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Luis PARET Y Alcazar - vue de Fuenterrabia (detail) | Luis PARET Y Alcazar - vue de Fuenterrabia (detail) (E) ... |
Paul BRIL - les pèlerins d'Emmaus | Paul BRIL - les pèlerins d'Emmaus (E) ... |
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Antonio de PEREDA - allegorie de la vanitéAntonio de Pereda y Salgado, né le 20 mars 1611 à Valladolid et mort le 30 janvier 1678 (à 66 ans) à Madrid, est un peintre espagnol du siècle d'or. Œuvres 1634 : Le Marquis de Santa Cruz secourant Gênes assiégée, Musée du Prado 1634 : Allégorie de la Vanité, Kunsthistorisches Museum, Vienne 1634 : L'Immaculée conception, musée des beaux-arts de Lyon 1636 : L'Immaculée conception, musée du Prado 1637 : L'Annonciation, musée du Prado 1640-1650 : Mise au tombeau, musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg 1641 : Christ, homme de douleurs, musée du Prado 1643 : Saint Jérôme, musée du Prado 1643 : Saint Pierre libéré par les anges, musée du Prado 1646 : L'Ange gardien, musée de l'Ermitage4 1652 : Tobias redonnant la vue à son père, Bowes Museum, Durham 1652 : Nature morte au coffre d'ivoire, musée de l'Ermitage vers 1659 : Le Sacrifice d'Isaac, Dallas Museum of Art 1664 : Saint François d'Assise à la Portioncule, musée du Prado s.d. : Cantique de Saint Siméon, musée Condé, Chantilly s.d. : Déposition de croix, musée des beaux-arts de Marseille s.d. : Christ en croix, musée des beaux-arts de Valence (Espagne) s.d. : L'Immaculée conception, musée national d'art de Roumanie, Bucarest | Antonio de PEREDA - allegorie de la vanité (E) Antonio de Pereda y Salgado, né le 20 mars 1611 à Valladolid et mort le 30 janvier 1678 (à 66 ans) à Madrid, est un peintre espagnol du siècle d'or. Œuvres 1634 : Le Marquis de Santa Cru ... |
Vierge à l'Enfant dans un paysage Pinturicchio, Bernardino di Betto, dit (vers 1456-1513) Vers 1475, tempera sur bois, 48,3 x 36,8 cm Londres, The National Gallery. Salting Bequest, 1910 © The National Gallery, London. Salting Bequest, 1910 De retour à Pérouse au début des années 1470, Le Pérugin se distingue vite par son langage pictural inédit, importé de son séjour dans la Cité florentine. Ses nombreux émules vont à leur tour contribuer à la diffusion de ce nouvel art en Ombrie. Ainsi Pinturicchio, auteur de cette Vierge à l’enfant, reprend-il à son compte le dispositif novateur du Pérugin, qui consiste à inscrire ce thème dans un arrière-plan paysager. A la suite de Florence, qui s’affirme comme un foyer majeur de la Renaissance, les villes périphériques, comme Pérouse, s’imprègnent peu à peu de ce nouveau langage, pour délaisser les fonds d’or encore en usage chez quelques maîtres ombriens. Outre la profondeur de son arrière-plan paysager, cette composition de Pinturicchio frappe surtout par son aspect décoratif : une banderole en volutes et des guirlandes de roses encadrent délicatement le visage de la Vierge. Quelques touches d’or viennent rehausser ces ornements, ainsi que les plis de la robe. Les motifs classiques qui figurent sur le parapet, à l’arrière des figures, invitent en outre à rapprocher cette œuvre des panneaux de saint Bernardin, que vous avez vu dans la première salle de cette exposition. De fait, Pinturicchio a lui aussi participé à la réalisation de cette « niche-tabernacle », et c’est probablement à l’occasion de cette collaboration qu’il a pu s’imprégner de la manière du Pérugin. Cette œuvre d’une grande clarté et d’une exécution soignée témoigne de la sophistication atteinte par les artistes de Pérouse à cette époque. Pinturicchio est ainsi considéré comme un grand maître de la peinture ombrienne, qu’il a sans conteste contribué à renouveler, à travers le raffinement de ses représentations. | (E) Vierge à l'Enfant dans un paysage Pinturicchio, Bernardino di Betto, dit (vers 1456-1513) Vers 1475, tempera sur bois, 48,3 x 36,8 cm Londres, The National Gallery. Salting Bequest, 1910 © The National Gallery, Lond ... |
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Mattia PRETI - le concertMéditations sur la maniere Ribera, sur le luminisme de Caracciolo evoquent un souvenir des modes de la culture vénitienne, donnant naissance à des œuvres très remarquables, comme le cycle des peintures illustrant des Scènes de la vie de sainte Catherine et de saint Pierre Célestin de S. Pietro à Maiella (1657-1659). Mais, pour Preti, le moment essentiel de cette période est la découverte de Giordano. C'est en effet à Luca Giordano que Preti doit sa nouvelle technique d'empâtement, son trait rapide et sommaire, dont le goût résolument baroque apparaît dans le Festin de Balthazar (Naples, Capodimonte), dans le Festin d'Absalon (id.), dans le Retour du fils prodigue (Naples, Palazzo Reale) ou dans les esquisses pour les Ex-voto de la peste de 1656 (1656-1659 ; Naples, Capodimonte). | Mattia PRETI - le concert (E) Méditations sur la maniere Ribera, sur le luminisme de Caracciolo evoquent un souvenir des modes de la culture vénitienne, donnant naissance à des œuvres très remarquables, comme le cycle des peintures illu ... |
Jean PUCELLE - livre d'heuresCe n'est qu'à la fin du XIXe siècle que l'on a été en mesure de reconnaître l'importance du rôle joué par Pucelle dans l'évolution et le renouvellement de l'enluminure, et plus largement de l'art pictural français à partir du deuxième quart du XIVe siècle. À travers le nombre restreint des œuvres qui peuvent être retenues aujourd'hui comme étant de sa main, on pressent une personnalité d'un éclat exceptionnel, qui, malgré une carrière apparemment brève, a marqué profondément le milieu artistique parisien de son temps. Le mérite essentiel de Pucelle est d'avoir su intégrer aux traditions spécifiques de l'enluminure gothique septentrionale les conquêtes toutes récentes de la grande peinture italienne dans le domaine plastique et spatial. | Jean PUCELLE - livre d'heures (E) Ce n'est qu'à la fin du XIXe siècle que l'on a été en mesure de reconnaître l'importance du rôle joué par Pucelle dans l'évolution et le renouvellement de l'enluminure, et plus largement ... |