Nous nous étions tous les deux refugiés dans un coin sombre de la salle, à l'écart des autres danseurs. Elle avait 40 ans, de beaux cheveux blonds, un corps fin et de jolies rondeurs, une bouche gourmande et de grands yeux bleus. Elle s'était blottie contre moi, la tête sur mon épaule. Je posais timidement les mains sur ses hanches. Nous ne parlions pas. Chaudement coincée contre mon corps ferme, elle se serra encore plus fort contre moi. Gêné par un gonflement indécent au bas de mon ventre, je tentais de me dégager jusqu'à ce qu'elle me souffle:
- restez tranquille ! ... Et serrez-vous contre moi !
Je me suis alors laissé aller contre elle sans retenue. Elle me prit la main et la posa sur son sein que je commençais alors à caresser doucement à travers le satin. J'en épousais consciencieusement tous les contours. Elle glissa sa main sur ma nuque et dans mes cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. et je l'embrassai, maintenant à pleine bouche, mêlant nos salives.
Elle redressa le buste, poitrine en avant. Son sein lourd gonflait le léger tissu soyeux. je posai ma main sur le sein le plus proche, le palpant doucement. Puis je glissais un doigt sous la soie pour atteindre la peau satinée. J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Ma bouche s'est alors emparée de ce fruit mur. Je l'ai sucé, aspiré. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive, ses cuisses étaient écartées, comme en attente. Elle m'interrompit en me soufflant à l'oreille:
- j'ai envie de vous !
Je la regardais, feignant de n'avoir pas entendu, elle était presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde.
- ça va ? lui demandai-je
- Vous m'avez entendu ? insista-t'elle, ... J'ai envie de vous !
Elle commença à onduler son bassin. Ma main massait son ventre à travers la soie. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. Sa main caressait mes cheveux. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais sur sa peau douce. Elle écarta un peu plus les jambes me permettant d'acceder à ses lèvres intimes déjà fort humides. Je glissais ma main entre la soie et la peau... j'enfoncais mes doigts ... elle halètait dans mon oreille. Tout son corps se tendit vers ma main qui l'empoignait. J'entendais le frottement de la soie sur ses cuisses...Je fermais les yeux. Le temps s'arrêta. Mes mains jouaient dans ses cheveux. Elle esquissa un sourire.
- Oui ... c'est bon ! me souffla-t'elle dans l'oreille
Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts sous mes doigts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. je reprenais les douces caresses intimes pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis alors devenir comme folle, elle ne se contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva et un cri rauque jaillit bruyamment. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle se redressa pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds.
- Venez ! ... Vite !
Mon sexe bandé qu'elle avait pris en main, frottait contre sa vulve chaude qui luisait de son jus, ses lèvres intimes toutes ouvertes. Elle prit mon sexe et caressa sa fente avec mon gland. Nos corps se rapprochaient, se trouvaient, enfin ...coincés, cachés, a l'abri des regards. j'avais envie de son ventre. Je l'attirais vers moi, Elle guida mon sexe d'une main experte. Je fermai les yeux ... Je la pénètrais très doucement, profondemment. La respiration bloquée, elle m'embrassa, éperdument .... j'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Elle me caressa la nuque. Je lui lèchai le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Elle m'entoura la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... le plaisir était si fort. sa bouche était entrouverte, collée à la mienne, elle me lèchait avec lenteur, me mordillait les lèvres. Je la collai contre le mur .... et je m'enfoncai à nouveau dans sa chair. Elle se laissait embrasser partout ... Nous étions unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sentais sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Elle glissa ses mains sous ma chemise et caressa mon dos, mon torse. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur. Mes mains caressaient ses cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur montait en moi comme une sève brûlante. Je me sentis basculer.
Elle râlait de plus en plus. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille qu'elle taquinait avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Je regardais son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donnait, encore et encore. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondulait du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dura ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'allongea sur mon torse. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...