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mercredi 24 décembre 2025 - 19h54
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elle est là, devant moi, et je ne pense qu'à ça


Elle est devant moi, le decolleté affolant, et je ne pense qu'à ça. Je sens qu'elle me fixe avec des yeux redoutables, ses poitrines somptueuses à l'étroit dans un corsage de soie moulante. Je suis occupé à signer le classeur, mais je ne pense qu'à elle. Je rêve de venir derrière elle, de glisser doucement mes mains sous son corsage pour englober ses seins, découvrir leur douceur, leur souplesse. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge discret. Je rêve de les serrer doucement, de les palper, les caresser à loisir.
Elle ferme déjà les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de mes chaudes caresses. Je sens déjà sa douce chaleur. Je suis maintenant contre elle, mes lèvres sur son cou, mes deux mains chaudes se posent en coupe sous ses seins et les pressent tendrement. J'aime presser légèrement ses volumes mammaires, les palper doucement, en apprécier la souplesse, les rapprocher l'un de l'autre. les lâcher ... pour qu'ils reviennent en place dans de légers tremblements. J'enfonçe mes doigts, dans sa chair laiteuse, j'agace ses tétons. Elle ressens des ondes de chaleurs. Mes doigts n'en finissent pas de la traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, elle se cambre pour mieux offrir ses poitrines gonflées d'excitation. Elle est au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de ses cuisses crispés à l'extrême, je l'entends geindre. Immobile, elle essaye de respirer lentement et profondément, sa vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. la tête penchée de coté, elle laisse échapper un gémissement continu de plaisir au gré de ses caresses. Mais ... Je rêve.
elle est là, devant moi, et je ne pense qu'à ça (E)
Elle est devant moi, le decolleté affolant, et je ne pense qu'à ça. Je sens qu'elle me fixe avec des yeux redoutables, ses poitrines somptueuses à l'étroit dans un corsage de soie moulante. Je suis occup&e ...

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la tendresse de Marthe


Nous étions dans la chambre de Marthe. Le visage empourpré, elle s'était rapprochée de moi et me fit quelques caresses de ses doigts sur mon visage, elle posa ses lèvres sur les miennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. J'avais le cœur dans la gorge, sa langue douce et chaude s'infiltra habilement entre mes lèvres pour finalement s'enfoncer dans ma bouche. D'abord surpris par ce baiser, je me laissais faire, passif. Puis je lançais ma langue à la rencontre des lèvres de celle de cette femme splendide. Elle s'ecarta un court instant et me regarda droit dans les yeux,
- C'est la premiere fois avec une femme plus agée ? Tu aimes ?
J'acquiesçai, comme si cet aveu avait déclenché une passion nouvelle, elle se pencha sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Peu à peu, sous ces assauts, j'avancais une main dans l'ouverture de sa robe puis dans son large décolleté pour me saisir d'un sein, et le palper doucement, en faisant rouler le téton entre mes doigts. Jamais je n'avais bandé aussi fort. Haletante elle se redressa, s'empara de mes deux mains, elle les posa sur ses seins genereux à la peau si soyeuse.
- J'aime quand tu caresses mes seins, gémit-elle. et appelle moi Marthe !
Je m'exécutais sans me faire prier, palpant les chairs fragiles avec gourmandise. Nous haletions tous les deux. L'excitation était à son comble. Marthe s'empara une nouvelle fois de ma bouche pour m'embrasser amoureusement. Tout en me fouillant l'intérieur du palais de sa langue experte, elle posa sa main sur mon pantalon. Avec beaucoup de douceur elle me caressa par-dessus le tissu. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis elle dénoua sa robe de soie, qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce corps si proche de moi. Elle se caressa les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Puis elle posa une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, elle écarta ses jambes me laissant deviner sa vulve rose et luisante. Marthe m'agrippa alors la main et la plaqua contre sa vulve ouverte et trempée. Elle me guida, appuyant fortement ma main contre sa longue fente, et m'encourageant d'une voix rauque :
- Tu sens comme je mouille, me confia-t-elle d'une voix hachée … je suis toute ouverte ... à cause de toi ! ... pour toi !
Timidement, je commençais à caresser ses lèvres intimes, en accompagnant mes caresses de petites incursions appuyées. Marthe se mit à pousser des petits gémissements, Puis je sentis ses deux mains se saisir de ma main pour l'immobiliser. Agitant son bas-ventre d'avant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son sexe était de plus en plus ruisselant de sécrétion, puis elle cessa tout mouvement, s'immobilisant brusquement, tandis qu'une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de la chambre. Au bout de quelques minutes, elle me libéra.
- C'était bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire !
Puis abandonnant enfin son baiser, Marthe me regarda dans les yeux :
- Dis moi ? ... est-ce que tu as eu quelqu'un avec toi ?
- un simple flirt dis-tu ? ...
- Et ... est-ce que tu as ... est-ce que vous avez été ... plus loin ?
- non ? ... mais tu penses que ça pourrait arriver ?
- Tu voudrais apprendre ? ... pour être sur de toi ?
- apprendre avec une femme comme moi, tu pense que ca pourrait t'aider ? Ne sois pas gené ! Ce n'est pas honteux !
- Tu es inquiet ? C'est la premiere fois ? ... Détends-toi bien ! ... Tu es bien avec moi ?
- Ne t'inquiete pas ... tu es chez moi ! ... nous sommes tranquilles içi !
- Tu es prêt à partager un moment de tendresse plus intime avec moi ? ... oui maintenant, pourquoi pas ?
Sans un mot, Marthe s'allongea sur son lit. Là me fixant avec une intensité que je ne lui connaissait pas, elle écarta ses jambes, puis, m'invita d'une voix oppressée.
- Tu viens ? .. nous allons nous faire plaisir tous les deux !
Alors que je m'allongeai sur son corps, Marthe se saisit de mon sexe pour le diriger vers elle. Je me laissais aller et avec une énorme émotion. Je sentis ma verge s'enfoncer progressivement dans le ventre de Marthe. C'était la première fois que je pénétrais le sexe d'une femme mure. une sensation puissante, comme une humide et molle profondeur, douce à mourir, où je glissais et me perdais, un abîme intime, clos et lisse, où mon désir s'enfoncait jusqu'au fond.
Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes bourses venir heurter ses fesses, elle se mit à gémir sans retenue. Prise d'une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour s'offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde. J'entamais alors ce mouvement de va-et-vient, me faisant coulisser dans les entrailles féminines d'une extrême onctuosité, je bougeais lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes sur ma verge. Elle était de plus en plus ruisselante, chaude et onctueuse. Elle émettait un delicieux bruit de clapotis. Plus mes coups de reins se faisaient violent, plus Marthe se cambrait de plaisir. Haletante, elle s'accrocha à mon cou pour m'embrasser avec fougue. Nos langues se caressèrent dans un bain de salive, alors que ses seins s'écrasaient sur ma poitrine. J'étais au paradis. ma langue dans sa bouche, mon sexe bien au fond de son ventre. Des gémissements de plus en plus fort sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps de tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Je n'arrivais pas à réaliser ce qu'il m'arrivait. Je voyais et me sentais entrer et sortir de cette forêt gluante. Marthe avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Son souffle était puissant et bruyant, elle jouissait comme une folle. à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que sa jouissance était bien réelle, elle m'offrait son corps sans pudeur, sans retenue. Je la baisais de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon soc charnel. Sa vulve ruisselait d'un jus chaud et poisseux qui me trempait les cuisses, avant d'inonder les draps du lit. Subitement je sentis le plaisir monter en moi, elle me supplia de conclure, et sans attendre, j'explosai dans son corps chaud. De longues giclées jaillirent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait la vulve dans laquelle je naviguais. Cet orgasme aussi violent que soudain me procura des douleurs dans le dos et l'arrière des jambes, j'étais secoué de la tête aux pieds. Marthe se raidit soudainement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se mit à trembler convulsivement, comme pris de convulsions. Ca dépassait tout ce que j'avais pu imaginer. Le fait de penser que j'étais responsable de cette jouissance phénoménale, me comblait d'exitation. Une fois le calme revenu, Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire, à reprendre notre souffle et nos esprits. J'avais laissé ma verge profondément enfouie dans la chatte devenue brûlante et dégoulinante de jus. Au bout de quelques minutes, Marthe ayant refait surface, me passa tendrement la main dans les cheveux.
- Tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui ?
- Oh oui, répliquais-je comblé. Si je n'ai pas perdu connaissance, c'est un miracle.
- Tu es sûr que c'est ta première expérience ? Il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle.
M'attirant à elle, Marthe m'embrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à nous embrasser et nous caresser mutuellement. Au bout d'un moment, m'ayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se pencher sur ma virilité encore à demi bandée.
la tendresse de Marthe (E)
Nous étions dans la chambre de Marthe. Le visage empourpré, elle s'était rapprochée de moi et me fit quelques caresses de ses doigts sur mon visage, elle posa ses lèvres sur les miennes, une premièr ...

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le mercredi suivant (d'apres Jacques Lucchesi)


- Eh bien Jerôme, rentrez ! Ne soyez pas timide ! ... appellez moi Viviane. Nous nous connaissons maintenant !
Viviane alla fermer la porte derriere nous et revint vers moi, elle s'approcha de moi et sa bouche se colla à la mienne comme une ventouse et j'en profitais. Nos langues se confondirent longuement, s'attrapant et s'enroulant l'une l'autre. Elle s'installa face a moi, assise sur son bureau: elle me fixa avec fermeté
- Nous avons un peu de temps avant de nous mettre au travail ...
D’une main sèche, elle jeta alors au sol les dossiers qui l’encombraient. Puis, elle releva sa jupe à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, et me désigna de l’index la cible sans détour.
- Allez, viens vite ! ... J'ai envie de sentir tes capacités !
Elle m'attira vers elle avec autorité, puis elle s'affaira sur moi, défit nerveusement ma ceinture, sortit ma queue, glissant mon gland le long de sa fente. Elle se cambra et d’un coup de rein, elle m'aspira en elle, m'enfoncant jusqu’aux bourses. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud.
- fais le moi bien gros ... bien long ... et bien profond !
- Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi ! Baise moi ! ... Avec ardeur ! montre moi ce que tu sais faire !
Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. Apres une serie d'allers et venues dans ses chairs, je butais au fond d'elle. Et très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, et commencai à me retirer pour eviter l'eruption imminente
- Non ! Reste ! ... Et jouis ! ... Bien au fond !
- J'ai pris mes precautions ... Viens vite ! ... Decharge ! ... mon corps a faim !
- Je veux que tu remplisses mon vagin !
Elle contracta ses muscles intimes, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me crispai, me bloquai au fond de son ventre et je déchargeai abondamment , en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Elle resta là devant moi, les yeux ebahis, siderée, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond.
- Et bien ! Quelle vigueur .... quelle generosité !
Elle me repoussa un peu, laissant ma verge ressortir, entraînant le foutre qui coulait dans sa fente. Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante,
- Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que tu m'a mis !
- Jerôme, je ne me doutais pas que tu avais autant de ressources !
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.

(Jacques Lucchesi, La directrice est en entretien).
le mercredi suivant (d'apres Jacques Lucchesi) (E)
- Eh bien Jerôme, rentrez ! Ne soyez pas timide ! ... appellez moi Viviane. Nous nous connaissons maintenant !
Viviane alla fermer la porte derriere nous et revint vers moi, elle s'approcha de moi et sa bouche se colla à la ...

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Elle me scrutait d'un regard mouillé alors que je la pénétrai doucement, progressivement. Je n’avais jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Elle soupirait, tout en me fixant les yeux grand ouverts. Ses chairs s'ouvraient et son corps peu à peu s'offrait à moi, telle une fleur, j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrais doucement, tendrement. Son souffle etait lent, puis, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. Je sentais les pulsations dans mon corps. Elle inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas. Elle se souciait de mon état
Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'atteignai bientot le fond, je restai un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres. Je glissai delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à relancer ma vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai à l'extrême au fond de son ventre,
Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait aller en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Enfoncé au fond d'elle, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant. Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittai plus son regard, sublime de satisfaction. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisais partie d'elle, je l’habitai, en savourant cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait de ses lèvres intimes, me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissai dans ses chairs. Elle ondulait sur moi, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient. Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de son corps...
Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser.
Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir, Je n’en pouvais plus... j'expolosai en elle jouissant à me faire perdre la tête dans ce corps de rêve, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce. Elle resta blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sentais riche d'elle, toujours en elle, apaisé, vidé, comblé, je rêvais d’éternité, je voulais qu’en cet instant le temps se décompose,
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.
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Elle me scrutait d'un regard mouillé alors que je la pénétrai doucement, progressivement. Je n’avais jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne vou ...

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- Ecoutez moi ! ... il se trouve que la jolie combinaison qui a l'air de vous interesser, je porte la même sur moi en ce moment ... je peux vous montrer si vous voulez ?
- vous allez me dire si elle vous convient ... si cela vous plait ?
- On se rend toujours mieux compte lorsqu’on la voit sur quelqu'un
Je me retrouve devant elle, degrafant lentement son corsage. Devant mes yeux effarés, elle dévoile entierement sous sa robe une fine combinaison blanche et, dessous, le soutien gorge qu’elle tenait dans la main quelques minutes auparavant. Je suis littéralement cloué sur place. Outre cet écrin de lingerie, elle m’offre la vision de deux jolies pommes rondes et sucrées qui appellent la gourmandise. Ses épaules et son ventre sont divins, un pendentif vient s’évanouir entre ses seins. Elle s’approche de moi avec un sourire qui en dit long et commence à me détailler les éléments de sa toilette. Elle se tourne un peu sur le côté, se cambre puis se retourne complètement, se penche un peu en avant. Devant le miroir, la dentelle soyeuse danse sur elle au moindre de ses mouvements. Elle se positionne devant la lumiere pour que j'en apprecie la douceur et la transparence. Son regard croise le mien qui enveloppe son corps de douces pensées. Comme pour mieux se faire apprécier, elle écarte légèrement les jambes. Le jeu de lumière qui traverse le fin nylon rajoute à la sensualité du moment. Elle se retourne pour faire maintenant face au miroir. Toujours jambes légèrement écartées, la vision est des plus chaudes. Je suis hypnotisé par la fragilité de la scène. L’odeur de son parfum est presque oppressante et le spectacle de sa poitrine soulevant le voile avec régularité, m’hypnotise.
- Elle est tres douce et fluide ... vous aimez ? ...
- Vous voulez toucher ? ... Allez-y, sentez comme c'est doux ... elle aimera j'en suis sure !
Mes bras effleurent la soie, juste devant ses seins, mes mains miment de vraies caresses avant de descendre le long de ses hanches lentement, puis sur son ventre et enfin entre ses cuisses, rien que des sensations tactiles. Puis, je remonte tout aussi lentement. Elle n’a pas bougé. Son regard suit mes mains dessinant sur ses courbes. Arrivées une nouvelle fois à hauteur de ses seins, mes mains s'arrêtent un moment en attente d'une approbation
- allez-y ! ... prenez les ! ... faites comme si c'était elle !
Mes mains s’appuient sur le fin voile avant de recevoir le courant de sa chaleur. Je sens alors dans mes paumes toute la fermeté de ses seins dressés. La soie du tissu est une caresse en elle même. Les seins de cette femme me troublent de leur douceur. Elle enflamme mon corps. En parcourant ses epaules de mes mains, les bretelles tombent nonchalamment, et la combinaison finit par glisser dans un doux bruissement le long de son corps qui se dénude en partie, elle les remet en place sans vraiment se presser. Je sens une coulée de lave m’envahir les reins. Je respire l’odeur douce de son corps tiède. Son regard plonge dans le mien.
- Vous aimez le contact de ce tissu n'est-ce pas ? Cela vous fait du bien ! avouez ? ...
Je poursuis mes caresses sur, puis sous le tissu, elle laisse échapper un faible murmure inintelligible que je m’empresse d’interpréter comme un encouragement. Elle est maintenant là, tres proche devant moi, elle me regarde avec ses yeux mouillés. Elle est plus désirable que jamais, jambes ouvertes, quasiment offerte.
Elle ne semble pas insensible a ma présence et même au contact de mon corps quand je me retrouve proche, tres proche d'elle. Elle me voit regarder son decolleté, ses seins pointent à travers le tissu. Le contact sur le nylon de sa robe m'excite doucement le bas du ventre. Je la vois rougir. Cette femme est vraiment troublante. Mais j'évite de trop manifester ce que je ressens. Elle est tres proche de moi, trop proche. Je me laisse maintenant aller à imaginer, l'effet d'une aventure avec elle, et je commençe malgré moi à me frotter contre elle. Elle est face a moi, jambes legerement écartées, indecente presque, quasiment offerte.
- Vous avez du mal à cacher vos emotions je vois ! me souffle-t'elle
- vous voulez continuer à apprecier cette lingerie fine sur moi ? ..... allez-y !


(E)
- Ecoutez moi ! ... il se trouve que la jolie combinaison qui a l'air de vous interesser, je porte la même sur moi en ce moment ... je peux vous montrer si vous voulez ?
- vous allez me dire si elle vous convient ... si cela vou ...

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- Vous pouvez glisser vos mains sur moi, sur mon corps, si vous voulez ... pour mieux sentir la douceur du tissu ! ...
- Allez-y ! vos caresses me font du bien à moi aussi, vous savez ! Je n'y suis pas insensible i
La pression monte. Je caresse les seins à travers la soie, la chair a un moélleux exceptionnel.
- Vos mains sont douces ... et chaudes ! .... J'aime bien ! ... votre dame doit aimer !
- Continuez ! ... oui, plus bas, je veux bien ! ... allez-y ! ...
- oh c'est bon ! ... vous savez faire avec les femmes je vois ! ...
Je soulève alors sa combinaison de nylon le long de ses hanches. Je profite de la douceur du nylon, la fraîcheur du tissu fait gonfler ma verge comme jamais. Sa douce lingerie sent la femme, c'est chaud, c'est doux ! Elle prend alors ma main et la fait glisser plus bas sur le doux tissu. Ses joues sont légèrement rougies. Elle me guide sous le fin nylon et me laisse en chemin. Tout se precipite. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle resserre fermement comme pour me garder, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide.
- Vous êtes en train de toucher des endroits tres intimes, vous en êtes conscient ? ...
- J'espere que vous savez ce que vous faites ?
- non ... continuez ! Je ne vous ai pas pas dis d'arrêter !
Je sens sous mes mains ses muscles trempés se dilater. Elle serre mon bras.
- tu sais que tu es en train de m'exciter, toi ! ...
- Excuse moi, je te tutoie ? ... au point on on en est ...
Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Elle tremble, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense
- Ecoute-moi ! ... je crois qu'on en a trop fait ... ou pas assez ! ...
- on ne va pas en rester là, tu es d'accord ?
- Ne tournons pas autour du pot ! ... tu en as envie ! ... et moi aussi ! ...
- ma chambre est au premier ... on y va ? .... viens ! Je t'emmène !
La porte est desormais fermée a clé, elle commence aussitôt à defaire ma ceinture et liberer un sexe qui pointe d'un coup vers elle à l'horizontale. Puis elle fait glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, elle dégage l'épaule gauche, ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur, je bande desormais sans complexe contre elle. Délicatement, la combinaison s'affaisse, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds. Elle me tend la combinaison encore tiède. Je respire ses effluves.
- Ferme la porte ! .... et viens vite ! ...
- Et maintenant ? ... tu m'as donné faim ! ... Et bien, qu'attends-tu ? ...
- Je suis étroite et bien profonde, humide et toute ouverte ... pour toi ! ... tu viens ?
C'est elle qui me guide vers elle. Et je me sens aussitôt, impression delicieuse, aspiré, digeré, absorbé comme une gourmandise. Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle m'aspire en elle. Je la penetre, doucement, puissement, profondement. Je m'enfonce entre ses lèvres larges et humides. Je m'immisce dans ses chairs au plus profond de ses reins. Ma queue glisse en elle, bien dressée et bien dure, la vue de ses deux beaux seins me donne de la vigueur ! Je bande monstrueusement au fond de son ventre. Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je sens ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle. Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle. Elle me fixe de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante. Puis elle se met à trembler. Elle se déchaîne, se met à geindre, la bouche ouverte, haletante, et se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte. Je sens que je viens. J'hesite à me retirer

- Oh c'est bon ! ... continue ! ... bien au fond ! ... C'est de celà dont j'avais besoin ! ...
- Non reste ! bien au fond ! ne t'inquietes pas, j'ai pris mes precautions ! ...
- Tu sens que tu viens ? ..... oui ? ...
- vas-y ! Lâche-toi ! Maintenant ... Oui, maintenant !
- Ouuuii ! ... Oh oui ! ..... encore ! .... ne t'arrête pas, Continue ! Tu me rends folle !!
- Quel homme !




- Non reste ! bien au fond ! ne t'inquietes pas, j'ai pris mes precautions ! ...
- vas-y ! Lâche-toi ! Maintenant ... Oui, maintenant !
Je me bloque bien au fond de son vagin. Je me lache. Et je pars en de longues giclées dans son ventre. Je jouis, laissant un flot de sperme gicler en elle par saccades.
- Ouuuii ! ... ne t'arrête pas, Continue ! Tu me rends folle !!
- Quel homme !
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- Vous pouvez glisser vos mains sur moi, sur mon corps, si vous voulez ... pour mieux sentir la douceur du tissu ! ...
- Allez-y ! vos caresses me font du bien à moi aussi, vous savez ! Je n'y suis pas insensible i
La press ...

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Julie 2


- ca va mieux ? ... ta as plein de ressources dis moi ! ..
Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Nous restons l'un dans l'autre, nos sexes emboités, délicieusement, Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances. Cette lingerie, pleine de son odeur, pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir, cette lingerie que j'ai écartée un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle, cette lingerie qui alors s'est impregnée de ma jouissance et de la sienne, qui me fait comme un souvenir le jour durant, cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses, cette lingerie si remplie de nous deux,
- C'est si bon ! ... ton prenom ? .... merci Alex
- vous êtes tres doué Alex ! .... vous saurez tres bien la satisfaire !
Julie se redressa dans le lit, les seins à l'air sortant de sa lingerie de soie insolente et a moitié défaite. Je rebandais à la limite de l'indecence, elle se saisit de ma queue encore imbibée de nos secretions et la suça soigneusement de ses lèvres chaudes, elle la branla, la fit danser entre ses doigts, ardente, sensuelle à souhait ! J’avais encore envie terriblement de la baiser alors qu'elle s’employait à me masturber, palpant mes bourses, les gardant au fond de la paume de sa main (oh combien chaude !), m’embrassant sur la bouche, et tout ceci se terminait par des bruits mouillés, gloutons qui n’eurent de cesse de me faire monstrueusement bander entre ses mains … Je suçai les seins de Julie, tétant delicieusement ces petites pointes dressées, aréoles dilatées, je les gobais de toute ma bouche affamée… Julie devait être très sensible car elle semblait jouir par les seins. J’avais retrouvé ma raideur et ma queue s’annonçait de nouveau fureteuse. Elle s'installa de nouveau sur moi, à califourchon et s'enfila sans attendre ma divine queue qui, bientôt la prit à fond en des mouvements saccadés… Elle se masturbait sur moi, ne me quittant pas des yeux
- Oh, Alex, C’est si bon ... vous me rendez folle…
Elle criait, haletait, caressant d’une main ses seins agités … Il n'en fallait pas plus pour que j'explose et que je me repande en elle. Je giclai ma semence à petits flots, enfilant à fond ma divine maîtresse, mes mains sur ses fesses pour mieux la retenir contre moi… Julie jouissait comme folle, griffant les draps d’une main, continuant à titiller son clitoris, à le pincer, à s’enfoncer deux ou trois doigts, telle une furie, les yeux au ciel, le regard perdu, mourant … Qu’il était bon de contempler cette femme mûre, belle à souhait, là, au creux de ce lit se donnant du plaisir sans retenue, sous mes yeux, dépourvue de pudeur… Comme il était bon d’être à présent réunis, soudés, son visage dans mon cou, pendant que je la baisais
- plus vite, Alex, mets-la à fond, ouiiiii, ouiiiii, je suis folle, mon Amour…
Nous étions soudés, fous de sexe. Je sentis la cyprine de Julie couler doucement, mes bourses imprégnées de ce beau jus intime que cette divine femme, pressée là sur mes fesses, me faisait partager… Puis elle délaissa ma verge et, haletante, ébouriffée, rouge, encore toute excitée, vint s’étendre à côté de moi, seins dressés aux belles aréoles rose-brun.
Mon sexe reprenait peu à peu de sa vigueur cherchant le fossé si doux et chaud qu'il venait de quitter
- Tu bandes encore mon chéri, je te sens tout contre mes cuisses, ajouta-t-elle en tournant légèrement la tête vers moi
De fait, je bandais de plus en plus, les rondes fesses m’excitant au plus haut point… et je recommençai à jouir en elle, un petit flot bouillant projeté profondément dans le ventre. Je ressortis de suite… poussai de nouveau … déchargeai… un autre beau flot brûlant, puis je revins à fond et déposant mon foutre en obole aux fins fonds de l’abysse satiné… je me vidai définitivement, haletant, suant, essoufflé, rouge, vidé de mon foutre… Un long filet de foutre blanc épais s’écoulait peu à peu de sa chatte, longeait les lèvres gonflées par le plaisir, se perdait ensuite dans mes poils et à la racine de ma queue, toujours fichée en elle … le foutre ne s’arrêtait plus… lave gluante … sa vulve expulsa une petite giclée blanche, molle, un peu translucide, gélatineuse qui commença à s’écouler sur le drap en petites gouttes étirées et flasques…

Nous prîmes un petit encas, bûmes un peu de champagne et nous nous couchâmes, tous deux enlacés pour tenter de trouver un sommeil réparateur… Il était deux heures du matin. Apaisés, épuisés, les yeux cernés, nous nous endormîmes, abandonnés et sereins. Le lendemain, nous devions partir en voiture pour le Vercors où nous attendait notre vieil Ami le Berger, nous ayant proposé de nous recevoir pour une semaine sur ses hauteurs, près de ses pâturages, en sa cabane confortable et isoléeJulie repartit à ses occupations

Le Marquis de Chair
Julie 2 (E)
- ca va mieux ? ... ta as plein de ressources dis moi ! ..
Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Nous restons l'un dans l'autre, nos sexes emboités, délicieusement, Je contemple sa lingerie fine et douce, tre ...

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Puis je m'affaissai sur son corps. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, puis toute ma tête nichée au creux de son épaule.
- C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois pas ?
Une fois les spasmes apaisés, je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Nos cuisses étaient imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Cette minute où nous nous désenlaçâmes valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux.

(E)
Puis je m'affaissai sur son corps. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, puis toute ma tête nichée au creux de son épaule.
- C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois p ...

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persuasion


Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion... Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle me provoquait avec un art consommé de petits gestes discrets, de petits regards, divinement sensuels. Elle était plus séduisante encore... J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere.
Elle tourna son regard dans ma direction, me fixa, plus intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. J'étais sous son emprise. Elle semblait s’en amuser. Elle me troublait terriblement. Mecaniquement, je me rapprochai d’elle un peu plus, sans précipitation ni brusquerie, j’entamai la conversation avec des banalités. Elle était réceptive, tour à tour grave et ironique. Nous discutions librement mais ses yeux brillaient d'un eclat ravageur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittais plus le sien. Je lui faisai part de mon admiration pour les belles femmes. C'est alors qu'elle me prit par le bras, m'emmena un peu à l'écart et testa mes dispositions reelles
- Mais ... dis-moi ? Est-ce qu'au moins, je te plais ? ... Tu me fais danser ? ...
Elle me provoquait, me troublait, je tentais de dissimuler les manifestations exterieures de mon émoi jusqu'à ce qu'elle me souffle:
- reste tranquille, et serre moi contre toi !
Elle me souffla quelques mots à l'oreille d'une voix à peine perceptible, comme si elle me confiait un secret. Faisant comme si je n'avais rien entendu, je la regardais, un peu déboussolé, je sentais contre moi sa poitrine se gonfler au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé. J'étais comme ivre, ne sachant pas vraiment comment reagir. Je poursuivai avec de nouvelles banalités. Elle ne quittait pas mon regard semblant ignorer superbement mes plates considerations sur la soirée. Puis elle passa sa main sur ma nuque, ses doigts dans mes cheveux, attira mon visage vers le sien.
- Mon corps a faim !
Cela n'ameliora pas mon état ! J'eu à peine le temps de reagir en louant ses charmes mysterieux, qu'elle me deposa un baiser sur les lèvres d'une longueur à me faire fondre ! Puis elle s'écarta, le regard brillant en poursuivant ses confidences,
- Tes lèvres sont chaudes. ton regard est brulant ! ... Non, ne rougis pas ! J’aime me sentir pleine du désir d'un homme. J’aime savoir son esprit excité,
- Ton beau visage me grise et m'attire. Ta chemise entrouverte m'invite à tous les délires.
Je m'appretais à me separer d'elle à la fin de la musique, lorsqu'elle me retint par la main
- Tu n'as donc pas compris ? ... J'ai envie ! ... Et bien oui, maintenant, pourquoi pas ?
- Emmène moi là bas, nous serons plus tranquilles !
C'était une injonction. Nos visages se sont rapprochés un peu plus, et ce fut elle qui m’embrassa avec passion, glissant aussitôt sa langue dans ma bouche.

Nous nous sommes rapidement retrouvés à l'écart dans un coin plus sombre de la salle. Je touchai avec delice de doux tissus au contact de son corps
- Je vois tes qui yeux brillent ! Tu veux savoir ? Continue ton exploration !
Je la desirai, et elle me desirait. Pendant que nos bouches et nos langues dansaient l'une avec l'autre, ses mains cherchaient les boutons de ma chemise, tandis que je m’affairai sous uses tendres dessous tandis qu'elle s’attaquait à ma ceinture. En quelques secondes, nous étions, corps à corps, en partie dénudés, glissant nos peaux l'une contre l'autre, prêts à l'amour ...
Tel un oiseau febrile cherchant son nid chaud, je lui exprimai mon impatience d'elle, mon desir de m'enfouir en elle. Elle me regarda avec des yeux humides. Et sans attendre, je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. je me sentis tres naturellement aspiré en elle. Elle m'accueillait avec gourmandise. Je me sentis aspiré en elle, comme dans un cocon mielleux, une sensation paradisiaque, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Je glissai avec délice entre ses muqueuses distendues. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. elle s'abandonna à mes attouchements. nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Elle me fit cette remarque avec sourire
- C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois pas ?
- Je te fais du bien ? .... Tu me fais du bien aussi, tu sais !
Elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande. Je sentais ses douces caresses intimes. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- Bien au fond ! ... Tout mon corps te reclame !
Son souffle était lent. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était déjà plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience.
- Continue ! ... Bien au fond ! ... Je veux te sentir en moi bien gros ... et bien long ! ... C'est si bon !

Mes mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. J'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordillait les levres, doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était plus puissant, plus profond. Elle remuait pour bien me sentir envahir ses muqueuses, me faisant découvrir ses douces contractions intimes tendres et tièdes. J'accélérai encore, ma douce excitation devint un désir plus ardent, Elle ouvra grand les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, tout son corps semblait jouir de mes pénétrations rythmées. Je sentais mon plaisir monter, mon envie de me lâcher. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle semblait prise de vertige.
- Maintenant ! me supplia-t-elle, je veux que tu viennes !
- Non, ne te retire pas ! Reste en moi ! Je veux que tu jouisses en moi ! bien au fond !
- Je veux te sentir envahir mon corps ! Je veux que tu te perdes en moi, que te noies dans ma source,
- que tu me remplisses de toi, tout au fond de mon ventre !
- aime moi et donne moi tout de toi ! Maintenant ! Jouissons ensemble !
Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement. Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Elle me tira vers elle, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Je me crispai au fond d'elle ..... et fou d’un désir intense, je ne parvenais déjà plus à me retenir, je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps en plusieurs salves riches et genereuses, à me faire perdre la tête, l'inondant de ma douce chaleur. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordilla les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir.

Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule.
- Tu es un vrai lion ! ... Comme je les aime ! ... Tu as été merveilleux !
Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi.
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé.
Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Je lui confiai mon extreme bonheur d'avoir vecu ce moment avec elle,
- c'eut été dommage de manquer ce moment, tu ne crois pas ?
Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale.
La minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien ces moments. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir ainsi me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. Je l’embrassai sur l’épaule. Un second baiser, moins chaste, la fit reagir, et, se frottant les yeux, elle me couvrit de baisers, Nous avons refait l'amour, une grande partie de la nuit ...



persuasion (E)
Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion... Eclat impudique du désir ...

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j'avais invité Louis à me rejoindre dans l'intimité de ma chambre. Pour cette premiere rencontre intime, je voulais lui apparaître toute en séduction, J'avais décidé de porter une belle chemise de nuit de soie rose laissant mes généreuses poitrines mobiles, prêtes à être dévorées par un homme vigoureux et affamé. Nous nous somme regardés un moment. Puis, prenant les devants, j'ai libéré ma chevelure, et l'ai étalé sur ma nuque et mes épaules, les joues de Louis se sont empourprées. J'ai prolongé mon audace, glissant ma main à la base de la nuque de Louis, il s’est laissé faire et m'a serrée dans ses bras.
Il y a si longtemps. J'avais bien eu un ou deux amants, mais rien de semblable. Cet homme audacieux, ranimait un érotisme dont j'avais oublié jusqu’à l'existence. Et maintenant, j'espérais qu'il franchisse toutes les limites. J'ai alors, dans mon cou, ressenti sa bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur mon épaule, puis, plus bas ... Il m'a embrassé avec fougue, la fièvre dans son regard, une attirance presque magnétique planait entre nous. A chacune de mes respirations, je ressentais ma lourde poitrine gonfler et cet effleurement tout en chaleur éveillait chez moi une troublante envie qu'il dévore mes seins.
Avec une douceur presque féminine, il caressa mon corps, glissant une main chaude sous ma chemise de soie. En totale confiance, je redécouvrais ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement. Je redécouvrais les bienfaits des caresses masculines, l’agréable douleur des morsures tactiles sur mes seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant mes entrailles avant qu'il ne mouille mes belles dentelles intimes ... J'étais en train de me donner à lui, là sous ses yeux ébahis et brillants de désirs intenses. Son approche était encore malhabile, timide, mais mon regard reflétait un encouragement à plus d’audace de sa part. Je le regardais fixement, dans l’attente discrète qu'il m'appose de nouveau ses lèvres sur mon sein, puis sur mes lèvres intimes, émouvantes tant elles lui étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. Je redécouvrais combien il est bon de désirer et d’être désirée. Je savais dans son regard qu’il allait m'aimer, si ce n’était jusqu’au bout de la nuit, au moins jusqu’au bout de ses désirs. Je l'ai regardé intensément dans les yeux, il s'est rapidement deshabillé et m'a rejoint dans le lit, au contact direct de la chaleur de mon corps.
Il semblait heureux, épanoui, comblé. Je lui ai souri tendrement. Je lui ai caressé, le torse, le ventre, puis j'ai pris doucement sa verge, déjà bien tendue, en pratiquant sur elle un tendre et doux massage qui eut pour effet de la raffermir de plus en plus. Je lui ai souri.

Alors sans attendre plus longtemps, tendrement, il s'est glissé sur moi, me couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête. Puis, je l'ai senti chercher et, avec mon aide, trouver naturellement sa voie. Doucement, lentement, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui, telle un offrande. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, Il a alors entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées.
Au bord de mes yeux deux perles s’épanchaient. Le souffle court, son sexe bandé à l’extrême, il me baisait avec passion, envahissant ma fente des amours tant rêvés, s'unissant à moi, désormais sa tendre maîtresse. J'avais compris les sentiments qu'il éprouvait dans sa manière de me dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. J'étais prête totalement en abandon au jeu suave de ses lèvres, sur ma poitrine généreuse, sur mes tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à mes pulsions, mes désirs réprimés. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, puis il reprenait ses longs mouvement, glissant délicieusement dans mes chairs. Je fus alors secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je l'inondai de ma douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement révélateur. Il plongeait en moi et gonflait en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. Il s'est mis alors à onduler puissamment du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin nous faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait. Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux.

A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon homme planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.
Je le regardais fixement, dans l’attente discrète qu'il m'appose ses lèvres sur mon sein, puis j'ai écarté mes cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour qu'il redecouvre ma fente gourmande. Le regard qu'il me porta alors oscillait entre admiration et exploration sur mes lèvres intimes, émouvantes tant elles lui étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. S’approchant doucement de mon trésor, entre mes cuisses ouvertes, il s’est alors délecté de cette humidité entourant mon bouton merveilleux, gorgé d’impatience.

Il fut mon bel amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Louis fut tendre et vigoureux à la fois, infatigable de son corps. Ses jouissances furent intenses, furent violentes. Les miennes furent sauvages. J'entends encore résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

-
. S’approchant doucement de mon trésor, entre mes cuisses ouvertes, il s’est alors délecté de cette humidité entourant mon bouton merveilleux, gorgé d’impatience.


Louis, Je rêve de vos mains qui effleurent mon sein, de vos doigts qui soulignent mes rondeurs
de vos lèvres qui attirent les miennes, de votre bouche qui enflamme ma bouche
de votre souffle qui bruisse dans mon cou, de vos lèvres qui caressent mon cou ...
Louis, le soir, dans ma chambre, j'ai souvent rêvé de vous ouvrir mes cuisses pour que vous veniez vous y glisser et vous abreuver du plaisir que nous nous sommes donné.

(E)
j'avais invité Louis à me rejoindre dans l'intimité de ma chambre. Pour cette premiere rencontre intime, je voulais lui apparaître toute en séduction, J'avais décidé de porter une belle chemis ...

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je me sentai aspiré en elle, comme dans un cocon mielleux, une sensation paradisiaque, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Je glissai avec délice entre ses muqueuses distendues. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. elle s'abandonna à mes attouchements. nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Elle me fit cette remarque avec sourire
- C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois pas ?
Elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande. Je sentais ses douces caresses intimes. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son souffle était lent. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience. Mes mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, sans faire de bruit. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple.
Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond, et doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'accélérai franchement, elle ferma les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, je sentais mon plaisir monter, inexorablement ...
- Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite !
Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait à l'extrême. Elle me tira vers elle, se cabra de nouveau. Je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir.
Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé.
- tu as été merveilleux ! .... un amant de rêve !

(E)
je me sentai aspiré en elle, comme dans un cocon mielleux, une sensation paradisiaque, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Je glissai avec délice entre ses muqueuses distendues. ...

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Je n'en pouvais plus ! Tel un oiseau febrile cherchant son nid chaud, je lui exprimai mon impatience d'elle, mon desir de m'enfouir en elle. Elle me regarda avec des yeux humides. En quelques secondes, corps à corps, glissant nos peaux l'une contre l'autre, elle me poussait à bout
- Je suis toute ouverte ! ... rentre vite !
Et sans attendre, je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. je me sentis tres naturellement aspiré en elle. Je tentai une demi-seconde de reprendre mes esprits, elle ne m'en laissa pas le temps,
- Trop tard ! ... Tu es chez moi maintenant ! me manifestant ainsi avec un large sourire sa satisfaction
- ne pense plus a personne d'autre ! ... Et laissons parler nos sens ... sans restrictions !
Je me sentai aspiré en elle, comme dans un cocon mielleux, une sensation paradisiaque, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Je glissai avec délice entre ses muqueuses distendues. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. elle s'abandonna à mes attouchements. nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Elle me fit cette remarque avec sourire
- C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois pas ?
Elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande. Je sentais ses douces caresses intimes. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son souffle était lent. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience. Mes mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, sans faire de bruit. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple.
Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond, et doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'accélérai franchement, elle ferma les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, je sentais mon plaisir monter, inexorablement ...
- Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite !
Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait à l'extrême. Elle me tira vers elle, se cabra de nouveau. Je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir.
Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé.
- tu as été merveilleux ! .... un amant de rêve !

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Je n'en pouvais plus ! Tel un oiseau febrile cherchant son nid chaud, je lui exprimai mon impatience d'elle, mon desir de m'enfouir en elle. Elle me regarda avec des yeux humides. En quelques secondes, corps à corps, glissant nos pea ...

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Vanessa et sa mère 3


- Bonjour ! Vous êtes Louis, l'ami de Vanessa ?
- Je suis ravie de connaitre l'ami de ma fille !
La mère de Vanessa est une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité. Alors que Vanessa s'eclipse me laissant seul avec sa mère, celle ci me regarde en souriant, ses yeux brillent avec un sourire étrange, et apres un moment d'hesitation, elle s'approche de moi,
- Vous êtes bel homme ! Je le savais ! Vanessa a du gout !
- Vous permettez Louis ? Je souhaite verifier quelque chose !
et elle pose délicatement ses lèvres sur ma bouche, elle les laisse un moment appuyées sur les miennes, en fermant les yeux, puis se detache de moi, je ne sais plus ou j'en suis.
Elle est vraiment superbe, ses seins tremblent doucement sous mes yeux, je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle pose sa main sur la mienne comme pour me mettre en confiance. Je suis totalement sous son emprise. Elle semble s’en amuser.
- Vous êtes bel homme. Vous êtes seduisant ! Ma fille a de la chance, je suis jalouse !
Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température.
- Ils sont encore souples, et genereux, rassurez moi ? ...
- Regardez ... Ils pointent vers vous ! ... Ils aiment qu'on les caresse ...
Elle prend alors ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise.
- vous sentez ? Ils tremblent legerement et gonflent au creux de vos mains chaudes.
Puis elle m'attire vers elle, elle rapproche son visage du mien, avec toujours ce sourire gourmand, elle passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Puis elle detache son regard et me fixe dans les yeux
- Louis, Vanessa est partie, j'ai envie de profiter de vous ... moi aussi !
Sans attendre plus longtemps, la mere de Vanessa reprend mes lèvres. Le baiser dure une eternité. Je ne sais plus quoi faire !
- Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire ! Je ne vais pas vous manger !
Puis elle passe subrepticement sa main sur mon maillot de bain, gonflé à l'extrême, elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Elle est en train de me pousser à bout Je ne peux plus articuler. Je suis en train de perdre tous mes moyens
- Louis ! Appellez-moi Marianne ! Vous voulez bien me raccompagner dans ma chambre? ...
- C'est içi ... installez vous, je me change ...
- Louis ! ... J'ai envie ! maintenant ! içi ! ... oui, içi ! ça vous gêne ? ...
Des ce moment, tout se precipite ... Je n'en peux plus, elle me veux, je la veux. Je me lache. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, je cherche ses seins, Elle me deshabille febrilement, je la deshabille febrilement. Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont bien souples. Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts, malaxant mes testicules.
- Je suis toute ouverte ! ... Venez vite ! ...
Je m'enfonce en elle aussitôt, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. Tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, son regard s'humidifie. je m'agrippe à ses hanches,je la penetre de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle est secouée de mouvements erratiques et de spasmes, je sens vibrer mes bourses, prêtes à exploser, Je l'avertis de l'imminence de l'eruption
- Marianne ! ... Je sens que je viens ! ... Je ne voudrais pas ...
- Non ! reste bien au fond ... J'ai pris mes precautions ! ...
- Je veux que tu jouisses en moi ! bien au fond de mon ventre !
Je m'enfonce, je me bloque et ... je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Elle reste allongée, toute ouverte, trempée de mon sperme La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Je me sens sans force, du liquide coule entre nos cuisses écartées, Elle se love contre moi, satisfaite, détendue. Je me glisse doucement hors d'elle. Elle ne fait rien pour me retenir. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Reste avec moi ! Ta presence m'apaise !
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives et nous nous regardons avec tendresse
- Louis, maintenant tu es aussi à moi ! Tu es mon amant !


Vanessa et sa mère 3 (E)
- Bonjour ! Vous êtes Louis, l'ami de Vanessa ?
- Je suis ravie de connaitre l'ami de ma fille !
La mère de Vanessa est une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité. Alo ...

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Marianne est déjà sous la douche quand elle m'appelle à vite venir la rejoindre
- Tu viens ?
Je la rejoins et, tout de suite nous nous serrons l'un contre l'autre sous le jet bienfaisant. Marianne est splendide dans sa maturité, des formes divines, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'ai le tournis. Nos deux corps au contact, elle me donne des sueurs froides, elle me chuchote
- Serre toi contre moi !
Elle m'enlaçe, son corps vient se blottir contre moi, sa poitrine s'écrase contre mon torse, son bassin se plaque au mien, elle ondule très lentement glissant nos corps l'un contre l'autre. Au gré de nos mouvements, sa cuisse s'intercale doucement, Mon sexe tendu comme un arc, se leve entre ses cuisses, elle rejete alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fait encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascule un peu plus vers l'avant, ses reins se creusent.
- tu es bien avec moi ? Detends-toi bien, serre moi dans tes bras
Sa main me plaque les reins contre les siens, son corps tout entier est collé contre le mien, son ondulation lente mais appuyée m'enflamme encore un peu plus le bas ventre. Je deviens rouge de confusion sentant mon désir me trahir. Son parfum m'enivre les narines, ses grands yeux noirs me captivent et son sourire me fait fondre. N'y tenant plus, Je la saisis à pleine main par les fesses rondes et fermes, elle plaque ses deux mains contre mes reins pour mieux m'ancrer contre son bassin. Je l'entendis alors gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. Elle jouit et gémit de façon très perceptible, et soudain ... d'un mouvement, elle souffle à l'oreille
- Tu sens? ... comme je suis toute ouverte ... et bien profonde ... Enfonce-toi vite !
Je suis littéralement gobé, aspiré en elle. Elle ondule de tout son corps. Elle se mord les lèvres. Mes penetrations sont de plus en plus rapides, de plus en plus profondes, de plus en plus violentes. Je sens ses muscles se tendre, son corps s’arquer, les veines de son cou se gonfler, son souffle manquer.
Je lui pétris les seins. Elle s'accroche à mes épaules, Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Elle râle de plus en plus. Je me retiens .... Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochant à ses chairs rondes. Ses mains sur mes fesses m'incitent à aller de l'avant, je la pénétre jusqu'à la garde, elle respire fort.
Scene intense de sensualité, là, plus bas, mon sexe est bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Elle serre et desserre doucement ses muscles vaginaux. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Je vois dans ses yeux qu'elle est à deux doigts de jouir, Elle me fixe de maniere crispée, se met à trembler avec un regard vitreux. Elle jouit ! Prise de secousses incontrôlées, elle cache difficilement ce qu'elle est en train de vivre je ne peux me retenir longtemps, J'explose alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui coupe les jambes, elle est pantelante contre moi. Nous restons un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles

(E)
Marianne est déjà sous la douche quand elle m'appelle à vite venir la rejoindre
- Tu viens ?
Je la rejoins et, tout de suite nous nous serrons l'un contre l'autre sous le jet bienfaisant. Marianne est splendide ...

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service délicat


La mère de Julien, soucieuse de la pruderie maladive de son fils, m'avait demandé un service délicat, elle m'avait mis dans la tête de l'initier aux choses de la vie. Elle m'avait expliqué que mes 50 ans face à ses 18 ans alimentaient souvent ses pollutions nocturnes et que moi seule, selon elle, était en mesure de liberer sa libido. Je l'entraînai ce soir là dans ma chambre dont le lit que j'avais préparé pour cette rencontre sentait agreablement le propre de la soupline.
- Tu es inquiet ?
Il me fit un oui un peu timide de la tete. Il était maintenant blotti tout contre moi. Entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie, et ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. J'ai alors commencé à ressentir, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. Il s'est agrippé à moi.
- Je suis content de t'aider mon cheri ...
il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux beaux seins généreux, à peine affaisés sous la dentelle, qu'il commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon dos. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. Il s'est retrouve à hauteur de ma bouche. Il était sous l'emprise de mon souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mon cou. Il m'affolait de plus en plus.
- Regarde moi mon cheri, je ne suis pas trop vieille pour toi ?
- Tu es gentil ! ... On va se faire plaisir tous les deux !
J'ai alors posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord, puis, nous nous sommes embrassé à pleine bouche. J'ai introduit doucement ma langue, je le sentis s'abandonner à mon baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma combinaison. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapprochés, ses mains m'exploraient, nous avions, lui comme moi, besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, et l'ai regardé dans les yeux
- Vraiment ? C'est la premiere fois ? lui demandai-je dans le creux de l'oreille
Il me rassura avec un sourire d'envie. J'eu à ce moment une intense envie d'assouvir mon attirance violente pour ce jeune corps.
- Tu es seduisant, tu sais ! ... Ne sois pas gené ! Ce n'est pas honteux !
- Je vais t'emmener dans ma chambre, d'accord ? ... Viens ! Suis moi !
- Ferme la porte derriere toi ... Nous serons plus tranquilles
Mon armoire était restée ouverte, présentant sous ses yeux ma lingerie fine qui, face à ses 18 ans le faisait souvent fantasmer parait-il et alimentaient régulièrement ses pollutions nocturnes. Il n'avait jamais pu la toucher, respirer son parfum et elle était là, à sa portée. Il ne savait plus où poser mon regard, entre les piles de combinaisons et de jupons, les tas de petites culottes et de soutiens-gorge, les bas, les collants : une adorable combinaison rose, qui sentait bon, c'était chaud, c'était doux ! un soutien-gorge rose, deux culottes blanches en nylon, très douces. Tout cela n'arrangeait pas son état. soutiens-gorge adorables, petites culottes blanches, noires, rouges, fantaisie des culottes en nylon presque transparent. douces au contact. des combinaisons. une vingtaine, souvent des nouvelles.
- Tu m'aides à me deshabiller, lui demandai-je,
Je pris dans mes mains une combinaison couleur ivoire encore tiède, je respirai ses effluves. le contact du tissu soyeux aggravait systématiquement son etat ! Apres l'avoir observé un moment, je lui dis avec un sourire rempli de malice
- Tu veux choisir la lingerie dans laquelle tu aimerais me voir ce soir ? ... Je la mettrai pour toi !
Puis, délicatement, je dégageai devant lui les bretelles de ma combinaison. Sans que je fasse un geste, le fin tissu glissa doucement le long de mon corps et s'étala en corolle à mes pieds, ne laissant sur moi qu'une fine culotte de soie et un soutien-gorge valorisant mes magnifiques poitrines.
- Tu la veux ? Tu peux la prendre ! je te la donne ... en souvenir
Il prit la combinaison encore tiède et qui diffusait mes effluves. Puis je lui demandai de choisir une lingerie de nuit dans laquelle il avait envie de me voir. En ouvrant le tiroir, à coté de mes dessous intimes, de mes petites culottes en soie ajourées de dentelles rangées sommairement, il repaira une nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide
- Tiens ! prends la ! Je te laisse la mettre sur moi !
Il me la passa au dessus de ma tête et l'ajusta sur ma poitrine. le haut épousait la forme de mes seins comme un soutien gorge. Ses doigts glissaient sur le satin; descendaient vers mes cuisses, avec de longs va et vient . Le tissu devenait manifestement mouillé. Il glissa ses doigts sous la soie. La douceur, la fraîcheur du tissu faisait gonfler sa verge comme jamais. Ma douce lingerie sentait bon la femme, c'était chaud, c'était doux ! Je lui caressai le torse, les cuisses, les fesses, la jolie dentelle titillant agréablement son corps. Je devinais alors son sperme bouillonner dans ses bourses. Je le pris alors contre moi, passai une jambe entre les siennes, entoura sa cuisse du velouté de ma chemise de nuit. le doux tissu effleurait son ventre avant d'etre au contact de ma poitrine. Puis j'écrasai mes seins contre son torse et ne bougeai plus. Il semblait fou. Je lui donnai alors un tres sensuel baiser qui acheva de le faire fondre. Je le regardai fixement
- Tu comptes me regarder longtemps ? .. Tu veux bien ôter mon soutien-gorge ?
Il commença alors à passer ses mains sur ce corps offert, caressant mes seins à travers la dentelle. Puis il passa ses mains dans mon dos pour degrapher le doux tissu que je jetai negligement sur le lit. Puis je commencai à le deshabiller lentement. Je pris sa main et l'entraîna vers le lit. Je serrai mon corps contre le sien, le fixai de nouveau dans les yeux,
- Et maintenant, déshabille-toi, vite !
Une fois nu, je lui demandai de se glisser sous les draps de mon lit. Il s'executa, non sans cacher sa virilité brûlante par pruderie. Son sexe semblait à l'étroit. Je déboutonnai alors ma robe, et reajustai ma poitrine dans mon soutien gorge, tout en le regardant me dévisager. Il semblait dans un état d'excitation indescriptible. Je voyais sa queue durcir à vue d'oeil entre ses jambes.
Je refermai la porte à clé ! Tout doucement je vins m'asseoir à coté de lui sur le lit, mes seins libres ondulant sur une transparence lui laissant decouvrir mes pointes roses. Puis je glissai mes doigts dans sa chevelure. ma bouche couvrit ses lèvres, ses joues, son cou. Le contact du tissu et le moelleux de mon sein lourd aggrava son etat ! je pris sa main tremblante, la dirigeai sous le plissé, pour la poser sur le haut de mon sein, lui faisant apprecier le moelleux de ma chair, j'eus un regard sur sa peau de pèche qui se troublait : la sueur perlait en gouttes vers mon décolleté ; Avec ma main je cherchai et flattai ses testicules, serrai ses bourses.
- Julien je veux te faire plaisir ! Laisse moi faire !
Je me laissai alors couler le long de son corps, le caressant de toute la dentelle de ma combinaison. Ma douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait ses bourses. Mon souffle chaud se rapprochait de l'extrémité de son sexe. Je posai d'abord mes lèvres sur son gland violacé puis l'embrassai délicatement. Son premier frisson m'encouragea à poursuivre, et du bout de ma langue je vins effleurer la muqueuse Ses spasmes que je ressentai dans ma main me stimulaient, et c'est son sexe entier que j'aspirai, sur toute sa longueur. Je suçai sa verge dure comme l'acier, la lissait avec une vigueur qui l'excitait au plus haut point. Je montai, descendai, sur chaque millimètre de son mat dressé dans sa bouche. Les tréssautements, les contractions de sa verge sous ma langue et entre mes doigts l'excitaient au plus haut point. Son sexe était luisant de ma salive. Il se contracta pour ne pas jouir immédiatement, affolé de ce que j'étais en train de provoquer
- Marthe ... je ... je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Je dégageai ma tête de ses mains, dirigeai mon regard vers le sien.
- Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève.
Et je pris son sexe et me l'aspirai sans attendre engloutissant aussitôt son gland tumefié qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de mes mains plongea vers ma vulve. Mon vagin était aussi en ébullition et débordait de ma liqueur trempant littéralement la dentelle de ma si fine culotte. Je voulais moi aussi me faire jouir. Alors comme une démente, je m'enfonçai deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de ma grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de ma cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence je coulissai vigoureusement sur son dard pour me préparer au déferlement de son sperme qui s'annonçait proche
- Marthe ! Oh Marthe ... Je viens !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... il déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, je resserrai mes lèvres autour de son sexe pour ne rien perdre de ce nectar, alors qu'un terrible orgasme m'emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Je pompai avec ardeur son jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Je n'en finissai pas de pomper cette verge bandée, cette hampe luisante sur toute sa longueur. Les joues creusées pour tout aspirer, je lui adressai un regard langoureux. Mes lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté à la scene. Il rechercha son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il me regarda. Vision de rève, irréelle.
Je faisai onduler lentement mon bas-ventre contre le sien, mon excitation faillit plusieurs fois me faire jouir de nouveau. Je recommençai avec mes lèvres un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était de nouveau le paradis. Je sentis son corps se tendre une nouvelle fois, sa respiration s'arrêter et, tout d'un coup, il n'y tint plus ! la délivrance. Le feu partit de ses bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes. J'attendis la fin de ses soubresauts, et vint m'allonger près de lui et l'embrassa violemment.
J'étais là, contre lui, allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. Mes lèvres reprirent possession des siennes et ma langue agile s'insinua dans sa bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre.
Je le pris dans mes bras, l'embrassa. Je passai ma main sur mon ventre et je m'aventurai jusqu'à ma touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai mes poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Je lui murmurai dans l'oreille :

- Regarde moi dans les yeux ! ... Je t'offre maintenant mon corps ! il a déjà faim de toi !
et je l'ai entraîné sur mon lit. Je me suis mise à nue pour me couvrir de son corps ...
- Je te sens bien dur contre moi !
- Viens, je veux maintenant te sentir dans mon ventre !
Excitée à l'idée d'initier mon bel adolescent aux délices de la pénétration... Je m'emparai doucement de son jeune sexe déjà bien dur et gonflé, j'en dirigeai le bout entre mes grandes lèvres déjà humides et je fis rentrer doucement cette jeune verge bandée, éprouvant une véritable jubilation au contact de ce sexe bandé
- Je suis toute ouverte pour toi, tu sens ? ...
- Viens ! doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
- Voilà, tu y es ! ... Tu es bien ? .... Moi aussi, je suis bien !
Il commencait à glisser à merveille dans mes chairs moites et je me suis offerte à lui.
- ça glisse tout seul, tu sens ? Tu es chez moi maintenant, bien au chaud !
- commence à bouger ... tu sens comme ca fait du bien ? Tu aimes ? ... Oui comme ça ! Cest bien !
- tu sens ? ta verge qui grossit et s'allonge dans mon ventre,
- tu as l'air d'aimer ca ! Moi aussi j'aime tu sais !

il glissait en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offrai mes douces caresses intimes, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre. ses mouvements se firent plus amples. Je lui faisai découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, je ne quittai plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne falait pas, pas maintenant. Je glissai sur son mat. Il oscillait dans ma chair, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalai, l'absorbai, je digerai ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps. Il esquissa une grimace, j'inclinai mon bassin pour qu'il aille plus au fond. Il s'activait dans ma chair, fou d’un désir que je ne soupçonnais pas. Je passai ma main dans ses cheveux, caressai son visage. Doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules, reprit ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son corps glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens vite !
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée, Puis il s'arreta net. Je le sentis venir, il crispa son regard .....
- Donne moi toute ta sève ! ... Maintenant !
Je le tirai à moi. Et il vint, le voici ! il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. flot de vie me remplit. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Je m'effondre sur lui. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.



Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques.
- Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
- Oh oui ! Je vous sens bien ! c'est tout doux ! C'est bon !
Etendu sous mon corps chaud et tendre, et fasciné par mes seins lourds se balançant doucement devant ses yeux, il se laissa alors aller à la jouissance de sentir le glissement onctueux d'un sexe mâle dans le sexe d'une femme mure.Je sentais sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants....
Emporté par sa fougue d'adolescent, il accelera. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser profondément son membre gonflé dans les moiteurs de mon ventre, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Je ne tardai pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Je serrai mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
-- Plus vite, mon chéri ! … Met le moi bien au fond !…
Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inondait d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon jeune adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'activa de plus belle, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, l'affolant encore plus. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y ! ..
Il était en train d'atteindre le point de non retour, je l'enserrai encore plus fortement entre mes cuisses pour l'empêcher de s'extraire de mon vagin affamé. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, il empoignait mes deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu,
-Oui, maintenant .. Donne moi ton sperme chaud ! Donne moi tout ! Je n'en peux plus !
ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
- Oh oui ! ... Que c'est bon !
Le jet puissant de mon jeune amant inondait le point le plus profond de mon vagin. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon ventre malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer ce jeune corps devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit:
- Eh bien, mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis, m'exclamai-je en me penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement…
- Tu m'as rempli le ventre, J'en ai de partout… C'était bon ? Tu as aimé ? ... Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder un moment le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement.
- J'aime tes caresses intimes ... Tu sens ? mes petites contractions amoureuses ?
Mon corps recommença à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrassait très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches venaient une nouvelle fois à sa rencontre et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte, puis sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence qui s'écoulait sur mes cuisses. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement.

Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
service délicat (E)
La mère de Julien, soucieuse de la pruderie maladive de son fils, m'avait demandé un service délicat, elle m'avait mis dans la tête de l'initier aux choses de la vie. Elle m'avait expliqué que mes 50 ans fa ...

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Lucas et Paulina (lui)


Elle avait 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et de jolies rondeurs, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous dansions ensemble dans un recoin de la piste. Elle trébucha, s’appuya sur moi et l’effet de sa main fut instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarda. je l’attirai doucement par la taille, mes yeux se poserent sur elle. Je sentais contre moi la pointe de ses seins dure comme des crayons. Elle vint se lover autour de ma hanche et ce fut le premier baiser, le don pur. Elle se blottit contre moi la tête sur mon épaule. Je posais timidement les mains sur ses hanches. Nous ne parlions pas. Chaudement coincée contre mon corps ferme et le champagne aidant, elle se blottit contre moi encore plus. Embarrassé par un relief gênant sur le haut de mon pantalon, je tentais de me dégager jusqu'à ce qu'elle me souffla:
- Reste tranquille ! Ne dissimule rien ! ... Et serre-moi contre toi !
Je me suis alors laissé aller sans retenue contre elle. Elle me prit la main et la posa sur sa poitrine. Je la sentis chaude et souple à travers le satin. J'en épousais consciencieusement tous les contours. Elle me caressa alors la nuque et les cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. puis, je posais mes lèvres sur les siennes, elle semblait même apprécier, jusqu'à ce qu'elle prenne, elle-même, l'initiative de m'embrasser, à pleine bouche, écrasant nos lèvres l'une contre l'autre, jouant avec nos langues et mêlant nos salives.
Le buste en avant. Son sein lourd gonflait le léger tissu blanc et soyeux. Je me suis mis à le palper doucement. Puis je glissais un doigt entre deux boutons du chemisier pour atteindre sa douce peau satinée. Je déboutonnais les trois premiers boutons. J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Je ne pus m'empêcher de baiser ce fruit mur. Je le suçais, je l'aspirais. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. J'ai écarté l'autre pan du chemisier. Je bandais de manière indécente. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive. ses cuisses étaient écartées, une culotte en satin blanc ornait son bas ventre. Je glissais ma main entre ses cuisses et lui caressais la vulve à travers l'étoffe, lorsqu'elle me murmura des mots à voix basse que je n'ai pas bien compris
- j'ai envie de toi !
Elle me regardait, presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le visage rayonnant. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde. Je lui palpais les deux seins presque sans ménagement.
- Lucas ! ... Tu me provoques ? me lanca-t'elle de maniere distincte, et elle proursuivit avec la même voix:
- Tu as entendu ? ... J'ai envie de toi !
Elle commençait à onduler son bassin. Ma main massait son ventre à travers la soie. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. J’ai senti sa main caresser mes cheveux. Elle s'abandonnait à moi. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais vers son entrejambe. Elle écarta encore les cuisses découvrant ses lèvres intimes déjà humides. Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts sous mes doigts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. je reprenais les douces caresses pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis devenir comme folle, elle ne contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva sur le canapé et un cri rauque jaillit bruyamment. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle s’est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé et déformant mon pantalon frottait contre sa vulve chaude.
- ça va ?
- pfouh oui, je suis sur un nuage
J’'avais envie d'elle, j'avais envie de son sein, j'avais envie de son corps, et elle s'offrait à moi, ses jambes s’écartèrent. Elle me supplia de venir en elle.
- Viens ! Doucement, Je voudrais tant que l'on jouisse ensemble !
Elle s'ouvrit à moi, et je rentrai en elle. C’était un velours, total, une douceur qui m’enveloppait. sa jouissance nous inondait. J'allais et venais doucement et sa position changeait pour être totalement prise, l’offrande totale. puis le tremblement de sa crispation dans la jouissance se communiqua à l’intégralité de ma peau. Elle me massait avec son sexe, sans bouger mais avec la pression de toutes les parties de son intimité profonde, Le plaisir monta et elle jouit deux fois de plus avant que je ne l’inonde. Ses jambes se refermerent sur mes hanches et me maintenaient ancré au plus profond d’elle. Je n’osais pas rompre cette harmonie. Doucement elle me berçait en enfouissant sa figure dans mon torse. Je lui prodiguais des massages intimes au plus profond d’elle. les sensations étaient fortes et me prenaient du haut en bas. Je caressais ses flancs. Elle fermait les yeux en gémissant. Elle se crispait, ses ongles dans ma peau. Je me déversais en elle. Nous sommes revenus lentement sur terre, et je la quittais doucement, Elle avait toujours les seins découverts, elle sortit un tampon de son sac et se l’enfila en me regardant : Elle me sourit et se rhabilla complètement. J'étais mouillé de son plaisir, elle était pleine de moi.
Lucas et Paulina (lui) (E)
Elle avait 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et de jolies rondeurs, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous dansions ensemble dans un recoin de la piste. Elle trébucha, s’ap ...

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- Bonjour ! ... Je peux vous aider ? Que cherchez-vous, dites moi ? ...
- une belle lingerie pour votre dame ? .... eh bien, rentrez ! ... on va voir ca !
- Mais dites-moi, pardonnez moi cette question indiscrete, c’est bien pour elle ? ... ou pour vous …?
Devant ma confusion, elle s’empresse de rajouter :
- Excusez-moi, je plaisante ... Dites-moi ! Je vous ecoute ! Je suis à vous !
Je cherchais pour elle mais aussi je l'avoue, pour moi avec elle. La douce chaleur de la boutique contraste avec le froid qui règne dehors. Nous voici donc tous les deux, au milieu de la boutique, elle, me présentant ses collections et moi ne sachant plus très bien ce que je veux. Je me retrouve intimidé, devant une autre femme, une autre belle femme, d’une quarantaine d’années. Je lui explique ce que je cherche. Autour de moi des soutiens-gorge, des petites culottes, et autres objets qui semblent toutes avoir un dessein bien précis. Je touche les satins, les dentelles et toutes ces matières douces. Sur le presentoir sont posés trois modèles différents de combinaisons en satin et dentelles. Voyant mon indécision, elle entreprend d’en parer un buste afin “que je me rende compte”. Elle passe devant moi, si près que sa jupe effleure mon genou et que les dessous qu’elle tient dans la main glisse sur ma cuisse. Je lève la tête, son regard est posé sur moi…
- un joli ensemble de nuit? ...
- ou plutot un fine combinaison de nylon ou de soie dites vous ? .... agreable au toucher ?
- comme celle ci par exemple ? ...
- Vous ne savez pas tres bien quoi choisir ? Je comprends, c’est fréquent pour un homme. Comment puis-je vous aider ? ...
- vous voudriez voir comment ca se porte dites vous ? Ca pourrait vous aider ? ...
- Attendez ... venez avec moi ! je crois qu'on va pouvoir arranger ça !
D’une démarche de féline, elle me précède pour le plus grand plaisir de mes yeux et m'emmène au fond du magasin dans une piece d'essayage.
- nous serons plus tranquilles là bas au fond du magasin,et en plus, il y a un miroir,
(E)
- Bonjour ! ... Je peux vous aider ? Que cherchez-vous, dites moi ? ...
- une belle lingerie pour votre dame ? .... eh bien, rentrez ! ... on va voir ca !
- Mais dites-moi, pardonnez moi cette question indiscrete, c’est bien ...

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- Jerôme, j'ai besoin d'un engagement total, vous comprenez ?
Nos regards se sont figés l'un dans l'autre. Explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent, reciproque, qui traversait l'espace de ce bureau desormais vide. il n'y avait plus personne, il y avait nos deux corps, nos deux regards... Temps suspendu... Ses yeux projettaient plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Eclat impudique de sensualité... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, me faire succomber, se faire plus séduisante encore... Elle me provoquait avec un art consommé de gestes discrets, divinement sensuels et son regard mouillé..
- Et lorsque je vous regarde, je pense que vous serez à la hauteur !
Ses yeux projettaient plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Eclat impudique de sensualité... Et ce magnetisme soudain entre deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... Elle me provoquait avec un art consommé de gestes discrets, divinement sensuels et un regard mouillé. Elle s'est approchée un peu plus. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, son parfum de femme, entêtant. Son regard s'est planté dans mes yeux, puis sur mes lèvres. Ma respiration s'est précipitée.... Son souffle me troublait. Son corps tout entier semblait a l'affut. Elle s'approcha un peu ses yeux toujours fixés sur mes lèvres, sur ma bouche ...
(E)
- Jerôme, j'ai besoin d'un engagement total, vous comprenez ?
Nos regards se sont figés l'un dans l'autre. Explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent, reciproque, qui traversait l'espace de ce bureau ...

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- Jerôme, vos lèvres sont chaudes ! ... J'aime ! me declara-t'elle avant de reprendre le meme travail
Un moment surpris je tachai de me ressaisir. Puis, emporté par l'événement, après tout, pourquoi pas me dis-je, j'en profitais donc de bonne grace. Nos langues se confondirent longuement, s'attrapant et s'enroulant l'une l'autre dans un maelström tout à fait inattendu. Vraiment, elle ne doutait de rien.
- Et bien Jerome, je vois que vous êtes plein de ressources ! C'est bon signe !
Puis, comme si rien ne venait de se passer, elle retourna vers la porte, pour lui donner un tour de clef. J'entendais au même moment, derriere la porte, la voix de l'autre secretaire repondant au telephone que le directrice était en entretien et donc non disponible.



(E)
- Jerôme, vos lèvres sont chaudes ! ... J'aime ! me declara-t'elle avant de reprendre le meme travail
Un moment surpris je tachai de me ressaisir. Puis, emporté par l'événement, après tout, pourq ...

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Elle était mère célibataire, la cinquantaine. Je me souviens très bien de cet après-midi. j'étais venu chez elle l’aider à monter des étagères un jour où je ne travaillais pas. Elle travaillait comme secretaire dans le même service que moi. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seul avec elle. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en travaillant, elle me questionnait sur moi, sur mes relation sentimentales, sur mes gouts. Je la trouvais tres desireuse de plus d'informations, elle me regardait en même temps d'une manière qui me destabilisait. Flatté, voire troublé par les regards de ce belle femme mûre, je la devisageai du coup avec un tout autre regard. Une fois le travail terminé elle me remercia
- Tu es un ange ! me lança t'elle en m'embrassant comme une mère embrasse son fils.
Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Nous n'aurions peut-être pas dû ... Nous nous etions assis sur le canapé, un peu grisés. C'est alors que, tout en parlant, elle a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. En retour, j'ai osé un baiser timide dans son cou, elle ne reagissait pas, puis mes mains sont descendues jusqu’au creux de ses reins. Je devinai, inconscient, que les evenements prenaient une tournure de plus en plus incontrolable. Elle me laissait toujours faire, et j'étais de plus en plus excité par cette aventure inopinée. Que s'est-il passé ensuite ?
Ensuite ... Nos sens se sont alors réveillés brutalement, nos langues se sont mélangées, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre, mes mains se sont égarées sous son pull pour m'emparer de ses seins. Les pointes ont durci sous mes doigts. Elle s'est laissée aller à ces douces caresses, oubliant que j'avais 15 ans de moins. Je ne contôlais plus rien, elle non plus apparement. J'en profitai, et elle en profitait elle aussi. Elle comme moi étions instinctivement prêts desormais à precipiter les choses ...
- Ou est ta chambre ? lui lançai-je de manière impudique
- tu crois que c'est sérieux ? ... demander ça à une femme beaucoup plus âgée que toi ? me répondit elle soudainement affolée, tout en ajoutant quelques instants plus tard:
- elle est au fond du couloir ! ... on y va ? ... emmène moi ! ...
Sans qu'elle oppose la moindre resistance, je la pris par la main jusqu’à sa chambre. Elle trouva ça à la fois déplacé mais tellement romantique et tellement excitant !
- ferme la porte ! ... et viens vite ! ...
Une fois enfermée dans sa chambre, Ma bouche se mit à parcourir son corps de la tête aux pieds, m’attardant sur ses seins, mes mains explorant ses tresors intimes, de plus en plus humides. Je bandai à la limite de l'indecence, n’attendant plus maintenant qu’une chose : ne plus nous arrêter en chemin. Elle me lança:
- C'est osé ce que nous faisons, tu ne crois pas ? ... tu ne crois pas, alors pourquoi se priver ? .... soyons fous ! ....
Tout en échangeant de fougueux baisers, nous nous déshabillames avec febrilité. Doucement je l'entrainai et l'allongeai sur le lit, puis m'étendai sur elle. Son regard se figea sur mon engin que je sortai de mon pantalon et que je pointai vers elle, tout en la fixant d'un regard de feu ... Elle me guida vers elle. c'est alors que, sans attendre plus longtemps, je me glissai d'un coup en elle, entre ses muqueuses trempées jusqu’à buter au plus profond de sa matrice. Arrivé à bon port, je levai les yeux, en attente de sa réaction, un peu comme si j'avouais une grosse bêtise. Pour me rassurer, elle me caressa le visage et s'accrocha à mon cou, me laissant le soin de poursuivre la bêtise déjà bien engagée.
- moi aussi, j'ai envie tu sais ! ... me precisa-t'elle, il y a si longtemps ! ...
Doucement, elle enveloppait mon sexe qui s'enfoncait en elle, et la remplissait, j'étais aux anges, baignant dans ses humeurs intimes comme dans une bain mielleux. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce.
- tu es maintenant chez moi ! ... tu es content ? ....
Je goutai ses douces moiteurs, un glissement onctueux, une penetration lente. Je lui faisais sentir ma queue qui dansait en elle, elle balançait son bassin au rythme de mes allées et venues cherchant à me faire rentrer encore plus profondement. Je la regardai avec des yeux de plus en plus brillants.
- c'est bon, que c'est bon, c'est divin ! ... moi aussi tu sais, j'aime ! .... et en plus, tu es redoutablement efficace ! ....
Avec application elle m’aspirait, me tirait vers elle en jouant de son corps. Elle me donnait du plaisir en se donnant du plaisir, nous en gémissions de bonheur tous les deux. J'effectuai d'amples va et viens, doucement, interminablement, en la fixant toujours avec des yeux humides et en surveillant ses réactions. Elle m'encouragea sans reserve.
- Tu me remues les entrailles ! Je fond !
Petit à petit, elle absorbait toute la longueur de mon sexe, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Elle pouvait sentir mes reliefs noueux contre ses parois intimes. La sensation était délicieuse, affolante. Je me penchai vers ses lèvres pour les embrasser sans interrompre mes puissants va et viens. Ces pénétrations massives et rapides finirent par lui couper le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je me retenai de toutes mes forces, et elle essayait d'en faire autant. Je commençai alors à me retirer d'elle craignant l'explosion imminente, elle m'en dissuada...
- Non ! Reste ! ... Ne t'inquietes pas ... A mon age je ne risque plus grand chose !
- tu peux jouir en moi ! ... Bien au fond de moi ! vas-y, ça me fait plaisir ! ....
Ma frénésie redoubla. J'étais en sueur, elle aussi. Elle voulait jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Je me sentis venir. Elle se mit alors à jouir sans retenue. Ce fut pour moi le signal: Je m'enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Le trait m'échappa ... et je me libèrai completement, me laissant aller en elle, sans retenue, inondant son ventre en abondance. Je giclai ma sève par spasmes riches et généreux. Elle digerait mon gland qui trempait dans nos secretions intimes. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans ses yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, ma tête dans le creux de son épaule, mon sexe emboité dans le sien, baignant dans nos abondantes secretions. Nous etions complètement déboussolés et tombaient tous les deux dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions doucement à la réalité. Je venais de baiser une belle femme mûre. Je devenais son amant et curieusement, elle semblait s'en trouver bien, elle avait retrouvé toute sa jeunesse !
- tu veux venir chez moi ce soir ? .... je t'attends ! ... ok ? ...

Arrivé le soir chez elle, elle me fit cette aveu:
- Depuis ce matin, je ne cesse de rêver de vivre avec toi une plus grande intimité ! ...
Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Elle glissait sa main sous ma chemise, caressant ma peau de ses mains chaudes et je glissai la mienne sous son corsage au contact d'une fine combinaison jusqu'à la naissance des seins. Nous reprîmes nos baisers, de plus en plus fougueux, de plus en plus impatients. elle se detacha avec un regard beaucoup plus déterminé:
- tu as envie ? .... Moi aussi j'ai envie ! .... ma chambre est au premier ... je t'emmène ?
Arrivés dans la chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle, nous reprîmes nos etreintes ardentes qu'elle interrompit seulement pour me preciser ses desirs,
- J'avais preparé ton lit mais c'est dans mon lit que j'ai envie de t'avoir cette nuit ! ...
- tu veux bien partager mon petit coin secret ? ....
- je te demande un petit moment ... je veux me faire encore plus belle pour toi ! ....
- Installe toi ! ... commence à te mettre à l'aise .... j'arrive ! ...
Installé sur le lit, j'étais attentif à chaque bruit qui aurait pu interpeller mon imaginaire. Je devinai dejà des bruissements de tissus. Le parfum épicé de fragrances érotiques baignait la chambre. Puis elle entra enfin, éclairant soudainement l’ambiance feutrée de la pièce d'une sensualité pregnante. Rayonnante de séduction, une chemise de nuit fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines, elle me troublait autant qu'elle m'attirait.
- Est-ce que je te plais ? ...
S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle s'assit à mes cotés puis glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir terriblement envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Je glissai discrètement une main sur sa robe de nuit , puis dessous. Elle m'embrassa avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit qu'elle ouvrit febrilement. Elle s'y allongea, achevant de me débarrasser de ma chemise trop sage.



(E)
Elle était mère célibataire, la cinquantaine. Je me souviens très bien de cet après-midi. j'étais venu chez elle l’aider à monter des étagères un jour où je ne trav ...

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Depuis deux ans que je travaille à ses côtés, nous nous sommes rapprochés. Souvent, avant de quitter le bureau ou lors d’une pause improvisée, il m’invite à partager un café. A croire qu’il apprécie ma compagnie et me confier ses petits soucis personnels. j’ai ainsi appris qu’avec sa compagne du moment, le quotidien était compliqué. Comme lui, sa compagne est cadre dans une grosse société. Lorsqu’il la retrouve le soir, elle est aussi épuisée que lui. Je me suis surprise à ressentir de la jalousie, de l’envie. Il était temps que je montre à mon boss à quel point j’étais capable de prendre soin de lui.
Deux jours plus tard, je suis allée le rejoindre pour partager notre traditionnel café. je lui ai dit qu’il avait l’air beaucoup plus fatigué que d’habitude. Arborant un grand sourire, sûre de moi, je me suis levée et placée derrière lui. J’ai posé mes mains sur ses épaules et mes doigts se sont mis en action, ont commencé à fermement malaxer le corps de mon beau patron. Me tournant le dos, il ne me voyait pas. Mais à en juger par son souffle rauque, il prenait visiblement son pied dans cette activité improvisée par mes soins.
Je me suis rapprochée et fait en sorte que sa tête repose sur mon genereux décolleté. Je sais que mes seins sont sources de fantasmes chez les mâles du bureau ! Et comme j’ai toujours eu l’âme d’un séductrice, je fais en sorte de systématiquement les mettre en valeur. Il n’a opposé aucune résistance. J’ai osé une parole grivoise, ne serait-ce que pour savoir si j’avais le feu vert pour aller plus loin dans notre rapprochement soudain : Sa tête s’est laissée aller à la renverse, il souriait béatement. J’ai osé glisser la paume de mes mains le long de son torse. Quelques doigts se sont aventurés sous le tissu de sa chemise, un bouton à sauté. Son ventre était chaud, son torse saillant… j’étais en train de vivre un de mes plus grands fantasmes : faire craquer mon patron ! Un rapide coup d’œil à son pantalon a confirmé que ma mission était en bonne voix : ce beau mâle bandait comme un cheval ! J’ai retourné son fauteuil face à moi, le toisant d’un regard fiévreux de désir. A la fois amusés de le voir perdu, ne sachant trop quelle réaction avoir… et excitée d’avoir un contrôle total de la situation. Il était à moi. J’ai posé l’index sur ses lèvres en murmurant « chut ».
Je me suis levée, j'ai fermé le loquet du bureau, puis me suis agenouillée face à lui sans le quitter du regard. Dans mon tailleur cintré sexy, en bas nylons et escarpins, je savais que je le faisais craquer. Nous étions clairement en train de passer un cap. J’ai ouvert son pantalon pour libérer une balle queue, bien bandée. J’étais comme hypnotisée par ce sexe gonflé pour moi ! Veineux, prêt à exploser… j’ai senti que dans un éclair de lucidité, ma victime allait s’opposer à ce que je le suce ! Peut-être se rendait t-il compte qu’il était en train de franchir une barrière ? Cela allait le faire tomber dans l’adultère et définitivement changer nos rapports. Il n’en a pas eu le temps. En quelques secondes, sa queue était entre mes lèvres chaudes, je le biberonnais à pleine bouche comme si je voulais le faire jouir le plus rapidement possible.
Dans mon ivresse, j’étais effectivement en train de le pomper comme une prostituée pressée d’enchainer les passes. Il ne fallait pas gâcher le moment à cause d’une éjaculation prématurée surtout que je désirais également le sentir en moi avant qu’il ne jouisse.
Alors je me suis relevée et assise sur le rebord de son bureau. Il était temps qu’il intègre son rôle de patron. Il s’est relevé et s’est collé à moi contre le meuble. il a relevé ma jupe pour qu’elle ne soit plus qu’une ceinture autour de mes hanches. Il a écarté ma fine combinaison sur le côté ... et m’a pénétrée. il reprenait le pouvoir ! j’étais là pour son seul plaisir, pour qu’il se soulage ! Le désir d’être réduite à l’état d’objet sexuel, de poupée sexuelle pour un mâle puissant était bien assez grisant. Il n’a vraiment pas pris de gants. Son sexe s’est enfoncé en moi jusqu’aux bourses. Je le fixais toujours, à la fois innocente et allumeuse, cela le rendait fou. Le premier va-et-vient a été brutal, entier. la suite toute aussi intense. Il me limait maintenant avec ardeur. Ses bourses claquaient bruyamment contre l’entrée de mon vagin. Il me tenait par la nuque, me bourrant le plus vite possible, avec une intensité toujours croissante. Je ressentais toute sa frustration sexuelle disparaitre enfin, il trouvait dans ma chatte docile le salut d’une réelle libération.
Je me suis étendue sur son bureau, j’ai relevé les cuisses pour mieux le sentir. J’avais le bas ventre en fusion, tout endolori par la pénétration bestiale. Je mordais mon poignet pour ne pas crier de plaisir. Dans un dernier soubresaut, je l’ai senti se coller fortement à moi, des spasmes dans les jambes. Il s'est arrêté et a longuement haleté. Se vider dans ma chatte sans aucune vergogne, sans même me demander la permission ? Pendant quelques secondes, il est resté planté en moi, comme pour reprendre ses esprits. Puis il s’est redressé, a retiré son sexe ramolis pour le ranger encore poisseux dans son pantalon. J’étais toujours couchée en étoile de mer sur son bureau, mon intimité offerte maintenant souillée. Son sperme dégoulinait du mien, son courrier en était tâché tout comme son clavier d’ordinateur. Il n’était plus le même. Les couilles vides, je voyais bien qu’il avait pris conscience de mon potentiel sexuel. Nos relations avaient évolué vers un rapport dominant soumise que je n’avais pas vu venir. Mais au final, n’est-ce pas ce que je désirais du plus profond de mon être ? Il a pris sa veste de costume, ne m’accordant même pas un regard puis a souri :
- Demain matin, quand tu m’apporteras le café, s'il te plait, tu ne porteras pas de culotte !»
(E)
Depuis deux ans que je travaille à ses côtés, nous nous sommes rapprochés. Souvent, avant de quitter le bureau ou lors d’une pause improvisée, il m’invite à partager un café. A cro ...

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Scene incroyable, là, sous sa robe, j'étais en train de baiser la patronne, mon sexe était bel et bien en train de glisser doucement au fond de son ventre, aussitôt soumis a de puissantes caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Je me sentais littéralement gobé, aspiré en elle, je la pénétrai jusqu'à la garde. Mon torse recevait ses seins lourds. Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. J'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Je la penetrai naturellement, sans effort, me glissant doucement dans sa moite intimité, ses jambes enlaçant mes hanches. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. Son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me sussurer des mots tres chauds. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. Elle me fixa et me murmura dans l'oreille,
- Fais-le moi bien dur, bien gros, bien long ! ... Et bien profond !
Je l'entendais gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient,


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Scene incroyable, là, sous sa robe, j'étais en train de baiser la patronne, mon sexe était bel et bien en train de glisser doucement au fond de son ventre, aussitôt soumis a de puissantes caresses intimes sous for ...

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Mme la baronne


C’était une chaude journée d’été, sans brise. Nous roulions depuis une vingtaine de minutes. Le ciel était noir, dégagé, la lune était pleine. Moi, la chemise ouverte. Elle, les cheveux soigneusement arrangés sous un vaste chapeau, sa robe d’été legerement transparente, rabattue sur d'admirables cuisses. Gardant ma main gauche sur l'accoudoir, l'autre sans vraiment m'en rendre compte, effleurait sa cuisse, la caressai doucement. Le constatant avec malice, elle me souria, se décala un peu pour se rapprocher de moi, mon souffle devint un peu plus court. Tandis qu'elle me regardait avec une intensité inhabituelle, je sentis sa main prendre doucement la mienne, et la guider vers elle, sur sa jambe, puis plus loin, entre ses deux jambes, puis sous sa robe, vers des endroits plus secrets, me suggerant même de manière on ne peux plus explicite, de poursuivre plus avant cette tendre intrusion. Je m'executai aussitôt, debutant mes caresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, ses cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, encourageant sans detour mes douces incursions. Oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait, elle semblait ne pas pouvoir tenir longtemps à ce traitement. Prise d'une serie de legers spasmes, elle exprima sa jouissance dans un râle long. Elle s'agrippa à moi, serrant ses cuisses sur ma main, je n’en pouvais plus, elle non plus. Elle avait chaud, son entre-jambe suait d’excitation… Je lui mordais doucement le cou. Je glissai ma main dans son corsage entrouvert. Elle ne portait pas de soutien gorge et j'en profitai. Je me penchai vers elle et l'intensité de son parfum mêlé à son odeur de femme m’excitait moi aussi de plus en plus. Au travers de sa robe, elle devait me sentir pointer vers elle sans complexe. Comme mes mains descendaient le long de son dos, puis remontaient sous sa jupe à la recherche d’autres endroits plus intimes, elle agita son bassin, elle glissa une main plus bas et testa ma vigueur devenue insolente. j'étais mur ... et elle aussi. Desormais, j'en voulais plus, elle en voulait plus, et elle me le fit comprendre.
- je connais une petite auberge à deux pas d'ici ! ... Qu'en dites-vous ? ...
Nous primes congé du chauffeur au bas de l'hotel.

la suite ...

A peine la porte de la chambre refermée, elle m'attira à elle violement en me fixant avec un sourire carnassier. Elle approcha son visage du mien. Je ne me fis pas prier. Le baiser fut long ... et profond. Elle s'agrippa à mon cou, tandis que mes mains exploraient son corps. Je l'embrassai fiévreusement. Son souffle s'accelerait. Je glissai ma main sous sa robe, elle glissa les siennes sous ma chemise, je m'immiscai sous la fine dentelle, sur la peau douce de ses seins. Elle deboutonna ma chemise tandis que sa robe tombait en corolle à ses pieds, puis sa fine combinaison, je degraphai febrilement son soutien-gorge, ses légers dessous tomberent à terre à leur tour. Mon torse reçut ses seins qui se déformerent contre ma peau. Elle défit ma ceinture et glissa une main dans mon pantalon. Le sexe devenait énorme. Elle le dégagea et le prit en main. Il était brûlant, je le sentais palpiter. Je saisissai ses deux seins qui durcirent sous mes doigts. Elle s'allongea à demi-nue sur le lit. Elle écarta les jambes, en me lançant un regard rempli d'impatience,
- Je vous en prie ! ... Venez vite !
Je m'allongeai sur elle. Elle ferma les yeux .... et je la pénètrai d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah. Je m'enfoncai dans ses chairs. Penetration divine. Sensation d'une suavité infinie. Son ventre était chaud. Il m’enserrait, me pressait. Elle croisa et resserra ses jambes derriere mon dos pour m'attirer au plus profond d'elle. Son intérieur était si humide que je touchai le fond à chacun de mes va-et-vient. elle s’offrait à moi sans retenue. Mon membre palpitait dans son ventre, puis elle fut secouée de spasmes. Je m'enfoncai un peu plus, m'extrayai, puis revenai, j'accélèrai. Peu à peu, les plaintes se transformerent en gémissements moins équivoques. Je me frottai contre elle, mon bassin contre le sien. Je bandai sans complexe dans son ventre, elle le sentait, ça lui plaisait. Elle gémissait de nouveau, elle se donnait totalement. Elle poussa un long soupir de plaisir quand je la pénètrai tout au fond, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guettait. Je coulissai en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée de ses lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau. Je voyais ses prunelles bleues s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. La vibration devint communion, les deux corps ne faisaient plus qu’un, les chairs étaient en fusion, les fluides et les odeurs se mélangaient. Elle ondulait toujours de la croupe, Son apparent désarroi décupla mon excitation. la sensation de mon sexe qui travaillait en elle, le clapotis indecent de nos va et viens annoncerent une jouissance proche. Je la besognai vigoureusement, je me déchaînai sans ménagements tandis qu'elle se mit à crier de plus en plus.
Et soudain, elle se redressa, à moitié accroupie sur moi, se mit à jouir, deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclencha chez elle une jouissance instantanée. Fin du concert. Nous nous affalâmes l'un sur l'autre, vidés de toutes substances. Nos peaux moites, nos respiration haletantes. Elle me supplia de rester
- restez ! ... j'ai encore faim !
Elle m'offrait son corps une nouvelle fois, et me le fit comprendre dans la position la plus adequate. Je suis revenu tout naturellement en elle. Elle entoura de nouveau mon mâle appendice de son ventre brûlant. Elle se soulèva un peu et je me glissai à nouveau dans ses chairs accueillantes, les yeux à moitié fermés, elle s'agita un peu plus, mon sexe se tendit et s'allongea rapidement dans ses chairs. Elle voulait encore profiter pleinement de ce moment fou, sans restriction, ni excès. Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait. De ses muqueuses, elle me suçait, m’aspirait, me tirait, me poussait, s'appliquait, en jouant de mon corps pour que je puisse mieux venir me perdre au plus profond d'elle. Ses seins lourds et mobiles se mirent à ballotter librement. Je les empoignai et les palpai de mes deux mains, puis serrai mes deux fesses pour bien me planter au fond d'elle. Mon corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Elle s’empalait maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, me suppliant de jouir vite en elle, ce que je fis bien volontiers.
Mme la baronne (E)
C’était une chaude journée d’été, sans brise. Nous roulions depuis une vingtaine de minutes. Le ciel était noir, dégagé, la lune était pleine. Moi, la chemise ouverte. Elle ...

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- J'ai vu votre regard ! J'ai senti votre envie !
- Nous avons dix minutes ... Osons!
son parfum est intense, Je reste un moment sans réagir. elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent, je vois sa robe tomber a terre. ses seins prennent un relief impressionnant.
- Vous êtes folle.
- Ils discutent. Nous avons tout le temps !
Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. Elle écarte son chemisier, degraphe son soutien-gorge pour dégager ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon est descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine !
Elle se jette sur moi, se frotte contre moi, écrase ma tête entre ses seins. Puis elle prend mes mains et les dirige vers elle. A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle peut sentir à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourt a mon tour, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Mes mains remontent rapidement sa robe puis sa combinaison blanche, jusqu'à sa taille. Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses.
Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Ses levres intimes s'ouvrent, elle m'attend. Elle me tire vers elle,
- Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ... J'ai besoin d'être baisée !
Elle s'ajuste sur moi, et, d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons frenetiquement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite, tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, Chaque assaut se propage dans son corps. Elle se tortille, gémissante, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure
- Maintenant ! Vite !
Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise.
- Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair
Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins.
- il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose.
Elle remet sa robe, puis colle son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressors, elle est déjà retournée au living.
- Oh c'est bon ! ... Merci !








J'étais invité avec quelques membres de la direction à un diner chez le patron. La femme du patron est une belle femme dont on m'a dit qu'elle n'est pas un exemple de vertu conjugale et qui traine derriere elle une reputation sulfureuse de croqueuse d'hommes en série, telle une mante religieuse.
Elle est vêtue ce soir là d'un ensemble de soie troublant, dévoilant de manière très visible des formes généreuses qui remuent au rythme de sa respiration. Les seins sont lourds, beaux, massifs, légèrement mobiles gonflés et les pointes en saillie sous le corsage de soie fortement translucide.
Le repas du patron et de ses associes se prolonge, la maitresse de maison semble s'ennuyer, et d'ailleurs, moi aussi. Elle me fixe depuis un moment, elle provoque. il fait chaud. Je suis en émoi. Elle s'en est aperçue. Elle se lève, vient vers moi et me glisse à l'oreille
- Vous avez une minute ? J'ai quelque chose à vous montrer !
Nous nous retrouvons dans le salon annexe, et sans attendre, elle s'avance vers moi brusquement,
- J'ai vu votre regard ! J'ai senti votre envie ! Nous avons dix minutes ... Osons!
Elle se presse contre moi, et m'embrasse sur la bouche. son parfum est intense, Je reste un moment sans réagir. Elle appuie ses caresses. elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautent.
- J'ai vu votre regard ! J'ai senti votre envie ! Nous avons dix minutes ... Osons!
Elle m'enmène dans sa chambre. Je me retourne vers elle, je vois la robe tomber a terre. elle se penche en soutenant ses seins qui prennent un relief impressionnant.
- Vous êtes folle.
- Ils discutent. Nous avons tout le temps !
Elle se jette sur moi, se frotte contre moi, écrase ma tête entre ses seins. Puis elle prend mes mains et les dirige vers elle. A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle peut sentir à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourt a mon tour, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Mes mains remontent rapidement sa robe puis sa combinaison blanche, jusqu'à sa taille. Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses.
Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches,
- Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ... J'ai besoin d'être baisée !

Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite,
- Oh que c'est bon ! Tu m'excites !
Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure
- Maintenant ! Vite !
Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise.
- Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair
Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins.
- il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose.
Elle remet sa robe, puis colle son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressors, elle est déjà retournée au living.
- Oh c'est bon ! ... Merci !
(E)
- J'ai vu votre regard ! J'ai senti votre envie !
- Nous avons dix minutes ... Osons!
son parfum est intense, Je reste un moment sans réagir. elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, ...

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Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'approchai inexorablement du point de non retour. Je sentais mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, me crispai, commencai à me retirer pour eviter l'eruption
- Non reste ! Bien au fond ! ... tu entends ?
- Tu vas jouir dans mon ventre ! Je le veux !
- Tu vas me donner le meilleur de toi !
je vis dans ses yeux qu'elle était, elle aussi, à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux et se mit à jouir devant moi en serrant les dents. Puis elle s'agrippa a moi et me fusilla du regard en me suppliant, Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, nos corps frémirent. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétrissai les seins, à travers la robe. Elle râlait de plus en plus. fougueusement. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. le plaisir l'emporta, d'une rare violence contenue,
- Maintenant ! ... Je veux que tu viennes !


(E)
Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'approc ...

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Scene incroyable, là, sous sa robe, j'étais en train de la baiser, mon sexe était bel et bien en train de glisser doucement au fond de son ventre, aussitôt soumis a de puissantes caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Je me sentais littéralement gobé, aspiré en elle, je la pénétrai jusqu'à la garde. Mon torse recevait ses seins lourds. Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. J'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Je la penetrai naturellement, sans effort, me glissant doucement dans sa moite intimité, ses jambes enlaçant mes hanches. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. Son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me sussurer des mots tres chauds. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. Elle me fixa et me murmura dans l'oreille,
- Fais-le moi bien dur, bien gros, bien long ! ... Et bien profond !
Je l'entendais gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient,
Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'approchai inexorablement du point de non retour. Je sentais mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, me crispai, commencai à me retirer pour eviter l'eruption
- Non reste ! Bien au fond ! ... tu entends ?
- Tu vas jouir dans mon ventre ! Je le veux !
- Tu vas me donner le meilleur de toi !
je vis dans ses yeux qu'elle était, elle aussi, à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux et se mit à jouir devant moi en serrant les dents. Puis elle s'agrippa a moi et me fusilla du regard en me suppliant, Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, nos corps frémirent. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétrissai les seins, à travers la robe. Elle râlait de plus en plus. fougueusement. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. le plaisir l'emporta, d'une rare violence contenue,
- Maintenant ! ... Je veux que tu viennes !

- Regarde moi ! ... Je veux que tu jouisses en moi ! maintenant ! tu m'entends?
Je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux, elle resserra son vagin, et elle se mit à jouir devant moi en serrant les dents. Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre.
- bien au fond de moi ! Remplis moi ! Decharge toute ta sève !
Je ne pus me retenir longtemps, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me bloquai au fond de son ventre et j'explosai en elle, deversant mon foutre en une serie de giclées abondantes.
- A la bonne heure ! Continue !
Cet orgasme aussi violent qu'inattendu nous avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Je continuai à decharger copieusement, en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud.
- Encore !
Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait Notre jouissance fut longue, sauvage et partagée. Emboîté en elle, nous venions de faire l'amour comme des bêtes. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles


(E)
Scene incroyable, là, sous sa robe, j'étais en train de la baiser, mon sexe était bel et bien en train de glisser doucement au fond de son ventre, aussitôt soumis a de puissantes caresses intimes sous formes de co ...

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Lorsqu'elle a ouvert la porte, elle tres vite compris que j'étais en manque, que j'avais besoin de la douceur d'une femme. J'avais dix-huit ans, plein de santé.
- Tu es bien jeune ! ... me precisa-t'elle
J'étais plutôt beau garçon. Je ne lui ai pas parlé d'amour. Je lui ai simplement dit :
- J'ai envie ...
Elle me fixa d'un regard interrogatif
- Regarde moi ! ...tu as vraiment besoin de douceurs ? ou tu as besoin de te soulager ?
J'avais besoin de sentir le corps d'une femme, lui avouai-je de la tête d'une maniere un peu timide. Alors sans attendre plus longtemps, elle m'emmena dans sa belle chambre au premier etage de l'hotel.
Elle m'aida à me deshabiller. J'étais fasciné par ses seins se balançant doucement devant mes yeux. Elle me laissa les prendre en main et apprecier leur souplesse. Je lui demandai de garder sa combinaison de soie car j'avais envie de la sentir pendant nos accords charnels.
Puis, elle m'a invité a venir avec elle dans son lit. Je me suis étendu sur son corps et sans perdre de temps, je la penetrai, d'un coup, puis je me laissai alors emporter par ma fougue de jeune lion. Agitant vivement mes hanches, je fis coulisser profondément mon membre gonflé dans les moiteurs de son ventre chaud, éprouvant un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue.
- Tu aimes ? ... Ca te fait du bien n'est-ce pas ?
il a alors entamé un ample mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Et je goutais les doux frottements de son sexe dans le mien
- Tu sens comme tu glisses bien dans mon ventre ?
- Reprends tes mouvements, plus profonds, plus amples
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je ne tardai pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Je serrai mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
- Plus vite, mon chéri ! … bien au fond !…
Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un premier spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inondait d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon jeune adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'activa de plus belle, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, l'affolant encore plus. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, et passai mes jambes autour de ses hanches pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je sentai monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y ! ..
Je l'enserrai encore plus fortement entre mes cuisses pour l'empêcher de s'extraire de mon vagin affamé. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses l'électrisait. Et ce fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, il empoignait mes deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie. Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
- Oh oui ! ... Que c'est bon !
Le jet puissant de mon jeune amant inondait le point le plus profond de mon vagin. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer ce jeune corps devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit:
- Eh bien, mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis !
- Tu m'as rempli le ventre, J'en ai de partout…
- C'était bon ? Tu as aimé ? ...
- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder un moment le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement.
- J'aime tes caresses intimes ... Tu sens ? mes petites contractions amoureuses ?
Mon corps recommença à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrassait très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches venaient une nouvelle fois à sa rencontre et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte, puis sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence qui s'écoulait sur mes cuisses. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement.

Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.







Elle provoque, sensuelle. Ses seins sont mobiles, ronds, lourds, ensorcelants. Elle me regarde droit dans les yeux. Je la regarde. Je bande. Il faut faire vite. Elle me devine, elle a compris, mon cœur bat. Elle se rapproche discrètement. Le dialogue est bref.
- C’est un petit hotel. Nous sommes tranquilles mon chou
Elle fouille dans son sac, plonge sa main dans mon pantalon, sort l'engin, m'enfile le préservatif, branle le mou. Je la regarde, je bande. elle roule sa robe jusque sous ses bras. Son corps est beau. Une couleur légèrement ambrée. Des seins relevés, j'y porte les mains. Je voyage dans mon rêve à deux cents francs. Elle reprend le branle. Elle commence à me sucer. Elle s’agite autour de ma queue. Je me raidis, je me tends, je me libere. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tends mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle me tend un kleenex. Je retire le préservatif. Je regarde son corps une dernière fois. Elle remet sa robe, range ses affaires. J'ai rangé mon sexe.
- Tu es prêt ? lui dit-elle, on sort ?…
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m

mon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. Un peu timide, je l'ai fait rentrer et je l'ai tout de suite introduis dans le vif du sujet. Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se plaqua vers moi, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant son visage, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir monta. Son sexe devint enorme. Il me regarda avec une imploration muette. Je lui souris. il me caressa les cheveux, puis sa main se referma sur ma nuque j'avançais mon visage vers son sexe, et j'obtempèrais à son caprice d'enfant gâté. Je l'accueillis dans ma bouche. Il était heureux. Ma fellation fut d'une grande douceur. Je le sucais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour de sa tige de chair. Chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre se tordait de désir et que grandissat le sentiment de vide, entre mes cuisses serrées. J'avais maintenant envie de le prendre enfin en moi



Je l'ai allongé sur mon lit, et je l'ai caressé sur le tors puis plus bas, j'ai testé son état d'excitation, Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se retourna vers moi, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant son visage, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir monta. J'étais ravie de le voir ainsi abandonné, lui si conquérant quelques secondes auparavant.
- Je vais te faire une petite gaterie, tu vas sentir, c'est très agreable !
Son sexe devenait enorme. Il me regarda avec une imploration muette. Je lui souris. il me caressa les cheveux, puis je descendai doucement mon visage vers son sexe, et je l'accueillis dans ma bouche. Il était heureux. Ma fellation fut d'une grande douceur. Je le sucais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour de sa tige de chair. Chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre frissonait de désir et que grandissat le sentiment de vide, entre mes cuisses serrées. Je me suis alors écarté, et l'ai regardé dans les yeux. Ses yeux, je le voyais bien, semblaient en reclamer davantage
- Tu as envie de faire l'amour ?
Il acquiesça avec un sourire d'envie ...
- Viens ! ... lui dis-je en lui prenant sa main et en l'emmenant vers mon lit
J'avais maintenant envie, moi aussi, de le prendre en moi. Nous avions, lui comme moi, besoin l'un de l'autre. Je me suis alors allongée en soulevant les draps pour qu'il puisse me rejoindre, et je me suis offerte à lui.
- Rentre doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...



- Viens ! Approche toi !
- Aies confiance ! N'aies pas peur de moi !
- Tu as envie de faire l'amour ? ...
- ou simplement ... te soulager ?
- Tu viens ?
- Caresse de tes doigts ma douce lingerie de soie
- A tes mains mes courbes sont offertes
- à toi, la douceur de ma peau sous ta caresse experte
- Pose tes mains sur mes seins
- Palpe-les et interpelle leurs rondeurs rebelles
- Sens ! Ils réagissent et pointent à ton tactile appel.
- Sois enrobant, modèle, pétris ces pommes rondes,
- Tu fais naître chez moi un élan qui pointe vers tes yeux.
- Regarde les, palpitants, arrogants, Ils se dressent vers toi,
- Ils brandissant leur émoi, ils bandent de désir
- Ils réclament tes lèvres, tes mains,
- A ta bouche je t'offre ma peau douce ... avant les secousses
- sache mordre mes rondeurs ... avant les chaleurs
- hume le désir qui monte entre mes cuisses gourmandes
- écoute bruire le plaisir qui s'annonce entre nous
- Ton sexe vient à grandir aux portes que tu viens d'ouvrir...
- A ton désir mon corps t'est offert
- Croque le, maintenant !

- Viens contre moi, que je sente ta peau contre la mienne
- Donne moi tes lèvres. Enflamme ma bouche
- Effeuille moi doucement. Fais éclore mon buste, degage mes appats.
- Tes yeux brillent, je le vois, devant mon corps nu.
- Avec tes doigts, souligne mes rondeurs. Effleure mon sein, qu'il gonfle sous tes doigts,
- Noie moi de caresses, de tes joues, de tes lèvres.
- Caressons nous ces sublimes instants,
- Je m'abandonne à toi, toute en ébullition.
- Mon corps tout entier est prêt à se donner peu à peu, telle un offrande.
- Telle une fleur au printemps. Je m'ouvre, tendre et humide, je m'offre à toi, ne le vois-tu pas ?
- Viens et glisse-toi doucement en moi
- J'ouvre mes ailes pour toi ! Viens en moi, je t'en prie.
- Tu es là, Je te sens, sillonne-moi de ton membre,
- prend le temps, arrete-toi et sens mes tendres caresses intimes.
- Investis bien mon ventre chaud !
- Tu vois ? Le désir monte en moi femme révélée
- Non...Pas encore... Pas trop vite ! Prend le temps ...
- Profite de mon corps, je profite du tien !
- Reprend ta course tendre au plus profond de moi,
- Sens mes douces contractions
- je veux te sentir encore, durcir et grandir dans ma chair, C'est si bon !
- Tu es doux ! Je te sens vivre ! au plus profond de moi !
- Et maintenant ... Accélère ! ... Plus vite ! ... Mon corps a faim de toi !
- Je suis prête ! Donne moi tout ! Réchauffe vite mon corps de ta semence chaude,
- Oh oui ! ... Comme c'est bon ! ... Continue ! Inonde moi de toi !
- Reste bien au fond de moi. Restons l'un dans l'autre,
- Restons enlaces, nos sexes emboités, délicieusement, toi mon bel amant !
- Ne t'inquiète pas de mes larmes. Je pleure de joie.
- Garde moi dans tes bras encore quelques instants,
- Ne bouge pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
- Dans quelques minutes, nous reprendrons la route et tu me ramèneras chez moi, heureuse.
(E)
Lorsqu'elle a ouvert la porte, elle tres vite compris que j'étais en manque, que j'avais besoin de la douceur d'une femme. J'avais dix-huit ans, plein de santé.
- Tu es bien jeune ! ... me precisa-t'elle
J'étai ...

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Il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude.
Lorsque je me suis retiré lentement, sortant mon long membre gluant de son fourreau trempé, je la laissai épuisée, ouverte, indecente presque, sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles. sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de mon sperme. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, sur les jambes. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Elle était tout aussi épuisée que moi. Elle caressa mes cheveux ... Sourires échangés.
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ...
Elle resta là devant moi, siderée, Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours,
- Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que vous m'en avez mis !
- Jerôme, je vous crois très doué ! Je n'en esperais pas tant !
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.
- Vous êtes bon pour le service ! Je vous garde
- Je vous attends mercredi pour faire le point, d'accord ?

Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir chez elle sans plus tarder.
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais
fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit

Puis elle se reprit et me fusilla du regard,
- Je veux que tu jouisses dans mon ventre !
- Tu m'entends ? Tu vas me donner toute ta sève chaude ... bien au fond de moi !
Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, nos corps frémirent. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétrissai les seins, à travers la robe. Elle râlait de plus en plus. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement.
- Maintenant ! Viens vite ! Décharge ! Donne moi ta crème ! bien au fond !
Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. le plaisir l'emporta, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais.
Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles
Emboîté en elle, nous fîmes l'amour comme des bêtes. Il fallait maintenant attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude.
Lorsque je me suis retiré lentement, sortant mon long membre gluant de son fourreau trempé, je la laissai devant moi, prostrée, ouverte, indecente presque, sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles, sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de nos secretions amoureuses. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil !
Elle était aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ...


Elle s'essuya discrètement et m'invita à venir chez elle sans plus tarder.
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais
fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit





(E)
Il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Je buvais son souffle ...

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sous la douche


- Tu viens ? ....
Je ne me fais pas prier. Je la rejoins dans la salle de bain. Elle m'attend, telle une ondine, seule, troublante, et entièrement nue sous la douche.De beaux seins, ronds et souples qui flottent sou le jet, libres de tout maillot, Des courbes ondulantes dans les vapeurs chaudes, une peau lisse, délicatement bronzée. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies. Elle provoque mon émoi, je bande sans détour, elle sourit. Elle me nargue. Elle s'approche, prend mes lèvres et me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes. Je sens alors sa main frôler ma fierté de mâle qui a doublé de volume. Elle sourit et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte, me regarde fixement avec un léger sourire gourmand et plaque son ventre contre le mien. Elle palpe sans pudeur mes reliefs, durs comme du bois.
- C'est pour moi tout ça ?
Cette belle plante a des formes à faire bander tout un monastere. Je suis toujours contre elle dans la douche, elle me colle litteralement. Je bande maintenant comme un cheval, ça a l'air de lui plaire. et déjà elle me pétrit le sexe à pleines mains. Je me mets à petrir ses seins, fermes et opulents. Je n'ai dés lors qu'une hâte, celle de me planter dans son ventre. Elle est si mouillée que je sens sa toison trempée collée contre sa peau. Je prends sa genereuse poitrine. Je la palpe de plus belle en bandant comme un ours. Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre, ses seins me narguent, je bande douloureusement. Elle branle mon mat, et d'un coup, se l'enfile dans ses chairs. J'ai a peine le temps de realiser ce qui se passe,
- Ne dis rien ! Et profite ! Prends ton plaisir !
Je ne me fais pas prier. Je m'enfonce en elle, je me sens aspiré, avalé, suçé, absorbé. Je glisse dans son ventre chaud, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux. Elle soupire, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Avec dextérité elle coulisse sur moi, je m'enfonçe voluptueusement en elle allant et venant lentement la faisant glisser le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté absolue épouse parfaitement son vagin étroit. Elle me va comme un gant, mon sexe coulisse dans son ventre avec de delicieux bruits de succion. Elle finit par engloutir mon membre sauvagement , je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, Tout en se frottant à moi, elle accélére sans cesse le rythme, Elle grogne, elle va venir… Des spasmes secouent soudain son corps, je sens sa mouille à nouveau couler. Et elle jouit ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle me conduit au bord de l'explosion et s'arrête juste à temps
- Et maintenant ... Lache toi ! Viens !
Nous accélérons. Elle grogne de plus en plus, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je me lache. Rendu au point extrême où tous les sens explosent, en son trou, offert, je me répands enfin en une apothéose …Je libére ma sève et lui remplit le ventre, abondamment. Elle me sourit,
- J'ai encore faim !

En moins de deux minutes, ma bandaison est repartie ! Je m'exécute et me glisse de nouveau en elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre. Mon sexe se deploie dans son ventre, horizontal, dur, gonflé et brûlant. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre…
Puis elle se relève, prend ses affaires sort de la piscine au moment
- Tu me rejoins sous la douche ?


sous la douche (E)
- Tu viens ? ....
Je ne me fais pas prier. Je la rejoins dans la salle de bain. Elle m'attend, telle une ondine, seule, troublante, et entièrement nue sous la douche.De beaux seins, ronds et souples qui flottent sou le jet, libre ...

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tendres amies


Cette chair blanche et délicate, ces mouvements au rythme mélodieux, ces belles gorges pâmées évoquaient les plus beaux poèmes de la Grèce antique. Avec impudeur, et sans doute pour donner un spectacle plus complet, les tendres amies avaient rejetées loin d’elles les couvertures. Une petite lampe brûlait dans un coin de la pièce, jetant une lumière rose sur les corps mêlés. Les deux femmes haletaient, frénétiquement livrées l’une à l’autre. L'une glissa le long du corps de l'autre, la tête blonde promena sur les jeunes cuisses la caresse de ses boucles soyeuses, puis elle se fixa, comme happée au creux des cuisses, par le triangle sombre des voluptés. Sous le baiser précis, la jeune femme se raidit, et des gemissements de plaisir s’échappèrent en houles de sa gorge. Elle noua ses longues jambes fines autour du corps de son amie, et fondit bientôt dans le plaisir suprême, les seins agités de longs tressaillements.
tendres amies (E)
Cette chair blanche et délicate, ces mouvements au rythme mélodieux, ces belles gorges pâmées évoquaient les plus beaux poèmes de la Grèce antique. Avec impudeur, et sans doute pour donner un ...

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- C'est osé ce que nous faisons ! ... tu ne crois pas ? ...
- tu crois aussi ? .... alors, soyons fous !
- Je suis toute ouverte. Tu sens ? .... Rentre vite ! ...
- et voilà, ça y est ! .... tu es chez moi ! ... tu es bien ? ....
Doucement, elle enveloppait mon sexe qui s'enfoncait en elle, et la remplissait, il s'y complaisaît comme dans une bain mielleux. Je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Elle me regardait avec des yeux troubles.
- Tu aimes ? .... tu sens ? .... mes petites contractions ?
- Je te sens bouger dans mon ventre ! ... C'est delicieux !
Elle suçait ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle glissait sur mon mat en se faisant plaisir, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait, se tendait. Avec application elle me sucait, m’aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle se donnait du plaisir, j'en gémissai de bonheur. Elle me fixa avec des yeux humides
- J'aime te sentir glisser profondement en moi !
- Je te sens bien dur ... et bien long ! ... J'aime !
Elle souriait. Ses yeux étaient magnifiques. Elle s'empalait doucement, interminablement, en surveillant mes réactions. Un étui chaud et humide entourait petit à petit ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Elle ralentit sa descente, me regardait jouir, la reprenait. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens.
- Tu me remues les entrailles ! Je fond !
Je la penetrai profondemment, en de lents mouvements. Elle se mordit les lèvres. Elle ondulait de tout son corps. Je coulissai en elle, elle pouvait sentir mes reliefs noueux qui glissaient dans son ventre. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçait, se remplissait de moi. Elle m’aspirait, m’absorbait, me relâchait.
Je la sentais toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorba toute la longueur de mon membre, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions agitaient son vagin telle une main serrant mon sexe dans son ventre. La sensation était délicieuse, affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se pencha vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon mat qui la pénètrait profondément. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. Elle se redressa, nouvelle sensation. Elle se soulèva un peu plus et se baissa à nouveau, je sentis ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommencea ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaissa rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je vis qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayai d'en faire autant.
Elle s'empalait sur moi, je me perdais en elle. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait litteralement sur mon sexe. Elle m'affolait. Je commençai à me retirer d'elle craignant une explosion imminente. Elle me fusilla des yeux
- Non ! Ne te retire pas ! ... Ne t'inquietes pas. J'ai pris mes precautions !
- tu vas jouir en moi ! ... Bien au fond de moi !
Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Elle voulat jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Elle se mit à jouir. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait, me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de plaisir.
- Viens ! ... Viens vite ! Inonde moi ! Remplis-moi de toi ! Donne moi ta sève ! toute ta sève !
Elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... et je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.








(E)
- C'est osé ce que nous faisons ! ... tu ne crois pas ? ...
- tu crois aussi ? .... alors, soyons fous !
- Je suis toute ouverte. Tu sens ? .... Rentre vite ! ...
- et voilà, ça y est ! .... tu es chez m ...

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- Regarde moi ! ... Je veux que tu jouisses en moi ! maintenant ! tu m'entends?
Je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux, elle resserra son vagin, et elle se mit à jouir devant moi en serrant les dents. Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre.
- bien au fond de moi ! Remplis moi ! Decharge toute ta sève !
Je ne pus me retenir longtemps, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me bloquai au fond de son ventre et j'explosai en elle, deversant mon foutre en une serie de giclées abondantes.
- A la bonne heure ! Continue !
Cet orgasme aussi violent qu'inattendu nous avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Je continuai à decharger copieusement, en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud.
- Encore !
Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait Notre jouissance fut longue, sauvage et partagée. Emboîté en elle, nous venions de faire l'amour comme des bêtes. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles

Il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude.
Lorsque je me suis retiré lentement, sortant mon long membre gluant de son fourreau trempé, je la laissai épuisée, ouverte, indecente presque, sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles. sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de mon sperme. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, sur les jambes. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Elle était tout aussi épuisée que moi. Elle caressa mes cheveux ... Sourires échangés.
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ...
Elle resta là devant moi, siderée, Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours,
- Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que vous m'en avez mis !
- Jerôme, je vous crois très doué ! Je n'en esperais pas tant !
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.
- Vous êtes bon pour le service ! Je vous garde
- Je vous attends mercredi pour faire le point, d'accord ?

Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir chez elle sans plus tarder.
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais
fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit
(E)
- Regarde moi ! ... Je veux que tu jouisses en moi ! maintenant ! tu m'entends?
Je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle ...

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Elle se positionne sur moi, écrasant ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me fixe, intensément, ses yeux sont legerement humides. Elle aspire mon sexe qui s'enfonce, et la remplit. Elle s'empale sur moi, je me perds en elle. Elle m'enveloppe, comme si tout son corps m'enserrait, comme un doigt qui s'enfonce dans le beurre tendre ! Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement intense irisé de plaisir, un glissement onctueux, une penetration lente. Elle se frotte, s'empale, se soulève, redescend, ondule. Mon sexe glisse, grossit, s'allonge dans ses chairs et la remplit son vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompe, me lisse, aspire ma verge gorgée de sang, l'engloutit et la brûle. Elle se fait plaisir en glissant allègrement sur moi tout en surveillant mes réactions. Ces pénétrations affolent nos sens. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation est affolante. Ses beaux seins ballottent au contact de mon corps. Elle savoure ses propres sensations et les miennes, je voyage en elle, je m'enfonce en elle, profondément, goutant ses succions intimes. J'ai le corps en feu. Elle aussi ! Elle offre sa vulve à mon dard, Elle m'affole. Scene incroyable, là, sous ses dessous de soie que j'ai relevée sur ses hanches, mon sexe est bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de puissantes caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Nos tempes claquent, la chaleur monte en nous comme une sève brûlante. Elle râle de plus en plus. Elle me lèche les lèvres, le cou, puis m'embrasse fievreusement. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés. Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle s'abandonne, cède à la volupté, ne cherche plus à se contrôler. Elle s'offre à mon corps, à nos sens ! Je me retiens. Elle resserre ses jambes, ce qui ne fait que m'exciter davantage. Je sens mon sexe littéralement gobé, aspiré en elle, je la pénétre jusqu'à la garde. Je vois dans ses yeux qu'elle est à deux doigts de jouir, ma verge dure comme du bois s'enfonce cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixe un moment de maniere crispée, se met à trembler avec un regard vitreux, puis elle jouit devant moi en serrant les dents. Elle se reprend et me fusille du regard,
- Viens vite !
Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme. Je me sens aspiré, je ne peux me retenir longtemps, Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe, je me libère en elle, sans retenue, je gicle par spasmes riches et généreux, elle suce et aspire ma queue qui se vide. J'explose au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui coupe les jambes, elle est pantelante contre moi. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle digere mon gland qui trempe dans mon sperme. elle cherche à extraire toute ma semence qui libérera mes tensions, ses mains griffent mes cuisses, un voile bleu passe dans mes yeux, j'entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restons un moment inertes, tetanisés
Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.
- Oh ! Que c'était bon ! me souffle-t'elle dans les oreilles
- Tu es si tendre, si genereux et desirable ! ...Je suis remplie de toi ! .
- Ne t'inquiètes pas de mes larmes. Je pleure de joie.
- Je te conserve dans ma chair ! Reste bien au fond de moi.
- Restons l'un dans l'autre, enlaces, nos sexes emboités, délicieusement,
- Tu es devenu ce soir mon bel et merveilleux amant !
(E)
Elle se positionne sur moi, écrasant ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me fixe, intensément, ses yeux sont legerement humides. Elle aspire mon sexe qui s'enfonce, et la remplit. Elle s'empale sur m ...

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- Eh bien, rentrez ! Ne soyez pas timide ! ...
À lire le désir qui décrispait les traits fins de la patronne lorsqu'elle me fit entrer dans son bureau, je réalisais combien cette femme était attirante, tout en restant exigeante et apparement dirigiste. Alors qu'elle allait fermer la porte derriere nous, je m'interrogeais, un peu perplexe sur ce qu'elle pourrait bien exiger de moi. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, son parfum de femme, entêtant, son regard planté dans mes yeux, puis sur mes lèvres. Son souffle me troublait. Son corps tout entier semblait a l'affut. Ma respiration s'est alors précipitée. Elle s'est approchée un peu plus, ses yeux toujours fixés sur mes lèvres, sur ma bouche ...
- Je m’appelle Viviane. Et vous ?
- Jérôme ? c'est un joli nom ! Il vous va bien ! ... Jerôme, j'ai besoin de me faire une idée sur vos dispositions, j'ai besoin d'un engagement total, vous comprenez ? ....
Ses yeux projettaient plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Eclat impudique de sensualité, et ce magnetisme soudain de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle me provoquait. Elle retourna vers la porte, pour lui donner un tour de clef. J'entendais au même moment, derriere la porte, la voix de l'autre secretaire repondant au telephone que le directrice était en entretien et donc non disponible. Nos regards se sont figés l'un dans l'autre. Elle s'installa face a moi, assise sur son bureau: elle me fixa avec fermeté. D’une main sèche, elle jeta alors au sol les dossiers qui encombraient a surface du bureau. Puis elle me fixa droit dans les yeux, puis sur mes lèvres, et soudain, elle se colla à ma bouche comme une ventouse. Elle resta ains une dizaine de secondes me laissant sans voix, avant de faire un premier bilan:
- Jerôme, tes lèvres sont chaudes ! ... J'aime ! me declara-t'elle avant de reprendre le meme travail
Un moment surpris je tachai de me ressaisir. Puis, emporté par l'événement, après tout, pourquoi pas me dis-je, j'en profitais donc de bonne grace. Nos langues se confondirent longuement, s'attrapant et s'enroulant l'une l'autre dans un maelström tout à fait inattendu. Vraiment, elle ne doutait de rien.
- Et bien Jerome, je vois que tu es plein de ressources ! ... je te tutoie, tu n'y vois pas d'inconvénients ?
Puis, comme si rien ne venait de se passer, elle m'attira vers elle avec autorité, prit ma main et l'amena entre ses cuissses chaudes. Puis, elle releva sa jupe à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, elle me désigna de l’index une cible sans détour:
- Maintenant, Viens ! Je t'attends ! ... Ne sois pas timide
Je restais sans voix. Devais-je céder à tous ses caprices ? Je la sentais chaude et mouillée d'excitation. Puis elle s'affaira sur moi, défit nerveusement ma ceinture, elle m'agrippa par les hanches, me guida, se cambra et d’un coup de rein, elle m'aspira en elle, absorbant mon sexe jusqu’aux bourses. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud. Scene incroyable, là, sous sa robe, j'étais en train de baiser ma patronne, mon sexe était bel et bien en train de glisser profondement au fond de son ventre, aussitôt soumis a de puissantes caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Je me sentais littéralement gobé, aspiré en elle, je la pénétrai jusqu'à la garde. Mon torse recevait ses seins lourds. Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. J'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Je la penetrai naturellement, sans effort, me glissant doucement dans sa moite intimité, ses jambes enlaçant mes hanches. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. Son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me sussurer des mots tres chauds. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. Je l'entendais gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient,
Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'approchai inexorablement du point de non retour. Je sentais mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, me crispai, commencai à me retirer pour eviter l'eruption
- Non reste ! Bien au fond ! Tu vas jouir en moi ! Nous allons jouir ensemble ! Tu vas me donner le meilleur de toi !
Je l'entendais gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur mon sexe. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient, je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux et elle jouit devant moi en serrant les dents. Puis elle se reprit et me fusilla du regard. Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, nos corps frémirent. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétrissai les seins, à travers la robe. Elle râlait de plus en plus. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. le plaisir l'emporta, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles
Emboîté en elle, nous fîmes l'amour comme des bêtes. Il fallait maintenant attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude.
Lorsque je me suis retiré lentement, sortant mon long membre gluant de son fourreau trempé, je la laissai devant moi, prostrée, ouverte, indecente presque, sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles, sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de nos secretions amoureuses. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil !
Elle était aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
Elle s'essuya discrètement et m'invita à venir chez elle sans plus tarder. Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit
(E)
- Eh bien, rentrez ! Ne soyez pas timide ! ...
À lire le désir qui décrispait les traits fins de la patronne lorsqu'elle me fit entrer dans son bureau, je réalisais combien cette femme était attirante ...

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chaude soirée 3


- Rentre vite ! ... Mets la moi bien profonde !
- Que je te sente bien glisser en moi !
- Je te veux bien gros, bien dur ... et bien long !
Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais. Je me sentais grossir de plus en plus en elle. Elle se donnait peu à peu, et gémissait pendant que je la conduisais au plaisir, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait ...
- Plus vite ! ... Bien au fond ! ...
Je m'enfoncai à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémirent. Elle glissa ses mains sous ma chemise et caressa mon dos, mon torse. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur montait en moi comme une sève brûlante. Je me sentis basculer. Elle râlait de plus en plus. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement.
- Maintenant ! Viens vite ! Décharge !
Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, Cela dura ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Il fallait passer desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le désarrimage pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Elle s'affaissa sur moi, tout aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ...
Elle s'essuya discrètement remis de l'ordre dans ses vetement, reajusta son soutien-gorge, me fis un baiser tendre.
- ma chambre ... numero 123 ! ... A tout de suite !

Elle m'invita à venir chez elle sans plus tarder. Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafai fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit
chaude soirée 3 (E)
- Rentre vite ! ... Mets la moi bien profonde !
- Que je te sente bien glisser en moi !
- Je te veux bien gros, bien dur ... et bien long !
Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais. Je me sentais gross ...

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sous la douche


Troublante, entièrement nue contre moi dans la douche, cheveux bruns fluides sous le jet bienfaisant, des beaux seins, ronds et souples qui bougent, une peau lisse, délicatement bronzée. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies, je bande sans détour, elle le voit, elle me nargue et subitement, me prend les lèvres et me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes. Je sens alors sa main frôler mon engin qui a doublé de volume.
- excuse moi ... je bande !
- ne t'excuses pas .... j'aime ! ...
Elle sourit et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande, à la limite de l'indécence. Elle apprecie, avec un léger sourire gourmand et plaque son ventre contre le mien, elle me colle litteralement. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies qui me provoquent. Je bande maintenant comme un cheval, ça a l'air de lui plaire. et déjà elle me pétrit le sexe à pleines mains. Je me mets à petrir ses seins, fermes et opulents. Je n'ai dés lors qu'une hâte, celle de me planter dans son ventre. Elle est si mouillée que je sens sa toison trempée collée contre sa peau. Je prends sa merveilleuse poitrine. Je la palpe de plus belle en bandant comme un ours. Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre, ses seins me narguent, je bande douloureusement.
- Tu me le mets ? ... me lance-t'elle tout en s'emparant de mon mat ...
J'ai a peine le temps de realiser ce qui se passe que, d'un coup, elle se l'enfile dans ses chairs.
- et bien voilà ! ... tu y es ! ....
- Ne dis rien ! Et profite ! Prends ton plaisir !
Je ne me fais pas prier. Je m'enfonce en elle, je me sens aspiré, avalé, suçé, absorbé. Je glisse dans son ventre chaud, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux. Elle soupire, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Avec dextérité elle coulisse sur moi, je m'enfonçe voluptueusement en elle allant et venant lentement la faisant glisser le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté absolue épouse parfaitement son vagin étroit. Elle me va comme un gant, mon sexe coulisse dans son ventre avec de delicieux bruits de succion. Elle finit par engloutir mon membre sauvagement , je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, Tout en se frottant à moi, elle accélére sans cesse le rythme, Elle grogne, elle va venir… Des spasmes secouent soudain son corps, je sens sa mouille à nouveau couler. Et elle jouit ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle me conduit au bord de l'explosion et s'arrête juste à temps
- Et maintenant ... Lache toi ! Viens !
Nous accélérons. Elle grogne de plus en plus, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je me lache. Rendu au point extrême où tous les sens explosent, en son trou, offert, je me répands enfin en une apothéose …Je libére ma sève et lui remplit le ventre, abondamment. Elle me sourit,
- J'ai encore faim !
En moins de deux minutes, ma bandaison est repartie ! Je m'exécute et me glisse de nouveau en elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre. Mon sexe se deploie dans son ventre, horizontal, dur, gonflé et brûlant. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle me depose un baiser sur les levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre… puis elle se retire et sort de la douche
- Tu me rejoins dans ma chambre ?
sous la douche (E)
Troublante, entièrement nue contre moi dans la douche, cheveux bruns fluides sous le jet bienfaisant, des beaux seins, ronds et souples qui bougent, une peau lisse, délicatement bronzée. Elle est belle, elle est chaude, ...

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Je ne savais vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien, toujours est-il que je me sentais glisser avec délice dans ses chairs intimes, comme aspiré en elle. Elle m'accueillait chez elle avec gourmandise, naturellement, avec douceur. Je la pénétrai ... lentement, profondément. Desormais, nus sous les draps, corps à corps, glissant nos peaux l'une contre l'autre, Je voyageai dans son corps doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. Elle s'abandonna à mes attouchements. nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Elle fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois. Je glissai dans un étui chaud et humide. Tel un poulpe, son ventre me suçait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. J'étais ivre, je tremblai. Je brûlai. La sensation était profonde, sensuelle, humide. Elle me donna ses levres en regardant les miennes tout en m'aspirant dans ses chairs. La langueur de ce contact chaud et vivant autour de la partie la plus intime de mon corps me perdit dans une béatitude mystique.

Puis nos mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittais plus le sien, j'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra.
- On continue ? .... lui demandai-je pour êtree sur de ce que nous faisions
- on continue ! me rassura-t'elle
Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de mon sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue. Elle se mit à gémir doucement, puis, honorant mon érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle enfonça presque inconsciemment ses ongles dans mes fesses, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Au bord de ses yeux noirs, deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisai avec passion, envahissant sa fente des amours interdites. Elle comprit vite les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle se prêta totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses pointes frissonnantes, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.
- Je ne voudrai pas ..... Tu veux que je me retire ? ....
- Non reste ! ... donne moi tout ! bien au fond ! ... j'ai pris mes precautions avant ! ...`
Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Elle se cabra, m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Elle me tira vers elle.
- s'il te plait .... maintenant ! .... viens ! .... lache toi! .... jouis avec moi ! ....
N'y tenant plus, je me bloquai au fond de ses entrailles. Je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête. Elle se mordilla les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Puis je m'affaissai sur son corps. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, puis toute ma tête nichée au creux de son épaule.
Une fois les spasmes apaisés, je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Nos cuisses étaient imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières.
- C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois pas ?
Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Cette minute où nous nous désenlaçâmes valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux.

(E)
Je ne savais vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien, toujours est-il que je me sentais glisser avec délice dans ses chairs intimes, comme aspiré en elle. Elle m'accueillait chez el ...

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- Prends moi ! Là ! Tout de suite ! Maintenant !
- Baise-moi, comme un loup, comme un chien en rut, oui, là, bien profond !
- Je veux sentir tes allers retours en moi !
- Je veux te sentir coulisser dans mon corps
- Sauvagement, profondement ... pour que les murs s’en souviennent.
Elle me conduisit vers mon objectif désigné et je la pénètrai d'un coup, puissement, elle hoqueta, un instant surprise.
- Tu m'impressiones ! ... Nous sommes bien partis tous les deux !
Puis elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant. Nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je glissai en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, elle était bien, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. son souffle était lent. Elle me caressait de ses muscles, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, legerement, puis plus profondément, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Ce qui n'était, vu de l'exterieur, que des mouvements de danse lascive, s'averait pour nous de la pure jouissance. Je lui agrippai les hanches pour la garder sous mon contrôle. Je m'arretai un moment en me souciant de son bien être, elle me demanda de la prendre avec plus d'audace
- Je te veux bien gros, bien dur, bien long ... et bien profond ! ... Oui, comme ça ! Tu es un maître !
Puis mes mouvements se firent plus amples, je plongeai en elle et gonflai en meme temps. Ma verge occupait maintenant son espace tout entier. Elle me faisait découvrir les douces contractions de sa vulve tendre et tiède, je me sentai aspiré, absorbé par son corps. La douce excitation devient un désir plus ardent,
- Continue ! Je te sens bien !
Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittais plus le sien, j'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, digerait ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe trempé sur ma verge, elle me pressait, je ressortai, poussai encore plus profondément. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. je sentis à un moment mon plaisir s'annoncer, mon envie de me lâcher. Son regard dans le vague semblait en réclamer davantage
- Pas encore ... Je veux que nous jouissions ensemble !
Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de mon sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit-elle
Elle inclina son bassin pour que j'aille plus au fond. je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait de plus en plus. Elle se cabra, je poursuivai ma chevauchée. Elle jouissait encore et je continuai. Je m'activai dans sa chair, fou d’un désir ardent, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou,
- Maintenant ... Viens vite ! ... Donne moi tout ! Bien au fond !
J'étais déjà sur le point de non retour, je me suis bloqué d'un coup au fond de ses entrailles, j'ai senti mon sexe se raidir, se contracter. Elle s'agrippa à mes fesses et me tira vers elle. Je poussai un cri rauque et long ... et mon premier jet vint gicler au fond d'elle, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Elle se contracta autour de ma verge prises de spasmes et de secousses. Je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordilla les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je continuais à décharger en elle en salves successives. Je ressortai, entrai de nouveau, m’arrêtait. Elle manifesta son admiration
- Quel Homme ! ... Et quelle offrande ! ... Je suis comblée ! au propre comme au figuré !
Puis je m'affaissai sur son corps avec des grondements d'ours blessé. Je lui envoyai une dernière giclée, me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Je restai là contre elle, ma queue toujours bloquée en elle. Elle était inondée d'une douce chaleur et en gémissait de bonheur. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Je sentis ma verge se rétrécir, libérant en abondance nos sécrétions amoureuses.
Lorsqu'il fallut passer ensuite à la partie la plus delicate, le désarrimage, pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallut attendre que mon mat se degonfle. Je le sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes dans un bruit de succion un peu indécent, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! Aucune reaction autour de nous. Nous nous sommes rapidement eclipsés pour finir la soirée dans le lit

Une fois arrivés dans sa chambre, je déboutonnai febrilement sa robe, je dégrafais avec avidité son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activerent sur ses seins, je l'embrassai, la lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Les gémissements de ma déesse augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais d'un coup en elle. Nous fîmes l'amour comme des bêtes, toute la nuit
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Elle conservait dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières.
(E)
- Prends moi ! Là ! Tout de suite ! Maintenant !
- Baise-moi, comme un loup, comme un chien en rut, oui, là, bien profond !
- Je veux sentir tes allers retours en moi !
- Je veux te sentir coulisser dans mon corps ...

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- Vous me sentez bien ?
- Oh oui, je vous sens bien !
Elle esquissa une grimace, puis inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. Elle écarta doucement les jambes, je la pénétrais doucement, progressivement, profondement.Comme une humide et molle profondeur, douce et tendre, où je me glissai et me perdai, un abîme intime, clos et lisse, où mon désir s'enfonca jusqu'au coeur..Je n’avais jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Angela soupirait les yeux fermés. Ses chairs s'ouvrirent et son corps peu à peu s'est offert à moi, telle une fleur. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrais doucement, tendrement son souffle etait lent, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas
- Je suis bien, et toi ?
- Oh oui, je te sens bien ! J'aime !
J'atteignai bientot le fond, je restai un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres. Je glissai delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai de nouveau au fond de son ventre,
- Je te sens toute ouverte et bien profonde ! Et c'est si bon !
- Ta vigueur me fait du bien !
Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Enfoncé au fond d'elle, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant.
- Tu es prête à aller jusqu'au bout avec moi ?
- Je suis toute ouverte pour toi !
Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais pas son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisais partie d'elle, je l’habitais. Tout s'estompait, je ressussitais, je savourais cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait, Elle me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissais dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient.
Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de mon corps...
- Oh viens vite !
Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser.
- Tu veux que je me retire ?
- Oh non, reste ! bien au fond, je suis prête ! Remplis-moi !
Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir,
- Attention ! Je viens !
- Oh oui ! Vite !
Je n’en pouvais plus... jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit !
- Oh que c'est bon, tu es si douce !
un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce.
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.
(E)
- Vous me sentez bien ?
- Oh oui, je vous sens bien !
Elle esquissa une grimace, puis inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. Elle écarta doucement les jambes, je la pénétrais doucement, progressi ...

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Allongée sur mon ventre, les deux poitrines s'étalant sur les miennes, elle contemple son oeuvre, satisfaite. Je suis vaincu. Ses seins mobiles me narguent, son visage penché sur le mien, ses grands yeux qui me laissent anéanti, son corps est contre le mien, sa chaleur irradie. En appui sur ses bras, elle leve son bassin, se positionne sur mon corps, puis, tout en me fixant dans les yeux, elle s'empale sur moi, petit à petit. Chaude humidité. Sensation divine Lentement ses hanches remuent, sa vulve absorbe mon gland. C’est un ciel sans fin dans lequel je me noie. Mes mains sur ses reins suivent son mouvement. Elle bouge lentement, se délectant de la caresse qu’elle se procure. Sa bouche s’est ouverte, je respire son haleine parfumée. Elle se recule... se redresse, me prend de nouveau à l’orée de son ouverture. Les yeux fermés, attentive, lentement elle se plante, m’enfonce en son sein. Je la pénètre ou elle me prend. Elle est suave, onctueuse, moelleuse. Un paradis de douceur me cerne, ferme, élastique, étroit. Elle s’ouvre et me dévore. sensation délicieuse, presque douloureuse. Je suis en elle, au plus profond d’elle. Je sens la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartiens à ses entrailles, je fais partie d’elle, je l’habite.Tout disparaît, je suis dans un autre univers, plus rien ne compte que cette douce sensation à l’extrémité de mon être, Elle bouge lentement, d’avant en arrière, d’arrière en avant,
Elle se frotte, masse ses parois intimes contre mon gland. Tête rejetée en arrière, elle se mord la lèvre sous l’effet des sensations qu’elle fait naître. elle se soulève, cambre les reins, me suce, me roule et me déroule, se laisse retomber.
Elle bouge, portée par une houle invisible, de plus en plus creuse, de plus en plus profonde. Au sommet de la vague, elle plonge avec avidité pour à nouveau s’emplir de moi. L’ascension est plus lente, elle reflue à regret pour mieux me sentir revenir. Elle module le rythme, s’arrête, repart, me quitte presque pour se combler à nouveau. Elle glisse sur le guide, légère, agile, elle ondule fluide, féline comme une panthère. Sous mes doigts tous ses muscles entrent en mouvement, marée vivante qui se contracte et se relâche, chair ferme et souple. Elle a fermé les yeux, ses narines palpitent, le rose qui lui vient aux joues témoigne du plaisir qui monte en elle. elle aussi se tend, se crispe sous l’effet du plaisir, Elle jouit de mon corps... de mon sexe. Elle va jouir de moi, sur moi et moi en elle. bonheur de la voir perdre pied. Elle remue, imperceptiblement, appliquée à prolonger sa jouissance. Elle ouvre les yeux, cherche les miens. Un sourire de bonheur éclaire son visage. Elle se redresse, tête en arrière, seins pointés vers le ciel, secoue sa crinière, cambrée, me possédant, inflexible en elle, elle me serre de sa bouche amoureuse, juteuse comme une mangue. Elle est à moi, je la garde...

- Paulina j’aime ton plaisir plus que le mien. J’aime ton corps qui vibre et qui se tend.
- J’aime le battement de tes cuisses contre les miennes. J’aime les soubresauts qui t’agitent, toi, si belle en ton plaisir.

Mes mains se posent sur ses seins, j’en effleure le contour, j'enveloppe de mes paumes leur galbe parfait. La caresse lui fait fermer les yeux, sa langue passe et repasse sur ses lèvres ouvertes. Ma verge ressent les contractions qui pulsent dans sa vulve. Son visage s’empourpre à nouveau.
- Je veux que tu jouisses de moi, je veux sentir ta jouissance envahir mon ventre...
- je veux que tu me remplisses de toi
C’est irrésistible, je me sens emporté, mon sexe est dur, raide, sur le point d’exploser. J’ai beau me retenir, resister au traitement qu’elle me fait subir, je ne peux plus me contenir. Je n’en peux plus... Je gemis, je lâche tout, je laisse jaillir avec soulagement un fleuve de volupté. Je l’inonde, et ce flot déclenche en elle de nouvelles vagues de plaisir. Elle clame éperdument sa jouissance, tendue dans une ultime contraction, puis elle s’abat sur moi, haletante ...

Je la serre contre moi, je l’étreins. Elle étend les jambes contre les miennes, roule sur le coté. J’ai son visage dans mon cou, son souffle chaud sur ma nuque. Mes mains plongent dans le creux de ses reins, glissent sur sa peau lisse et douce.Je saisis sa taille fine, souple, presque fragile, celle qui à l’instant était si ardente, se déchaînait sur moi. J’effleure la naissance de ses fesses, l’émouvant sillon qui part plonger entre ses cuisses, son dos plat, le creux de ses omoplates, comme deux ailes d’ange qui auraient oublié de pousser. Elle est blottie contre moi, la joue contre ma poitrine, inerte et tellement vivante.

Toujours en elle, apaisé, vidé, comblé au delà de toute espérance, je rêve d’éternité. Je voudrais qu’en cet instant le temps se décompose, que l’air cristallise en fines paillettes, qu’il nous fige ainsi pour toujours, satellisés dans les étoiles.la vie suit son cours, les oiseaux chantent, rivalisent de trilles stridentes,

- Paulina...
-Je te sens contre moi, chaude comme une caille, petit animal intrépide, douce et volontaire.
- Tu me donnes ta jeunesse, ton innocence, ta fraîcheur, tu me réssuscites...
- tes horizons sont vastes, tu es belle indépendante et souveraine...
- Je te quitte... Je glisse hors de toi... heureux

Sa grâce est élastique, son élégance naturelle, nos regards se croisent. flash. Nos yeux se ferment. Trouble. Elle s’appuie sur mon bras, me touche. Frisson. Sa chaleur, son parfum, son visage me grisent. Chaque pas anime sa poitrine. Elle est éblouissante. Une jupe légère qui la couvre à mi-cuisses, un pull leger moule des seins adorables qui pointent outrageusement. elle me saute au cou, me dispense un baiser qui me coupe le souffle. elle me prend la main, virevolte, et m’entraîne. Sa voix est douce, suave, souple comme une liane, et j’ai peine à la suivre. Nous marchons, montons ... nous sommes dans sa chambre Elle s’arrête enfin, me fait face, les bras le long du corps, les paumes tournées vers moi, Mes jambes ont du mal à me porter... Je suis anéanti, liquéfié. Je la regarde, je la détaille, je me remplis les yeux. Son corps, ses mouvements, ses expressions, tout en elle est emprunt d’une sensualité indéfinissable, envoûtante. Elle me tend les mains. Sa respiration soulève sa poitrine. Une respiration lente, calme. Les pointes de ses seins se dressent sur des mamelons crispés par la fraicheur. ses mains me caressent. Je lui caresse les flancs. Elle me pétrit la nuque, colle ses seins sur mon torse, fait éclore des baisers chauds dans mon cou. De longs frissons voluptueux me parcourent l’échine. Mon sexe me fait mal, bandé à pouvoir pénétrer un mur.
Elle se jette sur mes lèvres, fouille ma bouche, me baise les yeux, mordille mes oreilles, se colle contre moi. Je suis envahi par un tourbillon sauvage qui me déborde de toute part.
(E)
Allongée sur mon ventre, les deux poitrines s'étalant sur les miennes, elle contemple son oeuvre, satisfaite. Je suis vaincu. Ses seins mobiles me narguent, son visage penché sur le mien, ses grands yeux qui me laissent ...

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Puis elle se reprit et me fusilla du regard,
- Je veux que tu jouisses dans mon ventre !
- Tu m'entends ? Tu vas me donner toute ta sève chaude ... bien au fond de moi !
Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, nos corps frémirent. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétrissai les seins, à travers la robe. Elle râlait de plus en plus. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement.
- Maintenant ! Viens vite ! Décharge ! Donne moi ta crème ! bien au fond !
Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. le plaisir l'emporta, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais.
Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles
Emboîté en elle, nous fîmes l'amour comme des bêtes. Il fallait maintenant attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude.
Lorsque je me suis retiré lentement, sortant mon long membre gluant de son fourreau trempé, je la laissai devant moi, prostrée, ouverte, indecente presque, sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles, sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de nos secretions amoureuses. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil !
Elle était aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ...


Elle s'essuya discrètement et m'invita à venir chez elle sans plus tarder.
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais
fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit
(E)
Puis elle se reprit et me fusilla du regard,
- Je veux que tu jouisses dans mon ventre !
- Tu m'entends ? Tu vas me donner toute ta sève chaude ... bien au fond de moi !
Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait ...

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Je me sentis m'introduire en elle avec delicatesse, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je glissai en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude, elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien, elle semblait bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. mon souffle était encore lent. Elle me caressait de ses muscles intimes, je m'enfonçai par glissades subtiles, legerement, puis plus profondément, je ressortai et entrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, je lui agrippai les hanches pour la garder sous mon contrôle. Je m'arretai un moment pour me soucier d'elle,
- Tu es bien ?
- Oh oui... continue !
Puis mes mouvements devinrent plus amples, je plongeai en elle et gonflai en meme temps. Ma verge occupait maintenant son espace tout entier. Elle me faisait découvrir les douces contractions de sa vulve tendre et tiède, je me sentai aspiré, absorbé par son corps. Puis, la douce excitation devint un désir plus ardent,
- On continue ?
- Oh oui ! Je te sens bien !
Elle fermait les yeux, les rouvrait, offerte, chaude, et douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittai plus le sien, j'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, me digerait, comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, elle pouvait sentir les pulsations de mon sexe dur dans son corps, elle me pressait, je ressortai, poussai encore plus profondément. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. Je sentis à un moment mon plaisir s'annoncer, mon envie de me lâcher.
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Son regard dans le vague semblait en réclamer davantage. Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, reprenai mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de mon corps glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! me supplia-t'elle
Elle inclina son bassin pour que j'aille plus au fond. Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mes mouvements, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs l'excitait visiblement. Elle se cabra, je poursuivis ma chevauchée. Elle jouissait et je continuai. Je m'activai dans sa chair, fou d’un désir que je ne me connaissais pas, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou,
- Maintenant ... Viens vite !
Elle sentit que j'étais sur le point de non retour. Je m'activai dans son ventre plus rapidement. Puis je m'enfoncai tout au fond d'elle. D'un coup, je me bloquai au fond de ses entrailles, je senti mon sexe se raidir, se contracter. Je poussai un cri rauque et long ... Elle me tira vers elle, et mon premier jet vint gicler au fond d'elle, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais que je défaillai. Je jouissai dans son corps, à me faire perdre la tête. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordillait les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je déchargeai en elle en salves successives. À chaque secousse, je lui remplissai le vagin, c’était chaud. Je ressortai, entrai de nouveau, m’arrêtai.
Puis je m'affaiissai sur son corps avec des grondements d'ours blessé. Je lui envoyai une dernière giclée, me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Je restai là contre elle, ma queue toujours bloquée en elle. Je l'inondai de ma douce chaleur. Elle en gémissait de bonheur. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Je sentis ma verge se rétrécir, libérant en abondance nos sécrétions amoureuses. Une fois les spasmes apaisés, je me laissai glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Elle conservait dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières.
(E)
Je me sentis m'introduire en elle avec delicatesse, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’u ...

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(E)
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- Vous me sentez ?
- Oh oui, je vous sens bien !
Elle esquissa une grimace, puis inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. Elle écarta doucement les jambes, je la pénétrais doucement, progressivement, profondement.Comme une humide et molle profondeur, douce et tendre, où je me glissai et me perdai, un abîme intime, clos et lisse, où mon désir s'enfonca jusqu'au coeur..Je n’avais jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Angela soupirait les yeux fermés. Ses chairs s'ouvrirent et son corps peu à peu s'est offert à moi, telle une fleur. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrais doucement, tendrement son souffle etait lent, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas
- Je suis bien, et vous ?
- Oh oui, je vous sens bien ! J'aime !
J'atteignai bientot le fond, je restai un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres. Je glissai delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai de nouveau au fond de son ventre,
- Je vous sens toute ouverte et bien profonde ! Et c'est si bon !
- Votre vigueur me fait du bien !
Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Enfoncé au fond d'elle, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant.
- Vous êtes prête à aller jusqu'au bout avec moi ?
- Je suis toute ouverte pour vous !
Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais pas son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisais partie d'elle, je l’habitais. Tout s'estompait, je ressussitais, je savourais cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait, Elle me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissais dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient.
Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de mon corps...
- Oh venez vite !
Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser.
- Vous voulez que je me retire ?
- Oh non, restez ! bien au fond, je suis prête ! Remplissez-moi !
Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir,
- Attention ! Je viens !
- Oh oui ! Vite !
Je n’en pouvais plus... jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit !
- Oh que c'est bon, vous êtes si douce !
un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce.
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.
(E)
- Vous me sentez ?
- Oh oui, je vous sens bien !
Elle esquissa une grimace, puis inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. Elle écarta doucement les jambes, je la pénétrais doucement, progressivemen ...

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Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Elle se frottait, se soulèvait, ondulait. Mon sexe glissait, grossissait, s'allongeait dans ses chairs. Elle l’aspirait, le tirait, le poussait en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottaient au contact de mes lèvres. Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait avec delectation sur mon sexe. Elle m'affolait. Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, déjà irradiés de joies intimes. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle voulait jouir, vite. Je ressentis les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait et me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Puis elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de désir.
- Maintenant ! ... Viens vite ! ... Bien au fond !
Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai dans son ventre, par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. Je sentais ses savantes contractions, elle cherchait à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendis à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombais dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençerent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.


A ses lèvres un sourire, dans ses yeux le désir. Lentement, sûrement, elle glisse, coulisse, jusqu'à ce que mon bel appendice disparaisse ...au fond de l'orifice. Bien ancrée, comblée, miaulée, elle minaude, chaloupe sensuelle, des hanches ondule. Je ne bouge pas, me concentre en son centre, tout entier pris, happé, dans cette bulle, n'osant toucher ni ses seins, ni son ventre, livré à son plaisir qui me taraude. Elle me remue de l'intérieur de son ventre, se remplit profondément de mon membre, sur ses mamellons perle la sueur...
Notre union se veut animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'est la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, déjà irradiés de joies intimes. Nos vetements éparpillés dans la pièce, nous jouissons de ces premiers contacts entre nos peaux fievreuses. Premières chaleurs de nos muqueuses. Nos visages face à face, nos regards à l'affut des sensations dans le regard de l'autre. Un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle s’empale tout au fond. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Mon sexe glisse, grossit, s'allonge dans ses chairs. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Elle s'empale sur moi, elle m'absorbe, m'aspire au fond de son ventre profond. je me perds en elle. Un étui chaud et humide, tel un poulpe, aspire ma verge gorgée de sang, me pompe, me lisse, m'engloutit et me brûle. Plus je voyagee en elle, goutant ses succions intimes, plus elle s’abandonne. Elle se masturbe sur moi en buvant avec gourmandise mes réactions. Je la regarde jouir, Ces pénétrations affolent nos sens. Elle m'enveloppe, comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui l'agitent font comme si une main me serrait.
Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle cède à la volupté, ne cherche plus à se contrôler. Elle s'offre à mon corps, à nos sens. La chaleur monte en nous comme une sève brûlante. Elle râle de plus en plus. Je me retiens .... Elle me lèche les lèvres, le cou, puis m'embrasse fievreusement. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Ses belles poitrines ballotent sous mes yeux. J'ai le corps en feu. Sa frénésie redouble. En sueur, scintillante de son abandon, elle veut jouir, vite. Ses contractions intimes se font plus rapprochées, ses sécrétions plus abondantes. Elle s’enroule, se défait. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Puis elle se penche vers moi, ses yeux humides de désir.
- Maintenant ! ... Viens vite !
Nos corps sont mêlés, emmêlés, confondus. Elle est belle. Ses seins lourds sont une gourmandise. Langoureusement elle se meut sur moi, ses seins étalés sur mon torse, qui m'excitent. Je m'immisce, ma main s’emballe. Je l’embroche de mon pale, avec un râle. Elle va jouir et moi aussi. je ne peux plus arrêter, c’est divin. Prise soudain comme d'une crampe indicible, elle déverse un flot de mots incompréhensibles. Sa cyprine coule sur mes bourses sensibles, ses jambes se resserrent, elle tremble. De violentes secousses lui traversent les entrailles... Elle se crispe et s'immobilise toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, a un spasme violent qui la désarçonne. se laisse emporter dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un feu d’artifice Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, Tout son corps se met à vibrer. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre, se déhanche, se tortille, ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus! Elle halète bruyamment, tournant la tête de gauche à droite. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux lui collent aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement. Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfonce dans son corps, loin, très loin. Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Rendu au point extrême où tous les sens explosent, je l'informe de mon explosion imminente ... Je râle, je brame, je me fige ... et en son ventre offert, je jaillis, j'explose, je me répands et l'inonde en une chaude apothéose, je me libère, sans retenue. Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide en elle. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Puis elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent.
C'était la première fois. J'avais pourtant prévu, une fois dans son ventre, de me retirer à temps. Mais une fois chez elle, on s'est bien amusé et on a tant ri, que je n'ai pu me retirer. On a jamais autant joui !
Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombais dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençerent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.


(E)
Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouill ...

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Xenia


Elle est là, sur mon corps, gourmande, predatrice, elle me provoque, un beau corps de femme, sensuelle, ensorcelante. Ses seins sont beaux et pointent vers moi, mon corps s'émeut. Elle s'en rend compte. Elle me devine. Regard intense. Jeux de mains, mes doigts la touchent, la palpent, au plus pressé, l'explorent, glissent sous sa robe, soulèvent et s'immiscent, froissent ses tendres dessous, je la serre contre moi, elle agrippe mes épaules de ses mains chaudes et fermes. Elle me fusille du regard. Je la fixe. Une couleur légèrement ambrée. Ses seins sont splendides. Son regard est vitreux. Je bande dans son corps. Tendresse et sauvagerie mêlée. Je deguste ses rondeurs, ma main gauche sur son sein. Elle est humide et grande ouverte, impatiente. Elle m'offre son corps. Elle m'aspire en elle, je glisse dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offre ses douces caresses intimes, une éternité de douceur et de plaisir controlé. Elle m'aspire, elle m’absorbe. son souffle est lent. Elle me caresse de ses muscles, je m'enfonçe en elle par glissades successives, amplement, profondément. Je ressors et rentre de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois. Puis mes mouvements se font plus amples, je plonge en elle et gonfle en meme temps. Ma verge occupe maintenant son espace tout entier. Elle me fait découvrir les douces contractions de sa vulve tendre et tiède, je me sens aspiré, absorbé par son corps. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferme les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, elle ne quitte plus mon regard, je ne quitte plus le sien, j'oscille en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avale, m'absorbe, digere ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de son sexe trempé sur ma verge, elle me presse, je ressors, pousse encore plus profondément. Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. Elle m'aspire en elle. C'est un soyeux intense, le charnel infini. Son paradis moite qui ouvre grand ses portes. je sens mon plaisir s'annoncer, mon envie de me lâcher. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage. Soupirs, râles, encouragements. Je vais ... et je viens, je glisse et coulisse entre ses tendres muqueuses, et encore ... et encore. Ses mains agrippent mes hanches. Mon sexe sort puis s’enfonçe à nouveau, tantôt lent, tantôt rapide. Elle gémit, de plus en plus … je râle, de plus en plus fort, je la défonçe, le rythme s'accélère. Je m'agrippe à ses épaules, et reprends mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se soudent l'un à l'autre, elle est prise de vertige, la transpiration perle entre ses seins, La pensée de mon sexe glissant dans le sien lui fait perdre toute retenue "Maintenant !" me dit-elle. Elle incline son bassin pour que j'aille plus au fond. je saisis alors ses épaules, augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitent. Elle me tire vers elle, je pétris son sein, pinçe son téton, doucement, puis plus fort. Je la baise ardemment, sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Elle jouit dans mes bras. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouit encore et je continue. Je m'active dans sa chair, fou d’un désir ardent, elle m'agrippe par les épaules pendant que je lui mordillai le cou,
- Maintenant ... Viens vite !
Mon sexe gonfle, durcit et s'allonge encore en elle, je vais jouir, j'arrive au point de non retour. Je m'enfonçe, et je me bloque au fond de ses entrailles, je me raidis, me contracte. Je pousse un cri rauque et long ... Elle me tire à elle, je me lache dans son ventre, je gicle au fond d'elle, une humeur bien épaisse, bien blanche qui coule et déborde sur ses cuisses. Je sens que je défaille. Je jouis dans son corps, à me faire perdre la tête. Elle passe sa main dans mes cheveux, carresse mon visage, se mordille les levres. Mes jambes semblent ne plus vouloir me soutenir. Je décharge en elle en salves successives. À chaque secousse, je lui remplis le vagin. Je ressors, entre de nouveau, m’arrête. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant.

Puis je m'affaisse sur son corps avec des grondements d'ours blessé. Je lui envoie une dernière giclée, me vide, puis m’enfourne jusqu’au fond, ne bougeant plus. Je reste là contre elle, ma queue toujours bloquée en elle. Elle est inondée de ma douce chaleur et en gémit de bonheur. Elle caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Je sens ma verge se rétrécir, libérant en abondance nos sécrétions amoureuses. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tends mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle me tend un kleenex. Je retire le préservatif et regarde son corps une dernière fois. Elle remets sa robe, range ses affaires. Je range mon sexe. Elle me sourit et m'embrasse.



Xenia (E)
Elle est là, sur mon corps, gourmande, predatrice, elle me provoque, un beau corps de femme, sensuelle, ensorcelante. Ses seins sont beaux et pointent vers moi, mon corps s'émeut. Elle s'en rend compte. Elle me devine. Regard ...

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Je me sentis m'introduire en elle avec delicatesse, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je glissai en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude, elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien, elle semblait bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. mon souffle était encore lent. Elle me caressait de ses muscles intimes, je m'enfonçai par glissades subtiles, legerement, puis plus profondément, je ressortai et entrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, je lui agrippai les hanches pour la garder sous mon contrôle. Je m'arretai un moment pour me soucier d'elle,
- Tu es bien ?
- Oh oui... continue !
Puis mes mouvements devinrent plus amples, je plongeai en elle et gonflai en meme temps. Ma verge occupait maintenant son espace tout entier. Elle me faisait découvrir les douces contractions de sa vulve tendre et tiède, je me sentai aspiré, absorbé par son corps. Puis, la douce excitation devint un désir plus ardent,
- On continue ?
- Oh oui ! Je te sens bien !
Elle fermait les yeux, les rouvrait, offerte, chaude, et douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittai plus le sien, j'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, me digerait, comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, elle pouvait sentir les pulsations de mon sexe dur dans son corps, elle me pressait, je ressortai, poussai encore plus profondément. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. Je sentis à un moment mon plaisir s'annoncer, mon envie de me lâcher.
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Son regard dans le vague semblait en réclamer davantage. Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, reprenai mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de mon corps glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! me supplia-t'elle
Elle inclina son bassin pour que j'aille plus au fond. Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mes mouvements, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs l'excitait visiblement. Elle se cabra, je poursuivis ma chevauchée. Elle jouissait et je continuai. Je m'activai dans sa chair, fou d’un désir que je ne me connaissais pas, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou,
- Maintenant ... Viens vite !
Elle sentit que j'étais sur le point de non retour. Je m'activai dans son ventre plus rapidement. Puis je m'enfoncai tout au fond d'elle. D'un coup, je me bloquai au fond de ses entrailles, je senti mon sexe se raidir, se contracter. Je poussai un cri rauque et long ... Elle me tira vers elle, et mon premier jet vint gicler au fond d'elle, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais que je défaillai. Je jouissai dans son corps, à me faire perdre la tête. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordillait les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je déchargeai en elle en salves successives. À chaque secousse, je lui remplissai le vagin, c’était chaud. Je ressortai, entrai de nouveau, m’arrêtai.
Puis je m'affaiissai sur son corps avec des grondements d'ours blessé. Je lui envoyai une dernière giclée, me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Je restai là contre elle, ma queue toujours bloquée en elle. Je l'inondai de ma douce chaleur. Elle en gémissait de bonheur. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Je sentis ma verge se rétrécir, libérant en abondance nos sécrétions amoureuses. Une fois les spasmes apaisés, je me laissai glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Elle conservait dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières.
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Je me sentis m'introduire en elle avec delicatesse, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’u ...

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Sa jupe relevée à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, je la sentais chaude et mouillée d'excitation. Elle me tira vers elle, sse cambra et d’un coup de rein, m'aspira en elle, m'enfoncant jusqu’aux bourses. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud.
- Enfonce-toi bien ! Je veux te sentir bien profond !
- Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi ! Baise moi ! Avec ardeur !
Notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour assouvir nos pulsions, le contact humide entre nos peaux fievreuses, notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, Nos vetements malmenés. Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. Elle se masturbait allègrement sur mon sexe en surveillant mes réactions. Ces pénétrations affolaient nos sens. Je la sentais empalée, toute entière autour de mon mat, l'enveloppant,comme si tout son corps m'enserrait. La sensation était affolante. Je voyageai en elle. Je m'enfoncai dans son ventre, profondément, goutant ses succions intimes. Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle s'abandonnait, cèdait à la volupté, ne cherchait plus à se contrôler. Elle s'offrait à mon corps, à nos sens !
Apres une serie d'allers et venues dans ses chairs, je butais au fond d'elle. Et très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, et commencai à me retirer pour eviter l'eruption imminente
- Non ! Reste ! Bien au fond ! ...
De violentes secousses lui traverserent les entrailles... Elle se mit à trembler, se crisper et s'immobiliser toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. Elle clama sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent la désarçonna. Elle se cambra, comme tétanisée, se laissa emporter dans un long râle. Vingt mille volts lui remonterent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un vrai feu d’artifice. Elle se déchaîna, cria, la bouche ouverte, haletante, elle frissonna, elle trembl .....Tout son corps vibra. Elle partit ... envolée prodigieuse, elle brâmait, elle rugissait, une longue plainte sauvage, un long râle de volupté. Elle se déhanchait, se tortillait, tout en soupirant de plus en plus fort. Elle halètait bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements, la sueur lui perlait sur le front, ses cheveux noirs commençaient à lui coller aux tempes. Nos deux corps mélangés se mirent à vibrer au son de nos soupirs.
- Decharge en moi ! Vite ! bien au fond de mon ventre ! ... Je veux que tu remplisses mon vagin !
Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me crispai, me bloquai au fond de son ventre. Mon corps se tendit et vibra, je me lachai, je jaillissai dans son ventre qui m'avala, qui me but. Je me vidai, par saccades, Je m'immergeai dans son corps, je me noyais en elle. Elle m'attrapa les cheveux, me serra la tête, puis jouit longuement. et je déchargeai abondamment , en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Elle resta là devant moi, les yeux ebahis, siderée, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Puis elle s'abandonna, se livra aux flots qui l'absorbaient... Elle me repoussa un peu, laissant ma verge ressortir, entraînant le foutre qui coulait dans sa fente. Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante,
- Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que tu m'a mis !
- Jerôme, je ne me doutais pas que tu avais autant de ressources !
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.

(E)
Sa jupe relevée à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, je la sentais chaude et mouillée d'excitation. Elle me tira vers elle, sse cambra et d’un coup de rein, m'aspira en ell ...

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je me sens aspiré en elle, je glisse dans sa douce moiteur intime. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un grand soupir, me regarde avec des yeux troubles Je m'enfonce lentement dans son ventre chaud, un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle se donne du plaisir, je gémis de bonheur. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Elle sourit. Elle s'empale doucement, interminablement, en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle ralentit sa descente, me regarde jouir, la reprend. Ces lentes pénétrations affolent nos sens.
Je la penetre profondemment, en de lents mouvements. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps. Je coulisse en elle Elle sent les reliefs noueux qui glissent dans son ventre. Elle se fait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massent delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçe, se remplit de moi. Elle m’aspire, m’absorbe, me relâche.
Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorbe toute la longueur de mon membre, le voilà maintenant enveloppé d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Claire savoure ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon pieu qui la pénètre profondément. Ses mouvements déplacent mon sexe dans son ventre. Elle se redresse, nouvelle sensation. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, je sens ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaisse rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant.
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je me sens aspiré en elle, je glisse dans sa douce moiteur intime. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un grand soupir, me re ...

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La patronne m'entraina doucement vers le fond de la remise, elle s'installa sur une console, écarta les jambes, m'attira vers elle, tout en me scrutant d'un regard mouillé, et, le pantalon défait, je la pénétrai doucement, progressivement. Je n’avais jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Elle soupirait les yeux grand ouverts dans le vague. Ses chairs s'ouvrirent et son corps peu à peu s'est offert à moi, telle une fleur. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrais doucement, tendrement. Son souffle etait lent, puis, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond.
Autour de moi, les lumières tournaient, je sentais les pulsations dans mon corps. Elle esquissa une grimace, puis inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas
- Louis, vous me sentez ?
- Oh oui, je vous sens bien !
J'atteignai bientot le fond, je restai un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres. Je glissai delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à relancer ma vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai à l'extrême au fond de son ventre,
- Je vous sens toute ouverte et bien profonde ! Et c'est si bon !
- Continuez !
Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait aller en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Enfoncé au fond d'elle, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant.
- On va jusqu'au bout ?
- Oui ! bien sur !
Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittai plus son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisasi partie d'elle, je l’habitai, en savourant cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait de ses lèvres intimes, me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissai dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient.
Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de son corps...
- Maintenant ! ... Venez vite !
Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser.
- Je vais bientôt venir, vous voulez que je me retire ?
- Non, restez ! bien au fond, mon corps a faim !
Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encouragea à lui donner le meilleur de moi ! Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir,
- Oh ! Je viens !
- Oh oui ! Vite !
Je n’en pouvais plus... jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit !
- C'est si bon !
- Oh que c'est bon, vous êtes si douce !
un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce. Elle resta blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sentais riche d'elle, toujours en elle, apaisé, vidé, comblé, je rêvais d’éternité, je voulais qu’en cet instant le temps se décompose,
- Angela ... Je vous sens contre moi, chaude, et douce et volontaire. Vous me donnez votre douceur, votre tendresse, votre fraîcheur, vous êtes belle et souveraine... Je glisse hors de vous ... Je vous embrasse, vous caresse...
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.
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La patronne m'entraina doucement vers le fond de la remise, elle s'installa sur une console, écarta les jambes, m'attira vers elle, tout en me scrutant d'un regard mouillé, et, le pantalon défait, je la pén&eacut ...

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Je restais étendue là, le dard de mon homme encore planté en moi. comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. je réalisais ce que nous avions fait. et sentais entre mes jambes ouvertes couler tout son sperme. Il continuait à me limer doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Je l'ai senti de nouveau durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Ses dernières caresses intimes me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.

Il fut mon bel amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il fut tendre et vigoureux à la fois, infatigable de son corps. Ses jouissances furent intenses, furent violentes. Les miennes furent sauvages. J'entends encore résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
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Je restais étendue là, le dard de mon homme encore planté en moi. comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. j ...

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Apres cette chevauchée intense, elle me regarda avec tendresse. Nous nous regardions l'un l'autre. Elle avait 40 ans, elle était ma nouvelle secretaire, de longs cheveux blonds bouclés tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine que j'avais tout de suite reperée, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous venions de faire sauvagement l'amour là dans mon bureau. Elle semblait épuisée, comme moi.
Lentement, comme à regret, j'ai senti ma queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de son ventre, liberant un flot de mon jus. Elle mit un certain temps pour reprendre ses esprits. J'étais aussi épuisée qu'elle. Je regardais nos deux sexes gluants de nos secretions intimes, sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je voyais le liquide poisseux se répandre entre ses fesses et sur ses cuisses qu'elle serrait, par pur réflexe.
Je venais de jouir en elle, et la laissait maintenant là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur sa toison humide lui donnait le frisson. Trempée, ouverte, obscène presque. Mon sperme chaud s'écoulait hors de son ventre, sur ses cuisses. Elle se sentait sans force.
Au depart, elle avait failli refuser, mais j'ai su m'y prendre et elle m'a cedé sans complexe son corps et son ventre, dans lequel j'ai joui abondement et me suis répandu en une veritable apothéose

Elle était toujours là devant moi, elle me fixait à nouveau avec un regard d'envie, je me remis à bander devant elle, sans retenue. Elle reprit mon sexe, qui durcissait et s'allongeait à vue d'oeil et le disposa en face du sien,
- Tu veux bien ?
- Oh oui ! ...
J'acquiescai, je le poussai un peu en elle, puis, plus loin, puis, le ressortit, avec un bruit de succion terriblement erotique. Je m'enfoncai enfin bien au fond, écartai bien ses chairs rosées et fit durer le plaisir. puis j'accélèrai dans le magma liquide declenchant un bruit de clopotis terriblement obscene. Je n'en pouvais plus. Elle jouissait, et moi aussi !
Je me suis vidé de nouveau dans son ventre, n'en finissai plus de me vider en elle !

Apres l'avoir baisé deux fois dans mon bureau, je me suis rhabillé en hâte, sans mot dire et, après lui avoir baisé les lèvres , je me suis rapidement glissé hors du bureau en lui donnant rendez-vous pour le lendemain.

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Apres cette chevauchée intense, elle me regarda avec tendresse. Nous nous regardions l'un l'autre. Elle avait 40 ans, elle était ma nouvelle secretaire, de longs cheveux blonds bouclés tombant sous les épaules, u ...

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Je venais de jouir en elle. Mon sperme chaud s'écoulait hors de son ventre, sur ses cuisses, sur le parquet. Elle avait joui aussi, avec moi, c'était une brûlure douce. Elle semblait sans force, nos secretions abondantes coulaient toujours entre ses jambes, dans l'interstice de ses fesses. Elle venait de m'offrir son ventre, dans lequel je me suis répandu en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon !
Elle était maintenant seule là contre la biblioteque du bureau, les cuisses ouvertes, béante. sa toison humide me donnait le frisson. Elle était toute oouverte, obscène presque. Elle relèva la tête, j'étais toujours là devant elle, je la fixai à nouveau avec un regard d'envie. Je me remis à bander, sans complexe. Je remis mon sexe qui durcissait dans le sien, le poussai un peu en elle, plus loin, puis, le ressortait, une nouvelle fois .. je m'enfoncai doucement, j'écartai ses chairs rosées, je le lui mis tout au fond et fit durer le plaisir. J'accélèrai. Elle n'en pouvait plus. Elle jouissait ! et moi aussi ! Je me vide, je n'en finis plus de me vider en elle ! Elle luit de mon jus, ses lèvres intimes toutes ouvertes. Je prends de nouveau mon sexe et caresse sa fente avec mon gland. Elle soupire, les yeux fermés. Et sans précipitation, je la pénétre de nouveau. Ses chairs laissent entrer mon sexe sans contrainte. Nous nous regardons l'un l'autre. Je recommence à coulisser en cadence, en caressant ses flancs. Elle ferme les yeux en gémissant à chaque retour de ma verge dans son fourreau. Je m'agrippe à ses hanches. Je ressens mon plaisir monter. Le sien aussi. Son vagin se contracte et des spasmes formidables soulevent son corps. Je continue mon va et vient, je rugis très fort et finis par gicler une nouvelle fois en elle.
Elle avait 20 ans, de longs cheveux blonds tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous venions de faire l'amour comme des bêtes contre les etageres de cette bibliotèque. Lorsque je me suis retiré d'elle, sortant ma longue verge gluante de son fourreau trempé, elle revenait lentement à la réalité, et restait là, debout adossée aux étagères, devant moi, comme dans un rêve éveillé, s'affolant probablement de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de son corps. Nous réalisâmes alors ce que nous avions fait. Sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles. Sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de mon sperme. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, le long de ses jambes. Elle était ouverte comme jamais, chancelante, du sperme coulait sur ses cuisses et descendait jusqu'à ses pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil.
Quelle femelle ! Quel femme ! comme je les aime ! J'ai adoré son regard éperdu au moment de l'orgasme, ses râles de plaisir quand je la remplissais de moi. Elle m'irradiait de sa chaleur. Je me suis vidé dans son ventre puis ma queue s'est glissée doucement hors de sa vulve, liberant un flot de semence. Elle mit un certain temps à reprendre ses esprits. Elle semblait épuisée. J’étais aussi épuisé qu'elle. Elle me regardait sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je voyais le liquide poisseux se répandre entre ses fesses et sur ses cuisses qu'elle serrait, par pur réflexe.
Je sentais que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. J'aurais voulu rester planté en elle encore un moment, me sentir mee relacher complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Nous nous rhabillâmes en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, elle se glissa hors de la piece.
J'ai repensé toute la nuit à nos caresses et mes succions sur ses seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, ma verge gonflée de sève qui enflait puis giclait dans son ventre, lovée autour de sa vulve, son vagin qui me serrait convulsivement et me massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos











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Je venais de jouir en elle. Mon sperme chaud s'écoulait hors de son ventre, sur ses cuisses, sur le parquet. Elle avait joui aussi, avec moi, c'était une brûlure douce. Elle semblait sans force, nos secretions abondantes ...

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La soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion, éclat impudique du désir... et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser et la rendre plus séduisante encore. Le temps de prendre congé des derniers invités et de refermer la porte derriere eux, elle s'approcha de moi.
- Je suis si contente de te garder ce soir avec moi ! ...
Elle entoura alors ma tête des ses mains et m'embrassa un long moment sur la joue puis imperceptiblement sur la commissure des levres. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. Et elle ne fit rien pour calmer mon attirance violente. Apres m'avoir fixé un moment en silence, elle rapprocha son visage du mien en me prenant les mains dans les siennes.
- je t'aime bien tu sais ! ... et même plus que ça ! .... tu viens t'asseoir un moment avec moi ? ...
Quelque chose était en train de se declencher sans que aucun de nous deux ne puissions à ce stade prévoir la suite. Elle me troublait autant qu'elle m'attirait. Elle me troublait terriblement. Elle poursuivit en me prenant la main et en me soufflant à voix basse:
- nous sommes seuls en ce moment tous les deux n'est-ce pas ? ...
- et ton mari ?
- mon mari ? ... oh, tu sais ... il a sa vie, et moi, j'ai la mienne ... chacun mène sa vie comme il l'entend ! ...
- aujourd'hui, je suis avec toi .... et j'ai envie de profiter de toi ! ... me dit-elle en me posant un baiser sur les lèvres ...
Puis elle s'ecarta pour me faire cette confidence:
- tu sais, je ne sais pas si tu t'en es rendu compte, c'est plus qu'un faible que j'ai pour toi ! ... je suis amoureuse de toi ! ... vraiment ! ... c'est pas bien ? ...
J'eu à peine le temps de realiser ce qui se passait qu'elle plaqua de nouveau ses lèvres sur les miennes, fouillant ma bouche avec ardeur. Ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur, et ce fut moi qui l’embrassai cette fois sans retenue, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche. Notre baiser fut long et humide. Toute reserve ou retenue avait disparue. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Elle glissait sa main sous ma chemise, caressant ma peau de ses mains chaudes, tandis que je poursuivai mes acaresses en m'emparant de son sein. Notre baiser dura un très long moment, puis elle s'ecarta alors soudainement,
- tu penses la même chose que moi ? ... tu as envie ? ... comme moi ? ... je t'emmène dans ma chambre, viens ! ...
Elle me prit par la main et m'entraina dans le couloir. Arrivés dans sa chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle, elle commença à deboutonner ma chemise, je glissai mes mains sous son corsage deja à moitié defait, je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis et nous reprîmes nos etreintes ardentes qu'elle interrompit seulement pour m'annoncer le programme,
- tu me laisses une minute ? ... je voudrais me faire belle pour toi ! ... Installe toi et mets toi à l'aise ! ... j'arrive ! ....
Apres s'être eclipsée un instant dans la salle de bain, elle revient vers moi, rayonnante de séduction, avec glissant sur elle une chemise se soie fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines.
- il y avait bien un lit pour toi dans la maison ... mais c'est dans le mien que je te veux maintenant ! ...
S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir terriblement envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Nous nous effeuillâmes rapidement. Elle m'entraîna sur le lit en relevant doucement sa chemise de soie, Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, elle me desirait. Elle me fixa alors droit dans les yeux en me tendant la main,
- Tu viens ? ... Viens vite ! ...
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La soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Gr ...

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Elle était secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'accélérai franchement, elle ferma les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, je sentais mon plaisir monter, inexorablement ...
- Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite !
Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait à l'extrême. Elle me tira vers elle, se cabra de nouveau. Je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir.
Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé.
- tu as été merveilleux ! .... un amant de rêve !




Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas très longtemps qu’il sortait avec ma fille. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seule avec lui. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en travaillant, il me parlait de lui et de l’affection qu’il portait à ma fille. Curieusement, je le sentais sincère, mais il me regardait en même temps d'une manière qui me destabilisait. Bien que flattée par les regards de ce beau jeune homme de 25 ans, je ne me sentais pas très à l’aise… Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Je n’aurais pas dû ... Nous nous etions assis sur le canapé, un peu grisés. C'est alors que, tout en parlant, il a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. Pourquoi l'ai-je laissé faire ? Il s’est encore rapproché et a osé un baiser timide dans mon cou, je ne reagissai toujours pas, puis ses mains sont descendues jusqu’au creux de mes reins. Je devinai, inconsciente, que les evenements prenaient une tournure de plus en plus incontrolable. Mais je le laissai faire, de plus en plus excitée par cette aventure inopinée. Nos sens se sont alors réveillés brutalement, nos langues se sont mélangées, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre. Ensuite ...

Ensuite, ses mains se sont égarées sous mon pull pour s'emparer de mes seins. Les pointes ont durci sous ses doigts. Je me suis laissée aller à ces douces caresses, oubliant qu’il était mon gendre. Je ne contôlais plus rien ... il en profitait, et j'en profitai moi aussi ... Lui comme moi étions prêts desormais à precipiter les choses ...
- Ou est ta chambre ? me lance-t'il de manière impudique
- tu crois que c'est serieux ? ... lui reppliquai-je affolée, tout en ajoutant aussitôt,
- au fond du couloir ! ...
Sans me repondre, il m’a soulevée et m’a portée dans ses bras jusqu’à ma chambre. J’ai trouvé ça à la fois déplacé mais tellement romantique et tellement excitant ! Il m’a déposée sur mon lit, et nous nous sommes febrilement déshabillés. Sa bouche a parcouru mon corps de la tête aux pieds, s’attardant sur mes seins et mes tresors intimes, deplus en plus humides. Il bandait à la limite de l'indecence, je n’attendais plus maintenant qu’une chose : qu'il ne s'arrête pas en chemin ...
- C'est osé ce que nous faisons ! ... tu ne crois pas ? ...
- tu crois aussi ? .... alors, soyons fous !
Il m'a allongée puis s'est étendu sur moi. Mon regard s'est figé sur son engin qu'il sortait de son pantalon et qu'il pointait vers moi,
- Je suis toute ouverte. Tu sens ? .... Rentre vite ! ...
c'est alors que, sans attendre plus longtemps, il s'est enfonçé d'un coup entre mes muqueuses trempées jusqu’à buter au plus profond de ma matrice. Arrivé à bon port, il a levé ses yeux brillants de désir vers moi. Il ne bougeait plus, comme en attente de ma réaction, un peu comme s’il avait fait une bêtise. Pour le rassurer, je lui ai caressé le visage et je me suis accrochée à son cou, lui laissant le soin de poursuivre la bêtise déjà bien engagée. Je sentais sa queue danser en moi, je balançais mon bassin au rythme de ses allées et venues. Il m’a prise sans s’arrêter jusqu’à ce que je jouisse, quelques minutes plus tard. Et là, il s’est laissé aller lui aussi, inondant mon ventre en abondance.



Doucement, elle enveloppait mon sexe qui s'enfoncait en elle, et la remplissait, il s'y complaisaît comme dans une bain mielleux.
- et voilà, ça y est ! .... tu es chez moi ! ... tu es bien ? ....
Je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Elle me regardait avec des yeux troubles.
- Tu aimes ? .... tu sens ? .... mes petites contractions ?
- Je te sens bouger dans mon ventre ! ... C'est delicieux !
Elle suçait ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle glissait sur mon mat en se faisant plaisir, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait, se tendait. Avec application elle me sucait, m’aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle se donnait du plaisir, j'en gémissai de bonheur. Elle me fixa avec des yeux humides
- J'aime te sentir glisser profondement en moi !
- Je te sens bien dur ... et bien long ! ... J'aime !
Elle souriait. Ses yeux étaient magnifiques. Elle s'empalait doucement, interminablement, en surveillant mes réactions. Un étui chaud et humide entourait petit à petit ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Elle ralentit sa descente, me regardait jouir, la reprenait. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens.
- Tu me remues les entrailles ! Je fond !
Je la penetrai profondemment, en de lents mouvements. Elle se mordit les lèvres. Elle ondulait de tout son corps. Je coulissai en elle, elle pouvait sentir mes reliefs noueux qui glissaient dans son ventre. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçait, se remplissait de moi. Elle m’aspirait, m’absorbait, me relâchait.
Je la sentais toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorba toute la longueur de mon membre, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions agitaient son vagin telle une main serrant mon sexe dans son ventre. La sensation était délicieuse, affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se pencha vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon mat qui la pénètrait profondément. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. Elle se redressa, nouvelle sensation. Elle se soulèva un peu plus et se baissa à nouveau, je sentis ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommencea ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaissa rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je vis qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayai d'en faire autant.
Elle s'empalait sur moi, je me perdais en elle. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait litteralement sur mon sexe. Elle m'affolait. Je commençai à me retirer d'elle craignant une explosion imminente. Elle me fusilla des yeux
- Non ! Ne te retire pas ! ... Ne t'inquietes pas. J'ai pris mes precautions !
- tu vas jouir en moi ! ... Bien au fond de moi !
Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Elle voulat jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Elle se mit à jouir. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait, me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de plaisir.
- Viens ! ... Viens vite ! Inonde moi ! Remplis-moi de toi ! Donne moi ta sève ! toute ta sève !
Elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... et je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.
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Elle était secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'accélérai franchement, elle ferma ...

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Ma frénésie redoubla. J'étais en sueur, elle aussi. Elle voulait jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Je me sentis venir. Elle se mit alors à jouir sans retenue. Ce fut pour moi le signal: Je m'enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Le trait m'échappa ... et je me libèrai completement, me laissant aller en elle, sans retenue, inondant son ventre en abondance. Je giclai ma sève par spasmes riches et généreux. Elle digerait mon gland qui trempait dans nos secretions intimes. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans ses yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
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Ma frénésie redoubla. J'étais en sueur, elle aussi. Elle voulait jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Je me sentis venir. Elle se mit alors à jouir sans retenue ...

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Arrivés dans la chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle, jeu subtil d'un regard insistant, elle me provoquait avec un art consommé de gestes discrets, divinement sensuels et un regard légerement mouillé. J'avoue qu'il m'arrivait parfois, lorsque je songeais à elle, de me caresser jusqu’à la jouissance, je l'imaginais juste revêtue d'une fine lingerie, dans l’intimité d'une chambre d'hotel fébrilement réservée, ses cheveux étalés en désordre. En fait, je la désirais depuis longtemps sans pouvoir lui avouer.
- Installe toi bien dans le lit ! ... j'arrive ! ...
Installé sur le lit, j'étais attentif à chaque bruit qui aurait pu interpeller mon imaginaire. Je devinai dejà des bruissements de tissus, mais c’est la sonorité suggestive de l’eau ruisselante sur sa peau dans la salle de bain qui entrouvrit un instant une brèche dans mes égarements. Elle était en train de se doucher. Le parfum épicé de fragrances érotiques baignait la chambre. Puis elle entra enfin, éclairant soudainement l’ambiance feutrée de la pièce d'une sensualité pregnante. Rayonnante de séduction, une chemise de nuit fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines, elle me troublait autant qu'elle m'attirait. S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle s'assit à mes cotés puis glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Je glissai discrètement une main sur sa robe de nuit , puis dessous. Elle exhalait des fragrances de parfum épicé de sensualités érotiques. Elle m'embrassa avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous.
- Tu sais, certains soirs, dans mon lit, je rêvais que tu me caresses, puis que tu m’effeuilles doucement avant de glisser ta main sur mon corps pour me des caresses de plus en plus intimes.
Avec une douceur presque féminine, elle defit un à un les boutons de ma chemise, glissant de temps à autre une main chaude sur mon ventre. Elle redécouvrait ces plaisirs sourds qui font qu’une femme décline lentement vers un bien être sensuellement érotique. Elle redecouvrait les bienfaits des caresses amoureuses, l’agréable douleur des morsures tactiles sur des seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant ses entrailles avant que de mouiller ses dentelles intimes ...
Ses yeux, jusqu'içi plutôt discrets, reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part. Elle, si volubile apparement, s’avérait soudainement muette, dans l’attente discrète que je lui appose mes lèvres sur son corps. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle me débarrassa de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de mon cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi, jusqu'à ce qu'elle me supplia
Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit qu'elle ouvrit febrilement. Elle s'y allongea, achevant de me débarrasser de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de mon cou jusque sous mon bas ventre, et je la couvrai de baisers. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, elle me desirait et elle me le fit savoir sans detour,
- maintenant, j'ai envie de t'avoir en moi ! Viens vite !
Naturellement, je me positionnai sur elle et sans attendre, je penetrai son corps, doucement, profondement. Elle m'aspira en elle avec gourmandise. La sensation était puissante, suave, elle se propageait, s’éteignait, renaissait, nous étions emboités l'un dans l'autre. Je glissai en elle amplement, de plus en plus profondement, entrant et sortant de toute la longueur de mon sexe, nous approchant un peu plus du moment sublime. Ses lèvres cherchaient les miennes et elle attrapa ma bouche. Elle me suppliait de la fouiller, la remplirSes jambes emprisonnaient mon corps et m'attiraient en elle chaque fois que je m'en éloignais. Nos deux corps comme des vagues allaient et venaient, éclaboussant les draps de sueurs, de désirs. Puis je m'enfonçai plus loin, plus profondement et plus fort.
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Arrivés dans la chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, att ...

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Elle m’entraina alors dans la pièce voisine. Une fois isolés, a l'abri des regards, elle attira ma tête, glissa une main sur ma nuque et dans mes cheveux et, telle une ventouse, prit mes lèvres. Elle commença à m’embrasser sur la bouche, puis elle plongea sa langue à la recherche de la mienne. Si mes mains étaient avides de ses seins et de son ventre, les siennes n’étaient pas moins prestes à evaluer ma virilité. le la pris dans mes bras, la serrai contre moi. Son souffle, encore court, bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mes mains jouaient dans ses cheveux. Elle me caressait la nuque. Je lui lèchai le cou. Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre, melangeant nos salives ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Le frottement de la soie sur ses cuisses m'excitait ...
Je glissais ma main sous sa robe, je relevai ses dessous et atteignai ses tresors.... j'enfoncais mes doigts ... elle halètait dans mon oreille. Tout son corps se tendit vers ma main qui l'empoignait. J'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Le temps s'arrêta ... jusqu’au moment où, n’en pouvant plus, elle me fusilla du regard:
- Baise-moi ! ... Vite ! .... Ici !
A peine refugiés dans le salon voisin, elle m'entrtaina avec elle sur la moquette. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Ses gémissements augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Sans attendre et dans la fièvre je relèvais sa robe, tendis qu'elle liberait ma lance. Allongée sur la moquette, ses jambes enlaçant mes hanches, j'entrais doucement dans sa douce intimité, je la penetrai facilement, profondement, sans effort. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. Je me sentais grossir de plus en plus en elle. Elle se donnait peu à peu, et gémissait pendant que je la conduisais au plaisir. Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait ... Je m'enfoncai à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémirent. Elle glissa ses mains sous ma chemise et caressa mon dos, mon torse. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur montait en moi comme une sève brûlante. Je me sentis basculer. Elle râlait de plus en plus. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, Elle se retint .... un court instant ...
- Viens ! Vite !
Et elle se lacha ! juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. tandis que je l'inondais de ma sève. Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement. Cela dura ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Elle s'affaissa sur moi, tout aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ... Vous avez été merveilleux !
- Mais j'ai encore faim !






(E)
Elle m’entraina alors dans la pièce voisine. Une fois isolés, a l'abri des regards, elle attira ma tête, glissa une main sur ma nuque et dans mes cheveux et, telle une ventouse, prit mes lèvres. Elle commen& ...

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Tout juste une douce caresse


Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper la partie la plus intime de mon être. Les lèvres s'entrouvent un peu plus et engloutissent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupe de la réalité, une langue onctueuse entoure et lisse mon gland avec insistance, en mouvements circulaires, elle s’enroule autour de ma verge. Les lèvres sont gourmandes. Elles caressent mes bourses lentement, la langue est douce comme l’eau, ardente comme le feu. Mes yeux rivés au plafond, je sens mon sexe s'engouffrer dans une bouche profonde. Tout tourne autour de moi. Une douce chaleur humide et moite envahit mon bas ventre. la bouche me suce plus profondément en accélérant la cadence. Mon sexe me brûle comme si j’allais me liberer tout seul. Je ne peux bientôt plus me contrôler, la pression est trop forte et je me répands aussitot dans sa bouche. Elle me léche alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, elle nettoie mon gland de la dernière goutte.

Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts ma virile raideur. Ses mains tout en douceur, et d'une fraîcheur surprenante. Ce massage divin eut des conséquences: je libérais peu à peu du liquide pré séminal, Elle continua son massage quelque temps en fixant intensément mon sexe, gonflé comme jamais. Penchée vers mon penis qu'elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait. Elle posa ses lèvres sur mon gland, Puis elle l'engloutit jusqu'à la base tout en me regardant fixement. Je sentis alors sa langue s'activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de sang. Elle allait et venait avec sa bouche pendant que sa main me caressait les bourses. Je portais ma main sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains. Mes doigts avaient repoussé la fine culotte, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s'ouvrait. La situation l'avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, Je sentis ses globes fessiers se contracter. Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer, Je sentais ma sève monter progressivement. Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son œuvre. Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d'une femme. Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper. Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l'instant.
Tout juste une douce caresse (E)
Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper la partie la plus intime de mon être. Les lèvres s'entrouvent un peu plus et engloutissent progressi ...

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mes deux femmes (d'apres Jacques Hiers)


Je regardai Lucie qui, nue et sans la moindre gêne, monta sur mes genoux et me demanda de baiser avec avidité sa belle poitrine. Elle posa l’une de ses mains sur ma joue. J’étais abasourdi et ne savais que dire… Elles essayèrent, l’une et l’autre de me rassurer, d’apaiser mon désarroi, me serrant contre elles, leurs mains dans mes cheveux, leurs haleines toutes proches, la chaleur de leurs corps nus si près qu’elle finissait par me troubler… Maud réfléchissait, silencieuse, l’une de ses mains caressant délicieusement ma cuisse comme pour me rassurer, me mettre en confiance … Allaient–elles ainsi me troubler au point de me faire comprendre, admettre et accepter l’idée d’un « ménage à trois » dans la licence la plus complète ? Maud m’embrassa sur les lèvres et me retint serré contre elle. Lucie me passa ses bras autour du cou et m’embrassa fougueusement au coin de la bouche. Je sentais tous mes sangs battre dans mes artères. Ce deux femmes étaient en train de m’attirer entre leurs bras, sans que je n’aie pu même dire un seul mot… Nous gagnâmes le salon et « mes » deux femmes me prirent à part. j’en étais désarmé… Maud m’embrassa, Lucie aussi et… sur la bouche… Je pris sa taille et après tout, décidai de me laisser aller aux plaisirs troubles … Je me mis à lutiner Lucie qui se laissa faire, visiblement contente d’avoir allumé des feux inesperés. Maud se joignit à nous pour un baiser en trio des plus ardent. Notre immoralité était scellée.

Nous dînâmes d’un bon appétit. Nous gagnâmes la chambre et je demandai à mes deux femmes de ne point quitter leurs bas et douces lingeries de soie, car cela m’excitait et je voulais entendre les bruissements légers de la soie en nos accords charnels. Elles ne surent point me refuser un tel plaisir ; elles revinrent du cabinet de toilette fraîches, parfumées, épanouies, souriantes et plus séduisantes que jamais. J’avais déjà pu contempler à maintes reprises les jolies jambes de Lucie mais là, je m’abandonnai à ma lubricité de mâle à l’affût, contemplatif, lascif, ne quittant plus des yeux mes deux charmantes aimées.
Je m’approchai de Lucie, la serrait étroitement, ma verge raide, coincée dans le fossé ombreux de ses tendres cuisses, mes bourses, pleines, et bien au chaud entre ses rondeurs abricotières… Comme elles étaient chaudes et douces ! Je succombai. Je me mis à bander entre les fesses charnues de la belle Lucie, Maud, par en dessous, commença à me peloter les bourses, Je fis aller et venir ma queue, droite, dressée dans l'entre-fesses, me frottant délicatement sur les soies de mes deux femmes qui se balançait à présent au rythme de mes allées et venues, ce qui avait pour effet d’activer ma raideur, ma queue dressée comme un phare sur l’océan de chair blanche ... Les bas crissaient en douceur, Quelle délicieuse bandaison je faisais là, rivé à ce fessier superbement rond, douillet, n’attendant que mon bon plaisir…

Je n’y tins plus et donnai ma verge dure à sucer à Maud qui enfourna mon prépuce, le couvrit de salive, puis, le pointa d’elle-même dans la chatte de Lucie … Une délicieuse chaleur couvrit mon prépuce, gagna le long de ma verge, se répandit sur mes bourses que Maud pelotait toujours ; je poussai et entrai majestueusement dans les grandes levres ouvertes et chaudes de la sensuelle Lucie, celle-ci émit une petite plainte étouffée, la bouche rivée à la chatte de Maud qu’elle était en train de sucer de plus belle. Je prenais mon temps, goûtant pleinement à ce plaisir imprévu et fus vite au fond du merveilleux puit, mes bourses frottant les poils frisés de la jolie chatte toute humide ;

Je déchargeai abondamment dans le ventre de cette divine Lucie, planté dans son humidité ; Elles jouirent toutes les deux, Je fis aller et venir encore un peu ma verge et quittai la si accueillante chatte…

Lucie reprit une position normale dans le lit et me demanda d’un air malicieux :
- Alors, mon chéri, comment as-tu trouvé ?
Je répondis par un baiser sur ses lèvres chaudes, la serrant contre moi. Elle me serra contre elle, je rebandais, elle dit
- Quel plaisir d'être à trois, mes doux Chéris !
et elle se saisit de ma queue encore humide de foutre et la suça lentement, se gorgeant de mon foutre, ardente, vicieuse, sensuelle à souhait. Lucie riait, d’un rire de gorge qui fit tressauter ses beaux seins… J’avais encore envie de la baiser… Étendu entre mes deux « Maîtresses », celles-ci s’employaient à me branler, à visiter intimement mes arrières, palpant mes bourses, les gardant en leur paume (ô combien chaude !), s’embrassant sur la bouche, se faisant des caresses et marmonnant des bribes de mots osés :
- Oh, que c’est bon, ma Chérie, embrasse-moi encore ca, tu m’excites, ouuuvvvouiiiii…
Et tout ceci se terminait par des bruits mouillés, gloutons qui n’eurent de cesse de me faire à nouveau bander entre leurs mains… Je suçai les seins de Lucie, tétant goulument à ces petites pointes dressées, aréoles dilatées, je les gobais de toute ma bouche affamée… Lucie jouissait, elle devait être très sensible et jouir par les seins, tandis que Maud, elle, c’était le clitoris… à peine un frôlement et il se dressait, même à travers la fine culotte et la robe quand nous nous enlacions amoureusement…

J’avais retrouvé ma raideur et ma queue s’annonçait prometteuse dans sa future pénétration. Je me devais maintenant de prendre ma femme, dont le désir se faisait sentir, excitée qu’elle était par notre nouvelle relation avec sa mère et voulant en quelque sorte s’exhiber devant celle-ci, lui donner du plaisir par la vue de nos deux corps unis devant elle. Françoise se mit sur moi, à califourchon et ne tarda pas à se mettre en chatte une queue qui, bientôt la prit à fond en des trots saccadés…
Sa mère, à nos côtés se masturbait, ne nous quittant pas des yeux et disant des :
- Oh, mes Chéris, ouuiiii, c’est bon de vous voir, allez-yyyyy, quelle belle branle je faiiiiisss, vous me rendez folle
- De fait, je déchargeai assez rapidement en Françoise qui criait, haletait, caressant d’une main les petits seins tout agités de sa Chère Maman… Je finis ma semence à petits flots, enfilant à fond ma compagne, mes mains sur elle pour mieux la retenir collée contre moi… Jeanne jouissait comme une hystérique, griffant les draps d’une main, continuant à titiller son clitoris, à le pincer, à s’enfoncer deux ou trois doigts dans le con, telle une furie, les yeux au ciel, le regard perdu, mourant…


Qu’il était bon de contempler cette femme mûre, belle, coquine à souhait, là, au creux de notre lit conjugal, se donnant du plaisir sans retenue, sous nos yeux, dépourvue de pudeur… Comme il était bon d’être tous les trois à présent réunis, soudés, partageant notre secret, notre grand secret ! Cette pensée m’excita et je me mis à rebander dans le sexe de ma femme qui recommença à se démener sur ma queue ; je forniquai à nouveau en sa profonde chatte, tandis que sa mère ayant joui à plusieurs reprises à nos côtés, se mit sur mes fesses, les épousant pleinement de son con écrasé contre mon fossé ; mon anus sentait la chaleur de la vulve poilue… Ma Belle-mère s’excitait sur moi, dansait, se frottait contre moi, me tenait par les hanches, son visage dans mon cou, pendant que je baisais sa fille, elle murmura en haletant : « Baisez bien ma petite salope, allez, plus vite, mon Gendre chéri, mettez-la à fond, ouiiiii, ouiiiii, je suis fooollle de votre baaaiiiise, mes Amours… ». Je déchargeai en Françoise qui releva les jambes et nous étreignit tous deux… Nous étions soudés, terriblement vicieux, fous de sexe et d’inceste. Je sentis la cyprine de Jeanne couler doucement en mon fossé, mon anus imprégné de ce beau jus intime que cette dive femme, pressée là sur mes fesses, me faisait partager… Ma Belle-maman se dégagea et se pencha sur mon cul pour en licher la sève qu’elle avait déposée, elle me fit ainsi une toilette des plus approfondie, mon anus fut liché de belle façon, mon fossé nettoyé, sa langue insistant perversement, pointue, dansante, chercheuse… comme elle léchait bien, la belle garcière mature !! Ma Belle-mère délaissa mon cul et, haletante, ébouriffée, rouge, encore toute excitée, vint s’étendre à côté de sa fille, laquelle recouvrait peu à peu ses esprits après notre coït, allongée sur le dos, seins dressés aux belles aréoles rose-brun. Elles se tournèrent l’une vers l’autre et s’étreignirent coquinement en s’embrassant tendrement. Je vins tout contre les jolies fesses de Jeanne, les épousai étroitement, passant mon bras autour de la taille de mes deux femmes, nous étions délicieusement bien ainsi. Mon phallus reprenait peu à peu de sa vigueur se tendant vers le fossé culin si doux et chaud… Ma Belle-mère dit à sa fille : « Il bande encore ton Cher mari, je le sens tout contre mon cul, ma Chère, se pourrait-il qu’il ait le dessein de me vouloir bien enculer ? J’en serais ravie… qu’on se le dise… » ajouta-t-elle en tournant légèrement la tête vers moi par-dessus son épaule dénudée… Françoise répondit en gloussant : « Chéri, tu sais, Maman aime cela, tu devrais accéder à son désir… ». A quoi sa mère répondit faiblement : « Oui, mon Cher, mon défunt mari avait bien l’habitude de passer par la « porte du jardin » – formule recherchée s’il en est – pour me signifier qu’une jolie queue bien dirigée dans son magnifique popotin, lui ferait grand honneur… Et elle ajouta : « Vous êtes à point, mon Chéri, puis-je vous recevoir ? » avec un accent très XVIème des plus séduisant et convaincant… Ma femme ajouta : « Tu sais Maman chérie, qu’Armand est un sodomite remarquable qui sait me prendre merveilleusement par là et, ma foi, fort souvent pour mon plus grand plaisir ! ». Ce à quoi ma Belle-mère rétorqua : « Quelle chance, mon Amant de Gendre, vous allez donc pouvoir satisfaire mon vice… je n’osais vous le demander… faites-donc, à votre guise et prenez moi bien et de forte manière en ce petit endroit que volontiers je vous consens… » Quelle vicieuse ! Elle aimait tout décidément, sa fille, son gendre, la sodomie, les plaisirs de Lesbos et… vous le verrez plus tard, ceux de la Zoophilie… mais patience…

De fait, je bandais de plus en plus, les rondes fesses de « Maman » m’excitant au plus haut point… Je suggérai : « Mes Amours, je souhaiterais vous honorer généreusement toutes les deux par cette voie cachée aussi, voici ce que je vous propose : vous allez vous disposer à cheval l’une sur l’autre, étroitement serrées, vos jolis culs bien à portée (sous entendu de vit !) et ainsi, je pourrai vous servir bien courtoisement et vous bien visiter chacune à tour de rôle ; ainsi, aurez-vous, mes Chéries, ma queue en cul d’une régulière façon et profiterez-vous là de mes… « hommages » sodomites en même temps… ». L’idée fut bien reçue et elles se disposèrent aussitôt comme prévu, la mère sur la fille, celle-ci aquatrepattée au bord du lit ; quelle belle position, quelle vue, mes Amies et Amis, j’allais pouvoir accéder alternativement en un cul comme en l’autre, prenant un plaisir fou à les bien enculer à petits ou longs coups selon ma fantaisie… Je me mis donc en place, debout derrière elles, impatientes qu’elles étaient de sentir ce vit les visiter par la « porte de derrière »… La Mère s’agitait un peu sur sa fille, frottant son petit con poilu contre les chaudes fesses qu’elle épousait de tout son ventre… Je m’accroupis et donnai de la langue alternativement en chaque anus, le titillant, le salivant, le picotant du pointu de ma chienne charnue qui frétillait en ces séants… Je glissai même profondément la pointe de ma langue en chaque anus qui, en se contractant, semblait vouloir la retenir prisonnière en ses ardents satins. Les culs balancèrent un peu, de petits gémissements se firent entendre, cuisses et fesses superbes à ma vue… Quand je les eus bien préparées, poussant ici du médius en l’un et de l’autre médius en l’autre, en taquinant aussi plus bas le clitoris, je me frayai un chemin par un doigtage appliqué qui fut récompensé, car les anus se dilatèrent, s’ouvrirent, roses petits bombons plissés, ô combien attirants ! Ma queue fin prête et dardée, je l’humidifiai de salive et le prépuce humide et brillant commença son œuvre en ma femme, laquelle s’ouvrit du cul parfaitement et me reçut à petits coups de fesses jolis… je la pénétrai pleinement, fis aller et venir ma belle queueline ainsi en son petit trou-caca mignon (elle en avait l’habitude, nous aimions cela tous les deux, notre vice… si toutefois, l’on peut l’appeler ainsi)… puis, je déculai d’elle et vins prendre à son tour l’anusienne fleur de ma Belle-mère qui attendait ; je percevais son souffle, le nez dans les cheveux de sa fille, les seins collés à son dos, l’étreignant fougueusement en attendant d’être prise… Elle le fut bien vite, j’écartai ses fesses, l’anus s’ouvrit, petit puits rose magnifique, j’y plongeai mon vit et poussai… il entra sans difficulté, facilité en cela par les belles humeurs culines de sa chère fille ; ma Belle-mère geignit (de contentement) et me donna quelques petits et lents coups de cul qui eurent pour effet de l’empaler jusqu’à mes couilles… je raidis ma queue, dard en ses profondeurs et m’activai… Que cela était bon, mes Chères et Chers, quelle délicieuse douceur, une tiédeur absolue, un cul de Roi, un fourreau à ma gueuse queueline !! L’anus de ma Belle-maman me serrait fort, anneau de chair sur les rondeurs de mon phallus, me retenant, glissant, se serrant à nouveau puis s’ouvrant… je naviguai ainsi quelques instants, puis je déculai d’elle et vins retrouver sa fille en dessous… Ma queue était rouge vif, tendue à l’extrême, une excitation peu banale, bien que la sodomie à chaque fois provoquât sur mon anatomie une forte, très forte érection ! Je fouillai ma femme en plusieurs coups de bite, m’enfonçai, me retirai, poussai à nouveau – elle était folle de jouissance et criait sous sa mère qui la bais ait en cou, lui faisant une succion à la racine des cheveux – comme si elle eût pris en gueule un chaton… Je sentais monter mon jus, ma lave, pourrais-je encore la retenir ?

Je sortais, je rentrais, je changeais de couloir culin, quelle ivresse ! Ma queue comme paralysée par l’immense plaisir qui s’en venait faisait ici l’office d’un beau boutillon que j’administrais à ma volonté, à mon rythme, à ma cadence, bien soucieux cependant de donner le plus de plaisir possible à mes deux partenaires… Je me retirais d’un cul, celui-ci me cherchait, remontait et je partais vers l’autre cul qui m’attendait, m’aspirait, me serrait… je le quittais à son tour pour retrouver l’autre… je partais, je revenais, j’entrais, je sortais dans un galop anal infernal, maintenant par les hanches mes deux coursières aux fesses brûlantes…


Je commençai à jouir en ma Belle-mère… un petit flot bouillant projeté profondément dans le rectum… je ressortis de suite… poussai dans le cul de Françoise… déchargeai… un autre beau flot brûlant, puis je revins en ma Belle-mère, l’enculant à fond et déposant mon foutre en obole aux fins fonds de l’abysse satiné… puis, je déculai d’elle et revins vers ma femme où je me vidai définitivement, haletant, suant, essoufflé, rouge, vidé de mon foutre… Je restai en cul de Françoise toujours dominée par sa mère qui l’étreignait hystériquement… Un long filet de foutre blanc épais s’écoulait peu à peu du bel anus de ma Belle-mère, descendait doucement vers les poils fournis de sa chatte, longeait les lèvres gonflées par le plaisir, se perdait ensuite dans mes poils et à la racine de ma queue, toujours fichée en cul de ma femme… le foutre ne s’arrêtait plus… lave gluante débordant du volcan anusien de Jeanne… Je déculai de Françoise… son petit anus dilaté expulsa une petite giclée blanche, molle, un peu translucide, gélatineuse qui, de l’anus gagna sa chatte pour s’écouler sur le drap en petites gouttes étirées et flasques…

Ma Belle-maman encore excitée — était-ce l’odeur de nos culs, de nos suints intimes et celle de leur cyprine ? — je ne sais, mais elle semblait soudain folle de luxure… elle descendit des fesses de sa fille, s’accroupit et se mit à licher comme une démente, ma semence qui s’échappait du beau con de Françoise ; elle lécha, lécha, écartant bien les fesses, les claquant par intervalle, poussant sa langue pointue en l’anus rose refermé, comme une petite bouche pincée… Ma femme, sous cette caresse, fit aller de haut en bas son petit cul et se mit à geindre doucement, la langue licheuse de sa mère et la salive de celle-ci contribuant à apaiser le feu de son cul qui venait d’être pris si joliment… Puis, ce fut au tour de ma femme de lécher sa mère, cul levé, fesses écartées, elle lui fit même office, même vice, même caresse linguale appliquée… Jeanne jouissait à petits souffles rauques… aquatrepattée, les mains bien à plats, sur le tapis au pied du lit… Bien que la vue fut de bon aloi, je ne me mis point à rebander et filai au cabinet de toilette pour me bien purifier après tant de folies anales… Mes femmes m’y rejoignirent.

Nous prîmes un petit encas, bûmes un peu de champagne et nous nous couchâmes, tous trois enlacés pour tenter de trouver un sommeil réparateur… Il était deux heures du matin. Apaisés, épuisés, les yeux cernés, nous nous endormîmes, abandonnés et sereins. Le lendemain, nous devions partir en voiture pour le Vercors où nous attendait notre vieil Ami le Berger, nous ayant proposé de nous recevoir pour une semaine sur ses hauteurs, près de ses pâturages, en sa cabane confortable et isolée où mon épouse et sa mère pourraient satisfaire en toute discrétion leurs envies zoophiles… Mais, je vous en reparlerai… patience, mes Amies et Amis. D’ici là, faites de beaux rêves, à bientôt !


Le Marquis de Chair
mes deux femmes (d'apres Jacques Hiers) (E)
Je regardai Lucie qui, nue et sans la moindre gêne, monta sur mes genoux et me demanda de baiser avec avidité sa belle poitrine. Elle posa l’une de ses mains sur ma joue. J’étais abasourdi et ne savais que di ...

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bruits dans l'hotel


Malgré l'heure avancée de la nuit, nous ne dormions pas. Allongé dans le lit de l'hotel, je regardai María. La vue de son corps débarrassé de tout vêtement pouvait me faire supporter n'importe quel tourment. Alors que je la regardais, je cru entendre un gémissement venant de la chambre voisine, occupée par un couple de touristes allemands, séparés de nous par une mince cloison. Puis ce fut une serie de gémissements étouffés. L'excitation, décuplée par mon imagination, me sortit immédiatement de ma torpeur et je tendis l'oreille. Je perçu alors tres nettement quelques bruits de succion terriblement suggestifs. Alors que ces bruits infimes semblaient survenir à des intervalles de plus en plus courts, j'entendis clairement un râle rauque bien plus fort que les autres se détacher dans la nuit. Mon imagination s'affola. Je me sentis durcir outrageusement contre la cuisse de Maria. Désormais, mon érection était si forte qu'elle en était douloureuse. Surprise, ma tendre moitié se retourna et me lanca un regard interrogateur. Je lui proposai d'écouter avec moi les sons qui nous parvenaient de la paroi qui nous séparait de nos voisins. Les bruits avaient repris, et cette fois, étaient clairement féminins. María se retourna pour mieux écouter. Après quelques instants, je sentis que les soupirs et les gémissements étouffés, mais clairement audibles, commencaient à l'exciter elle aussi.
María est, comme beaucoup de latines, complètement désinhibée. Bien que fervente catholique, elle ne voit aucun mal à assumer son penchant pour les plaisirs de la chair, car si Dieu l'avait ainsi faite, c'est donc qu'il ne voyait aucun problème à ce qu'elle agisse en accord avec sa propre nature. L'oreille sur la paroi donc, Maria me decrivit alors le mouvement d'un sexe masculin qui rentrait et sortait d'un ventre feminin, des allers retours qui s'accélèrent, car les soupirs de nos voisins étaient de moins en moins discrets. Je me surpris alors à caresser le ventre de Maria d'une main et m'approchai en de lentes courbes de ses lèvres intimes. C'en est trop pour elle. Elle me fusilla du regard
- Viens vite ! .... Prends moi!
Elle me retourna sans menagement, monta sur moi, se saisit de ma tige, me masturba et absorba ma verge avec un tres sensuel bruit de succion. Je tins environ 20 secondes, pas plus, à ce rythme infernal, avant de me repandre abondemment dans son ventre avec de longues giclées qu'elle reçu comme une récompense personnelle.
Visiblement, nos propres ébats n'avaient pas laissé indifférents nos voisins, qui ne prirent même plus la peine de cacher leurs gémissements, leurs râles et leurs cris. María devint comme folle et me supplia de la prendre de nouveau. Je me jetai presque sur elle et la pénètrai immédiatement avec une sauvagerie bestiale. Je vis le visage de María se déformer sous mes assauts. Elle avait le regard presque vitreux. Les cris stridents de l'allemande nous encouragent. Maria me hurla de la prendre plus fort. Elle me griffa les fesses qu'elle plaqua contre son bassin pour accentuer mon mouvement. Je l'entreprenais, la pilonnai, aussi fort et vite que je le pouvais. Elle se mit à crier aussi alors que je poussai de grands râles rauques.
Alors que nous changions de position pour éviter une conclusion trop rapide, nous entendimes soudain des gémissements distincts dans l'autre piece. Il s'agissait d'un couple d'anglais. Dans notre épopée avec nos amis d'outre-Rhin, nous en étions venu à oublier complètement leur présence dans la chambre 3. Elle, était une femme noire élégante, presque hautaine, et dotée d'une grande beauté. Son compagnon était un homme brun dont le regard m'avait paru désespérément vide. Nous avions immédiatement préféré les allemands, plus avenants. Mais voilà qu'ils se mêlaient à la partie.
L'anglaise cria à en faire trembler les murs. Rendu fou par nos voisins et par ma compagne déchaînée, je saisis Maria, et la collai violemment contre la paroi qui nous séparait des anglais. Avide et animal, je la pénètrai avec force. La sueur nous coulait sur chaque partie du corps et fut à l'origine de bruits de mouille qui me comblerent.
Nos trois couples furent saisis d'une étrange fièvre et l'émulation devint notre seule énergie. Nous mêlions nos cris avec un plaisir sauvage que nous n'aurions jamais soupçonné posséder en nous. Alors que je pénètrai María, je m'imaginais prendre tour à tour l'anglaise et l'allemande. Après que notre excitation ait atteint le firmament, Maria et moi ralentissions et puis nous arrêtames un instant.
Maria se retourna vers moi, me remercia, et nous nous enlaçames tendrement. Je la soulèvai et elle enroula ses jambes autour de ma taille. Je la pénètrai de nouveau et, rapidement, je jouissai d'un des plus longs et puissants orgasmes de toute ma vie avec elle. Nous restames ainsi serrés un long moment, mon foutre glissant de son vagin, coulant sur ses fesses et gouttant par terre avec un bruit qui devient tout le symbole du calme après la tempête.
Nos voisins avaient également terminé leur affaire. Maria et moi nous regardions, surpris, puis, progressivement, ravis. Nos sens enfin apaisés, nous retournames chacun dans nos lits en pensant jusqu'au lever du soleil à ce songe d'une nuit d'été.

bruits dans l'hotel (E)
Malgré l'heure avancée de la nuit, nous ne dormions pas. Allongé dans le lit de l'hotel, je regardai María. La vue de son corps débarrassé de tout vêtement pouvait me faire supporter n'importe ...

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sur le sofa


Elle s'était installée là, allongée, nue, sur le sofa, devant moi, telle une panthère au repos, comme je lui avais demandée.
Je commençai mon esquisse par une fine caresse sur ce corps qui brûlait mon regard. Je suivis le creux de ses reins avant de redescendre le long de ses jambes finement galbées. Je passai un doigt d’ébène dans ses longs cheveux ondulés, avant de me noyer dans le bleu profond de son regard tourmenté. Je frôlai ses joues, comme essuyant une larme imaginaire, puis déposai sur ses lèvres un rouge vermeil qu’elle me renverrait en baiser. Ma main revela ensuite les contours gracieux de ses seins, ornant de rose et de brun les dunes satinées de sa poitrine tendue puis j'effleurais les plis discrets d’un souffle de hâle tout en voilant de gris le nid discret au creux de ses cuisses, m’imaginant les entrouvrir avant de m’y glisser et d’y mourir. Elle me regarda d’un sourire malicieux qui me mit bien plus mal à l’aise qu’une quelconque réprimande.

Elle reprit ensuite la pose dans un immobilisme statuesque. Je terminai alors consciencieusement d’orner ses longues jambes de mille reflets roses puis achevai mon travail par les nombreux détours de ses pieds fragiles.
Elle était toujours nue, allongée devant moi, mais je n’osais même plus la regarder. Pourtant, lorsque je relevai enfin les yeux, elle souriait. Puis, à ma grande surprise, elle approcha ses lèvres des miennes et y glissa un furtif baiser avant de me chuchoter dans le creux de l’oreille :
- vous devriez apprendre à maîtriser vos émotions !
Son sourire s’agrandit encore un peu plus. J’avais une envie folle de la prendre dans mes bras. De serrer son corps nu contre le mien et de l’embrasser comme jamais je n’avais embrassé une femme. Elle s’aperçut de mon trouble, me fit un leger baiser sur la joue, sans détacher son regard du mien, Elle laissa glisser sa robe sur le sol, lentement, pleinement consciente de l’effet qu’elle avait sur moi. Elle alla ensuite s’étendre sur le sofa et prit la pause. je me sentais encore plus nu qu’elle. Elle resta immobile, en attente; Retenant le frisson qui menaçait mon corps, contrôlant la faiblesse qui s’emparait de mes jambes, j’écartai le canevas. Tout en me dirigeant vers elle, je guettai ses réactions, craignant un recul; elle n’en fit rien. Tendant ma main vers elle, j’effleurai son cou; ce qui lui fit à nouveau fermer les yeux. Doucement, j’attirai son corps contre le mien, sa chaleur affectant mes sens de plus en plus . Je decidai de la peindre en utilisant son corps comme toile, mes mains et ma bouche pour pinceaux. De ses mains douces, elle me devetit dans un geste sensuel rempli d’anticipation et de hâte. La tête me tournait légèrement, et je ne résistais pas aux impulsions qui me traversaient….
je l’entraînai doucement vers la moquette douce. Elle était maintenant allongée, en attente, un fruit prêt à être savouré. Je la regardais droit dans les yeux, toujours craintif de l’entendre me dire non …. mais elle était autant sous l’emprise du moment que moi. Je l’embrassai longuement, langoureusement, ma langue sondant la sienne, tout d’abord doucement puis dans un crescendo d’intensité enivrant. Je laissai ensuite mes lèvres suivre les contours de son cou; Sa peau était plus douce que la soie, et sa chaleur me la rendait que plus excitante. je continuais l’exploration de son corps voluptueux, parcourant ses cuisses de l’extérieur vers l’intérieur. ce fût ma main qui se mît à explorer les parois de son sexe, mes doigts glissant à répétitions sur ses levres humides. Chaque soubresaut de son corps sous mes caresses devenait un encouragement à aller encore un peu plus loin. Je jouais doucement , de mes doigts, de son bouton de plaisir gonflé à souhait… Je me délectais de la douce odeur de son sexe, de sa moîteur.
Une lueur de malice dans les yeux, elle reçu mon baiser. Féline, sensuelle, elle se replia sur elle même, en parcourant mon corps avec sa langue et ses mains. Mes sens envahis de toute part ne pouvaient plus que succomber. Puis elle s’arrêta, mon corps allongé sur le sien, elle me fit voir le plus beau des regards; plein d’attente, de désir ... je me déplaçai doucement vers ses jambes, les embrassant doucement, presqu’en frôlement, remontant ses cuisses. Le bruit de plus en plus saccadé de sa respiration, les tortillements de plaisir de son corps, ses gémissements s’intensifiaient. Je glissai ma langue à nouveau sur ses seins, suçant doucement ses mamelons durs et droits, puis les caressant de mes mains…..

Déposant mes lèvres contre les siennes, ma langue contre la sienne, je sû qu’il était temps…. Lentement, je me glissai en elle, et je goûtai pleinement à la chaleur et la moîteur de son intimité chaude. Son ventre me paraissait immense et insondable, Elle était comme extasiée, les jambes écartelées. Elle frissonnait doucement. Le mouvement de va-et vient, tout d’abord lent puis de plus en plus intense, la fit réagir. Et quand la jouissance vint, je crû un moment que je perdais la tête en même temps que ma sève chaude s’écoulait dans son jardin secret, nos corps étaient simultanément pris de secousses convulsives.
Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, assouvis. Tout ce que je voulais, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau. au bout d,un moment, elle se releva, me regardant du regard le plus beau, le plus clair qu’elle pouvait, et se rhabilla en silence, elle vint déposer un furtif baiser sur mes lèvres, puis, sans même se retourner, franchit la porte de mon studio….
Plus jamais je n’ai travaillé dans ce studio sans revoir son image, son corps nu et ses formes de panthère, mais plus jamais je n’ai fait l’amour avec un de mes modèles; ça n’aurait été que tenter de retrouver un paradis perdu, un rêve terminé…
sur le sofa (E)
Elle s'était installée là, allongée, nue, sur le sofa, devant moi, telle une panthère au repos, comme je lui avais demandée.
Je commençai mon esquisse par une fine caresse sur ce corps q ...

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persuasion


Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion... Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle me provoquait avec un art consommé de petits gestes discrets, de petits regards, divinement sensuels. Elle était plus séduisante encore... J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere.
Elle tourna son regard dans ma direction, me fixa, plus intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. J'étais sous son emprise. Elle semblait s’en amuser. Elle me troublait terriblement. Mecaniquement, je me rapprochai d’elle un peu plus, sans précipitation ni brusquerie, j’entamai la conversation avec des banalités. Elle était réceptive, tour à tour grave et ironique. Nous discutions librement mais ses yeux brillaient d'un eclat ravageur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittais plus le sien. Je lui faisai part de mon admiration pour les belles femmes. C'est alors qu'elle me prit par le bras, m'emmena un peu à l'écart et testa mes dispositions reelles
- Mais ... dis-moi ? Est-ce qu'au moins, je te plais ? ... Tu me fais danser ? ...
Elle me provoquait, me troublait, je tentais de dissimuler les manifestations exterieures de mon émoi jusqu'à ce qu'elle me souffle:
- reste tranquille, et serre moi contre toi !
Elle me souffla quelques mots à l'oreille d'une voix à peine perceptible, comme si elle me confiait un secret. Faisant comme si je n'avais rien entendu, je la regardais, un peu déboussolé, je sentais contre moi sa poitrine se gonfler au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé. J'étais comme ivre, ne sachant pas vraiment comment reagir. Je poursuivai avec de nouvelles banalités. Elle ne quittait pas mon regard semblant ignorer superbement mes plates considerations sur la soirée. Puis elle passa sa main sur ma nuque, ses doigts dans mes cheveux, attira mon visage vers le sien.
- Mon corps a faim !
Cela n'ameliora pas mon état ! J'eu à peine le temps de reagir en louant ses charmes mysterieux, qu'elle me deposa un baiser sur les lèvres d'une longueur à me faire fondre ! Puis elle s'écarta, le regard brillant en poursuivant ses confidences,
- Tes lèvres sont chaudes. ton regard est brulant ! ... Non, ne rougis pas ! J’aime me sentir pleine du désir d'un homme. J’aime savoir son esprit excité,
- Ton beau visage me grise et m'attire. Ta chemise entrouverte m'invite à tous les délires.
Je m'appretais à me separer d'elle à la fin de la musique, lorsqu'elle me retint par la main
- Tu n'as donc pas compris ? ... J'ai envie ! ... Et bien oui, maintenant, pourquoi pas ?
- Emmène moi là bas, nous serons plus tranquilles !
C'était une injonction. Nos visages se sont rapprochés un peu plus, et ce fut elle qui m’embrassa avec passion, glissant aussitôt sa langue dans ma bouche.

Nous nous sommes rapidement retrouvés à l'écart dans un coin plus sombre de la salle. Je touchai avec delice de doux tissus au contact de son corps
- Je vois tes qui yeux brillent ! Tu veux savoir ? Continue ton exploration !
Je la desirai, et elle me desirait. Pendant que nos bouches et nos langues dansaient l'une avec l'autre, ses mains cherchaient les boutons de ma chemise, tandis que je m’affairai sous uses tendres dessous tandis qu'elle s’attaquait à ma ceinture. En quelques secondes, nous étions, corps à corps, en partie dénudés, glissant nos peaux l'une contre l'autre, prêts à l'amour ...
Tel un oiseau febrile cherchant son nid chaud, je lui exprimai mon impatience d'elle, mon desir de m'enfouir en elle. Elle me regarda avec des yeux humides. Et sans attendre, je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. je me sentis tres naturellement aspiré en elle. Elle m'accueillait avec gourmandise. Je me sentis aspiré en elle, comme dans un cocon mielleux, une sensation paradisiaque, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Je glissai avec délice entre ses muqueuses distendues. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. elle s'abandonna à mes attouchements. nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Elle me fit cette remarque avec sourire
- C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois pas ?
- Je te fais du bien ? .... Tu me fais du bien aussi, tu sais !
Elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande. Je sentais ses douces caresses intimes. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- Bien au fond ! ... Tout mon corps te reclame !
Son souffle était lent. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était déjà plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience.
- Continue ! ... Bien au fond ! ... Je veux te sentir en moi bien gros ... et bien long ! ... C'est si bon !

Mes mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. J'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordillait les levres, doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était plus puissant, plus profond. Elle remuait pour bien me sentir envahir ses muqueuses, me faisant découvrir ses douces contractions intimes tendres et tièdes. J'accélérai encore, ma douce excitation devint un désir plus ardent, Elle ouvra grand les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, tout son corps semblait jouir de mes pénétrations rythmées. Je sentais mon plaisir monter, mon envie de me lâcher. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle semblait prise de vertige.
- Maintenant ! me supplia-t-elle, je veux que tu viennes !
- Non, ne te retire pas ! Reste en moi ! Je veux que tu jouisses en moi ! bien au fond !
- Je veux te sentir envahir mon corps ! Je veux que tu te perdes en moi, que te noies dans ma source,
- que tu me remplisses de toi, tout au fond de mon ventre !
- aime moi et donne moi tout de toi ! Maintenant ! Jouissons ensemble !
Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement. Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Elle me tira vers elle, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Je me crispai au fond d'elle ..... et fou d’un désir intense, je ne parvenais déjà plus à me retenir, je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps en plusieurs salves riches et genereuses, à me faire perdre la tête, l'inondant de ma douce chaleur. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordilla les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir.

Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule.
- Tu es un vrai lion ! ... Comme je les aime ! ... Tu as été merveilleux !
Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi.
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé.
Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Je lui confiai mon extreme bonheur d'avoir vecu ce moment avec elle,
- c'eut été dommage de manquer ce moment, tu ne crois pas ?
Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale.
La minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien ces moments. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir ainsi me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. Je l’embrassai sur l’épaule. Un second baiser, moins chaste, la fit reagir, et, se frottant les yeux, elle me couvrit de baisers, Nous avons refait l'amour, une grande partie de la nuit ...



persuasion (E)
Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion... Eclat impudique du désir ...

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jouissance


Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui glisse, grossit, s'allonge dans ses chairs. Elle m'aspire, me tire, me pousse en jouant de son corps. Elle souleve son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, elle se donne du plaisir. je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se frottent l'un contre l'autre. J'entends les bruits mouillés causés par les mouvements de son corps sur mon sexe bandé. Elle ondule du bassin, monte et descend sur moi, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'est suave, je glisse dans du beurre, je suis au paradis,
- Tu aimes ? ...
je sens les legeres contractions de ses lèvres intimes sur les parois de ma verge prete à exploser. je sens ma verge se contracter, je pousse mon bassin en avant. Elle continue à se coulisser elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses seins ballottant au-dessus de moi exacerbe ma vigueur ! Je bande monstrueusement au fond de son ventre, Empalée à fond elle remue pour bien me sentir en elle, tout en me fixant de ses yeux brillants.
- Je te fais du bien ?
- Toi aussi tu me fais du bien tu sais ! ...
Sa frénésie redouble. Elle s’enroule, se défais, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Je râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle est en sueur, elle veux jouir, vite. Elle joue des contractions de son vagin sur mon gland qui la fouille. Elle se déchaîne soudain, ses seins ballottent de droite à gauche, puis, elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !
Elle me fusille du regard
- Maintenant ! ... Viens vite !
Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Un trait monte en moi, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent, se contracte et .... je me lache ! je laillis ! je me libère en elle, sans retenue. Je gicle par spasmes riches et généreux. Je jouis à n'en plus finir au fond de son ventre. Le doux clapotis de nos sexes emboités amplifie ma puissante éjaculation. Ses sécrétions sont abondantes. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont humides de plaisir. Ses beaux seins ballottent au contact de mes lèvres,
- Prends les ! Palpe-les bien ! ils aiment tes mains chaudes ! ... Suçe les ! Ils ont besoin de tes lèvres
Et Je jouis une deuxième fois, et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle digere mon gland qui trempe dans mon sperme.
- Tu as été magnifique !
Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournons à la réalité.

jouissance (E)
Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui glisse, grossit, s'allonge dans ses chairs. Elle m'aspire, me tire, me pousse en jouant de son corps. Elle souleve son bassin puis se laisse retomber en poussant ...

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la chair éprise de la chair


Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. Elle se masturbait allègrement sur moi en surveillant mes réactions. Je la regardais jouir, Ces pénétrations affolaient nos sens. Je la sentais empalée, toute entière autour de mon mat, l'enveloppant,comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre.

Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir les corps, c'était déjà la chaleur de l’été et nos chairs se laissaient irradier de joies intimes. Vibrants contacts entre nos peaux. Vibrantes chaleurs de nos corps. Nos visages se mangeaient. Je m’enfoncais en elle. Frémissements, ses yeux étaient fermés. Elle me sentait, s’abandonnait, liquide, légère, je voyageais en elle. Je m'enfonçais dans son ventre, profondément, je goutais ses succions. Elle baignait dans une lumière veloutée. Mes muscles se tendaient. Je me raidissais, je me retenais… et d’un souffle, je vidais une première fois ma joie en elle. Je me penchais contre elle. lui donnais un baiser, lui souriait. Nous retrouvions nos forces

J'éprouvai alors une véritable jubilation en sentant mon sexe dur glisser de nouveau dans ses chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, fasciné par ses gros seins tremblent et s'écrasant sur mon torse, je me laissai alors emporter par ma fougue de mâle. Agitant vivement ses hanches, elle se faisait joyeusement coulisser sur moi et moi, je goutai les moiteurs chaudes de ce cocon de chair m'aspirant comme un poulpe, j'éprouvai un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous les chocs répétés de mon gland volumineux, elle ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées. Haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu, l'engloutissant de nouveau d'un coup sur toute sa longueur ! Cette pénétration massive et rapide lui coupait le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je voyais qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir encore plus, et j'essayais d'en faire autant. Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonna entre ses lèvres trempées :
- Plus vite ! grogna-t'elle … bien au fond !…
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant mon bas-ventre et mes bourses. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de mon amante, je m'activai de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous son corps en sueur, elle s'était mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Je ne tardai pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser, elle avait compris que j'atteignai le point de non retour, aussi m'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de son vagin affamé.

Alors tel un cheval pressé de retrouver sa chaude ecurie, j'accélérai encore le mouvement saccadé de mes reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Nos deux corps mélangés se mirent à vibrer. Elle m'aspira fort. Sous ses baisers brûlants je me sentais défaillir contre son corps agité de plusieurs spasmes violents. Et dans un véritable feu d'artifice ... je déchargeai ma semence ... à longs traits dans sa vulve accueillante, je laissai jaillir dans son ventre une chaude liqueur, fruit de mon orgasme. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du ventre de Lea.

Elle se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla a mes gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous moi, son jeune amant moi aussi totalement vidé et anéanti.

Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea se separa de mon corps devenu trop lourd, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
- Tu m'en as mis des litres, s'exclama-t-elle en se penchant sur moi pour m'embrasser tendrement… J'en ai de partout…
- C'était bon ? Interrogea-t-elle tendrement. Tu as aimé ?
- J'ai adoré ! On va remettre ça !
la chair éprise de la chair (E)
Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. Elle se masturbait allègrement sur moi en surveillant mes réactions. Je la re ...

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A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle sens à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourt a mon tour, tout se passe trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions. Elle ne fait rien pour nous calmer,
- Ils discutent. Nous avons tout le temps !
Mes mains remontent rapidement sa robe puis ses dessous de nylon, jusqu'à sa taille. Tout se precipite ! Je suis maintenant totalement sous son emprise, à sa merci ! Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses.
Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine ! Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches,
- Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ...
Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite,
- Oh que c'est bon ! Tu m'excites !
Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure
- Maintenant ! Vite !
Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise.
- Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair
Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins.
- il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose.
Elle remet sa robe, puis colle son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressors, elle est déjà retournée au living.
- Oh c'est bon ! ... Merci !




Sa voix est chaude et un peu rauque. Elle s'étale sur toute la surface de mon corps, telle une mante assoiffée. Elle me fixe, gourmande, predatrice. Elle se colle à moi, saisit mon visage, me prend la tête, mon sexe qui se lève entre ses lèvres ouvertes, quelques frottis frotta, et je le sens aspiré. Je la penetre, elle m'engloutit, elle me suce, se laisse glisser sur mon mat dans de jolis bruits liquides. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne contrôle plus rien, je me déchaîne, je me lache ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre. Notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi



Elle se cambra et d’un coup de rein, elle aspira mon sexe, l'absorbant jusqu’aux bourses. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud.
- Prend mes seins ! Caresse les ! A pleines mains !
- Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi ! Baise moi ! Avec ardeur !
Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. J'amorçais plusieurs va et viens, je butais au fond d'elle. Et très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, me crispai, commencai à me retirer pour eviter l'eruption
- Non reste ! Bien au fond ! ... Et conclue ! Vite !
Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me bloquai au fond de son ventre et je déchargeai abondamment , en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Elle resta là devant moi, siderée, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa un peu, laissant ma verge ressortir, entraînant le foutre qui coulait dans sa fente. Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours,
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.







Le repas de travail avec ses associes s'était prolongé, les discussions s'animaient. Je regardai discrètement la patronne qui semblait s'ennuyer, et d'ailleurs, moi aussi. Vetue d'une enveloppante robe noire moulant des seins généreux qui remuaient au rythme de sa respiration. Des seins lourds, beaux, massifs, légèrement mobiles gonflés et les pointes en saillie, une belle femme. Elle me fixait depuis un moment, elle me provoquait. il faisait chaud. J'étais en émoi. Elle s'en est aperçue. Elle s'était alors lèvée, était venue vers moi et m'avait glissé à l'oreille:
- pendant qu'ils discutent, Venez, je veux vous montrer quelque chose !
Je m'étais lèvé en m'excusant, et je l'avais suivie dans le couloir. Arrivés dans une alcôve, elle s'était retournée brusquement, s'était pressée contre moi, s'était frottée sur moi, puis m'avait embrassé sur la bouche. son parfum était intense, Je restai un moment sans réagir. Elle appuya ses caresses. elle semblée déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautaient.
- J'ai vu votre regard ! Vous m'avez donné faim !
Elle avait alors ouvert une porte derrière moi, et m'avait poussé sur le grand lit, puis s'était étalée sur mon corps. Elle s'est alors jetée sur moi, se frottant contre moi, écrasant ma tête entre ses seins. Puis elle avait pris mes mains et les avait dirigées vers elle.

(E)
A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle sens à travers, mon pantalon, mon sexe déj& ...

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Angela


Angela, maintenant seule avec dans sa chambre, troublante, et entièrement nue contre le mur. Cheveux blonds, des beaux seins, ronds et souples qui ballottent doucement au gré de ses mouvements, libres de toute contrainte, Des courbes ondulantes, elle doit avoir 20 ans, une peau lisse, délicatement bronzée. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies. Elle provoque mon émoi, je bande sans détour, elle le voit. Nous sommes seuls, face à face. Elle me nargue
subitement, elle m'attire vers elle, prend mes lèvres et me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes. Je sens alors sa main frôler mon pantalon qui a doublé de volume. Elle sourit et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte, me regarde fixement avec un léger sourire gourmand et plaque son ventre et le frotte contre mon maillot. Elle palpe sans pudeur mes reliefs, durs comme du bois.
- C'est pour moi tout ça ?
Cette belle plante a des formes à faire bander tout un monastere. Je suis toujours contre elle, elle me colle litteralement. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies qui me provoquent. Je continue à bander sans détour. Elle se colle alors franchement contre moi. Je bande maintenant comme un cheval, ça a l'air de lui plaire. elle glisse sa main dans mon pantalon et déjà elle me pétrit le sexe à pleines mains. Je me mets à petrir ses seins, fermes et opulents. Je n'ai dés lors qu'une hâte, celle de me planter dans son ventre. Elle est si mouillée que je sens sa toison trempée collée contre sa peau. Je prends sa merveilleuse poitrine. Je la palpe de plus belle en bandant comme un ours. Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre, ses seins me narguent, je bande douloureusement. Elle branle mon mat, et d'un coup, sans prevenir, elle se l'enfile dans ses chairs. J'ai a peine le temps de realiser ce qui se passe,
- Ne dis rien ! Et profite ! Prends ton plaisir !
Je ne me fais pas prier. Je m'enfonce en elle, je me sens aspiré, avalé, suçé, absorbé. Je glisse dans son ventre chaud, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux. Elle soupire, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Avec dextérité elle coulisse sur moi, je m'enfonçe voluptueusement en elle allant et venant lentement la faisant glisser le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté absolue épouse parfaitement son vagin étroit. Elle me va comme un gant, mon sexe coulisse dans son ventre avec de delicieux bruits de succion. Elle finit par engloutir mon membre sauvagement , je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, Tout en se frottant à moi, elle accélére sans cesse le rythme, Elle grogne, elle va venir… Des spasmes secouent soudain son corps, je sens sa mouille à nouveau couler. Et elle jouit ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle me conduit au bord de l'explosion et s'arrête juste à temps
- Et maintenant ... Lache toi ! Viens !
Nous accélérons. Elle grogne de plus en plus, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je me lache. Rendu au point extrême où tous les sens explosent, en son trou, offert, je me répands enfin en une apothéose …Je libére ma sève et lui remplit le ventre, abondamment. Elle me sourit,
- J'ai encore faim !

En moins de deux minutes, ma bandaison est repartie ! Je m'exécute et me glisse de nouveau en elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre. Mon sexe se deploie dans son ventre, horizontal, dur, gonflé et brûlant. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre…
Puis elle se relève, prend ses affaires sort de la piscine au moment
- Tu me rejoins sous la douche ?






Nous etions desormais entierement nus l'un contre l'autre, dans la petite chambre d'Angela. nos peaux glissant l'une sur l'autre. Ses seins s'épanouissaient mollement contre mon torse. Elle écartait doucement les jambes, mi craintive, mi consentante, tout en me scrutant d'un regard mouillé, et je la pénétrai doucement, profondement, par incursions successives. Elle m'accueillait en elle avec une certaine apprehension mais de plus en plus d'abandon assumé, de maniere suave, comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Angela soupirait les yeux grand ouverts dans le vague. Ses chairs s'ouvraient et son corps peu à peu s'offrait à moi, telle une fleur. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrai doucement, tendrement. Son souffle etait lent, puis, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. Autour de moi, les lumières tournaient, je sentais les pulsations dans mon corps. Elle esquissa une grimace, puis inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas. J'atteignai bientot le fond, je restai un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres. Je glissai delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à relancer ma vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai à l'extrême au fond de son ventre. Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait aller en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Enfoncé au fond d'elle, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant cherchant son accord pour poursuivre...
Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittai plus son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisasi partie d'elle, je l’habitai, en savourant cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait de ses lèvres intimes, me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissai dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient.
Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de son corps... Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser. Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encouragea à lui donner le meilleur de moi ! Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !
Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir. Je n’en pouvais plus... jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce. Elle resta blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sentais riche d'elle, toujours en elle, apaisé, vidé, comblé, je rêvais d’éternité, je voulais qu’en cet instant le temps se décompose,
- Angela ... Je vous sens contre moi, chaude, et douce et volontaire. Vous me donnez votre douceur, votre tendresse, votre fraîcheur, vous êtes belle et souveraine... Je glisse hors de vous ... Je vous embrasse, vous caresse...
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.
Angela (E)
Angela, maintenant seule avec dans sa chambre, troublante, et entièrement nue contre le mur. Cheveux blonds, des beaux seins, ronds et souples qui ballottent doucement au gré de ses mouvements, libres de toute contrainte, Des ...