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dimanche 24 novembre 2024 - 19h41rech / rep
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(taille reelle)
dans la penombre ()
J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre.
Je sens à proximité une bouffée d'air chaud, un air subtilement parfumé, Je n'entends plus rien. Le silence dure une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tente de déglutir. Je ne peux pas parler. puis le contact d'une main. frissonement. Je sens une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapproche. Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sens des gestes lents.
Le parfum est discret, entêtant. Des levres humides parcourent ma peau. Je me cambre sur le lit. Le désir enfle en moi. Je sens une poitrine chaude et souple s'affaisser sur ma peau. Je caresse des cheveux, un visage, essayant de deviner des traits familiers Je saisis des chairs douces à pleines mains. La sensation est intense. La respiration s'accélere. je sens des lèvres chaudes s'ouvrir sur mon gland mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. Cette femme me pousse à boutJe suis exténué, vidé, j'ai envie d'elle, je veux la posséder. Je cherche sa poitrine, la touche avec douceur. Je sens son corps s'embraser. Je me cabre pour aller en elle. Nos sexes sont au contact. Elle halète de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fait de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en peux plus, j'essaie de relever le bassin pour hâter l'instant.
Elle me tient à distance, un court moment seulement. Et puis vient le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescent lentement, tout doucement. Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Elle gémit lorsque j'atteints ses profondeurs intimes. Je deviens fou. Je m'empare de nouveau de ses seins que je pétris au rythme de ses allées et venues. Je veux accélerer. Elle s'agite de plus en plus. Je la serre contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreins désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitent. Suit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guide de plus en plus vite sur mon mat, tandis qu'un puissant orgasme nous dévaste simultanément et nous laisse pantois. Une vague nous inonde. Les corps se tendent une derniere fois, puis retombent. Nous retrouvons le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.




Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais plus parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, puis de nouveau le contact d'une main. Frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentais des gestes lents. Elle était désormais à mes côtés, avec son parfum discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrais sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis sa poitrine au contact de ma peau. Je caressai ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchai avec douceur. Je sentis son corps s'embraser. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes étaient au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement.

Et puis vint le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescendit lentement, tout doucement. Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, je m'enfouissais dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Elle s'agitait de plus en plus. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux. Suivit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guidais de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montaient en intensité au rythme de son bassin, je commençai à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévasta simultanément et nous laissa pantois. Une vague nous inonda. Les corps se tendirent une derniere fois, puis retomberent. Nous retrouvions le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.