arpoma  jeudi 28 novembre 2024 - 16h02 menu / actu

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le miroir (Paul Valery)


Ô miroir, vous m'êtes témoin
Vous qui redites toute chose
Qu'étant belle je n'ai besoin
Que d'un soupçon de poudre rose.

Belle sans fard, dans ce coin d'or,
Toutefois niche un peu de rose
Pour la vive métamorphose
D'un teint du soir quand il s'endort.

Et la rose de ma joue
Parfois puise au poudrier,
Ma plume aussi bien se joue
A plonger dans l'encrier.

Pour belle que je me sente,
Avec un rien de couleur
Une lèvre incandescente
Lestement me fera fleur.

Ce trésor très familier
Tient la poudre de framboise
Dont parfois quelque voilier
Le visage se pavoise.

Paul Valery
le miroir (Paul Valery) (E)
Ô miroir, vous m'êtes témoin
Vous qui redites toute chose
Qu'étant belle je n'ai besoin
Que d'un soupçon de poudre rose.

Belle sans fard, dans ce coin d'or,
Toutefois niche un peu ...

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sans voile (Ovide - les amours)


Quand sans voile
elle se dressa devant mes yeux,
sur son corps tout entier,
nul défaut, nulle part.
Ses épaules, ses bras,
que je vis et touchai !
La forme de ses seins,
faite pour les caresses !
Et ce ventre si plat
sous cette gorge intacte !
La hanche, douce et pleine,
et la cuisse, si jeune!
Des détails ? À quoi bon ?
Tout méritait éloge
et tout contre mon corps
je serrai son corps nu.
Le reste...
Fatigués, nous dormîmes ensemble
Ah ! donnez-moi souvent
un tel après-midi !

Ovide (Les amours) (43 AV. J.C. - vers 18 APR J.C.)
sans voile (Ovide - les amours) (E)
Quand sans voile
elle se dressa devant mes yeux,
sur son corps tout entier,
nul défaut, nulle part.
Ses épaules, ses bras,
que je vis et touchai !
La forme de ses seins,
faite pour les caresses ...

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Isolons notre amour en un lieu solitaire


Je tairai mes soucis, oubliez vos tracas,
Isolons notre amour en un lieu solitaire
En laissant votre corps au plus creux de mes bras
J’abolirai le temps afin de mieux vous plaire.

Restant lèvres en bouche, inventons des baisers
Varions les caresses avides de saveurs
Je me permettrai tout sans rien vous imposer
Mêlant soyeuse sève et ardentes liqueurs

Carimo
Isolons notre amour en un lieu solitaire (E)
Je tairai mes soucis, oubliez vos tracas,
Isolons notre amour en un lieu solitaire
En laissant votre corps au plus creux de mes bras
J’abolirai le temps afin de mieux vous plaire.

Restant lèvres en bouche, ...

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mon bien aimé


Je suis ton doux nid, je suis ton île claire,
ton pays de lumière et ton bel horizon.
Je suis ta tanière, ton bonheur et tes fêtes,
là enfin où s'arrête ta vie de vagabon.

Je suis ton doux nid, je suis ton seul refuge,
après nous le déluge, je suis ta douce tanière.
Ta reine et ton royaume, c'est moi ton seul amour,
dans mon palais de chaume, tu me feras la cour.

Un seul de mes sourires empli ta vie de joie
et nul ne peut se dire plus fortuné que toi,
Je suis ton doux nid, ta seule certitude
contre la solitude à travers les saisons.

Je suis ton doux nid, ta fontaine d'eau pure,
qui chaque jour murmure que nous nous aimerons.
Je suis ta tanière, accrochée aux étoiles,
lorsque la nuit s'étale et ferme l'horizon.
mon bien aimé (E)
Je suis ton doux nid, je suis ton île claire,
ton pays de lumière et ton bel horizon.
Je suis ta tanière, ton bonheur et tes fêtes,
là enfin où s'arrête ta vie de vagabon.
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Cantique


Comme ils sont beaux tes pas
toi fille de noble race.
Tes rondeurs sont comme des joyaux
modelés par les mains d'un artiste.
Ton nombril forme un cratère arrondi
où l'eau-de-vie de vin ne manque pas,
Ton ventre, un amas de froment
au milieu des lys.
Tes deux seins ressemblent à deux faons,
jumeaux d'une chevrette.
Ton cou ressemble à une tour d'ivoire.
Tes yeux sont comme
les piscines de Heshbon,
Ton nez est aussi gracieux
qu'une tour du Liban,
Ta tête est fière
comme le Mont Carmel.
Les boucles de tes cheveux
ont des reflets de pourpre.
Que tu es belle et fascinante,
ô amour, dans ces délices !
Cette taille te fait ressembler
à un palmier
tes seins sont pour moi
comme des grappes de raisin.
Et le parfum de ton haleine
fleure bon comme celui des pommes,
Ton palais comme un vin exquis !

(elle)
Il va tout droit, ce vin,
à mon bien-aimé,
Il coule sur les lèvres
de ceux qui sont assoupis.
Moi, je suis à mon bien-aimé
Et son désir se porte sur moi.
Viens-t'en mon amour.
Sortons à la campagne,
Passons la nuit dans les villages
De bonne heure,
allons dans les vignobles,
Pour voir si la vigne a des bourgeons,
si ses pampres sont en sève,
Et si les grenadiers sont en fleur.
Et là je te donnerai mes étreintes.
Les mandragores exhalent leur parfum,
A nos portes,
il y a toute sorte de fruits exquis,
des nouveaux et aussi des vieux.
Mon amour, je les ai réservés pour toi.
Cantique (E)
Comme ils sont beaux tes pas
toi fille de noble race.
Tes rondeurs sont comme des joyaux
modelés par les mains d'un artiste.
Ton nombril forme un cratère arrondi
où l'eau-de-vie de vin ne manque ...

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Est-ce que j'ose vous dire


Est-ce que j'ose vous dire ? ...
Je n'entends plus vos mots !
Je vous respire...
Votre douce odeur
me grise et m'attire,
Et votre chemise entrouverte
m'invite à tous les délires.

J’aime sentir le désir d'un homme.
J’aime savoir son esprit excité,
Ai-je des charmants dessous ?
de soie et de dentelle ?
ou peut-être, rien du tout ?
Excitante et rebelle ?

Je sens votre regard,
je ressens votre envie,
mon voile est transparent,
ma pudeur s’évapore
Mes lèvres, savez-vous,
sont brûlantes de désirs
Je vous tente ... Osons !

J'imagine mes mains
lentement vous dévêtir,
Patienter sur vos lèvres,
lutter contre la fièvre
Vous rencontrer enfin,
naître sous votre regard,

Ma robe, sous vos mains,
est prête à glisser consentante
vous offrant mon corps de femme,
paré de mes deux seins lourds
Je suis prête sous vos doigts
à être effeuillée, jusqu’à nue,
prête à être caressée,
prête à être aimée ... toute la nuit.

Est-ce que j'ose vous dire (E)
Est-ce que j'ose vous dire ? ...
Je n'entends plus vos mots !
Je vous respire...
Votre douce odeur
me grise et m'attire,
Et votre chemise entrouverte
m'invite à tous les délires.

J’a ...

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baiser ta bouche (Oscar Wilde - Salomé)


Je veux baiser ta bouche,
y trouvant ma saveur,
Je veux saisir la souche de mon désir fébrile
Pour écarter les lèvres pleines de saveur
En y laissant la sève d'un plaisir érectile.
Pour que tes yeux se plissent,
que ton regard se trouble,

Oscar Wilde - Salomé
baiser ta bouche (Oscar Wilde - Salomé) (E)
Je veux baiser ta bouche,
y trouvant ma saveur,
Je veux saisir la souche de mon désir fébrile
Pour écarter les lèvres pleines de saveur
En y laissant la sève d'un plaisir érectil ...

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le baiser


Oh ! Que ta bouche est douce
à prendre, à boire, à mordre...
Qu'elle est tendre avec la mienne,
et quelle caresse intime elles se font...

Quoi de plus simple quand on s'aime,
que de fondre ce qui se fond
en un fruit de l'autre et du même ?
Que j'adore ce premier don !...
(Paul Valery)

Ne dis rien. Rêve. N'aie pas froid.
C'est moi qui parle et qui t'embrasse
Laisse-moi répandre sur toi,
comme le doux vent dans les bois,
Ce murmure immense, à voix basse...
(Anna De Noailles)

Le sourire appelle, et promet le baiser
Ange d'amour et de plaisir,
la rose et le miel sont sur tes lèvres
(Evariste de Parny)

Ton corps, le mien, nos bouches gourmandes,
nos baisers enflammés
Baisers volés Corps enlacés
Moments si doux Chers à nos âmes
Où nos deux chairs Se collent
Seulement nous aimer ! (Sofifée)

Vos lèvres sont exquises, permettez-moi
d'un baiser si douces convoitises.
Douce tentation de vos lèvres si roses,
baisers mouillés j'y dépose (Maxalexis)

Ta langue s'enroule dans la mienne
langoureuse valse de Vienne,
nos salives coulent onctueuses
dans nos gorges heureuses
Mes lèvres glissent sur ta joue,
ma langue le long de ton cou
parcoure un chemin secret,
plus que parfait.

Un baiser de printemps , léger comme le vent,
S'est posé sur ta bouche
Et tu as perçu comme un frémissement,
Celui de nos Amours si belles.
Un baiser en juillet, au cœur d'un bel été, En touches si légères,
aux pointes de tes seins,
Eveille tes ardeurs et te fait te cambrer. Irradiant du soleil
jusqu'au creux de tes reins.
Un baiser à l 'automne, aux couleurs ambrées, Au seuil de ta corolle,
à l 'orée du plaisir,
Enivré des douceurs de ton velours doré,
Franchissant pas à pas les degrés du désir.
Un baiser pour l'hiver, aux campagnes blanchies, Au centre de ta rose
où pointe ce bourgeon,
Comme ce tiède refuge où j 'aime aller aussi, Ce sera l' apogée
de toutes nos sensations.
Pour ces quatre baisers de ces quatre saisons, Qui nous font nous aimer
de décembre à janvier,
Et nous mènent tous deux aux extrêmes passions, Je te donne mon âme
et mon cœur tout entier …
le baiser (E)
Oh ! Que ta bouche est douce
à prendre, à boire, à mordre...
Qu'elle est tendre avec la mienne,
et quelle caresse intime elles se font...

Quoi de plus simple quand on s'aime,
que de fondre c ...

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Je veux


Je veux que tu me donnes de toi
ce qui vaut tant pour moi,
l'intime, le sublime, le céleste, le divin,
le zeste, l'élixir, l'essence, la quintessence
Fais moi retrouver le frisson ultime
de tes mains sur ma peau

Fais moi retrouver le bouillonnant tumulte
de mes sens éveillés.
Je veux que tu viennes à moi ...
je veux que tu viennes en moi !
Que tu te glisses dans ma chair,
et que nous quittions le monde
Que tu m'emportes avec toi
pour éclairer notre nuit.

Je veux (E)
Je veux que tu me donnes de toi
ce qui vaut tant pour moi,
l'intime, le sublime, le céleste, le divin,
le zeste, l'élixir, l'essence, la quintessence
Fais moi retrouver le frisson ultime
de tes mains sur ...

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Permets que je te dévêtisse


Permets que je te dévêtisse
Offre moi ce doux privilège
De faire durer ce pur délice
Que pour rien au monde je n'abrège
Sentir sous le tissu tendu
Tes viriles splendeurs
qui prennent de l'ampleur
et dont je devine la saveur

Laisse ma main, nonchalante,
Caresser l'intime indécence
Me laisser devenir gourmande
Et admirer toute sa prestance
N'aspires plus à autre chose
que de me livrer à l'air libre
Ta superbe impudeur éclose
Pour que j'en apprécie la fibre

Je ne me ferai pas prier
Pour l'envelopper de ma main
Et si tu vois mes yeux briller
Occupe toi de mes deux seins
Il te suffit de me frôler
Pour que je palpite corps et âme
Et gentiment me taquiner
Pour que sous tes lèvres je me pâme

Mise à nue voici que frémit
Ta fontaine jaillissante
A sa vue tout mon corps gémit
D'envies félines et frétillantes
Lâchant le frein de mes envies folles
Tandis que mes sens tu affoles
Permets que je te dévêtisse (E)
Permets que je te dévêtisse
Offre moi ce doux privilège
De faire durer ce pur délice
Que pour rien au monde je n'abrège
Sentir sous le tissu tendu
Tes viriles splendeurs
qui pren ...

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le gout de mon corps


Sens mes sens en éveil,
observe bien ma peau
Regarde s'en échapper
la sueur par ses pores
Qui semble, à s'y méprendre,
ressembler aux joyaux
Garnissant le coffre
du plus beau des trésors

N'arrête surtout pas
tes murmures, tes caresses
Je ne résiste plus,
intérieurement je fonds
Même de glace je ne pourrai
que céder à l'ivresse
Tu viens de faire de moi,
le chaud des glaçons

Il coule dans mes veines
le flot de la folie
Emmène moi au loin
jusqu'à demain matin
Fais nous voyager
tout au long de la nuit
Puisses tu faire de mon corps
ton unique chemin

Resserre un peu plus fort
l'étreinte de tes bras
Qui entourent et pressent
mon coeur contre le tien
Laisse glisser sur moi
la fleur de tes doigts
Je t'en prie continue,
et surtout ne dis rien
le gout de mon corps (E)
Sens mes sens en éveil,
observe bien ma peau
Regarde s'en échapper
la sueur par ses pores
Qui semble, à s'y méprendre,
ressembler aux joyaux
Garnissant le coffre
du plus beau de ...

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Ton désir se lève


Je sens la chaleur
de ton corps contre moi.
Ton désir se lève, je le sens !
j'ai besoin de toi,
besoin de tes caresses,
Devore ma peau
avec de tendres baisers,
dis moi tout bas
tes plus folles pensées
comble moi de tes prouesses,
aime moi sans retenue,
fais de moi ta deesse
fais moi l'amour
totalement,
là, maintenant
Ton désir se lève (E)
Je sens la chaleur
de ton corps contre moi.
Ton désir se lève, je le sens !
j'ai besoin de toi,
besoin de tes caresses,
Devore ma peau
avec de tendres baisers,
dis moi tout bas
tes plus ...

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Tu sens ?


Tu sens ?
Mon corps peu à peu s'offre à toi,
telle une fleur au printemps.
Je suis bien. Une eternité
de douceur et de plaisir controlé.
Pénétre-moi doucement, tendrement
Glisse toi dans mon ventre chaud,
Et reste un moment en moi sans bouger,
Je suis à toi, offerte,
Passe ta main dans mes cheveux,
caresse mon visage. Et maintenant,
accélére le rythme, doucement.
ne quitte plus mon regard,
je sens venir en toi le plaisir,
l'envie de t'abandonner ,
mais il ne faut pas,
pas maintenant, pas encore.
Lentement, enfonce toi
de nouveau dans mes entrailles,
sensation d'une douceur infinie.
Je ferme les yeux
pour mieux goûter l'instant.
Tes mouvements
se font plus amples, c'est bon !
Ta verge plonge en moi
et gonfle en meme temps.
Tu t'inquiètes de moi,
tu me demandes si je suis bien,
si je suis prête ?
Agrippe toi à mes épaules
Je bouge mon bassin
Regarde moi.
Nos regards se soudent
l'un à l'autre.
Je suis prête ! Viens !
Maintenant !
Tu sens ? (E)
Tu sens ?
Mon corps peu à peu s'offre à toi,
telle une fleur au printemps.
Je suis bien. Une eternité
de douceur et de plaisir controlé.
Pénétre-moi doucement, tendrement < ...

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Caresse-moi


Caresse-moi de tes chaudes mains,
donne-moi des frissons,
fais-moi rêver dans mon âme
et jusqu’ au bas de mes reins.
Fais-moi vibrer et trembler.
Caresse mon charnel corps.
Réveille chez moi des sentiments déments,
réveille mes sens endormis et morts.

Fais moi croire que tu m'aimes vraiment.
Caresse-moi, de tes mains, de tes regards.
Fais-moi tendre mes muscles, mes nerfs
comme les cordes d’une cithare
Que mon souffle chante comme une sirène.
Caresse-moi,
jusqu’au bout de mes fantasmes,
caresse-moi pour que je sache enfin
que tendresse et passion ne sont pas mortes.

Caresse-moi de grâce…
Fais couler l'huile d'amour dans mon corps.
Caresse-moi...de tes mains habiles.
Fais-moi transcender,
jusqu’ au creux de mes reins …
Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte,
la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur,
ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
Les larmes salées que je laisse s'écouler.
Ecoute mon corps
qui respire et vit de plaisir,
ma chair qui s'ouvre et se ferme
comme un cœur qui palpite,
les draps qui se froissent,
mes pensées qui s'agitent et vadrouillent
vers mille rêves impudiques.
Caresse-moi (E)
Caresse-moi de tes chaudes mains,
donne-moi des frissons,
fais-moi rêver dans mon âme
et jusqu’ au bas de mes reins.
Fais-moi vibrer et trembler.
Caresse mon charnel corps.
Réveille c ...

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Je rêve


Je rêve
de tes mains qui effleurent mon sein
de tes lèvres qui attirent les miennes.
de ta bouche qui enflamme ma bouche
de ton souffle qui bruisse dans mon cou.
de tes lèvres qui caressent mon cou.
de tes doigts qui soulignent mes rondeurs.

Frisson ...

Je rêve (E)
Je rêve
de tes mains qui effleurent mon sein
de tes lèvres qui attirent les miennes.
de ta bouche qui enflamme ma bouche
de ton souffle qui bruisse dans mon cou.
de tes lèvres qui caressent mon c ...

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Ta main sculpte mes seins


Ta main sculpte mes seins
et l'autre me dessine.
Aux flots de mes cheveux,
tombant sur mes épaules,
Je glisse mon visage
et ma joue te ravine,
Mes lèvres te goûtant,
baisers que tu me voles.

Un peu comme un aveugle,
en me prenant les mains,
Tu me découvres en braille
et cherche mes chemins.
Comment te détacher,
tes doigts que j'enserre,
Le soc de ta charrue
labourant en mes terres.

Je ronronne féline
et, mi-femme, mi-chatte,
Je te dis "je suis sage"
et puis, d'un coup de patte,
Je t'affole, indécente
et tu fais connaissance
De mes sens en attente
qui te sont renaissance.

Je suis là, assouvie
de nos folles amours,
Je rêve alanguie
au fil de ce parcours,
Mon livre entre tes doigts,
repos de ta guerrière,
Pour que mon âme vaque
en vague cavalière.

Encore… Oui… Continue ...
c’est bon ainsi !
Est-ce comme cela tout le temps ?
C’est donc cela
la jouissance, le plaisir
Cette sensation en dedans.
Cette sensation infinie
Qui me nourrit et qui me comble.
Se fondre et se confondre
Et n'être qu'un, bien qu'étant deux.
Se perdre dans l'espace immense.
Oiseaux légers au gré du vent.
Perdre doucement connaissance.
Naître à nous-mêmes
en même temps.

Ta main sculpte mes seins (E)
Ta main sculpte mes seins
et l'autre me dessine.
Aux flots de mes cheveux,
tombant sur mes épaules,
Je glisse mon visage
et ma joue te ravine,
Mes lèvres te goûtant,
baisers que tu me vole ...

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Deshabille-moi (J.Greco - R.Nyel)


Déshabille-moi. Oui, mais
pas tout de suite, pas trop vite
Sache me convoiter,
me désirer, me captiver
Ne sois pas comme tous les hommes,
trop pressé.
Tout le temps du prélude
ne doit pas être rude, ni hagard
Dévore-moi des yeux,
mais avec retenue,
pour que je m'habitue, peu à peu...
Sache m'hypnotiser,
m'envelopper, me capturer,
avec délicatesse,
en souplesse, et doigté
Choisis bien les mots,
dirige bien tes gestes,
ni trop lents, ni trop lestes

Mais d'où provient cet art,
cette prouesse que tu exerces sur moi,
Je fonds sous tes mains exquises
et tremble de la tête aux cuisses !
Je me découvre fougueuse,
sauvage et tigresse !
il n'y a de plus ardent
et a la fois doux,
Ton indécence me plaît !

Voilà, ça y est !
Je suis frémissante, et offerte
De ta main experte,
vas-y... Déshabille-moi,
Maintenant tout de suite,
allez vite !
Sache me posséder,
me consommer, me consumer
Déshabille-moi,
conduis-toi en homme
Sois l'homme... Agis !
Déshabille-moi, !
Et toi ... Déshabille-toi !

Juliette Greco - Robert Nyel
Deshabille-moi (J.Greco - R.Nyel) (E)
Déshabille-moi. Oui, mais
pas tout de suite, pas trop vite
Sache me convoiter,
me désirer, me captiver
Ne sois pas comme tous les hommes,
trop pressé.
Tout le temps du prélude
ne d ...

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Pour cet instant de trouble étrange (Jean Ferrat)


Pour cet instant de trouble étrange
Où l'on entend rire les anges
Avant même de se toucher

Pour cette robe que l'on frôle
Ce châle qui tend vos épaules
En haut des marches d'escalier

Pour la lampe déjà éteinte
Et la première de vos plaintes
La porte à peine refermée

Pour vos dessous qui s'éparpillent
Comme des grappes de jonquilles
Aux quatre coins du lit semées

Pour vos yeux de vague mourante
Et ce désir qui s'impatiente
Aux pointes de vos seins levées

Pour vos toisons de ronces douces
Qui me retiennent, me repoussent
Quand mes lèvres vont s'y noyer

Pour vos paroles, démesures
La source, le chant, la blessure
De votre corps écartelé

Pour vos reins de houle profonde
Pour ce plaisir qui vous inonde
En long sanglots inachevés

Je vous aime

Jean Ferrat
Pour cet instant de trouble étrange (Jean Ferrat) (E)
Pour cet instant de trouble étrange
Où l'on entend rire les anges
Avant même de se toucher

Pour cette robe que l'on frôle
Ce châle qui tend vos épaules
En haut des marches ...

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voyage sur ton corps. (Pablo Neruda)


De tes hanches à tes pieds
Je veux faire un long voyage.
Moi, plus petit qu’un insecte.
Je vais parmi ces collines,
elles sont couleur d’avoine
avec des traces légères
que je suis seul à connaître,
des centimètres roussis,
de blafardes perspectives

Là se dresse une montagne.
Jamais je n’en sortirai.
Ô quelle mousse géante !
Et un cratère, une rose
de feu mouillé de rosée !

Par tes jambes je descends
en filant une spirale
ou dormant dans le voyage
et j’arrive à tes genoux,
à leur ronde dureté
pareille aux âpres sommets
d’un continent de clarté

Puis je glisse vers tes pieds
Et vers les huit ouvertures
de tes doigts, fuseaux pointus,
tes doigts lents, péninsulaires,
et je tombe de leur haut
dans le vide du drap blanc
où je cherche, insecte aveugle
et affamé ton contour
de brûlante poterie ! »

Pablo Neruda.


A la pointe de ses seins,
les ombres devinent
une nature câline.
De ce corps que je prends
à l’encre de ma mine.
De ses fesses,
mes mains dérivent
jusqu’à l’abîme.
Où je me perds doucement
jusqu’à l’ultime
dans le sublime.

Anonyme.
voyage sur ton corps. (Pablo Neruda) (E)
De tes hanches à tes pieds
Je veux faire un long voyage.
Moi, plus petit qu’un insecte.
Je vais parmi ces collines,
elles sont couleur d’avoine
avec des traces légères
que je suis seu ...

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Soyez clément, doux et sans malice


Soyez clément, doux et sans malice
Et je ferai pour vous de cette nuit un délice
Votre regard diffuse des courants électriques
Touchez-moi de vos mains magiques
Sur mon corps assoiffé de plaisir
Chuchotez-moi tous vos fervents désirs
Je suis à vous pour cette nuit
Vous avez gagné votre pari.
Me voici.

Céln
Soyez clément, doux et sans malice (E)
Soyez clément, doux et sans malice
Et je ferai pour vous de cette nuit un délice
Votre regard diffuse des courants électriques
Touchez-moi de vos mains magiques
Sur mon corps assoiffé de plaisir ...

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Rondeurs exquises (Christian Bailly)


Rondeurs exquises, douces et pommelées
comme j'ai envie de vous croquer !
Rondeurs épanouies, étroitement jumelées,
que cachez-vous à mes yeux indiscrets ?
Lingerie affriolante, rondeurs affolantes,
émoustillent la curiosité de mes ardeurs.
Angélique rondeur, mystère dissimulé,
Trouve grâce à mes yeux de débauché.

Rondeurs innocentes, libérez, de grâce,
cette place-forte à la candeur fugace !
Rondeurs indociles, Faut-il que je vous fesse,
pour vous imposer mes largesses ?
Rondeurs effarouchées, soyez charitables,
les douleurs seront supportables…
Rondeurs complaisantes, voyez mes soins,
pour faire de vous de dociles pécheresses.

Rondeurs accueillantes, voici ma virile lance,
découvrez cette nouvelle expérience.
Rondeurs chaleureuses, dans votre enclave,
recevez la lave, de votre fervent esclave.
Rondeurs conquises, Votre aimable instructeur,
À jamais, sera votre dévoué serviteur.

Christian Bailly
Rondeurs exquises (Christian Bailly) (E)
Rondeurs exquises, douces et pommelées
comme j'ai envie de vous croquer !
Rondeurs épanouies, étroitement jumelées,
que cachez-vous à mes yeux indiscrets ?
Lingerie affriolante, rondeurs ...

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Effleurez moi


Effleurez moi,
Effleurez le contour de mon corps,
que vos mains douces devinent mes courbes
Enserrez moi,
Enserrez mon corps de vos bras
empoignez le fermement
mais ne le brisez pas.

Contre ma gorge fébrile,
votre étreinte m’adoucit.
Frôlez moi, Frôlez le creux de mes reins
glissez vos mains sur mes hanches,
suivez leur chemin.
Ayez des gestes voluptueux, habiles.
Embrassez moi,

Embrassez ma nuque qui s‘offre à vous.
Ne vous arrêtez pas,
écoutez le murmure de ma voix.
Découvrez moi,
Découvrez l’intérieur de mon corps.
Savourez moi, soyez délicat.
Acharnez vous sans être maladroit.
Effleurez moi (E)
Effleurez moi,
Effleurez le contour de mon corps,
que vos mains douces devinent mes courbes
Enserrez moi,
Enserrez mon corps de vos bras
empoignez le fermement
mais ne le brisez pas.

Contre ma gorge f&e ...

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instants de désirs partagés


Qu'ils étaient doux
ces instants de désirs partagés,
avivés par ces mots impudiques
à mon oreille murmurés.

J'ai senti le plaisir
au fonds de toi trésaillir,
puis, comme une eau vive,
ruisseler et jaillir
en soubresauts insaisissables
dans mon corps brulant.

Quel délicieux plaisir de la chair,
vertige des sens libérés !
instants de désirs partagés (E)
Qu'ils étaient doux
ces instants de désirs partagés,
avivés par ces mots impudiques
à mon oreille murmurés.

J'ai senti le plaisir
au fonds de toi trésaillir,

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Brûler de caresses et de jeux


Brûler de caresses et de jeux,
de corps à corps jusqu'à l'épuisement
Ouïr tes "encore" et tes gémissements,
savourer le plaisir que nous nous donnons ;
Lire dans tes yeux les sourires aphones
déclenchés par nos mouvements puissants ;
Nous laisser aller, à nos langues,
si sensuelles de troublants aveux,

Et quand tu t'empales et tangues,
si belle, trop bonne ! mon dieu !
Ah ! Dieu que tu es belle, si lisse,
humide, offerte, fondante !
Tu m' excites quand,
d'une queue tendue et bien ferme,
en toi je m' immisçe
C'est bon la vie,
l'insouciance avec toi mon amour :

serrer ton corps entre mes bras.
Le couvrir tendrement,
de mes mains, de mes lèvres, de ma peau...
Ô dieu que je t'aime, c'est pure folie
Dans mon sommeil je t'épouse chaque nuit

Et m'éveille le matin, ô de toi si dur !
Tendu, gonflé d'un sang que nous avons mêlé
et qui ne demande encore qu'à battre,
T'aimer, et fendre tes eaux
en de nouvelles aventures...

Prendre le temps de se dire
la belle passion qu'on se porte
Et jusque dans nos soupirs,
comment loin on se transporte ;
Et recommencer nos ébats purs bonheurs
Jusqu'à ce que sonne l'heure
L'heure de nous séparer,
envoûtés de savoir que l'on va se revoir...

Brûler de caresses et de jeux (E)
Brûler de caresses et de jeux,
de corps à corps jusqu'à l'épuisement
Ouïr tes "encore" et tes gémissements,
savourer le plaisir que nous nous donnons ;
Lire dans tes yeux le ...

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Emmène moi


Enmene moi,
au pays de l'amour et du desir,
Donne moi de la magie
de la passion et du plaisir
j'ai besoin de toi,
j'ai besoin de tes caresses,
dessinant mes contours
en manque de tendresse

Devore ma peau
avec de tendres baisers
Et dis moi tout bas
tes plus folles pensées
entre nos draps,
comble moi de tes prouesses
aime moi sans retenue,
fais de moi ta deesse

Je veux sentir la chaleur
de ton corps contre moi
fais moi l'amour totalement
maintenant
Emmène moi (E)
Enmene moi,
au pays de l'amour et du desir,
Donne moi de la magie
de la passion et du plaisir
j'ai besoin de toi,
j'ai besoin de tes caresses,
dessinant mes contours
en manque de tendresse

Devore ...

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Offre moi


Offre moi ton envie,
Je veux briller dans ton âme.
Offre moi ton regard,
Je veux fondre sous ton œil.
Offre moi ta main,
Je veux serpenter sous tes doigts.
Offre moi tes baisers,
Je veux disparaître sous ta bouche.

Offre moi ton lit,
Je veux plonger dans ta couche.
Offre moi ton sexe,
Je veux vivre sous ton plaisir.
Offre moi ta vie,
Je veux tout partager avec toi,
Désire moi.
Dévore moi. Caresse moi.

Embrasse moi. Allonge moi.
Pénétre moi. Comble moi.
Donne moi,
Tout !

Arthémisia
Offre moi (E)
Offre moi ton envie,
Je veux briller dans ton âme.
Offre moi ton regard,
Je veux fondre sous ton œil.
Offre moi ta main,
Je veux serpenter sous tes doigts.
Offre moi tes baisers,
Je veux dispara& ...

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ta bouche (Lucie Delarue-Mardrus)


Renverse-toi que je prenne ta bouche,
calice ouvert, rouge possession,
et que ma langue où vit ma passion
entre tes dents s'insinue et te touche :

C'est une humide et molle profondeur,
douce à mourir, où je me perds et glisse ;
C'est un abîme intime, clos et lisse,
où mon désir s'enfonce jusqu'au coeur...

puisse-t'il aussi t'atteindre au plus sensible,
dans son ampleur et son savant détail,
Ce lent baiser, seule étreinte possible,
fait de silence et de tiède corail ;

Puissé-je voir enfin tomber ta tête,
vaincue, à bout de sensualité,
Et détournant mes lèvres, te quitter,
laissant au moins ta bouche satisfaite !...

Lucie Delarue-Mardrus
ta bouche (Lucie Delarue-Mardrus) (E)
Renverse-toi que je prenne ta bouche,
calice ouvert, rouge possession,
et que ma langue où vit ma passion
entre tes dents s'insinue et te touche :

C'est une humide et molle profondeur,
douce à mour ...

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Monsieur, Je ne connais pas votre prénom...


Quel doigté mon cher !
Comment osez-vous me toucher ainsi,
Le plus insensé,
c'est que j'aime ces caresses,
elles me touchent jusqu'à la chair
et me plongent en état d'ivresse !
D'où vient cet art, cette prouesse
que vous exercez sur moi ?

des hommes, j'en ai connu,
sans compter, je l'avoue,
Mais aucun ne saurait vous égaler,
Mes compliments, acceptez-vous ?
Votre indécence me plaît !
Continuez ! Je suis à vous !
Je vous sens fort, périlleux,
fougueux. Oh oui ... je vous sens bien !

Je sais pour vous le goût de mon corps,
tous ses arômes et plus encore.
Senteurs sucrées de longues nuits,
parfums secrets et interdits.
De mes lèvres douces, humides,
à ma fleur qui vous fascine,
De la rondeur de mes seins,
à la chute de mes reins,
Je suis toute à vous !

Mon corps pour vous se fait soyeux,
De votre fière vigueur, faites moi douceur,
Que votre viril atout se glisse,
caresse, et se fasse onctueux
Qu'il m'explore, remonte, s'immisce,
et se perde au fin fond de mon corps,
qu'il diffuse en moi l'essence,
la quintescence, le meilleur de vous

Ces moments sont trop brefs
pour mon corps inassouvi
C'est si bon ! Vous me faites tant de bien !
Votre visage aux yeux clos
me renvoie l'image de ma joie
Je vous aime encore, mon corps reste chaud.

Vous m'avez donné votre sève,
c'est par vous que je renais au monde
Monsieur, Je ne connais pas votre prénom...
Monsieur, Je ne connais pas votre prénom... (E)
Quel doigté mon cher !
Comment osez-vous me toucher ainsi,
Le plus insensé,
c'est que j'aime ces caresses,
elles me touchent jusqu'à la chair
et me plongent en état d'ivresse !
D'o&u ...

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mon bien aimé


J'aime la douceur de tes mains
quand tu me caresses,
la force de ton corps
quand tu t' approches,
J'aime que tu me trouves belle
J'aime ton regard brulant
et tes gestes de douceur
Dévore-moi des yeux,
mais avec retenue,
pour que je m'habitue, peu à peu...
Respire, goûte les aromes
qui perlent sur ma peau,
Approche tes lèvres des miennes.

Donne moi tes lèvres chaudes,
et enflamme ma bouche,
Caresse de tes doigts
ma peau lisse et douce.
Mes seins réclament tes mains.
Flatte-les. Caresse-les. Sois enrobant,
pétris mes pommes rondes,
Tu fais naître chez moi
un élan qui pointe vers tes yeux.

Sens le bruissement de la soie qui glisse
sur ma peau, depuis hier fievreuse
Déshabille-moi, oui mais, pas trop vite
Effeuille moi, doucement, tendrement.
Tes yeux brillent, je le vois,
devant mon corps nu.
A ton désir mon corps t'est offert.
Viens, je t'accueille maintenant.
Ferme les yeux, et suis-moi, mon tendre coeur

J'ouvre pour toi mon lit,
trouble appel de la nuit.
Je m'y glisse, consentante,
mes lèvres sont déjà entrouvertes,
d’un désir intense, infini,
Je t'offre ma chair nue, telle une fleur au printemps.
J'ouvre mes ailes pour toi !
Je m'ouvre, tendre et humide,
je m'offre à toi, ne le vois-tu pas ?

Tu vas me faire l'amour, je me ferai tendresse
Nous allons faire l'amour à en mourir d'ivresse
Je t'offre ma peau douce, avant les secousses.
Sache mordre mes rondeurs, avant les chaleurs.
Je m'abandonne à toi, toute en ébullition.
Cette nuit est à toi,
Viens vite contre moi, j'ai hâte d'être aimée

Viens en moi doucement, tendrement.
glisse-toi bien dans ma chair.
Je veux sentir ton souffle qui m'enveloppe et m'étreint,
Je veux que ta chair se melange à ma chair,
blottie au fond de moi,
Tu es là, Je te sens ! ... prend le temps ...
arrete-toi ... Et puis, reviens ! ... encore !

Sens-tu mes douces caresses ?
Non...Pas encore... Pas trop vite ! Prend le temps ...
Profite de mon corps, je profite du tien !
Reprend ta course tendre au plus profond de moi,
Tu es doux ! Je te sens vivre dans mon corps,
au plus profond de moi !

Et maintenant ... Viens ! ... Plus vite ! ...
Mon corps a faim de toi !
Je suis prête ! Je veux ton jet de vie,
qu'il ensemence ma terre
Réchauffe vite mon corps,
infuse moi le meilleur de toi !
Lâche toi ! Jouis en moi !
Cède à la volupté, Ne te retiens plus !

Ton corps vibre et se tend ! Oh oui ! ...
Onction bénie ! ... Je te sens !Je suis remplie de toi !
Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux.
Regarde moi dans les yeux,
Tu sens ? c'est de nouveau le paradis.
Je te garde en moi encore quelques instants.

Ne t'inquiète pas de mes larmes.
Je pleure de joie.
Des larmes de bonheur
inondent mes paupières.
le plaisir d'aimer,
de se faire aimer et d'en jouir.

mon bien aimé (E)
J'aime la douceur de tes mains
quand tu me caresses,
la force de ton corps
quand tu t' approches,
J'aime que tu me trouves belle
J'aime ton regard brulant
et tes gestes de douceur
Dévore-moi des yeu ...

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je suis prête


Goute les caresses de mes lèvres intimes.
Je suis prête. Cède à la volupté,
sans chercher à te contrôler.
Offre-toi à mon corps, à nos sens
Abandonne-toi à moi !
Et jouissons ensemble !
Offre moi ta liqueur douce amère,
qu‘elle jaillisse en moi
et remplisse mon ventre.
Onction bénie, abreuve moi de ta sève.
Lâche-toi ! Jouis en moi !
Maintenant !
Ne te retiens plus ! Vas-y, je te reçois !
Ton corps vibre et se tend !
Oui ! Je te sens !
Ta sève humide se repend dans ma chair
en vagues chaudes et c'est bon !
Reste tranquille contre moi, C'est si bon !
je suis prête (E)
Goute les caresses de mes lèvres intimes.
Je suis prête. Cède à la volupté,
sans chercher à te contrôler.
Offre-toi à mon corps, à nos sens
Abandonne-toi &agrav ...

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Je n’osais pas te dire oui


Je n’osais pas te dire oui.
J’ai bien failli refuser.
Mais maintenant que j'ai reflechi,
Puisses-tu ne plus arrêter.
Ma pudeur est bouleversée.
Je me sens transformée,
Mes hormones vont exploser,
J’aimerais te le restituer.

Donne moi de la magie
de la passion et du plaisir
Devore ma peau
avec de tendres baisers
Dis moi tout bas
tes plus folles pensées
Entre nos draps,
comble moi de tes prouesses
Aime moi sans retenue,
fais de moi ta deesse
Enmene moi,
au paradis de l'amour et du desir
Fais moi l'amour ...
totalement ...
Maintenant
Je n’osais pas te dire oui (E)
Je n’osais pas te dire oui.
J’ai bien failli refuser.
Mais maintenant que j'ai reflechi,
Puisses-tu ne plus arrêter.
Ma pudeur est bouleversée.
Je me sens transformée,
Mes hormones ...

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Viens vite dans mon jardin


Viens vite dans mon jardin secret,
parfumé de désirs
Prends-moi, enveloppe mon corps,
glisse toi entre mes cuisses
prends-y en coulisse une moiteur passagère,
un parfum capiteux
pénètre cet insondable gouffre,
si avide de tendresse,

Mes lèvres sont ouvertes,
entre en moi, douce pénétration
rondeurs serrées, sillon secret,
sensations affolantes
fluidité de la soie, pudeur de mes cuisses,
moiteur sous le tissu
portes secrètes, faille offerte,
chasteté de dentelle,

Et ce frémissement si doux
qui se diffuse en moi
Tu avances encore, creuse, te faufile.
Humidité abondante, majestueuse.
Viens te perdre entre mes lèvres
qui t'aspirent.

Pars à ma découverte,
immisce-toi un peu plus.
Sens mon parfum de femme.
Mes cuisses, douces comme la soie,
se desserrent
et tu sens maintenant la ligne de
partage de ma chair.

Et c'est enfin la pleine rivière
que tu remontes sans effort,
Tu visites mon ventre.
Tu agaces mes muqueuses.
Sexe mâle dans mon sexe en fusion,
extrême onction Sueur, jouissance, passion !
Rougissante, je suis au supplice,
et je rêve qu'en glisse,
ton sexe effleure mon clitoris

Mes lèvres intimes s'attendrissent
et s'ouvrent sous ton gland
Enfonce toi plus profondément,
écoute mes gémissements réguliers.
Je suis proche de l’orgasme,
tout mon corps se crispe sous l’effet du plaisir.
Mes muscles se détendent,
se contractent, puis se détendent encore.

L'orgasme est enfin là,
merveilleux, en partage total.
Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté.

Viens vite dans mon jardin (E)
Viens vite dans mon jardin secret,
parfumé de désirs
Prends-moi, enveloppe mon corps,
glisse toi entre mes cuisses
prends-y en coulisse une moiteur passagère,
un parfum capiteux
pén&eg ...

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le gout de ton corps


Mon corps peu à peu s'offre à toi,
telle une fleur au printemps.
Je suis bien. Une eternité de douceur
et de plaisir controlé.
Pénétre-moi doucement, tendrement
Glisse-toi dans mon ventre chaud et etroit,
ton souffle est lent.
Plus tu me pénétres, plus il est long et profond.
reste un moment en moi sans bouger,
je suis à toi, offerte, Passe ta main dans mes cheveux,
caresse mon visage. Et maintenant,
doucement. Je te suis maintenant totalement offerte,
chaude et douce à l'interieur, ne quitte plus mon regard,
je te sens, sublime de satisfaction, de plaisir naissant.
je sens venir en toi le plaisir, l'envie de t'abandonner ,
mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore.
Lentement, enfonce-toi de nouveau dans mes entrailles,
c'est une sensation d'une douceur infinie.
Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant.
Tes mouvements se font plus amples, c'est bon !
chaque retrait s'accompagne d'un délicieux bruit de succion.
ta verge plonge en moi et gonfle en meme temps.
Elle occupe mon espace tout entier.
tu t'inquiètes de moi, tu me demandes si je suis bien, si je suis prête ?
Non ... Pas encore ... Continue tes caresses !
Agrippe toi à mes épaules et reprends tes longues penetrations.
Je bouge mon bassin pour accroître nos sensations. Regarde moi.
Nos regards se soudent l'un à l'autre.
le gout de ton corps (E)
Mon corps peu à peu s'offre à toi,
telle une fleur au printemps.
Je suis bien. Une eternité de douceur
et de plaisir controlé.
Pénétre-moi doucement, tendrement
Glisse-toi d ...

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l'océan et la terre


Elle est là, accueillante, immobile,
Offerte à ses assauts conquérants.
Et sur les rondeurs blondes, dociles,
Il ondule de sa présence, puissant.

De toute la force en réserve immense
Il glisse sur elle abandonnée.
Et l'écume aux lèvres il laisse dans sa démence
L'empreinte humide de son va et vient régulier.

Le fracas sourd de ces chocs sensuels
Rend mon âme légère...
Et je regarde depuis les rochers
L'océan aimer la terre...


l'océan et la terre (E)
Elle est là, accueillante, immobile,
Offerte à ses assauts conquérants.
Et sur les rondeurs blondes, dociles,
Il ondule de sa présence, puissant.

De toute la force en réserve immen ...

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moi, je m'balance (Barbara)


Je m'offre à tous les vents,
Sans réticences,
Je m'offre à qui je prends,
Le coeur indifférent,
Venez, venez vite,
Je veux tout, mais tout de suite,
Dégraffez les cols blancs
de vos consciences,

Mon lit est assez grand
pour des milliers d'amants,
Au soleil de minuit
de mes nuits blanches,
Chacun sera servi,
mais c'est moi qui choisis,
C'est moi qui invite,
c'est moi qui vous quitte,

Parmi tous vos désirs,
vos médisances,
Sans adieu ni merci,
je vous laisserai ici,
car, moi, je m'en balance

moi, je m'balance (Barbara) (E)
Je m'offre à tous les vents,
Sans réticences,
Je m'offre à qui je prends,
Le coeur indifférent,
Venez, venez vite,
Je veux tout, mais tout de suite,
Dégraffez les cols blancs ...

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C'est un moment fort


C'est une humide et molle profondeur,
douce à mourir, où je me perds et glisse ;
C'est un abîme intime, clos et lisse,
où mon désir s'enfonce jusqu'au coeur..

C'est un moment fort
où se reveille l'eau qui dort
Un moment clair
où je me confonds a ta chair
C'est le feu et la soie
C'est le vent qui court sous la peau
Et c'est t'apprendre avec les doigts
qui me rend tout chose
C'est comme un mal en moi
qui m'effraie qui me tord
Sens m'encore et fais moi perdre pied
Dans ces eaux troubles fais-moi plonger
Me garder en toi le souffle court
figer la pose
Les yeux noyés comme deux mutants
sous hypnose
C'est comme un mal en toi
qui te pèse et te mord
Baise m'encore et fais-moi tournoyer
Dans ces eaux sombres fais-moi plonger
C'est se taire et fuir s'offrir à temps
Partir avant de découvrir
D'autres poisons dans d'autres villes
Et en finir de ces voyages immobiles.

Etienne Daho
C'est un moment fort (E)
C'est une humide et molle profondeur,
douce à mourir, où je me perds et glisse ;
C'est un abîme intime, clos et lisse,
où mon désir s'enfonce jusqu'au coeur..

C'est un moment fort < ...

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Abandonne toi


Abandonne toi à moi !
Cède à la volupté,
sans chercher à te contrôler.
Offre toi à mon corps, à nos sens !
Et jouissons ensemble !

Offre moi ta liqueur douce amère,
qu‘elle jaillisse en moi
et remplisse mon ventre.
Onction bénie, abreuve moi de ta sève.
Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant !

Ne te retiens plus ! Vas-y, je te reçois !
Ton corps vibre et se tend ! Oui ! Je te sens !
Ta sève humide se repend dans ma chair
en vagues chaudes et c'est bon !

Donne moi tout de toi
et reste encore en moi
Tu es sur moi, tu es en moi,
tu m'a inondé de toi.
Tu es venu sexe nu en moi,
et c'était la première fois.
Restons l'un dans l'autre,
Restons enlaces, nos sexes emboités,
délicieusement,
Tu es mon bel amant !
Abandonne toi (E)
Abandonne toi à moi !
Cède à la volupté,
sans chercher à te contrôler.
Offre toi à mon corps, à nos sens !
Et jouissons ensemble !

Offre moi ta liqueur douc ...

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une nuit avec toi


Une nuit avec toi ...

C'est un ciel qui s'illumine, des milliards d'étoiles
C'est l'amour qui domine, c'est un oui dans un râle
Des caresses intimes que l'on dit immorales
Nos corps qui s'animent aux allures animales

C'est le désir présent c'est le oui de nos corps
La maitresse, l'amant c'est le silence qui dort
Les yeux réclamant à grands cris des encore
Des caresses s'engageant en des doux accords

C'est les non, c'est les oui, c'est nos corps qui réclamment
Des ébats dans un lit, nos désirs qui s'enfflamment
Ce sont des jeux interdits à faire perdre nos âmes
Ce sont nos corps qui crient les plaisir que l'on damne

C'est un plaisir sans fin dans un désir assouvi
C'est le mien c'est le tien, c'est un cadeau de la vie
Que l'on veut quotidien, c'est les étoiles qui brillent
Quand le soleil revient dans nos yeux qui scintillent



une nuit avec toi (E)
Une nuit avec toi ...

C'est un ciel qui s'illumine, des milliards d'étoiles
C'est l'amour qui domine, c'est un oui dans un râle
Des caresses intimes que l'on dit immorales
Nos corps qui s'animent aux allu ...

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Ce que j'aime (Jean-Michel Leleu)


Ce que j'aime,
c'est cet instant un peu fou
Quand tu viens tout contre moi,
que la raison n'est plus loi
Dans l'extase de nos baisers,
sentir nos corps s'embraser
Prés à défaillir
sous le langage de nos désirs

On se cherche on s'attire,
sans rien se dire
Parfois jusqu'à l'expire à en mourir
Ce que j'aime éperdument,
c'est la force des sentiments
De nos corps à corps
qui en redemandent plus encore

Le parfum enivrant, le décor La douceur,
la saveur de ton corps
Nos désirs, nos délires, nos plaisirs
Exaltants, existants, envoûtants

Ce que j'aime après l'amour,
quand nos élans n'ont plus cours
Ce sont ces moments tendresse,
nos silences et puis le reste
Allongés, repus, vainqueurs,
sur le lit de l'impudeur
Sans dessus dessous

Et savourer par-dessus tout
le goût de toi Ce tout dernier plaisir
Et puis s'endormir
Ce que j'aime mon tendre amour,
dans la richesse de nos jours
C'est la déraison,
qui nous unit dans la passion

Jean-Michel Leleu
Ce que j'aime (Jean-Michel Leleu) (E)
Ce que j'aime,
c'est cet instant un peu fou
Quand tu viens tout contre moi,
que la raison n'est plus loi
Dans l'extase de nos baisers,
sentir nos corps s'embraser
Prés à défaillir
sous le ...

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Je l'aime


Sa voix est une main qui caresse mon corps,
un vent qui se déploie de murmure en tempête
Je l’aime.

Il caresse mon corps de ses yeux brillants.
Il m’étend sur un lit de velours et de soies,
à la lumière de bougies exhalant le santal.

Il glisse sur moi une main chaude et froide
Il dessine des oiseaux, des cascades,
Il souffle des orages sur mes veines,
Il fait porter ma voix plus loin que le ciel.
Il m’aime.

Il serre nos corps jusqu’à la douleur.
Il dessine dans le vide des arabesques d’or
Je l’aime.

Il me mord, entre en moi comme un loup
Il cambre mon corps à la fureur du sien
et nos deux voix s’épousent.
Il me souffle des mots crus
allume des incendies qu’aussitôt il éteint
Il attise la faim de mon ventre pour le sien
Il m’aime.

Il caresse mes seins, se serre contre moi
il me parle des étoiles, de la magie du ciel
Il se glisse sur mon corps.
Il me fouille de sa langue,
il m’explore de ses doigts.
je l’embrasse, le caresse.
Il remonte ma robe, la remonte encore
il se glisse dans mon ventre,
son sexe dans le mien,
sa peau sur la mienne
J’aime.

Il s’enfonce en moi et le monde disparaît,
sa langue, ses mains qui me frôlent,
sa bouche qui m’embrasse,
Il y a son parfum sur ma peau
et le poids de son désir dans mon ventre.
La nuit est mon histoire, ma délivrance.
Il m’aime.



Je l'aime (E)
Sa voix est une main qui caresse mon corps,
un vent qui se déploie de murmure en tempête
Je l’aime.

Il caresse mon corps de ses yeux brillants.
Il m’étend sur un lit de velours et de s ...

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coucher avec toi (Robert Desnos)


Coucher avec toi
Pour le sommeil côte à côte
Pour les rêves parallèles
Pour la double respiration
Pour l’ombre unique et surprenante
Pour la même chaleur
Pour la même solitude
Pour l’aurore partagée
Pour le minuit identique
Pour les mêmes fantômes
Pour l’amour absolu
Pour le vice,
Pour les baisers de toute espèce
Pour le naufrage ineffable
Pour se prouver et se prouver vraiment
Que jamais n’a pesé
sur l’âme et le corps des amants
Le mensonge d’une tâche originelle

Robert Desnos.
coucher avec toi (Robert Desnos) (E)
Coucher avec toi
Pour le sommeil côte à côte
Pour les rêves parallèles
Pour la double respiration
Pour l’ombre unique et surprenante
Pour la même chaleur
Pour la mê ...

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J'aime


J'aime que tu me trouves belle
J'aime ton regard brulant
et tes gestes de douceur
J'aime ton souffle haletant
qui m'enveloppe et m'étreint,
J'aime quand tu me pénètres
lentement, puissament.

J'aime quand ta chair
se melange à ma chair,
blottie au fond de moi,
J'aime que tu me prennes tout,
que le contrôle t'échappe,
J'aime ton jet de vie
qui se libère en moi
et qui me remplit
J'aime quand nous quittons ce monde,
fondus l'un dans l'autre.
J'aime (E)
J'aime que tu me trouves belle
J'aime ton regard brulant
et tes gestes de douceur
J'aime ton souffle haletant
qui m'enveloppe et m'étreint,
J'aime quand tu me pénètres
lentement, puissament ...

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Le goût de mon corps


Je sais pour toi le goût de mon corps,
de tous ses arômes Senteurs sucrées
de longues nuits, parfums secrets et interdits.
et plus encore, puisque tel est ton désir
Mes lèvres pour toi sont toujours entrouvertes,
d’un désir intense, infini,
T'offrant ma chair nue, prête a te recevoir
Mon corps pour toi se fait dunes,
courbures incendiaires,
Sous tes doigts agiles,
pénétrant mes humides frontières.
Devenue faible proie,
je suis toujours prête à glisser dans l’ultime,
tenaillée de ma faim d’appétence animale,
de te satisfaire, moi, femelle d'un si beau mâle.

J'ai besoin d’amour jusqu'à la déraison !
J'aime que tu viennes à moi,
J'aime que tu viennes en moi
J'aime quand tu me donnes le meilleur de toi
Tu es mon bel amant
Le goût de mon corps (E)
Je sais pour toi le goût de mon corps,
de tous ses arômes Senteurs sucrées
de longues nuits, parfums secrets et interdits.
et plus encore, puisque tel est ton désir
Mes lèvres pour toi sont ...

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Tu as été très tendre


Tu as été très tendre, un ange de douceur.
comme si j'étais un objet précieux
à m'en faire devenir folle. Je t'ai regardé
pour que tu me touches, me frôles, m'enlaces
de tes douces caresses sans cesse répétées
tel un objet précieux, un joyau dans son écrin
Et j'en redemandais sans cesse,
mon corps tout entier était là
pour te dire que j'adorais ça,
au plus profond de moi, sans restriction.
je me sentais amoureuse, folle,
Je t'ai pris dans mes bras et je t'ai enbrassé,
tendrement, passionement,
j'avais envie de t'aspirer goulûment en moi,
tu m'as rendue insatiable et enflammée.
je me suis enfilée sur toi,
allant et venant, Les yeux dans les yeux,
nos regards crépitaient d'envie.
Le rythme insidieusement s'accélérait
par la magie de nos désirs sans cesse renforcés.
Je voulais tout de toi, la profondeur,
la rapidité mais surtout la jouissance.
je voulais aussi ta force animale
quand tu t'empares de moi,
Je me mordais les lèvres, je secouais la tête,
j'avais envie de crier
je ne pouvais plus me contrôler
Et puis j'ai explosé, ravagée par les spasmes en serie
la seconde vague est arrivée,
profonde, puissante, énorme,
déclenchée par ta jouissance,
toi, mon homme vigoureux
J'avais la chair de poule et des frissons partout.
C'était bon, merveilleux, pétillant...
Tu es mon tendre et généreux amant

Quand tu reviendras,
je prendrai tes lèvres aussitot.
Nous irons de nouveau, sans parler,
dans l'ombre et les coussins,
tu m'y feras tomber, longue comme une morte,
et, passionnément, tu chercheras mes seins.
A travers mon bouquet de voile,
ta bouche prendra leur pointe
nue et rose entre deux fleurs,
et m'écoutant gémir du baiser qui les touche,
tu me désireras, jusqu'aux pleurs !
De tes lèvres a mon sein,
ta main fera vibrer mon corps intime et moite
et exaltera ma chair sensible pour toi.
Toi mon amant ami, je t'en prie,
reviens moi vite !


Tu as été très tendre (E)
Tu as été très tendre, un ange de douceur.
comme si j'étais un objet précieux
à m'en faire devenir folle. Je t'ai regardé
pour que tu me touches, me frôles, m'enlaces