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Camille SAINT-SAENS - danse macabre


Camille SAINT-SAENS - danse macabre (E)
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Giacomo PUCCINI - Messa di Gloria


La Messa (messe) ou Messa a quattro voci (lit. messe à quatre voix) de Giacomo Puccini, souvent connue sous le nom erroné de Messa di Gloria (lit. messe de gloire), est une Messe pour orchestre et chœur à quatre voix avec solistes ténor, baryton et basse.

Bien que connue sous le nom de Messa di Gloria, cette œuvre est une messe complète : alors qu'une Messa di Gloria se limite à un Kyrie et un Gloria, celle de Puccini contient également un Credo, un Sanctus et un Agnus Dei.

Puccini composa cette Messe pour son examen à l’Istituto Musicale Pacini. Elle a été chantée pour la première fois à Lucques, le 12 juillet 1880. Mais le Credo avait déjà été écrit et chanté en 1878, et avait été conçu par Puccini comme une œuvre individuelle. Puccini ne publia jamais le manuscrit complet de la Messe, et, bien que bien reçue à cette époque, elle ne fut plus chantée avant 1952, d'abord à Chicago, puis à Naples. Mais il réutilisa certains des thèmes de la Messe dans d'autres œuvres : celui de l’Agnus Dei dans son opéra Manon Lescaut et celui du Kyrie dans Edgar.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Père Dante Del Fiorentino, musicologue, acheta une vieille copie du manuscrit de la Messe à la famille Vandini, à Lucques, en la prenant pour le manuscrit original. Pourtant, le manuscrit original avait été en possession de la famille de Puccini, et donné par sa belle-fille à Ricordi, l'éditeur de Puccini. Le conflit juridique qui s'ensuivit fut résolu en divisant les droits d'auteur entre Ricordi et Mills Music, l'éditeur du manuscrit de Fiorentino.
Giacomo PUCCINI - Messa di Gloria (E)
La Messa (messe) ou Messa a quattro voci (lit. messe à quatre voix) de Giacomo Puccini, souvent connue sous le nom erroné de Messa di Gloria (lit. messe de gloire), est une Messe pour orchestre et chœur à quatre v ...

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Isaac ALBENIZ - Asturias (guitare: Andres Segovia)


Asturias (Leyenda) utilise des rythmes flamenco d'Andalousie.
La Suite española ou Suite espagnole, Op. 47, est une suite pour piano seul composée par Isaac Albéniz. Cette suite est majoritairement constituée d'œuvres composées en 1886 et rassemblées en 1887 en l'honneur de Marie-Christine d'Autriche, reine d'Espagne. Comme beaucoup d'œuvres pour piano d'Albeniz, ces pièces utilisent différents styles musicaux de régions d'Espagne.
La suite est initialement constituée de quatre pièces : Granada, Cataluña, Seville et Cuba. L'éditeur Hofmeister republie la Suite espagnole en 1912, après la mort d'Albéniz, en ajoutant Cádiz, Asturias, Aragón et Castile. Ces nouvelles pièces ont auparavant été publiées dans d'autres éditions, parfois sous un autre nom (Asturias est le prélude de Chants d'Espagne).

Andrés Torres Segovia, marqués de Salobreña (né le 21 février 1893 à Linares, Espagne – mort le 2 juin 1987 à Madrid) est un guitariste classique espagnol. Segovia déclarait qu'il avait « sauvé la guitare des mains du flamenco bohémien », et mis en place un répertoire classique pour lui donner sa place dans les salles de concert. Il faut préciser qu'il parlait là du mauvais flamenco, car dans le film de Christopher Nupen, Segovia at los olivos (1967), il déclare : « Le vrai flamenco, la vraie tradition du flamenco est magnifique, magnifique ! ».
Isaac ALBENIZ - Asturias (guitare: Andres Segovia) (E)
Asturias (Leyenda) utilise des rythmes flamenco d'Andalousie.
La Suite española ou Suite espagnole, Op. 47, est une suite pour piano seul composée par Isaac Albéniz. Cette suite est majoritairement constitué ...

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Edmond AUDRAN - la mascotte - duo des dindons


Edmond AUDRAN - la mascotte - duo des dindons (E)
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BELLINI - la Norma - Casta diva par Maria Callas (1831) (1952)


Tragédie romantico-classique, "Norma" est l'un des opéras majeurs du 19e siècle. Il raconte l'histoire de Norma, grande prêtresse d'un temple et mère de deux enfants qu'elle a eu avec Pollione, un proconsul romain. Or, elle découvre que son amant est amoureux de son amie, la jeune prêtresse Adalgisa. Norma tente de convaincre Pollione de renoncer à Adalgisa, mais ce dernier refuse. Norma avoue alors publiquement sa faute (elle a manqué à ses voeux de prêtresses) et est condamnée à mort…
"Casta Diva" est l'air d'ouverture de la tragédie. Un prélude magnifié par le chant de la flûte et la mélancolie des cordes et l'un des airs les plus célèbres du répertoire lyrique.
En 1952, Maria Callas interprète "Norma", sous la direction du chef d'orchestre Tullio Serafin

Casta Diva, che inargenti
Queste sacre antiche piante
A noi volgi il bel sembiante
Senza nube e senza vel
Tempra, o Diva
Tempra tu de cori ardenti
Tempra ancora lo zelo audace
Spargi in terra quella pace
Che regnar tu fai nel ciel
Fine al rito, e il sacro bosco
Sia disgombro dai profani
Quando il Nume irato e fosco
Chiegga il sangue dei Romani
Dal Druidico delubro
La mia voce tuoner
Cadr punirlo io posso
Ma, punirlo, il cor non sa
Ah! bello a me ritorna
Del fido amor primiero
E contro il mondo intiero
Difesa a te sar
Ah! bello a me ritorna
Del raggio tuo sereno
E vita nel tuo seno
E patria e cielo avr
Ah, riedi ancora qual eri allora
Quando il cor ti diedi allora
Ah, riedi a me
Paroliers : Vicenzo Bellini / George Wilson
BELLINI - la Norma - Casta diva par Maria Callas (1831) (1952) (E)
Tragédie romantico-classique, "Norma" est l'un des opéras majeurs du 19e siècle. Il raconte l'histoire de Norma, grande prêtresse d'un temple et mère de deux enfants qu'elle a eu avec Pollione, un ...

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BENCINI - magnificat


Magnificat anima mea Dominum,
et exsultavit spiritus meus in Deo salutari meo.
Quia respexit humilitatem ancillae suae.
Ecce enim ex hoc beatam me dicent omnes generationes.
Quia fecit mihi magna qui potens est.
Et sanctum nomen ejus.
Et misericordia ejus a progenie in progenies timentibus eum.
Fecit potentiam in brachio suo.
Dispersit superbos mente cordis sui.
Deposuit potentes de sede, et exaltavit humiles.
Esurientes implevit bonis, et divites dimisit inanes.
Suscepit Israël puerum suum, recordatus misericordiae suae
Sicut locutus est ad patres nostros, Abraham et semini ejus in saecula.
BENCINI - magnificat (E)
Magnificat anima mea Dominum,
et exsultavit spiritus meus in Deo salutari meo.
Quia respexit humilitatem ancillae suae.
Ecce enim ex hoc beatam me dicent omnes generationes.
Quia fecit mihi magna qui potens est.
Et ...

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BENCINI - Ave Maria - Salve Regina


Salve, Regina, mater misericordiae. Vita, dulcedo et spes nostra, salve.
Ad te clamamus, exsules filii Evae.
Ad te suspiramus, gementes et flentes in hac lacrimarum valle.
Eia ergo, advocata nostra, illos tuos misericordes oculos ad nos converte.
Et Jesum, benedictum fructum ventris tui, nobis post hoc exilium ostende.
O clemens, o pia, o dulcis Virgo Maria !
BENCINI - Ave Maria - Salve Regina (E)
Salve, Regina, mater misericordiae. Vita, dulcedo et spes nostra, salve.
Ad te clamamus, exsules filii Evae.
Ad te suspiramus, gementes et flentes in hac lacrimarum valle.
Eia ergo, advocata nostra, illos tuos misericordes oculo ...

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Hector BERLIOZ - requiem ou grande messe des morts


Le Requiem ou plus exactement la Grande Messe des morts (opus 5) H. 75, d'Hector Berlioz (1803–1869) a été composé en 1837. Cette partition est l'une des œuvres les plus connues du musicien en raison de son énorme effectif orchestral de bois et de cuivres comprenant quatre ensembles de cuivres antiphoniques placés dans les coins de la scène. L’œuvre dure environ 90 minutes et tire son texte de la messe latine traditionnelle de Requiem.
Adrien de Gasparin, ministre de l’Intérieur français, voulait remettre au goût la musique religieuse. Il décida donc de financer chaque année un compositeur pour l’écriture d’une messe ou d’un oratoire de grande dimension. Le ministre commença en 1837 avec Berlioz en lui demandant de composer une messe de Requiem en mémoire des soldats de la Révolution de juillet 1830.
Berlioz, voulant composer une œuvre avec une grande orchestration, a accepté avec joie cette demande : « Le texte du Requiem était pour moi une proie dès longtemps convoitée, qu’on me livrait enfin, et sur laquelle je me jetai avec une sorte de fureur ».
La représentation initialement prévue pour la commémoration de la révolution de 1830 fut annulée et la première eut finalement lieu lors d’un service funèbre pour les soldats morts lors de la prise de Constantine. Berlioz avait pour habitude de diriger ses œuvres mais on lui imposa de prendre François-Antoine Habeneck, avec qui il était brouillé, comme chef d’orchestre1.

La première, qui obtint un grand succès, fut donc dirigée par Habeneck le 5 décembre 1837 dans l’Église des Invalides pour les obsèques du général Charles-Marie Denys de Damrémont. Selon les mémoires de Berlioz, à l’arrivée d’un moment critique du Tuba mirum, « Habeneck baisse son bâton, tire tranquillement sa tabatière et se met à prendre une prise de tabac » ; Berlioz se rua sur le podium pour diriger sauvant ainsi le concert d’un désastre. Cette anecdote est jugée peu crédible par de nombreux commentateurs. Il s'agit toutefois de commentateurs postérieurs, qui n'étaient pas des contemporains ni de Berlioz ni du concert. Il est ainsi des témoins d'époque qui ont attesté l'incident : Charles Hallé et Eugène de Mirecourt. Il y aurait aussi le témoignage de Julien Tiersot, l'un des plus sérieux biographes de Berlioz au début du xxe siècle. David Cairns ne conteste d'ailleurs pas l'incident lorsqu'il dit : « incident attesté par des témoins indépendants » et il ajoute en note : « Je spécule en situant l'incident à la répétition générale publique plutôt qu'à la cérémonie elle-même, car je suppose qu'un musicien relativement peu connu comme Hallé aurait plutôt assisté à la générale qu'à cette grandiose manifestation, parmi tous ces hauts personnages ».

Berlioz a dédié son Requiem à Gasparin. Il tenait le Requiem au premier rang de toutes ses œuvres et a écrit « Si j’étais menacé de voir brûler mon œuvre entier, moins une partition, c’est pour la Messe des morts que je demanderais grâce ».
Hector BERLIOZ - requiem ou grande messe des morts (E)
Le Requiem ou plus exactement la Grande Messe des morts (opus 5) H. 75, d'Hector Berlioz (1803–1869) a été composé en 1837. Cette partition est l'une des œuvres les plus connues du musicien en raison de son ...

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Hector BERLIOZ - symphonie fantastique


Dès 1830, six ans seulement après la symphonie n° 9 de Beethoven, encore sous l'influence du Faust de Goethe qu'il venait de lire, Berlioz compose la Symphonie fantastique, op. 14, qui enthousiasme Franz Liszt.
Avec cette œuvre, Berlioz va lancer une toute nouvelle forme de « musique descriptive », appelée « musique à programme » et va avoir un écho important chez les musiciens des pays germaniques (auprès du hongrois Franz Liszt et plus tard chez l'allemand Richard Strauss). Par la suite, elle influencera la musique française (Saint-Saëns, Dukas, Franck et d'Indy).
La Symphonie fantastique op. 14 (titre original : Épisode de la vie d’un artiste, symphonie fantastique en cinq parties) est une œuvre d'Hector Berlioz, dédiée à Nicolas Ier de Russie et créée le 5 décembre 1830 au conservatoire de Paris, sous la direction de François-Antoine Habeneck, six ans après la neuvième symphonie de Beethoven. Composée de cinq scènes descriptives, cette œuvre, plus proche du poème symphonique que de la symphonie, fait partie d’un genre appelé musique à programme. L'exécution de l'œuvre dure 48 minutes.
Le traitement expressif de l'orchestre est sans précédent. La musique exprime alternativement la beauté (au début), l'élégance (de la scène de bal), le pastoral (les champs), les ténèbres (l'échafaud), le démoniaque (le sabbat) ; une révolution dans l'art de l'orchestration : les anciens recherchaient une musique claire et distincte et utilisaient pour cela la sonorité native des instruments, mais Berlioz ordonnait à l'orchestre de murmurer, de chanter, de crier et même de hurler. Le tempo est largo.
Par son écriture novatrice, le choix des instruments, l'originalité de leurs utilisations, l'invention de leurs combinaisons et l'audace des effets (comme l'ambitus des nuances ou la spatialisation), la Symphonie fantastique, composée six ans seulement après la 9e symphonie de Beethoven, fait du jeune Berlioz (il n'avait que vingt-sept ans) l'un des premiers maîtres de l'orchestration8 de la musique classique.

En 1827, Berlioz assista à Paris à une représentation de Hamlet de Shakespeare — bien qu'il ne comprît pas un mot d'anglais — où l'actrice irlandaise Harriet Smithson jouait le rôle d'Ophélie. À la fin du spectacle, il fut désespérément épris d'Harriet et erra toute la nuit en proie à une frustration et à un désir qui ne se démentirent pas durant les cinq années suivantes. Échouant à la séduire par ses lettres, il conçut le projet de la conquérir par sa musique : la Symphonie fantastique, basée sur un récit autobiographique (ce que Berlioz niera par la suite) et hantée par une mélodie représentant la bien-aimée et décrite comme idée fixe. Berlioz, inspiré, ne mettra que deux mois à composer la symphonie (février-mai 1830). Un travail douloureux sortant d’une période de dépression qui avait commencé six mois avant le début de la composition. En 1829 Berlioz se plaint : « Pourriez-vous me dire ce que c’est que cette puissance d’émotion, cette faculté de souffrir qui me tue ? » dans l’une de ses lettres

« Berlioz, à la chevelure ébouriffée, jouait les timbales tout en regardant l'actrice d'un visage obsédé et chaque fois que leurs yeux se rencontraient, il frappait encore d'une plus grande vigueur. »
— Heinrich Heine, Revue et gazette musicale, 4 février 18382.


Hector BERLIOZ - symphonie fantastique (E)
Dès 1830, six ans seulement après la symphonie n° 9 de Beethoven, encore sous l'influence du Faust de Goethe qu'il venait de lire, Berlioz compose la Symphonie fantastique, op. 14, qui enthousiasme Franz Liszt.
Avec c ...

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Georges BIZET - Carmen - Habanera


C'est l'heure de la pause pour les cigarières de la manufacture qui font l'éloge de la fumée du tabac Les jeunes gens assemblés demandent à Carmen quand elle les aimera. En guise de réponse Carmen expose sa philosophie de l'amour, quelque peu pessimiste, dans la célébrissime habanera
L'amour est enfant de bohème
Il n'a jamais jamais connu de loi
Si tu ne m'aimes pas je t'aime
si je t'aime prends garde à toi. »

Carmen est un opéra tragique en quatre actes de Georges Bizet, sur un livret d'Henri Meilhac et Ludovic Halévy, d'après la nouvelle Carmen, de Prosper Mérimée. La première représentation eut lieu sous la direction d'Adolphe Deloffre.
Créé le 3 mars 1875 à l'Opéra-Comique de Paris, c'est l'un des opéras les plus joués au monde.

Carmen - Anna Caterina Antonacci; Don José - Jonas Kaufmann; Escamillo - Ildebrando D'Arcangelo; Micaela - Norah Amsellem; The Royal Opera Chorus; Chorus Director: Renato Balsadonna; The Orchestra of the Royal Opera House Covent Garden; Conductor: Antonio Pappano
Artiste
Georges BIZET - Carmen - Habanera (E)
C'est l'heure de la pause pour les cigarières de la manufacture qui font l'éloge de la fumée du tabac Les jeunes gens assemblés demandent à Carmen quand elle les aimera. En guise de réponse Carmen e ...

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BOIELDIEU - concerto pour harpe


Boieldieu composa 37 Opéras Comiques, dont La Dame Blanche, ainsi que des pièces instrumentales aux fraîches mélodies, comme ce délicieux Concerto paru vers 1800.
musique, , ,
BOIELDIEU - concerto pour harpe (E)
Boieldieu composa 37 Opéras Comiques, dont La Dame Blanche, ainsi que des pièces instrumentales aux fraîches mélodies, comme ce délicieux Concerto paru vers 1800.
musique, , , ...

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Alexandre BORODINE - Le Prince Igor - Danses polovtsiennes


Il s’agit de danses d’une tribu nomade du XIIe siècle sur les bords de la Mer noire. Ces danses sont exécutées dans le camp des Polovtsiens, alors que leur chef, le Khan Kontchak, retient prisonnier le prince Igor.
Les Danses polovtsiennes sont l'extrait le plus célèbre composé par Alexandre Borodine dans son opéra Le Prince Igor. Elles sont souvent jouées à part dans des concerts. Dans l'opéra, les danses sont accompagnées d'un chœur.
Alexandre BORODINE - Le Prince Igor - Danses polovtsiennes (E)
Il s’agit de danses d’une tribu nomade du XIIe siècle sur les bords de la Mer noire. Ces danses sont exécutées dans le camp des Polovtsiens, alors que leur chef, le Khan Kontchak, retient prisonnier le princ ...

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Alfredo CATALANI - la Wally


La Wally est un opéra en quatre actes d'Alfredo Catalani, sur un livret de Luigi Illica, créé à La Scala de Milan le 20 janvier 1892 sous la direction d'Edoardo Mascheroni.

À l'origine se trouvent un roman et une pièce de théâtre de Wilhelmine von Hillern, Die Geyer-Wally (littéralement: « La Wally aux vautours ») dont l'action se passe dans un village tyrolien, le père de l'héroïne lui ayant choisi un parti dont elle ne veut pas.

L'air principal de cet opéra — Ebben? Ne andró lontana1 —, intitulé à l'origine « Chanson groenlandaise », est chanté dans le film Diva de Jean-Jacques Beineix par Wilhelmenia Wiggins Fernandez. On peut également l'entendre dans le premier film de Tom Ford, A Single Man, ainsi que dans le biopic d'Yves Saint Laurent réalisé par Jalil Lespert.
Alfredo CATALANI - la Wally (E)
La Wally est un opéra en quatre actes d'Alfredo Catalani, sur un livret de Luigi Illica, créé à La Scala de Milan le 20 janvier 1892 sous la direction d'Edoardo Mascheroni.

À l'origine se trouvent ...

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Dmitri CHOSTAKOVITCH - Suite pour orchestre de jazz n° 2 - valse 2


Cette seconde suite pour orchestre de jazz par Chostakovitch est une commande de l'Orchestre d'État. La première fut donnée à Leningrad en 1938. La partition fut perdue durant la seconde guerre mondiale mais une réduction pour piano fut redécouverte par Manashir Yakubov en 1999. Trois mouvements de la suite furent reconstitués et orchestrés par Gerard McBurney. La création eut lieu en 2000 lors du concert promenade de Londres.
La valse a servit de musique à des publicités pour les assurances CNP.
Elle est utilisée au début du film Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick
Dmitri CHOSTAKOVITCH - Suite pour orchestre de jazz n° 2 - valse 2 (E)
Cette seconde suite pour orchestre de jazz par Chostakovitch est une commande de l'Orchestre d'État. La première fut donnée à Leningrad en 1938. La partition fut perdue durant la seconde guerre mondiale mais une ...

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Leo DELIBES - Lakmé - duo des fleurs


« Viens Mallika... Sous le dome épais » (Lakmé et Mallika). Dans ce duo Lakmé et sa compagne s'apprêtent à aller cueillir des fleurs dans la forêt pour en orner le temple.
Lakmé est un opéra en trois actes de Léo Delibes sur un livret en français d'Edmond Gondinet et Philippe Gille1 d'après la nouvelle de Pierre Loti, Rarahu ou le Mariage de Loti (1880), créé le 14 avril 1883 à l'Opéra-Comique de Paris. L'air le plus connu est le Duo des fleurs.
Leo DELIBES - Lakmé - duo des fleurs (E)
« Viens Mallika... Sous le dome épais » (Lakmé et Mallika). Dans ce duo Lakmé et sa compagne s'apprêtent à aller cueillir des fleurs dans la forêt pour en orner le temple.
Lakmé ...

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Antonin DVORAK - symphonie du nouveau monde


La Symphonie n° 9 en mi mineur, B. 178 (op. 95) « Du Nouveau Monde » est composée par Antonín Dvorak en 1893 et exécutée le 15 décembre de la même année au Carnegie Hall par l'Orchestre philharmonique de New York sous la direction d'Anton Seidl. Elle est la plus connue de ses symphonies et l'une des œuvres les plus populaires du répertoire symphonique moderne.
Dvorak la compose durant son séjour aux États-Unis (1892-1896) alors qu'il travaille comme directeur du Conservatoire de New York et vit sur la Première Avenue de Manhattan.
Antonin DVORAK - symphonie du nouveau monde (E)
La Symphonie n° 9 en mi mineur, B. 178 (op. 95) « Du Nouveau Monde » est composée par Antonín Dvorak en 1893 et exécutée le 15 décembre de la même année au Carnegie Hall par l' ...

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Georges ENESCO - Rapsodie roumaine n1 op11


La Rhapsodie roumaine en la majeur opus 11 n° 1 est une œuvre symphonique de Georges Enesco.
Immensément populaire à travers le monde, cette rhapsodie a été composée en 1901. Elle est construite à partir du folklore roumain, procédé qu'Enesco avait déjà employé pour son Poème Roumain, suite symphonique datée de 1897. Utilisant des mélodies habituellement au répertoire de musiciens virtuoses tels que GrigoraÅŸ Dinicu, Enesco emprunte des thèmes de chants et de danses parmi lesquels « Hora lui Dobrica », « Mugur, mugurel », et l'immortelle pièce de virtuosité « Ciocîrlia » (« l'Alouette »).
Georges ENESCO - Rapsodie roumaine n1 op11 (E)
La Rhapsodie roumaine en la majeur opus 11 n° 1 est une œuvre symphonique de Georges Enesco.
Immensément populaire à travers le monde, cette rhapsodie a été composée en 1901. Elle est constr ...

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Cesar FRANCK - symphonie en ré m - 2e mt


Cesar FRANCK - symphonie en ré m - 2e mt (E)
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César FRANK - symphonie en ré m - 2e mt allegretto


La Symphonie en ré mineur FWV 48 est l'œuvre orchestrale la plus connue de César Franck, compositeur belge naturalisé français, du xixe siècle. Il s'agit de son unique symphonie, composée entre 1886 et 1888 (elle a été terminée le 22 août 1888). La première a été donnée au Conservatoire de Paris le 17 février 1889 sous la direction Jules Garcin. César Franck a dédié cette symphonie à son élève Henri Duparc.
César FRANK - symphonie en ré m - 2e mt allegretto (E)
La Symphonie en ré mineur FWV 48 est l'œuvre orchestrale la plus connue de César Franck, compositeur belge naturalisé français, du xixe siècle. Il s'agit de son unique symphonie, composée entr ...

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Cesar FRANK - quintette pour piano et cordes


Cesar FRANK - quintette pour piano et cordes (E)
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Charles GOUNOD - marche funebre pour une marionette


La Marche funèbre d'une marionnette est une œuvre pour piano de Charles Gounod composée en 1872 et arrangée pour orchestre symphonique par l'auteur en 1879. Elle est dédicacée à Madame Viguier, pianiste et femme d'Alfred Viguier, premier alto dans l'orchestre de la Société des concerts du Conservatoire.
Écrite à la manière d'une marche funèbre pleine d'humour contenu, l'œuvre est une parodie légère reposant sur un jeu de décalage entre le sérieux des funérailles d'un être cher et le burlesque des personnages d'une troupe de marionnettes. La partition pour piano comporte des indications de programme :
« La marionnette est cassée ! - Murmure de regrets de la troupe - Le cortège -
Ici plusieurs des principaux personnages de la troupe s'arrêtent pour se rafraîchir - Retour à la maison. »
En 1882, sur un texte de Georges Price et Jean Ker Mary et des gravures en taille-douce de Paul Destez et Japhet, les Éditions Henry Lemoine publient une édition de luxe éponyme avec partition, sous forme de mélodrame reprenant les personnages de la Commedia dell'arte, mais l'histoire, très développée, ne peut être dite avec la musique trop courte (moins de quatre minutes).
La Marche funèbre d'une marionnette est célèbre par son utilisation dans le générique des 268 épisodes d'Alfred Hitchcock présente, l'anthologie en sept saisons (de 1955 à 1962) du réalisateur/présentateur qui créa cette série télévisée américaine.
Charles GOUNOD - marche funebre pour une marionette (E)
La Marche funèbre d'une marionnette est une œuvre pour piano de Charles Gounod composée en 1872 et arrangée pour orchestre symphonique par l'auteur en 1879. Elle est dédicacée à Madame Viguier ...

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Johann Nepomuk HUMMEL - concerto pour piano n 2 - 3e mt


Parmi les œuvres les plus intéressantes et les plus appréciées de Hummel figurent les huit concertos pour piano. Le premier (en do, opus 34a, 36), le deuxième (la mineur, op. 85) et le cinquième (la bémol, op. 113) furent créés à Vienne, respectivement vers 1811, 1821 et 1830. Le troisième, représenté à Leipzig vers 1821, est en si mineur (op. 89). Hummel compose dans cette même ville son quatrième concerto en mi (op. 110) vers 1814.
Jean-Népomucène Hummel (en allemand Johann Nepomuk Hummel), né à Presbourg (alors en Hongrie royale, aujourd'hui Bratislava en Slovaquie) le 14 novembre 17781 et mort à Weimar (Grand-duché de Saxe-Weimar-Eisenach), le 17 octobre 18371, est un compositeur allemand, élève de Mozart, de Haydn et de Salieri. Ayant surtout composé des pièces pour le piano, il était considéré comme l'un des meilleurs pianistes de concert d'Europe.

Well intentionned Hae-won Chang is a leading figure of pianistic art in S.Korea. She has studied in Germany and it shows. Budapest Chamber Orchestra conducted by Pál Tamás. I like this rendition for its moderate solemnity and mature sound. A captivating finale at 04:34 of the second video where the bravoura of the pianist does not dominate the whole scene.
Johann Nepomuk HUMMEL - concerto pour piano n 2 - 3e mt (E)
Parmi les œuvres les plus intéressantes et les plus appréciées de Hummel figurent les huit concertos pour piano. Le premier (en do, opus 34a, 36), le deuxième (la mineur, op. 85) et le cinquième (la ...

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Johann Nepomuk HUMMEL - concerto pour piano n4 Op 110


Johann Nepomuk HUMMEL - concerto pour piano n4 Op 110 (E)
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Friedrich KALKBRENNER - concerto pour piano n1 in d minor op61


Friedrich KALKBRENNER - concerto pour piano n1 in d minor op61 (E)
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Franz LISZT - la campanella


La Campanella (La Clochette en italien) est une célèbre pièce pour piano en Sol dièse mineur, la troisième étude de la série des Grandes études de Paganini composée par Liszt. Elle est basée sur le dernier mouvement du Concerto pour violon nº 2 de Paganini en si mineur. Liszt avait déjà repris ce même thème dans son œuvre Grande Fantaisie de bravoure sur La Clochette.
Représentative de la technique pianistique de Liszt, son exécution est extrêmement difficile et requiert énormément de rapidité, de dextérité et de souplesse.
Franz LISZT - la campanella (E)
La Campanella (La Clochette en italien) est une célèbre pièce pour piano en Sol dièse mineur, la troisième étude de la série des Grandes études de Paganini composée par Liszt. E ...

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Franz LISZT - Liebestraume nocturne n3 pour piano 'reve d'amour'


Liebesträume (français : Rêves d'amour), est un recueil de trois œuvres pour piano (S/G541) composé par Franz Liszt, et publié en 1850.
Liebesträume fait souvent référence au No. 3, la plus connue des trois pièces. Elles sont composées pour accompagner des poèmes de Ludwig Uhland et de Ferdinand Freiligrath. Dès leur publication, deux versions apparaissent, une pour voix et piano et une transcription pour piano solo.
Les deux poèmes d'Uhland et celui de Freiligrath décrivent trois différentes formes d'amour. L' Hohe Liebe (Amour exalté) de Uhland est un amour saint ou religieux : le martyre renonce à l'amour terrestre et les portes du paradis s'ouvrent pour lui. Le second évoque l' amour érotique, "Gestorben war ich" (littéralement j'étais mort) - Mort est ici une métaphore faisant référence à la petite mort ("J'étais mort de la volupté d'aimer; je gisais enterré dans ses bras; je fus réveillé par ses baisers; je vis le ciel dans ses yeux."). Le poème de Freiligrath, celui du fameux nocturne, parle de l'amour mature ("O lieb, so lang du lieben kannst", "Aime aussi longtemps que tu peux aimer").
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Franz LISZT - Liebestraume nocturne n3 pour piano 'reve d'amour' (E)
Liebesträume (français : Rêves d'amour), est un recueil de trois œuvres pour piano (S/G541) composé par Franz Liszt, et publié en 1850.
Liebesträume fait souvent référence au No. ...

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liturgie orthoxe - aposticha ascension (moines de Chevetogne)


liturgie orthoxe - aposticha ascension (moines de Chevetogne) (E)
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Gustav MAHLER - symphonie n1 Titan - 2e mt (Lorin Maazel)


C'est le mouvement le plus mystérieux de cette symphonie, une lente marche funèbre en ré mineur, bâti sur la version allemande de la chanson Frère Jacques. Sur un mouvement de balancier lourd et sombre des basses, la chanson, altérée par le mode mineur, se déploie lentement en une sorte de cortège funèbre. La mélodie s’amplifie, se répandant à tout l’orchestre. Soudain, un thème presque vulgaire, issu des danses de bistro, est joué « avec parodie » par un petit orchestre, aux sonorités étranges : c'est la musique d'un mariage juif. Cette alternance d’éléments graves et futiles scandalisa les premiers auditeurs peu habitués à cet amalgame de genres. Mahler aimait qualifier le mouvement de « marche funèbre à la manière de Callot », hommage au célèbre graveur populaire du xviie siècle, Jacques Callot, qui exploitait un style particulièrement ironique.
Gustav MAHLER - symphonie n1 Titan - 2e mt (Lorin Maazel) (E)
C'est le mouvement le plus mystérieux de cette symphonie, une lente marche funèbre en ré mineur, bâti sur la version allemande de la chanson Frère Jacques. Sur un mouvement de balancier lourd et sombre des ...

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Jules MASSENET - meditation de Thais


L'action se déroule à Alexandrie au ive siècle.
Un moine cénobite, Athanaël, cherche à convertir au christianisme Thaïs, courtisane célèbre dévouée à la déesse Vénus. Il y réussit, et Thaïs s'enferme dans un couvent jusqu'à sa mort prochaine. Athanaël découvre trop tard que son obsession pour Thaïs était teintée d'amour charnel, et alors que Thaïs meurt dans la joie de la rédemption, il renie sa foi et désespère.
Athanaël, l'ascète rigoriste révèle peu à peu le fond de sa personnalité : c'est un séducteur perdu de sensualité, tandis que Thaïs la courtisane qui "connaît toutes les ivresses" réalise ses aspirations les plus profondes en renonçant au monde. Le croisement entre ces deux parcours personnels est marqué, au milieu de l'opéra, par la très célèbre "Méditation religieuse" de l'acte II, confiée au violon solo, aujourd'hui connue sous le nom de « Méditation de Thaïs », et souvent jouée en concert. Inspiré par ces deux puissants caractères, Massenet a su en faire des êtres de musique et de chair, et chacune de leurs confrontations marque un temps fort de l'ouvrage.
Jules MASSENET - meditation de Thais (E)
L'action se déroule à Alexandrie au ive siècle.
Un moine cénobite, Athanaël, cherche à convertir au christianisme Thaïs, courtisane célèbre dévouée à la d& ...

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Felix MENDELSSOHN - Elias


Après l'immense succès remporté par son Paulus, Felix Mendelssohn (1809-1847) compose son dernier grand chef-d'œuvre, l'oratorio Elias, en 1846. Le livret s'appuie sur le portrait que fait le récit biblique du prophète Élie, au premier livre des Rois, ainsi que sur d'autres textes bibliques (Esaïe, Psaumes, ...). Personnage haut en couleur, plein de fougue et de zèle, Élie progresse au fil de l'oratorio dans la connaissance de lui-même et de Dieu.

Cette œuvre est créée au festival triennal de musique de Birmingham. Elle est jouée chaque année de 1840 à 1930 lors du Three Choirs Festival.
Felix MENDELSSOHN - Elias (E)
Après l'immense succès remporté par son Paulus, Felix Mendelssohn (1809-1847) compose son dernier grand chef-d'œuvre, l'oratorio Elias, en 1846. Le livret s'appuie sur le portrait que fait le récit biblique ...

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Felix MENDELSSOHN - concerto pour piano in A Minor


Felix MENDELSSOHN - concerto pour piano in A Minor (E)
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Felix MENDELSSOHN - songe d'une nuit d'été - scherzo


Felix MENDELSSOHN - songe d'une nuit d'été - scherzo (E)
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Turquie - musique et danse soufi - derviches tourneurs


Le danseur tourne d’abord lentement puis très rapidement, jusqu’à ce qu'il atteigne une forme de transe, durant laquelle il déploie les bras, la paume de la main droite dirigée vers le ciel dans le but de recueillir la grâce d’Allah, celle de la main gauche dirigée vers la terre pour l’y répandre.
L'ordre Mevlevi est un ordre musulman soufi fondé à Konya au xiiie siècle par Jalal al-Din Rumi, dont les membres sont souvent appelés « derviches tourneurs » en référence à leur danse appelée sama‘ (ou sema), dont les mouvements rappellent ceux d’une toupie.
La voie Mevlevi situe les arts traditionnels comme des moyens au travers desquels les disciples progresseront afin de « raffiner » leur goût et leur personne, ce qui n'est pas une démarche courante, y compris au sein des autres voies soufies.
La musique instrumentale et les chants jouent un rôle important dans le samâ', qui vient de l'arabe « sama » et signifie « l'écoute ».


folklore turquie,
Turquie - musique et danse soufi - derviches tourneurs (E)
Le danseur tourne d’abord lentement puis très rapidement, jusqu’à ce qu'il atteigne une forme de transe, durant laquelle il déploie les bras, la paume de la main droite dirigée vers le ciel dans le bu ...

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Leon MINKUS Marius PETITPA - Don Quichotte (ballet) - Grand pas de deux


le pas de deux apparaît au milieu du xviiie siècle dans le ballet d'action et se développe pleinement au xixe siècle dans le ballet romantique. Il symbolise alors l'amour du couple et illustre les moments les plus poétiques du ballet.
Marius Petipa lui donne une structure fixe, composée d'un adage, d'une variation masculine, d'une variation féminine et d'une coda. Alors que le danseur était jusque-là confiné dans un rôle de faire-valoir de la ballerine, Petipa lui permet de donner toute la mesure de sa virtuosité dans la coda.

Don Quichotte est un ballet en 4 actes, 8 tableaux et un prologue de Marius Petipa, musique de Léon Minkus, représenté pour la première fois au Théâtre Bolchoï de Moscou le 14 décembre 1869.
Inspiré du roman de Cervantès, le ballet mêle l'intrigue amoureuse de la jeune Quiterie (souvent orthographiée Kitri aujourd'hui) et du barbier Basile (ou Basilio) à l'odyssée du « chevalier à la triste figure ». Celle-ci est composée d'épisodes comme la rencontre avec les comédiens ambulants et la bataille contre les moulins à vent. Au cours de la fête finale qui célèbre le dénouement heureux pour les jeunes amoureux, Quiterie et Basile dansent le célèbre « pas de deux » de Don Quichotte, plein de virtuosité, devenu cheval de bataille pour les étoiles classiques.
Alexeï Fadeyechev en donne une nouvelle version pour le Bolchoï le 25 juin 1999 qui sera dansée à travers le monde, notamment lors de son passage à Paris en mai 2011.
Plusieurs danseuses et danseurs de l'Opéra de Paris ont été nommés étoiles à l'issue de la représentation de Don Quichotte : Aurélie Dupont (1998), Laetitia Pujol (2002), Marie-Claude Pietragalla (1990), Monique Loudières (1982), Jérémie Bélingard (2007), Mathieu Ganio (2004).

danse: Svetlana Zakharova et Andrei Uvarov Theatre Bolchoi Moscou
Leon MINKUS Marius PETITPA - Don Quichotte (ballet) - Grand pas de deux (E)
le pas de deux apparaît au milieu du xviiie siècle dans le ballet d'action et se développe pleinement au xixe siècle dans le ballet romantique. Il symbolise alors l'amour du couple et illustre les moments les plus ...

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Ignaz MOSCHELES - concerto pour piano en sol m op58


Ignaz Moscheles est un pianiste et compositeur tchèque, né le 23 mai 1794 à Prague et décédé le 10 mars 1870 à Leipzig.
Fils d'un drapier de Bohême, Moscheles étudie la musique auprès de Friedrich Dionys Weber au Conservatoire de Prague jusqu'en 1808.
De 1808 à 1816, il poursuit des cours de composition à Vienne avec Johann Georg Albrechtsberger (1736-1809) et Antonio Salieri (1750-1825). En 1814, Ludwig van Beethoven lui confie la transcription pour chant et piano de son opéra Fidelio, parue le 20 août de la même année.
De 1816 à 1821, Moscheles se produit à travers toute l'Europe en tant que pianiste virtuose. De 1821 à 1843, il se fixe à Londres où il devient organisateur de concerts. Il donne alors des concerts avec Felix Mendelssohn (qui restera un ami tout au long de sa vie), Hummel, Liszt ou Chopin. En 1840, il publie une Méthode des Méthodes pour le pianoforte, un manuel pour clavier coécrit avec François-Joseph Fétis. La rédaction de cet ouvrage est surtout réalisée par Fétis. Moscheles y suggère les exercices à pratiquer. Un cahier annexe d'études a été publié. Franz Liszt, Frédéric Chopin, Sigismund Thalberg, Félix Mendelssohn, Alexander Dreyschock, Stephen Heller et d'autres pianistes ont écrit des études à la demande de Fétis et Moscheles.
En 1843, il se consacre à la direction du conservatoire de Leipzig avec Mendelssohn.
Ignaz Moscheles est le père du peintre Felix Moscheles et le beau-père du peintre Margaret Moscheles.
Ignaz MOSCHELES - concerto pour piano en sol m op58 (E)
Ignaz Moscheles est un pianiste et compositeur tchèque, né le 23 mai 1794 à Prague et décédé le 10 mars 1870 à Leipzig.
Fils d'un drapier de Bohême, Moscheles étudie la musi ...

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musique traditionelle de l'Empire ottoman


La musique classique ottomane s'est développée à Istanbul et dans les principales villes ottomanes de Skopje au Caire, de Tabriz au Maroc en passant par le palais, les mosquées et les lofges de l'empire ottoman. Avant tout une musique vocale, la musique ottomane accompagne traditionnellement un chanteur solo avec un petit ensemble instrumental. Ces derniers temps, les instruments peuvent inclure le tambur (luth), le ney (flûte), le kemençe (violon), le keman (violon occidental), le kanun (cithare) ou d'autres instruments. Parfois qualifiée de musique monophonique, la variété d'ornementation et de variation de l'ensemble nécessite le terme plus précis hétérophonique.

Üsküdara gideriken

Üsküdara gideriken aldıda bir yaÄŸmur
Kâtibimin setiresi uzun eteÄŸi çamur

Kâtip uykudan uyanmış gözleri mahmur
Kâtip benim ben kâtibin el ne karışır?
Kâtibime kolalı da gömlek ne güzel yaraşır!

Üsküdara gideriken bir mendil buldum,
Mendilimin içine lokum doldurdum.

Kâtibimi arariken yanımda buldum;
Kâtip benim ben kâtibin el ne karışır?
Kâtibime kolalı da gömlek ne güzel yaraşır!

Kâtip benim ben kâtibin el ne karışır?
Kâtibime kolalı da gömlek ne güzel yaraşır!


traduction:
Aller à Üsküdara
Üsküdara une pluie sous la pluie
Jupe longue de mon équipage
Le greffier s'est réveillé
Greffier, qu'est-ce que je reçois entre les mains du scribe?
Comment est ma chemise?
J'ai trouvé un mouchoir à Üsküdara,
J'ai rempli la guimauve de guimauve.
J'ai trouvé ma convoitise à mes côtés;
Greffier, qu'est-ce que je reçois entre les mains du scribe?
Comment est ma chemise?
Greffier, qu'est-ce que je reçois entre les mains du scribe?
Comment est ma chemise?
musique traditionelle de l'Empire ottoman (E)
La musique classique ottomane s'est développée à Istanbul et dans les principales villes ottomanes de Skopje au Caire, de Tabriz au Maroc en passant par le palais, les mosquées et les lofges de l'empire ottoman. ...

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Tzipi ZARENKIN - oyfen preipechik


Dans le foyer scintille une petite flamme,
Sa chaleur se propage à travers la maison,
Et le rabbin enseigne aux petits enfants
L'alphabet hébreu.

Refrain:
Écoutez attentivement, souvenez-vous, petits enfants,
De ce que vous apprenez maintenant,
Répétez encore une fois, encore et encore

Oyfn Pripetchik est un lieder écrit par Mark Warshawsky (1848-1907), décrivant l’apprentissage de l’alphabet hébreu (selon la prononciation ashkénaze) par un rabbin à un groupe d’enfants.
Capturant tant un moment-clé de l’éducation juive traditionnelle qu’une scène de vie typique des Juifs d’Europe de l’Est au xixe siècle, la chanson trouve rapidement son public. Elle évoque avec douceur et nostalgie les premiers moments de l’apprentissage de la Torah, avant de se faire plus sombre en rappelant « la douleur de ces lettres et les larmes qui en tombent » car « l’histoire des Juifs est », selon le dicton, « écrite dans les larmes ».
Cette dimension tragique de la chanson a été accrue par la destruction du monde qu’elle chante et elle demeure à ce jour un symbole du patrimoine musical juif d’avant la Shoah.

Oyfn pripetchik brent a fayerl
Un in shtub is heys
Un der rebbe lernt kleyne kinderlekh
Dem alef-beyz.
Zet zhe, kinderlekh, gedenkt zhe, tayere,
Vos ir lernt do.
Zogt'zhe nokh a mol un take nokh a mol :
Komets alef : o !
Lernt, kinderlekh, mit groys kheyshik,
Azoy zog ikh aykh on.
Ver s'vet beser vun aykh kenen ivri,
Der bakumt a fon.
Az ir vet, kinder, elter vern,
Vet ir aleyn farshteyn,
Vifil in di oysyes lign trern
Un vifil geveyn.
Az ir vet kinder, dem goles shlepn,
Oysgemutshet zany,
Zolt ir fun di oysyes koyekh shepn,
Kukt in zey arayn
Lernt, kinderlekh, hot nit moyre.
Yeder onheyb iz shver.
Gliklekh iz der yid vos lernt toyre,
Vos darfn mir nokh mer ?
Tzipi ZARENKIN - oyfen preipechik (E)
Dans le foyer scintille une petite flamme,
Sa chaleur se propage à travers la maison,
Et le rabbin enseigne aux petits enfants
L'alphabet hébreu.

Refrain:
Écoutez attentivement, so ...

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Niccolo PAGANINI - capriccio n24


Niccolo PAGANINI - capriccio n24 (E)
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Niccolo PAGANINI - moto perpetuo


Paganini benéficia, en plus d'une technique développée, d'une morphologie particulière : ses mains, sans être plus grandes que la normale, étaient dotées d'une extensibilité hors normes. « Ainsi, par exemple, il imprimait aux dernières phalanges de la main gauche qui touchait les cordes, un mouvement de flexion extraordinaire, qui les portait, sans que sa main ne se dérange, dans le sens latéral à leur flexion naturelle, et cela avec facilité, précision et vitesse. » Une théorie prétend que N. Paganini aurait souffert du syndrome de Marfan101,102 mais une hyperlaxité ligamentaire telle que la sienne n'est pas exclusive à ce syndrome particulier et peut avoir diverses explications médicales. Sa technique fit sensation dès son plus jeune âge.

On rapporte que son ouïe était remarquablement développée :
Niccolo PAGANINI - moto perpetuo (E)
Paganini benéficia, en plus d'une technique développée, d'une morphologie particulière : ses mains, sans être plus grandes que la normale, étaient dotées d'une extensibilité hors normes ...

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Serge RACHMANINOV - Scherzo pour orchestre en Re m


Serge RACHMANINOV - Scherzo pour orchestre en Re m (E)
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ROSSINI - Guillaume Tell - Ouverture


ROSSINI - Guillaume Tell - Ouverture (E)
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Giacomo ROSSINI - petite messe solenelle


Gioacchino Rossini: Pequeña Misa Solemne
Kyrie (0:39)
Gloria (8:07)
Gratias (10:13)
Domine Deus (14:25)
Qui Tollis (19:55)
Quoniam (26:26)
Cum Sanctu Spiritu (33:47)
Credo (39:13)
Crucifixus (43:33)
Et Resurrexit (46:46)
Preludio religioso (55:31)
Sanctus (1:03:00)
O Salutaris (1:07:15)
Agnus Dei (1:12:39)

Orquesta Sinfónica de Galicia
Coro de la OSG
Alberto Zedda, director
María José Moreno, soprano
Veronica Simeoni, mezzosoprano
Yijie Shi, tenor
Mirco Palazzi, bajo

Grabación realizada en el Palacio de la Ópera de A Coruña el 30 de mayo de 2014 por Antonio Cid/RDC Producciones.
Giacomo ROSSINI - petite messe solenelle (E)
Gioacchino Rossini: Pequeña Misa Solemne
Kyrie (0:39)
Gloria (8:07)
Gratias (10:13)
Domine Deus (14:25)
Qui Tollis (19:55)
Quoniam (26:26)
Cum Sanctu Spiritu (33:47)
Credo (39:13)
Crucifixus (43:33 ...

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Giacchino ROSSINI - Petite Maesse solenelle - kyrie


C'est à la demande du comte Alexis Pillet-Will, pour son épouse Louise, que Gioachino Rossini compose en 1863 dans sa maison de campagne de Passy, la Petite messe solennelle. Rossini a alors 71 ans et a officiellement pris sa retraite depuis 34 ans. Il adresse au « Créateur » une dédicace en forme de boutade :
« Bon Dieu. La voilà terminée cette pauvre petite messe. Est-ce bien de la musique sacrée que je viens de faire ou de la sacrée musique ? J'étais né pour l'opera buffa, tu le sais bien ! Peu de science, un peu de cœur, tout est là. Sois donc béni et accorde moi le Paradis. »
La Petite messe solennelle1 est une œuvre de musique sacrée (messe), à l'origine écrite pour quatre solistes, chœur mixte, deux pianos et un harmonium de Gioachino Rossini. Elle fut créée le 14 mars 1864 à Paris.
Giacchino ROSSINI - Petite Maesse solenelle - kyrie (E)
C'est à la demande du comte Alexis Pillet-Will, pour son épouse Louise, que Gioachino Rossini compose en 1863 dans sa maison de campagne de Passy, la Petite messe solennelle. Rossini a alors 71 ans et a officiellement pris sa ...

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Pablo de SARASATE - airs bohemiens


Les Zigeunerweisen (Airs bohémiens) op. 20 est une œuvre pour violon et orchestre écrite en 1878 par le compositeur espagnol Pablo de Sarasate. La version originale était pour violon et piano et a été créée la même année à Leipzig, en Allemagne. L'œuvre est basée sur des thèmes populaires roumains, et dans la dernière section, elle contient des rythmes de csárdás; cette section utilise un thème déjà utilisé dans la Rhapsodie hongroise no 13 de Franz Liszt, composée en 1847.

C'est l'une des œuvres les plus populaires de Sarasate et une des pièces favorites chez les virtuoses du violon. Elle a été enregistrée par un grand nombre de violonistes depuis l'enregistrement fait par Sarasate lui-même en 1904.

Elle a fourni le titre et une bonne partie de la bande originale du film de 1980 Zigeunerweisen de Seijun Suzuki.
Pablo de SARASATE - airs bohemiens (E)
Les Zigeunerweisen (Airs bohémiens) op. 20 est une œuvre pour violon et orchestre écrite en 1878 par le compositeur espagnol Pablo de Sarasate. La version originale était pour violon et piano et a été ...

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Eric SATIE - gymnopedie n1 pour piano


Les Gymnopédies sont trois œuvres pour piano composées par Erik Satie, publiées à Paris en 1888, des pièces légères mais atypiques qui bravent délibérément de nombreuses règles de la musique classique. C'est après avoir lu Salammbô de Gustave Flaubert que Satie a l'idée de pièces pour piano inspirées par les danses de l'antiquité grecque. Satie a choisi le terme de « gymnopédies » qui désigne une danse pratiquée par de jeunes danseurs nus à Sparte.
Eric SATIE - gymnopedie n1 pour piano (E)
Les Gymnopédies sont trois œuvres pour piano composées par Erik Satie, publiées à Paris en 1888, des pièces légères mais atypiques qui bravent délibérément de nombr ...

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Arnold SCHOENBERG - la nuit transfigurée


La Nuit transfigurée op. 4 (Verklärte Nacht) est une œuvre pour sextuor à cordes (deux violons, deux altos, deux violoncelles), composée par Arnold Schönberg en 1899.
Durant l'été 1899, le musicien tombe amoureux de Mathilde, la sœur d'Alexander von Zemlinsky, avec qui il se mariera un peu plus tard. Il compose pour elle cette Nuit transfigurée en moins de trois semaines. Il s'agit donc d'une œuvre de jeunesse, écrite bien avant sa période dodécaphonique, avec des accents de romantisme tardif. On y perçoit principalement l'influence de Wagner et de Brahms, certains enchaînements harmoniques évoquant fortement Tristan und Isolde et ses accords de neuvième sans fondamentale. Œuvre de jeunesse sans doute, mais qui va déjà bien au-delà des conventions de l'époque. Le jeune Schönberg, âgé de vingt cinq-ans, a déjà assimilé et dépassé l'art des grands romantiques allemands ; certains passages de Verklärte Nacht sont, encore aujourd'hui, difficiles d'accès par leur caractère dissonant. Ce chef-d'œuvre précoce reste l'une des œuvres les plus jouées et les plus applaudies du novateur viennois.
La pièce est basée sur un poème extrait du recueil La Femme et le monde (Weib und Welt) de Richard Dehmel, un ami du musicien. Le texte, plus tard publié séparément sous le titre Zwei Menschen. Roman in Romanzen, décrit une promenade nocturne d'un couple amoureux dont la femme avoue qu'elle attend un enfant d'un autre. Son amant insiste sur l'importance de sa maternité et lui assure qu'il est disposé à faire sien cet enfant. Ils marchent heureux, sous la lune, dans cette nuit transfigurée.
Arnold SCHOENBERG - la nuit transfigurée (E)
La Nuit transfigurée op. 4 (Verklärte Nacht) est une œuvre pour sextuor à cordes (deux violons, deux altos, deux violoncelles), composée par Arnold Schönberg en 1899.
Durant l'été 1899 ...

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Wilhelm STENHAMMAR - concerto pour piano n2 Op. 23


Carl Wilhelm Eugen Stenhammar (February 7, 1871 -- November 20, 1927) was a Swedish composer, conductor and pianist.

Piano Concerto No.2, Op.23 (1904-07)

1. Moderato, recitando
2. Molto vivace (9:25)
3. Tempo allegretto un poco sostenuto (16:27)
4. Tempo moderato (23:10)

Janos Solyom, piano and the Münchener Philharmonic conducted by Stig Westerberg

Stenhammar was born in Stockholm, where he received his first musical education. He then went to Berlin to further his studies in music. He became a glowing admirer of German music, particularly that of Richard Wagner and Anton Bruckner. Stenhammar himself described the style of his First Symphony in F major as "idyllic Bruckner". He subsequently sought to emancipate himself and write in a more "Nordic" style, looking to Carl Nielsen and Jean Sibelius for guidance. The latter's Symphony No. 2, especially, had a great effect on him, leading him to change his style and refuse to refer to his First Symphony as anything but a trivial piece.

From 1906 to 1922 he was Artistic Director and chief conductor of the Gothenburg Symphony, the first full-time professional orchestra in Sweden. In this capacity, he organised many performances of music by contemporary Scandinavian composers. In 1909, he briefly held the position of director of music at Uppsala University, where he was succeeded the following year by Hugo Alfvén.

Wilhelm Stenhammar died of a stroke at 56 years of age in Jonsered in the historic province of Västergötland. He is buried in Gothenburg.
Wilhelm STENHAMMAR - concerto pour piano n2 Op. 23 (E)
Carl Wilhelm Eugen Stenhammar (February 7, 1871 -- November 20, 1927) was a Swedish composer, conductor and pianist.

Piano Concerto No.2, Op.23 (1904-07)

1. Moderato, recitando
2. Molto vivace (9:25)
3. Tempo a ...

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Johann STRAUSS fils - le beau danube bleu


Lors de l'Exposition universelle de 1867, Johann Strauss se rend à Paris. On lui demande d'ajouter une valse dans le programme de son premier concert en public. Se souvenant du Beau Danube bleu, Johann Strauss fait venir la partition de Vienne. L'accueil de l'œuvre sans la partie chantée est triomphal et Johann Strauss doit la rejouer vingt fois de suite. À Vienne, le succès est tel que les imprimeurs ont beaucoup de mal à répondre à la demande en partitions. Ce succès permet à cette œuvre de ne pas finir oubliée dans les centaines de partitions de son auteur ou brûlée par Edouard Strauss, son frère.
Le Beau Danube bleu est programmé la même année dans plusieurs concerts à Londres, en présence de la reine Victoria.
Le Beau Danube bleu reste la plus célèbre de toutes les valses écrites par Johann Strauss II.
Le Beau Danube bleu (An der schönen blauen Donau), op. 314, est une célèbre suite de valses viennoises de Johann Strauss II, composée en 1866.
Johann STRAUSS fils - le beau danube bleu (E)
Lors de l'Exposition universelle de 1867, Johann Strauss se rend à Paris. On lui demande d'ajouter une valse dans le programme de son premier concert en public. Se souvenant du Beau Danube bleu, Johann Strauss fait venir la partition ...

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Johann STRAUSS pere - marche de radetzky


Particulièrement apprécié des Viennois, une version de concert est traditionnellement interprétée à la clôture du Concert du nouvel an donné par l'Orchestre philharmonique de Vienne.
La Marche de Radetzky (AM (en) II, 145, opus 228) est une célèbre marche militaire viennoise de Johann Strauss père dédiée au maréchal autrichien Joseph Radetzky, vainqueur de la bataille de Custoza contre les Piémontais en 1848.
Johann STRAUSS pere - marche de radetzky (E)
Particulièrement apprécié des Viennois, une version de concert est traditionnellement interprétée à la clôture du Concert du nouvel an donné par l'Orchestre philharmonique de Vienne.

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Sigismond THALBERT - concerto pour piano en fa m Op5


illustr: Felix VALLOTTON - loge au theatre
Sigismond THALBERT - concerto pour piano en fa m Op5 (E)
illustr: Felix VALLOTTON - loge au theatre ...

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Richard WAGNER - la chevauchee des Walkyries


C'est un des airs wagnériens les plus populaires ; il est fréquemment repris dans le cinéma et la publicité et a été utilisé par le parti nazi à des fins de propagande.
Il n'est pas rare aujourd'hui que cet air soit joué en concert, indépendamment de l'opéra dont il est issu.
La chevauchée des Walkyries, (en allemand, Walkürenritt ou Ritt der Walküren) est le terme populaire pour désigner le prélude de l'acte III de l'opéra Die Walküre composé par Richard Wagner.
Richard WAGNER - la chevauchee des Walkyries (E)
C'est un des airs wagnériens les plus populaires ; il est fréquemment repris dans le cinéma et la publicité et a été utilisé par le parti nazi à des fins de propagande.
Il n'est p ...

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Richard WAGNER - la chevauchee des Walkyries


C'est un des airs wagnériens les plus populaires ; il est fréquemment repris dans le cinéma et la publicité et a été utilisé par le parti nazi à des fins de propagande.
Il n'est pas rare aujourd'hui que cet air soit joué en concert, indépendamment de l'opéra dont il est issu.
La chevauchée des Walkyries, (en allemand, Walkürenritt ou Ritt der Walküren) est le terme populaire pour désigner le prélude de l'acte III de l'opéra Die Walküre composé par Richard Wagner.
Richard WAGNER - la chevauchee des Walkyries (E)
C'est un des airs wagnériens les plus populaires ; il est fréquemment repris dans le cinéma et la publicité et a été utilisé par le parti nazi à des fins de propagande.
Il n'est p ...

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Charles Marie WIDOR - Symphonie pour orgue n6 - 1er mt allegro


Widor est résolument le premier symphoniste de la littérature pour orgue. Il connaissait la musique allemande, mais son goût est bien plus dans une tradition française de la suite, et pour l'art qui ne s'annonce pas. Il appelait ses grandes œuvres Symphonies, mot qui les lie à la tradition symphonique allemande, mais les symphonies de Widor sont bien autres que des symphonies classiques en quatre mouvements. Les huit premières symphonies pour orgue de Widor ressemblent plus aux suites françaises qu'aux symphonies de Beethoven. Elles sont composées de cinq ou six mouvements caractéristiques, tels que Prélude, Marche, Menuet, Pastorale, Toccata. Les deux dernières symphonies, Gothique (pour Noël) et Romane (pour Pâques), sont remarquables pour leur usage du grégorien dans un contexte qui résume tout l'art de leur compositeur.
On continue toujours à jouer ses compositions, dont sa célèbre Toccata, mouvement final de sa 5e Symphonie pour orgue. Sa musique a été à l'honneur lors du mariage d'Élisabeth II, reine d'Angleterre en 1947.
Charles Marie WIDOR - Symphonie pour orgue n6 - 1er mt allegro (E)
Widor est résolument le premier symphoniste de la littérature pour orgue. Il connaissait la musique allemande, mais son goût est bien plus dans une tradition française de la suite, et pour l'art qui ne s'annonce p ...

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Charles-Marie WIDOR - Symphonie n° 5 opus 42 - toccata


La musique d'orgue de Widor est conçue pour les grandes orgues symphoniques Aristide Cavaillé-Coll que l'on trouve dans les principales églises de Paris. Certains mouvements de ses symphonies, notamment cette fameuse Toccata qui termine la Symphonie n° 5 opus 42, la Marche pontificale de la Symphonie n° 1, ou encore l'Allegro ouvrant la Symphonie n° 6, sont d'une grande virtuosité.
Widor est résolument le premier symphoniste de la littérature pour orgue. Il connaissait la musique allemande, mais son goût est bien plus dans une tradition française de la suite, et pour l'art qui ne s'annonce pas. Il appelait ses grandes œuvres Symphonies, mot qui les lie à la tradition symphonique allemande, mais les symphonies de Widor sont bien autres que des symphonies classiques en quatre mouvements. Les huit premières symphonies pour orgue de Widor ressemblent plus aux suites françaises qu'aux symphonies de Beethoven. Elles sont composées de cinq ou six mouvements caractéristiques, tels que Prélude, Marche, Menuet, Pastorale, Toccata. Les deux dernières symphonies, Gothique (pour Noël) et Romane (pour Pâques), sont remarquables pour leur usage du grégorien dans un contexte qui résume tout l'art de leur compositeur.
On continue toujours à jouer ses compositions, dont sa célèbre Toccata, mouvement final de sa 5e Symphonie pour orgue. Sa musique a été à l'honneur lors du mariage d'Élisabeth II, reine d'Angleterre en 1947.
Charles-Marie WIDOR - Symphonie n° 5 opus 42 - toccata (E)
La musique d'orgue de Widor est conçue pour les grandes orgues symphoniques Aristide Cavaillé-Coll que l'on trouve dans les principales églises de Paris. Certains mouvements de ses symphonies, notamment cette fameuse To ...