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jeudi 28 novembre 2024 - 14h43rech / rep
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Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions sur le canapé. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti son pantalon augmenter de volume et commencer à appuyer sur le bas de mon ventre. Je me laissais aller à imaginer, tout en me collant contre lui, l'effet de son enorme sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu dessus.
Pierre était veuf depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés autour d'une table libre, il était seul comme moi, il adorait danser. j'ai tres vite accepté de danser avec lui. je le trouvais charmant, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir.
J'étais émoustillée, au point de renverser un verre sur moi. Il était tard. Pierre m'a proposé de continuer la soirée dans sa chambre. Je me suis laissée entrainer. J'étais debout devant le lavabo et essayais d'effacer la tache. Je me sentais plutôt instable et j'ai senti Pierre se tenir derrière moi pour m'aider à garder mon équilibre pendant que je frottais ma robe. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement une grosseur manifeste sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, je me suis alors retournée .... et sans me laisser le temps de réagir les lèvres de Pierre se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui et lui ai dit
- retournons au salon de l'hôtel, sinon nous allons faire des betises
Il a chuchoté des excuses à mon oreille, me disant avoir eu du mal à se contrôler après m'avoir serrée contre lui quand nous dansions. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus. Je me suis convaincue qu'il ne s'agissait que d'un peu de flirt. Juste un petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise.
Cet homme était magnifique. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les soupeser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché vers moi et s'est mis à sucer si delicieusement mes pointes que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité.
- Pierre, J'ai si chaud... je ne devrais pas être ici !
Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte.
- Mon Dieu ! nous nous laissons emporter.
- Je m'arreterai dès que tu me le diras. .
Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Je me suis allongée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée.

Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland.
- Oh Pierre !
- S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi quelques instants...
- Oui ... mais tu t'arretes !
- Oh oui ! ... comme çà ! .... c'est bon ! .... je t'en prie, juste un petit moment !
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai protesté encore,
- non, Pierre s'il te plaît!, arrête, je t'en supplie !
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien.

J'ai recommencé à protester du bout des lèvres quand j'ai senti son énorme barre aller encore plus loin, au fond de mon vagin. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la soirée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir !

Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. C'est alors que je l'ai senti. sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi.
- Oh Pierre ! tu..tu...m'avais dit..que tu te..retirerais...!
- Helene ! C'est si bon !
- oh oui ... je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi... tu me remplis .... tu m'envahis .... c'est bon !
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps.

Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... J'ai commencé à pleurer. Pierre l'a vu et m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée.
- Tu m'avais dit que tu te retirerais.....tu me l'avais promis ! ,
- Hélène je suis désolé, tu étais si désirable, si excitante... Je n'aurais jamais imaginé que tu me laisserais !
J'ai fait une pause et l'ai regardé. Pierre m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre,
lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- je sens que je vais jouir encore, tu veux que je me retire ?
Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié,
- non, restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus. Quand il est entré dedans, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.

Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide,
entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.

j'ai aimé la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulvemon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos





Une chair rose aux formes douces, d'une rondeur fragile. Nuque pâle, tête inclinée, Elle est nue, les seins laiteux se dévoilent, toute cette chair ronde et blanche s'étale maintenant sous mes yeux au dessus de moi. Elle s'est installée à califourchon sur moi. La pression de sa chair chaude s'intensifie, les pointes de ses seins caressent ma peau sensible. Mon sexe se gonfle. Mon corps s'agite. Je bois des yeux la masse oscillante de ses seins lourds qui ballotent sous mes yeux et qui frottent sur mon torse. Elle me fixe intensément, puis saisis mon pénis raide et gorgé de sang, le caresse doucement, Ses yeux humides dans les miens, elle le dirige vers ses lèvres intimes et glissantes. Je la supplie de venir.

Elle s'empale sur moi en me fixant intensément. Elle absorbe mon sexe dans ses chairs chaudes. C'est un glissement onctueux, une pénétration puissante. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle suce mon penis, l’aspire, le tire, elle joue de son corps, elle râle de plaisirs, Elle se penche vers moi. Ses yeux brillent. Sa vulve masse délicieusement ma verge avec un léger mouvement de succion. contractions spasmodiques, fermes penetrations, Elle lape avec sa vulve ma queue dressée en elle. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire.

Mes yeux sont dans ses yeux et mon sexe, planté au fond du sien, prisonnier de sa chair onctueuse et gourmande. Sa vulve trempée stimule ma verge gorgée de sang, et droite comme un mat, elle l'enveloppe, l'absorbe, le lisse, doucement, interminablement. Elle joue de moi en surveillant mes réactions. Elle se masturbe sur moi, lustrant ma verge bandée sur ses muqueuses humides. Elle ralentit ses mouvements, me regarde jouir, les reprend. Petit à petit, elle absorbe toute la longueur de mon mat, le voilà maintenant enveloppé d'un fourreau chaud, doux, vivant, comme si tout son corps m'enserrait. Des contractions agitent son vagin. La sensation est délicieuse, affolante. je sens ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaisse rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant.

Un étui chaud et humide entoure et comprime ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle s'empale sur moi, completement, interminablement, ralentissant sa descente, puis la reprenant. Cette lente pénétration affole nos sens. La sensation est puissante, affolante. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait, comme un poulpe visqueux digérant sa proie. Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, les yeux à moitié fermés, Elle s'agite, s'empale un peu plus, sur mon sexe qui se tend et s'allonge dans ses chairs. Elle se donne du plaisir. Elle me suçe, m’aspire, me tire, me pousse, s'applique, en jouant de mon corps. Elle ondule du bassin, monte et descend sur moi, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'est suave, je glisse dans du beurre, je suis au paradis. Je me soulève un peu lorsqu'elle se retire pour mieux venir se perdre au plus profond d'elle.

Puis je la sens trembler, et se figer, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. Vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un véritable feu d’artifice. Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante. Tout son corps vibre. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté. Elle se déhanche, se tortille, tout en soupirant de plus en plus fort, ses mains griffent mon dos, ses jambes ne lui obéissent plus ! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme. La sueur lui perle sur le front. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, ses seins ballottent de droite à gauche, elle crie, la bouche ouverte, haletante, puis se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !

Je suis absorbé par ses chairs chaudes, mon sexe se gonfle de sang, enserré dans son ventre qui m'enrobe et m'aspire, s'échauffe, et s'agite au rythme des palpitations de mon corps. Je plonge en elle, la pénètre plus profondément, elle resserre et desserre l'étreinte. Mon sexe est bandé, énorme, prêt à jaillir sous le doux clapotis de nos sexes emboités. je sens ma verge se contracter, je pousse mon bassin en avant. Je me bloque au fond de son ventre. Je pousse un cri rauque. Et je lache un premier jet qui vient frapper le fond de son vagin, suivi de 4 ou 5 autres, aussi puissants. Une ultime envolée, nous touchons aux étoiles, j'étouffe ses sanglots, elle avale mes cris, nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes, nos corps sont agités par de violents frissons. Je jouis à n'en plus finir au fond de son ventre. Elle me serre contre elle aussi fort que possible pour mieux sentir chaque giclée dans ses chairs. Je me sens défaillir avec elle. mes jambes tremblent, les siennes aussi. Je tire un dernier chargement au fond de son ventre, pendant de longues secondes.

Puis je m'affaisse sur elle, complètement épuisé. Elle s'abandonne aussi, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent. Nous restons immobiles un moment. Affaissés l'un sur l'autre. Baisers, caresses, renaissance du désir.
Elle continue à se coulisser elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses seins ballottant au-dessus de moi me redonne de la vigueur ! Je bande de nouveau au fond de son ventre, elle souleve son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se frottent l'un contre l'autre. Empalée à fond elle remue pour bien me sentir en elle, tout en me fixant de ses yeux brillants. Elle me serre et me dévore, littéralement. une frénésie s’empare de tout son corps, ses lèvres balbutient des mots sans suite. Elle fait grossir mon sexe qui se tend dans sa chair.

Je m’enfonce loin en elle, très loin. je frissonne, je me tends, je me bloque, jusqu'à l'expulsion de mon sperme dans le ventre tout chaud de ma voluptueuse maitresse. Je me libère en elle, sans retenue, Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Les spasmes finis, ma queue glisse hors d'elle, liberant un flot de semence. Elle est aussi épuisée que moi. je la caresse, l'embrasse, jusqu'à ma libération finale qui me laisse affalé contre elle. Je la regarde sans vraiment comprendre comment nous en sommes arrivés là. Elle se redresse, ramasse ses affaires et sort de la chambre.