaisirs torrides qui s'y déroulent enflamment l'atmosphère
pour ceux qui se saoulent de ce nectar divin.