Le ventilateur bien disposé devant elle envoie de l’air frais directement entre ses jambes. le tissu léger de sa robe se gonfle, le vent s’infiltre entre ses cuisses qu'elle écarte un peu plus. elle ouvre quelques boutons de son chemisier et degraphe son soutien-gorge. ses seins, ainsi libérés, animent le tissu satiné du chemisier. sa main pétrit sa poitrine qui durcit de désir, la seconde descend vers une étuve les pales du ventilateur ont de plus en plus de mal à ramener une température convenable. elle écarte ses grandes lèvres pour faciliter le passage de l’air jusqu’au plus profond de son sillon en surchauffe. La caresse de l'air l’enfièvre. Le soleil chauffe son corps à travers la vitre. elle s’étire comme une chatte dans son panier après une sieste. Elle amene la coupe de vin à ses levres Je regarde ses lèvres s'appuyer tout doucement sur le rebord du verre de cristal,
je vois le trouble dans ses yeux qui fixent le liquide rouge. Ce regard trouble m'excite, je pose ma main sur sa nuque et commence à la caresser doucement. Son corps se raidit. Je remonte plus haut et commençe à embrasser ses oreilles, laissant ma main caresser ses épaules et sa nuque. Elle laisse échapper un court gémissement. Elle ferme les yeux, et je sens qu'elle commençe à s'abandonner…
la texture de ses bas m'excite délicatement les sens. nous nous frottons l'un a l'autre pour profiter des sensations voluptueuses que nous procurent le contact de nos corps, Ses seins lourds débordent du décolleté, les pointes se détachent en relief sous le tissu blanc de son chemisier. Elle s’approche de moi, à me toucher, et je m’étrangle en respirant son parfum. Je sens la chaleur de son corps et les pointes de ses seins qui pressent ma poitrine. Elle a glissé une main sous son chemisier et se caresse un sein. Ses yeux me sourient, ses seins palpitent doucement sous le fin tissu. son chemisier flotte doucement sur la pointe de ses seins, sa respiration est rauque et son débit saccadé.
Nous nous serrons l'un contre l'autre, elle ondule lascivement contre mon corps. Ses mains se sont glissées sous ma veste, descendent lentement le long de mon dos, Mes mains se sont glissées sous son chemisier pour englober ses seins ses seins ballottent lourdement sous le corsage, Elle défait les deux premiers boutons.
Sa voix est presque tremblante. J'essaye une respiration maîtrisée, Elle se masse les seins de maniere voluptueuse, je vois avec délice ses paumes écraser tendrement ses mamelons.