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dimanche 24 novembre 2024 - 19h47rech / rep
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(taille reelle)
geisha et maikos ()
Un pan du rideau s'est écarté discrètement sur le visage de ma geisha. une chair blanche aux formes douces, d'une rondeur fragile, Délicatement, elle s'approche de moi, puis, elle parcourt mon corps de ses doigts fins et graciles en s'attardant aux parties plus sensibles. Elle s'y appuie plus longuement. Mes sens s'agitent.
Deux jeunes maikos qui étaient discrètement silencieuses, dans l'un des coins de la piece, se rapprochent avec grâce, par petits pas saccadés. L'une d'elle se rapproche doucement, et, avec des gestes délicats, me libère de mon kimono. Ma compagne geisha est impassible, les yeux légèrement baissés, elle n'a pas bougé. L'autre s'approche de ma compagne, et elle commence à la dévêtir, Le lent et compliqué rituel qui se déroule devant moi exacerbe mes pulsions sexuelles. je perçois, ici et là, des parcelles de chair d'une blancheur exquise. Le premier kimono aux motifs fleuris s'ouvre sur un second kimono. La chair blanche de ma somptueuse toyu se dévoile lentement. Ma respiration s'arrête. Les seins laiteux se dévoilent, et toute cette chair ronde et blanche qui s'étale maintenant, jusqu'à l'étroite et longue déchirure du vagin, une chair lisse et luisante, parcimonieusement épilée. Elle n'a pas bougé.
La jeune maiko s'attaque maintenant, à l'étrange coiffure de ma kan-geiko. la longue et noire crinière de ma kan-geiko vient s'étaler sur ses chairs blanches, en de multiples filaments effarouchés. La jolie maiko a laissé tomber son yukata fleuri, dévoilant en entier son corps de fillette, elle vient glisser sournoisement dans mon dos, où elle s'incruste avec passion.
La pression de sa chair chaude exacerbe mes sens, elle s'intensifie, les pointes de ses seins s'incrustent plus profondément dans mes chairs. Je regarde en face de moi les chairs appétissantes de ma tendre geisha, elle a bougé légèrement, ses yeux se sont relevés. Mon sexe se gonfle. Les mains de ma kan-geiko glissent jusqu'à mon tronc, s'y appuient légèrement, faisant basculer mon corps dans le vide, je viens m'affaler doucement sur le corps de la jeune et gracile maiko, lascivement déployé sur le tatami. Je sens parfaitement la structure de ce corps trop fragile s'encastrer dans mon dos, ses petits seins rigides transpercer mes omoplates, mes fesses viennent reposer avec impudence dans l'étroite et chaude vallée formée par la fissure, qui marque la rencontre de ses jambes fluettes, celles-ci se sont volontairement déployées et encerclent maintenant mes jambes en une étreinte énergique.
Pendant ce temps, ma kan-geiko s'est elle aussi discrètement glissée sur mon ventre; elle s'y incruste habilement, déployant ses membres autour de mon corps, rejoignant les membres de la jeune maiko pour former ainsi une enveloppe compacte et inexpugnable,
Mon corps s'agite. Les chairs chaudes qui m'enrobent se resserrent, s'échauffent, et s'agitent au rythme des palpitations de mon corps. Le sang coure dans mes veines qui se gonflent jusqu'au paroxysme frisant l'éclatement.
Elle est là, immobile devant moi, ses yeux fixent mon pénis au bord de l'éclatement, elle se penche sur moi et elle engouffre doucement mon pénis entre ses lèvres hermétiquement closes. Je sens ses lèvres glisser le long de mon sexe, en exerçant une forte pression, mon sexe se gonfle de sang, il est au bord de l'éclatement,
il plonge, pénètre plus profondément, puis elle resserre et desserre l'étreinte, jusqu'à l'expulsion de mon visqueux sperme dans le liquide encore tout chaud, qui gonfle la gorge de ma kan-geiko, chaud élixir qu'elle ingurgite avec passion.
C'est ainsi que j'ai atteint le wao-kei-sei-jaku, la suprême harmonie,