Jean-Sebastien BACH - concerto pour 2 claviers Bwv1060Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060-1062), deux concertos pour trois clavecins (BWV 1063-1064) et un concerto pour quatre clavecins (BWV 1065). Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 (BWV 1050) comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Le huitième (BWV 1059) reste cependant inachevé et il ne reste aucune trace des quatre derniers. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Le Concerto Italien (BWV 971), contrairement à ce que peut laisser entendre son nom, est une œuvre pour clavecin seul. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). Polina Osetinskaya Anton Gakkel | Jean-Sebastien BACH - concerto pour 2 claviers Bwv1060 (E) Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060- ... |
Jean-Sebastien BACH - concerto pour 2 claviers Bwv1061Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060-1062), deux concertos pour trois clavecins (BWV 1063-1064) et un concerto pour quatre clavecins (BWV 1065). Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 (BWV 1050) comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Le huitième (BWV 1059) reste cependant inachevé et il ne reste aucune trace des quatre derniers. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Le Concerto Italien (BWV 971), contrairement à ce que peut laisser entendre son nom, est une œuvre pour clavecin seul. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). Polina Osetinskaya Anton Gakkel | Jean-Sebastien BACH - concerto pour 2 claviers Bwv1061 (E) Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060- ... |
Jean-Sebastien BACH - concerto pour 2 claviers Bwv1062Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060-1062), deux concertos pour trois clavecins (BWV 1063-1064) et un concerto pour quatre clavecins (BWV 1065). Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 (BWV 1050) comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Le huitième (BWV 1059) reste cependant inachevé et il ne reste aucune trace des quatre derniers. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Le Concerto Italien (BWV 971), contrairement à ce que peut laisser entendre son nom, est une œuvre pour clavecin seul. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). Polina Osetinskaya Anton Gakkel | Jean-Sebastien BACH - concerto pour 2 claviers Bwv1062 (E) Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060- ... |
Jean-Sebastien BACH - concerto pour 3 claviers Bwv1063Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060-1062), deux concertos pour trois clavecins (BWV 1063-1064) et un concerto pour quatre clavecins (BWV 1065). Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 (BWV 1050) comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Le huitième (BWV 1059) reste cependant inachevé et il ne reste aucune trace des quatre derniers. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Le Concerto Italien (BWV 971), contrairement à ce que peut laisser entendre son nom, est une œuvre pour clavecin seul. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). Polina Osetinskaya Anton Gakkel | Jean-Sebastien BACH - concerto pour 3 claviers Bwv1063 (E) Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060- ... |
Jean-Sebastien BACH - concerto pour 3 claviers Bwv1064Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060-1062), deux concertos pour trois clavecins (BWV 1063-1064) et un concerto pour quatre clavecins (BWV 1065). Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 (BWV 1050) comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Le huitième (BWV 1059) reste cependant inachevé et il ne reste aucune trace des quatre derniers. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Le Concerto Italien (BWV 971), contrairement à ce que peut laisser entendre son nom, est une œuvre pour clavecin seul. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). Polina Osetinskaya Anton Gakkel | Jean-Sebastien BACH - concerto pour 3 claviers Bwv1064 (E) Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060- ... |
Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n2 Bwv1053le concerto 1053 provient probablement d'une partition plus ancienne pour violon, aujourd'hui perdue. Il en reprendra par la suite les thèmes dans les sinfonia(s) (sinfonie) des cantates BWV 146 (Wir müssen durch viel Trübsal) et 188 (Ich habe meine Zuversicht). Son fils Carl Philipp Emanuel Bach reprend son écriture, puis Bach, lui-même, aux environs de 1738 pour la version définitive. Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060-1062), deux concertos pour trois clavecins (BWV 1063-1064) et un concerto pour quatre clavecins (BWV 1065). Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 (BWV 1050) comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Le huitième (BWV 1059) reste cependant inachevé et il ne reste aucune trace des quatre derniers. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Le Concerto Italien (BWV 971), contrairement à ce que peut laisser entendre son nom, est une œuvre pour clavecin seul. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). Polina Osetinskaya Anton Gakkel | Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n2 Bwv1053 (E) le concerto 1053 provient probablement d'une partition plus ancienne pour violon, aujourd'hui perdue. Il en reprendra par la suite les thèmes dans les sinfonia(s) (sinfonie) des cantates BWV 146 (Wir müssen durch viel Trübs ... |
Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n3 Bwv1054Il s'agit de la reprise de la partition du concerto pour violon BWV 1042 Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060-1062), deux concertos pour trois clavecins (BWV 1063-1064) et un concerto pour quatre clavecins (BWV 1065). Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 (BWV 1050) comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Le huitième (BWV 1059) reste cependant inachevé et il ne reste aucune trace des quatre derniers. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Le Concerto Italien (BWV 971), contrairement à ce que peut laisser entendre son nom, est une œuvre pour clavecin seul. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). Polina Osetinskaya Anton Gakkel | Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n3 Bwv1054 (E) Il s'agit de la reprise de la partition du concerto pour violon BWV 1042 Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concerto ... |
Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n4 Bwv1055le concerto 1055 utilise un continuo séparé, comprenant un clavecin ou un théorbe. Contrairement aux autres concertos, Bach ne semble pas avoir repris de thèmes dans ses cantates. Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060-1062), deux concertos pour trois clavecins (BWV 1063-1064) et un concerto pour quatre clavecins (BWV 1065). Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 (BWV 1050) comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Le huitième (BWV 1059) reste cependant inachevé et il ne reste aucune trace des quatre derniers. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Le Concerto Italien (BWV 971), contrairement à ce que peut laisser entendre son nom, est une œuvre pour clavecin seul. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). Polina Osetinskaya Anton Gakkel | Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n4 Bwv1055 (E) le concerto 1055 utilise un continuo séparé, comprenant un clavecin ou un théorbe. Contrairement aux autres concertos, Bach ne semble pas avoir repris de thèmes dans ses cantates. Les Concertos pour clav ... |
Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n5 Bwv1056Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060-1062), deux concertos pour trois clavecins (BWV 1063-1064) et un concerto pour quatre clavecins (BWV 1065). Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 (BWV 1050) comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Le huitième (BWV 1059) reste cependant inachevé et il ne reste aucune trace des quatre derniers. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Le Concerto Italien (BWV 971), contrairement à ce que peut laisser entendre son nom, est une œuvre pour clavecin seul. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). Polina Osetinskaya Anton Gakkel | Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n5 Bwv1056 (E) Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060- ... |
Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n6 Bwv1057Il provient d'une réécriture du quatrième concerto brandebourgeois. Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060-1062), deux concertos pour trois clavecins (BWV 1063-1064) et un concerto pour quatre clavecins (BWV 1065). Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 (BWV 1050) comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Le huitième (BWV 1059) reste cependant inachevé et il ne reste aucune trace des quatre derniers. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Le Concerto Italien (BWV 971), contrairement à ce que peut laisser entendre son nom, est une œuvre pour clavecin seul. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). Polina Osetinskaya Anton Gakkel | Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n6 Bwv1057 (E) Il provient d'une réécriture du quatrième concerto brandebourgeois. Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y ... |
Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n7 Bwv1058Il s'agit probablement du premier concerto achevé, inspiré du concerto pour violon BWV 1041 Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Sebastian Bach. Il y a sept concertos pour un clavecin (BWV 1052-1058), trois concertos pour deux clavecins (BWV 1060-1062), deux concertos pour trois clavecins (BWV 1063-1064) et un concerto pour quatre clavecins (BWV 1065). Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Dès 1721, le concerto brandebourgeois no 5 (BWV 1050) comporte une partie soliste importante pour le clavecin. Durant les années 1730, il utilise l'orgue comme instrument soliste dans des sinfonias. La main gauche doublait alors la basse continue avant de devenir progressivement plus autonome. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Le huitième (BWV 1059) reste cependant inachevé et il ne reste aucune trace des quatre derniers. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Le Concerto Italien (BWV 971), contrairement à ce que peut laisser entendre son nom, est une œuvre pour clavecin seul. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). Polina Osetinskaya Anton Gakkel | Jean-Sebastien BACH - concerto pour clavier n7 Bwv1058 (E) Il s'agit probablement du premier concerto achevé, inspiré du concerto pour violon BWV 1041 Les Concertos pour clavecin, BWV 1052-1065, sont des concertos pour clavecin, cordes et continuo écrits par Johann Seb ... |
Jean-Sebastien BACH - badinerie pour flute (Jean-Pierre Rampal)Ouverture n° 2 en si mineur, BWV 1067 Au début du XVIIIe siècle, le terme « suite » désigne une succession de danses précédées d'une ouverture. La terminologie étant fluctuante à l'époque, le mot « ouverture » désigne aussi, parfois, la suite dans son entier. Bach travailla ce genre à quatre quatre reprises. Dans la célèbre Suite n° 2 en si mineur de 1739 , il instrumente dans le goût du temps, en introduisant la flûte, très en vogue à l'époque, dans l'orchestre à cordes. La Badinerie conclut l'œuvre. | Jean-Sebastien BACH - badinerie pour flute (Jean-Pierre Rampal) (E) Ouverture n° 2 en si mineur, BWV 1067 Au début du XVIIIe siècle, le terme « suite » désigne une succession de danses précédées d'une ouverture. La terminologie étant ... |
Jean-Sebastien BACH - cantate BWV 1 - Wie schön leuchtet der Morgenstern | Jean-Sebastien BACH - cantate BWV 1 - Wie schön leuchtet der Morgenstern (E) ... |
Jean-Sebastien BACH - Cantate bwv 4 - Christ lag in Todes BandenChrist lag in Todesbanden (Le Christ gisait dans les liens de la mort) (BWV 4) est une cantate de Johann Sebastian Bach composée en 1707. Le texte de la cantate suit stricto sensu le poème du cantique que Martin Luther a adapté du Victimae paschali laudes, poème du XIe siècle attribué au chapelain Wipo de Bourgogne. Dans cette œuvre de jeunesse qui est une des toutes premières cantates qu'il ait composées, Bach a utilisé dans les sept différents mouvements pour voix les paroles inchangées des sept strophes du choral et son air comme cantus firmus tout au long de la pièce. Ensemble Orlando Fribourg Ajoutée le 5 déc. 2016 1. Sinfonia 2. Christ lag in Todesbanden (Chœur) 01:40 3. Den Tod niemand zwingen kunnt (Chœur: S, A) 05:55 4. Jesus Christus, Gottes Sohn (Air: T) 11:15 5. Es war ein wunderlicher Krieg (Chœur) 13:15 6. Hier ist das rechte Osterlamm (Air: B) 15:27 7. So feiern wir das hohe Fest (Duo: S, T) 19:08 8. Wir essen und leben wohl (Chœur) 20:50 Lucy De Butts, soprano Valerio Contaldo, ténor Lisandro Abadie, basse Ensemble Orlando Fribourg, chœur et orchestre Laurent Gendre, direction Concert à l'église St-Michel, Fribourg (CH), 03.07.2016 | Jean-Sebastien BACH - Cantate bwv 4 - Christ lag in Todes Banden (E) Christ lag in Todesbanden (Le Christ gisait dans les liens de la mort) (BWV 4) est une cantate de Johann Sebastian Bach composée en 1707. Le texte de la cantate suit stricto sensu le poème du cantique que Martin Luther a a ... |
Jean-Sebastien BACH - cantate bwv 8 - Liebster Gott, wenn werd ich sterbenLiebster Gott, wenn werd ich sterben? (Dieu bien-aimé, quand vais-je mourir ?) (BWV 8), est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig en 1724. La cantate a été composée à l'occasion du seizième dimanche après la Trinité et jouée le 24 septembre 1724 pour la première fois. Pour cette destination liturgique, trois autres cantates ont franchi le seuil de la postérité : les BWV 27, 95 et 161. Le texte est basé sur un choral homonyme de Caspar Neumann pour les mouvements 1 et 6 et sur des textes d'auteur inconnu pour le reste. Les lectures prescrites pour le dimanche étaient Eph. 3:13–21, Paul priant pour la consolidation de la foi dans la congrégation d'Éphèse et Luc 7:11–17, l'élévation d'entre les morts du jeune homme de Nain. La cantate est écrite pour cor d'harmonie, deux flûtes, deux hautbois d'amour, cordes (violons, alto et basse continue), quatre voix solistes (soprano, alto, ténor, basse) et chœur à quatre voix. Il y a six mouvements en mi majeur, sauf indication contraire. chœur (S, A, T, B) : Liebster Gott, wenn werd ich sterben? aria (ténor) : Was willst du dich, mein Geist, entsetzen (do dièse mineur). récitatif (alto] : Zwar fühlt mein schwaches Herz aria (basse) : Doch weichet, ihr tollen, vergeblichen Sorgen! (la majeur) récitatif (soprano) : Behalte nur, o Welt, das Meine! choral (S, A, T, B) : Herrscher über Tod und Leben Il existe une version alternative en ré majeur de cette cantate, qu'on croit être de 1746. Plusieurs changements mineurs à l'instrumentation ont été apportés. Dans le premier mouvement par exemple, les deux parties de hautbois sont données à des violons concertants et dans l'aria de basse, le hautbois d'amour est utilisé colla parte avec la flûte. C'est la première version (celle de 1724) qui est généralement retenue par les interprètes. | Jean-Sebastien BACH - cantate bwv 8 - Liebster Gott, wenn werd ich sterben (E) Liebster Gott, wenn werd ich sterben? (Dieu bien-aimé, quand vais-je mourir ?) (BWV 8), est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig en 1724. La cantate a été composée ... |
Jean-Sebastien BACH - cantate bwv 11 - Ich hatte viel Bekümmernis (Oratorio de l'Ascension)Bach écrivit cette composition à l'occasion de la fête de l'Ascension et l'aurait dirigée le 19 mai 1735, la genèse de cette oeuvre est toujours sujette à interrogations. Il la désigna lui-même « Oratorium In Festo Ascensionis » (Oratorio pour la fête de l'Ascension). Contrairement aux autres oratorios de Bach basées sur la narration biblique, le texte de l'Oratorio de l'Ascension est issu de différentes sources : le premier récitatif de l'Évangéliste, (deuxième mouvement), provient de Luc 24:50–51, le deuxième, (cinquième mouvement), de Act. 1:9 et Marc 16:19, le troisième, (septième mouvement), de Act. 1:10–11 et le dernier, (neuvième mouvement), de Luc 24:52a, Act. 1:12 et Luc 24:52b. Les paroles de la Bible sont rapportées par le ténor en tant qu'Évangéliste. Dans le troisième récitatif le ténor et la basse chantent tous deux un arioso1. Lobet Gott in seinen Reichen (Louez Dieu dans ses royaumes) (BWV 11) (aussi connue sous le nom de Oratorio de l'Ascension) est une composition religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig en 1735. Elle a été classée par Wolfgang Schmieder comme une cantate bien que Bach l'ait lui-même désignée comme un oratorio. | Jean-Sebastien BACH - cantate bwv 11 - Ich hatte viel Bekümmernis (Oratorio de l'Ascension) (E) Bach écrivit cette composition à l'occasion de la fête de l'Ascension et l'aurait dirigée le 19 mai 1735, la genèse de cette oeuvre est toujours sujette à interrogations. Il la désigna lui-m&e ... |
Jean-Sebastien BACH - Cantate Bwv 29 Wir danken dir, GottWir danken dir, Gott, wir danken dir (Nous te rendons grâces, ô Dieu, nous te rendons grâces), (BWV 29), est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig en 1731. Bach composa la cantate pour l'inauguration d'un nouveau conseil municipal qui eut lieu dans un service festif le lundi suivant la saint Barthélémy le 27 août 1731. Cette cantate est une des deux cantates religieuses de Bach ayant une sinfonia orchestrale pour ouverture, l'autre étant Weinen, Klagen, Sorgen, Zagen, BWV 12. La musique est un arrangement du prélude de la partita pour violon n° 3 BWV 1006. Un solo de l'orgue joue la partie originale pour violon tandis que l'orchestre l'accompagne | Jean-Sebastien BACH - Cantate Bwv 29 Wir danken dir, Gott (E) Wir danken dir, Gott, wir danken dir (Nous te rendons grâces, ô Dieu, nous te rendons grâces), (BWV 29), est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig en 1731. Bach composa la ca ... |
Jean-Sebastien BACH - Cantate 78 - Jesu, der du meine SeeleLe chœur d'ouverture est une fantaisie chorale sous forme de passacaille. Le thème est donné 27 fois, parfois inversé, parfois en une tonalité différente. Jesu, der du meine Seele (Jésus, toi qui as par ton martyre), (BWV 78), est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach| composée à Leipzig en 1724. pour le quatorzième dimanche. et fait intervenir le choral au début et à la fin. Le texte est une méditation sur la douleur du pécheur et son espoir de salut dans la foi. Cette cantate, rendue célèbre notamment par les nombreuses interprétations du mouvement n°2 (duo S-A), est remarquable pour les changements d'atmosphère. chœur : Jesu, der du meine Seele aria (duo soprano, alto) : Wir eilen mit schwachen, doch emsigen Schritten récitatif (ténor) : Ach! ich bin ein Kind der Sünden aria (ténor, flute obligée) : Das Blut, so meine Schuld durchstreicht récitatif (basse) : Die Wunden, Nägel, Kron und Grab aria (basse, hautbois obligé) : Nur du wirst mein Gewissen stillen choral : Herr, ich glaube, hilf mir Schwachen bellini - Dead Christ Supported by Two Angels (detail). 1480-1485. Tempera on poplar panel. Staatliche Museen, Berlin, Germany | Jean-Sebastien BACH - Cantate 78 - Jesu, der du meine Seele (E) Le chœur d'ouverture est une fantaisie chorale sous forme de passacaille. Le thème est donné 27 fois, parfois inversé, parfois en une tonalité différente. Jesu, der du meine Seele (Jésus, ... |
Jean-Sebastien BACH - cantate bwv 82 Ich habe genugLe vieux Syméon reconnaît le Messie en l'enfant Jésus à l'occasion de la visite au temple de Marie avec son fils. Sa vie est ainsi accomplie et il peut mourir dans la joie. Le récitatif transmet cette aspiration à la mort au Chrétien qui cherche Jésus dans la paix et la quiétude après la vie. La deuxième aria connue sous le nom de « Schlummerarie » (aria du sommeil) possède le caractère d'une berceuse accompagnant le mourant. Avec son caractère joyeux, l'aria finale présente un fort contraste avec les deux premières arias. Ich habe genug (Je suis comblé), (BWV 82), est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig en 1727. Bach écrivit cette cantate In Festo Purificationis Mariæ (Pour la Fête de la Purification de la Vierge Marie), fête qui correspondait en 1727, année de sa création, au quatrième dimanche de l'Épiphanie qui tombait cette année le 2 février. Pour cette destination liturgique, trois autres cantates ont franchi le seuil de la postérité : les BWV 83, 125 et 200. Le livret anonyme est dépourvu de toute référence littérale au texte biblique. La version primitive est en ut mineur. La cantate est écrite pour hautbois, deux violons, alto, orgue, basse continue avec une basse solo et un chœur à quatre voix. Il y a cinq mouvements : aria (basse) : Ich habe genug (« Je suis comblé ») récitatif (basse) : Ich habe genug aria (basse) : Schlummert ein, ihr matten Augen (« Endormez-vous, yeux affaiblis ») récitatif (basse) : Mein Gott ! Wenn kömmt das schöne ? Nun ! (« Mon Dieu ! Quand viendra la beauté : 'Maintenant !' ») aria (basse) : Ich freue mich auf meinen Tod (« Je me réjouis de ma mort ») Le premier récitatif et la plus grande partie de l'air « Schlummert ein » (simplement accompagné par la basse continue) ont été transcrits dans le Petit livre d'Anna Magdalena Bach, transposés une dixième plus haut afin de devenir accessibles à une soprano. Ce travail a vraisemblablement été réalisé par Anna Magdalena Bach pour son propre usage. Anne et Syméon contemplent le Christ, Rembrandt. (illustr: de Gelder) | Jean-Sebastien BACH - cantate bwv 82 Ich habe genug (E) Le vieux Syméon reconnaît le Messie en l'enfant Jésus à l'occasion de la visite au temple de Marie avec son fils. Sa vie est ainsi accomplie et il peut mourir dans la joie. Le récitatif transmet cette aspir ... |
Jean-Sebastien BACH - cantate BWV 106 Actus TragicusGottes Zeit ist die allerbeste Zeit (« Le temps de Dieu est le meilleur des temps »), BWV 106, aussi connue sous le nom Actus Tragicus, est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Mühlhausen en 1707. Cette cantate, une des plus anciennes de Bach, fut écrite à Mühlhausen probablement pour des funérailles comme l'indique son intitulé Actus Tragicus bien qu'il ne soit pas avéré que cette dénomination soit de lui. Le texte pourrait la destiner à la fête de la Purification. Si c'est une cantate destinée à un service funéraire, il pourrait s'agir des funérailles d'Adolph Strecker, maire de la ville, célébrées le 16 septembre 1708 ou de l'enterrement de l'oncle de Bach, Tobias Lämmerhirt mort le 10 août 1707 à Erfurt. On évoque également les obsèques de Dorothea Susanne Tilesius, la sœur du pasteur Eilmar ; cérémonie célébrée le 3 juin 1708. Le texte consiste en différents versets de l'Ancien et du Nouveau Testament, ainsi que des versets particuliers de vieux chants religieux de Martin Luther et Adam Reusner, qui tous se rapportent à la finitude et à la mort. La cantate comprend deux parties bien distinctes : le message de l'Ancien Testament à propos de la mort dans la première partie est confronté au message du Nouveau Testament dans la seconde partie. La séparation de l'Ancien et du Nouveau détermine la structure symétrique de la cantate. La cantate est écrite pour petit ensemble : Deux flûtes à bec, deux violes de gambe et basse continue avec quatre voix solistes, soprano, alto, ténor et basse. Sonatine Chœur chœur avec choral : Gottes Zeit ist die allerbeste Zeit arioso (ténor) : Ach, Herr, lehre uns bedenken aria (basse) : Bestelle dein Haus chœur : Es ist der alte Bund Aria (duo avec choral) aria (duo alto et basse) avec choral : In deine Hände befehl ich meinen Geist arioso et choral (basse et alto) : Heute wirst du mit mir im Paradies sein Chœur (choral) : Glorie, Lob, Ehr und Herrlichkeit Cette cantate a été reprise en 1874 par César Franck. Bach n'avait probablement pas plus de vingt-deux ans lorsqu'il composa la sonatine d'ouverture dans laquelle deux flûtes à bec obligées se font tristement écho sur un fond sonore de violes de gambe et basse continue. Cette cantate se range parmi les plus importantes de ses œuvres. Directement inspirée d'un texte biblique, elle présente une profondeur d'une grande intensité. Alfred Dürr a qualifié cette cantate d'« œuvre d'un génie tel que même les plus grands maîtres y parviennent rarement... l'Actus Tragicus appartient à la plus haute littérature musicale du monde ». | Jean-Sebastien BACH - cantate BWV 106 Actus Tragicus (E) Gottes Zeit ist die allerbeste Zeit (« Le temps de Dieu est le meilleur des temps »), BWV 106, aussi connue sous le nom Actus Tragicus, est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Mühlhausen ... |
Jean-Sebastien BACH - Cantate 110 Unser Mund sei voll LachensUnser Mund sei voll Lachens (Que notre bouche s’emplisse de joie) (BWV 110) est une cantate religieuse de Jean-Sébastien Bach composée à Leipzig en 1725. Bach a composé la cantate pour la première journée de Noël 1725 mais on peut supposer qu'elle est le fruit d'une amélioration d'une première cantate de l'époque de Weimar. Pour cette destination liturgique de Noël, cinq autres cantates de Bach nous sont parvenues, numérotées BWV 63, 91, 197a, 248/1 et 191. Les 1e, 3e et 5e mouvements de la cantate Unser Mund ...sont des citations de la Bible : le Ps 126,2, Jr 10,6, Luc 2:14. Les textes des 2e, 4e et 6e mouvements sont de Georg Christian Lehms. Le choral final débute sur le dernier vers du chant Wir Christenleut par Kaspar Füger l'ancien. La cantate est écrite pour une voix de soprano, d'alto, de ténor, et de basse, un chœur à quatre voix, trois trompettes, trois hautbois, deux flûtes traversières, un basson, le quatuor à cordes, deux timbales et la basse continue. L'exécution des 7 mouvements demande de 25 à 27 minutes. Il y a sept mouvements : chœur : Unser Mund sei voll Lachens aria (ténor) : Ihr Gedanken und ihr Sinnen récitatif (basse) : Dir, Herr, ist niemand gleich aria (alto) : Ach Herr ! was ist ein Menschenkind duo (soprano, Alto) : Ehre sei Gott in der Höhe aria (basse) : Wacht auf, ihr Adern und ihr Glieder choral : Alleluja ! Gelobt sei Gott Bach a retravaillé ses propres compositions pour deux mouvements de cette cantate. Le chœur d’introduction est une adaptation du premier mouvement de sa Suite pour orchestre en ré majeur (BWV 1069). Le duo soprano/ténor Ehre sei Gott in der Höhe est un arrangement du Virga Jesse floruit du Magnificat en mi bémol majeur. La cantate débute par une section pleine de force, le chœur d'ouverture, où tous les instruments sont réunis. La cantate se termine sur un choral de louange au Seigneur qui a accompli de grandes choses pour son peuple. L'aria de ténor fait entendre deux flûtes entrelacées pendant que le soliste décrit une élévation des pensées et des sens, suscitée par la pensée que Dieu fait homme entend que son peuple soit « Himmelskinder » (enfants du ciel). Un récitatif de basse (Toi, Seigneur, ne ressemble à aucun autre) est suivi par un air d'alto (Ach Herr, was ist ein Menschenkind) accompagné de hautbois d'amour qui s'étonne que, du fait de la nature de l'homme, le Seigneur doive chercher à la racheter par une action si douloureuse. Dans le duo Soprano/Alto, les deux voix se développent sur un accompagnement d'orgue seul (avec la basse continue). Elles chantent la gloire de Dieu au plus haut des cieux : l'humanité attend la paix sur Terre, et l'arrivée de l'Enfant est un signe de cette faveur divine. Le choral final rappelle la troisième partie de l'Oratorio de Noël : « Alléluia, Gloire à Dieu du fond de nos cœurs ». | Jean-Sebastien BACH - Cantate 110 Unser Mund sei voll Lachens (E) Unser Mund sei voll Lachens (Que notre bouche s’emplisse de joie) (BWV 110) est une cantate religieuse de Jean-Sébastien Bach composée à Leipzig en 1725. Bach a composé la cantate pour la premièr ... |
Jean-Sebastien BACH - Cantate 116 Du friedenfuerst, Herr Jesu ChristDu Friedefürst, Herr Jesu Christ (Toi, Seigneur Jésus-Christ, prince de la paix) (BWV 116) est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig en 1724. Bach écrivit cette cantate à l'occasion du vingt-cinquième dimanche après la Trinité dans le cadre de son deuxième cycle annuel de cantates. Pour cette destination liturgique, une autre cantate a franchi le seuil de la postérité : la BWV 90. Il la dirigea le 26 novembre 1724, qui était le dernier dimanche de l'année liturgique cette année-là. Les lectures prescrites [archive] pour ce dimanche étaient 1 Thessaloniciens 4:13–18 et Mat. 24:15–28. Le texte de la cantate dont l'auteur est inconnu est basé exclusivement sur le choral [archive] homonyme « Du Friedefürst, Herr Jesu Christ » en sept versets de Jakob Ebert (1601). Les premier et sixième mouvements de la cantate reprennent les premier et sixième versets verbatim, les deuxième et quatrième versets ont été modifiés pour les deuxième et quatrième mouvements et les cinquième et sixième versets ont été réécrits pour le cinquième mouvement. D'une façon générale, le choral se rapporte à l'Évangile1. La cantate est écrite pour deux hautbois d'amour, deux violons, alto et basse continue, cor d'harmonie, quatre solistes vocaux (soprano, alto, ténor, basse) et chœur à quatre voix. Il y a six mouvements : chœur : "Du Friedefürst, Herr Jesu Christ aria : "Ach, unaussprechlich ist die Not", alto récitatif : "Gedenke doch, o Jesu" ténor trio : "Ach, wir bekennen unsre Schuld," soprano, ténor et basse récitatif : "Ach, laß uns durch die scharfen Ruten», alto chœur : "Erleucht auch unser Sinn und Herz Le chœur d'ouverture est une fantaisie chorale, la soprano chantant le cantus firmus et un cor jouant la melody [archive] tout du long. Cette fantaisie est insérée dans un concerto orchestral avec des ritournelles et des interludes dominés par le solo du violon concertant. Le traitement des voix basses diffère au sein du mouvement. Pour les premier, deuxième et septième vers, elles sont organisées en blocs d'accords homophoniques, dans les troisième et quatrième, elles chantent en vives imitations tandis que leur mouvements plus rapides contrastent avec la mélodie pour les cinquième et sixième vers. L'aria de l'alto est accompagnée par un hautbois d'amour à l'égal de la voix qui exprime la terreur de l'âme à la perspective du jugement. Le récitatif suivant commence secco, mais l'idée « Gedenke doch, ô Jesu, daß du noch ein Fürst des Friedens heißest! » (considère pourtant, ô Jésus, qu'on t'appelle toujours un Prince de paix!), proche du thème de la cantate, est accompagnée par le continuo d'une citation de la mélodie du choral. Trois voix chantent un trio, ce qui est rare dans les cantates de Bach, illustrant le « wir » (nous) du texte : Ach, wir bekennen unsre Schuld (ah, nous reconnaissons notre culpabilité), se confessant et se demandant pardon respectivement2,3. Seul le continuo les accompagne. Le récitatif qui suit est une prière pour une paix durable, accompagnée par les cordes et se terminant en arioso. Le choral final est arrangé en quatre parties pour le chœur, le cor, les hautbois et les cordes1. | Jean-Sebastien BACH - Cantate 116 Du friedenfuerst, Herr Jesu Christ (E) Du Friedefürst, Herr Jesu Christ (Toi, Seigneur Jésus-Christ, prince de la paix) (BWV 116) est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig en 1724. Bach écrivit cette cantate &agra ... |
Jean-Sebastien BACH - cantate BWV 131 Aus der tiefen rufe ich, Herr, zu dirAus der Tiefen rufe ich, Herr, zu dir (Des profondeurs, je crie vers toi, Seigneur), (BWV 131), est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Mühlhausen en 1707. Le texte ne contient pas de poésie libre mais est tiré du Psaume 130 (129) et des versets 2 et 5 du choral « Herr Jesu Christ, du höchstes Gut » de Bartholomäus Ringwaldt (1588). Ces deux textes sont des suppliques pour le pardon des péchés. On en a donc inféré que Bach a écrit cette cantate comme une actions de grâces, peut-être en relation avec un incendie qui détruisit une grande partie du centre ville de Mülhausen peu avant son arrivée dans la ville. Quoi qu'il en soit, aucune documentation d'époque ne mentionne ce service. Il n'est pas exclu qu'il s'agisse d'une composition pour des funérailles comme dans le cas de l'« Actus Tragicus » (BWV 106). Cette cantate est l'une des toutes premières que Bach ait écrites, sinon la première. Une note manuscrite du compositeur indique que l’œuvre a été commissionnée en 1707 ou 1708 durant son séjour à Mühlhausen par Georg Christian Eilmar, pasteur de la Marienkirche. Albert Schweitzer écrit dans sa biographie « Johann Sebastian Bach » que ce pasteur doit avoir été « un grand admirateur de la musique religieuse et un ami personnel de Bach ». Le fait que Bach ne travaillait pas dans cette église fait penser aux spécialistes que le commanditaire de Bach n'était pas intéressé par le travail du jeune organiste. Le style et l'étendue de la composition suggèrent une origine en 1707, c'est-à-dire au début du séjour de Bach à Muhlhausen. La cantate est écrite pour violon, hautbois, basson, deux altos et basse continue avec quatre solistes (soprano, contralto, ténor, basse), chœur à quatre voix. Il y a cinq mouvements : chœur : Aus der Tiefen rufe ich, Herr, zu dir arioso et choral (basse, soprano) : So du willst, Herr, Sünde zurechnen, Herr chœur : Ich harre des Herrn, meine Seele harret aria et choral (ténor, contralto) : Meine Seele wartet auf den Herrn von einer Morgenwache choral : Israel hoffe auf den Herrn Dans la ligne mélodique qui forme le début, un madrigalisme traduit l'idée de profondeur du texte « Des profondeurs »… : D'un point de vue formel, la cantate montre de nombreuses similitudes avec la cantate Gottes Zeit ist die allerbeste Zeit (BWV 106) composée peu auparavant. Comme d'habitude dans les premières cantates de Bach il n'y a ni récitatif ni da capo, les phrases se fondent les unes dans les autres avec des tempos contrastés. La thématique du deuil et de la supplication est décrite de façon expressive par les instruments et le chant, par exemple le ''passus duriusculus'' (de)). L'ouvrage révèle déjà la grande maîtrise du jeune compositeur dans cette cantate qui est l'une des plus connues de J.S. Bach. La fugue pour orgue en sol mineur, BWV 131a, est en fait un arrangement des 45 dernières mesure du choral de conclusion « Israel hoffe auf den Herrn ». | Jean-Sebastien BACH - cantate BWV 131 Aus der tiefen rufe ich, Herr, zu dir (E) Aus der Tiefen rufe ich, Herr, zu dir (Des profondeurs, je crie vers toi, Seigneur), (BWV 131), est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Mühlhausen en 1707. Le texte ne contient pas de poé ... |
Jean-Sebastien BACH - cantate BWV 140 Wachet aufWachet auf, ruft uns die Stimme (Réveillez-vous, nous crie - ou bien : « nous appelle » - la voix), (BWV 140, connue aussi sous le nom de Cantate du Veilleur), est une cantate religieuse de Jean Sébastien Bach, composée à Leipzig en 1731. Elle jouit d'une notoriété exceptionnelle, notamment grâce à son choral central, Zion hört die Wächter singen (« Sion entend les veilleurs chanter »), qui a fait l'objet de nombreuses transcriptions pour orgue (Ton Koopman, Jehan Alain, etc), pour piano (Ferrucio Busoni) ou pour orchestre (Leopold Stokowski, Eugène Ormandy). Bach écrivit cette cantate pour le vingt-septième dimanche après la Trinité et la dirigea pour la première fois le 25 novembre 1731. Pour cette destination liturgique, aucune autre cantate n'a franchi le seuil de la postérité. Cette cantate chorale est fondée sur le choral luthérien Wachet auf, ruft uns die Stimme de Philipp Nicolai (dit choral du veilleur). Le texte se fonde sur la parabole des dix vierges dans Mat. 25:1–13, une lecture prévue dans le lectionnaire de l'époque pour le vingt septième dimanche après la Trinité2. La cantate était rarement jouée parce que ce dimanche n'apparaît que les années où Pâques arrive tôt3. L'irrégularité des occasions pour laquelle elle fut composée en fait une des rares cantates dont la date de composition est vraiment connue. Le texte et ses thèmes eschatologiques sont communément associés aux premiers dimanches de la saison de l'Avent aussi la cantate est-elle régulièrement jouée durant cette période. Le librettiste inconnu a repris de manière littérale les trois versets du choral pour les mouvements 1, 4 et 7 entre lesquels il a inséré des récitatifs et des arias indépendants qui renvoient à des thèmes bibliques du Cantique des Cantiques de Salomon. L'idée fondamentale du texte est de permettre l'identification visuelle du lien entre Jésus et l'âme humaine avec un mariage. Comme dans les anciens mariages orientaux, le fiancé n'apparaît pas exactement à une date fixée à l'avance mais s'attend à une fête bien ordonnée, ainsi l'âme doit-elle être toujours prête à rencontrer Dieu. La cantate est écrite pour cor d'harmonie, deux hautbois, taille (hautbois da caccia) souvent remplacé de nos jours par un cor anglais, violon piccolo, violon, alto, basse continue avec trois voix solistes (soprano, ténor, basse) et chœur à quatre voix. Il y a sept mouvements : chœur : Wachet auf, ruft uns die Stimme récitatif (ténor) : Er kommt (Il vient) aria (duo soprano et basse) : Wann kommst du, mein Heil ? (Quand viens-tu, mon Sauveur4 ?) choral : Zion hört die Wächter singen (Sion entend chanter les veilleurs) récitatif (basse) : So geh herein zu mir, du mir erwählte Braut (Entre donc et viens vers moi, fiancée que j'ai choisie) aria (duo soprano et basse) : Mein Freund ist mein ! Und ich bin dein ! (Mon ami est mien ! Et je suis tien !) choral : Gloria sei dir gesungen (Qu'il te soit chanté « Gloria »5). Musique Fichiers audio Cantate 140, 1er mouvement MENU0:00 interprété par le MIT Chamber Chorus Cantate 140, 2e mouvement MENU0:00 par le MIT Chamber Chorus Cantate 140, 3e mouvement MENU0:00 par le MIT Chamber Chorus Cantate 140, 4e mouvement MENU0:00 par le MIT Chamber Chorus Cantate 140, 5e mouvement MENU0:00 par le MIT Chamber Chorus Cantate 140, 6e mouvement MENU0:00 par le MIT Chamber Chorus Cantate 140, 7e mouvement MENU0:00 par le MIT Chamber Chorus Le premier mouvement est une fantaisie chorale de dimension particulièrement importante basée sur le premier vers du choral, ce qui est un trait ordinaire dans les cantates chorales de Bach. Ce mouvement avec ses rythmes bien marqués rappelle le style d'une ouverture à la française. L'orchestration comprend des hautbois à la voix profonde qui soulignent le caractère « nocturne » du début de l’œuvre. Le deuxième mouvement est un récitatif pour ténor annonçant l'arrivée imminente du marié. Le troisième mouvement est un duo pour soprano et basse avec violon obligato. Dans le duo, la soprano représente l'âme et la basse représente Jésus en tant que Vox Christi (voix de Jésus). On remarque le solo passionné et virtuose du violon. Le quatrième mouvement, basé sur le deuxième vers du choral est écrit sur une structure comparable à une sonate en trio pour les ténors du chœur, le hautbois da caccia et le continuo. Bach transcrivit ultérieurement ce mouvement pour orgue (BWV 645) qui est aussi connu sous le nom de « Choral du Veilleur », et fut ensuite publié dans les Chorals Schübler avec cinq autres transcriptions qu'il fit de ses mouvements de cantate. C'est probablement le morceau le plus connu de l'œuvre. Le cinquième mouvement est un récitatif pour basse accompagné des cordes dans lequel Jésus appelle à lui l'âme. Le sixième mouvement est un autre duo pour soprano et basse avec un hautbois obligé. Ce duo, comme le troisième mouvement est un duo d'amour entre la soprano (l'âme) et la basse (Jésus). Ceci est représenté musicalement par un certain nombre d'embellissements et un jeu animé de hautbois7. Le mouvement final est un arrangement pour quatre voix du dernier vers du choral. | Jean-Sebastien BACH - cantate BWV 140 Wachet auf (E) Wachet auf, ruft uns die Stimme (Réveillez-vous, nous crie - ou bien : « nous appelle » - la voix), (BWV 140, connue aussi sous le nom de Cantate du Veilleur), est une cantate religieuse de Jean Sébastien Bach, com ... |
Jean-Sebastien BACH - cantate BWV 147 Herz und Mund und Tat und LebenHerz und Mund und Tat und Leben (Le cœur, et la bouche, et l'action, et la vie) (BWV 147) est une cantate religieuse de Jean-Sébastien Bach jouée à Leipzig le vendredi 2 juillet 1723 à l'occasion de la fête de la Visitation de la Vierge Marie. Pour cette destination liturgique, une autre cantate a franchi le seuil de la postérité : la BWV 10. Elle existait déjà dans une version légèrement différente, référencée BWV 147a, datant de l'époque de Weimar et exécutée le dimanche 20 décembre 1716, en la chapelle du château ducal. La pièce est écrite pour trompette, deux voix de hautbois, deux voix de violons, un hautbois d'amour, deux voix de hautbois da caccia (ou « hautbois de chasse »), une viole, une basse continue, quatre solistes et un chœur à quatre voix mixtes (soprano, alto, ténor et basse). Elle est composée de dix mouvements, dont le dernier constitue la pièce la plus célèbre : le chœur « Jesus bleibet meine Freude », connu en français sous le nom « Jésus que ma joie demeure » alors qu'il s'agit d'un contresens : le sens littéral correspond à l'affirmation : « Jésus demeure [reste / continue à être / restera toujours] ma joie ». Première partie 1. Chœur : Herz und Mund und Tat und Leben (« Le cœur et la bouche et les actes et la vie ») 2. Recitativo : Gebenedeiter Mund! (« Ô lèvres bénies ! ») 3. Aria : Schäme dich, o Seele nicht (« N'aie point honte, ô mon âme ») 4. Recitativo : Verstockung kann Gewaltige verblenden (« L'endurcissement peut aveugler les puissants ») 5. Aria : Bereite dir, Jesu, noch itzo die Bahn (« Prépare-toi la voie, ô Jésus, dès maintenant ») 6. Chœur : Wohl mir, daß ich Jesum habe (« Quel bonheur que Jésus soi avec moi ») Seconde partie 7. Aria : Hilf, Jesu, hilf, daß ich auch dich bekenne (« Aide-moi, Jésus, aide-moi, pour qu'a ton retour je te confesse ») 8. Recitativo : Der höchsten Allmacht Wunderhand (« La main miraculeuse de la plus haute puissance ») 9. Aria : Ich will von Jesu Wundern singen (« Je chanterai les miracles de Jésus ») 10. Chœur : Jesus bleibet meine Freude, Meines Herzen und Saft (« Jésus demeure ma joie, Consolation et sève de mon cœur ») Le chœur d'ouverture restitue l'ensemble du texte en trois sections, la troisième étant une reprise de la première, la deuxième n'étant elle-même pas très différente de caractère. Une sinfonia instrumentale se fait entendre au début et à la fin et aussi, légèrement modifiée, dans les trois sections avec le chœur. De façon très contrastée, les trois sections se concluent avec une partie accompagnée du seul continuo. Les première et troisième sections commencent avec une fugue et les instruments colla parte. Le sujet de la fugue souligne le mot « Leben » d'un mélisme couvrant trois mesures. La soprano entame le thème, l'alto entre juste une mesure plus tard, le ténor deux mesures plus tard, puis la basse une mesure plus tard, la rapide succession entraînant une musique animée comme une bonne image de la vie. Dans la troisième section, le modèle des entrées est le même mais il part des voix les plus basses au plus aigües. Les trois récitatifs sont écrits différemment, le premier accompagné d'accords des cordes, le deuxième par le continuo, le troisième comme un récitatif accompagnato des deux hautbois da caccia qui ajoutent un motif expressif durable, seulement interrompu par l'annonce des mouvements de l'enfant dans le ventre (« Hüpfen ») qu'ils sont précisément en train de représenter. Les trois arias de la cantate originale sont écrites pour voix et instruments solo (3, 5) ou seulement continuo alors que la dernière aria qui rapporte les miracles de Jésus est accompagnée de tout l'orchestre. Les mouvements de choral 6 et 10 qui terminent les deux parties de la cantate ont la même musique basée sur la mélodie de Johann Schop, « Werde munter, mein Gemüthe », une mélodie que Bach a aussi utilisée dans sa Passion selon saint Matthieu sur les mots « Bin ich gleich von dir gewichen » (#40). Le simple choral à quatre voix est inséré dans une disposition de tout l'orchestre, dominé par un motif pastoral de triolet dérivé de la première ligne de la mélodie du choral2. | Jean-Sebastien BACH - cantate BWV 147 Herz und Mund und Tat und Leben (E) Herz und Mund und Tat und Leben (Le cœur, et la bouche, et l'action, et la vie) (BWV 147) est une cantate religieuse de Jean-Sébastien Bach jouée à Leipzig le vendredi 2 juillet 1723 à l'occasion de la f&ec ... |
J.S. BACH - Cantate Tonet, ihr Pauken Erschallet, Trompeten BWV 214.mp4Tönet, ihr Pauken! Erschallet, Trompeten! (Résonnez, timbales ! Retentissez, trompettes !) (BWV 214), est une cantate profane de Johann Sebastian Bach, composée à Leipzig en 1733. Bach composa cette cantate pour le 34e anniversaire de Marie-Josèphe d'Autriche, femme d'Auguste III de Pologne, reine de Pologne et Grande Électrice de Saxe. Elle est également connue sous le titre « Glückwünschkantate zum Geburtstage der Königin ». Sa première représentation eut lieu le mardi 8 décembre 1733 dans l'église de l'Université de Leipzig avec pour titre Dramma per musica. Certaines parties de cette œuvre profane ont été retravaillées pour être intégrées dans l'Oratorio de Noël. Dans cette œuvre en neuf parties, le poète - inconnu - fait chanter les louanges de la Reine par quatre déesses mythologiques. La cantate est écrite pour trois trompettes, timbales, deux flûtes traversières, deux hautbois, deux violons, alto et basse continue (avec orgue et basson) avec quatre solistes : Bellone, Déesse de la guerre (soprano) Athéna, Déesse des muses et de la science (alto) Eiréné, Déesse de la paix (ténor) Fama, Déesse de la renommée basse) Il y a neuf mouvements : chœur : Tonet, ihr pauken! Erschallet, trompeten! récitatif (ténor) : Heut' ist der Tag aria (soprano) : Blast die wohlgegriff'nen Floten récitatif (soprano) : Mein knallendes Metall aria (alto) : Fromme Musen! Meine Glieder! récitatif (alto) : Uns're Konigin im Lande, die der Himmel zu uns Sandte aria (basse) : Kron' und Preis gekronter Damen récitatif (basse) : So dringe in das weite Erdenrund chœur : Bluhet, ihr Linden in Sachsen, wie Cedern Il s'agit d'une des nombreuses cantates de félicitations des années 1733-1744 qui, du fait que leur création était liée à un personnage précis et pour une occasion unique, étaient destinées à une seule représentation. Il est possible que Bach ait voulu conserver les parties les meilleures et celles qui lui semblaient importantes en les reprenant dans son Oratorio de Noël. Le texte « Tönet, ihr Pauken! Erschallet, Trompeten! » dans le chœur d'ouverture est impressionnant à cause de l'ordre de présentation prévu de ces instruments. Le transfert de cantate d'origine laïque à un moment précis du cycle de Noël de cantates sacrées ne posait pas de difficultés à l'époque baroque. L’œuvre est marquée conformément à l'occasion de joie et d'humeur festive et est de nos jours l'une des plus populaires cantates profanes de Bach. collegium 1704 Luks (20.08.11) | J.S. BACH - Cantate Tonet, ihr Pauken Erschallet, Trompeten BWV 214.mp4 (E) Tönet, ihr Pauken! Erschallet, Trompeten! (Résonnez, timbales ! Retentissez, trompettes !) (BWV 214), est une cantate profane de Johann Sebastian Bach, composée à Leipzig en 1733. Bach composa cette cantate pou ... |
J.S. BACH - concerto brandebourgeois n3 - allegro (Karl Richter)Dans ce concerto, les cordes sont divisées en trois groupes qui dialoguent, un dialogue assez sobre dans le premier mouvement plus majestueux, et plus enlevé dans le troisième. Les concertos brandebourgeois sont un ensemble de six concertos de Johann Sebastian Bach (BWV 1046 à 1051), qui comptent parmi les plus renommés qu'il ait composés. Le qualificatif de brandebourgeois est dû à Philipp Spitta qui, suivant l'usage germanique, fait référence au dédicataire, le margrave Christian Ludwig de Brandebourg. | J.S. BACH - concerto brandebourgeois n3 - allegro (Karl Richter) (E) Dans ce concerto, les cordes sont divisées en trois groupes qui dialoguent, un dialogue assez sobre dans le premier mouvement plus majestueux, et plus enlevé dans le troisième. Les concertos brandebourgeois sont un ... |
bach - concerto brandebourgeois n3 - allegro - karl richterDans ce concerto, les cordes sont divisées en trois groupes qui dialoguent, un dialogue assez sobre dans le premier mouvement plus majestueux, et plus enlevé dans le troisième. Les concertos brandebourgeois sont un ensemble de six concertos de Johann Sebastian Bach (BWV 1046 à 1051), qui comptent parmi les plus renommés qu'il ait composés. Le qualificatif de brandebourgeois est dû à Philipp Spitta qui, suivant l'usage germanique, fait référence au dédicataire, le margrave Christian Ludwig de Brandebourg. | bach - concerto brandebourgeois n3 - allegro - karl richter (E) Dans ce concerto, les cordes sont divisées en trois groupes qui dialoguent, un dialogue assez sobre dans le premier mouvement plus majestueux, et plus enlevé dans le troisième. Les concertos brandebourgeois sont un ... |
J.S. BACH - Concerto pour 4 claviers (soeurs Labeque sur instruments anciens)Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Bach a écrit des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). | J.S. BACH - Concerto pour 4 claviers (soeurs Labeque sur instruments anciens) (E) Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Bach a écrit des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach d ... |
J.S. BACH - concerto pour 4 pianos - 1e mt (Argerich, Kissin, Levine, Pletnev)Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre claviers. Ces concertos sont joués de nos jours au clavecin, au piano-forte ou au piano. Bach disposait dès 1730 du second instrument au sein de l'orchestre qu'il dirigeait (le Collegium Musicum de Leipzig) et il n'est donc pas exclu qu'il ait pensé à celui-ci lors de la composition de certains de ces concertos. La plupart de ces concertos sont des adaptations de pièces plus anciennes, parfois égarées. Leur structure est identique : mouvements vif-lent-vif et leur durée comparable (environ une vingtaine de minutes). | J.S. BACH - concerto pour 4 pianos - 1e mt (Argerich, Kissin, Levine, Pletnev) (E) Bach est l'un des précurseurs dans le genre du concerto pour clavier. Douze concertos pour un clavecin devaient être écrits, en deux cahiers de 6. Bach a écrit par ailleurs des concertos pour deux, trois et quatre ... |
Jean-Sebastien BACH - Magnificat - suscepit IsraelLe Magnificat en ré majeur BWV 243 est l'une des œuvres vocales majeures de Johann Sebastian Bach. Il a été écrit pour la fête de la Visitation de la Vierge Marie le 2 juillet 1733 pour chœur à cinq voix et orchestre. Il s'agit de l'une des rares pièces musicales du compositeur reposant sur un texte en latin, l'autre exemple le plus célèbre étant sa Messe en si mineur qui partage également la caractéristique d'être écrite à cinq voix. A Leipzig on chantait le Magnificat dans la version en allemand, traduite par Martin Luther « Meine Seele erhebt den Herrn », aux vêpres du samedi et du dimanche. Il s'agissait d'un choral à quatre voix, dont la voix principale était issue de la psalmodie grégorienne, écrite dans le 9e ton (le ton pérégrin). La source en est l’Enchiridion de Georg Rhau (1535) et le Gesangbuch (Livre de chant) de Joseph Klug (1535). Le Magnificat en ré est la réécriture d'un premier Magnificat, écrit en mi bémol majeur (et numéroté BWV 243a), sans doute pour le 2 juillet 1723, sans interpolations, mais composé vraisemblablement pour le service de Noël de 1724, et comprenant quatre chœurs interpolés (laudes), en allemand et en latin. Suscepit Israel pour soprano 1, soprano 2, alto, hautbois solo | Jean-Sebastien BACH - Magnificat - suscepit Israel (E) Le Magnificat en ré majeur BWV 243 est l'une des œuvres vocales majeures de Johann Sebastian Bach. Il a été écrit pour la fête de la Visitation de la Vierge Marie le 2 juillet 1733 pour chœur &a ... |
Jean-Sebastien BACH - Messe en si - KyrieLa Messe en si mineur est une œuvre musicale composée par Johann Sebastian Bach (BWV 232), pour deux sopranos, un contralto, un ténor, une basse, un chœur et un orchestre. La Messe en si mineur est essentiellement composée d'un assemblage de diverses pages puisées dans différents ouvrages antérieurs du compositeur et réécrites par lui selon le procédé dit de la parodie (au sens ancien du terme : « texte composé pour être chanté sur une musique connue »1) : par exemple la cantate BWV 12 a fourni la matière du Crucifixus, l'Hosanna est repris de la cantate BWV 215, l'Agnus Dei provenant quant à lui de l'oratorio de l'Ascension BWV 11. Seul un tiers de l'œuvre environ consiste en compositions « originales ». La parodie est un processus relativement courant chez Bach, comme d'ailleurs chez maints compositeurs de l'époque, car c'était souvent la seule manière de donner à entendre de nouveau des pièces que leurs auteurs estimaient particulièrement réussies. La tonalité de si mineur, comme le veut l'usage, vient de la première pièce (Kyrie eleison), les autres numéros étant, à l'exception du n° 26 (Agnus Dei en sol mineur), dans les tons voisins, particulièrement dans la gamme relative ré majeur (13 sur les 27 numéros). | Jean-Sebastien BACH - Messe en si - Kyrie (E) La Messe en si mineur est une œuvre musicale composée par Johann Sebastian Bach (BWV 232), pour deux sopranos, un contralto, un ténor, une basse, un chœur et un orchestre. La Messe en si mineur est essentiellem ... |
Jean-Sebastien BACH - Messe en si - Et Incarnatus estEt incarnatus est De spiritu sancto Ex Maria virgine Et homo factus est Par sa mélodie descendante chantée sur les mots Et incarnatus et son motif d’accompagnement de violons à l’unisson, ce morceau symbolise le Christ venu du ciel pour sauver le genre humain. | Jean-Sebastien BACH - Messe en si - Et Incarnatus est (E) Et incarnatus est De spiritu sancto Ex Maria virgine Et homo factus est Par sa mélodie descendante chantée sur les mots Et incarnatus et son motif d’accompagnement de violons à l’unisson, ce m ... |
J.S. BACH - Messe en si - crucifixusCrucifixus etiam pro nobis, sub Pontio Pilato passus et sepultus est. À la page pleine de tendresse du Et Incarnatus, répond un ostinato inexorable, expression figurative de la Passion. Couronnant le tout, et symbolisant la douleur du Christ sur la croix, les voix du chœur chantent l’une après l’autre le motif de 5 notes du Crucifixus, et sombrent peu à peu, s’évanouissant piano (doucement) graduellement a cappella. Partie la plus ancienne de l’œuvre, le Crucifixus, tire son matériau premier du chœur inaugural de la cantate BWV 12, Weinen, Klagen, Sorgen, Zagen (« Pleurs, plaintes, soucis, irrésolutions », 1714). La souffrance et la douleur s’expriment dans le chromatisme intense de toute l’écriture. Le rythme régulier (en croches) de la basse descendante produit l’effet d’une loi inexorable. Ce n’est qu’à la conclusion que BACH la fait monter, qu’il transforme le mi min. en un sol maj. apaisant, qu’il marque un repos dans le rythme, avec un ton entier et un point d’orgue et qu’il fait sonner le chœur a cappella dans un registre plus grave - tout cela pour traduire le repos dans la tombe. | J.S. BACH - Messe en si - crucifixus (E) Crucifixus etiam pro nobis, sub Pontio Pilato passus et sepultus est. À la page pleine de tendresse du Et Incarnatus, répond un ostinato inexorable, expression figurative de la Passion. Couronnant le tout, et symbolis ... |
J.S.BACH - Messe en si - Agnus Deil'Agnus Dei provient de l'oratorio de l'Ascension BWV 11. Composée de 1733 à 1738, pour l’église catholique de la cour de Saxe, la Messe en si mineur est en réalité un oratorio dont les parties répondent aux hymnes du service divin : kyrie, gloria, credo, sanctus et agnus dei. Mais ni ses proportions ni son caractère n’ont de rapport avec la liturgie. La Messe en si mineur de Bach comporte 24 numéros (15 chœurs, 6 airs et 3 duos). | J.S.BACH - Messe en si - Agnus Dei (E) l'Agnus Dei provient de l'oratorio de l'Ascension BWV 11. Composée de 1733 à 1738, pour l’église catholique de la cour de Saxe, la Messe en si mineur est en réalité un oratorio dont les parties r ... |
Jean-Sebastien BACH - motet - Jesu meine freudeJesu, meine Freude est un motet composé par Jean-Sébastien Bach. L'œuvre prend son titre, son texte et sa mélodie principale d'un cantique du même nom de Johann Crüger. Les versets (8:1–2, 9–11) de l'Épître aux Romains sont utilisés en alternance avec le cantique, un texte répondant à l'autre. La musique est au service du texte, l'illustrant souvent de manière figurative et inventive. Bien que des recherches récentes suggèrent que l'oeuvre a été composée et construite à plusieurs époques différentes, l'ensemble forme une structure très cohérente avec une architecture d'ensemble parfaitement symétrique. Ce motet est le plus ancien et le plus complexe des motets de Jean-Sébastien Bach, et un des plus connus et exécutés. La mélodie chorale à partir de laquelle Bach a élaboré son motet provient d'un cantique luthérien de Johann Crüger. Elle apparaît pour la première fois dans l'important hymnaire luthérien Praxis pietatis melica (« Pratique de la piété par la poésie chorale ») de cet auteur, dans lequel Bach puise régulièrement les thèmes mélodiques et les texte de ses chorals. La mélodie de ce cantique, écrit en 1653, est de Crüger et le texte en allemand du poète Johann Franck, ami et collaborateur de CrügerCa 1. Bach a également utilisé des parties de ce cantique dans les cantates BWV 12, BWV 64, BWV 81, et BWV 873. Le poème de Franck est divisé en 6 strophes qui forment les 1e, 3e, 5e, 7e, 9e et 11e partie du motet. Son thème est Jésus comme joie et support, face aux ennemis et à la vanité de l'existence. Sa forme est irrégulière, avec des vers de 5 à 8 pieds3 Les paroles chantées dans les 2e, 4e, 6e, 8e et 10e parties sont issues de la Bible luthérienne, l'Épître aux Romains, de l'apôtre Paul (8:1–2, 9–11). Bach construit donc son motet en faisant alterner le poème de Franck avec un texte biblique, celui-ci illustrant, commentant ou enrichissant le message du poème. Globalement, le message du poème de Franck est « la mort bienheureuse qui délivre des maux et des souffrances du monde pour mener à la contemplation du Christ » tandis que l'épître affirme la nature spirituelle, et non matérielle, de l'Homme . Mais Bach ne se contente pas d'alterner, il réalise ce mélange par une vaste structure symétrique en arche (chiasme) autour du mouvement central (le n°6, la seule fugue du motet), où les mouvements en regard sont traités musicalement de la même manière. L'aspect symétrique de l'œuvre est encore accentué par le nombre de mesures de part et d'autre du mouvement central : respectivement 190 et 189 mesures. Cette structure chiastique en elle-même symbolise le Christ dans la métaphysique musicale de l'époque. En effet, le chiasme est représenté par la lettre grecque χ (Chi), qui est aussi symétrique par rapport à son centre. Or, cette lettre est à la fois la première lettre du nom Grec du Christ χριστός / christós, et sa forme rappelle également la croixGo 1,Ca 2. On retrouve cette structure chiastique et ce symbolisme chez Bach notamment dans la Passion selon Saint Jean. L'élément central, la fugue Ihr aber seid nicht fleischlich, attire l'attention par sa position et sa forme de fugue, unique dans ce motet. Le message de cette fugue semble être le message central du motet « Or vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'Esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous » (Rm 8,9). | Jean-Sebastien BACH - motet - Jesu meine freude (E) Jesu, meine Freude est un motet composé par Jean-Sébastien Bach. L'œuvre prend son titre, son texte et sa mélodie principale d'un cantique du même nom de Johann Crüger. Les versets (8:1–2, 9&ndash ... |
Jean-Sebastien BACH - Offrande musicaleMusikalisches Opfer (en français : L'Offrande musicale) est une œuvre instrumentale de Johann Sebastian Bach (BWV 1079) composée en 1747 durant la période où le musicien travaillait à Leipzig. Le roi Frédéric II de Prusse était un passionné de musique, bon flûtiste et compositeur amateur bien doué. Le 7 mai 1747, il soumet à Johann Sebastian Bach un thème qu'il lui joue à la flûte et lui demande d'improviser et développer un discours musical à partir de ce thème. La légende raconte que Johann Sebastian Bach improvise alors longuement des variations, et s'excuse de ne pouvoir plus élaborer sur ce sujet si difficile après avoir interprété le célèbre Ricercare à 6 voix. De retour chez lui, Bach se remet au travail en écrivant tout ce qu'il avait improvisé, tout en enrichissant le contenu qu'il fait parvenir au roi le 7 juillet sous le titre de l'Offrande musicale. L'Offrande musicale est aujourd'hui considérée comme une des plus grandes œuvres de Johann Sebastian Bach, au même titre que L'Art de la fugue et que les Variations Goldberg (œuvres composées dans la même période, sur un même principe d'esthétisme de la part du musicien). | Jean-Sebastien BACH - Offrande musicale (E) Musikalisches Opfer (en français : L'Offrande musicale) est une œuvre instrumentale de Johann Sebastian Bach (BWV 1079) composée en 1747 durant la période où le musicien travaillait à Leipzig. Le ... |
Jean-Sebatien BACH - Oratorio de Paques BWV 249 (John Eliott Gardiner)L’Oratorio de Pâques, en allemand Oster-Oratorium (BWV 249) est un oratorio de Johann Sebastian Bach, achevé et donné le dimanche 1er avril 1725, dont trois versions ultérieures présentant des différences notables ont été conservées. Le texte, probablement rédigé par Picander, s'inspire d'un passage des Évangiles dans lequel les apôtres Pierre et Jean découvrent le tombeau vide de Jésus, le jour de Pâques. Ce serait plutôt une cantate qu'un oratorio, s'inspirant succinctement du récit évangélique pour s'orienter vers une méditation sacrée. Bach donna cet oratorio deux jours après avoir fait entendre sa Passion selon saint Jean, le vendredi saint (30 mars) de 1725, sous les voûtes de l'église Saint-Thomas de Leipzig. Cet oratorio résulte d'un travail de parodie de la cantate profane dite « des bergers » BWV 249a donnée 5 semaines plus tôt, à Weissenfels. Bach remanie l'ouvrage une dizaine d'années plus tard pour un Oratorium festo Paschali (Oratorio pour la fête de Pâques) et à nouveau après 1740. | Jean-Sebatien BACH - Oratorio de Paques BWV 249 (John Eliott Gardiner) (E) L’Oratorio de Pâques, en allemand Oster-Oratorium (BWV 249) est un oratorio de Johann Sebastian Bach, achevé et donné le dimanche 1er avril 1725, dont trois versions ultérieures présentant des diff&ea ... |
Jean-Sebastien BACH - partita pour clavecin bwv831 | Jean-Sebastien BACH - partita pour clavecin bwv831 (E) ... |
Jean-Sebastien BACH - Partita pour flute - allemandeLes sonates pour flûtes semblent avoir été écrites pendant la période où Bach fut attaché à la cour du jeune prince Leopold féru de musique, à Cothen, entre 1717 à 1723. La cour était calviniste de tradition, si bien que Bach n'avait à fournir pour les divertissements princiers de la musique profane uniquement. www.youtube.com/watch?v=6GwfuWhOOdY | Jean-Sebastien BACH - Partita pour flute - allemande (E) Les sonates pour flûtes semblent avoir été écrites pendant la période où Bach fut attaché à la cour du jeune prince Leopold féru de musique, à Cothen, entre 1717 à ... |
J.S. BACH - Passion selon St Jean Bwv 245La Passion selon saint Jean (Passio secundum Johannem), BWV 245, est une passion de Johann Sebastian Bach (Jean-Sébastien Bach). Elle a été composée durant la première année où Bach était devenu cantor de l'Église Saint-Thomas de Leipzig et jouée dans le même lieu pour la première fois le Vendredi saint 1724, soit le 7 avril1. Cette œuvre relate et commente la Passion du Christ d'après l'évangile de Jean. Elle constitue, avec la Passion selon saint Matthieu de Bach également, l'apogée d'une très ancienne tradition remontant au Moyen Âge consistant à chanter la passion du Christ pendant la semaine sainte. Il s'agit d'une des plus riches et plus grandioses œuvres de ce genre2, et une des œuvres majeures de Bach. Son exécution dure environ 2 heures. Cette passion est constituée d'une alternance de récitatifs et de chœurs relatant la passion, dans laquelle viennent s'insérer des arioso(s), des aria(s) et des chorals venant apporter des commentaires ou des réflexions théologiques aux événements. Deux chœurs libres monumentaux encadrent l'œuvre, qui est divisée en deux parties principales, entre lesquelles pouvait prendre place un sermon. Il est essentiel de signaler que le chœur final ne termine pas réellement la partition : comme après chacun des épisodes qui constituent cette Passion, c'est à un choral qu'il revient de conclure, dans le but de rattacher l'œuvre à la liturgie luthérienne : on n'est pas à un concert mais bien dans un office religieux. Les quatre Évangiles racontent la Passion du Christ, mais on ne connaît que deux mises en musique de cet épisode par Jean-Sébastien Bach : celle de saint Jean et celle de saint Matthieu. Des versions des passions selon saint Marc et saint Luc ont été partiellement retrouvées ; leur reconstitution a été tentée sans réel aboutissementNote 1 : des parties entières de ces deux œuvres ont disparu (beaucoup d'œuvres de Bach ont été éparpillées après sa mort, ses compositions étant passées de mode). | J.S. BACH - Passion selon St Jean Bwv 245 (E) La Passion selon saint Jean (Passio secundum Johannem), BWV 245, est une passion de Johann Sebastian Bach (Jean-Sébastien Bach). Elle a été composée durant la première année où Bach ét ... |
Jean-Sebastien BACH - Passion selon Saint Jean - Ruht WohlRuht wohl, ihr heiligen Gebeine, die ich nun weiter nicht beweine ; Ruht wohl, und bringt auch mich zur Ruh’. Das Grab, so euch bestimmet ist und ferner keine Not umschließt, Macht mir den Himmel auf und schließt die Hölle zu. Reposez bien, ossements saints, que je ne pleurerai désormais plus ; Reposez bien, et apportez-moi aussi le repos. Le tombeau, qui vous est destiné et ne renferme plus de détresse, m’ouvre le ciel Les paroles proviennent de la passion de Brocke. Le rythme est celui d’un menuet lent, mais la forme est de type refrain. Bach choisit une forme « galante », et compose un chœur purement homophonique, pratiquement sans aucun recours au contrepoint. C’est très rare dans son œuvre : on ne retrouve de tels chœurs que dans ses cantates profanes, hormis évidemment le dernier chœur de la Passion selon Saint Mathieu. Mais si ce morceau est galant, l’émotion est bien présente : la tonalité de do mineur, « agréable, charmante, mais aussi triste, désolée » d’après Matheson, et les phrases descendantes donnent une atmosphère prenante et recueillie. et ferme l’enfer. | Jean-Sebastien BACH - Passion selon Saint Jean - Ruht Wohl (E) Ruht wohl, ihr heiligen Gebeine, die ich nun weiter nicht beweine ; Ruht wohl, und bringt auch mich zur Ruh’. Das Grab, so euch bestimmet ist und ferner keine Not umschließt, Macht mir den Himmel auf und schließ ... |
Jean Sebastien BACH - Passion selon St Matthieu (Harreweghe) (tout)La Passion selon saint Matthieu (BWV 244) (en latin Passio Domini nostri Jesu Christi secundum Evangelistam Matthæum, c'est-à-dire en français Passion de notre Seigneur Jésus-Christ selon l'Évangéliste Matthieu, connue en allemand sous le nom de Matthäus-Passion), est un oratorio de Johann Sebastian Bach (en français Jean-Sébastien Bach) exécutée probablement pour la première fois le Vendredi saint 1727, c'est-à-dire le 7 avril 17271. Elle a été remaniée deux fois. La troisième version, définitive, a été créée en 1736. La Passion, partition monumentale en deux parties, dont l'exécution dure environ 2 heures 45, compte parmi les grandes œuvres de la musique baroque. La Passion, d'inspiration protestante luthérienne, est écrite pour des voix solistes, un double chœur (chœur divisé en deux groupes indépendants) et deux orchestres. Elle allie deux éléments : le texte de l'Évangile et les commentaires. La sobriété relative, très dynamique, de récitatifs chantés par l'Évangéliste, dans lesquels interviennent fréquemment les protagonistes du drame (les personnages impliqués dans l'action ainsi que la foule - turba -, représentée par le chœur, à l'antique), fait donc alterner comme sur une scène de théâtre, le chant soliste et des épisodes choraux très puissants et expressifs. Des arie da capo (airs à reprise), également chantés par les voix solistes, reviennent sur chaque moment important. De nombreux chorals luthériens, magnifiquement harmonisés par Bach, installent le tout dans la liturgie protestante du jour de la Passion (le Vendredi saint). Pour des raisons aussi bien dramatiques que liturgiques, Bach fait parfois s'entremêler ces éléments, dans une rencontre entre différents plans, ou comme des liens qu'il établit entre le ciel et la terre. La compassion, la passion pour l'autre, et l'abandon à la douleur constituent l'idée maîtresse de l'œuvre. Qu'elles soient de joie ou de peine, amères ou libératrices, toute l'œuvre paraît baigner dans les larmes : cf. par exemple le célèbre air d'alto, très italien (Erbarme dich, mein Gott, « Aie pitié, mon Dieu », no 47), chanté après que l'apôtre Pierre, sous l'emprise de la peur, a renié trois fois le Christ, et s'est mis à « pleurer amèrement » (fin du récitatif de l'Évangéliste : « und weinete bitterlich »), au souvenir de l'annonce qui lui avait été faite, par le Christ, de ce reniement. Bach a composé également une Passion selon saint Jean, qui est donnée plus fréquemment : elle est plus courte et ne nécessite qu'un seul chœur au lieu de deux. Bach avait apparemment le projet d'écrire quatre Passions correspondant aux différents récits, par les quatre Évangélistes, de la dernière Cène (repas) et de l'institution de l'Eucharistie, de l'arrestation, de la condamnation à mort et de la Crucifixion de Jésus. | Jean Sebastien BACH - Passion selon St Matthieu (Harreweghe) (tout) (E) La Passion selon saint Matthieu (BWV 244) (en latin Passio Domini nostri Jesu Christi secundum Evangelistam Matthæum, c'est-à-dire en français Passion de notre Seigneur Jésus-Christ selon l'Évangélis ... |
J.S. BACH - Passion selon Saint Mathieu - Erbarme dich (aria) (Philippe Herrewege)Erbarme dich, Mein Gott, um meiner Zähren willen ! Schaue hier, Herz und Auge weint vor dir Bitterlich. Pitié pour moi, Seigneur, Je souffre et pleure et prie, En mon coeur, quelle peine, Quels tourments. Pitié pour moi, Seigneur. Ce sublime mouvement en si mineur dépeint le désespoir de Pierre ayant renié Jésus. La partie de violon solo exprime les remords de l’apôtre, réalisant ce qu’il vient de faire et la vérité des paroles de Jésus. La compassion et l'abandon à la douleur constituent l'idée maîtresse de l'œuvre. Qu'elles soient de joie ou de peine, amères ou libératrices, toute l'œuvre paraît baigner dans les larmes. | J.S. BACH - Passion selon Saint Mathieu - Erbarme dich (aria) (Philippe Herrewege) (E) Erbarme dich, Mein Gott, um meiner Zähren willen ! Schaue hier, Herz und Auge weint vor dir Bitterlich. Pitié pour moi, Seigneur, Je souffre et pleure et prie, En mon coeur, quelle peine, Quels tourments. P ... |
J.S BACH - Passion selon Saint Mathieu - choeur final (Philippe Herreweghe)La compassion et l'abandon à la douleur constituent l'idée maîtresse de l'œuvre. Qu'elles soient de joie ou de peine, amères ou libératrices, toute l'œuvre paraît baigner dans les larmes. La Passion selon saint Matthieu (BWV 244), est un oratorio de Johann Sebastian Bach, partition monumentale qui compte parmi les grandes œuvres de la musique classique. l’œuvre s’achève par un grand chœur final, précédé par un court adieu de chaque soliste au Christ. | J.S BACH - Passion selon Saint Mathieu - choeur final (Philippe Herreweghe) (E) La compassion et l'abandon à la douleur constituent l'idée maîtresse de l'œuvre. Qu'elles soient de joie ou de peine, amères ou libératrices, toute l'œuvre paraît baigner dans les larmes. ... |
Jean-Sebastien BACH - la petite fugue pour orgueLa célèbre Petite Fugue en sol s'apparente à ces pages intimes que le compositeur destinait aux concerts familiaux. D'une écriture ferme mais légère, une fugue régulière s'y déploie sans que jamais le discours se perde en complications. | Jean-Sebastien BACH - la petite fugue pour orgue (E) La célèbre Petite Fugue en sol s'apparente à ces pages intimes que le compositeur destinait aux concerts familiaux. D'une écriture ferme mais légère, une fugue régulière s'y dép ... |
Jean-Sebastien BACH - Sonate en trio pour Orgue Bwv 525Les Sonates en trio pour orgue sont parmi les pièces pour orgue les plus remarquables écrites par Johann Sebastian Bach. Elles sont le sommet de l'art du contrepoint à exécuter par un unique interprète. Elles sont réputées pour leur extrême difficulté technique, redoutées par tous les organistes, programmées dans toutes les épreuves et concours d'orgue. Elles nécessitent en effet une grande maîtrise et une grande concentration du fait de l'indépendance requise pour jouer chacune des trois voix simultanément : une voix pour la main gauche, une voix pour la main droite et une voix au pédalier. Elles ont été enregistrées par les plus grands organistes et représentent la référence en matière de virtuosité organistique. Elles constituent sur le plan purement musical un essai de synthèse entre le style rigoureux contrapuntique et le style galant italien, certains mouvements lents pouvant être considérés comme une préfiguration du style romantique à venir. | Jean-Sebastien BACH - Sonate en trio pour Orgue Bwv 525 (E) Les Sonates en trio pour orgue sont parmi les pièces pour orgue les plus remarquables écrites par Johann Sebastian Bach. Elles sont le sommet de l'art du contrepoint à exécuter par un unique interprète ... |
Jean-Sebastien BACH - suite anglaise - prelude | Jean-Sebastien BACH - suite anglaise - prelude (E) ... |
Jean-Sebastien BACH - suite francaise pour clavierLes Suites françaises sont un des trois groupes de six suites pour le clavecin composées par Johann Sebastian Bach (à côté des Suites anglaises et des Partitas pour clavier appelées aussi Suites allemandes). Ce sont les plus simples d'exécution, les moins ambitieuses musicalement, et leur caractère d'air à danser est affirmé, même si le goût du compositeur pour le contrepoint y fait reconnaître sa signature. Leur composition remonte au plus tard aux années 1720-1724 à Köthen. Elles comprennent toutes les quatre danses traditionnelles de la suite : allemande, courante, sarabande et gigue avec, entre la sarabande et la gigue, un nombre variable de pièces supplémentaires : menuet(s), air, anglaise, gavotte, bourrée, loure, polonaise. Elles se distinguent des Suites anglaises et des Partitas pour clavier par l'absence de prélude et une moindre difficulté. | Jean-Sebastien BACH - suite francaise pour clavier (E) Les Suites françaises sont un des trois groupes de six suites pour le clavecin composées par Johann Sebastian Bach (à côté des Suites anglaises et des Partitas pour clavier appelées aussi Suites alle ... |
rostropovitch - bach au pied du mur de berlin.jpgC’est l’une des images les plus marquantes de l’époque de la Chute du Mur. L’immense violoncelliste Mstislav Rostropovitch, seul, avec son instrument au pied du Mur ,entame les suites de Bach. Nous sommes alors le 11 novembre 1989. Le Mur est déjà largement en train de s’effriter. Les télévisions du monde entier sont également présentes dans la capitale berlinoise.le violoncelliste entame son concert improvisé à deux pas de Check Point Charlie. Rostropovitch reviendra dix ans plus tard exactement à Berlin et, grâce à cet interview, de France 2 encore une fois, on apprend les circonstances qui l’on conduit à venir à Berlin. Le musicien se trouvait en effet à Paris le jour de la Chute du Mur et a tenté par tous les moyens de rejoindre Berlin quand il a appris la nouvelle. Ce "Mur de la honte" revêt en effet une importance très particulière pour le violoncelliste. En effet, celui-ci a débuté sa carrière à Moscou mais ses idées et sa proximité avec Soljenitsyne lui rendent la vie difficile en URSS. Il doit donc d’exiler à l’Ouest, aux Etats-Unis et en France. Rostropovitch explique qu’en arrivant près du Mur, il a d’abord cherché une chaise pour pouvoir jouer et que, petit à petit, un attroupement s’est crée. Les premières notes se font entendre. Les Suites de Bach, car "Bach, c’est Dieu" déclarera-t-il. D’abord joyeuses pour fêter cet évènement puis plus tristes pour rendre hommage aux victimes du régime est-allemand. Cette sarabande de la deuxième suite de Bach restera pour toujours associée à cette image hautement symbolique du violoncelliste devant ce Mur en ruine. | rostropovitch - bach au pied du mur de berlin.jpg (E) C’est l’une des images les plus marquantes de l’époque de la Chute du Mur. L’immense violoncelliste Mstislav Rostropovitch, seul, avec son instrument au pied du Mur ,entame les suites de Bach. Nous s ... |
Jean-Sebastien BACH - Suite pour Violoncelle N° 1. BWV 1007 (1721)Les six suites pour violoncelle seul de Johann Sebastian Bach (BWV 1007 à 1012) sont considérées comme les classiques incontournables du répertoire de cet instrument. Le violoncelle resta longtemps cantonné au rôle de faire-valoir ; il faut attendre la deuxième moitié du xviiie siècle pour que soit définitivement supplantée la basse de viole de gambe, et le xixe siècle pour que soient acquises au violoncelle ses lettres de noblesse d'instrument soliste et concertant, notamment grâce à Ludwig van Beethoven, Johannes Brahms, Robert Schumann, Édouard Lalo, Jacques Offenbach, Camille Saint-Saëns, Antonín Dvorak, Felix Mendelssohn-Bartholdy. Ces Suites sont un élément incontournable du répertoire pour violoncelle, d'abord en raison de leurs qualités musicales, ensuite pour leur intérêt pédagogique et théorique. Bach met en valeur toutes les possibilités polyphoniques de l'instrument. | Jean-Sebastien BACH - Suite pour Violoncelle N° 1. BWV 1007 (1721) (E) Les six suites pour violoncelle seul de Johann Sebastian Bach (BWV 1007 à 1012) sont considérées comme les classiques incontournables du répertoire de cet instrument. Le violoncelle resta longtemps cantonn&ea ... |
Jean-Sebastien BACH - Variations Goldberg pour clavier (Glenn Gould) | Jean-Sebastien BACH - Variations Goldberg pour clavier (Glenn Gould) (E) ... |
Jean-Sebastien BACH - l'art de la fugue (introduction)Considérée depuis longtemps comme le « testament du compositeur », comme l'œuvre ultime de Bach, l'œuvre ainsi écrite représente l'apogée de son style d'écriture, le sommet du style contrapuntique et l'une des plus grandes prouesses de la musique occidentale. L'Art de la fugue a inspiré et émerveillé bon nombre des compositeurs qui l'ont redécouverte, parmi lesquels Mozart et Beethoven. L'Art de la fugue (die Kunst der Fuge) est une œuvre inachevée de Johann Sebastian Bach (BWV 1080). Bach aurait commencé son écriture aux alentours de 1740 ou 1742 | Jean-Sebastien BACH - l'art de la fugue (introduction) (E) Considérée depuis longtemps comme le « testament du compositeur », comme l'œuvre ultime de Bach, l'œuvre ainsi écrite représente l'apogée de son style d'écriture, le sommet d ... |
Jean-Sebastien BACH - variations goldberg (Alexandre Taraud) - | Jean-Sebastien BACH - variations goldberg (Alexandre Taraud) - (E) ... |
Jean-Sebastien BACH - concerto pour 2 violons bwv 1043 | Jean-Sebastien BACH - concerto pour 2 violons bwv 1043 (E) ... |