![]() | seductionLa soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. Le temps de prendre congé des derniers invités et de refermer la porte derriere eux, elle s'approcha de moi, - Je n'ai pas eu l'occasion de t'embrasser comme je le voulais quand tu es arrivé ! ... tu me permets ? ... Elle entoura alors ma tête des ses mains et m'embrassa un long moment sur la joue puis imperceptiblement sur la commissure des levres. - Je suis tellement contente de te garder ce soir chez moi, tu sais ! Quelque chose était en train de se declencher sans que aucun de nous deux ne puissions à ce stade prévoir la suite. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion, éclat impudique du désir... et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Elle était plus séduisante encore... J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. Et elle ne fit rien pour calmer mon attirance violente. Je la fixai, un peu déboussolé. J'étais sous son emprise. Elle me troublait terriblement. Apres m'avoir fixé un moment en silence, elle rapprocha son visage du mien en me prenant les mains dans les siennes, puis elle me fit cette confidence: - je t'aime bien tu sais ! .... rajoutant aussitôt: - je t'aime bien ! ... et même plus ! ... c'est pas bien de dire ça ? ... - je peux t'embrasser ? Elle approcha alors son visage tres pres du mien ... elle posa ses levres sur les miennes - nous sommes seuls en ce moment ! .. qu'en dis-tu ? ... - on devrait en profiter, tu ne crois pas ? ... - à quoi penses-tu ? ... J'eu à peine le temps de realiser ce qui se passait qu'elle fouillait mes lèvres avec les siennes. Ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur. Et ce fut moi qui l’embrassai cette fois sans retenue, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche. Notre baiser fut long et humide. Toute reserve ou retenue avait disparue. Notre baiser dura un très long moment ... Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et c'est moi qui cette fois-ci reprit de plus belle nos étreintes, je lui caressais tout le corps. Elle glissait sa main sous ma chemise, caressant ma peau de ses mains chaudes et je glissai la mienne sous son corsage au contact d'une fine combinaison jusqu'à la naissance des seins. Nous reprîmes nos baisers, de plus en plus fougueux, de plus en plus impatients. elle se detacha avec un regard beaucoup plus déterminé: - tu as envie ? ... comme moi ? ... - Viens ! ... ne restons pas là ! ... je t'emmène ! ... Elle me prit aussitôt par la main et m'emmena dans le couloir .... Arrivés dans sa chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, - J'avais une chambre pour toi, mais c'est dans la mienne que je veux t'avoir ce soir ! ... - pour être encore plus clair, c'est dans mon lit que je te veux cette nuit ! ... attirance violente, sensuelle, elle commença à me deshabiller, je glissai mes mains sous son corsage deja à moitié defait, je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis et nous reprîmes nos etreintes ardentes qu'elle interrompit seulement pour me preciser ses desirs, - je te demande un petit moment ... je voudrai me faire belle pour toi ! .... - Installe toi ! ... commence à te deshabiller .... j'arrive ! ... Installé sur le lit, j'étais attentif à chaque bruit qui aurait pu interpeller mon imaginaire. Je devinai dejà des bruissements de tissus. Le parfum épicé de fragrances érotiques baignait la chambre. Puis elle entra enfin, éclairant soudainement l’ambiance feutrée de la pièce d'une sensualité pregnante. Rayonnante de séduction, une chemise de nuit fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines, - Est-ce que je te plais ? ... Elle me troublait autant qu'elle m'attirait. S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle s'assit à mes cotés puis glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir terriblement envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Je glissai discrètement une main sur sa robe de nuit , puis dessous. Elle m'embrassa avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Elle s'allongea sur le lit tout en m'attirant vers elle, - tu viens ? ... Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, elle me desirait. Elle me fixa alors droit dans les yeux - je t'accueille ! ... viens vite ! ... Je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien, toujours est-il que, discretement guidé vers elle, je me sentis glisser avec délice dans ses chairs intimes, comme aspiré en elle. Nos deux corps étaient desormais enlacés l'un dans l'autre. - Je n'ai pas eu l'occasion de t'embrasser comme je le voulais quand tu es arrivé ! ... - tu me permets ? ... - Je suis tellement contente de te garder ce soir chez moi, tu sais ! - je t'aime bien tu sais ! .... - je suis amoureuse de toi, c'est vrai ce que je te dis ! ... - c'est pas bien de dire ça ? ... - nous sommes seuls en ce moment ! .. qu'en dis-tu ? ... - on devrait en profiter, tu ne crois pas ? ... - tu as envie ? ... comme moi ? ... - Viens ! ... ne restons pas là ! ... je t'emmène ! ... - J'avais preparé ta chambre mais c'est dans la mienne que je veux t'avoir cette nuit ! ... - je te demande un petit moment ... je voudrai me faire belle pour toi ! .... - Installe toi ! ... commence à te deshabiller .... j'arrive ! ... - Est-ce que je te plais ? ... - tu viens sur moi ? ... - j'ai envie de toi ! ... tu viens ? ... je t'accueille ! ... | seduction (E) La soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. Le temps de prendre congé des derniers invités et de refermer la porte ... |
![]() | Je m'allongeai alors sur elle, au contact de son corps chaud. Tandis qu'elle me guidait discretement, je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien, toujours est-il que, sans attendre plus longtemps, je me sentis glisser avec délice dans ses chairs intimes, comme aspiré en elle. Elle m'accueillait chez elle naturellement, avec douceur mais aussi avec gourmandise, je m'immiscai avec delice dans sa douce moiteur. Je la pénétrai ... lentement, profondément. Desormais, nus sous les draps, nos deux corps étaient desormais enlacés l'un dans l'autre. Elle enveloppait avec douceur ma fierté de mâle qui déjà dansait en elle, et la remplissait, je me complaisaîs avec delice dans cette douce tannière, comme dans une bain mielleux. Je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Elle me regardait avec des yeux à me faire fondre. - Tu aimes ? .... - Je suis aux anges ! ... C'est delicieux ! - Je rêve depuis longtemps de vivre ce moment avec toi tu sais ! ... Je voyageai dans son corps doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. Elle s'abandonna à mes attouchements. Elle fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois. Nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Je glissai dans un étui chaud et humide. Tel un poulpe, son ventre me suçait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. J'étais ivre, je tremblai. Je brûlai. La sensation était profonde, sensuelle, humide. Elle me donna ses levres en regardant les miennes tout en m'aspirant dans ses chairs. La langueur de ce contact chaud et vivant autour de la partie la plus intime de mon corps me perdit dans une béatitude mystique qu'elle semblait partager avec moi. Elle me buvait des yeux je la buvais des yeux, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, un glissement onctueux, une penetration lente, un étui chaud et humide entourait ma verge, l'engloutissait et petit à petit l'absorbait. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle était bien, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé - c'eut été dommage de manquer ça, tu ne trouves pas ? ... ! ... Puis nos mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, de plus en plus profondement. Elle m'aspirait comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra. J'amorçai un debut de retrait d'elle craignant une explosion imminente. - non, reste ! ... bien au fond ! ... Ne t'inquiete pas. je ne risque plus grand chose maintenant ! Nos regards se souderent l'un à l'autre, Elle se mit à gémir doucement, puis, honorant mon érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle enfonça presque inconsciemment ses ongles dans mes fesses, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés nous excitait tous les deux. elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de nos sexes glissant l'un dans l'autre nous fit perdre toute retenue. Elle se cabra, m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Elle me tira vers elle. - Viens ! ..... Viens vite ! ... donne moi tout ! ... bien au fond ! ... N'y tenant plus, je me bloquai au fond de ses entrailles et sans attendre plus longtemps, je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, je giclai toute ma sève en plusieurs salves successives. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, puis toute ma tête nichée au creux de son épaule. Puis je m'affaissai sur son corps. Nos cuisses étaient imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Cette minute où nous nous désenlaçâmes valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux. - j'ai adoré ! ... pas toi ? ... merci pour ce moment de pur bonheur ... - tu es maintenant mon amant ! ... tu réalises ? ... Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous revenions à la réalité. Nous nous endormimes dans un paisible sommeil, enlacés l'un contre l'autre - Je n'ai pas eu l'occasion de t'embrasser comme je le voulais quand tu es arrivé ! ... - tu me permets ? ... - Je suis tellement contente de te garder ce soir chez moi, tu sais ! - je t'aime bien tu sais ! .. et plus que ça ! ... - je suis amoureuse de toi, c'est vrai ce que je te dis ! ... - c'est pas bien de dire ça ? ... - nous sommes seuls en ce moment ! .. qu'en dis-tu ? ... - on devrait en profiter, tu ne crois pas ? ... - tu as envie ? ... comme moi ? ... - Viens ! ... ne restons pas là ! ... je t'emmène ! ... - J'avais preparé ta chambre mais c'est dans la mienne que je veux t'avoir cette nuit ! ... - je te demande un petit moment ... je voudrai me faire belle pour toi ! .... - Installe toi ! ... commence à te deshabiller .... j'arrive ! ... - comme ça, est-ce que je te plais ? ... - j'ai envie de toi ! ... terriblement envie de toi ! ... - tu viens ? ... je t'accueille ! ... viens vite ! ... - Dis-moi ? tu ne pars pas tout de suite ... d'accord ? ... je voudrais te dire quelque chose ! ... - ça y est, ils sont tous partis ! tu as un peu de temps ? .... merci de rester un peu avec moi ! - tu as aimé cette soirée ? ... Tu sais, je voulais que ça te plaise ! ... - Je n'ai pas arrêté de te regarder ce soir pour m'en assurer ! Tu t'en es pas aperçu ? ... - J'ai envie de t'embrasser, je peux ? ... - Je suis contente que tu aies pu venir ce soir chez moi, tu sais ! - Tu es seul en ce moment et je suis seule moi aussi ! .... on devrait en profiter, tu ne crois pas ? .... - Tu veux que je sois plus precise ? ... - tu me donnes tes lèvres ? .... - encore ! .... elles sont toutes chaudes ! ... - ecoute ! .... on en a trop fait, ou pas assez ! ... - Bon ! ... on ne va pas rester içi ! ... tu es d'accord ? .... - Ma chambre est au bout du couloir ... on y va ? ... je t'emmène ? - J'ai envie de toi dans mon lit cette nuit ! ... tu veux bien ? .... - Mais avant je voudrais me preparer un peu, tu permets ? ... - Installe toi ! ... je veux me faire encore plus belle pour toi ! .... - commence à te mettre à l'aise .... j'arrive ! ... - depuis que je te connais, je rêve de vivre ce moment ! ... - Tu sais, certains soirs, dans mon lit, je rêvais que tu me caresses, puis que tu m’effeuilles doucement avant de glisser ta main sur mon corps puis me faire l'amour. - maintenant, j'ai envie de t'avoir en moi ! Viens vite ! La soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. C'est alors qu'elle s'adressa à moi .. - Dis-moi ? tu ne pars pas tout de suite ... d'accord ? ... je voudrais te dire quelque chose ! ... Le temps de prendre congé des derniers invités et de refermer la porte derriere eux, elle insista, - ça y est, ils sont tous partis ! tu as un peu de temps ? .... merci de rester un peu avec moi ! - tu as aimé cette soirée ? ... Tu sais, je voulais que ça te plaise ! ... - Je n'ai pas arrêté de te regarder ce soir pour m'en assurer ! Tu t'en es pas aperçu ? ... Elle me regarda un moment avec une intensité inhabituelle, puis me prit les mains, - J'ai envie de t'embrasser, je peux ? ... Elle entoura ma tête des ses mains et m'embrassa avec douceur - Je suis contente que tu aies pu venir ce soir chez moi, tu sais ! Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion, éclat impudique du désir... et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Elle me provoquait avec un art consommé de petits gestes discrets, de petits regards, divinement sensuels. Elle était plus séduisante encore... J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. Et elle ne fit rien pour calmer mon attirance violente, Je la fixai, un peu déboussolé. J'étais sous son emprise. Elle me troublait terriblement, - Tu es seul en ce moment et je suis seule moi aussi ! .... on devrait en profiter, tu ne crois pas ? .... ses yeux brillaient d'un eclat ravageur. je voyais sa poitrine se mouvoir au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé, - Tu veux que je sois plus precise ? ... J'eu à peine le temps de realiser ce qui se passait qu'elle me serra contre elle en approchant ses lèvres des miennes. Comme je restais debout sans bouger, elle crut que j'allais refuser son baiser, car je tentai de tourner la tête, mais ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur. Et ce fut moi qui l’embrassai cette fois sans retenue, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche. Notre baiser fut long et humide. Toute reserve ou retenue avait disparue. Notre baiser dura un très long moment au bout duquel elle ne s'interrompit que pour precipiter les evenements ... - depuis que je te connais, je rêve de vivre ce moment ! ... Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Elle glissait sa main sous ma chemise, caressant ma peau de ses mains chaudes et je glissai la mienne sous son corsage au contact d'une fine combinaison jusqu'à la naissance des seins. Nous reprîmes nos baisers, de plus en plus fougueux, jusqu'à ce qu'elle m'interrompit, - Bon ! ... on ne va pas rester içi ! ... tu es d'accord ? .... - Ma chambre est au bout du couloir ... on y va ? ... je t'emmène ? Arrivés dans la chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle, jeu subtil d'un regard insistant, elle me provoquait avec un art consommé de gestes discrets, divinement sensuels et un regard légerement mouillé. - J'ai envie de toi dans mon lit cette nuit ! ... tu veux bien ? .... - Mais avant je voudrais me preparer un peu, tu permets ? ... - Installe toi ! ... je veux me faire encore plus belle pour toi ! .... - commence à te mettre à l'aise .... j'arrive ! ... Installé sur le lit, j'étais attentif à chaque bruit qui aurait pu interpeller mon imaginaire. Je devinai dejà des bruissements de tissus. Le parfum épicé de fragrances érotiques baignait la chambre. Puis elle entra enfin, éclairant soudainement l’ambiance feutrée de la pièce d'une sensualité pregnante. Rayonnante de séduction, une chemise de nuit fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines, elle me troublait autant qu'elle m'attirait. S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle s'assit à mes cotés puis glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir terriblement envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Je glissai discrètement une main sur sa robe de nuit , puis dessous. Elle m'embrassa avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. - Tu sais, certains soirs, dans mon lit, je rêvais que tu me caresses, puis que tu m’effeuilles doucement avant de glisser ta main sur mon corps puis me faire l'amour. Avec une douceur presque féminine, elle defit un à un les boutons de ma chemise, glissant de temps à autre une main chaude sur mon ventre. Elle redécouvrait ces plaisirs sourds qui font qu’une femme décline lentement vers un bien être sensuellement érotique. Elle redecouvrait les bienfaits des caresses amoureuses, l’agréable douleur des morsures tactiles sur des seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant ses entrailles avant que de mouiller ses dentelles intimes ... Ses yeux, jusqu'içi plutôt discrets, reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part. Elle, si volubile apparement, s’avérait soudainement muette, dans l’attente discrète que je lui appose mes lèvres sur son corps. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle me débarrassa de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de mon cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi, jusqu'à ce qu'elle me supplia Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit qu'elle ouvrit febrilement. Elle s'y allongea, achevant de me débarrasser de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de mon cou jusque sous mon bas ventre, et je la couvrai de baisers. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, elle me desirait et elle me le fit savoir sans detour, - maintenant, j'ai envie de t'avoir en moi ! Viens vite ! - On va jusqu'au bout ? .... lui demandai-je pour être sur de ce que nous faisions - oui, vas-y ! me rassura-t'elle, j'en ai si envie ! ... j'en ai besoin ! ... nos mouvements se firent alors plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, de plus en plus profondement. Elle m'aspirait comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de mon sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue. Elle se mit à gémir doucement, puis, honorant mon érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle enfonça presque inconsciemment ses ongles dans mes fesses, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Au bord de ses yeux noirs, deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisai avec passion, envahissant sa fente des amours interdites. Elle comprit vite les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle se prêta totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses pointes frissonnantes, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés. - Je ne voudrai pas ..... veux-tu que je me retire ? .... - Non reste ! ... tu peux jouir en moi ! ça me fait plaisir ! ... à mon age, je ne risque plus grand chose ! ...` Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Elle se cabra, m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Elle me tira vers elle. - maintenant ! .... viens ! ... j'ai envie que tu viennes ! ... N'y tenant plus, je me bloquai au fond de ses entrailles. Je poussai un cri rauque et long ... et je me lachai en elle, je giclai toute ma sève en plusieurs salves successives, je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête. Elle se mordilla les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Puis je m'affaissai sur son corps. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, puis toute ma tête nichée au creux de son épaule. Une fois les spasmes apaisés, je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Nos cuisses étaient imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. - C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne croies pas ? Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Cette minute où nous nous désenlaçâmes valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux. - serre moi dans tes bras ... et reste dormir avec moi ! .... je suis si bien ! ... Nous nous endormimes dans un paisible sommeil, elacés l'un contre l'autre | (E) Je m'allongeai alors sur elle, au contact de son corps chaud. Tandis qu'elle me guidait discretement, je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien, toujours est-il que, sans attendre plus lon ... |
![]() | doux reveilLe sommeil nous avait surpris dans notre nudité, enlaçés tendrement. Le lendemain, à mon réveil, me voyant découvert, elle caressa doucement mon corps. Il était brûlant. Elle m’embrassa sur l’épaule. Un second baiser, plus prolongé me mit en eveil. Elle me couvrit de baisers, il n'en fallait pas plus pour nous remettre à l'ouvrage. Elle se positionna sur moi, la soie de sa chemise de nuit s'etalait doucement sur mes flancs, ses seins se deployaient sur mon torse sensible. Elle me fixa de ses yeux legerement humides en m'aspirant en elle. Elle m'enveloppait, comme si tout son corps m'enserrait. Je me perdais en elle. Elle suçait ma verge comme une sucrerie, je glissai en elle comme un doigt dans le beurre, un frottement délicat irisé de plaisir, un glissement onctueux, une penetration lente. Elle se frottait, s'empalait, se soulèvait, redescendait, ondulait. Mon sexe glissait, grossissait, s'allongeait dans ses chairs et remplissait son vagin, il s'y complaîsait comme dans une bain mielleux. Elle l’aspirait, le tirait, le poussait en jouant de son corps. Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. Elle se faisait plaisir en glissant allègrement sur moi tout en surveillant mes réactions. Ces pénétrations affolaient nos sens. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Ses beaux seins ballottaient au contact de mon corps. Elle savourait ses propres sensations et les miennes, je voyageai en elle, je m'enfoncai en elle, profondément, goutant ses succions intimes. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle m'affolait. Scene incroyable, là, sous ses dessous de soie que j'avais relevée sur ses hanches, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de puissantes caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Nos tempes claquaient, la chaleur montait en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés. Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle s'abandonnait, cèdait à la volupté, ne cherchait plus à se contrôler. Elle s'offrait à mon corps, à nos sens ! Je me retins. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. Je sentis mon sexe littéralement gobé, aspiré en elle, je la pénétrai jusqu'à la garde. Je voyais dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, ma verge dure comme du bois s'enfoncait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux, puis elle jouit devant moi en serrant les dents. Elle se repris et me fusilla du regard, - Maintenant ! ... Viens vite ! Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme. Je me sentis aspiré, je ne pus me retenir longtemps, Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa, je me libèrai en elle, sans retenue, je giclai par spasmes riches et généreux, elle suca et aspira ma queue qui se vidait. J'explosai au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui coupa les jambes, elle devint pantelante contre moi. Elle suca tout, ne gâcha rien, ne perdit rien. Elle digera mon gland qui trempait dans mon sperme. elle chercha à extraire toute ma semence qui libérererait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendis à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restâmes un moment inertes, tetanisés Nous restâmes pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençerent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité. Nous avons refais l'amour, longuement, merveilleusement, ne sachant meme plus nous desenlaçer. Puis, la fatigue aidant, nos corps ont commençé à se separer doucement. Cette minute où nous nous désenlaçâmes, avec ses yeux admirables, valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. Lorsque je me suis retiré d'elle, ce fut dans un delicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux. Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Nos secretions amoureuses coulaient encore entre nos cuisses imprégnées de nos ébats nocturnes. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Nous avons fait l'amour longtemps, elle m'a remercié de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'elle ressentait. J'en tremble encore de plaisir, comblé par ce corps à corps torride. Je l'imaginais passive et classique alors que je la decouvrais presque perverse et très imaginative. J'avais été là au bon moment, où nous avions besoin l'un de l'autre. - Tu es maintenant mon amant, tu realises ? me declara-t'elle avec un sourire à me faire fondre definitivement S’arrachant à moi, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la chambre, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que desormais j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant elle se révélait bien plus amante que je n’y croyais. | doux reveil (E) Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité, enlaçés tendrement. Le lendemain, à mon réveil, me voyant découvert, elle caressa doucement mon corps. Il était brûlant. Elle m’em ... |