Ainsi soudé à elle, je la serrai contre moi. Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées et nos souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus que nos soupirs, nos halètements et des bruits mouillés de lèvres qui se séparent pour s'unir à nouveau. Nos regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. Ma cuisse se mit à comprimer davantage sa vulve. Mes lèvres se remirent à dévorer les siennes, alors que mon autre main s'accaparait de sa poitrine. Malaxant les deux mamelles l'une aprés l'autre. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. Je posais fébrilement ma joue contre la sienne pour murmurer à son oreille :
- Je ... j'ai envie de toi ...
Elle s'aggripa encore plus fortement à moi.
- Oui, Viens, viens vite !
D'un geste discret et rapide, elle écarta sa culotte mouillée et amena mon mat à l'entrée de son sexe trempé. Ondulant du bassin, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes et commença à le faire tourner autour de ses lèvres vaginales. Elle promenait l'extrémité de mon sexe sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. C'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, s'accrochant à mes épaules, elle me souffla à l'oreille :
- Maintenant ! Viens !
Je propulsais alors mon bassin vers l'avant, enfonçant du meme coup mon sexe dans le fourreau ardent. Elle s'aggripa plus étroitement à moi, murmurant ses encouragements à mon oreille en me caressant amoureusement les cheveux. La pénétration ample de mon membre la comblait, c'était un véritable envahissement. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la penetration se fit facilement. Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule et me souffla à nouveau :
- entre encore, Je t'en prie, enfonces-toi en moi.
Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, mes tendres caresses dans ses cheveux, il se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément.
Une nouvelle penetration plus ample me déclencha un orgasme qui me tétanisa. Je lui mordis l'épaule pour ne pas hurler. Il continuait ses mouvements ondulatoires accélérant sa cadence amplifiant ainsi ma jouissance. Je m'aggripai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. contractant mes muscles internes pour enserrer sa colonne de chair. Le contact de mon bas soyeux l'électrisait. Ma pression emprisonnant son gland fut le signal. Il banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se ruait au plus profond de mon ventre, hurlant ses rales d'effort à chaque violente poussée. Je n'en pouvais plus, mon sexe était investi, envahi. Mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur son pieu. Je fus térassée par une série d'orgasmes en continu. Je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, ralais mes orgasmes.
Je sentis l'imminence de l'eruption. Il accéléra la force de ses coups de butoir dans mon ventre brûlant, concentrant sa semence dans ses bourses pleines, la faisant remonter le long de la hampe de son sexe tendu, explosant enfin par son gland congestionné. Le jet puissant inonda le point le plus profond de mon vagin. C'était un volcan, un flot bouillonant de lave en fusion. A bout de souffle, il enfouit ma tête dans son cou, m'assenant ses dernieres giclées pour m'exprimer sa gratitude.
Nous recherchions notre respiration. Il continuait de coulisser doucement dans mon ventre. Je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder son dard planté en moi. Les dernières caresses de son sexe d'acier me comblait de bonheur. Je carressais doucement ses cheveux et sa nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte puis je le repoussai doucement et le fixai dans les yeux, Son sexe glissa doucement en dehors de sa gaine soyeuse, liberant un flot de secretions amoureuses.