C'était un homme seduisant, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés autour d'une table libre, nous parlions de tout et de rien mais je découvrais une lumière pétillante dans ses yeux et, je dois l'avouer, j'étais sous le charme. Il était seul comme moi, il adorait danser. j'ai tres vite accepté de danser avec lui, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. Ses bras m'entouraient de manière soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions ensemble. Je me laissais conduire. A un moment, J'ai très nettement senti son pantalon pointer entre mes cuisses. Je me laissais aller à imaginer, tout en dansant, l'effet d'une aventure avec lui, et je commençais malgré moi à me frotter contre lui. J'étais émoustillée, au point de renverser un verre sur moi. Il était tard. Il m'a proposé de l'aider à retirer ma tache et m'a accompagné dans ma chambre. Je me suis laissée entrainer. J'étais debout devant le lavabo et essayais d'effacer la tache. Je me sentais plutôt instable et j'ai senti Pierre se tenir derrière moi pour m'aider à garder mon équilibre pendant que je frottais ma robe. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre moi. Je sentais tres nettement le relief de son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, et quand je me suis retournée .... et sans me laisser le temps de réagir ses lèvres se sont posées sur les miennes, elles étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je ne sais pas pourquoi je l'ai l'embrassé à ce moment là avec plus d'ardeur. Toujours est-il que sa langue s'est de nouveau insinuée entre mes levres, et qu'il commençait à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir, pensant que nous allions rapidement reprendre nos esprits. Mais Il a commencé à écarter un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Je n'arrivai plus à faire quoi que ce soit. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les caresser, les palper, les presser l'un contre l'autre, puis s'est mis à sucer mes pointes.
Rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe, puis ma combinaison soie et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de mes dessous intimes. C'est de ce contact direct dont j'avais secrètement besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus le doux tissu. C'était vraiment bon. Puis il a passé un doigt sous l'élastique, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts me penetrait. Son autre main me caressait le ventre, et les seins. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma petite culotte.
J'ai essayé de le stopper, lui disant que nous étions en train de nous laisser emporter. Il m'a répondu qu'il s'arrêterait dés que je lui demanderai. Mais, je dois être honnête, je ne lui ai pas demandé, car inconsciemment j'avais envie qu'il continue. Je soulevais instinctivement mes hanches pour le laisser finir le travail. A peine tombée sur le sol la petite lingerie est partie directement dans sa poche. Je tentais encore vaguement de me raisonner mais sans vraiment résister.
Il m'a doucement allongée sur le lit, tout en continuant à masser mes lèvres intimes de plus en plus mouillées. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, J'avais à peine remarqué qu'il était en train de baisser son pantalon tout en s'installant entre mes jambes.
C'est à ce moment là que j'ai senti son sexe au contact de mes lèvres intimes, je me suis mise à tressaillir. Il commençait à me pénétrer doucement. Tétanisée je ne résistais pas. Et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais sous son emprise. J'ai resserré mes jambes, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Je le sentais grossir de plus en plus en moi. Mon corps m'abandonnait, je me donnais peu à peu à lui, mes hanches se déplacaient contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je gémissais doucement pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il m'investisse jusqu'au fond de mon vagin, me remplissant complètement.
Il n'en a pas fallu plus pour que j'explose avec ce qui devait être le premier orgasme de cette nuit là, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. sa verge dure coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de lui. Mon corps avait finalement ce qu'il avait imaginé quelques temps plus tôt. C'était si agreable de l'avoir si ferme, si dur, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac.
C'est alors que j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi. Son corps entier a basculé en avant s'enfonçant tout au fond. Il a gémi très fort, s'est figé avec un regard vitreux, et a lâché ses premiers salves. Il jouissait dans mon ventre ! J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je cherche à les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, je sentais son sperme chaud ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de se lâcher. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.
Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Pierre m'a regardée au fond des yeux, m'a embrassé tendrement, tout en continuant à me limer doucement, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi.
Au bout d'un moment, mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je sentais que son sexe recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse, lorsque Pierre s'est mis a haleter, sa verge s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, puis tirer un chargement incroyable de son sperme, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. Même mes mamelons me brûlaient.
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant sa longue verge gluante de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
J'ai repensé toute la nuit à la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve, mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos