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 |  ... L'arbre qui, seul, pousse à l'écart Ne rejoindra l'allée jamais, Et rien ne peut plus m'émouvoir De ce que j'ai le plus aimé. ... Marina Tsvetaieva | (E) ... L'arbre qui, seul, pousse à l'écart Ne rejoindra l'allée jamais, Et rien ne peut plus m'émouvoir De ce que j'ai le plus aimé. ... Marina Tsvetaieva ... |
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 |  ... ô maisons de rondins Auvents verts Palissades Le voyageur ici reconnaît les façades La cour où le dvornik alors fendait du bois Le décor a gardé la même architecture Mais tout y a changé d'échelle et de mesures Jusqu'à l'homme de chair et le son de sa voix ... Louis Aragon | (E) ... ô maisons de rondins Auvents verts Palissades Le voyageur ici reconnaît les façades La cour où le dvornik alors fendait du bois Le décor a gardé la même architecture ... |
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 |  | (E) ... |
 |  ... Toute maison m'est étrangère, Pour moi tous les temples sont vides, Tout m'est égal, me désespère, Sauf le sorbier d'un sol aride... ... Marina Tsvetaieva | (E) ... Toute maison m'est étrangère, Pour moi tous les temples sont vides, Tout m'est égal, me désespère, Sauf le sorbier d'un sol aride... ... Marina Tsvetaieva ... |
 |  ... Adieu, chapelle qui protège Le pauvre contre ses douleurs ; Avenue où, foulant la neige De mes acacias en fleurs, Lorsque le vent l’avait semée Du haut de ses rameaux tremblants, Je suivais quelque trace aimée, Empreinte sur ses flocons blancs. ... Casimir Delavigne - Automne 1839 | (E) ... Adieu, chapelle qui protège Le pauvre contre ses douleurs ; Avenue où, foulant la neige De mes acacias en fleurs, Lorsque le vent l’avait semée Du haut de ses rameaux tremblants, Je ... |
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