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jeudi 28 novembre 2024 - 21h36rech / rep
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@sweig
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Une fois que quelqu'un s'est trouvé lui-même, il ne peut plus rien perdre dans ce monde.
Et dès que quelqu'un a compris l'être humain qu'il y a en lui, il comprend tous les humains.

Vieillir n'est, au fond, pas autre chose que n'avoir plus peur de son passé.

Je salue tous mes amis. Puissent-ils voir encore l'aurore après la longue nuit! Moi je suis trop impatient, je pars avant eux.

Son œuvre, particulièrement éclectique, comporte quelques recueils de poésies, quelques pièces de théâtre (Thersite 1907, Volpone 1927…). Mais Zweig est surtout connu pour ses nouvelles (Amok 1922, La Confusion des sentiments 1926, Vingt-quatre heures de la vie d'une femme 1927), histoires de passion intense pouvant aller parfois jusqu’au morbide ou à la folie. Le Joueur d’échecs, a été publiée à titre posthume. Il a écrit de nombreuses biographies (Fouché, Marie Stuart, Magellan, Marie-Antoinette…) d’une grande acuité psychologique et qui comportent une réflexion sur les problèmes de son temps (Érasme 1935). Il travaille durant plus de vingt ans à son recueil de nouvelles Les très riches heures de l’humanité qui retracent les quatorze événements de l’Histoire mondiale les plus marquants à ses yeux.
Stefan Zweig, né le 28 novembre 1881 à Vienne, en Autriche-Hongrie, et mort le 22 février 1942 en se suicidant avec sa femme, à Petrópolis au Brésil, est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien.
a propos du peuple juif:
« Un peuple qui a donné au monde le livre le plus sacré et le plus précieux de tous les temps n’a pas besoin de se défendre quand on le décrète inférieur et n’a pas besoin de se vanter de tout ce qu’il a produit inlassablement dans tous les domaines de l’art, de la science, des actes de la pensée : tout cela est inscrit, on ne peut l’effacer de l’histoire de ce pays dans lequel nous étions chez nous. »
— Stefan Zweig, Lettre à Max Brod.