Cette secrétaire nymphomane était insatiable. J'avais la quarantaine, Elle m'avait attiré à l'écart, au fond de la remise, m'avait plaqué sur le sol et me collait littéralement, soutien-gorge a moitié défait.
- Baise-moi ! ... dépêche toi ! Je n'en peux plus !
Elle me prit les mains qu'elle plaqua sur ses seins. puis elle ouvrit mon pantalon et empoigna ma verge. Je n'en pauvais plus. Elle se positionna sur moi, releva sa robe et guida ma verge vers sa vulve, je sentis mon gland aspiré dans son sexe humide et chaud. Elle se planta sur moi, puis se fit coulisser de plus en plus vite, tout en m'embrassant la bouche avec avidité, je lui léchai les seins, elle gémissait de plus en plus fort, j'accélérai la cadence, Elle se déhancha de plus en plus. je la baisais. Elle s'excitait. Nous étions ivres de l'odeur du nos sexes. Elle était chaude, elle avait des fesses rebondies. Je bandais comme un cheval, elle me pétrissait le sexe, les bourses à pleines mains. Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents. je n'avais qu'une hâte, celle de gicler ma sève dans son ventre. elle était si mouillée que je sentais sa culotte trempée collée contre sa peau. je palpais sa merveilleuse poitrine. Je la palpais de plus belle en bandant comme un ours au fond de son ventre, elle accélérait sans cesse le rythme, elle grognait, elle allait venir… Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler. Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle m'a conduit au bord de l'explosion, puis, mon corps se raidit. Je sentis mon liquide chaud couler dans son ventre.