Excitée comme moi à l'idée de nous adonner là, dans ces vagues, sur cette plage de sable fin, aux délices de l'amour nature, Lea se mit à me chevaucher. Installée sur moi, empalée sur mon sexe, elle se masturbait allègrement en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entourait ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Elle me regardait jouir, Ces pénétrations affolaient nos sens. Je la sentais toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. elle absorba toute la longueur de mon membre, Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation était affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. J'éprouvai alors une véritable jubilation en sentant mon sexe dur glisser dans ses chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, étendu dans les vagues sous le corps sensuel de ma chaude compagne, fasciné par ses gros seins se balançant doucement devant mes yeux, je me laissai alors emporter par ma fougue de mâle.
Agitant vivement mes hanches, elle se fit joyeusement coulisser sur mon membre gonflé et moi, je goutai les moiteurs chaudes du sexe féminin m'aspirant comme un poulpe, j'éprouvai un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous mes violents coups de boutoir, et sous les chocs répétés de mon gland volumineux, elle ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées.
Haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je voyais qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayais d'en faire autant.
Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonna entre ses lèvres trempées :
-- Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !…
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant mon bas-ventre et mes bourses. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de mon amante, je m'activai de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus.
Sous son corps en sueur, elle s'était mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration.
Je ne tardai pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser, elle avait compris que j'atteignai le point de non retour, aussi m'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de son vagin affamé.
Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, j'accélérai encore le mouvement saccadé de mes reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... je déchargeai ma semence ... à longs traits dans sa vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Elle se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla a mes gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous moi, son jeune amant moi aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer mon corps devenu trop lourd à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
-- Ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, s'exclama-t-elle en se penchant sur moi pour m'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ?
-- Oh Oui !
-- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir