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Fred ASTAIRE & Ginger ROGERS - pick yourself


The song was written for the film Swing Time (1936), where it was introduced by Fred Astaire and Ginger Rogers. Ginger plays a dance instructor whom Fred follows into her studio; he pretends to have two left feet in order to get her to dance with him. Fred sings the verse to her and she responds with the chorus. After an interlude, they dance to the tune. (Author John Mueller has written their dance "is one of the very greatest of Astaire's playful duets: boundlessly joyous, endlessly re-seeable.")

Frederick Austerlitz, dit Fred Astaire, né le 10 mai 1899 à Omaha dans l'État du Nebraska et mort le 22 juin 1987 à Los Angeles dans l'État de la Californie d'une pneumonie, est un acteur, compositeur de cinéma, danseur et chanteur américain. Il a gagné un Oscar d'honneur pour son talent artistique unique, et sa contribution à l'association de l'image et de la musique. Il a son étoile sur l'avenue Walk of Fame à Hollywood.
La critique acclame ses talents de danseur et Astaire fait la connaissance dans les studios du chorégraphe Hermes Pan, avec qui il collaborera de nombreuses années. RKO l'engage pour le tournage de La Joyeuse Divorcée (The Gay Divorcee), pour lequel Astaire obtient un pourcentage sur les recettes, clause jusque-là extrêmement rare dans les mœurs hollywoodiennes. Ce film consacre le couple Astaire-Rogers, parrainé par Hermes Pan. Le trio et ses succès sont à l'origine de l'importance que prendront les numéros dansés dans les comédies musicales hollywoodiennes.
Fred ASTAIRE & Ginger ROGERS - pick yourself (E)
The song was written for the film Swing Time (1936), where it was introduced by Fred Astaire and Ginger Rogers. Ginger plays a dance instructor whom Fred follows into her studio; he pretends to have two left feet in order to get her to danc ...

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Fred ASTAIRE & Ginger ROGERS - pick yourself


La chanson a été écrite pour le film Swing Time (1936), où elle a été introduite par Fred Astaire et Ginger Rogers. Ginger joue un professeur de danse que Fred suit dans son studio; il fait semblant d'avoir deux pieds gauches pour la faire danser avec lui. Fred lui chante le verset et elle répond avec le refrain. Après un intermède, ils dansent sur la mélodie. (L'auteur John Mueller a écrit leur danse "est l'un des plus grands duos espiègles d'Astaire: infiniment joyeux, sans cesse renouvelable.")
Frederick Austerlitz, dit Fred Astaire, né le 10 mai 1899 à Omaha dans l'État du Nebraska et mort le 22 juin 1987 à Los Angeles dans l'État de la Californie d'une pneumonie, est un acteur, compositeur de cinéma, danseur et chanteur américain. Il a gagné un Oscar d'honneur pour son talent artistique unique, et sa contribution à l'association de l'image et de la musique. Il a son étoile sur l'avenue Walk of Fame à Hollywood.
La critique acclame ses talents de danseur et Astaire fait la connaissance dans les studios du chorégraphe Hermes Pan, avec qui il collaborera de nombreuses années. RKO l'engage pour le tournage de La Joyeuse Divorcée (The Gay Divorcee), pour lequel Astaire obtient un pourcentage sur les recettes, clause jusque-là extrêmement rare dans les mœurs hollywoodiennes. Ce film consacre le couple Astaire-Rogers, parrainé par Hermes Pan. Le trio et ses succès sont à l'origine de l'importance que prendront les numéros dansés dans les comédies musicales hollywoodiennes.
Fred ASTAIRE & Ginger ROGERS - pick yourself (E)
La chanson a été écrite pour le film Swing Time (1936), où elle a été introduite par Fred Astaire et Ginger Rogers. Ginger joue un professeur de danse que Fred suit dans son studio; il fait semblant ...

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Fred ASTAIRE et Ginger ROGERS - Too Hot to Handle



1140/5000
Too Hot to Handle est un film de 1938 sur un journaliste, la femme qui l’attire, et son compétiteur féroce, joué respectivement par Clark Gable, Myrna Loy et Walter Pidgeon. Beaucoup de gags de comédie ont été conçus par un Buster Keaton non crédité.
Astaire et Rogers ont tourné deux films en 1935, Roberta, avec la chanson "I Won't Dance" et Top Hat, qui ont également co-interprété le comédien Edward Everett Horton. Dans Roberta, Astaire et Rogers ont joué un rôle de soutien avec Irene Dunne en vedette. Dans ce film, la chanson et la danse, "I'm Be Hard to Handle", était un exemple précoce de l’électricité et de la vivacité du couple. Top Hat a été la première fois que le duo a réalisé un film uniquement pour eux, et s’est avéré être l’un des films les plus réussis de l’année. C'était aussi, avec The Gay Divorcee, parmi les films les plus rentables de RKO Radio Pictures réalisés dans les années 1930.
Fred Astaire et Ginger Rogers étaient des partenaires de danse emblématiques qui ont réalisé ensemble des films de 1933 à 1949. Ils ont réalisé un total de 10 films, 9 avec RKO Radio Pictures et un, The Barkleys of Broadway, avec M-G-M, leur seul film en couleur (Technicolor).
Fred ASTAIRE et Ginger ROGERS - Too Hot to Handle (E)

1140/5000
Too Hot to Handle est un film de 1938 sur un journaliste, la femme qui l’attire, et son compétiteur féroce, joué respectivement par Clark Gable, Myrna Loy et Walter Pidgeon. Beaucoup de gags de ...

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Benjamin BRITTEN - Variations and Fugue on a Theme of Purcell Op 34


The Young Person's Guide to the Orchestra (Op. 34) est une œuvre orchestrale du compositeur anglais Benjamin Britten sous-titrée Variations et Fugue sur un thème de Purcell. Elle fut écrite en 1946 dans le but d'initier les jeunes aux instruments de l'orchestre. Il s'agit d'une commande pour un documentaire éducatif, c'est l'une des œuvres les plus connues du compositeur, et une des trois partitions les plus utilisées pour l'éducation musicale des enfants, avec Le Carnaval des animaux de Saint-Saëns et Pierre et le Loup de Prokofiev.
Le thème principal est inspiré d'une danse d'Henry Purcell, en l'occurrence le rondeau tiré d'Abdelazer. Dans un premier temps, le thème de Purcell est exposé par l'orchestre au complet puis par chacune des familles instrumentales à tour de rôle, c'est-à-dire les bois, les cuivres, les cordes puis les percussions. Suivent ensuite des variations pour chaque instrument de l'orchestre parfois préalablement présentés au jeune public par des commentaires du chef d'orchestre. La pièce se termine par une fugue reprenant les bases du thème initial.

Orchestre Entier, "Tutti"
L'ordre des timbres( couleur du son):
Bois : Flûtes, hautbois, clarinettes, bassons
Cuivres : Cors, trompettes, trombones, tubas
Cordes : Violons, altos, violoncelles, contrebasses
Percussions : Timbales, triangle, tambourin, caisse claire, cymbales, grosse caisse
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Benjamin BRITTEN - Variations and Fugue on a Theme of Purcell Op 34 (E)
The Young Person's Guide to the Orchestra (Op. 34) est une œuvre orchestrale du compositeur anglais Benjamin Britten sous-titrée Variations et Fugue sur un thème de Purcell. Elle fut écrite en 1946 dans le but d'i ...

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Cab CALLOWAY and the Nicholas Brothers - jumps jive


"Jumpin 'Jive" (également connu sous le nom de "(Hep-Hep!) The Jumpin' Jive") est une célèbre composition de jazz / swing, écrite par Cab Calloway, Frank Froeba et Jack Palmer. Enregistré à l'origine le 17 juillet 1939, sur Vocalion Records, il s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires. Calloway le joue avec son orchestre et les frères Nicholas dans la comédie musicale Stormy Weather de 1943.

Oh, boo-dang, dang-a-dee-day (hep-hep)
Gonna tell you 'bout the jumpin' jive (hep-hep)
Jim, jam, the jumpin' jive (hep-hep)
Man, those cats gonna beat out that mellow jive (hep-hep)
Beat it out on the mellow side, dig it
Boy (whatcha gonna say there, gate?)
Oh, boy (whatcha gonna say there, gate?)
Now, Palomar, Shalamar, Swanee shores
Let me dig that jive some more
Boy (take it right on down to the gator)
Oh, boy (little gator, slide little gator)
Now, can you hear them hepcats shout?
Come on, boys, let's have a ball
Makes you dig your jive on the mellow side
Hep-hep
Hep-hep
(The jim, jam, jump is the solid jive)
Makes you nine feet tall when you four feet five
Hep-hep
Hep-hep
And now, don't you be that ickeroo
Get hip, come on and follow through
Then you get your steady foo'
You make the joint jump like the gators do
(The jim, jam, jump is the jumpin' jive)
Makes you dig your eggs on the Jersey side
Hep-hep
(The jim, jam, jump, the jumpin' jive)
Makes you hep-hep on the mellow side, get mellow
The jim, jam, jump and jumpin' jive
Makes you dig your jive on the mellow side
Hep-hep
Hep-hep
The jim, jam, jump, and jumpin' jive
Makes you nine feet tall when you're four feet five
Hep-hep
Hep-hep
Now, don't you be that ickeroo
Get hep, come on, follow through
Then you get your steady foo
You make the joint jump like the gators do
The jim, jam, jump and jumpin' jive
Makes you dig your eggs on the Jersey side
Hep-hep
The jim, jam, jump, and the jumpin' jive
Makes you hep-hep on the mellow side
The jim, jam, jump, and the jumpin' jive
Makes you hep-hep on the mellow side
Paroliers : Cab Calloway / Frank Froeba / Jack Palmer
Cab CALLOWAY and the Nicholas Brothers - jumps jive (E)
"Jumpin 'Jive" (également connu sous le nom de "(Hep-Hep!) The Jumpin' Jive") est une célèbre composition de jazz / swing, écrite par Cab Calloway, Frank Froeba et Jack Palmer. Enregistr&eacut ...

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Maurice CHEVALIER - Prosper, Yop la boum


Prosper (Yop la boum) est une chanson composée en 1935 par Vincent Scotto, sur des paroles de Géo Koger et Vincent Telly, créée par Maurice Chevalier.
La chanson relate, sur un ton à la fois humoristique et complaisant, les activités du « grand Prosper », proxénète dont la « petite entreprise » est florissante.
Elle fut également interprétée par l'acteur et chanteur Andrex cette même année 1935.
Elle a inspiré la chanson de la publicité du même nom des années 1980 : « Prosper, youpla boum, c'est le roi du pain d'épice ».

Quand on voit passer le grand Prosper
Sur la place Pigalle
Avec son beau petit chapeau vert et sa martingale,
A son air malabar et sa démarche en canard
Faut pas être bachelier pour deviner son métier
Prosper yop la boum
see'est le chéri de ces dames
Prosper yop la boum
see'est le roi do macadam
Comme il a toujours la flemme
why n'fait jamais rien lui-même
Il a son "Harem"
Qui de Clichy à Barbés
Le jour et la nuit sans cesse
Fait son petit business
Et le soir, tous les soirs
Dans un coin d'ombre propice
Faut le voir, faut bien l'voir
Encaisser les bénéfices
Il ramasse les billets
Et leur laisse la monnaie
Ah quel sacrifice
En somme see'est leur manager
Et yop la boum, Prosper !
Avec sa belle gueule d'affranchi
Là-haut sur la butte
Ah ! toutes les gonzesses sont folles de lui
Et se le disputent
why en a qui s'flanquent des gnons
Mais oui ! et se crêpent le chignon
Pendant see'temps voyez-vous
Tranquillement il compte les coups
Prosper yop la boum
see'est le chéri de ces dames
Prosper yop la boum
see'est le roi do macadam
Quand une femme se fait coincer
Par les roussins do quartier
Il la laisse tomber
Et il s'en va carrément
Vers son réassortiment
Dans l'arrondissement
Et quand sur le champ
Elles ne sont pas à la page
Voulant faire comment
Faire leur apprentissage
Dans une ville de garnison
Il les envoie en saison
Faire un petit stage
Il a de la classe et do flair
Et yop la boum, Prosper
Et yop la boum...
Yop la boum...
Dans une ville de garnison
Il les envoie en saison
Faire un petit stage
Il a de la classe et do flair
Et yop la boum, Prosper
Paroliers : Francois Joseph Charles Salabert / Georges Konyn / Joseph Antoine Vincentelli / Vincent Baptiste Scotto
Maurice CHEVALIER - Prosper, Yop la boum (E)
Prosper (Yop la boum) est une chanson composée en 1935 par Vincent Scotto, sur des paroles de Géo Koger et Vincent Telly, créée par Maurice Chevalier.
La chanson relate, sur un ton à la fois humoristiq ...

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Dimitri CHOSTAKOVITCH - symphonie n5


En pleine période des purges staliniennes, quand l’angoisse collective était à son apogée, la tension émotionnelle de la symphonie fut perçue par l’auditoire avec une acuité exceptionnelle.
La Symphonie no 5 en ré mineur, Opus 47, de Dmitri Chostakovitch fut écrite en trois mois en 1937, et créée le 21 novembre de la même année à Léningrad sous la direction d’Evgeni Mravinski. C'est la symphonie la plus jouée et la plus enregistrée du compositeur.
Avec l’opus 47, Chostakovitch renoue avec la tradition qui va de Moussorgski à Miaskovski, en passant par Borodine et, surtout, Tchaïkovski. André Lischke indique : « Mais c’est aussi une œuvre autobiographique que traverse le drame vécu et surmonté par le compositeur, et qui se conclut par le cri final de victoire ou de défi. En pleine période des purges staliniennes, quand l’angoisse collective était à son apogée, la tension émotionnelle de la symphonie fut perçue par l’auditoire avec une acuité exceptionnelle. »

La composition servit d’outil de propagande à l’intention du public soviétique, puis international. Les dires de Chostakovitch selon lesquels elle est une « réponse pratique d’un artiste soviétique à de justes critiques », ou que le compositeur n’était pas content de sa Quatrième Symphonie et tenait à être compris du plus grand nombre – « Tout n’a pas été d’égale valeur dans mes œuvres précédentes. Il y a eu des échecs. Dans ma Cinquième Symphonie, je me suis efforcé à ce que l’auditeur soviétique ressente dans ma musique un effort en direction de l’intelligibilité et de la simplicité » donnèrent lieu à des interprétations diverses : les unes selon lesquelles ils proviendraient de biographes commandités ; les autres considérant que la réalité tiendrait plus de ces propos : « La plupart de mes symphonies sont des monuments funéraires. Trop de gens, chez nous, ont péri on ne sait où. Et nul ne sait où ils sont enterrés. Même leurs proches ne le savent pas. Où peut-on leur ériger un monument ? Seule la musique peut le faire. Je leur dédie donc toute ma musique ».
Si le finale suscite encore des débats passionnés, la critique soviétique est unanime : « La pression émotionnelle est au maximum : encore un pas et tout explosera dans un hurlement physiologique ».
« Le pathos de la souffrance est par endroits poussé jusqu'au cri naturaliste et au hurlement. Dans certains épisodes, la musique est capable de provoquer presque une douleur physique ».

Orchestre Sostenuto - Direction : Takashi Kondo - Samedi 29 octobre - Maison de la Culture
de Clermont-Ferrand - Autres vidéos : http://orchestresostenuto.com
00'45" : I-Moderato
18'38" : II-Allegretto
22'01" : III-Largo
36'58" : IV-Allegro non troppo
Dimitri CHOSTAKOVITCH - symphonie n5 (E)
En pleine période des purges staliniennes, quand l’angoisse collective était à son apogée, la tension émotionnelle de la symphonie fut perçue par l’auditoire avec une acuité excep ...

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Dmitri CHOSTAKOVITCH - Suite pour orchestre de jazz n° 2 - valse 2


Cette seconde suite pour orchestre de jazz par Chostakovitch est une commande de l'Orchestre d'État. La première fut donnée à Leningrad en 1938. La partition fut perdue durant la seconde guerre mondiale mais une réduction pour piano fut redécouverte par Manashir Yakubov en 1999. Trois mouvements de la suite furent reconstitués et orchestrés par Gerard McBurney. La création eut lieu en 2000 lors du concert promenade de Londres.
La valse a servit de musique à des publicités pour les assurances CNP.
Elle est utilisée au début du film Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick
Dmitri CHOSTAKOVITCH - Suite pour orchestre de jazz n° 2 - valse 2 (E)
Cette seconde suite pour orchestre de jazz par Chostakovitch est une commande de l'Orchestre d'État. La première fut donnée à Leningrad en 1938. La partition fut perdue durant la seconde guerre mondiale mais une ...

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Marlene DIETRICH - Lili Marlene


Lili Marleen est une chanson allemande dont les paroles sont inspirées du poème écrit en 1915 par le romancier Hans Leip, alors mobilisé.
Dans sa version originale, elle a d'abord été interprétée par la chanteuse Lale Andersen en 1938. Les versions les plus populaires ont été chantées en allemand ou en anglais par Marlène Dietrich.
musique, allemagne, comedie musicale,

Vor der Kaserne, vor dem großen Tor
stand eine Laterne, und steht sie noch davor,
so wollen wir uns da wieder sehen,
vor der Laterne wollen wir stehen
wie einst Lili Marleen, wie einst Lili Marleen.

Unsrer beider Schatten sahen wie einer aus,
daß wir so lieb uns hatten, das sah man gleich daraus.
Alle Leute sollen es sehen,
wenn wir bei der Laterne stehen
wie einst Lili Marleen, wie einst Lili Marleen.
Schon rief der Posten, sie bliesen Zapfenstreich,
es kann drei Tage kosten, Kamerad, ich komm' ja gleich.
Da sagten wir Auf Wiedersehen,
wie gerne würd' ich mit dir gehen,
mit dir Lili Marleen, mit dir Lili Marleen.

Aus dem stillen Raume, aus der Erde Grund
hebt mich wie im Traume dein verliebter Mund,
wenn sich die späten Nebel drehen,
werd' ich bei der Laterne stehen
wie einst Lili Marleen, wie einst Lili Marleen.


Outside the barracks, by the corner light
I'll always stand and wait for you at night
We will create a world for two
I'll wait for you the whole night through
For you, Lili Marlene
For you, Lili Marlene
Bugler tonight don't play the call to arms
I want another evening with her charms
Then we will say goodbye and part
I'll always keep you in my heart
With me, Lili Marlene
With me, Lili Marlene
Give me a rose to show how much you care
Tie to the stem a lock of golden hair
Surely tomorrow, you'll feel blue
But then will come a love that's new
For you, Lili Marlene
For you, Lili Marlene
When we are marching in the mud and cold
And when my pack seems more than I can hold
My love for you renews my might
I'm warm again, my pack is light
It's you, Lili Marlene
It's you, Lili Marlene
My love for you renews my might
I'm warm again, my pack is light
It's you, Lili Marlene
It's you, Lili Marlene
Marlene DIETRICH - Lili Marlene (E)
Lili Marleen est une chanson allemande dont les paroles sont inspirées du poème écrit en 1915 par le romancier Hans Leip, alors mobilisé.
Dans sa version originale, elle a d'abord été interpr&e ...

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Frank CHURCHILL - un jour mon prince viendra (Walt Disney, Blanche Neige)


Un jour mon prince viendra (Someday My Prince Will Come dans la version originale) est une chanson du film d'animation Blanche-Neige et les Sept Nains sorti en 1937 des studios Disney. Elle demeure un classique du répertoire enfantin mondial. Le titre fut composé par Frank Churchill avec des paroles originales de Larry Morey, adaptées pour la version française par Francis Salabert. La chanson originale fut interprétée par l'actrice Adriana Caselotti et pour la version française par Lucienne Dugard puis Rachel Pignot.
La chanson devient rapidement populaire auprès des musiciens de jazz. Plusieurs versions seront alors enregistrées comme celles de Bill Evans, Oscar Peterson, ou de Herbie Hancock. Miles Davis enregistrera même en 1961 un album de jazz nommé Someday My Prince Will Come, tout comme The Chet Baker Trio en 1979. Le titre fut ensuite repris par plusieurs stars de la pop comme Diana Ross & The Supremes qui enregistrèrent une version en 1967 pour un album qui devait s'intituler Diana Ross & The Supremes Sing Disney Classics mais qui ne sortit finalement jamais.

Un jour mon prince viendra.
Un jour on s’aimera.
Dans son château heureux s’en allant.
Goûter le bonheur qui nous attend.

Quand le printemps, un jour.
Ranimera l’amour.
Les oiseaux chanteront.
Les cloches sonneront.
L’union de nos cœurs, un jour.

Un jour mon prince viendra.
Un jour on s’aimera.
Dans son château heureux s’en allant.
Goûter le bonheur qui nous attend.

Quand le printemps, un jour.
Ranimera l’amour.
Les oiseaux chanteront.
Les cloches sonneront.
L’union de nos cœurs, un jour.



www.youtube.com/watch?v=xXXLFbmQCME
Frank CHURCHILL - un jour mon prince viendra (Walt Disney, Blanche Neige) (E)
Un jour mon prince viendra (Someday My Prince Will Come dans la version originale) est une chanson du film d'animation Blanche-Neige et les Sept Nains sorti en 1937 des studios Disney. Elle demeure un classique du répertoire enfantin ...

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FERNANDEL - Felicie aussi


Il faisait un temps superbe Je me suis assis sur l'herbe
Félicie aussi
Je pensais les arbres bourgeonnent Et les gueules de loup boutonnent
Félicie aussi
Près de nous sifflait un merle La rosée faisait des perles
Félicie aussi
Un clocher sonnait tout proche Il avait une drôle de cloche
Félicie aussi
FERNANDEL - Felicie aussi (E)
Il faisait un temps superbe Je me suis assis sur l'herbe
Félicie aussi
Je pensais les arbres bourgeonnent Et les gueules de loup boutonnent
Félicie aussi
Près de nous sifflait un merle La rosée fa ...

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FREHEL - ou est-il donc ? (extrait de Pépé le moco)


En une scène de quelques minutes, Julien Duvivier parvient à filmer une réalité méconnue, oubliée, que l'on retrouve trop peu dans les films coloniaux : la nostalgie du colon. Loin de l'image d’Épinal du fier soldat qui s'engage dans la Coloniale ou du bel aventurier parti explorer des mondes inconnus, une grande part des colons européens sombraient dans l'ennui, la solitude, l'alcoolisme,
Quand Fréhel enclenche le disque et se met à chanter par dessus sa voix de jeunesse, c'est toute l'aventure coloniale qui est remise en question : La vieille chanteuse ne pleure pas que sa gloire passée, elle pleure son Paris, si loin d'elle : Où est-il donc ? Où est-il mon moulin d'la place blanche ? Où sont-ils les amis, les copains ? Où sont-ils tous mes vieux bals musettes ? Pépé ne dit pas un mot, il écoute. Gabin ne pleure que rarement. Ici, la nostalgie est intérieure, contenue, à l'instar de sa condition de prisonnier de la Casbah.
La scène impose une double lecture : au-delà de la mélancolie coloniale, c'est aussi le passé d'une femme qui coule dans les larmes de Fréhel. La chanteuse interprète quasiment son propre rôle dans ce film de 1937, une ancienne vedette dont il reste une photo et des disques, mais qui n'existe plus que dans le regard d'un marginal. Julien Duvivier n'aurait pu mieux filmer cette scène que par ce gros plan, interminable de douleur.

Y en a qui vous parl’nt de l’Amérique,
Ils ont des visions de cinéma ;
Ils vous dis’nt " Quel pays magnifique "
Notre Paris n’est rien auprès d’ça.
Ces boniments-là rend’nt moins timide,
Bref, l’on y part, un jour de cafard…
Ca f’ra un d’plus qui, le ventre vide,
L’soir à New York cherch’ra un dollar
Au milieu des gueus’s, des proscrits,
Des émigrants aux cœurs meurtris ;
Il pens’ra , regrettant Paris :
R.
Où est-il mon Moulin d’la Plac’ Blanche ?
Mon tabac et mon bistro du coin ?
Tous les jours étaient pour moi Dimanche !
Où sont-ils les amis, les copains ?
Où sont-ils tous mes vieux bals musette ?
Leur javas au son d’l’accordéon ?
Où sont-ils tous mes r’pas sans galette ?
Avec un cornet d’frites à dix ronds
Où sont ils donc ?
2.
D 'antres croyant gagner davantage.
Font des rêves d'or encore plus beaux
Pourquoi risquer un si long voyage
Puisque Paris est plein de gogos ?
On monte une affaire colossale,
Avec l'argent du bon populo,
Mais un jour, crac ...c'est le gros scandale :
Monsieur couch’ra ce soir au dépôt !
Et demain on le conduira
Pour dix années à Nouméa.
Encor un de plus qui dira :
R.
3.
Mais Montmartre semble disparaître
Car hélas de saison en saison
Des Abbesses à la Place du Tertre,
On démolit nos vieilles maisons.
Sur les terrains vagues de la butte
De grandes banques naîtront bientôt,
Où ferez-vous alors vos culbutes,
Vous, les pauvres gosses a Poulbot ?
En regrettant le temps jadis
Nous chant'rons songeant à Salis,
Montmartre ton " De Profundis ! "
R.
Paroliers : Vincent Scotto
FREHEL - ou est-il donc ? (extrait de Pépé le moco) (E)
En une scène de quelques minutes, Julien Duvivier parvient à filmer une réalité méconnue, oubliée, que l'on retrouve trop peu dans les films coloniaux : la nostalgie du colon. Loin de l'image d&rsqu ...

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FREHEL - ou sont tous mes amants


Où sont tous mes amants ? est une chanson de Charles Andre Cachant, a.k.a. Charlys et Maurice Vandair, interprétée par la chanteuse Fréhel en 1935.
Le refrain epose sur une interrogation. La chanson est une méditation sur la jeunesse enfuie.
Les couplets correspondent à un soir et à un matin, encadrant une nuit de solitude.

Où sont tous mes amants
Tous ceux qui m'aimaient tant
Jadis quand j'étais belle ?
Adieu les infidèles
Ils sont je ne sais où
A d'autres rendez-vous
Moi mon cœur n'a pas vieilli pourtant
Où sont tous mes amants
Dans la tristesse et la nuit qui revient
Je reste seule, isolée sans soutien
Sans nulle entrave, mais sans amour
Comme une épave mon cœur est lourd
Moi qui jadis ai connu le bonheur
Les soirs de fête et les adorateurs
Je suis esclave des souvenirs
Et cela me fait souffrir.
Où sont tous mes amants
Tous ceux qui m'aimaient tant
Jadis quand j'étais belle ?
Adieu les infidèles
Ils sont je ne sais où
A d'autres rendez-vous
Moi mon cœur n'a pas vieilli pourtant
Où sont tous mes amants
La nuit s'achève et quand vient le matin
La rosée pleure avec tous mes chagrins
Tous ceux que j'aime
Qui m'ont aimée
Dans le jour blême
Sont effacés
Je vois passer du brouillard sur mes yeux
Tous ces pantins que je vois, ce sont eux
Luttant quand même, suprême effort,
Je crois les étreindre encore.
Paroliers : Charles Andre Cachant / Raymond Legrand / Maurice Antoine Vanderhaeghen
FREHEL - ou sont tous mes amants (E)
Où sont tous mes amants ? est une chanson de Charles Andre Cachant, a.k.a. Charlys et Maurice Vandair, interprétée par la chanteuse Fréhel en 1935.
Le refrain epose sur une interrogation. La chanson est une m ...

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George GERSCHWIN - Porgy and Bess


Porgy and Bess est un opéra composé par George Gershwin sur un livret de Ira Gershwin et de Edwin DuBose Heyward, basé sur le roman Porgy (1925), écrit par DuBose Heyward. De ce roman, Heyward et sa femme Dorothy ont tiré en 1927 une pièce de théâtre homonyme. Ces trois œuvres traitent de la vie des Afro-Américains dans le quartier fictif de Catfish Row à Charleston, en Caroline du Sud, au début des années 1930.
La première représentation de Porgy and Bess a été donnée à Boston le 30 septembre 1935. Mais il a fallu attendre les années 1980 pour qu'il soit reconnu aux États-Unis comme un véritable opéra[réf. nécessaire] : au xxie siècle, c'est un classique du répertoire lyrique américain.
Summertime est la chanson la plus connue de cet opéra : elle a été reprise par de nombreux artistes, principalement en jazz vocal et instrumental.
Musicalement, Porgy and Bess réussit une synthèse innovante entre les techniques orchestrales européennes, le jazz américain et la musique populaire.
L'opéra dure un peu plus de trois heures et quart.
George GERSCHWIN - Porgy and Bess (E)
Porgy and Bess est un opéra composé par George Gershwin sur un livret de Ira Gershwin et de Edwin DuBose Heyward, basé sur le roman Porgy (1925), écrit par DuBose Heyward. De ce roman, Heyward et sa femme Dorothy ...

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Benny GOODMAN - sing sing sing


Benny GOODMAN - sing sing sing (E)
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Billie HOLIDAY - blue moon


Les paroles font allusion à l'expression anglaise "Once in a blue moon", signifiant "très rarement". Cette expression se réfère à une seconde lune pleine dans un même mois, phénomène qui ne se produit qu'une fois par an et appelé "Lune bleue". Le narrateur de la chanson exprime un coup de chance tellement peu probable qu'il a dû se produire lors d'une lune bleue. Le titre repose sur un jeu de mots, le bleu étant également la couleur de la mélancolie, et le narrateur se sentant seul et triste jusqu'à ce qu'il trouve l'amour.
Blue Moon est une chanson composée en 1934 par Richard Rodgers et Lorenz Hart, et est devenue un standard de la ballade. En 1949, la chanson connaît un double succès grâce aux reprises de Billy Eckstine et de Mel Tormé. En 1961, la version des The Marcels devient numéro un international du Billboard Hot 100 et du UK Singles Chart.
En mai 1933, Richard Rodgers et Lorenz Hart sont contactés par Metro-Goldwyn-Mayer afin d'écrire une chanson pour le film Hollywood Party. L'idée de base de Rodgers est d'inclure une scène dans laquelle Jean Harlow joue une jeune fille innocente qui chante une prière dans laquelle elle demande à Dieu de l'aider à devenir une actrice. La chanson n'est finalement pas enregistrée et, le 10 juillet 1933, MGM enregistre la mélodie au copyright en tant qu'œuvre non-publiée sous le nom de Prayer (Oh Lord, make me a movie star)1.
Hart écrit de nouvelles paroles à la chanson afin de créer un titre pour le film de 1934 L'Ennemi public n° 12. La musique, appelée It's just that kind of play, est finalement coupée du film et est à nouveau enregistrée en tant qu'œuvre non-publiée le 30 mars 1934. Le studio MGM demande alors une nouvelle musique pour le film. Hart écrit une troisième lyrique sous le titre The bad in every man, chanté par Shirley Ross, mais la chanson se vend mal1.
Après la sortie du film, Jack Robins, le directeur du studio de publication3, décide que la chanson est adaptable à la commercialisation mais requiert des paroles plus romantiques et un meilleur titre. Hart est initialement réticent à l'idée d'écrire encore de nouvelles paroles, mais il finit par se laisser convaincre1. C'est alors que Hart écrit Blue Moon.
Robbins licencie la musique comme thème de l'émission de radio Hollywood Hotel. Le 15 janvier 1935, Connee Boswell enregistre la chanson pour Brunswick Records. Cette version a été utilisée dans plus de sept films de la société MGM, parmi lesquels figurent Un jour au cirque et L'Amour en quatrième vitesse.

Blue moon
You saw me standing alone
Without a dream in my heart
Without a love of my own

Blue moon
You knew just what I was there for
You heard me saying a prayer for
Someone I really could care for

And then they suddenly appeared before me
The only one my arms will ever hold
I heard somebody whisper
Please adore me
And when I looked
The moon had turned to gold

Blue moon
Now I'm no longer alone
Without a dream in my heart
Without a love of my own

Blue moon
You saw me standing alone
Without a dream in my heart
Without a love of my own

Blue moon
You knew just what I was there for
You heard me saying a prayer for
Someone I really could care for

And then they suddenly appeared before me
The only one my arms will ever hold
I heard somebody whisper
Please adore me
And when I looked
The moon had turned to gold

Blue moon
Now I'm no longer alone
Without a dream in my heart
Without a love of my own

Blue moon
Billie HOLIDAY - blue moon (E)
Les paroles font allusion à l'expression anglaise "Once in a blue moon", signifiant "très rarement". Cette expression se réfère à une seconde lune pleine dans un même mois, ph&eac ...

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Billie HOLIDAY - comes love


Comes a rainstorm, put your rubbers on your feet
Comes a snow-storm, you can get a little heat
Comes love, nothing can be done
Comes a fire, then you know just what to do
Blow a tire, you can buy another sure
Comes love, nothing can be done
Don't try hiding 'cause there isn't any use
You start sliding when your heart turns on the juice
Comes a headache, you can lose it in a day
Comes a toothache, see your dentist right away
Comes love, nothing can be done
Comes a heat-wave, you can hurry to the shore
Comes the summer, you can hide behind the door
Comes love, nothing can be done
Comes the measles, you can quarantine the room
Comes a mousy, you can chase it with the broom
Comes love, nothing can be done
That's all brother, if you've ever been in love
That's all, brother, you know what I'm speaking of
Comes a nightmare, you can always stay awake
Comes depression, you may get another break
Comes love, nothing can be done

Paroliers : Charles Tobias / Lew Brown / Sammy H. Stept
Billie HOLIDAY - comes love (E)
Comes a rainstorm, put your rubbers on your feet
Comes a snow-storm, you can get a little heat
Comes love, nothing can be done
Comes a fire, then you know just what to do
Blow a tire, you can buy another sure
Comes love, ...

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The INK SPOTS - I don't want to set the world on fire


Spécialistes de la ballade sentimentale, ils sont l'une des rares formations à séduire un public noir comme un public blanc.
The Ink Spots est un groupe vocal de rhythm and blues américain, précurseur du doo-wop. Ils se sont formés à Indianapolis au tout début des années 1930.
Inventeurs de certaines recettes qui définiront le style doo-wop, ils rencontrent le succès avec If I Didn't Care en 1939. I'm Making Believe, enregistré avec Ella Fitzgerald, est n°1 aux États-Unis en décembre 1944, et The Gypsy occupe la première place du hit-parade pendant dix semaines à l'été 1946. Après de nombreux changements de personnels, ils se séparent en 1952.
The INK SPOTS - I don't want to set the world on fire (E)
Spécialistes de la ballade sentimentale, ils sont l'une des rares formations à séduire un public noir comme un public blanc.
The Ink Spots est un groupe vocal de rhythm and blues américain, précurseur ...

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The INK SPOTS - I don't want to set the world on fire


Spécialistes de la ballade sentimentale, ils sont l'une des rares formations à séduire un public noir comme un public blanc.
The Ink Spots est un groupe vocal de rhythm and blues américain, précurseur du doo-wop. Ils se sont formés à Indianapolis au tout début des années 1930.
Inventeurs de certaines recettes qui définiront le style doo-wop, ils rencontrent le succès avec If I Didn't Care en 1939. I'm Making Believe, enregistré avec Ella Fitzgerald, est n°1 aux États-Unis en décembre 1944, et The Gypsy occupe la première place du hit-parade pendant dix semaines à l'été 1946. Après de nombreux changements de personnels, ils se séparent en 1952.

I don't want to set the world on fire
I just want to start a flame in your heart
In my heart I have but one desire
And that one is you, no other will do
I've lost all ambition for worldly acclaim
I just want to be the one you love
And with your admission that you'd feel the same
I'll have reached the goal I'm dreaming of, believe me
I don't want to set the world on fire
I just want to start a flame in your heart
I don't want to set the world on fire, honey
I love you too much
I just want to start a great big flame down in your heart
You see, way down deep inside of me, darling
I have only one desire
And that one desire is you
And I know, baby, ain't nobody else gonna do
I've lost all ambition for worldly acclaim
I just want to be the one you love
And with your admission that you'd feel the same
I'll have reached the goal I'm dreaming of, believe me
I don't want to set the world on fire
I just want to start a flame in your heart
Paroliers : Bennie Benjamin / Eddie Durham / Eddie Seiler / Sol Marcus
The INK SPOTS - I don't want to set the world on fire (E)
Spécialistes de la ballade sentimentale, ils sont l'une des rares formations à séduire un public noir comme un public blanc.
The Ink Spots est un groupe vocal de rhythm and blues américain, précurseur ...

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Dmitri CHOSTAKOVITCH - Suite pour orchestre de jazz n° 2 - valse 2


Cette seconde suite pour orchestre de jazz par Chostakovitch est une commande de l'Orchestre d'État. La première fut donnée à Leningrad en 1938. La partition fut perdue durant la seconde guerre mondiale mais une réduction pour piano fut redécouverte par Manashir Yakubov en 1999. Trois mouvements de la suite furent reconstitués et orchestrés par Gerard McBurney. La création eut lieu en 2000 lors du concert promenade de Londres.
La valse a servit de musique à des publicités pour les assurances CNP.
Elle est utilisée au début du film Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick
Dmitri CHOSTAKOVITCH - Suite pour orchestre de jazz n° 2 - valse 2 (E)
Cette seconde suite pour orchestre de jazz par Chostakovitch est une commande de l'Orchestre d'État. La première fut donnée à Leningrad en 1938. La partition fut perdue durant la seconde guerre mondiale mais une ...

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Glenn MILLER - in the mood


In the Mood est une chanson populaire américaine arrangée par le chef d'orchestre et musicien Glenn Miller en 1939, il s'agit d'une œuvre représentative de l'époque des big band de la fin des années 1930.
Composée par Joe Garland (1903-1977) et Andy Razat (1895-1973), elle est ensuite structurée par Glenn Miller, qui en fera l'un de ses plus grand succès.
Glenn MILLER - in the mood (E)
In the Mood est une chanson populaire américaine arrangée par le chef d'orchestre et musicien Glenn Miller en 1939, il s'agit d'une œuvre représentative de l'époque des big band de la fin des années ...

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Glenn MILLER - in the mood


In the Mood est une chanson populaire américaine arrangée par le chef d'orchestre et musicien Glenn Miller en 1939, il s'agit d'une œuvre représentative de l'époque des big band de la fin des années 1930.
Composée par Joe Garland (1903-1977) et Andy Razat (1895-1973), elle est ensuite structurée par Glenn Miller, qui en fera l'un de ses plus grand succès.

Who's the lovin' daddy with the beautiful eyes
What a pair o' lips, I'd like to try 'em for size
I'll just tell him, "Baby, won't you swing it with me"
Hope he tells me maybe, what a wing it will be
So, I said politely "Darlin' may I intrude"
He said "Don't keep me waitin' when I'm in the mood"
First I held him lightly and we started to dance
Then I held him tightly what a dreamy romance
And I said "Hey, baby, it's a quarter to three
There's a mess of moonlight, won't-cha share it with me"
"Well" he answered "Baby, don't-cha know that it's rude
To keep my two lips waitin' when they're in the mood"
In the mood, that's what he told me
In the mood, and when he told me
In the mood, my heart was skippin'
It didn't take me long to say "I'm in the mood now"
In the mood for all his kissin'
In the mood his crazy lovin'
In the mood what I was missin'
It didn't take me long to say "I'm in the mood now"
So, I said politely "Darlin' may I intrude"
He said "Don't keep me waitin' when I'm in the mood"
"Well" he answered "Baby, don't-cha know that it's rude
To keep my two lips waitin' when they're in the mood"
Who's the lovin' daddy with the beautiful eyes
What a pair o' lips, I'd like to try 'em for size
I'll just tell him, "Baby, won't you swing it with me"
Hope he tells me maybe, what a wing it will be
So, I said politely "Darlin' may I intrude"
He said "Don't keep me waitin' when I'm in the mood"
First I held him lightly and we started to dance
Then I held him tightly what a dreamy romance
And I said "Hey, baby, it's a quarter to three
It's a mess of moonlight, won't-cha share it with me"
"Well" he answered "Baby, don't-cha know that it's rude
To keep my two lips waitin' when they're in the mood"
Paroliers : Joe Garland
Glenn MILLER - in the mood (E)
In the Mood est une chanson populaire américaine arrangée par le chef d'orchestre et musicien Glenn Miller en 1939, il s'agit d'une œuvre représentative de l'époque des big band de la fin des années ...

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MIREILLE et Jean SABLON - puisque vous partez en voyage


Puisque vous partez en voyage, est une chanson écrite par Jean Nohain sur une musique composée par Mireille, sortie en 1935. Elle est interprétée par Mireille et Jean Sablon, qui jouent le rôle de deux amoureux qui se séparent pour la première fois, sur le quai d'une gare de Paris. La femme part pour une quinzaine de jours, et son chéri l'accompagne jusque sur le quai. L'attente du départ du train est longue, et lorsque le cochon de contrôleur crie en voiture, l'amoureux n'y tenant plus monte dans le train pour rejoindre sa chérie.

Puisque vous partez en voyage
Puisque nous nous quittons ce soir
Mon cœur fait son apprentissage
Je veux sourire avec courage
Voyez j'ai posé vos bagages,
Marche avant, côté du couloir
Et pour les grands signaux d'usage
J'ai préparé mon grand mouchoir
Dans un instant le train démarre
Je resterai seul sur le quai
Et je vous verrai de la gare
Me dire adieu là-bas avec votre bouquet
Promettez-moi d'être bien sage
De penser à moi tous les jours
Et revenez dans notre cage
Où je guette votre retour.

{Parlé;}
Voilà, je vous ai trouvé une bonne place dans un
compartiment
où il y a une grosse dame et un vieux curé avec une barbe
blanche.
Et puis je vous ai acheté deux livres...
Le premier, c'est la vie des saintes...
Et l'autre, c'est l'exemple de bienheureuse Ernestine...
Cela vous plaît ?

Puisque vous partez en voyage
Vous m'avez promis ma chérie
De m'écrire quatorze pages
Tous les matins ou davantage
Pour que je voie votre visage
Baissez la vitre je vous prie
C'est affreux je perds tout courage
Soudain je déteste Paris
Le contrôleur crie : "En voiture"
Le cochon il sait pourtant bien
Que je dois rester, mais je jure
Que s'il le crie encore une fois, moi je viens
J'ai mon amour pour seul bagage
Et tout le reste je m'en fous
Puisque vous partez en voyage
Ma chérie... je pars avec vous.

Reprises
Depuis 1967, Françoise Hardy a partagé la vie du chanteur et acteur de cinéma, Jacques Dutronc. À la fin des années 1990, ils décident de se séparer, et ils enregistrent ensemble une dernière chanson: Puisque vous partez en voyage.
Par rapport à la version originale, les rôles sont inversés, l'homme s'en va, et c'est la femme qui attend le départ du train. Les paroles sont légèrement actualisées, le cochon de chef de gare devenant ainsi un enfoiré.

Les interprétations
Ray Ventura et ses collégiens (1936)
Jean Sablon (1951)
Robert Valentino (1957)
Guylaine Guy (1960)
Mireille et Jerry Van Rooyen et son orchestre (1961)
Jacques Dutailly (1962)
Mireille (1965)
Jacqueline Roland (1965)
Micheline Presle et Daniel Gélin (1969)
Caroline Cler et Christian Borel (1975)
Joëlle et Jean Sablon (1979)
Georges Brassens (1980), sur l'album Georges Brassens chante les chansons de sa jeunesse (disque Philips)
Les choeurs de France (2000), sur l'album Aimer ...
Françoise Hardy et Jacques Dutronc (2000), sur l'album Clair-obscur (disque Virgin)
Claude Luter (2001), sur l'album Puisque vous partez en voyage
Sarah Micheau (2004)
Marie et Claudio Bolzonello (2005)
Miss Dominique et Christophe Willem, lors du 1/4 de finale de la Nouvelle star (2006)
Marie-Christine Maillard, sur l'album Marie 100% french (2006)
Nolwenn Leroy et François Morel (2007)
Coco Aslan (2008)
Elsa Lunghini et Elie Semoun (2010)
Maria Lavalle (2011)
Clara Bellar et Ivan Lins (2013)
Nolwenn Leroy et Charles Aznavour (2013), lors de l'émission Hier encore no 3, diffusé sur France 2 le samedi 14 septembre 2013.
Jenifer et Emmanuel Moire (2013), fête de la chanson française 2013
Sandrine Kiberlain et Jean Rochefort, chanson du film Floride de Philippe Le Guay (2015)
Nathalie Dessay et Bénabar (2015)
MIREILLE et Jean SABLON - puisque vous partez en voyage (E)
Puisque vous partez en voyage, est une chanson écrite par Jean Nohain sur une musique composée par Mireille, sortie en 1935. Elle est interprétée par Mireille et Jean Sablon, qui jouent le rôle de deux amou ...

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MISTINGUETT - C'est vrai


Oui c'est moi me voila je m'ram egrave
J'ai vu London j'ai vu Turin
L'Autriche-Hongrie
Mais de Vienne il fallait que j'revienne
Car je n'peux pas moi je vous l'dis
M'passer de Paris
Ce Paris qui pourtant vous chine tant et tant
On dit que j'aime les aigrettes
Les plumes et les toilettes
C'est vrai
On dit que j'ai la voix qui trait
En chantant mes rengaines
C'est vrai
Lorsque ? monte trop haut moi je m'arrete
Et d'ailleurs on n'est pas ici agrave l'Op?
On dit que j'ai l'nez en trompette
Mais j'serais pas Mistinguett
Si j'ecoutais pas comme ?
Que c'est bon quand on vient d'Amsterdam
Et qu'on a vu pendant des mois des tas d'pays
De retrouver le macadam de Paname
Ses autobus et son ? et ses taxis
Paris et ses boulevards avec tous ses bobards
On dit que j'ai de grandes quenottes
Que je n'ai que trois notes
C'est vrai
On dit que j'aime jouer les ?
Les marchandes de violettes
C'est vrai
Mais ne voulant pas chiper aux grandes coquettes
Leur dame aux cameacute lias moi j'vends mes ?
On dit que j'ai de belles gambettes
Mais j'serais pas MistinguettSi j'ecoutais pas comme ?
On dit quand je fais mes emplettes
Que j'paye pas c'que j'achete
C'est vrai
On dit partout et l'on ?
Que j'? pas mes ?
C'est vrai
Mais si elle faisait comme moi pour sa galette
Marianne n'aurait pas un budget aussi bas
Et si l'on mettait a la ? des finances Mistinguett
On en serait pas la !
Paroliers : Albert Lucien Willemetz / Casimir Georges Oberfeld / Francois Joseph Charles Salabert
MISTINGUETT - C'est vrai (E)
Oui c'est moi me voila je m'ram egrave
J'ai vu London j'ai vu Turin
L'Autriche-Hongrie
Mais de Vienne il fallait que j'revienne
Car je n'peux pas moi je vous l'dis
M'passer de Paris
Ce Paris qui pourtant vous chine t ...

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Rudolf NOUREEV - Romeo et Juliette - danse des Montaigus et les Capulets


Avec Roméo et Juliette, Rudolf Noureev s’empare d’un des chefs-d’œuvre de Serguei Prokofiev et en traduit la fougue et la passion dans un ballet digne du drame shakespearien. Riche d’images, suivant au plus près le découpage de la pièce et l’évolution de ses personnages, la partition fut écrite peu après le retour du compositeur dans ce qui était alors l’Union Soviétique.

Dans la version qu’il propose, Rudolf Noureev met en scène une véritable fresque aux couleurs de la Renaissance. Il restitue, à travers les mouvements de foule, l’atmosphère d’une ville grouillante où la cruauté et la mort sont omniprésentes. Les procédés cinématographiques auxquels il a recours annoncent l’issue fatale vers laquelle sont acculés des enfants sacrifiés à la haine et aux rivalités de deux familles, les Capulet et les Montaigu. Il conçoit ainsi un spectacle d’une rare émotion et d’une puissante théâtralité.


Serguei Prokofiev : Musique
Rudolf Noureev : Chorégraphie et mise en scène (Opéra national de Paris, 1984)
Ezio Frigerio : Décors
Ezio Frigerio et Mauro Pagano : Costumes Vinicio Cheli Lumières
Les Étoiles, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet Orchestre de l’Opéra national de Paris
Vello Pähn : Direction musicale
Rudolf NOUREEV - Romeo et Juliette - danse des Montaigus et les Capulets (E)
Avec Roméo et Juliette, Rudolf Noureev s’empare d’un des chefs-d’œuvre de Serguei Prokofiev et en traduit la fougue et la passion dans un ballet digne du drame shakespearien. Riche d’images, suivant au p ...

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Carl ORFF - carmina burana


Le style musical d’Orff exprime un désir d'accessibilité et de communication directe. Orff évite la complexité harmonique et rythmique, il s'est inspiré de compositeurs de la fin de la Renaissance et des débuts du baroque tels William Byrd et Claudio Monteverdi. Contrairement à certaines croyances, il ne s'est pas inspiré des quelques mélodies neumatiques (notées succinctement en neumes) du manuscrit. Ses orchestrations chatoyantes montrent l'influence de Stravinsky, en particulier de son ballet intitulé Les Noces. Pour Orff comme pour Stravinsky, le rythme est l'élément principal de la musique.
Les Carmina Burana sont une cantate scénique composée par Carl Orff en 1935-1936. Le titre complet, en latin, est Carmina Burana : Cantiones profanæ, cantoribus et choris cantandæ, comitantibus instrumentis atque imaginibus magicis, ou « Poèmes chantés de Beuern : Chants profanes, pour chanteurs solistes et chœurs, avec accompagnement instrumental et images magiques ». Les Carmina Burana sont une partie des Trionfi, une trilogie musicale incluant les cantates Catulli Carmina et Trionfo di Afrodite. Le mouvement le plus célèbre est le chœur initial O Fortuna, repris ensuite de manière identique à la fin de l'œuvre.

O Fortuna
velut luna
statu variabilis,
semper crescis
aut decrescis;
vita detestabilis
nunc obdurat
et tunc curat
ludo mentis aciem,
egestatem,
potestatem
dissolvit ut glaciem.
Sors immanis
et inanis,
rota tu volubilis,
status malus,
vana salus
semper dissolubilis,
obumbrata
et velata
michi quoque niteris;
nunc per ludum
dorsum nudum
fero tui sceleris.
Sors salutis
et virtutis
michi nunc contraria,
est affectus
et defectus
semper in angaria.
Hac in hora
sine mora
corde pulsum tangite;
quod per sortem
sternit fortem,
mecum omnes plangite!
Carl ORFF - carmina burana (E)
Le style musical d’Orff exprime un désir d'accessibilité et de communication directe. Orff évite la complexité harmonique et rythmique, il s'est inspiré de compositeurs de la fin de la Renaissance et ...

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Gaston OUVRARD - je ne suis pas bien portant


Gaston Ouvrard (Bergerac, 10 mars 1890 - Caussade, 26 novembre 19811), dit simplement Ouvrard, est un chanteur comique français qui connaît son apogée entre 1925 et 1935, où il grave ses plus grands succès : Elle met des chaussinnettes (1925), Je n'suis pas bien portant (1934), Les femmes au régiment (1932). Auteur-compositeur-interprète doué d'une diction tout à fait exceptionnelle, on l'entend moins au détour de la guerre
Capable de chanter sans bafouiller des paroles difficiles, il en joue et devient un des premiers chanteurs a professionnaliser la discipline. Avant lui, le grand public pouvait entonner toutes les chansons populaires sans grand problème ni de tessiture ni d'articulation.

Depuis que je suis sur la terre [militaire],
C´n´est pas rigolo. Entre nous,
Je suis d´une santé précaire,
Et je m´fais un mauvais sang fou,
J´ai beau vouloir me remonter
Je souffre de tous les côtés.

J´ai la rate
Qui s´dilate
J´ai le foie
Qu´est pas droit
J´ai le ventre
Qui se rentre
J´ai l´pylore
Qui s´colore
J´ai l´gésier [gosier]
Anémié
L´estomac
Bien trop bas
Et les côtes
Bien trop hautes
J´ai les hanches
Qui s´démanchent
L´épigastre
Qui s´encastre
L´abdomen
Qui s´démène
J´ai l´thorax
Qui s´désaxe
La poitrine
Qui s´débine
Les épaules
Qui se frôlent
J´ai les reins
Bien trop fins
Les boyaux
Bien trop gros
J´ai l´sternum
Qui s´dégomme
Et l´sacrum
C´est tout comme
J´ai l´nombril
Tout en vrille
Et l´coccyx
Qui s´dévisse

Ah! bon Dieu! qu´c´est embêtant
D´être toujours patraque,
Ah! bon Dieu! qu´c´est embêtant
Je n´suis pas bien portant.

Pour tâcher d´guérir au plus vite,
Un matin tout dernièrement
Je suis allé à la visite [rendre visite]
Voir le major du régiment.
[A un méd´cin très épatant.]
D´où souffrez-vous? qu´il m´a demandé.
C´est bien simpl´ que j´y ai répliqué.

J´ai la rate
Qui s´dilate
J´ai le foie
Qu´est pas droit
Et puis j´ai
Ajouté
Voyez-vous
C´n´est pas tout
J´ai les g´noux
Qui sont mous
J´ai l´fémur
Qu´est trop dur
J´ai les cuisses
Qui s´raidissent
Les guiboles
Qui flageolent
J´ai les ch´villes
Qui s´tortillent
Les rotules
Qui ondulent
Les tibias
Raplapla
Les mollets
Trop épais
Les orteils
Pas pareils
J´ai le cœur
En largeur
Les poumons
Tout en long
L´occiput
Qui chahute
J´ai les coudes
Qui s´dessoudent
J´ai les seins
Sous l´bassin
Et l´bassin
Qu´est pas sain

(Refrain)

Avec un´ charmant´ demoiselle
Je devais m´marier par amour.
Mais un soir comm´ j´étais près d´elle,
En train de lui faire la cour,
Me voyant troublé, ell´ me dit :
- Qu´avez vous? moi j´lui répondis :

J´ai la rate
Qui s´dilate
J´ai le foie
Qu´est pas droit
J´ai le ventre
Qui se rentre
J´ai l´pylore
Qui s´colore
J´ai l´gésier [gosier]
Anémié
L´estomac
Bien trop bas
Et les côtes
Bien trop hautes
J´ai les hanches
Qui s´démanchent
L´épigastre
Qui s´encastre
L´abdomen
Qui s´démène
J´ai l´thorax
Qui s´désaxe
La poitrine
Qui s´débine
Les épaules
Qui se frôlent
J´ai les reins
Bien trop fins
Les boyaux
Bien trop gros
J´ai l´sternum
Qui s´dégomme
Et l´sacrum
C´est tout comme
J´ai l´nombril
Tout en vrille
Et l´coccyx
Qui s´dévisse
Et puis j´ai
Ajouté
Voyez-vous
C´n´est pas tout
J´ai les g´noux
Qui sont mous
J´ai l´fémur
Qu´est trop dur
J´ai les cuisses
Qui s´raidissent
Les guiboles
Qui flageolent
J´ai les ch´villes
Qui s´tortillent
Les rotules
Qui ondulent
Les tibias
Raplapla
Les mollets
Trop épais
Les orteils
Pas pareils
J´ai le cœur
En largeur
Les poumons
Tout en long
L´occiput
Qui chahute
J´ai les coudes
Qui s´dessoudent
J´ai les seins
Sous l´bassin
Et l´bassin
Qu´est pas sain
En plus d´ça
J´vous l´cach´ pas
J´ai aussi
Quel souci!
La luette
Trop fluette
L´oesophage
Qui surnage
Les gencives
Qui dérivent
J´ai l´palais
Qu´est pas laid
Mais les dents
C´est navrant
J´ai les p´tites
Qui s´irritent
Et les grosses
Qui s´déchaussent
Les canines
S´ratatinent
Les molaires
S´font la paire
Dans les yeux
C´est pas mieux
J´ai le droit
Qu´est pas droit
Et le gauche
Qu´est bien moche
J´ai les cils
Qui s´défilent
Les sourcils
Qui s´épilent
J´ai l´menton
Qu´est trop long
Les artères
Trop pépères
J´ai le nez
Tout bouché
L´trou du cou
Qui s´découd
Et du coup
Voyez-vous
J´suis gêné
Pour parler
C´est vexant
Car maint´nant
J´suis forcé
D´m´arrêter.
Gaston OUVRARD - je ne suis pas bien portant (E)
Gaston Ouvrard (Bergerac, 10 mars 1890 - Caussade, 26 novembre 19811), dit simplement Ouvrard, est un chanteur comique français qui connaît son apogée entre 1925 et 1935, où il grave ses plus grands succès ...

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Francis POULENC - concerto pour 2 pianos (Katia et Marielle Labeque)


L'idée de mouvement perpétuel des deux pianos provient d'une démonstration de gamelan balinais entendue par Poulenc à l'Exposition coloniale de 1931. Le concerto est aussi influencé par le Concerto en sol de Maurice Ravel, joué pour la première fois en janvier 1932.
Le Concerto pour deux pianos en ré mineur, FP 61 de Francis Poulenc, est une commande de la princesse Edmond de Polignac, composé durant l'été 1932 et créé le 5 septembre 1932 à Venise.
Francis POULENC - concerto pour 2 pianos (Katia et Marielle Labeque) (E)
L'idée de mouvement perpétuel des deux pianos provient d'une démonstration de gamelan balinais entendue par Poulenc à l'Exposition coloniale de 1931. Le concerto est aussi influencé par le Concerto en sol ...

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chant juif - Avinu Malkeinu


Avinou Malkenou (Notre Père, notre Roi) est une prière juive particulière aux dix jours de pénitence, entre le premier jour du mois de Tishri et le dixième, c'est-à-dire entre Rosh Hashana et Yom Kippour, dix jours parmi les plus solennels du calendrier juif. Elle est composée d'une trentaine de courtes suppliques commençant toutes par Avinou, malkenou, d'où son nom.
Elle est récitée immédiatement après la répétition par l'officiant de la 'Amida.
Cette prière tire son origine, selon le Talmud (Taanit 25b), d'une période de sécheresse, et que les Sages avaient décrété un jeûne public.
Rabbi Eliezer sortit dans la rue de la ville afin d'officier, mais malgré ses prières, les pluies attendues ne venaient pas. Rabbi Akiva, l'un de ses disciples, le remplaça, ne dit que deux phrases :
« Notre Père, notre Roi, nous avons fauté devant Toi.
Notre Père, notre Roi, nous n'avons d'autre Roi que Toi »
et il plut immédiatement.[…] Une voix céleste sortit du ciel, et dit : « Pourquoi celui-ci (R. Akiva) a-t-il été agréé et celui-là (R. Eliezer, pourtant connu de ses contemporains comme le Grand) n'a-t-il pas été agréé ? Non parce que celui-ci serait plus grand que celui-là, mais parce que celui-ci passe sur ses principes (pardonne à qui l'aurait offensé) et celui-là ne passe pas sur ses principes. »
La prière ne se composant que de deux phrases à l'origine, les autres semblent avoir été ajoutées du temps des Gueonim.
chant juif - Avinu Malkeinu (E)
Avinou Malkenou (Notre Père, notre Roi) est une prière juive particulière aux dix jours de pénitence, entre le premier jour du mois de Tishri et le dixième, c'est-à-dire entre Rosh Hashana et Yom Ki ...

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Maurice RAVEL - Concerto pour piano et orchestre en sol majeur -2e mt adagio assai


C'est la dernière œuvre importante de Maurice Ravel, atteint peu après de la maladie cérébrale qui l'emportera finalement en 1937.
Le Concerto pour piano et orchestre en sol majeur de Maurice Ravel a été achevé en 1929-1930 et créé à Paris, salle Pleyel, le 14 janvier 1932 par Marguerite Long (au piano) et l'Orchestre des Concerts Lamoureux, dirigé par le compositeur.
Il s'agit d'une œuvre commandée par Serge Koussevitzky pour le 50e anniversaire de l'Orchestre symphonique de Boston (parmi les autres partitions commandées à cette occasion on note le Konzertmusik pour orchestre à cordes et cuivres de Paul Hindemith et la Symphonie de psaumes d’Igor Stravinsky).

piano: Helene Grimaud, Orch: Vladimir Jurowski - 2009
Maurice RAVEL - Concerto pour piano et orchestre en sol majeur -2e mt adagio assai (E)
C'est la dernière œuvre importante de Maurice Ravel, atteint peu après de la maladie cérébrale qui l'emportera finalement en 1937.
Le Concerto pour piano et orchestre en sol majeur de Maurice Ravel a & ...

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Django REINHARDT - Minor swing


Minor Swing est une célèbre composition de Django Reinhardt et Stéphane Grappelli, enregistrée pour la première fois en 1937 par le Quintette du Hot Club de France et devenue un standard du jazz manouche.
Basé sur un thème et une structure harmonique très simples, c'est un morceau privilégié lors des bœufs. Laissant une grand liberté aux musiciens, il est souvent l'occasion de démonstrations de virtuosité technique.
Django REINHARDT - Minor swing (E)
Minor Swing est une célèbre composition de Django Reinhardt et Stéphane Grappelli, enregistrée pour la première fois en 1937 par le Quintette du Hot Club de France et devenue un standard du jazz manouche. ...

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Django REINHARDT - sweet georgia brown


Avec Stéphane Grappelli, ils fondent en 1934, grâce à Louis Vola, le Quintette du Hot Club de France14. Le groupe comprend également le frère de Django, Joseph, alias « Nin-nin », ainsi que Roger Chaput à la guitare et Louis Vola à la contrebasse. Les cinq musiciens inventent une musique innovante qui remporte un grand succès. Les années suivantes, ils enregistrent de nombreux disques et jouent dans toute l’Europe aux côtés des plus grands musiciens de l’époque
Django REINHARDT - sweet georgia brown (E)
Avec Stéphane Grappelli, ils fondent en 1934, grâce à Louis Vola, le Quintette du Hot Club de France14. Le groupe comprend également le frère de Django, Joseph, alias « Nin-nin », ainsi que Roge ...

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Joaquin RODRIGO - concerto pour guitare Ajanjuez (John Williams, concert des Prom's Londres))


Comme beaucoup de partitions du musicien, le concerto s'inspire de musique plus ancienne, ici de Domenico Scarlatti et du Padre Antonio Soler. Il s'agit d'une commande du marquis de Bolarque datant de 1938.
Le Concierto de Aranjuez tire son nom des jardins du palais royal d'Aranjuez, initialement construit pour Philippe II d'Espagne, et notablement remanié au milieu du xviiie siècle pour Ferdinand VI d'Espagne.
Joaquín Rodrigo a souhaité que son concerto transporte l'auditeur dans un autre espace et un autre temps. Il dit que son œuvre capture « les fragrances des magnolias, le chant des oiseaux, et les ruissellements des fontaines » du jardin d'Aranjuez.

Le Concerto d'Aranjuez (Concierto de Aranjuez en espagnol) pour guitare et orchestre est une œuvre célèbre du compositeur espagnol Joaquín Rodrigo composée en 1939, lors de la dernière année du séjour à Paris du compositeur.

Pepe Romero playing at the GuitArt festival 2011 in Belgrade, Concierto de Aranjuez by Joaquin Rodrigo and Recuerdos de la Alhambra by Francisco Tarrega, Camerata Serbica, conductor Marcello Rota

john williams, Londres, prom's: http://www.youtube.com/watch?v=r2Xdlgii-Rc
Joaquin RODRIGO - concerto pour guitare Ajanjuez (John Williams, concert des Prom's Londres)) (E)
Comme beaucoup de partitions du musicien, le concerto s'inspire de musique plus ancienne, ici de Domenico Scarlatti et du Padre Antonio Soler. Il s'agit d'une commande du marquis de Bolarque datant de 1938.
Le Concierto de Aranjuez tir ...

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Tino ROSSI - Marinella


Marinella est une chanson composée en 1936 pour le film du même nom par Vincent Scotto avec des paroles de René Pujol, Émile Audiffred et Géo Koger, et interprétée par Tino Rossi. C'est un des plus grands succès du chanteur1.

Marinella !
Ah..., reste encore dans mes bras,
Avec toi je veux jusqu'au jour
Danser cette rumba d'amour
Son rythme doux
Nous emporte bien loin de tout,
Vers un pays mystérieux,
Le beau pays des rêves bleus
Blottie contre mon épaule
Tandis que nos mains se frôlent,
Je vois tes yeux qui m'enjôlent
D'un regard plein de douceur
Et quand nos cœurs se confondent
Je ne connais rien au monde
De meilleur

Marinella !
Ah reste encore dans mes bras
Avec toi je veux jusqu'au jour
Danser cette rumba d'amour
Quand je te tiens là, sur mon cœur,
Pour moi c'est un tel bonheur
Qu'aucun mot ne peut l'exprimer.
Tout mon être est transformé
Et je voudrais que ce moment
Qui me trouble éperdûment
Se prolonge éternellement

{Refrain}

Quand le soleil se lèvera
Je sais que tu partiras
Et que notre roman joli
A jamais sera fini
Oui, mais avant, comme autrefois,
Viens vite tout près de moi
Et pour une dernière fois
Tino ROSSI - Marinella (E)
Marinella est une chanson composée en 1936 pour le film du même nom par Vincent Scotto avec des paroles de René Pujol, Émile Audiffred et Géo Koger, et interprétée par Tino Rossi. C'est un des ...

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Jean SABLON - vous qui passez sans me voir


Vous, qui passez sans me voir
Sans même me dire bonsoir
Donnez-moi un peu d'espoir ce soir
J'ai tant de peine
Vous, dont je guette un regard
Pour quelle raison, ce soir passez-vous sans me voir
Un mot, je vais le dire "je vous aime"
C'est ridicule, c'est bohème
C'est jeune et c'est triste aussi
Vous, qui passez sans me voir
Me donnerez-vous ce soir
Un peu d'espoir?
Les souvenirs sont là pour m'étouffer
De larmes, de fleurs, de baisers
Oui je revois les beaux matins d'avril
Nous vivions sous les toits tout en haut de la ville
Vous qui passez sans me voir
Vous, qui passez sans même me dire bonsoir
Donnez-moi un peu d'espoir ce soir
J'ai tant de peine
Vous, dont je guette un regard
Pour quelle raison, ce soir passez-vous sans me voir
Un mot, je vais le dire, "je vous aime"
C'est ridicule, c'est bohème
C'est jeune et c'est triste aussi
Vous, qui passez sans me voir
Sans me donner d'espoir
Adieu, bonsoir!

Paroliers : Laurent Hess / Raoul Joseph Auguste Breton / Charles Louis Trenet
Jean SABLON - vous qui passez sans me voir (E)
Vous, qui passez sans me voir
Sans même me dire bonsoir
Donnez-moi un peu d'espoir ce soir
J'ai tant de peine
Vous, dont je guette un regard
Pour quelle raison, ce soir passez-vous sans me voir
Un mot, je vais ...

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Art TATUM - improvisation sur Dvorak


Il est considéré comme un des pianistes les plus importants du jazz. Il inspirait beaucoup de respect (notamment de la part de Fats Waller, Vladimir Horowitz et même de Serge Rachmaninov), et il reste une référence de nos jours.
Il était largement reconnu pour sa virtuosité et ses improvisations créatrices. La légende veut qu'un jour, quand il entra dans un club où Fats Waller donnait un concert, ce dernier déclara : « C'est moi qui joue ce soir, mais Dieu est avec nous dans la salle. »
Art TATUM - improvisation sur Dvorak (E)
Il est considéré comme un des pianistes les plus importants du jazz. Il inspirait beaucoup de respect (notamment de la part de Fats Waller, Vladimir Horowitz et même de Serge Rachmaninov), et il reste une réf&eacu ...

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Art TATUM - tea for two


"Tea for Two" est devenu un standard de jazz et a été enregistré par de nombreux groupes et instrumentistes. En 1933, Art Tatum, son virtuose du piano jazz, en a fait une référence. Le pianiste Thelonious Monk connaissait bien la chanson, réharmonisant la chanson et l’enregistrant avec une mélodie de style be-bop en 1952 sous le nom de "Skippy" et revenant à la mélodie originale avec un arrangement de charme pour son album Criss Cross de 1963. L'interprétation d'Anita O'Day de la chanson lors du Newport Jazz Festival de 1958 a été considérée comme l'un des temps forts du festival.
Tea for Two est une chanson de la comédie musicale No, No, Nanette créée à Broadway en 1925, sur une musique de Vincent Youmans et des paroles d'Irving Caesar. Tea for Two est un duo chanté par Nanette (Louise Groody) et Tom (Jack Barker) dans l'acte II par lequel ils décrivent comment ils imaginent leur avenir. La chanson a été popularisée au cinéma français dans le film La Grande Vadrouille (1966). Dans la scène des bains turcs, l'air de la chanson Tea for Two sert de signal de reconnaissance aux personnages ayant rendez-vous.

Picture you upon my knee,
Just tea for two and two for tea,
Just me for you
And you for me alone.
Nobody near us
To see us or hear us,
No friends or relations
On weekend vacations.
We won't have it known, dear,
That we own a telephone, dear;
Day will break and you'll awake
And start to bake a sugar cake,
For me to take
For all the boys to see.
We will raise a family,
A boy for you, a girl for me.
Oh, can't you see
How happy we would be?
Art TATUM - tea for two (E)
"Tea for Two" est devenu un standard de jazz et a été enregistré par de nombreux groupes et instrumentistes. En 1933, Art Tatum, son virtuose du piano jazz, en a fait une référence. Le pianiste T ...

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Charles TRENET - Y a de la joie


Sur un rythme entraînant avec des phrases simples, des allitérations et des paroles optimistes, la chanson évoque avec légèreté la joie de vivre, en mêlant des scènes de la vie quotidienne (un boulanger qui fait son pain, un facteur qui distribue son courrier, le métro qui sort du tunnel de la station Javel et revoit le ciel) à d'autres plus fantaisistes (la Tour Eiffel qui part en balade) ou ironiques (un percepteur qui arrête de travailler). Mais le narrateur finit par s'apercevoir qu'il était en train de rêver.
Y'a d'la joie (élision de « il y a de la joie ») est une chanson française écrite en 1936 par Charles Trenet sur une musique qu'il a composée avec Michel Emer. Cette chanson, l'une des plus connues du répertoire de Trenet, l'a rendu célèbre auprès du public.
La chanson a été écrite par Charles Trenet alors qu'il effectue son service militaire à la caserne d'Istres, qu'il a intégrée en octobre 1936, et où il s'ennuie beaucoup. Il confie ainsi qu'il l'a créée pour se donner du courage en balayant la cour de la caserne.
Elle a été interprétée pour la première fois sur la scène du Casino de Paris le 10 février 1937 par Maurice Chevalier, puis dans le film de Julien Duvivier L'homme du jour. La chanson lui avait été apportée par le producteur Raoul Breton. Chevalier avait d'abord refusé face au surréalisme de certains passages (la Tour Eiffel qui part en balade), avant de se laisser convaincre par Breton, aidé en cela par Mistinguett, qui croyait aussi en Trenet.
En septembre 1937, devant le succès remporté par cette chanson qu'il a enregistrée, Maurice Chevalier fait monter Charles Trenet sur la scène du Casino de Paris pour en présenter l'auteur à son public (ce qui ne se fait pas généralement), qui l'ovationne. Avant d'être appelé sous les drapeaux, Charles Trenet avait déjà commencé une carrière artistique dans le duo Charles et Johnny, mais restait encore relativement méconnu : c'est donc là son premier contact avec le public à grande échelle.
Cette chanson correspond bien à l'air du temps de l'époque : elle arrive dans un contexte d'insouciance, à l'heure où les réformes sociales du Front populaire en 1936 font découvrir les loisirs aux Français (avec notamment la réduction du temps de travail à 40 heures hebdomadaires, et la création des congés payés, quelques années avant que ne débute la Seconde Guerre mondiale)3.


Y'a d'la joie bonjour, bonjour les hirondelles
Y'a d'la joie dans le ciel par dessus les toits
Y'a d'la joie et du soleil dans les ruelles
Y'a d'la joie partout, y'a d'la joie
Tout le jour, mon coeur bat, chavire et chancelle
C'est l'amour qui vient avec je ne sais quoi
C'est l'amour, bonjour, bonjour les demoiselles
Y'a d'la joie, partout, y'a d'la joie
Le gris boulanger bat la pâte à pleins bras
Il fait du bon pain, du pain si fin que j'ai faim
On voit le facteur qui s'envole là-bas
Comme un ange bleu portant ses lettres au bon dieu
Miracle sans nom à la station javelle
On voit le métro qui sort de son tunnel
Grisé de soleil, de chansons et de fleurs
Il court vers le bois, il court à toute vapeur
Y'a d'la joie! La tour eiffel part en ballade
Comme une folle, elle saute la seine à pieds joints
Puis elle dit "tant pis pour moi si j'suis malade
J'm'embêtais tout' seule dans mon coin "
Y'a d'la joie! Le percepteur met sa jaquette
Plie boutique et dit d'un air très doux, très doux
"Bien l'bonjour pour aujourd'hui fini la quête
Gardez tout messieurs, gardez tout"
Mais voilà qu'soudain je m'éveille dans mon lit
Donc, j'avais rêvé, oui car le ciel est gris
Il faut se lever, se laver, se vêtir
Et ne plus chanter si l'on n'a plus rien à dire
Mais je crois pourtant que ce rêve a du bon
Car il m'a permis de faire une chanson
Chanson de printemps, chansonnette d'amour
Chanson de 20 ans, chanson de toujours
Y'a d'la joie bonjour, bonjour les hirondelles
Y'a d'la joie dans le ciel par dessus les toits
Y'a d'la joie et du soleil dans les ruelles
Y'a d'la joie partout, y'a d'la ah ah ah
Tout le jour, mon coeur bat, chavire et chancelle
C'est l'amour qui vient avec "je ne sais quoi"
C'est l'amour, bonjour, les demoiselles
Y'a d'la joie, partout, y'a d'la joie
Charles TRENET - Y a de la joie (E)
Sur un rythme entraînant avec des phrases simples, des allitérations et des paroles optimistes, la chanson évoque avec légèreté la joie de vivre, en mêlant des scènes de la vie quotidien ...

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Anastacia TYURINA - air de balalaika - Mon mari a forcé un gars à prendre un bain de vapeur


Anastasia est originaire de Russie et joue de la balalaïka. Elle a joué sur les scènes de la salle Svetlanov de la Maison internationale de la musique de Moscou et du théâtre philharmonique de Vérone. Elle est actuellement candidate au concours "Blue Bird".
Anastacia TYURINA - air de balalaika - Mon mari a forcé un gars à prendre un bain de vapeur (E)
Anastasia est originaire de Russie et joue de la balalaïka. Elle a joué sur les scènes de la salle Svetlanov de la Maison internationale de la musique de Moscou et du théâtre philharmonique de Vérone. ...

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Anastacia TYURINA - balalaika sur l'air de Valenki


Anastasia est originaire de Russie et joue de la balalaïka. Elle a joué sur les scènes de la salle Svetlanov de la Maison internationale de la musique de Moscou et du théâtre philharmonique de Vérone. Elle est actuellement candidate au concours "Blue Bird".

autres:
www.youtube.com/watch?v=wRd-vbYpLck
https://www.youtube.com/watch?v=9MuaLOh_6gw
https://www.youtube.com/watch?v=-XimUXUB9zo
Anastacia TYURINA - balalaika sur l'air de Valenki (E)
Anastasia est originaire de Russie et joue de la balalaïka. Elle a joué sur les scènes de la salle Svetlanov de la Maison internationale de la musique de Moscou et du théâtre philharmonique de Vérone. ...

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Ray VENTURA - tout va tres bien Madame la Marquise


Tout va très bien, madame la marquise est une chanson de 1935, paroles et musique de Paul Misraki, publiée aux éditions Ray Ventura ; c'est un des grands succès de l'orchestre de Ray Ventura et ses Collégiens avec Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ? et Ça vaut mieux que d'attraper la scarlatine. Tout va très bien Madame la Marquise est devenue une expression proverbiale pour désigner une attitude d'aveuglement face à une situation désespérée.
L'origine (moderne) du refrain est attribuée à Bach et Laverne, auteur d'un sketch portant le même titre.

Sa création résulte, selon Paul Misraki lui-même de l'échec d'une première soirée de tournée de Ray Ventura et ses Collégiens, à Nîmes, dans le sud de la France. L'ambiance était morose, et l'orchestre ne parvenait pas à réchauffer la salle. Les musiciens catastrophés cherchaient tous une idée pour relancer le spectacle. C'est Coco Aslan qui semble avoir suggéré l'idée du « sketch avec la Lady écossaise ». Paul Misraki se mit alors au travail, trouva assez vite le « départ » (les premières notes), puis composa toute la nuit, avec comme compagnon un camembert, qu'il mangea en entier. Au petit matin, le compositeur s'accorda une ultime fantaisie : le « pont » qui commence par « un incident, une bêtise... », en rupture totale avec le rythme et l'ambiance de la chanson jusque-là. Et le soir, ce fut un triomphe.

Chantée à trois voix à l'origine, la chanson raconte une conversation téléphonique entre une vieille aristocrate et son valet James qui lui fait part des catastrophes survenues dans son château pendant son absence de deux semaines (de manière antéchronologique, depuis la mort de sa jument jusqu'au suicide de son mari, chacune de ces catastrophes étant la conséquence directe de la précédente, plus grave encore).

Au même titre que le film de Renoir La Règle du jeu, Tout va très bien madame la marquise est devenu un raccourci historique pour dépeindre l'immédiate avant-guerre (années 1935-1939) en France et peut-être plus particulièrement les accords de Munich (septembre 1938). Dès l'année suivant son enregistrement (22 mai 19355), la formule fait déjà florès auprès des journalistes. L'expression « Tout va très bien monsieur Herriot » est employée au moment des grèves de juin 1936. Ce sera ensuite « Tout va très bien Monsieur Mussolini6. » Et enfin Tout va très bien mon Führer sur les ondes de Radio-Londres 7.

La chanson a été adaptée en russe dès 1935 par Alexandre Bezymenski, et interprétée dans cette langue notamment par Léonid Outiossov, en duo avec sa fille Edith ; en hébreu, par Dan Almagor8 ; en allemand (Heinrich Pfandl, 20109), et en italien 10.

Paul Misraki continuera toute sa vie à avoir du mal à assumer ce fulgurant succès (il avait 28 ans, et la chanson s'est faite en une nuit), plusieurs de ses écrits mentionnant cette chanson comme un « incident », justement.

Allô, allô James !
Quelles nouvelles ?
Absente depuis quinze jours,
Au bout du fil
Je vous appelle ;
Que trouverai-je à mon retour ?
Tout va très bien, Madame la Marquise,
Tout va très bien, tout va très bien.
Pourtant, il faut, il faut que l'on vous dise,
On déplore un tout petit rien :
Un incident, une bêtise,
La mort de votre jument grise,
Mais, à part ça, Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien.
Allô, allô James !
Quelles nouvelles ?
Ma jument gris' morte aujourd'hui !
Expliquez-moi
Valet fidèle,
Comment cela s'est-il produit ?
Cela n'est rien, Madame la Marquise,
Cela n'est rien, tout va très bien.
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise,
On déplore un tout petit rien :
Elle a péri
Dans l'incendie
Qui détruisit vos écuries.
Mais, à part ça, Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien.
Allô, allô James !
Quelles nouvelles ?
Mes écuries ont donc brûlé ?
Expliquez-moi
Valet modèle,
Comment cela s'est-il passé ?
Cela n'est rien, Madame la Marquise,
Cela n'est rien, tout va très bien.
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise,
On déplore un tout petit rien :
Si l'écurie brûla, Madame,
C'est qu'le château était en flammes.
Mais, à part ça, Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien.
Allô, allô James !
Quelles nouvelles ?
Notre château est donc détruit !
Expliquez-moi
Car je chancelle
Comment cela s'est-il produit ?
Eh bien ! Voila, Madame la Marquise,
Apprenant qu'il était ruiné,
A peine fut-il rev'nu de sa surprise
Que M'sieur l'Marquis s'est suicidé,
Et c'est en ramassant la pelle
Qu'il renversa toutes les chandelles,
Mettant le feu à tout l'château
Qui s'consuma de bas en haut ;
Le vent soufflant sur l'incendie,
Le propagea sur l'écurie,
Et c'est ainsi qu'en un moment
On vit périr votre jument !
Mais, à part ça, Madame la Marquise,
Tout va très bien, tout va très bien.

Paroliers : Paul Misraki / Charles Pasquier / Henri Allum
Ray VENTURA - tout va tres bien Madame la Marquise (E)
Tout va très bien, madame la marquise est une chanson de 1935, paroles et musique de Paul Misraki, publiée aux éditions Ray Ventura ; c'est un des grands succès de l'orchestre de Ray Ventura et ses Collégi ...

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Heitor VILLA LOBOS - Bachianas Brasileiras 5 - Aria


Les Bachianas brasileiras n° 5, écrites en 1938, constituent l'œuvre musicale sans doute la plus célèbre du compositeur brésilien Heitor Villa-Lobos.
Chacune représente une fusion entre des airs du folklore brésilien ou des musiques populaires brésiliennes et le style de Jean-Sébastien Bach. La plupart des mouvements de chaque suite ont deux titres, l'un emprunté à Bach (Prelúdio, Fuga, etc.), l'autre brésilien (Embolada, O Canto da Nossa Terra, etc.).
Composées pour une formation de 8 violoncelles et une voix de soprano, elles s'articulent en deux mouvements, une aria et une danse. Le premier mouvement a d'ailleurs été transcrit pour guitare et voix de soprano par Villa-Lobos lui-même.
Ce premier mouvement, en la mineur, est le plus connu ; il est structuré selon le schéma A-A'-B-A.
Après par une introduction aux violoncelles, jouée deux fois, le chant commence. La partie A est une vocalise (sans parole) d'une grande difficulté d'exécution, car ayant un ambitus assez élevé. Cette partie est ensuite jouée en variante avec un violoncelle soliste, et les autres violoncelles en accompagnement.
La partie B est un poème décrivant la beauté du ciel le soir (paroles de Ruth V. Corrêa).

Tarde, uma nuvem rosea lenta e transparente,
Sobre o espaço sonhadora e bela!

Chaque vers est psalmodié, en allant de l'aigu vers le grave. L'accompagnement aux violoncelles suit de près le chant, avec des dissonances absentes de la partie A.

Le thème initial A est alors repris, mais à bouche fermée.
Heitor VILLA LOBOS - Bachianas Brasileiras 5 - Aria (E)
Les Bachianas brasileiras n° 5, écrites en 1938, constituent l'œuvre musicale sans doute la plus célèbre du compositeur brésilien Heitor Villa-Lobos.
Chacune représente une fusion entre des ...