Depuis le milieu du 15ème siècle jusqu'en 1882, le carnaval de printemps à Rome se termine avec une course de chevaux. Quinze à 20 chevaux sans cavaliers, à l'origine importés de la côte de Barbarie de l'Afrique du Nord, courent le long de la Via del Corso, une rue longue.
Tout au long de sa carrière, Géricault dépeint le cheval comme une métaphore de la puissance et de l'émotion sans entraves.