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Ludwig van BEETHOVEN - concerto pour piano n5 "l'Empereur" - adagio (piano Helene Grimaud)


Dans ce concerto héroïque, le deuxième mouvement, très chantant, en si majeur (soit ut bémol majeur), ménage une phase de repos. C'est une méditation très simple, lointaine parente du Benedictus de la Missa Solemnis du compositeur. Le piano se fond complètement à la masse orchestrale.

Les cahiers d'esquisses montrent bien qu'il ne fut pas facile à Beethoven de parvenir à cette beauté quasi magique caractéristique de ce mouvement lent.

Dans les dernières mesures, sur une tenue des cors, un si glisse vers un si bémol, permettant à Beethoven de revenir ainsi à la tonalité de mi bémol majeur, et d'énoncer à mi-voix, en guise de transition, le thème allègre et bondissant du Rondo, enchaîné attacca.

Le Concerto pour piano en mi bémol majeur opus 73 (connu aussi sous le nom de L'empereur ou Concerto Empereur, allemand : Emperor, mais non de l'invention du compositeur) est le dernier des cinq concertos pour piano de Ludwig van Beethoven. Sa composition commence vers 1808-1809 et est à peu près contemporaine de celle de ses Cinquième et Sixième symphonies. Sa première représentation a eu lieu en janvier 1811 avec l'archiduc Rodolphe d'Autriche en soliste, son élève, à qui sera dédié le concerto. Si l'on a pu dire du quatrième que c′était son plus intime, on peut désigner le cinquième comme son plus explicite, son plus ouvert.
Ludwig van BEETHOVEN - concerto pour piano n5 "l'Empereur" - adagio (piano Helene Grimaud) (E)
Dans ce concerto héroïque, le deuxième mouvement, très chantant, en si majeur (soit ut bémol majeur), ménage une phase de repos. C'est une méditation très simple, lointaine parente du Be ...

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Ludwig van BEETHOVEN - concerto pour piano n4


Ludwig van Beethoven a incontestablement marqué avec Mozart le sommet de la création en termes de concertos pour piano. Des cinq concertos qu’il a composés, quatre sont des chefs d’œuvre, le très sage n° 2 de 1784 (en réalité le premier, mais publié plus tard) étant l’œuvre de jeunesse d’un Beethoven âgé de 14 ans. Le compositeur a ensuite attendu l’année 1798 pour aborder à nouveau le genre avec le concerto pour piano n° 1 en ut majeur (allegro con brio [1, 2], largo [1, 2], rondo : allegro scherzando) ; encore sous l’influence de Haydn et Mozart, celui-ci laisse néanmoins déjà apparaître des traits purement beethovéniens, et cela dès les toutes premières mesures. Composé en 1800, le concerto n° 3 en ut mineur (allegro con brio [1, 2], largo [1, 2], rondo [1, 2]), est le seul des cinq dans une tonalité mineure ; rompant résolument avec l’inspiration classique, il est caractérisé par un souffle rebelle, et par instants véhément, qui l’emporte vers les sommets de l’art musical. Des sommets où l’ont rejoint en 1806 le magnifique concerto n° 4 en sol majeur (allegro moderato [1, 2], andante con moto, rondo : vivace), superbement lyrique et introspectif, puis en 1809 le grandiose concerto en mi bémol majeur « L’Empereur » (allegro [1, 2], adagio un poco mosso, rondo : allegro). Avec ce dernier, « Beethoven endosse le costume de Titan, sculptant son ouvrage dans un moule héroïque » a écrit le musicologue Neville Cohn, et cela suffit à définir le caractère de cette œuvre. Sans les progrès de sa surdité, nul doute que Beethoven eût composé d’autres concertos pour son instrument de prédilection tant étaient immenses ses qualités d’interprète avant l’apparition de cette terrible informité. Á l’écoute des œuvres symphoniques ultérieures, on mesure l’ampleur de la perte pour le répertoire pianistique.

Piano Concerto No. 4 in G major, Op. 58.
"The Amnesty International Concert"
Conductor: Leonard Bernstein
Piano Soloist: Claudio Arrau
Orchestra: Bavarian Broadcast Symphony Orchestra
Venue: Munich, Germany.
Date: 17/10/1976

I. Allegro moderato
II. Andante con moto
III. Rondo. Vivace

Ludwig van Beethoven (1770 - 1827)
Claudio Arrau (1903 - 1991)
Leonard Bernstein (1919 - 1990)
Ludwig van BEETHOVEN - concerto pour piano n4 (E)
Ludwig van Beethoven a incontestablement marqué avec Mozart le sommet de la création en termes de concertos pour piano. Des cinq concertos qu’il a composés, quatre sont des chefs d’œuvre, le trè ...

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L.V. BEETHOVEN - concerto pour piano n5 - adagio


Le mouvement, très chantant, en si majeur, ménage une phase de repos. C'est une méditation très simple, lointaine parente du Benedictus de la Missa Solemnis du compositeur. Le piano se fond complètement à la masse orchestrale.
Les cahiers d'esquisses montrent bien qu'il ne fut pas facile à Beethoven de parvenir à cette beauté quasi magique caractéristique de ce mouvement lent. Si Mozart pouvait d'emblée atteindre la perfection, Beethoven devait continuellement lutter avec les notes ; en effet la nature de son génie était différente.
Le concerto N°5 dit « Empereur » est le dernier concerto pour piano écrit par Beethoven. Celui-ci devenait alors tout à fait sourd

W.Hammarshoi - femme devant une fenetre
L.V. BEETHOVEN - concerto pour piano n5 - adagio (E)
Le mouvement, très chantant, en si majeur, ménage une phase de repos. C'est une méditation très simple, lointaine parente du Benedictus de la Missa Solemnis du compositeur. Le piano se fond complètement &a ...

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Beethoven - concerto pour piano n5 l'Empereur - Valentina Lisitsa


Valentina Lisitsa, pianiste ukrainienne née à Kiev le 11 décembre 1973 est réputée notamment pour sa grande virtuosité, a donné son premier récital à l'âge de 4 ans. Mais c'est sans doute le fait d'avoir remporté en 1991 avec Alexei Kuznetsoff le prestigieux concours pour deux pianos de la Fondation Murray Dranoff (Miami, États-Unis), qui a marqué le véritable début de sa renommée et de sa carrière de concertiste.
Beethoven - concerto pour piano n5 l'Empereur - Valentina Lisitsa (E)
Valentina Lisitsa, pianiste ukrainienne née à Kiev le 11 décembre 1973 est réputée notamment pour sa grande virtuosité, a donné son premier récital à l'âge de 4 ans. Mais ...

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L.V. BEETHOVEN - hymne a la joie (concert Osaka 10000 chanteurs 2011)


The performance of "Daiku", "The Ninth", Beethoven's 9th Symphony with 10000 (amateur) chorus singers is a Japanese highlight every year in the end of December. Here is the last movement, recorded at the 2011 concert in Osaka, this year dedicated especially to the memory of the victims of the desastrous tsunami in March.

Keiko Yokoyama, soprano Masako Teshima, mezzo-soprano Satoshi Nishimura, tenor Eijiro Kai, baritone Choir of the 10000 from Osaka and Sendai Suntory Orchestra of the 10000 Sendai Philharmonic Orchestra Yutaka Sado, conductor Recorded at Osaka-Jo Hall, Osaka / Miyagi Gauin Joshi Daigaku Hall, Sendai, 2011

Ô Joie, belle étincelle divine,
Fille de l’Elysée,
Nous entrons ivres d’enthousiasme,
Ô Déesse, dans ton sanctuaire.
Tes charmes réunissent
Ce que la mode sépare ;
Tous les hommes deviennent frères
Là où tes douces ailes reposent.

Chœur

Soyez unis êtres par million !
Qu’un seul baiser enlace l’univers !
Frères, au-dessus du pavillon des étoiles
Doit résider un père bien-aimé !


Que celui qui a l’inestimable bonheur
D’être l’ami d’un ami,
Que celui qui a conquis une douce femme
Unisse sa joie à la nôtre !
Et aussi celui qui n’a qu’une âme
Sur la terre ;
Et celui qui n’a jamais connu cela s’éloigne
En pleurant de notre cercle !

Chœur

Que tout ce qui habite le globe
Rende hommage à la sympathie !
Jusqu’aux étoiles ils aspirent,
Où l’inconnu trône.


Tous les êtres puisent la joie
Aux seins de la nature ;
Tous, bons et méchants,
Suivent ses traces de rose.
Elle nous donne les baisers
Et la vigne, l’ami, fidèle jusqu’à la mort ;
Le vermisseau lui-même connait la volupté
Et le Chérubin est devant Dieu.

Chœur

Vous vous prosternez, millions d’êtres ?
Monde, pressens-tu ton créateur ?
Cherche-le au-dessus de la voûte des étoiles,
C’est au-dessus des étoiles qu’il doit habiter.


La joie est le moteur puissant
Dans l’éternelle nature.
La joie, la joie fait tourner les rouages
Dans la grande horloge du monde.
Elle fait sortir les fleurs de leurs germes,
Briller le soleil au firmament,
Rouler dans l’espace les sphères
Que l’astronome ne connaît pas.

Chœur

Joyeux comme le soleil qui vole
À travers les splendides plaines du ciel,
Courrez, frères, votre carrière,
Heureux comme le héros qui court à la victoire.


Du miroir étincelant de la vérité
La joie sourit à celui qui la cherche.
Sur le sentier escarpé de la vertu
Elle soutient les pas du malheureux.
Sur les hauteurs rayonnantes de la foi
On voit flotter sa bannière,
À travers l’ouverture des sépulcres brisés
Elle se tient dans le chœur des anges.

Chœur

Souffrez avec courage millions d’êtres !
Souffrez pour un monde meilleur !
Là haut, au-delà de la voûte étoilée
Un Dieu puissant vous récompensera.


On ne peut récompenser les Dieux,
Il est beau de leur ressembler.
Que les pauvres et les affligés se mêlent,
Et se réjouissent avec les joyeux.
Que la haine et la colère soient oubliées,
Que notre ennemi mortel soit pardonné,
Que nulle larme ne fatigue ses yeux,
Que nul remords ne le ronge.

Chœur

Anéantissons le souvenir des offenses !
Que le monde entier soit réconcilié !
Frères, au-dessus du dôme des étoiles,
Dieu juge comme nous jugeons.


La joie pétille dans les verres,
Dans les flots dorés de la vigne,
Les Cannibales puisent la douceur,
Le désespoir y puise du courage.
Frères, levez-vous de vos sièges
Quand le verre rempli circulera,
Laissez l’écume de la boisson enivrante jaillir vers le ciel :
Offrez ce verre au bon génie.

Chœur

À celui que les astres célèbrent,
À celui que chante l’hymne du Séraphin !
Ce verre au bon génie
Au-dessus de la voûte des étoiles !


Courage et fermeté dans les souffrances !
Secours à l’innocent qui pleure,
Éternité de serments,
Vérité envers l’ami et l’ennemi,
Virile fierté devant les trônes des rois,
Frère ce qu’il faut sacrifier nos biens et notre vie, —
Au devoir accompli sa couronne,
Le malheur au mensonge !

Chœur

Fermez le cercle sacré,
Jurez par ce vin doré :
Être fidèle à vos serments,
Jurez-le par le souverain céleste.


Affranchissement des chaînes de la tyrannie,
Générosité envers le méchant,
Espoir sur le lit de mort,
Grâce sur l’échafaud !
Que les morts vivent aussi !
Buvez, frères, et répétez à la fois
Que tous les péchés soient pardonnés,
Et que l’enfer ne soit plus !

Chœur

Une douce gaieté à la dernière heure !
Un doux sommeil dans le tombeau !
Frère, une sentence de paix
Sur les lèvres de Celui qui juge les morts !
L.V. BEETHOVEN - hymne a la joie (concert Osaka 10000 chanteurs 2011) (E)
The performance of "Daiku", "The Ninth", Beethoven's 9th Symphony with 10000 (amateur) chorus singers is a Japanese highlight every year in the end of December. Here is the last movement, recorded at the 2011 concert in ...

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BEETHOVEN - les ruines d'Athenes - marche turque


Die Ruinen von Athen, op. 113 (Les Ruines d'Athènes) est une œuvre de circonstance composée par Ludwig van Beethoven en 1811. Elle comprend une ouverture en sol mineur et huit parties chantées, dont seule une marche avec chœurs en sol majeur fut publiée (sous le numéro d'opus 114).
L'empereur François Ier d'Autriche, pour apaiser les sentiments nationalistes naissants en Hongrie, avait fait construire dès 1808 un grand théâtre à Pest, en Hongrie, pour célébrer la fidélité de la Hongrie à la monarchie autrichienne. À l'occasion de l'inauguration de ce théâtre en 1812, Beethoven fut appelé à mettre en musique deux textes de circonstance écrits par August von Kotzebue : Le Roi Étienne et Les Ruines d'Athènes. Ces ouvertures font partie des œuvres orchestrales les moins jouées du compositeur.
BEETHOVEN - les ruines d'Athenes - marche turque (E)
Die Ruinen von Athen, op. 113 (Les Ruines d'Athènes) est une œuvre de circonstance composée par Ludwig van Beethoven en 1811. Elle comprend une ouverture en sol mineur et huit parties chantées, dont seule une marc ...

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L.V. BEETHOVEN - Quatuor a cordes n14 op 131 - 06 - adagio


Cet oeuvre achevée en octobre 1826 est l'avant dernier quatuor du compositeur. Il est considéré comme l'un des plus beaux. L'œuvre est continue, les mouvements s'enchaînent directement l'un après l'autre. Le troisième comme le sixième mouvement sont de courtes introductions aux mouvements qui suivent.
Le grand monument de la musique de chambre de Beethoven est formé par les 16 quatuors à cordes. C’est sans doute pour cette formation que Beethoven a confié ses plus profondes inspirations. Le quatuor à cordes a été popularisé par Boccherini, Haydn puis Mozart, mais c’est Beethoven qui a le premier utilisé au maximum les possibilités de cette formation. Les six derniers quatuors et la « Grande Fugue » en particulier, constituent le sommet insurpassé du genre. Depuis Beethoven, le quatuor à cordes n’a cessé d’être un passage obligé des compositeurs et un des plus hauts sommets fut sans doute atteint par Schubert. C’est néanmoins dans les quatuors de Bartók que l’on trouve l’influence la plus profonde mais aussi la plus assimilée des quatuors de Beethoven ; on peut alors parler d’une lignée « Haydn-Beethoven-Bartók » — trois compositeurs partageant à bien des égards une même conception de la forme, du motif et de son usage, et tout particulièrement dans ce genre précis.
L.V. BEETHOVEN - Quatuor a cordes n14 op 131 - 06 - adagio (E)
Cet oeuvre achevée en octobre 1826 est l'avant dernier quatuor du compositeur. Il est considéré comme l'un des plus beaux. L'œuvre est continue, les mouvements s'enchaînent directement l'un après l'au ...

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BEETHOVEN - les ruines d'Athenes marche des derviches


Die Ruinen von Athen, op. 113 (Les Ruines d'Athènes) est une œuvre de circonstance composée par Ludwig van Beethoven en 1811. Elle comprend une ouverture en sol mineur et huit parties chantées, dont seule une marche avec chœurs en sol majeur fut publiée (sous le numéro d'opus 114).
L'empereur François Ier d'Autriche, pour apaiser les sentiments nationalistes naissants en Hongrie, avait fait construire dès 1808 un grand théâtre à Pest, en Hongrie, pour célébrer la fidélité de la Hongrie à la monarchie autrichienne. À l'occasion de l'inauguration de ce théâtre en 1812, Beethoven fut appelé à mettre en musique deux textes de circonstance écrits par August von Kotzebue : Le Roi Étienne et Les Ruines d'Athènes. Ces ouvertures font partie des œuvres orchestrales les moins jouées du compositeur.
BEETHOVEN - les ruines d'Athenes marche des derviches (E)
Die Ruinen von Athen, op. 113 (Les Ruines d'Athènes) est une œuvre de circonstance composée par Ludwig van Beethoven en 1811. Elle comprend une ouverture en sol mineur et huit parties chantées, dont seule une marc ...

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Ludwig van BEETHOVEN - sonate pour piano Appassionata - 3e mt vivace (piano: Claudio Arrau)


La Sonate pour piano no 23 en fa mineur, op. 57, dite l'« Appassionata », a été composée par Ludwig van Beethoven entre 1804 et 1805. C'est sa vingt-troisième sonate sur trente-deux. Elle est dédiée au comte Franz von Brunswick, ami et admirateur du musicien.
Ludwig van BEETHOVEN - sonate pour piano Appassionata - 3e mt vivace (piano: Claudio Arrau) (E)
La Sonate pour piano no 23 en fa mineur, op. 57, dite l'« Appassionata », a été composée par Ludwig van Beethoven entre 1804 et 1805. C'est sa vingt-troisième sonate sur trente-deux. Elle est dé ...

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BEETHOVEN - la tempete (sonate pour piano)


Le nom de l'instrument provient d'une abréviation de piano-forte, nom de son ancêtre du xviiie siècle. Le piano de concert moderne a atteint sa forme actuelle aux alentours du début du xxe siècle.
BEETHOVEN - la tempete (sonate pour piano) (E)
Le nom de l'instrument provient d'une abréviation de piano-forte, nom de son ancêtre du xviiie siècle. Le piano de concert moderne a atteint sa forme actuelle aux alentours du début du xxe siècle. ...

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Ludwig van BEETHOVEN - symphonie n7


La Symphonie nº 7 en la majeur, op. 92, de Ludwig van Beethoven a été composée parallèlement à sa Symphonie no 8 entre 1811 et 1812 à Teplitz en Bohême (une période de soins au cours de laquelle il rencontra Goethe). Elle marque un retour vers une forme strictement classique après les écarts des précédentes et une composition purement musicale sans message d'éthique.
Sa première exécution eut lieu le 8 décembre 1813 à Vienne.
Elle fut publiée chez Steiner à Vienne en mai 18161,3 et dédiée au comte Moritz von Fries.
Ludwig van BEETHOVEN - symphonie n7 (E)
La Symphonie nº 7 en la majeur, op. 92, de Ludwig van Beethoven a été composée parallèlement à sa Symphonie no 8 entre 1811 et 1812 à Teplitz en Bohême (une période de soins au co ...

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BEETHOVEN - symphonie n9 - final (Herbert von Karajan)


Herbert von Karajan, chef d'orchestre autrichien, né à Salzbourg le 5 avril 1908, Spécialiste du répertoire austro-germanique et mitteleuropéen de Bach à Bartók ainsi que de l'opéra italien, il a laissé près d'un millier d'enregistrements chez Deutsche Grammophon, EMI et Decca, ce qui en fait un des chefs les plus enregistrés du xxe siècle.
BEETHOVEN - symphonie n9 - final (Herbert von Karajan) (E)
Herbert von Karajan, chef d'orchestre autrichien, né à Salzbourg le 5 avril 1908, Spécialiste du répertoire austro-germanique et mitteleuropéen de Bach à Bartók ainsi que de l'opéra it ...

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Ludwig van BEETHOVEN - variations Diabelli pour piano


Ludwig van BEETHOVEN - variations Diabelli pour piano (E)
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