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jeudi 28 novembre 2024 - 12h29rech / rep
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(taille reelle)
Il s'enfonce en moi ()
Il s'enfonce en moi, me penetre, me comble, un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. Il ondule, je l'aspire, il râle, je gémis. Il s'enfonce ... loin, très loin. Je l’enroule, le défais, il plonge, se retire. J'avale son corps. Il cajole le mien. Il va et il vient, vagues de plaisir, des montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis sa redescente voluptueuse des mille et une nuits. Je me donne, il me prends, ronronnements, gemissements. Il se retire, laissant le vide, je me débats. Il me reprends. complètement, passionnément. Son corps collé au mien, il me pénètre de nouveau, totalement.
Je le sens en moi, grossir, durcir et s'allonger, investir mon ventre chaud, mes jambes écartées pour mieux le recevoir , mes jambes resserrées pour mieux le retenir. Au rythme de son corps, je me plie sans effort, courtisane lascive, soumise et attentive. Au plus profond de moi, son sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps.

J'inonde son corps d'un torrent de caresses ruisselantes dont je veux le couvrir, Il explore les ports de mes grâces intimes d'une langue ondulante et jusqu'à me râvir, il baise ma bouche, y trouvant sa saveur, il saisit la souche de son désir fébrile pour écarter mes lèvres pleines de saveur en y laissant la sève d'un plaisir érectile.
Pour que mes yeux se plissent, que mon regard se trouble, il me laisse incertaine de sa possession qui me frôle et se glisse et presse mon bouton. En posant ma poitrine sur la sienne que je presse, J'emprisonne ses jambes en lui serrant les fesses; Nous gémissons ensemble d'une tendre détresse, pris d'une passion commune pour ce qui nous oppresse. Il ramène ses genoux aux côtés de mes hanches, mes yeux deviennent fous sous cette invasion franche, il se redresse un peu pour caresser mon corps et se laisser tanguer entre mes cuisses ouvertes. Il y allume un feu qui m'éblouit bien fort mais j'aime le regarder courir droit à sa perte, la pointe de mes seins redressée fièrement. La danse de mes reins accélère, plus rythmée,
Il cueille une auréole, il serre l'autre des dents, mes nerfs soudain s'affolent, je m'affaisse essouflée.