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dimanche 01 décembre 2024 - 06h35rech / rep
--prost-10-godini-podocna...

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(taille reelle)
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Je ne sais rien d’elle. Nous sommes maintenant seuls dans la chambre, collés l'un à l'autre. Mes mains glissent sur son corset, avant de rencontrer la douceur de son dos nu. Elle a passé ses deux bras autour de mon cou et collé son corps au mien. Ses seins fermes et rebondis sous un décolleté vertigineux se pressent contre ma poitrine Le bas de son ventre vient se frotter contre moi dans un mouvement sensuel et probablement calculé. Délicatement, les deux bretelles de soie se detachent sur ses bras nos levres se touchent, se frottent delicieusement Nos langues s'enroulent l'une autour de l'autre ma main joue avec les deux superbes mamelles, passant d’un sein à l’autre, les palpant dans leur totalité ou me concentrant sur ses mamelons. Je sens ses mains me caresser le dos à travers ma veste, sa respiration se fait plus haletante quand j’atteins son nombril, elle se cambre brusquement dans un soupir.
ma main caresse son ventre chaud, glisse entre ses cuisses Son corps languissant à un léger sursaut lorsque mes doigts effleurent ses lèvres intimes, je caresse maintenant son sexe sur toute sa longueur. Sa vulve ramollit et s'ouvre sous mes doigts
Quelques petits va et vient à l’intérieur. Sa poitrine se soulève par saccades, sa respiration se fait haletante, Ma main est maintenant complètement collée à son sexe que je masse, ma paume entierement mouillée par sa toison détrempée.
Au gré de mes caresses, un peu de musc s’écoule hors de son vagin. Je poursuis ma caresse, j'enfonce mes doigts plus profondément en elle, encouragé par ses gémissements réguliers. Ses mains ont glissé dans mes cheveux bruns qu’elles parcourent et agrippent avec douceur. Un gémissement plus aigu que les autres me ramène à la réalité, et je sens ses doigts se crisper dans ma chevelure sa respiration irrégulière s’accélère encore un peu plus. comprends qu’elle est proche de l’orgasme
et concentre les mouvements de ma main sur son clitoris gonflé. Je sens son sexe qui se contracte, la pression de ses lèvres brûlantes et humides qui se referment sur ma main est délicieuse. Elle tente d’étouffer un gémissement, tout son corps se crispe sous l’effet du plaisir. Puis ses muscles se détendent, et ma main recommence instantanément son manège.

Quelques secondes plus tard, elle se contracte à nouveau et ne peut cette fois réprimer un cri. Mes mains glissent de son ventre à ses seins au rythme de ses halètements et la crispation de ses doigts sur ma tete est presque devenue douloureuse pour mon cuir chevelu. Elle se contracte, se détend, se contracte à nouveau, puis se détend encore. Son sexe et son corps reagissent de concert. Prise de légers spasmes qui font tressauter tout son corps glissante de sueur et de musc au niveau de son bassin, elle pousse de petits cris de plaisir, puis un seul gémissement, plus aigu que les autres, lorsque j’achève de la faire jouir en tendant ma main au maximum, l’enfonçant au plus profond de son sexe brûlant. Elle a encore un ou deux sursauts puis soupire longuement, comme soulagée d’avoir pu évacuer tout ces plaisirs par un orgasme.

Croyant en avoir terminé, je tente de me retirer, mais elle me retient avec délicatesse. Nous restons comme ça une bonne minute, ses cuisses se referment avec douceur sur ma main et je sens peu à peu les muscles de son vagin se décontracter autour de mes doigts. Elle finit toutefois par me libérer et je me detache d'elle, lui révélant par la même occasion le désir qui brûle toujours en moi, plus fort que jamais. Découvrant sans surprise l’érection qui déforme mon pantalon, elle a un sourire satisfait. Elle paraît légèrement assommée par l’orgasme, comme si ses membres étaient engourdis par le plaisir, mais lorsque je me penche sur elle pour l’embrasser, c’est elle qui me saisi de nouveau la tête et attire doucement mon visage vers le sien.
Notre baiser est tendre et passionné, et tandis que ma langue s’affaire dans sa bouche, je sens sa main qui vient évaluer mon excitation à travers le tissu de mon pantalon. Puis, dans un court moment d’incertitude, alors qu’elle écarte son visage du mien, elle me murmure :
- Fais-moi l’amour. Là. Maintenant.
Ces mots sonnent dans mon esprit autant comme un ordre que comme une autorisation.
Je me presse sur elle, mes vêtements frottants contre sa peau humide.
Je l’embrasse à nouveau, avec fougue cette fois,
ma langue se frayant un passage entre ses lèvres pour aller se loger dans sa bouche,
telle une future pénétration, ses mains glissent de mes cheveux à mon dos, puis à mes fesses
et ses cuisses se relèvent légèrement autour de mon bassin,
de telle sorte que mon sexe, tendu dans mon caleçon, effleure le sien à chacun de nos mouvements.
Elle écarte presque violemment les deux pans de ma veste
et ses deux mains caressent longuement mon torse dénudé sous la chemise
avant de la faire glisser le long de mes bras et de l’envoyer voler à travers la pièce.
A demi-nu, je reprends appui sur le mur et me penche sur elle pour l’embrasser.
Son bassin frotte contre le mien, mon sexe plus dur que jamais.
Visiblement impatiente, elle m’abaisse mon pantalon jusqu’aux genoux, d’où j’arrive à le retirer complètement d’un mouvement de pieds.
Me voilà en caleçon, ses mains remontent sensuellement le long de mes cuisses et se glissent sous l’élastique,
explorant un court instant l’intérieur de mon caleçon avant de l’abaisser lui aussi,
libérant mon sexe en érection qui se dresse maintenant à quelques centimètres seulement de ses lèvres entrouvertes et lubrifiées.
Sans attendre, elle saisit délicatement mon pénis et le guide jusqu’à elle.
Je m’enfonce sans difficulté dans son sexe encore humide de musc,
mes lèvres se collent au sienne pour étouffer un gémissement tandis que ma verge en érection la pénètre de toute sa longueur.
Je m’arrête et, pendant un instant, nous ne formons qu’un seul et même corps,
puis je commence un lent mouvement de va et vient.
Mon bassin ondule contre le sien et elle gémit
tandis que le frottement de ses chairs détrempées sur ma hampe et mon gland m’arrache un premier râle de plaisir.
Je prends conscience que je ne tiendrai pas longtemps, mais elle paraît déjà proche de l’orgasme.
Ses mains explorent mon corps pendant que je m’enfonce en rythme dans le sien.
Mon gland butte contre le fond de son vagin, la sensation est électrique, pour moi comme pour elle apparemment
puisqu’elle gémit maintenant avec plus d’intensité.
Sa respiration s’accélère, ma cadence aussi,
mon sexe laboure maintenant le sien avec vigueur et la pression de sa chair autour de la mienne est aussi délicieuse qu’insupportable.
Elle semble avoir un nouvel orgasme et ses lèvres se contractent sur ma verge et l’enserrent,
je n’y tiens plus, mon corps tout entier se tend et je me laisse aller à l’orgasme.
Je frissonne à la fois de froid et de plaisir tandis que mon sexe crache sa semence au plus profond d’elle-même en trois jets puissants.
Elle gémit une dernière fois et, dans un soupir, je m’écroule sur elle, appuyant ma tête contre sa poitrine.
La sensation de chaleur qui m’envahit tandis qu’elle passe ses bras autour de moi est merveilleuse,
je suis toujours en elle et même si mon sexe commence déjà à retrouver ses proportions normales entre ses lèvres qui s’écartent à nouveau autour de lui, je ne m’en retirerai pour rien au monde.
Tous deux abasourdis à la fois par l’effort et par le plaisir,
je crois que nous aurions pu nous endormir dans les bras l’un de l’autre si, l’excitation passée,
nous ne nous étions pas rappelés où nous nous trouvions…