Nicolas de LARGILLIERE - auto-portraitLargillierre était un peintre aux talents multiples et il était à l’aise aussi bien avec les natures mortes, qu’avec les tableaux historiques, les paysages ou les portraits, sa maîtrise technique lui permettant de jouer avec les matières, les couleurs et les lumières sans en faire un exercice froid. Ses portraits gardent toujours une vie et une sensibilité qui font de lui l’un des plus grands peintres du règne de Louis XIV et de la Régence. Nicolas de Largillierre, orthographié aussi LargillièreN 1 (né à Paris le 10 octobre 1656, où il est mort le 20 mars 1746) est un peintre français. Son talent lui permet de gravir les échelons de la hiérarchie de l’Académie royale de peinture et de sculpture, où il est admis le 30 mars 1686. Il passera de membre au poste de directeur en 1736. Il en démissionnera en 1743 et il s’éteindra à Paris à l’âge de 89 ans. Oublié aux dépens de son rival et ami Hyacinthe Rigaud qui était le peintre attitré de la haute noblesse, Largillierre mérite d’être redécouvert et de se voir attribuer la place qu’il mérite dans l’art français. Quelques œuvres[modifier | modifier le code] Tableaux d'histoire, natures mortes et autres sujets : Vénus et Adonis, huile sur toile, 83,3 × 64,1 cm, Vente Christie's Londres, 9 avril 2003 (lot. 81). Nature morte avec instrument de musique, 1695-1700, 79 × 87,3 cm, Quimper, musée des beaux-arts. Portraits : La Famille Stoppa, (1685), musée de l'Hôtel-Dieu, Château-Thierry. Charles Le Brun, (1686), pièce de réception à l'Académie royale de peinture et de sculpture, musée du Louvre, Paris La belle Strasbourgeoise, (c.1703), musée des beaux-arts de Strasbourg. Autoportrait en tenue d'atelier, (1707), vendue 514 250 € en juin 2004. Autoportrait, (1711), musée du Château de Versailles. La Comtesse de Noirmont en Diane, (1715), collection particulière. Monsieur de Noirmont, (vers 1690-1710), Museu Nacional de Arte Antiga, Lisbonne. Le Seigneur de Landreville, (c.1730), collection particulière. Il s'agit du portrait de Claude-François de Maillard ou de Maillart, premier marquis de Landreville (Bayonville, Ardennes). Portrait de Jean-Baptiste Forest (1704), huile sur toile, 129 × 96 cm, Palais des beaux-arts, Lille, Inv. P. 328. La Baronne Le Leu d'Aubilly et sa fille, Madame de Guinaumont, travestie en sourceN 2,1. Huile sur toile, 167 × 133,5 cm. Daté et signé en bas à gauche : « Largillierre 1718 ». resté dans la famille des modèles jusqu'à sa vente par Christie's à Paris, le 20 juin 2007 (lot 57). Walter Krüger (1684-1735)N 3, Huile sur toile, 92.7 × 74.5 cm. Ancienne collection Gustaf Roos à Londres ; vente anonyme Christie's Londres, 4 mars 1927 (lot 93) ; collection Crofts, Londres ; vente anonyme Sotheby's Londres, 27 mars 1968 (lot 12) ; collection comte Günzel von der Schulenberg ;sa vente Londres, Christie's, 28 octobre 1988 (lot 150) ; vente Christie's New York, 28 janvier 2009 (lot 277). Portrait du marquis de Razilly, Musée Jaquemart-André à l'Abbaye de Chaalis Mademoiselle Duclos de Châteauneuf (1712), Musée Condé, Chantilly. La Princesse Palatine en Source, Musée Condé, Chantilly. Portrait présumé d'Anne-Thérèse de Marquenat de Courcelles, Musée Condé, Chantilly. | Nicolas de LARGILLIERE - auto-portrait (E) Largillierre était un peintre aux talents multiples et il était à l’aise aussi bien avec les natures mortes, qu’avec les tableaux historiques, les paysages ou les portraits, sa maîtrise technique lui p ... |
Nicolas de LARGILLIERE - Soeur Elisabeth ThrockmortonLargillierre était un peintre aux talents multiples et il était à l’aise aussi bien avec les natures mortes, qu’avec les tableaux historiques, les paysages ou les portraits, sa maîtrise technique lui permettant de jouer avec les matières, les couleurs et les lumières sans en faire un exercice froid. Ses portraits gardent toujours une vie et une sensibilité qui font de lui l’un des plus grands peintres du règne de Louis XIV et de la Régence. Nicolas de Largillierre, orthographié aussi LargillièreN 1 (né à Paris le 10 octobre 1656, où il est mort le 20 mars 1746) est un peintre français. Son talent lui permet de gravir les échelons de la hiérarchie de l’Académie royale de peinture et de sculpture, où il est admis le 30 mars 1686. Il passera de membre au poste de directeur en 1736. Il en démissionnera en 1743 et il s’éteindra à Paris à l’âge de 89 ans. Oublié aux dépens de son rival et ami Hyacinthe Rigaud qui était le peintre attitré de la haute noblesse, Largillierre mérite d’être redécouvert et de se voir attribuer la place qu’il mérite dans l’art français. La belle Strasbourgeoise, (c.1703), musée des beaux-arts de Strasbourg. | Nicolas de LARGILLIERE - Soeur Elisabeth Throckmorton (E) Largillierre était un peintre aux talents multiples et il était à l’aise aussi bien avec les natures mortes, qu’avec les tableaux historiques, les paysages ou les portraits, sa maîtrise technique lui p ... |
Nicolas de LARGILLIERE - gibier dans une niche | Nicolas de LARGILLIERE - gibier dans une niche (E) ... |
Nicolas de LARGILLIERE - étude de mains | Nicolas de LARGILLIERE - étude de mains (E) ... |
Nicolas de LARGILLIERE - la belle strasbourgeoiseLargillierre était un peintre aux talents multiples et il était à l’aise aussi bien avec les natures mortes, qu’avec les tableaux historiques, les paysages ou les portraits, sa maîtrise technique lui permettant de jouer avec les matières, les couleurs et les lumières sans en faire un exercice froid. Ses portraits gardent toujours une vie et une sensibilité qui font de lui l’un des plus grands peintres du règne de Louis XIV et de la Régence. Nicolas de Largillierre, orthographié aussi LargillièreN 1 (né à Paris le 10 octobre 1656, où il est mort le 20 mars 1746) est un peintre français. Son talent lui permet de gravir les échelons de la hiérarchie de l’Académie royale de peinture et de sculpture, où il est admis le 30 mars 1686. Il passera de membre au poste de directeur en 1736. Il en démissionnera en 1743 et il s’éteindra à Paris à l’âge de 89 ans. Oublié aux dépens de son rival et ami Hyacinthe Rigaud qui était le peintre attitré de la haute noblesse, Largillierre mérite d’être redécouvert et de se voir attribuer la place qu’il mérite dans l’art français. La belle Strasbourgeoise, (c.1703), musée des beaux-arts de Strasbourg. | Nicolas de LARGILLIERE - la belle strasbourgeoise (E) Largillierre était un peintre aux talents multiples et il était à l’aise aussi bien avec les natures mortes, qu’avec les tableaux historiques, les paysages ou les portraits, sa maîtrise technique lui p ... |