Nous sommes restés immobiles de longues minutes, l'un contre l'autre. Mon sexe palpitait encore dans son ventre déclenchant en elle quelques spasmes. Je m'enfonçais un peu plus, m'extrayais, puis revins. Elle fermait les yeux semblant mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, noss mouvements devenaient plus amples, chacun de mes retraits s'accompagnait d'un bruit de succion. Mon sexe plongeait en elle et gonflait en meme temps, occupant son espace tout entier.
- Tu es bien ? lui soufflai-je à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Je m'agrippai alors à ses épaules et repris mes longues penetrations. Elle bougeait son bassin pour accroître les sensations. Je la regardai.
Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, je la pénètrai plus profondément, elle fut prise de vertige et fermait les yeux un instant. La transpiration perlait entre ses seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, elle me le rendait au centuple. La pensée de mon enorme sexe dans le sien me fit perdre toute retenue.
- tu es prête ?
- Oui, maintenant ! me répondit-elle.
Je saisissais ses épaules, augmentais l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Elle se cabra, je poursuivis ma chevauchée. Elle jouissait encore et je continuais. Puis j'arrêtai net et crispai mon regard. Je me mis à jouir moi aussi Elle sentit un flot de la remplir, inondée d'une douce chaleur, gémissant de bonheur.
Je l'inondai d'une douce chaleur liquide. Enfin je m'effondrai avec des grondements d'ours blessés. Elle caressait amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule, et conservait dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières.
Je me suis retiré doucement, je l'ai prise dans mes bras et nous nous sommes embrassés passionnément.