- Louis ! Regardez moi ! ... Je suis prête ! Et je crois que vous aussi ! lui ai-je avoué avec un sourire en signe d'impatience. Il semblait épanoui, comblé.
- Louis ! J'ai envie de vous ! ... Vous permettez ?
J'ai alors rapidement retiré ma chemise de nuit, j'ai soulevé les draps et je me suis allongée sur lui, nue, les jambes légèrement écartées, je lui ai souri. Il m'a alors embrassé longuement, puis le me suis positionné sur son corps, et je l'ai aidé à venir en moi. Je me suis doucement planté sur lui.
- Oh Marie ! Vous êtes si douce ... et onctueuse !
Je me suis alors laissée glisser doucement sur son sexe, ile est entré dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui, telle un offrande. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. J'envellopai sa verge de mes mueuses, je l'aspirai en moi et restai un moment en ainsi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage,
- Louis, vous me sentez bien ? vous me faites du bien, vous savez ! Il y a si longtemps !
- Marie ! ... C'est si bon ! Je sens vos douces caresses intimes ! Je suis si bien avec vous ! Quel bonheur !
- Louis, Je vous offre mon corps, et vous m'offrez le votre ! Je suis une femme comblée
- Marie ! Donnez moi vos lèvres ! Et votre bouche !
Je les lui offrais bien volontiers et notre baiser fut d'une sensualité profonde et intense. Puis j'entamai naturellement sur lui un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre ... encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre,
Je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. C'était comme une vague qui m'emportait, Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahissaient au même moment.
Je sentis alors un flot liberateur me remplir. il m'inonda d'une douce chaleur liquide J'en gémissais de bonheur. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de mon delicieux amant. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps amoureux. et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Louis devint ce soir là mon bel et merveilleux amant