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dimanche 24 novembre 2024 - 20h05rech / rep
hop-12-Capt14.36.43

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(taille reelle)
pose régénératrice à l'hôpital ()
Mon patient allait beaucoup mieux. Mes douces attentions lui avaient redonné du tonus et une certaine vigueur. L'idée d'une aventure avec lui m'occupait désormais régulièrement l'esprit. Ce soir là, n'en pouvant plus, et excitée à l'idée à l'idée de m'adonner avec lui aux délices d'une relation plus intime ... je suis venu discrètement dans sa chambre, sans faire de bruit, je déboutonnai ma chemise, mettais à l'air mes deux belles poitrines qu'il avait souvent célébré, puis, je suis monté sur son lit, me plaçant à califourchon sur son corps, je m'emparai du sexe gonflé de mon beau patient, j'en dirigeai le bout entre les grandes lèvres de ma vulve ruisselante et m'empalai doucement sur ce pieu béni du ciel. J'éprouvai une merveilleuse jubilation en sentant ce beau et vigoureux sexe dur glisser dans mes chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, mon jeune patient, étendu sous le corps sensuel de sa chaude infirmière, fasciné par mes seins opulents se balançant doucement devant ses yeux se laissa alors emporter par ses pulsions. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs de mon sexe trempé, j'éprouvai un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous ces agréables intrusions, je ne tardai pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Serrant mes jambes sur les cuisses agitées de mon patient, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
- Plus vite ! … bien au fond !…
De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon vigoureux patient, Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de son infirmière amante, il s'activa de plus belle dans mon ventre accueillant, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, je m'étais mis à haleter en m'arquant frénétiquement, m'offrant avec rage à chaque pénétration. Je sentais chez mon partenaire d'un soir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. J'avais compris que ce dernier atteignait le point de non retour, aussi l'enserrai-je encore plus fortement entre mes cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de mon vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa sève ... à longs traits dans ma vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond de mon sexe dégoulinant. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs du jeune homme. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous mon jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti.

Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, je fits basculer le corps devenu trop lourd de mon patient à mes cotés, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit :
-- Ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, m'exclamai-je en me penchant sur le jeune homme pour l'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? lui demandai-je maternellement. Tu as aimé ?
-- Oh Oui !
-- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
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J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais plus parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, puis de nouveau le contact d'une main. Frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentais des gestes lents. Elle était désormais à mes côtés, avec son parfum discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrais sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis sa poitrine au contact de ma peau. Je caressai ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchai avec douceur. Je sentis son corps s'embraser. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes étaient au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement.

Et puis vint le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescendit lentement, tout doucement. Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, je m'enfouissais dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Elle s'agitait de plus en plus. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux. Suivit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guidais de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montaient en intensité au rythme de son bassin, je commençai à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévasta simultanément et nous laissa pantois. Une vague nous inonda. Les corps se tendirent une derniere fois, puis retomberent. Nous retrouvions le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.