Une cabine était restée entr-ouverte lorsque j'étais arrivé, ce qui m'avait incité a m'y introduire. Une belle femme, sans complexe, les yeux clos, était en train de prendre son plaisir sous l'eau qui l'aspergeait et glissait sur son corps moite, Le fouettement de l'eau lui procurait un étrange et enivrant plaisir, faisant naître de longs frissons voluptueux depuis ses reins jusqu'à son bas-ventre. L'eau ruisselait de ses épaules à sa poitrine avant de se répandre sur son ventre frémissant en empruntant son étroit sillon séparant ses seins gonflés. Elle se laissait emporter par ses sens en émoi et par une douce euphorie voluptueuse, L'eau tiède s'engouffrait avec force à l'intérieur de son sillon, le corps tendu vers un plaisir attendu. C'était un spectacle somptueux.
Je decidai alors de tenter ma chance et me glissai dans la douche
- Que venez-vous faire ici ?
- Eh bien, me doucher aussi …
- avec moi ? ... Ben voyons ! ....vous ne doutez de rien !
Ce fut la seule réponse de cette belle sirène ! je m'introduisai dans cet espace confiné au coté d'une femme que je ne connaissais pas. Comme dans un état second, elle m'avait lançé:
- Fermez au moins la porte de la cabine !
Elle s’offrait à ma vue sans se dérober… Elle avait les yeux mi-clos et la respiration un peu rapide. Sous la volupté qui peu à peu la gagnait, les mamelons de ses seins se sont gonflés tandis que ses tétons se durcisaient et se dressaient telles deux minuscules verges, dans l'attente vraissemblable d'un attouchement plus précis, que je n'hesitai pas à lui procurer en posant une main sur ses epaules
- Eh bien, vous ne perdez pas de temps !
Dans la semi-pénombre nos corps se rapprocherent .... Elle tendait son buste lourd, ses bras, de maniere voluptueuse, Elle était offerte, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement de plaisir au gré de mes caresses. Mes mains parcouraient doucement ses rondeurs. C’était une sensation délicieuse pleine de sensualité.
- Prenez au moins du savon pour me frictionner !
Je ne me faisais pas prier. Apres avoir pris du savon liquide, je glissais mes mains sous ses seins pour les faire saillir. Ils étaient souples, chauds, vibrants. Je les palpais délicatement, puis les serrais doucement, et recommençais. Ses seins avaient une texture exceptionnellement douce et, malgré leur poids réel, flottaient dans mes mains comme deux outres de soie. Pris d'un vertige sensuel, je les pressais, je les roulais, je les sentais gonfler dans mes mains. Les bouts étaient durs, elle poussait de profonds soupirs. Elle s'agitait. Ses seins étaient secoués de mouvements ératiques, traduissant une reelle excitation
- Vous pouvez continuer plus bas ?
Sa croupe tendue vers moi, impudique, elle s'offrait de toutes parts, se laissait posséder. Les spasmes se succédaient de plus en plus vite ... de plus en plus fort. J’entrepris alors l’exploration de son entre-jambes qu'elle ecarta franchement pour me faciliter l'approche. Le contact de mes doigts avec sa vulve humide, large, profonde, etait capiteux. Son bassin ondulait au rythme de mes doigts et elle poussait maintenant des petits feulements de plaisir. Son humidité était abondante.
- Vous êtes en train de m'exciter ! dit-elle dans un souffle rauque…
Elle regardait mon sexe qui ne cessait de se redresser.
- Mais ! ... Vous bandez ! comme un cheval !
Je ne lui laissai pas le temps de terminer et je plaquai mes lèvres sur les siennes. Elle se laissa prendre au jeu. Nos bouches se mélangerent. Elle me suçait la langue, glissant la sienne dessous et l’entortillant. J’en perdais la respiration.
- Vous me poussez à bout !
- Montrez moi au moins que vous êtes un homme, un vrai ! me dit elle en me provoquant
Elle ouvrit encore plus ses cuisses, prit mon sexe congestionné et l'appuya contre sa vulve en tournant mon gland sur ses chairs intimes. J’avais empoigné ses hanches et ses fesses et malaxait ses chairs avec une douceur matinée de passion plus sauvage lorsque je sentis mon sexe littéralement aspiré dans son ventre chaud, ma bouche restant soudée à la sienne, Elle accentua avec son bassin mobile ma pénétration. je me suis mis alors à coulisser en elle avec un délicieux bruit de clapotis…. Elle accentuait sa jouissance en se masturbant sur moi. Mes mains cherchaient ses seins et pétrissait son dos, ses hanches, ses épaules tandis que le corps arqué, je ne maîtrisais plus mes mouvements …. lui faisant comprendre l'imminence de l'explosion. Elle atteignait pour sa part le paroxysme de son plaisir et profitait de mes derniers mouvements pour s’éclater en me lançant un:
- Maintenant ! Vite ! Concluez !
Ce fut le signal. A longs et gros jets je me mis alors à jouir en elle… Je restais figé, mon sexe planté au plus profond de son ventre. Lorsque enfin nous reprimes nos esprits… Elle me baisa goulûment les lèvres
- J'ai rarement autant joui ! Vous êtes tout à fait à la hauteur !
- rhabillons nous ...et retournons vite à l'hôtel !