![]() | Elle se positionne sur moi, saisit mon sexe et se l'enfile dans le sien. Un étui chaud et humide entoure ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle s'empale sur moi, Cette pénétration affole nos sens. Son corps inondé de sueur luit sous la lumière. Elle s’offre à son plaisir, à mon plaisir. La sensation est puissante, affolante. Je suis en elle, et plus rien ne compte. Une moiteur torride enveloppe mon sexe. Elle enveloppe mon mat de son ventre brûlant. Elle coulisse sur moi, les yeux à moitié fermés, Elle s'agite, s'empale un peu plus, sur mon mat qui se tend et s'allonge dans ses chairs. Elle se frotte, ondule. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse, s'applique, en jouant de mon corps. Ses seins splendides se mettent à ballotter librement. | (E) Elle se positionne sur moi, saisit mon sexe et se l'enfile dans le sien. Un étui chaud et humide entoure ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle s'empale sur moi, Cette pénétration affole nos sens. Son corps inond ... |
![]() | telle un poulpeun étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompe, me lisse, aspire ma verge gorgée de sang, l'engloutit et la brûle. Je la sens toute entière autour de mon mat, l'enveloppant, comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation est affolante.Empalée sur mon mat, elle se masturbe allègrement sur moi en surveillant mes réactions. Frémissements. Ses yeux se ferment, son corps s'ouvre. Elle m'absorbe au fond d'elle. Elle s'ouvre à moi et naturellement, je glisse dans son ventre, Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacent mon sexe dans son ventre. Elle me sent l'envahir. Je la regarde jouir, Ces pénétrations affolent nos sens. Elle s’abandonne, je voyage en elle. Je m'enfonce dans son ventre, profondément, goutant ses succions intimes. Nos tempes claquent, la chaleur monte en nous comme une sève brûlante. Elle râle de plus en plus. Je me retiens .... Elle me lèche les lèvres, le cou, puis m'embrasse fievreusement. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle s'abandonne, cède à la volupté, ne cherche plus à se contrôler. Elle s'offre à mon corps, à nos sens ! | telle un poulpe (E) un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompe, me lisse, aspire ma verge gorgée de sang, l'engloutit et la brûle. Je la sens toute entière autour de mon mat, l'enveloppant, comme si tout son corps m'enserrait. ... |
![]() | Il s'enfonce en moi, me penetre, me comble, un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. Il ondule, je l'aspire, il râle, je gémis. Il s'enfonce ... loin, très loin. Je l’enroule, le défais, il plonge, se retire. J'avale son corps. Il cajole le mien. Il va et il vient, vagues de plaisir, des montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis sa redescente voluptueuse des mille et une nuits. Je me donne, il me prends, ronronnements, gemissements. Il se retire, laissant le vide, je me débats. Il me reprends. complètement, passionnément. Son corps collé au mien, il me pénètre de nouveau, totalement. Je le sens en moi, grossir, durcir et s'allonger, investir mon ventre chaud, mes jambes écartées pour mieux le recevoir , mes jambes resserrées pour mieux le retenir. Au rythme de son corps, je me plie sans effort, courtisane lascive, soumise et attentive. Au plus profond de moi, son sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps. J'inonde son corps d'un torrent de caresses ruisselantes dont je veux le couvrir, Il explore les ports de mes grâces intimes d'une langue ondulante et jusqu'à me râvir, il baise ma bouche, y trouvant sa saveur, il saisit la souche de son désir fébrile pour écarter mes lèvres pleines de saveur en y laissant la sève d'un plaisir érectile. Pour que mes yeux se plissent, que mon regard se trouble, il me laisse incertaine de sa possession qui me frôle et se glisse et presse mon bouton. En posant ma poitrine sur la sienne que je presse, J'emprisonne ses jambes en lui serrant les fesses; Nous gémissons ensemble d'une tendre détresse, pris d'une passion commune pour ce qui nous oppresse. Il ramène ses genoux aux côtés de mes hanches, mes yeux deviennent fous sous cette invasion franche, il se redresse un peu pour caresser mon corps et se laisser tanguer entre mes cuisses ouvertes. Il y allume un feu qui m'éblouit bien fort mais j'aime le regarder courir droit à sa perte, la pointe de mes seins redressée fièrement. La danse de mes reins accélère, plus rythmée, Il cueille une auréole, il serre l'autre des dents, mes nerfs soudain s'affolent, je m'affaisse essouflée. | (E) Il s'enfonce en moi, me penetre, me comble, un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. Il ondule, je l'aspire, il râle, je gémis. Il s'enfonce ... loin, très loin ... |
![]() | Il vient de jouir en moi. Sa sève chaude s'écoule hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. Nous venons de faire l'amour comme jamais il ne me l'avait fait jusqu'içi. Son liquide coule maintenant entre mes jambes, dans l'interstice de mes fesses. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Je lui ai offert mon ventre, dans lequel il vient de se rependre en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon ! Je suis maintenant étendue là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donne le frisson. Affalée sur le lit, ouverte, obscène presque. il est toujours contre moi et se remet à bander, sans complexe. son sexe durcit contre le mien, il le pousse un peu en moi, plus loin, puis, le ressort, une nouvelle fois .. c'est le paradis ! Il accélère maintenant. Je n'en peux plus. Je jouis ! et lui aussi ! Il se vide, n'en finit plus de se vider en moi ! Et me laisse admirer tout ce que j'ai reçu de lui, Je luis de son jus, mes lèvres intimes toutes ouvertes. Il prend de nouveau son sexe et caresse ma fente avec son gland. Je soupire, les yeux fermés. Et sans précipitation, il me pénétre de nouveau. Mes chairs laissent entrer son sexe sans contrainte. Nous nous regardons l'un l'autre. Il recommence à coulisser en cadence, en caressant mes flancs. Je ferme les yeux en gémissant à chaque retour de sa verge dans mon fourreau. Il s'agrippe à mes hanches. Je sens son plaisir monter. Le mien aussi. Mon ventre se contracte et des spasmes en série soulevent mon corps. Il continue son va et vient, rugit très fort et finit par se repandre une nouvelle fois en moi. J'ai 20 ans, de longs cheveux blonds tombant sous les épaules, un corps fin et deux belles poitrines, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. J'adore lorsqu'il me fait l'amour | (E) Il vient de jouir en moi. Sa sève chaude s'écoule hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. Nous venons de faire l'amour comme jamais il ne me l'avait fait ju ... |
![]() | sensuellementElle prit une cuillere de confiture, et tout en me regardant fixement, l'enroula de sa langue et se mit à la suçer doucement. Elle la fit monter et descendre dans sa bouche gourmande, avec des bruits de succion terriblement erotiques, mon sang fut sous pression. Elle termina sa cuillere et se passa la langue sur ses lèvres pulpeuses. Un peu de confiture lui restait aux commissures des lèvres, elle me demanda de lui retirer. J’approchais ma bouche de la sienne et lui nettoyais le reste avec ma langue. Elle ferma les yeux, un léger frisson la parcourut et elle me souria à son tour. Elle s’étira longuement comme un chat. Elle bailla à s’en décrocher la mâchoire. Puis elle posa ses lèvres sur les miennes. Ce fut le début de l'histoire ... Lucie me regarda, les yeux brillants avec un sourire étrange. - Tu regardes mes seins ? ils te plaisent ? - Dis-moi ! Est-ce que j'te plais ? Ses seins tremblaient doucement dans l'echancrure de son corsage, je sentais son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Elle posa sa main sur la mienne comme pour m'inciter à la caresser. Elle se pencha et ses seins s'epanouisserent devant moi. J'étais totalement sous son emprise. Elle semblait s’en amuser. Ses seins bougeaient légèrement au rythme de sa respiration. Elle me provoquait. Elle resta froidement devant moi poitrine nue. Les seins tombaient à peine, beaux, massifs, gonflés et les pointes saillant fortement. Elle me prit dans les yeux: - Approche ! .... Tu es là devant moi ... et je mouille ! Il faisait chaud. je ne crois pas que cela provenait de la température. Nous sommes restés un long moment face à face, sans parler. Puis elle m'apostropha: - Alors ? on fait quoi ? ... On reste là ? Elle s'ecarte alors et s'affale sur sa chaise, jambes écartées, indécente presque, elle degage les pans de son peignoir et me devoile son jardin secret, vulve outrageusement ouverte. Elle me fixe, elle me provoque. Je n'en peux plus. Je m'approche, nos lèvres se frôlent, se touchent, s'entrouvrent. Presque timidement, sa langue s'immisce dans ma bouche. nos bouches s'ecrasent, se suçent, nos langues se nouent éperdument .... Mon pantalon se tend, à l'extrême, comme un chapiteau. J'ai chaud. Ma respiration s'accélére. Je la sens terriblement excitée. Je l'entends gémir doucement. Elle pose sa main sur mon appareil génital. - Tes bourses sont pleines ! Et je suis toute ouverte ! Puis elle detache ma ceinture et libere mon sexe qui se lève d'un coup face à elle - Je suis chaude ! ... et trempée ! Viens vite ! Elle se saisit de ma verge, glisse mon gland sur sa fente déjà bien ouverte. Ses yeux se ferment, Je sens son sexe s'ouvrir un peu plus. Lentement, je sens ma queue aspirée entre ses grandes lèvres. Son ventre est chaud, comme un cocon, c'est terriblement agreable. Ma verge glisse en elle, entre ses muqueuses distendues. Je saisis ses seins, je les palpe, les masse. elle s'abandonne à mes attouchements. je sens son vagin qui se contracte autour de mon penis, en émettant un bruit de succion terriblement érotique. Son vagin dégouline sur mon membre et sur mes bourses. Le fauteuil est taché de nos sécrétions. Je glisse dans un étui chaud et humide, tel un poulpe, son ventre me pompe, me lisse, aspire ma verge gorgée de sang, l'engloutit et la brûle. Je suis ivre, je tremble. Je brûle. La sensation est profonde, sensuelle, humide. La langueur de ce contact chaud et vivant dans ma bouche et autour de mon sexe me perd dans une béatitude mystique. Elle me donne ses levres en regardant les miennes tout en m'aspirant dans ses chairs. Elle a les yeux fermés, est absente, Nos lèvres se rejoignent. Quel baiser ! Oh ! Quel baiser ! Ses levres contre les miennes s’écrasent l’une contre l’autre, nos langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. C'est soyeux, le baiser est profond. Nos langues se tordent, se mêlent et s'emmêlent, nos salives se mélangent. Le baiser est long. nos bouches se soudent. Avec délice, je vais et je viens dans ses chairs chaudes. Je la regarde jouir, Ces pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon mat, l'enveloppant, comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation est affolante. Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacent mon sexe dans son ventre. Sa respiration s'accélère. Notre baiser se prolonge, nous varions la pression de nos langues, de nos caresses. Elle me sent l'envahir. Elle s’abandonne. Je m'enfonce dans son ventre, profondément, goutant ses succions intimes. Elle pends mon visage et l'attire vers le sien. Nos tempes claquent, la chaleur monte en nous comme une sève brûlante. Elle râle de plus en plus. Je me retiens .... Elle me lèche les lèvres, le cou, puis m'embrasse fievreusement. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Elle cède à la volupté, ne cherche plus à se contrôler. Elle s'offre à mon corps, à nos sens ! Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations, Je n'en peux plus. Je pétris ses seins et je la bourre de plus en plus puissamment, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, de doux frissons, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Nous nous dévorons sans retenue à l'appel de nos sens. Un dernier coup de rein, je n'en peux plus Je me plante au plus profond d'elle et .... je gicle en elle ma semence. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles provoque sa jouissance. Elle s'écroule en sueur. En me retirant, ma queue émet un délicieux bruit de siphon. Elle reste là, les cuisses écartées, béante. elle est ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, mais oh combien desirable. Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d'un regard trouble Elle m'a senti glisser hors d’elle et n'a rien fait rien pour me retenir. Je me rapproche je pose mon sexe sur le sien, je le pousse ... un peu, le ressort, c'est le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs rosées, elle pousse un gros soupir quand j'arrive au fond, je fais durer le plaisir, j'accélère, je n'en peux plus ! elle jouit soudain Je ne tiens plus ! je fuse, je me vide, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, | sensuellement (E) Elle prit une cuillere de confiture, et tout en me regardant fixement, l'enroula de sa langue et se mit à la suçer doucement. Elle la fit monter et descendre dans sa bouche gourmande, avec des bruits de succion terriblement er ... |
![]() | maturité, troublanteUne belle femme, dans la maturité, troublante. Un décolleté profond, un corsage léger soutenant des poitrines généreuses à peine dissimulées par de fines dentelles Elle me fixe, intensément. J'ai chaud. Elle me sourit, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est superbe, son peignoir est à peine fermé, baille sur ses fortes poitrines, ses seins tremblent doucement sous mes yeux. Je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, e Elle pose sa main sur la mienne comme pour me mettre en confiance. Ses seins s'appuient discrètement sur mon bras, puis elle se serre un peu contre moi Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Ses seins débordent, bougent légèrement au rythme de sa respiration, elle me provoque. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise. Elle m'invite maintenant à prendre en main ses deux généreuses poitrines. Je les effleure, les touche. Son regard légèrement trouble me fait fondre Elle soupire et s'approche de moi. Elle m'attire vers elle. Je tente de m'échapper, mais elle me retient. Elle approche ses lèvres avec un regard suppliant. Elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes, Le baiser est intense, profond, sa langue cherche la mienne, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre. Je ne peux plus articuler, je suis subjugué. Elle passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, Elle m'excite terriblement Puis je sens ses mains descendre sur mon corps, s'attaquer aux crans de ma ceinture. Elle sent ce que je n'arrive plus à cacher ... et me lance un sourire discretement gourmand ! se detache de mes levres. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa combinaison de soie tombe, Elle s'attaque maintenant à la ceinture de mon pantalon, Elle me déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau l'état de mon désir. Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement, prend ma main, et m'entraine vers le lit. Elle s'allonge et m'attire vers elle. Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle me regarde avec envie, ferme les yeux et dirige mon sexe sur son ventre, malaxant mes testicules. Elle plonge alors son regard dans mes yeux, - Viens ! Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de gémissements et de spasmes. Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, et ... je decharge ma sève chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi. | maturité, troublante (E) Une belle femme, dans la maturité, troublante. Un décolleté profond, un corsage léger soutenant des poitrines généreuses à peine dissimulées par de fines dentelles Elle me fixe, intens ... |
![]() | Explosion d'un désirNos regards se sont télescopés. Explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent, reciproque, qui traversait l'espace. il n'y avait plus personne, il y avait deux corps, deux désirs... Temps suspendu... Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, le faire succomber, me faire plus séduisante encore... Il me provoquait avec un art consommé de gestes discrets, divinement sensuels et son regard mouillé.. Il s'est approché un peu plus. Il m'a abordée. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, mon parfum de femme, et sa voix, délicatement posée. Il me racontait ses terres et sa part du monde je ne l'entendais plus, je voyais la buée qui sortait de sa bouche, se detachant du ciel. Son regard s'est planté dans mes yeux. Moment intense. Attirance quasi magnétique de deux corps qui se veulent, qui se rapprochent irrésistiblement. Immobile violence. Il était maintenant tout proche. Ma respiration s'est précipitée.... Son souffle m'appellait. Mon corps tout entier le réclamait. Nos visages se sont encore approchés, comme au ralenti, mes yeux se sont mêlés aux siens. Nos lèvres se sont frôlées, se sont touchées, et enfin, se sont rejointes. Sa langue chaude a écarté mes lèvres. un feu me ravageait l'intérieur. Nous nous sommes embrassés, passionement. Puis, j'ai passé mes doigts sous ses vêtements, sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner. Il m'a devinée ... Il m'a prise, m'a allongée dans l'herbe, et m'a pénètrée comme un loup affamé, Il était en moi, ses mains sur mes seins chauds, et il m'a aimée, nos deux corps confondus, il a mordu mon cou Je crois que c'est là, quand nos regards se sont croisés, que j'ai tout attrapé, l'amour, l'orgasme et la fièvre. Il a crié et j'ai vibré, sa chaleur dans mon ventre, sa semence qui s'éjectait en moi, et ce fut bon, oui, si bon de me sentir si petite dans cet univers infiniment grand. (Dominique Chénier) | Explosion d'un désir (E) Nos regards se sont télescopés. Explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent, reciproque, qui traversait l'espace. il n'y avait plus personne, il y avait deux corps, deux désirs... Temps suspendu... ... |
![]() | Je sens contre moi son sexe dressé de désir. Nous nous embrassons comme on se noie, comme on se blesse. Son sexe est si chaud, si doux quand je le saisis dans ma main. C'est magnifique d'avoir ainsi pour moi cette queue qui enfle entre mes doigts si fins. J'ai envie soudain de la prendre dans ma bouche, je me mets à genoux et l'enfourne entre mes lèvres qui n'ont jamais goûté quelque chose d'aussi sauvage ni d'aussi rude. Son menton râpeux me blesse délicieusement, C'est comme si tout entier mon homme était en moi, tout à moi. Vertige. Je me sentais femelle, une belle animale qui soudain prend mon homme à pleine bouche. Je le rend fou. Je le rend dingue à le sucer comme une experte et presque mieux que toutes les prostituées expertes. | (E) Je sens contre moi son sexe dressé de désir. Nous nous embrassons comme on se noie, comme on se blesse. Son sexe est si chaud, si doux quand je le saisis dans ma main. C'est magnifique d'avoir ainsi pour moi cette queue qui e ... |
![]() | Rencontre fortuite, insensée, hasardeuseRencontre fortuite, insensée, hasardeuse. Une allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Marché conclu. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au plus pressé, explorent, mon dessous de chemisier, mes dessous de dentelles. L'effeuillage est rapide, Il s’approche, me serre contre lui, agrippe mes épaules de ses mains fermes. Il me plaque contre le mur et m’embrasse avec fougue, il enfonçe sa langue autour de la mienne, ses mains glissent sur mes fesses, les pressant fermement puis les écartant. Ses doigts palpent ma vulve, une invite discrète : - Tu es trempée, tu as besoin d'un sexe d'homme ! Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il relève ma jambe. Tendresse et sauvagerie mêlée. Mes rondeurs se dégustent, sa main est sur mon sein. son doigt sous l'élastique de ma fine culotte qui s'écarte et qui tombe, son pantalon qui s'ouvre. Son sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, dirigé immédiatement au bon endroit et sans attendre ... pénètre dans mon nid brulant. Vient le soyeux intense, le charnel infini. Le paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Son sexe s'enfonce, et encore ... et encore ... Ses mains agrippent mes hanches. Son sexe sort puis s’enfonçe à nouveau, va et vient, tantôt lent, tantôt rapide. Je gémis, de plus en plus, le supplie de continuer, encore et encore… Je gémis, de plus en plus fort, il me défonçe, j'en veux plus. Je me redresse, bouche ouverte, haletante, encore plus cambrée. Plus je gémis et plus il se déchaine, plus j'adore. Il me tire encore plus vers lui, sa main pétrit encore plus mon sein, puis pinçe le téton, doucement, puis plus fort. Je me fait baiser ! sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Son sexe gonfle durcit et s'allonge encore dans mon ventre, les va-et-vient ralentissent, il va jouir, Il se contracte, se fige, un cri rauque ... et il gicle, une humeur bien épaisse, bien blanche coule et déborde sur mes cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant. | Rencontre fortuite, insensée, hasardeuse (E) Rencontre fortuite, insensée, hasardeuse. Une allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Marché conclu. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au p ... |
![]() | Je me refaisais une beauté devant la glace des toilettes lorsque je l'ai entendu arriver. Il s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il flattait délicieusement mes belles poitrines. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge bien visible. Il promenait ses mains délicatement le long de mes seins, puis les serrais doucement, et recommençais. sentant cette fois-ci une douce chaleur. Il pouvait les palper, les caresser à loisir. Il était contre moi, mon cou contre ses levres, je fermais les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de ses caresses. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Ses deux mains chaudes se posaient en coupe sous mes seins et les pressaient tendrement. Il plaqua ensuite ses doigts sur mes mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Il recommenca plusieurs fois, empoignant cette fois mes seins à pleine main. Je sentais ses mains chaudes qui pressaient légèrement mes volumes mammaires, les palpait doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapprochait l'un de l'autre. Il les lâchait ... ils revenaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fit sortir mes pointes. Il enfonçait ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectua de petits cercles concentriques et écrasa mes tétons. Je ressentais des ondes de chaleurs. Ses doigts n'en finissaient pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambrais pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. J'étais au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entendais geindre. Immobile, j'essayais de respirer lentement et profondément, ma vulve était envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Il pétrissait mes seins, les frottait l'un contre l'autre, les déplaçait, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpait, les caressait. J'étais affalée sur ma chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de ses caresses. | (E) Je me refaisais une beauté devant la glace des toilettes lorsque je l'ai entendu arriver. Il s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il flattait délicieusement mes b ... |
![]() | Sur la moquette épaisse,Sur la moquette épaisse, sa combinaison froissée sur le coté, et nos deux corps sont l'un sur l'autre, ils se frottent, delicieusement. Elle s'ouvre à moi. Mon dieu ! Je m'enfonce en elle ! Elle m'aspire ! Je la pénètre ! Que c'est bon ! Elle gémit doucement. Je l'explore et la remue. Elle cambre ses reins, elle s'abandonne, elle se livre totalement, bruits de succion, glissements mouillés, respiration bruyante. Je m'enfonce, encore et encore, elle gémit, de plus en plus fort. Je donne et je donne. je me retire ... doucement, mon long sexe ... énorme, gluant, nouveau bruit de siphon. Elle reprend sa respiration, contemple mon grand sexe. Elle inspire un grand coup, se mordille la lèvre, puis je replonge en elle, d'un coup, nouveaux va et viens, elle semble prendre son plaisir, je coulisse doucement en elle, elle se masturbe avec mon sexe dur, ferme les yeux, se mord la lèvre, remue son bassin, agrippe mes fesses pour me faire rentrer encore plus profondément. Ses cuisses tremblent. Elle tremble de tout son corps ! Elle se contracte, se fige. Elle explose ! Elle vient de jouir. Je m'arrête un instant, la laisse reprendre ses esprits. Elle se caresse la poitrine. se malaxe les seins, allongée, offerte, jambes écartées. Je m'approche de nouveau, et je m'enfonce en elle. Elle referme les jambes autour de sa taille. Je m'enfonce plus profondément encore et accélère le rythme. elle est trempée, en sueur, elle attrape lla maoquette et la serre très fort, Attention, Je vais venir. Elle aussi. Sa respiration s'accélère, son rythme aussi. Je me défonce. Je sors ma queue et la rentre ... tout au fond... Je donne... accelère, l'orgasme est bientot là, je vais plus au fond, encore, encore, encore... Et je lâche. Dans un râle étouffé je fais jaillir mon foutre au plus profond de son ventre. je l'inonde de ma sève, ma tête tourne, je ferme les yeux. Elle me serre contre elle. Je la serre un peu plus. Je laisse tomber ma tête au creux de son épaule, je respire toujours fort. Nos corps se séparent, mon sexe sort doucement, ramolli et gluant de nois secretions. | Sur la moquette épaisse, (E) Sur la moquette épaisse, sa combinaison froissée sur le coté, et nos deux corps sont l'un sur l'autre, ils se frottent, delicieusement. Elle s'ouvre à moi. Mon dieu ! Je m'enfonce en elle ! Elle m'aspire ! Je la ... |
![]() | Sur la moquette épaissela porte du petit salon est restée entre-ouverte, de légers bruits. Sur la moquette épaisse, une combinaison froissée sur le coté, et deux corps l'un sur l'autre. Mon dieu ! Il s'enfonce en elle ! il la pénètre ! Elle gémit doucement. Il l'explore et la remue. Elle cambre ses reins, elle s'abandonne, elle se livre totalement, bruits de succion, glissements mouillés, respiration bruyante. Il s'enfonce, encore et encore, elle gémit, de plus en plus fort. Il donne et il donne. il se retire ... doucement, un long sexe ... énorme, gluant, nouveau bruit de siphon. Elle reprend sa respiration, contemple le grand sexe. Elle inspire un grand coup, se mordille la lèvre, puis il replonge en elle, d'un coup, nouveaux va et viens, elle semble prendre son plaisir, Il coulisse doucement en elle, elle se masturbe avec le sexe masculin, ferme les yeux, se mord la lèvre, remue son bassin, agrippe les fesses masculines pour le faire rentrer encore plus profondément. Les cuisses tremblent. Elle tremble de tout son corps ! Elle se contracte, se fige. Elle explose ! Elle vient de jouir. Il s'arrête un instant, la laisse reprendre ses esprits Elle se caresse la poitrine. se malaxe les seins, allongée, offerte, jambes écartées. Il s'approche de nouveau, et il s'enfonce en elle. Elle referme les jambes autour de sa taille. Il s'enfonce plus profondément encore et accélère le rythme. Elle attrape l'oreiller et le serre très fort, Il va venir. Elle aussi. Sa respiration s'accélère, son rythme aussi. Il se défonce. Il sort sa queue et la rentre ... tout au fond... Il donne... accelère, l'orgasme est bientot là, il va plus au fond, encore, encore, encore... Et il lâche. Dans un râle étouffé il fait jaillir son foutre. Sa tête tourne, il ferme les yeux. Elle le serre contre elle. Il la serre un peu plus. Il laisse tomber sa tête au creux de son épaule, Il respire toujours fort. Leurs corps se séparent, le sexe sort doucement ramolli et gluant de sperme. elle est trempée, en sueur. | Sur la moquette épaisse (E) la porte du petit salon est restée entre-ouverte, de légers bruits. Sur la moquette épaisse, une combinaison froissée sur le coté, et deux corps l'un sur l'autre. Mon dieu ! Il s'enfonce en elle ! il la p& ... |
![]() | Il a joui en moiIl a joui en moi. Son sperme chaud s'écoule hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'interstice de mes fesses. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale Je n’osais pas lui dire oui. J’ai bien failli refuser, mais, rendu au point extrême où tous les sens explosent, il a su me convaincre et il s'est emparé de moi. Je lui ai offert mon ventre, dans lequel il s'est répandu en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon ! Je suis maintenant étendue là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donne le frisson. Affalée sur le lit, ouverte, obscène presque. Je relève la tête, il est toujours là devant moi, il me fixe à nouveau avec un regard d'envie. Il se remet à bander, sans complexe. Il s'approche de moi, pose son sexe qui durcit sur le mien, le pousse un peu en moi, plus loin, puis, le ressort, une nouvelle fois .. C'est le paradis ! Il s'enfonce doucement, écarte bien mes chairs rosées, il me le met tout au fond et fai durer le plaisir. Il accélère maintenant. Oui ... Je n'en peux plus. Je jouis ! et luii aussi ! Il se vide, n'en finit plus de se vider en moi ! Et me laisse admirer tout ce que j'ai reçu de lui, Je luis de son jus, mes lèvres intimes toutes ouvertes. Il prend de nouveau son sexe et caresse ma fente avec son gland. Je soupire, les yeux fermés. Et sans précipitation, il me pénétre de nouveau. Mes chairs laissent entrer son sexe sans contrainte. Nous nous regardons l'un l'autre. Il recommence à coulisser en cadence, en caressant mes flancs. Je ferme les yeux en gémissant à chaque retour de sa verge dans mon fourreau. Il s'agrippe à mes hanches. Je ressentais son plaisir monter. Le mien aussi. Mon vagin se contracte et des spasmes formidables soulevent mon corps. Il continue son va et vient, rugit très fort et finit par gicler une nouvelle fois en moi. J'avais 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. J'adorais lorsqu'il me faisait l'amour | Il a joui en moi (E) Il a joui en moi. Son sperme chaud s'écoule hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'inte ... |
![]() | baiseJ'étais quelque peu émechée, appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui venait de me baiser derrière le buffet. Il semblait encore sur sa faim, pas encore rassasié. Il s'approcha de nouveau de moi et le regard qu'il porta sur moi était d'une intensité redoutable, ses yeux brillaient d'un feu étrange, il en voulait encore. Il me mangeait du regard et je tressaillis lorsque son regard avide se riva sur mes seins. Son corps m'excitait. Il était de nouveau en pleine érection. Il bandait devant moi, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je mouillais abondamment. Je n'avais plus aucun contrôle sur mes sens. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, et mes mamelles avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer. Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il repris mes lèvres, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants dans ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui devenait de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps. Je voyais bien que cet homme avait envie de moi, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues. Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus. Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis me penetrer furieusement d'un seul coup, très profondement, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme. Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange. | baise (E) J'étais quelque peu émechée, appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui venait de me baiser derrière le buffet. Il semblait encore sur sa fa ... |
![]() | luxureJe déshabille leurs seins : Mes caresses, par essaims, S'abattent sur les coussins De leurs poitrines ; Je me vautre sur leurs flancs, Ivre des parfums troublants Qui montent des ventres blancs A mes narines. Vous aussi. Nymphes, splendeurs Que pour mes fauves ardeurs L'art du pinceau sans pudeurs A dévêtues : Vos formes, obstinément, Me tirent comme un aimant ; J'ai de longs regards d'amant Pour les statues. Doux, je promène ma main Aux rondeurs du marbre humain, Et j'y cherche le chemin Où vous mes lèvres. Ma langue en fouille les plis ; Et sur les torses polis, Buvant les divins oublis, J'endors mes fièvres. - Ainsi, toujours tourmenté Par des soifs de volupté, J'emplis de lubricité Mes vers eux-mêmes ; Et quand mes nerfs sont lassés, Quand ma bête crie : assez, J'onanise mes pensés Dans mes poèmes ! Edmond Haraucourt | luxure (E) Je déshabille leurs seins : Mes caresses, par essaims, S'abattent sur les coussins De leurs poitrines ; Je me vautre sur leurs flancs, Ivre des parfums troublants Qui montent des ventres blancs A mes narines. Vous aus ... |
![]() | au salonDes épaules larges, une poitrine puissante, un ventre plat, des cuisses solides... Une gueule à la Georges Clooney avec ses cheveux poivre et sel... Son sexe encore humide de son intimité et encore gonflé a perdu cependant de son orgueil et pend entre ses cuisses. Les jeunes filles courent dans la grande douche. Et tout en se lavant l'une l'autre, elles s'offrent baisers et caresses, les doigts pénétrant ici ou là... Elles ne cherchent pas la jouissance mais seulement à s'offrir du bon temps... Sans trop attendre, elles reviennent vers le salon... Zoé est assise sur une chaise, jambes ouvertes, A côté d'elle, sur une autre chaise, Wilfried lui parle, un verre de champagne à la main, lui caressant de sa main libre sa cuisse, remontant haut jusqu'à sa vulve. Léa observe que sa virilité retrouve une certaine vigueur. On dirait qu'il essaie de l'apprivoiser mais la belle Zoé semble rester enfermée dans sa timidité... Sur le petit canapé, à côté, sont assis Madame Mathilde et Monsieur Léon, tous les deux un verre à la main et une assiette pleine sur les genoux. Debout, Marc, Luc, Christine et Catherine discutent... Les sexes de ces messieurs retrouvent aussi une certaine vigueur et sont à l'horizontale... Personne ne fait attention à elles trois. Sans attendre plus, Léa pose son assiette à côté d'elle, s'agenouille entre ses jambes et commence à lui offrir un cunni... Zoé est réceptive, elle se crispe. Léa aime son odeur, son goût... Elle introduit deux doigts dans le doux fourreau sans lâcher le clito qu'elle pince entre ses deux lèvres et titille avec le bout de la langue... Léa voit que Eléonore est dans les bras de sa chère Mathilde, Plus loin, elle voit Wilfried assis sur une chaise, Anne sur ses genoux lui faisant face et ses mouvements ne laissent aucun doute : elle est empalée sur son vit. Couchée sur la moquette, Catherine se fait prendre par Marc et Christine par Luc... ou le contraire. Monsieur Léon semble somnoler sur son fauteuil en regardant le spectacle et en masturbant son sexe qui refuse de durcir. Ainsi se passe la soirée. Léa se douche et se couche. Elle attend un peu inquiète la montée de Wilfried. Qu'est-ce qu'il va encore lui faire subir ? Mais épuisée, elle tombe dans une douce somnolence. Elle se réveille alors que Wilfried sort de la salle de bain. Il est nu. Il sent bon. Il se couche près d'elle et, avec beaucoup de tendresse, il l'attire vers lui, la prend dans ses bras et l'embrasse. Et une dernière fois pour la journée, ils font l'amour. Il est tard lorsque Léa se réveille. Wilfried est toujours là, allongé sur le dos, les mains derrière la tête. Il a les yeux ouverts et regarde au plafond perdu dans ses pensées. Elle se blottit contre lui attendant quelques caresses. Mais, à sa surprise, il la repousse un peu Il rejette les couvertures. Son sexe est en érection, allongé sur son ventre, épais, puissant, tout en désir. Léa ne peut s'empêcher de le regarder. Elle aurait envie de le prendre, le caresser, l'embrasser, l'avoir en elle. Elle sait le plaisir qu'il lui a offert hier soir et cette nuit. Elle sent son sexe s'humidifier de désir...Il se met par-dessus elle sans la toucher, redressé sur ses bras tendus et il la pénètre d'un coup. Et il commence ses mouvements de va et vient, rapides, violents. Il se masturbe en elle comme s'il cherchait à jouir à tout prix sans se soucier de son plaisir à elle. Rapidement il se cabre, se crispe, pousse un râle... Il jouit dans le sexe d'Anne. Il a à peine fini, qu'il se recouche sur le dos à côté de la jeune fille. | au salon (E) Des épaules larges, une poitrine puissante, un ventre plat, des cuisses solides... Une gueule à la Georges Clooney avec ses cheveux poivre et sel... Son sexe encore humide de son intimité et encore gonflé a perdu ... |
![]() | danse à troisNous ne savons rien d’elle. Nous sommes dans un coin sombre de la salle. Sous une musique lascive, collés l'un à l'autre, joue contre joue, Nous dansons vaguement, elle coincée entre nos deux corps. Nos mains glissent sur la soie de sa robe noire, avant de rencontrer la douceur de son dos nu. Elle a passé ses deux bras l!un sur ma taille, l'autre sur la hanche de mon ami qu'elle serre contre elle. Ses seins fermes et rebondis se pressent contre ma poitrine Le bas de son ventre vient se frotter contre moi dans un mouvement sensuel et probablement calculé. Délicatement, les deux bretelles de soie se detachent sur ses bras nos levres se touchent, se frottent delicieusement Nos langues s'enroulent l'une autour de l'autre nos mains jouent avec les deux superbes mamelles, passant d’un sein à l’autre, les palpant dans leur totalité ou nous concentrant sur ses mamelons. Je sens ses mains qui caressent mon dos, sa respiration se fait plus haletante quand j’atteins son nombril, elle se cambre brusquement dans un soupir. La main de mon ami caresse son ventre chaud, glisse entre ses cuisses Son corps languissant à un léger sursaut lorsque ses doigts effleurent ses lèvres intimes, Il caresse maintenant son sexe sur toute sa longueur. Sa vulve ramollit et s'ouvre sous ses doigts Quelques petits va et vient à l’intérieur. Sa poitrine se soulève par saccades, sa respiration se fait haletante, C'est moi qui maintenant colle ma main à son sexe que je masse, ma paume entierement mouillée par sa toison détrempée. Au gré de mes caresses, un peu de musc s’écoule hors de son vagin. Je poursuis ma caresse, j'enfonce mes doigts plus profondément en elle, encouragé par ses gémissements réguliers. Ses mains ont glissé dans mes cheveux bruns qu’elles parcourent et agrippent avec douceur. Un gémissement plus aigu que les autres me ramène à la réalité, et je sens ses doigts se crisper dans ma chevelure sa respiration irrégulière s’accélère encore un peu plus. Nous comprenons qu’elle est proche de l’orgasme. Elle concentre les mouvements de ma main sur son clitoris gonflé. Je sens son sexe qui se contracte, la pression de ses lèvres brûlantes et humides qui se referment sur ma main est délicieuse. Elle tente d’étouffer un gémissement, tout son corps se crispe sous l’effet du plaisir. Puis ses muscles se détendent, et la main de mon ami recommence instantanément le meme manège. Quelques secondes plus tard, elle se contracte à nouveau et ne peut cette fois réprimer un cri. Mes mains ont glissé de son ventre à ses seins au rythme de ses halètements et la crispation de ses doigts sur ma tete est presque devenue douloureuse pour mon cuir chevelu. Elle se contracte, se détend, se contracte à nouveau, puis se détend encore. Son sexe et son corps reagissent de concert. Prise de légers spasmes qui font tressauter tout son corps, glissante de sueur et de musc au niveau de son bassin, elle pousse de petits cris de plaisir, puis un seul gémissement, plus aigu que les autres, lorsque mon ami achève de la faire jouir en tendant sa main au maximum, l’enfonçant au plus profond de son sexe brûlant. Elle a encore un ou deux sursauts puis soupire longuement, comme soulagée d’avoir pu évacuer tout ces plaisirs par un orgasme. Croyant en avoir terminé, il tente de se retirer, mais elle le retient avec délicatesse. Nous restons comme ça à trois une bonne minute, ses cuisses se referment avec douceur sur ma main et je sens peu à peu les muscles de son vagin se décontracter autour de mes doigts. Elle finit toutefois par nous libérer et je me detache d'elle, lui révélant par la même occasion le désir qui brûle toujours en nous, plus fort que jamais. Appréciant sans surprise l’érection qui déforme nos pantalons, elle a un sourire satisfait. Elle paraît légèrement assommée par l’orgasme, comme si ses membres étaient engourdis par le plaisir, mais lorsque nous nous penchons sur elle pour l’embrasser, c’est elle qui nous saisi de nouveau la tête et attire doucement nos deux visages vers le sien. Nos baiser dans son cou et sur ses seins sont tendres et passionnés, et tandis que la langue de mon ami s’affaire dans sa bouche, je sens sa main qui vient évaluer mon excitation à travers le tissu de mon pantalon. Puis, dans un court moment d’incertitude, alors qu’elle écarte son visage elle nous murmure à tous les deux : - Faites-moi l’amour. Là. Maintenant. Ces mots sonnent dans nos esprits autant comme un ordre que comme une autorisation. Nous nous pressons sur elle, nos vêtements frottants contre sa peau humide. Nous l’embrassons à nouveau, avec fougue cette fois, ma langue se frayant un passage entre ses lèvres pour aller se loger dans sa bouche, telle une future pénétration, ses mains glissent de nos cheveux à nos hanches, puis à nos fesses et ses cuisses se relèvent légèrement autour de nos bassins, de telle sorte que nos sexes, tendus dans nos caleçons, effleurent ses cuisses et ses fesses à chacun de nos mouvements. Elle écarte violemment les pans de nos chemises et ses deux mains caressent longuement nos torses dénudés sous la chemise avant de les faire glisser le long de nos bras et de les envoyer voler à travers la pièce. A demi-nus, nous nous serrons de nouveau sur elle pour l’embrasser. Son bassin frotte contre le notre, nos sexes mâles plus dur que jamais. Visiblement impatiente, elle abaisse nos pantalons jusqu’aux genoux, d’où j’arrive à le retirer complètement d’un mouvement de pieds. Nous voilà en caleçon, ses mains remontent sensuellement le long de nos cuisses et se glissent sous l’élastique, explorant un court instant l’intérieur de nos caleçon avant de l’abaisser lui aussi, libérant nos sexes en érection qui se dressent maintenant à quelques centimètres seulement de ses lèvres entrouvertes et lubrifiées. Sans attendre, elle saisit délicatement mon pénis et le guide jusqu’à elle. Je m’enfonce sans difficulté dans son sexe encore humide de musc, mes lèvres se collent au sienne pour étouffer un gémissement tandis que ma verge en érection la pénètre de toute sa longueur. Je m’arrête et, pendant un instant, nous ne formons qu’un seul et même corps, puis je commence un lent mouvement de va et vient. Mon bassin ondule contre le sien et elle gémit tandis que le frottement de ses chairs détrempées sur ma hampe et mon gland m’arrache un premier râle de plaisir. Je prends conscience que je ne tiendrai pas longtemps, mais elle paraît déjà proche de l’orgasme. Ses mains explorent mon corps pendant que je m’enfonce en rythme dans le sien. Mon gland butte contre le fond de son vagin, la sensation est électrique, pour moi comme pour elle apparemment puisqu’elle gémit maintenant avec plus d’intensité. Sa respiration s’accélère, ma cadence aussi, mon sexe laboure maintenant le sien avec vigueur et la pression de sa chair autour de la mienne est aussi délicieuse qu’insupportable. Elle semble avoir un nouvel orgasme et ses lèvres se contractent sur ma verge et l’enserrent, je n’y tiens plus, mon corps tout entier se tend et je me laisse aller à l’orgasme. Je frissonne à la fois de froid et de plaisir tandis que mon sexe crache sa semence au plus profond d’elle-même en trois jets puissants. Elle gémit une dernière fois et, dans un soupir, je m’écroule sur elle, appuyant ma tête contre sa poitrine. La sensation de chaleur qui m’envahit tandis qu’elle passe ses bras autour de moi est merveilleuse, je suis toujours en elle et même si mon sexe commence déjà à retrouver ses proportions normales entre ses lèvres qui s’écartent à nouveau autour de lui, je ne m’en retirerai pour rien au monde. Tous deux abasourdis à la fois par l’effort et par le plaisir, je crois que nous aurions pu nous endormir dans les bras l’un de l’autre si, l’excitation passée, nous ne nous étions pas rappelés où nous nous trouvions… | danse à trois (E) Nous ne savons rien d’elle. Nous sommes dans un coin sombre de la salle. Sous une musique lascive, collés l'un à l'autre, joue contre joue, Nous dansons vaguement, elle coincée entre nos deux corps. Nos mains glis ... |
![]() | Nous ne savons rien d’elleNous ne savons rien d’elle. Sous une musique lascive, collés l'un à l'autre, joue contre joue, Nous dansons vaguement, elle coincée entre nos deux corps. Nos mains glissent sur la soie de sa robe fluide, avant de rencontrer la douceur de son dos nu. Elle a passé ses deux bras l'un sur ma taille, l'autre sur la hanche de mon ami qu'elle serre contre elle. Ses seins fermes et rebondis se pressent contre ma poitrine Le bas de son ventre vient se frotter contre moi dans un mouvement sensuel et probablement calculé. Délicatement, les deux bretelles de soie se detachent sur ses bras nos levres se touchent, se frottent delicieusement Nos langues s'enroulent l'une autour de l'autre nos mains jouent avec les deux superbes mamelles, passant d’un sein à l’autre, les palpant dans leur totalité ou nous concentrant sur ses mamelons. Je sens ses mains qui caressent mon dos, sa respiration se fait plus haletante quand j’atteins son nombril, elle se cambre brusquement dans un soupir. La main de mon ami caresse son ventre chaud, glisse entre ses cuisses Son corps languissant à un léger sursaut lorsque ses doigts effleurent ses lèvres intimes, Il caresse maintenant son sexe sur toute sa longueur. Sa vulve ramollit et s'ouvre sous ses doigts Quelques petits va et vient à l’intérieur. Sa poitrine se soulève par saccades, sa respiration se fait haletante, C'est moi qui maintenant colle ma main à son sexe que je masse, ma paume entierement mouillée par sa toison détrempée. Au gré de mes caresses, un peu de musc s’écoule hors de son vagin. Je poursuis ma caresse, j'enfonce mes doigts plus profondément en elle, encouragé par ses gémissements réguliers. Ses mains ont glissé dans mes cheveux bruns qu’elles parcourent et agrippent avec douceur. Un gémissement plus aigu que les autres me ramène à la réalité, et je sens ses doigts se crisper dans ma chevelure sa respiration irrégulière s’accélère encore un peu plus. Nous comprenons qu’elle est proche de l’orgasme. Elle concentre les mouvements de ma main sur son clitoris gonflé. Je sens son sexe qui se contracte, la pression de ses lèvres brûlantes et humides qui se referment sur ma main est délicieuse. Elle tente d’étouffer un gémissement, tout son corps se crispe sous l’effet du plaisir. Puis ses muscles se détendent, et la main de mon ami recommence instantanément le meme manège. Quelques secondes plus tard, elle se contracte à nouveau et ne peut cette fois réprimer un cri. Mes mains ont glissé de son ventre à ses seins au rythme de ses halètements et la crispation de ses doigts sur ma tete est presque devenue douloureuse pour mon cuir chevelu. Elle se contracte, se détend, se contracte à nouveau, puis se détend encore. Son sexe et son corps reagissent de concert. Prise de légers spasmes qui font tressauter tout son corps, glissante de sueur et de musc au niveau de son bassin, elle pousse de petits cris de plaisir, puis un seul gémissement, plus aigu que les autres, lorsque mon ami achève de la faire jouir en tendant sa main au maximum, l’enfonçant au plus profond de son sexe brûlant. Elle a encore un ou deux sursauts puis soupire longuement, comme soulagée d’avoir pu évacuer tout ces plaisirs par un orgasme. Croyant en avoir terminé, il tente de se retirer, mais elle le retient avec délicatesse. Nous restons comme ça à trois une bonne minute, ses cuisses se referment avec douceur sur ma main et je sens peu à peu les muscles de son vagin se décontracter autour de mes doigts. Elle finit toutefois par nous libérer et je me detache d'elle, lui révélant par la même occasion le désir qui brûle toujours en nous, plus fort que jamais. Appréciant sans surprise l’érection qui déforme nos pantalons, elle a un sourire satisfait. Elle paraît légèrement assommée par l’orgasme, comme si ses membres étaient engourdis par le plaisir, mais lorsque nous nous penchons sur elle pour l’embrasser, c’est elle qui nous saisi de nouveau la tête et attire doucement nos deux visages vers le sien. Nos baiser dans son cou et sur ses seins sont tendres et passionnés, et tandis que la langue de mon ami s’affaire dans sa bouche, je sens sa main qui vient évaluer mon excitation à travers le tissu de mon pantalon. Puis, dans un court moment d’incertitude, alors qu’elle écarte son visage elle nous murmure à tous les deux : - Faites-moi l’amour. Là. Maintenant. Ces mots sonnent dans nos esprits autant comme un ordre que comme une autorisation. Nous nous pressons sur elle, nos vêtements frottants contre sa peau humide. Nous l’embrassons à nouveau, avec fougue cette fois, ma langue se frayant un passage entre ses lèvres pour aller se loger dans sa bouche, telle une future pénétration, ses mains glissent de nos cheveux à nos hanches, puis à nos fesses et ses cuisses se relèvent légèrement autour de nos bassins, de telle sorte que nos sexes, tendus dans nos caleçons, effleurent ses cuisses et ses fesses à chacun de nos mouvements. Elle écarte violemment les pans de nos chemises et ses deux mains caressent longuement nos torses dénudés sous la chemise avant de les faire glisser le long de nos bras et de les envoyer voler à travers la pièce. A demi-nus, nous nous serrons de nouveau sur elle pour l’embrasser. Son bassin frotte contre le notre, nos sexes mâles plus dur que jamais. Visiblement impatiente, elle abaisse nos pantalons jusqu’aux genoux, d’où j’arrive à le retirer complètement d’un mouvement de pieds. Nous voilà en caleçon, ses mains remontent sensuellement le long de nos cuisses et se glissent sous l’élastique, explorant un court instant l’intérieur de nos caleçon avant de l’abaisser lui aussi, libérant nos sexes en érection qui se dressent maintenant à quelques centimètres seulement de ses lèvres entrouvertes et lubrifiées. Sans attendre, elle saisit délicatement mon pénis et le guide jusqu’à elle. Je m’enfonce sans difficulté dans son sexe encore humide de musc, mes lèvres se collent au sienne pour étouffer un gémissement tandis que ma verge en érection la pénètre de toute sa longueur. Je m’arrête et, pendant un instant, nous ne formons qu’un seul et même corps, puis je commence un lent mouvement de va et vient. Mon bassin ondule contre le sien et elle gémit tandis que le frottement de ses chairs détrempées sur ma hampe et mon gland m’arrache un premier râle de plaisir. Je prends conscience que je ne tiendrai pas longtemps, mais elle paraît déjà proche de l’orgasme. Ses mains explorent mon corps pendant que je m’enfonce en rythme dans le sien. Mon gland butte contre le fond de son vagin, la sensation est électrique, pour moi comme pour elle apparemment puisqu’elle gémit maintenant avec plus d’intensité. Sa respiration s’accélère, ma cadence aussi, mon sexe laboure maintenant le sien avec vigueur et la pression de sa chair autour de la mienne est aussi délicieuse qu’insupportable. Elle semble avoir un nouvel orgasme et ses lèvres se contractent sur ma verge et l’enserrent, je n’y tiens plus, mon corps tout entier se tend et je me laisse aller à l’orgasme. Je frissonne à la fois de froid et de plaisir tandis que mon sexe crache sa semence au plus profond d’elle-même en trois jets puissants. Elle gémit une dernière fois et, dans un soupir, je m’écroule sur elle, appuyant ma tête contre sa poitrine. La sensation de chaleur qui m’envahit tandis qu’elle passe ses bras autour de moi est merveilleuse, je suis toujours en elle et même si mon sexe commence déjà à retrouver ses proportions normales entre ses lèvres qui s’écartent à nouveau autour de lui, je ne m’en retirerai pour rien au monde. Tous deux abasourdis à la fois par l’effort et par le plaisir, je crois que nous aurions pu nous endormir dans les bras l’un de l’autre si, l’excitation passée, nous ne nous étions pas rappelés où nous nous trouvions… | Nous ne savons rien d’elle (E) Nous ne savons rien d’elle. Sous une musique lascive, collés l'un à l'autre, joue contre joue, Nous dansons vaguement, elle coincée entre nos deux corps. Nos mains glissent sur la soie de sa robe fluide, avant de ... |
![]() | Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amourQuand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour. Si je suis en tristesse L'un se met aux caresses Et l'autre avec adresse Me parle de mes fesses Pour l'un je suis l'acquise Pour l'autre l'insoumise Mais les deux m'ont conquise Ils sont tellement mignons Tous deux à leur façon Et le brun et le blond Mes amants polissons Le brun est impudique Le blond est angélique Mais les deux sont phalliques Comme 2 soleils magiques Et tous les deux m'ont prise Et bien qu'ils soient ardents J'ai comme le sentiment Que j'ai ma foi du temps Pour un troisième amant Moi j'aime un point c'est tout Peut être un point de trop Mais au fond je m'en fous J'ai l'amour qu'il me faut Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour. | Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour (E) Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour. Si je suis en tristesse L'un se met aux caresses Et l'autre avec adresse Me parle de mes fesses Pour l'un je ... |
![]() | orgiesLes chandelles allumées laissaient voir des ombres enlacées, qui s’étreignaient, se pressaient, se cherchaient, des chairs impatientes… L’on se dévêtait, des souffles courts, des bruits de baisers goulument appuyés, des trousseries de dentelles et velours, des petits cris de surprise, mais qui n’en étaient point… Le sang battait à mes tempes et en mon sexe qui déjà se cabrait, arqué en ma culotte ; je dus le libérer et, bien débraguetté, assis en un fauteuil, l’œil rivé au spectacle, je pus commencer à observer la scène… Les deux Abbés à peine dévêtus, s’adonnaient à des attouchements précis sur ma Tante qui riait, tous seins tendus — le plus jeune palpant généreusement le beau derrière blanc de ma… « fiancée » et ce, avec une certaine concupiscence, le vit dardé ; Le jeune Abbé renversé en arrière, les yeux levés, semblait aux… Anges et se laissait feller, remuant les hanches, permettant à la petite et fine bouche que je connaissais pour l’avoir en son temps baisée, d’avaler gentement la queue turgide du jeune ecclésiaste et ce, à fond de gorge ! Je bandais, mes Amis et commençai là un lent mais apaisant va et vient sur mon vit qui se redressait fièrement ; mes couilles étaient pleines, mon jus s’impatientait, bouillonnant en mes boules qui auraient bien apprécié quelques fines langues et lèvres ! À présent, ma Tante Luce, tête-bêche sur la brune Annie, confirmait ses talents lesbiens et de belle manière, remuant le derrière, la langue et les doigts d’Annie par en dessous semblant faire des merveilles… Elles avaient dû certainement se gouiner déjà bellement, pour offrir une telle pratique de la chose… Les deux Abbés, se branlaient, les incitant à se bien gouiner — des vœux pieux qui me laissèrent pensif — en l’instant, j’avais mieux à faire qu’à philosopher et je m’astiquais joliment, ma queue démesurée par l’excitation, se redressait un peu plus à chaque caressée, me faisant presque mal… Comme je posais à nouveau mon œil contre l’œilleton de la cloison, je vis le jeune Abbé enfourcher les fesses de ma Tante et glisser sa longue trique nerveuse dans la mûre chatte, guidé en cela par Annie en dessous, continuant à licher les lèvres écartées de Luce et suçant à présent le bel arc arrondi de la queue du jeune Abbé… Les choses allaient bon train et l’Abbé de Pontaillan contemplait, queue en main le trio offert à son regard ; il masturbait une belle bite haute, nerveuse, toute empoilichée et dont les couilles dansaient allègrement, bien pleines de bon foutrin… Le jeune Abbé jouit à longs coups de vit et déconna de la chatte de Luce ; les deux femmes changèrent de position et la belle Annie de Souzargues vint se mettre à califourchon sur les reins de ma Tante, chattes et fesses ainsi superposées, bellement accouplées, chevaucheuses parfaites… L’Abbé de Pontaillan avait sûrement quelque idée vicieuse en tête : il vint prendre en chatte, tour à tour nos deux participantes, enfilant l’une et l’autre, sortant de l’une pour entrer dans l’autre, mouillé de la cyprine de chacune, glissant avec adresse en grognant de plaisir…des messes murmurées… Il jouit et je vis couler son foutre épais et blanc de chacune des deux chattes amplement ouvertes… Puis, l’Abbé retrouvant ses goûts particuliers, encore bandé, écarta l’un après l’autre les anus qui se trouvaient également à sa portée et les troulina simultanément : fourrant, fouinant, frottant, enculant divinement ces deux culs qui se trémoussaient en cadence… Quel beau vit, gonflé, généreux, la veine noueuse s’allant et venant en ces culs tendus, gourmands, avalant tour à tour la queue jusqu’aux couilles ; tandis que gloussaient merveilleusement les deux partenaires superbement enculées !!! Il jouit ! Moi aussi, contre la cloison, un long flot visqueux qui glissa doucement et se figea sur la tapisserie… Maintenant, c’était au tour du jeune Abbé ; il prit la place de l’Abbé de Pontaillan et, bien installé contre les deux culs, poussait sa queue alternativement comme son Maître dans chacun des petits œillets dilatés et baillant de semence… Il s’activa et les séants furent à nouveau pris avec vaillance et éclat ; des gémissements, des cris, des mots osés tant par la bouche de ma Tante que par celle de la belle Annie…Quelles belles fesses elles avaient mes deux malandrines et comme j’eus voulu à mon tour les sodomiser, là, devant les religieux, prendre mon plaisir, moi, le jeune neveu privé de tant de jouissances ! Le jeune Abbé jouit dans le cul d’Annie, tandis que plus bas, l’anus de ma tante déversait son trop-plein de foutre d’une précédente envitée… Ils restèrent ainsi…essoufflés, collés, ivres de luxure et de vice… leurs habits noirs froissés, retroussés sur les reins… Je n’y tenais plus et c’est le moment que je choisis pour enfin faire mon entrée : serait-ce un scandale ? Je ne savais… Je poussai la porte du réduit et queue en main, prépuce dardé, avant même que nos deux baiseuses eussent repris leurs esprits, je montai sur elles deux et choisis le beau cul poisseux de ma belle Luce et l’enfignai gaillardement, comme un neveu amoureux, un incestueux Amant ! Je glissai, elle geignit, le cul s’activa, elle s’enfigna jusqu’aux couilles sur son neveu et murmura : « Aaaaahhh, mon neveeeuuu, enfiiiin, vououous vououous décideeeez à veniiiir honoreeer votre Tannnnte et bieeen la fouuuutre !! » À quoi je répondis quelque peu essoufflé : « Mais, ma très Chère Tante, vous ne m’y aviez jusque-là point convié ! » Elle rit et imprima encore sur ma queue un beau et long coup de cul que je trouvai passionné autant qu’affectueux. Je jouis divinement de l’incestueux accouplement et restai raide, du foutre en mes bourses encore passablement gonflées… Je déculai du merveilleux réduit, le prépuce tout enmoustaché… Ô cul divin de ma noble Tante, celle que j’aimais toujours en secret en jetant ma semence au gré de jouissances cachées, en rêvant de ses cuisses, de ses fesses, de ses seins ! Rêves d’adolescent toujours là tourmenté par des désirs inavoués et autant d’érections aux incestueux effets… Les deux Abbés, surpris, s’écrièrent ensemble : « Votre neveu, ma Chère ?! Quelle surprise, pour nous, vous en conviendrez !! » Je n’en entendis pas plus, à présent, je prenais en cul ma « fiancée », superbe gouineuse et débauchée qui me reçut avec un long cri… Elle me déqueuta presque tant son cul s’avérait généreux, profond, me serrant de l’anus, retenant ma queue qui glissait toujours plus profondément ; cette « branlée » pressa mon éjaculation et je me répandis dans ce beau fondement qu’il m’était agréable d’honorer, bien que la situation fut particulière… Je me vidai encore, glissai entre les bords roses et satinés de cette fine bouche culine, vrillant mon vit, le tournant, fritouillant l’anus de ma grosse bite raidie qui, bien qu’ayant joui, présentait encore une grande fierté, la fierté de la jeunesse… « Mes Amis, mon neveu vient d’être mon Amant, à présent mon secret connaissez, point ne le divulguez, ce serait là péché… » Aussitôt les deux prêtres de faire un signe de croix et de promettre qu’ils n’en feraient rien, puisqu’ils étaient, en somme, sous le sceau de la… confession… des corps et des chairs. Ma Tante me baisa en bouche, l’inceste était consommé à ma grande satisfaction et nous allions nous retrouver bien souvent pour d’autres plaisirs de chair, en gente compagnie des plus légères pour des fêtes intimes aux frissons infinis. Notre orgie se poursuivit jusque vers les huit heures, après quoi une bonne toilette nous rendit plus présentables et un souper nous fut servi en compagnie des deux Abbés qui prirent congé, ravis, apaisés, vidés de toute substance, les sens au repos, déjà prêts à prier… Je vous baise gentes Dames et lectrices et vous salue bien, chers lecteurs, Le jeune Marquis de Chair. | orgies (E) Les chandelles allumées laissaient voir des ombres enlacées, qui s’étreignaient, se pressaient, se cherchaient, des chairs impatientes… L’on se dévêtait, des souffles courts, des bruits d ... |
![]() | harem royalEtendues et actives sur le tapis royal, nous sommes quelques unes des perles du royaume. Nues et chaudes, entremêlées, mélangées, la lumière des candélabres caressent nos chairs qui glissent entre elles. Un glaive mâle, de chair royale, bien affûté, glisse dans le fourreau d'une femme yemenite à la longue chevelure noire ondulante. Elle pousse des râles, le visage rougi d'excitation, ses chairs roses subissent le frottement intense de la grande lame de chair, de sang et de semence, semence royale qui féconde son ventre, seins tendus en formes d'ogives, grands bouts noirs, gonflés par l'excitation des corps. Dans une dernière charge, le Prince enfonçe son organe qui gicle dans le ventre offert, lève la tête et expire en un cri libérateur. L'antre de la polynésienne est maintenant rempli de nectar royal, son corps frémissant de plaisirs est allongé sur les dalles autour du bain, sur le dos, et sa bouche vient se plaquer sur la mienne. Pres d'elle, nous sommes trois, moi et deux amis du Prince. De nos trois corps allongés, moi seule reste immobile. Les deux autres, volubiles, s'affairent à me déshabiller. Tandis que je m'offre à eux, seins dressés, reins cambrés... Mes deux amis s'évertuent à me mettre toute nue, à sécher le doux grain de ma peau, à faire vibrer mon sang chaud ! il se sont emparés tour à tour de mes cuisses, de mes seins, de tout ce qu’il pouvait attraper de mon corps. Ils semblaient faire un concours à qui me pétrirait le plus fort. Il m’ont entrainée sur le tapis, ils m’ont allongée sur le dos, ils se sont emparés de mes bras, mes jambes, mes seins, mes fesses, qui les excitaient, sans le moindre souci de ce qui pouvait me déplaire. J’étais le jouet de ces deux hommes assez forts. L'un, accroupi sur mon ventre me bloquait de tout son poids, et l'autre coinçait mes cuisses avec les siennes. Tous les deux me fouillaient. Pas un brin de timidité. Je laissais les sensations m’envahir, fulgurances de plaisir. L'un s'occupe de mes cuisses Qu'il écarte, indécent, Il y perçoit déjà les prémices d'un désir effervescent : Un sulfureux miel, tapissant mon calice, y coule et glisse. L'autre, voyageant par monts et plaines s'attarde à souligner la courbe de mes seins, massant leur galbe de ses longs doigts fins, Et, titillant les tétons qui pointent, Il m'arrache un soupir de volupté non feinte. De ma si sensuelle bouche, ils s'en vont explorer ma chaude féminité qui, humide de désir, s'ouvre à leur arrivée -De long doigts fins s'immiscent peu à peu m'arrachant un doux soupir. Je les regarde, affairés à me faire plaisir. Et dans un élan de désir je m'en vais chercher leur pénis prometteurs. Gourmande comme je suis, je ne peux rester inerte et me voilà moi aussi occupée, à leur faire perdre la tête, dans un tourbillon de volupté par mes va-et-vient répétés Moi, qui ne suis pas pucelle, je trouve, à mon grand bonheur, deux organes pleins de raideur, quatre douces et rondes couilles, dont les heureux propriétaires, avec plaisir se laissent faire et bientôt s'agenouillent, de chaque côté de moi. Je me retrouve ainsi voluptueusement étendue entre ces deux verges qui vers moi convergent, bien droites et tendues ! Dans mes mains désirantes, je saisis ces érections si tentantes et commence à les branler d'un mouvement synchronisé... entre mes doux doigts enjôleurs Les membres gagnent encore en grosseur, et dans ma bouche ma langue salive à l'idée de les noyer dans mes eaux vives... Je suis bien trop affamée pour encore patienter ! Je veux leurs verges entre mes lèvres. Mais lesquelles ??? Tout en continuant de branler le long membre de notre invité, me voilà qui m'en vais caresser ... de l'un la gourmandise dressée avec ma langue avide ! de l'autre, son membre qui ne cesse de gonfler sous mes suçions ardentes Des rires frénétiques, des cris de volupté, des râles extatiques, de longs soupirs mourants, des sanglots et des pleurs et tous les mots de ce langage étrange que l’amour délirant invente en ses fureurs. l’alcôve est au pillage, le lit tremble et se plaint, le plaisir devient rage ; ce ne sont que baisers et mouvements lascifs ; les bras autour des corps se crispent et se tordent, l’oeil s’allume, les dents s’entrechoquent et mordent, les seins bondissent convulsifs. (Théophile Gautier) Alors ce fut, dans l’ombre, une opaque mêlée, Un tas d’hommes en rut luttant, comme des cerfs Lorsque nous, blondes biches ont fait brâmer les mâles. C’étaient des hurlements de colère, des râles, Nos poitrines craquant sous l’étreinte des nerfs, Des poings tombant avec des lourdeurs de massue, Tandis qu’assise au pied d’un vieux arbre écarté, et suivant le combat d’un oeil plein de fierté, De la lutte féroce j'attendais l’issue. Or quand il n’en resta qu’un seul, le plus puissant, Il s’élança vers moi, ivre et couvert de sang ; Et sous l’arbre touffu qui leur servait d’alcôve Je reçus sans peur ses caresses de fauve ! (Guy de Maupassant) Sur les peaux douces… caresses et passes, Nos sexes face à face, se glissent et s’effacent, Se faufilent et laissent place Aux doigts sur la peau lisse… Ça glisse…et coule Fesses impasses… petite mort lasse… Bouches et lèvres tracent et tissent Un fil de délices sur nos peaux douces et lisses…Qui jouissent. Trébuchés, basculés dans la cuve, Culbutée, retroussée, attiré, détroussé. Raisins, Grains, tétons, gland, grappe Pampres, bouches, pulpe et sexes. Doigts qui fouillent et farfouillent, …ça soûle, souffle court. Jus pressé, jonc dressé, pénètrent, Ventres mouillés s'embrouillent, Les têtes tournent, La vendange est mûre : Jouissance d'éclabousse, Fête à l'ivresse ! (Prune) Orgie de corps enchevêtrés ! Seins, phallus, bouches s'agitent ensembles déchaînés, explorant chaque tabou dans une masse indescriptible. Orgie de chair ! Orgasmes chauds qui coulent à flot, corps à corps - dos à dos. Bruit et fureur de la peau, sous le flux des assauts ! Lunes rebondies, jets de sperme. Pénis enfouis bavant leur crême. Mamelles et gorges déployées, membres sucés, branlés, éjaculés ! les corps s'agitent en nombre, la lumière jailli de leurs ombres. Je plonge dans cette mer de plaisir... (Cyr) Gracieux fils de Pan ! Autour de ton front couronné de fleurettes et de baies tes yeux, des boules précieuses, remuent. Tachées de lies brunes, tes joues se creusent. Tes crocs luisent. Ta poitrine ressemble à une cithare, des tintements circulent dans tes bras blonds. Ton cœur bat dans ce ventre où dort le double sexe. Promène-toi, la nuit, en mouvant doucement cette cuisse, cette seconde cuisse et cette jambe de gauche. (Arthur Rimbaud) le harem a vu naître 200 enfants, issus de 91 femmes, celles mariées parmi les 135 du harem, la 135em étant celle qui semblait se régaler avec un quelque chose de ma personne dans le fond de sa bouche, blottie sous mon bureau. L'heure approchait pour le repas du soir, qui, comme à l'habitude, promettait d'être animé, avec les musiciens, les danseuses du ventre et un repas digne de l'Olympe, que je partagerai ce soir avec l'émir du Qatar. Sous la table, une belle promise avale des jets de semence, qui pulsent sur sa langue humide. Elle me regarde de ses yeux de féline avide. Ses cuisses se sont refermées sur mon pied qui l'effleure. Un plaisir qui s'est fait attendre et qui n'est que meilleur. Je suis lasse, après tant d'épuisantes luxures. Le parfum émané de mes membres meurtris Est plein de souvenirs des lentes meurtrissures La débauche a creusé mess yeux bleus assombris. Et la fièvre des nuits avidement rêvées Rend plus pâles encore mes pâles cheveux blonds. mon attitude a une langueurs énervée. Mais voici que l'amante aux cruels ongles longs Soudain me ressaisit, et m'étreint, et m'embrasse D'une ardeur si sauvage et si douce à la fois, Que mon beau corps brisé s'offre en demandant grâce, Dans un râle d'amour, de désirs et d'effrois. Et le sanglot qui monte avec monotonie, S'exaspérant enfin de tant de volupté, Hurle comme on hurle aux moments d'agonie, Sans espoir d'attendrir l'immense surdité. (Renée Vivien) C’est dans le lit de Machiavel, Que je rencontre mes amants, Je vis mes amours au bordel, Où j’entretiens mes doux galants, Je joue l’humour et la luxure, Dans un décor de carton pâte, Pour caresser leur chevelure, Leur jolie bouche, leur peau d’albâtre, Tantôt j’abuse de leur plaisir, Pour faire jaillir ce qui les animent, Quand ils s’amusent de mes désirs, Muse égérie de mes abîmes. Vertige sans fin frappe à ma porte, De leurs frissons désabusés, Que vienne le diable et qu’il m’emporte, De les avoir trop aimés... (Sophian Choay) La chambre du motel, au parfum d'aquarelle Résonne de nos cris de fin d'après midi Donnant au septième ciel des sons artificiels Que même nos envies inhibent de leur gris. Coloriage d'amour, débordé tout autour Pour des fruits défendus en illusions perdues Qu'on croque que le jour en aller sans retour, En jolis impromptus de reines sans vertu (Moietmoi) J'ai pris la main d'une éphémère Qui m'a suivi dans ma maison Elle avait des yeux d'outremer Elle en montrait la déraison. Elle avait la marche légère Et de longues jambes de faon, J'aimais déjà les étrangères Quand j'étais un petit enfant ! Celle-ci parla vite vite De l'odeur des magnolias, Sa robe tomba tout de suite Quand ma hâte la délia. En ce temps-là, j'étais crédule Un mot m'était promission, Et je prenais les campanules Pour des fleurs de la passion. À chaque fois tout recommence Toute musique me saisit, Et la plus banale romance M'est éternelle poésie Nous avions joué de notre âme Un long jour, une courte nuit, Puis au matin : "Bonsoir madame" L'amour s'achève avec la pluie. (Louis Aragon) Sur des bonbons de miel aux pointes de réglisse, Des guimauves trop roses devenues sucre d’orge, En douceur de langue, se font petits caprices. Et de son roudoudou en coquillage suave S’écoule un sirop doux des lèvres à la gorge Vous donnant des envies de saveur de goyave. (Moietmoi) Je rencontre en chemin deux jeunes garçons. Le premier un peu timide... me caresse le menton. Le second un peu moins sage... me couche sur le gazon. et me souleve le jupon. La morale de cette histoire...C'est que les hommes sont des cochons! C'est que les femmes aiment les cochons! C'est qu'un sur deux, y a un couillon ! Aimons, foutons, ce sont des plaisirs Qu’il ne faut pas que l’on sépare; La jouissance et les désirs Sont ce que l’âme a de plus rare. D’un vit, d’un con et de deux cœurs Naît un accord plein de douceurs Que les dévots blâment sans cause. Amaryllis, pensez-y bien : Aimer sans foutre est peu de chose, Foutre sans aimer, ce n’est rien. (Jean de La Fontaine) | harem royal (E) Etendues et actives sur le tapis royal, nous sommes quelques unes des perles du royaume. Nues et chaudes, entremêlées, mélangées, la lumière des candélabres caressent nos chairs qui glissent entre el ... |
![]() | douce natureTout s'est passé très vite, j'étais soûle de vent, je l'ai allongé dans l'herbe fraiche, je voyais dans ses yeux le mouvement des nuages. Je m'agrippais à sa taille. Je ne l'entendais plus, je voyais le mouvement de ses lèvres, de sa bouche, de ses doigts qui désignaient l'horizon. Je l'ai interrompu en plaquant mes lèvres sur les siennes, ma langue chaude s'est enfouie dans sa bouche, un feu me ravageait l'intérieur, j'ai passé mes doigts sous ses vêtements, sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner, il m'a devinée ... J'ai relevé ma robe et je me suis empalée sur son mat, indécent de vigueur, me laissant pénétrer avec délice. Il entrait en moi, ses mains sur mes seins chauds, j'ai mordu son cou et ma salive s'est glissée sur sa peau. A l’abri des buttes et des taillis, nos corps se mêlerent. Mon étui chaud et humide absorbait goulument sa verge, l'engloutissait et la brûlait. Je m'empalais sur lui, doucement, interminablement, je ralentissais ma descente, la reprenais. Cette lente pénétration affolait nos sens. Je m’offrais à son plaisir, à mon plaisir, sensation délicieuse, affolante. Il était en moi, et plus rien ne comptait. Pendant quelques secondes nous restions immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. Je lui souriais et me penchais vers ses lèvres, savourant mes propres sensations comme les siennes. Mes moiteurs intimes enveloppait son sexe. J'enveloppais son mat de mon ventre brûlant. Je me soulèvais un peu et coulissais à nouveau, les yeux à moitié fermés, Je m'agitais, m'empalais un peu plus, sur son sexe qui se tendait et s'allongeait dans mes chairs. Je me frottais, me soulèvais, redescendais, ondulais, pénétrations puissantes. De mes muqueuses, je le suçais, l’aspirais, le tirais, le poussais, m'appliquais, en jouant de son corps pour qu'il puisse mieux venir se perdre au plus profond de moi. Mes seins lourds et mobiles se mirent à ballotter librement sous mon corsage entrouvert. Il les empoigna et les palpa de ses deux mains, puis serra mes deux fesses pour bien se planter au fond de moi. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Je m’empalais maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, le suppliant de jouir vite en moi. Une ultime envolée, nous touchions aux nuages, j'avalais ses cris, mêlés d'agonisantes plaintes, nos corps furent agités par de violents frissons, Nous nous contrôlions plus ... il se lâcha et se rependit, jaillissante osmose, en une vive et abondante apothéose, comme foudroyé au sein du ciel bleu. Je m’effondrais sur lui en le couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relacherent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être. | douce nature (E) Tout s'est passé très vite, j'étais soûle de vent, je l'ai allongé dans l'herbe fraiche, je voyais dans ses yeux le mouvement des nuages. Je m'agrippais à sa taille. Je ne l'entendais plus, je voyais ... |
![]() | Il était monté comme un taureauLouis était monté comme un taureau. Il irradiait de puissance. il me prit dans la remise. Apres m'avoir rapidement allongée sur une serie de vieux matelas, il me pénétra d’abord lentement, comme pour me travailler, me préparer, me lubrifier. Je sentais son enorme queue raide qui glissait de plus en plus profondement. Puis il s’immobilisa. Je ressentis une sensation d'envahissement, de puissance et de chaleur intime, Il s'enfonca à nouveau, jusqu'au fond. Un puissant sexe mâle était enfoncé en moi, je le sentais vivre dans mon ventre. Ce sexe était enorme et brulant, il était planté en moi, immobile. J'avais l’impression d'être remplie. Puis il mit plus de puissance dans sa charge, me laboura, me besogna un long moment, il me prit sans ménagement et, sous l’effet de ses ondulations, il m’offrit une ribambelle d’orgasmes. Il m’entreprit un long moment, Il explosa une première fois, m’arrachant une jouissance infinie. Il resta en moi, et reprit vite de la vigueur, il me fit l’amour ainsi de façon puissante une demi-douzaine de fois. Puis je sentis son sexe, toujours enfoncé en moi, diminuer doucement de volume et ressortir lentement, liberant un flot de secretions amoureuses. Il s'échappa totalement, me laissant allongée, exsangue après cette fougueuse épopée. je l'ai laissé glisser hors de moi, dans un curieux bruit de succion et de glissement mouillé, liberant un flot de semence accompagné d’un torrent de son jus qui me coula délicieusement entre les fesses, J’étais aussi épuisée que lui, La tourmente fit place à un calme absolu. Je me sentais sans force, je pleurais doucement. Je restais là, les cuisses ouvertes, béante. L’air sur mes cuisses trempées de sperme me donnait le frisson. | Il était monté comme un taureau (E) Louis était monté comme un taureau. Il irradiait de puissance. il me prit dans la remise. Apres m'avoir rapidement allongée sur une serie de vieux matelas, il me pénétra d’abord lentement, comme pour ... |
![]() | Prise d'une soudaine et irresistible enviePrise d'une soudaine et irresistible envie de sexe, Jeanne m'emmena à l'écart dans le parc et m'enlaça tendrement. Emu, je sentis les seins de Jeanne qui s'écrasaient mollement contre ma poitrine. Je fus troublé par le contact sensuel des deux masses élastiques. Dans un geste qui se voulait bienveillant, je caressai affectueusement le dos de la comtesse et sentit aussitot le relief du soutien-gorge sous le corsage de soie. Jeanne n'abrégeait toujours pas ses elans de tendresse. Tout en continuant, d'une manière un peu plus sensuelle qu'il n'aurait fallu, elle pouvait sentir le frémissement de mon sexe, reveillant ses fantasmes les plus fous. Paniqué, je tentai de repousser ce corps chaud et sensuel qui me troublait de plus en plus, mais Jeanne continuait à cajoler son jardinier, inconsciente du trouble qu'elle créait chez moi. Le frôlement de nos deux corps ne fit qu'aggraver les choses. Jeanne, éprouvant soudain une douce sensation au contact de la proéminence dans mon pantalon, elle s'ingénia à faire durer le moment. Affolée, elle pouvait sentir même une douce chaleur prendre naissance au plus intime de son sexe, Elle tenta de se calmer elle-même en se frottant lascivement contre cette raideur, ce qui eut l'effet inverse: Affolée par mon contact viril, elle demeura figée, la bouche entrouverte, machinalement je posai une main sur l'un de ses seins fremissants sous son corsage, je le palpai avec émotion, souple au toucher sous le leger tissu. elle me laissa faire - Ils ne sont plus aussi fermes qu'auparavant, bégaya-t-elle, comme pour excuser la lourdeur de ses appâts . Terriblement excité, je pris alors le second sein et entrepris de palper les lourdes mamelles, objets de mes fantasmes. Je constatai vite que le regard de Jeanne devenait plus trouble au fil de mes caresses, que sa respiration s'accélérait, se faisait haletante. le corps parcouru d'un long frémissement érotique, elle cambra ses reins Accrochée à moi, le visage dans mon cou, Les sens exacerbés, elle fit frotter son bas-ventre contre mon membre dressé, N'y tenant plus, j'attirai la comtesse plus étroitement vers moi, lui faisant sentir la fermeté de mon désir. Lorsqu'elle se rendit compte qu'imperceptiblement je retroussai sa robe sur ses cuisses, elle s'immobilisa afin de ne pas entraver l'opération. Comprenant à son immobilisme soudain, que la comtesse s'abandonnait à mes sens en complet désarroi, je retroussai un peu plus la robe et put saisir à pleine mains les fesses rondes et fermes, avant de glisser mes doigts dans le vêtement intime. Dans mon cou Jeanne gémissait furtivement. et lorsque l'un de mes doigts s'enfonça délicatement dans son intimité, elle sentit son cœur s'emballer, son bas-ventre se crisper, cette onde voluptueuse la submergea toute, elle ressentit comme une explosion à l'intérieur de ses organes féminins qui la tétanisa toute. Incapable de se contrôler, elle poussa une longue plainte de bête blessée, libérant tout le flux sensuel emmagasiné en elle. Les jambes soudain coupées par la violence de son orgasme, elle s'accrocha désespérément au cou de son amant dont les doigts la fouillaient d'une manière terriblement voluptueuse. la vulve de Jeanne dégoulinait d'un jus chaud et onctueux. La gorge nouée, terriblement ému par ce que j'osai, j'enfonçai mes doigts dans le magma liquide qui enduisait l'intérieur du sexe en fusion. Ma main barbota dans un océan de lave ardente avec un excitant bruit de clapotis. Je commençai à me mouvoir en profondeur dans le vaste vagin, repoussant avec délectation les chairs gorgées de jus chaud et glissant. Complètement bouleversée par cette situation, Jeanne se mit à agiter vivement son bassin d'avant en arrière, dans une frénétique danse du ventre, tentant par ses mouvements désordonnés de m'aider, moi son jardinier qui la fouillait si profondément. Sous ce traitement délirant, Jeanne ne tarda pas à sentir monter la jouissance. Dans une crise frisant l'hystérie elle se laissa emporter par un orgasme violent et dévastateur en laissant échapper de longs vagissements. La main trempé par l'abondance des sécrétions vaginales que Jeanne avait lâchées dans ses nombreux spasmes sensuels, Ma verge ètait raidie à l'extrême, dure et frémissante de désir contenu. Jeanne s'en rendit compte et posa alors sa main sur l'énorme protubérance. Prise d'une impatience érotique, elle s'attaqua à la ceinture de mon pantalon, qui s'écroula mollement. Sentant la main de la comtesse enserrer ma verge, je ne pus réprimer un tremblement voluptueux. Saisissant ma sensuelle partenaire par les hanches, je la poussai doucement et l'allongeai dans l'herbe fraiche. Jeanne tenta faiblement de protester mais, incapable de résister, elle me laissa la maitriser, un long frisson de désir lui parcouru tout le corps. - Oh non… Robert… Non… Gémit-elle doucement en me sentant retrousser sa jupe… Je me penchai sur le bas-ventre que je venais de découvrir. Saisissant la fine culotte de satin, je la tirai doucement vers le bas. - Oh Non ! Gémit Jeanne d’une toute petite voix… - Soyez sage…Robert Ce n’est pas bien, ce que nous faisons… Mais son corps s’offrait sans retenues, elle souleva ses fesses, afin de m’aider à lui retirer sa lingerie intime. elle sentit la douceur du satin glisser le long de ses cuisses frémissantes, Envahie de desir, elle empoigna fougueusement ses deux seins pour les étreindre passionnément. Soudain une violente décharge sexuelle la fit se cambrer furieusement. Une onde dévastatrice explosa au plus profond de son vagin, irradia son bas-ventre, grimpa le long de son corps, les yeux clos, les doigts encore refermés sur son opulente poitrine, les cuisses largement ouvertes sur sa vulve trempée, elle haletait doucement, le bas-ventre encore agité de frémissements voluptueux. Allongée sur l'herbe, les jambes largement ouvertes, Jeanne fixa comme médusée mon énorme sexe. Elle degrapha son chemisier d'un geste souple libérant brutalement ses magnifiques seins, qui s’avachirent de chaque coté de son torse, tel deux masses élastiques. Me penchant sur le corps étendu de ma sensuelle maitresse, je refermai mes lèvres sur l’un des tétons raides et durs, que je me mis à sucer avec une délectation sensuelle. Sous cette nouvelle caresse terriblement affolante, Jeanne referma ses doigts dans ma chevelure, m’attirant fiévreusement contre son sein. son bas-ventre commençait à s’agiter sensuellement à la recherche du sexe masculin. J'abandonnai alors les énormes mamelles luisantes de ma salive, pour me redresser. Je présentai ma verge à l’entrée de la vulve de la comtesse, Jeanne ne put contenir le frisson de que lui procura ce frôlement érotique. - Oh Robert ! … Que faisons-nous ! … C’est pas bien ! … Surexcitée, elle agita pourtant ses hanches, langoureusement, lançant désespérément sa vulve à la rencontre de mon sexe mâle. Perdant toute retenue, impatiente de se sentir penetrer, impatiente d'absorber ce sexe dans son vagin en fusion, - Robert ! ... Venez vite ! Sans attendre, j'enfonçai mon sexe qui fut comme aspiré par l'orifice sexuel féminin. Bientôt, seules mes bourses émergèrent, la totalité de mon sexe étant enfoui dans le ventre de la comtesse, Jeanne ne tarda pas à haleter sensuellement, la vulve entièrement comblée par cet énorme sexe, Les mains agrippées aux larges hanches potelées de Jeanne, je me laissai glisser d’abord lentement, Puis je retirai ma verge .... un peu. - Oh non, gémit-elle… Restez !… C’est si bon !… Je m'enfonçai de nouveau entre les cuisses grandes ouvertes, - Oh, Robert !… C'est si bon ! Le va-et-vient puissant et régulier de mon gland dilaté entre les parois juteuses de la vulve de la comtesse declencha chez elle des milliers d’ondes voluptueuses qui irradiaient son corps. - Robert, Je sens bien votre belle queue dans mon ventre ! - Venez vite ! Je n'en peux plus ! Lui saisissant les hanches, je la penetrai d’un ample mouvement des reins, et fit coulisser ma verge dans son vagin, elle sentit ses entrailles se liquéfier. Un mince filet chaud et abondant s’écoula de son vagin pour se perdre entre ses fesses charnues. je ressentai le frottement terriblement affolant des chairs internes de sa vulve contre ma verge. Le corps en sueur je me démenai alors en ondulant des hanches, Accompagnant les gémissements de plus en plus prononcés de Jeanne, je me dechainai dans le fourreau sexuel, le pistonnant avec une véritable rage sexuelle, Enfin je sentis le plaisir envahir mon bas-ventre, gonfler un peu plus mon sexe. Percevant les frémissements avant coureur qui agitaient mon membre, je m'enfonçai bien au fond, m'immobilisai - Oh Madame ! ... Aaahhh ! Et .... je giclai copieusement mon sperme épais et abondant en plusieurs jets puissants. Au même moment dans un long râle de femelle comblée, Jeanne jouissait dans une contorsion desordonnée de tout son corps. Au bout d’un long moment, nous reprimes enfin nos esprits. Lentement, Jeanne retira mon enorme sexe ramoli de sa vulve trempée, qu’elle reposa sur mon ventre encore parcouru de spasmes. Jeanne s’accrocha a mon cou et m’embrassa tendrement du bout des lèvres. Attendri par cet abandon, je l'attirai à moi et collant ses lèvres aux siennes l’embrassai passionnément, lui fouillant la bouche de ma langue agile. | Prise d'une soudaine et irresistible envie (E) Prise d'une soudaine et irresistible envie de sexe, Jeanne m'emmena à l'écart dans le parc et m'enlaça tendrement. Emu, je sentis les seins de Jeanne qui s'écrasaient mollement contre ma poitrine. Je fus troubl&e ... |
![]() | Adam et Eve (Edmond Haraucourt)Adam contemplant Eve, et Eve contemplant Adam, tous deux s’étonnaient de tant de différence dans les formes du corps et les tons de la peau. Adam s'étonnait des deux pommes rondes saillantes sur sa poitrine d'Eve, et Eve le questionnait sur cette tige dans cette touffe noire - Tiens ! dit-elle, C’est tout rouge au bout. On dirait une rave ! Et ses mignons doigts roses allaient, couraient, venaient, faisaient de courtes poses, Comme des papillons voltigeant sur des fleurs. - Oh mais, regardez donc. Il a pris des couleurs. - Comme c’est drôle ! ll est plus grand que tout à l’heure. - Il se dresse, il frémit. Ciel ! une larme : il pleure ! - Oh mais ! il est énorme, Maintenant ! Il n’a plus du tout la même forme, - C’est très raide et très dur… A quoi peut-il servir ? - Ah ! Regardez ! moi, plus bas, je n’ai que la place. Voyez. - Ici… Regardez bien. La fosse est toute fraîche… - Diable ! C’est bien étroit ! Adam glissa sous la femme une main caressante... Eve bondit, l'oeil clos, la croupe frémissante. Tout son être frémit d'un long frisson nerveux. Elle entr'ouvrit des deux cuisses cambrées - Encore ! Cherche encore ! Oui. Vous y êtes ! Comme il croisait ses mains sous deux épaules blanches Adam sentit deux pieds se croiser sur ses hanches. Leurs membres innocents s'enlaçaient, s'emmêlaient. Alors, presque sans le comprendre, Tous deux en même temps, d'une voix faible et tendre, Murmurèrent des mots d'amour. Eve avait deviné ce qui l'intriguait tant. Comme le serpent que l'on chasse, errant, tête basse, en avant, en arrière, il va sans savoir où. Il s'élance, il recule, il cherche, il veut un trou, et lorsqu'il aperçoit l'abri tant recherché, Il entre et ne sort plus. Adam avait trouvé ! Un cri, puis des soupirs : l'homme a compris la femme. Les deux corps enlacés semblaient n'avoir qu'une âme. Ils se serraient, ils se tordaient, ils bondissaient. Les chairs en feu frottaient les chairs, s'électrisaient. Les veines se gonflaient. Les langues acérées cherchaient une morsure entre les dents serées, Des nerfs tendus et fous, des muscles contractés, Des élans furieux, des bonds de voluptés... Plus fort ! Plus vite ! Enfin, c'est la suprême étreinte, Le frisson convulsif... Eve, alanguie, éteinte, Se pâme en un soupir et fléchit sur ses reins ; Ses yeux cherchent le ciel ; son coeur bat sous ses seins. Son beau corps souple, frêle, et blanc comme la neige, S'arrondit, s'abandonne au bras qui la protège. Adam, heureux et las, se couche à son côté. Puis, tous deux, lourds, le sein doucement agité Comme s'ils écoutaient de tendres harmonies, rêvent, dans la langueur des voluptés finies. Eve soupira d'un tendre regard vers Adam: - Dieu, vois-tu, ne fait rien sans raison, Dieu fait bien ce qu'il fait... - Viens là ! Recommençons ! | Adam et Eve (Edmond Haraucourt) (E) Adam contemplant Eve, et Eve contemplant Adam, tous deux s’étonnaient de tant de différence dans les formes du corps et les tons de la peau. Adam s'étonnait des deux pommes rondes saillantes sur sa poitr ... |
![]() | La directrice est en entretien (d'apres Jacques Lucchesi)À lire le désir qui décrispait ses traits fins lorsqu'elle me fit entrer dans son bureau, je réalisais combien cette femme était attirante, tout en restant exigeante et apparement dirigiste. - Eh bien, rentre ! Ne sois pas timide ! ... Je m’appelle Viviane. Et toi ? - Jérôme ? ... Jerome, ca te va bien ! ... Je suis sûre que tu as de très bonnes dispositions ! Elle alla fermer la porte derriere nous et revint vers moi. Je m'interrogeais, un peu perplexe sur ce qu'elle pourrait bien exiger de moi, quand, ne me laissant pas le loisir de reflechir trop longtemps, elle s'approcha de moi et sa bouche, soudain, se colla à la mienne comme une ventouse. Elle resta ainsi une dizaine de secondes me laissant sans voix, avant de faire un premier bilan - Tes lèvres sont chaudes ! ... J'aime ! me declara-t'elle avant de reprendre le meme travail Un moment surpris je tachai de me ressaisir. Puis, emporté par l'événement, après tout pourquoi pas, me dis-je, j'en profitais donc de bonne grace. Nos langues se confondirent longuement, s'attrapant et s'enroulant l'une l'autre dans un maelström tout à fait inattendu. Vraiment, elle ne doutait de rien. - Jerome, je te sens plein d'ardeur ! C'est bon signe ! Devais-je céder à tous ses caprices ? Puis, comme si rien ne venait de se passer, elle retourna vers la porte, pour lui donner un tour de clef. J'entendais au même moment, derriere la porte, la voix de l'autre secretaire repondant au telephone que le directrice était en entretien et donc non disponible. Elle revint vers moi, s'installa face a moi, assise sur son bureau: elle me fixa avec fermeté - Prends mes seins ! Caresse les ! A pleines mains ! Ne sois pas timide ! - Palpe les ! Petris les ! ... Oui, c'est bien ! ... Ils t'excitent, hein ? - Tes mains sont douces ! Tu sais t'y prendre. Nous progressons ! D’une main sèche, elle jeta alors au sol les dossiers qui l’encombraient. Puis, elle releva sa jupe à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, et me désigna de l’index une cible sans détour: - Jerome, Je veux que tu me montres ce que tu sais faire ! Je restais sans voix. Je la sentais chaude et mouillée d'excitation. Elle m'attira vers elle avec autorité, prit ma main et l'amena entre ses cuissses chaudes - Tu sens ? ... comme je mouille ! .... Je suis toute chaude ! - Je veux que tu me baises ... là ! ... Maintenant ! ... Allons ! Ne fais pas le timoré ! Puis elle s'affaira sur moi, défit nerveusement ma ceinture, sortit ma queue, glissant mon gland le long de sa fente. Elle se cambra et d’un coup de rein, elle m'aspira en elle, m'enfoncant jusqu’aux bourses. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud. - Jerôme ! Je te veux bien profond ! Colle toi à moi et sens mes lèvres gourmandes ! - Laisse-moi te suçer, te caresser, te digerer ! - Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi ! Baise moi ! Avec ardeur ! - Deploie tout ton talent ! et montre moi que tu es à la hauteur ! Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. Apres une serie d'allers et venues dans ses chairs, je butais au fond d'elle. Et très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, et commencai à me retirer pour eviter l'eruption imminente - Non ! Reste ! Bien au fond ! ... Et Decharge en moi ! Vite ! Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me crispai, me bloquai au fond de son ventre et je déchargeai abondamment , en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Elle resta là devant moi, les yeux ebahis, siderée, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa un peu, laissant ma verge ressortir, entraînant le foutre qui coulait dans sa fente. Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante, - Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que tu m'a mis ! - Jerôme, je ne me doutais pas que tu avais autant de ressources ! Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi. - Ok c'est bon ! ... Je pense que tu es bon pour le service ! - Je t'attends tous les mercredi pour faire le point, d'accord ? (Jacques Lucchesi, La directrice est en entretien). | La directrice est en entretien (d'apres Jacques Lucchesi) (E) À lire le désir qui décrispait ses traits fins lorsqu'elle me fit entrer dans son bureau, je réalisais combien cette femme était attirante, tout en restant exigeante et apparement dirigiste. - Eh bien ... |
![]() | La chaleur de ses mainsLa chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, m'affolait tout en faisant monter mon excitation. J'étais là, contre lui, il était contre moi. Je sentais ses doigts remontant sous ma chemise de soie qui crissait doucement. Ses mains se risquaient à explorer mon corps, il caressait mes épaules. Je me laissais faire. Ses mains étaient chaudes et douces. Il s’attardait. J'aimais ses caresses. Je fermais les yeux, Petit à petit je m’abandonnai à lui, J'avais terriblement envie de lui, je le désirais, violemment. | La chaleur de ses mains (E) La chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, m'affolait tout en faisant monter mon excitation. J'étais là, contre lui, il était contre moi. Je sentais ses doigts remontant sous ma chemise de soie qui crissait ... |
![]() | Nous sommes maintenant nus tous les deux dans son lit. Je rêvais depuis longtemps d'une aventure avec elle, et ce désir se réalise enfin. Après un court moment d'aprehension, je glisse une main sous sa fine combinaison, je m’oublie dans la tiédeur de la chair feminine et dans l' odeur musquée d’excitation sexuelle. Je glisse une main encore timide à l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est soyeuse et moite. Puis j' approche mon visage de ses belles poitrines opulentes et legerement pendantes. Son sein onctueux comme une boule de pâte à pain se presse contre ma poitrine, et un téton bandé, rugueux, me titille la peau. J'inspire le souffle tiède qui lui baigne le cou. Marthe remonte elle-même la main vers son bas ventre. Elle écarte largement les cuisses pour inviter ma main encore hésitante à continuer l’exploration. Ma main atteint la fente du sexe ouvert dont les grandes lèvres sont douces comme les cuisses, gonflées d’impatience et juteuses. Elles s’ouvrent et s’offrent. Maa main explore, elle s’introduit enfin entre les lèvres gluantes. Elle me fait tâter délicatement le clitoris excité, puis elle enfonce quelques doigts de ma main dans son vagin. Elle se fourre elle-même deux de ses doigts. Elle se fait jouir avec ma main qui sent jaillir du corps feminin, parcouru de contractions spasmodiques, un puissant râle de plaisir, qui m’effraie tout d’abord un peu. Je suis submergé de plaisir car son orgasme m’a également traversé. Je suis ému jusqu’aux larmes. Et c’est avec amour qu’elle me branle, lentement, et me fait jouir. | (E) Nous sommes maintenant nus tous les deux dans son lit. Je rêvais depuis longtemps d'une aventure avec elle, et ce désir se réalise enfin. Après un court moment d'aprehension, je glisse une main sous sa fine combi ... |
![]() | Je viens de me retirer d'elle. Entre ses jambes coule tout l'humide de notre feu, mon sperme chaud coule doucement entre ses cuisses, mon foutre l'inonde et coule sur ses jambes. Immobile, extasiée tremblant encore de plaisir, elle reste là, allongée, ouverte comme jamais, obscène presque, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur a collé ses cheveux sur notre silence. Elle relève la tête vers moi, me regarde dans les yeux d'un regard trouble Je m'approche à nouveau, je pose mon sexe sur le sien, je le pousse un peu, le ressors, c'est de nouveau le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs rosées, Elle pousse un gros soupir quand j'arrive au fond, je fais durer le plaisir, j'accélère, je n'en peux plus, elle jouit soudain et au dernier moment, je fuse, je me vide, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, je me plaque surelle, écrasant nos deux corps | (E) Je viens de me retirer d'elle. Entre ses jambes coule tout l'humide de notre feu, mon sperme chaud coule doucement entre ses cuisses, mon foutre l'inonde et coule sur ses jambes. Immobile, extasiée tremblant encore de plaisir, elle r ... |
![]() | french kissCette étudiante américaine a tout pour me provoquer. Baiser rapide dans le cou, nos langues s'enroulent, c'est un délice... Mes mains retrouvent le chemin de ses cuisses. Sous sa jupe courte, sa culotte glisse... Je bande, avec indécence ... gestes précis, plus besoin du verbe, elle extirpe, experte, de mon pantalon mon dard bien chaud, dur et long. A ses lèvres un sourire, dans ses yeux le désir. Elle ouvre sa chemise, exhibe deux pointes cerises, se met sur moi à califourchon, et s'introduit mon membre oblong. Lentement, sûrement, elle glisse, coulisse, jusqu'à ce qu'il disparaisse ...dans l'orifice. Bien ancrée, comblée, miaulée, elle minaude, chaloupe sensuelle, des hanches ondule. Je ne bouge pas, me concentre en son centre, tout entier pris, happé, dans cette bulle, n'osant toucher ni ses seins, ni son ventre, livré, abandonné, à son plaisir qui me taraude. Elle me remue de l'intérieur de son ventre, se remplit profondément de mon pénis, sur ses mamellons perle la sueur... Et prise soudain comme d'une crampe indicible, elle déverse un flot de mots incompréhensibles, et sa cyprine qui coule sur mes bourses sensibles, Ses jambes se resserrent, elle tremble. Elle a du jouir, il me semble... Quand à moi, rendu au point extrême où tous les sens explosent, je lui avoue mon désir d'enfin la satisfaire. En son ventre offert mon sexe put se complaire, et je me répandis en une apothéose … Remise de ses émotions Elle se retire de mon aiguillon, se positionne dans l'autre sens. Je ne me fais pas prier deux fois, En à peine quelques allées-venues, mes mains accrochées à ses fesses, ma queue en elle... explose ! Fin de la fête, C'était la première fois. J'avais bien décidé, une fois dans son ventre, de me retirer à temps. Mais une fois chez elle, on s'est bien amusé et on a tant ri, que je n'ai pu me retirer. On a jamais autant joui ! | french kiss (E) Cette étudiante américaine a tout pour me provoquer. Baiser rapide dans le cou, nos langues s'enroulent, c'est un délice... Mes mains retrouvent le chemin de ses cuisses. Sous sa jupe courte, sa culotte glisse... Je ban ... |
![]() | Alors que nous dansions, ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions dans les bras l'un de l'autre. J'ai alors tres nettement senti son pantalon augmenter de volume et commencer à appuyer sur le bas de mon ventre. Je me laissais aller à imaginer, tout en me collant contre lui, l'effet de son enorme sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu dessus. Pierre était veuf depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, il était seul comme moi, il adorait danser. j'ai tres vite accepté de danser avec lui. je le trouvais charmant, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. J'étais émoustillée. Il était tard. Pierre me serrait de plus en plus contre lui. Je me laissai entrainer. Je me sentais plutôt instable, Pierre assurait mon équilibre. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre le mien. Je sentais tres nettement un relief explicite sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, je me suis mis à rougie .... et sans me laisser le temps de réagir les lèvres de Pierre se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui et lui ai dit - retournons nous asseoir, sinon nous allons faire des betises Il a chuchoté des excuses à mon oreille, me disant avoir eu du mal à se contrôler après m'avoir serrée contre lui quand nous dansions. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus. Je me suis convaincue qu'il ne s'agissait que d'un peu de flirt. Juste un petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était magnifique. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les soupeser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché vers moi et s'est mis à sucer si delicieusement mes pointes que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. - Pierre, J'ai si chaud ! Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. - Mon Dieu ! nous nous laissons emporter. - Je m'arreterai dès que tu me le diras. . Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Je n'avais même pas remarqué qu'il avait ouvert son pantalon et je le sentis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland. - Oh Pierre ! - S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi quelques instants... - Oui ... mais tu t'arretes ! - Oh oui ! ... comme çà ! .... c'est bon ! .... je t'en prie, juste un petit moment ! et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai protesté encore, - non, Pierre s'il te plaît!, arrête, je t'en supplie ! J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. J'ai recommencé à protester du bout des lèvres quand j'ai senti son énorme barre aller encore plus loin, au fond de mon vagin. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la soirée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! Il ralait de plus en plus fort contre moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. C'est alors que je l'ai senti. sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi. - Oh Pierre ! tu..tu...m'avais dit..que tu te..retirerais...! - Helene ! C'est si bon ! - oh oui ... je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi... tu me remplis .... tu m'envahis .... c'est bon ! Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais là contre lui, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... J'ai commencé à pleurer. Pierre l'a vu et m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée. - Tu m'avais dit que tu te retirerais.....tu me l'avais promis ! , - Hélène je suis désolé, tu étais si désirable, si excitante... Je n'aurais jamais imaginé que tu me laisserais ! J'ai fait une pause et l'ai regardé. Pierre m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, - je sens que je vais jouir encore, tu veux que je me retire ? Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié, - non, restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît ! Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus. Quand il est entré dedans, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit. j'ai aimé la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulvemon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos | (E) Alors que nous dansions, ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions dans les bras l'un de l'autre. J'ai alors tres nettement senti son pantalon augmenter de volume et co ... |
![]() | enviesAllongés dans le salon nos corps sont mêlés, emmêlés, confondus. Elle est belle. Ses seins lourds sont une gourmandise. Langoureusement elle se meut sur moi, ses seins étalés sur mon torse. Elle est belle, elle m'excite. J'aime faire partie de sa baise. Je n’y tiens plus. Je me soulage, en glissant ma main entre ses cuisses. Douce et agile elle s'immisce, ma main s’emballe, elle rêve d'être embrochée de mon pale, pendant que je la retourne et l’empale avec un râle. Je la vois, elle va jouir et moi aussi. je ne peux plus arrêter, c’est divin ! Ca y est ! elle halète, elle me fait perdre la tête, elle prends son plaisir jambes écartées et tremblantes de jouir. Une pluie fine commence à tomber, me ramène à la réalité, le rideau est à présent tiré et le spectacle terminé… 2013 © Flore | envies (E) Allongés dans le salon nos corps sont mêlés, emmêlés, confondus. Elle est belle. Ses seins lourds sont une gourmandise. Langoureusement elle se meut sur moi, ses seins étalés sur mon torse. El ... |
![]() | Le contact de sa peau douce et le moelleux de son sein lourd aggravait mon etat ! elle prit ma main tremblante, la dirigea sous le plissé, pour la poser sur le haut du sein, c'était si moelleux, sa peau de pèche me troublait terriblement: la sueur perlait en gouttes sous son décolleté, elle approcha son visage du mien. Sa main chercha et flatta mes testicules, elle serra mes bourses pendant que ma main flattait son sein , Elle écarta les jambes, souleva sa nuisette et se planta sur la hampe verticale de mon érection suintante, ses lèvres humidifiées presque inondées absorberent mon dard jusqu'a la base, elle mit ses seins en appui sur mon torse écrasant ses deux éminences contre mon corps, je sentis alors ma verge dure se napper comme un coulis enrobe un fruit ; son liquide plus le mien englobèrent ma tige sur toute sa longueur ! Que dire quand elle se décala d'un centimètre pour glisser ses muqueuses de part et autre de mon vit c'était chaud et aqueux, son vagin se contracta d'un mouvement de constriction réflexe ; l'étranglement par son antre de mon sexe décupla s'il se put mon pulsionnel plaisir Pubis contre pubis elle remit ses blonds cheveux d'un geste de la main des plus sensuels reprendre place dans son dos, elle se dégagea un peu, abandonnant ses liquidités presque amniotiques c'est moi qui poussai mes hanches vers ses fuites ; j'eus la force en six secondes d'aller et venir trois fois, dont deux qui se traduisirent par un gémissement de ma partenaire, Lorsqu'elle bascula sur le dos, mon membre qui obturait sa caverne laissa ses eaux m'inonder, nous étions liés au plus près assis, moi encore la traversant. mon phallus redevint Verge, je débandais en elle ! | (E) Le contact de sa peau douce et le moelleux de son sein lourd aggravait mon etat ! elle prit ma main tremblante, la dirigea sous le plissé, pour la poser sur le haut du sein, c'était si moelleux, sa peau de pèche me trou ... |
![]() | Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, déjà irradiés de joies intimes. Nos vetements s'éparpillerent rapidement dans la pièce, et ce fut les premiers contacts entre nos peaux fievreuses. Premières chaleurs de nos muqueuses. Nos visages se rapprocherent. nos lèvres s'écraserent l'une contre l'autre, nos langues se nouerent. Frémissements. Elle s'ouvrit à moi et naturellement, je glissai dans son ventre, ses yeux se fermerent, son corps s'ouvrit. Elle m'absorba au fond d'elle. Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. Elle se masturbait allègrement sur moi en surveillant mes réactions. Je la regardais jouir, Ces pénétrations affolaient nos sens. Je la sentais empalée, toute entière autour de mon mat, l'enveloppant,comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. Elle me sentait l'envahir. Elle s’abandonna, je voyageai en elle. Je m'enfoncai dans son ventre, profondément, goutant ses succions intimes. Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle s'abandonnait, cèdait à la volupté, ne cherchait plus à se contrôler. Elle s'offrait à mon corps, à nos sens ! De violentes secousses lui traverserent les entrailles... Elle se mit à trembler, se crisper et s'immobiliser toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. Elle clama sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent la désarçonna. Elle se soulèva, se cambra, comme tétanisée, se laissa emporter dans un long râle. Vingt mille volts lui remonterent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un vrai feu d’artifice. Elle se déchaîna, cria, la bouche ouverte, haletante, elle frissonna, elle trembl .....Tout son corps vibra. Elle partit ... envolée prodigieuse, elle brâmait, elle rugissait, une longue plainte sauvage, un long râle de volupté. Elle se déhanchait, se tortillait, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sentais ses contractions, ses mains griffaient les draps, Elle halètait bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements, la sueur lui perlait sur le front, ses cheveux noirs commençaient à lui coller aux tempes. Nos deux corps mélangés se mirent à vibrer au son de nos soupirs. Sous ses baisers brûlants je me sentis défaillir contre son corps agité de quelques derniers spasmes. Mon corps se tendit alors et vibra, je me lachai, je vidai ma joie en elle, je jaillissai dans son ventre qui m'avala, qui me but. Je me vidai, par saccades, Je m'immergeai dans son corps, je me noyais en elle. Elle m'attrapa les cheveux, me serra la tête, puis jouit longuement. Puis elle s'abandonna, se livra aux flots qui l'absorbaient... Elle s'abîma, sombra, s'anéantit... milles bulles éclaterent. | (E) Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, ... |
![]() | Il ne perd pas de tempsIl ne perd pas de temps. il attrape mon bras, jette mon sac au sol, dégrafe mon corsage, baise mon sein. Il me plaque contre le mur, m'embrasse, assoiffé, affamé, mordant. Il aime ça et j'aime qu'il aime. Le chaud de ses baisers m'enflamme, m'excite, je sens mon ventre papillonner, mes jambes tremblent déjà. Puis doucement, avec délicatesse et élégance, il égraine un à un mes vêtements comme des petits cailloux blancs qui tracent le chemin jusqu'au lit où il me couche. Nos baisers sont plus doux, mes lèvres entrouvertes s'offrent à sa langue et je me laisse dévorer. La fièvre m'envahit, j'implore le plaisir sous ses mains expertes. Je m'abandonne. Il aime ça et j'aime qu'il aime. Je pose mes mains sur son torse déjà nu, je descends jusqu'à la ceinture, un à un je fais sauter les boutons de son jean. Je voyage au gré de mon envie, son dos, ses fesses, ses cuisses, puis, l'objet de mon désir, son sexe, saillant et tendu sous le boxer. À mon tour, j'ôte la dernière barrière pour enfin mettre ma bouche sur ce vît qui attend les caresses de ma langue agile, souple, rigide. Elle monte, descend, s'arrête un instant, reprend, ma bouche se referme, le happe et le pompe, de plus en plus dur. Soudain, je sens ses bras qui me retournent, je croise son regard dans le miroir. Me voilà à sa merci, ses mains puissantes et douces sur mes hanches, je sens sa quête, il me trouve enfin, son sexe me pénètre lentement, le miel de mon jardin s'écoule jusqu'en haut de mes cuisses. Il est derrière moi, j'entends ses gémissements, je l'accompagne. Cadence, force, puissance, la chaleur envahit tout mon corps et se mêle à la sienne, c'est bon et je lui dis. Il aime que je lui dise et j'aime qu'il aime. À cet instant nous ne faisons qu'un, l'enchevêtrement de nos deux corps, les va-et-vient, le mélange de nos parfums, de nos souffles, de nos peaux emmêlées. Nos corps se tendent, on se sent, on se touche, on s'embrasse, partout, dedans, dehors, plaisir, notre plaisir. Encore ! Ensemble ! Crescendo ! Jouissance ! Baiser jusqu'à l'épuisement !Je me laisse aller, il tombe près de moi, je me colle à lui, nos cœurs battent, vite, très vite, il m'enlace. On se regarde, on sourit, on ne dit rien, les mots sont vains, les étincelles de ses yeux noisettes me suffisent... Il se lève, allume une cigarette, le moment que je choisis pour partir. Je reprends le même chemin, à l'envers, je retrouve mes dentelles, ma robe, mon foulard, je les enfile un à un, et j'arrive devant cette porte qui va s'ouvrir, bientôt, profiter encore des derniers instants avant de retrouver mon quotidien. Doucement il arrive derrière moi, se colle à moi, la chaleur de son corps nu, je me retourne, je lui offre encore ma bouche et lui, ses derniers baisers. Il remet mon manteau, ramasse mon sac, je prends un peu de distance, tendrement il se rapproche, me colle à la porte, m'en offre encore un, deux, je ne compte plus. J'entends la clé tourner dans la serrure, il me chuchote « merci », je le mords, doucement, je souris. J'aime ça et il aime que j'aime. Je suis déjà dans le couloir de cet hôtel, celui de nos rendez-vous clandestins. Avant de refermer la porte, il me chuchote : « À très vite ! »Le vent est froid, mon corps frissonne, j'avance jusqu'à ma voiture comme un automate, vidée et en même temps remplie d'énergie. Son sperme réchauffe encore mon ventre, mes jambes me portent fébriles, je vibre encore de l'intensité de nos étreintes. Rentrée, je ne passe pas dans la salle de bains pour profiter encore de son odeur sur ma peau, prolonger, m'endormir avec lui, m'éveiller avec lui, rêver de lui, lui près de moi. Sur mon portable, je trouve son dernier message « Que du plaisir, merci ! » Je suis bien. | Il ne perd pas de temps (E) Il ne perd pas de temps. il attrape mon bras, jette mon sac au sol, dégrafe mon corsage, baise mon sein. Il me plaque contre le mur, m'embrasse, assoiffé, affamé, mordant. Il aime ça et j'aime qu'il aime. |
![]() | dans la grangeIl m’ont tirée sur la paille, ils m’ont allongée sur le dos, ils se sont emparés des morceaux de mon corps qui les excitaient le plus, sans le moindre souci de ce qui pouvait me déplaire. J’étais le jouet de ces deux beaux mâles. Jérôme, accroupi sur mon ventre me bloquait de tout son poids, et Raphaël coinçait mes cuisses avec les siennes. Les deux complices me fouillaient, comme dans les films, et qui, sans aucun doute, les inspiraient. Pas un brin de timidité. C’est par trois ou quatre qu’ils s'enfonçaient dans mes orifices. Je laissais les sensations m’envahir, fulgurances de plaisir Ils n’allaient tout de même pas revenir tous les jours ? Et s’ils rameutaient d’autres copains ? Là, ça pourrait vraiment être l’enfer. | dans la grange (E) Il m’ont tirée sur la paille, ils m’ont allongée sur le dos, ils se sont emparés des morceaux de mon corps qui les excitaient le plus, sans le moindre souci de ce qui pouvait me déplaire. J’&eac ... |
![]() | Venus rustique (Guy de Maupassant)Ils se pressaient contre moi, émus, tremblant beaucoup, Me mangeaient de baisers en me serrant le cou, Tandis que grave et fière, et sans trouble, et sans crainte, Muette, je tendais la joue à leur étreinte. (Guy de Maupassant) Pour l'un j'étais l'acquise Pour l'autre l'insoumise Le brun fut impudique Le blond fut angélique Mais les deux furent phalliques Comme deux soleils magiques Et tous les deux m'ont prise Et bien qu'ils fussent ardents J'avais comme le sentiment Que j'avais tout le temps Pour ces deux amants Car j'aime, un point c'est tout, Peut être un point de trop Mais au fond je m'en fous J'ai l'amour qu'il me faut Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour Et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour. Vingt fois léchée, sucée, branlée Jusqu'à satiété ! Jane callipyge, en une galipette, je présente ma douce ornière... Devant cet appel à la fête lui, large et bien bandé, S'introduit et glisse au plus profond de ma sombre marée De l'autre coté, je reçois en ma vulve ouverte De Marc bien inspiré, sa queue prestement offerte. De hi de han en va en viens, mes deux amants font le plein dans mon corps qui en souplesse ondule entre deux pistons : L'un qui... m'encule Et l'autre, qui dans mon ventre fond ... Une fois les deux tiges dans ma chaude chair Alternativement, et même, parfois, de concert... Je sens dans mon ventre leurs deux sexes qui entrent et sortent, et se frottent l'un contre l'autre en ma chair et mon sang. Bon sang Que c'est bon ! Je m'y vautre dans cette jouissance. Double étalons Double évanescence ! Joyeusement je m'empâle sur leurs pieux, l'un devant l'autre derriere, et je les sens s'activer dans mon ventre de concert pour bientôt me faire jouir dans cette symphonie du plaisir ! (Cyr) Sur la peau douce… caresses et passes, Leurs sexes face à face, se glissent et s’effacent, Se faufilent… Ça glisse…et coule Fesses impasses… petite mort lasse… Bouches et lèvres tracent et tissent Un fil de délices sur la peau douce et lisse… Ils jouissent. (Prune) Transcendée dans un mélange De douleur et de plaisir Je me retrouve aux anges par les coups de reins de l'un Qui s'aventure dans mes profondeurs, et l'autre vole soupirs et cris Tant la promenade de son ami Lui fait voir mille couleurs Alors je suce et aspire les boules, les glands et les pénis tout entiers ! A chaque passage sur mon clitoris Un frisson de délice Lui parcours mon échine et la rend plus que jamais... féline ! Lentement, ils ont joués de mon corps, éveillant au désir, le grain de ma peau, caressant mes seins avec douceur, me faisant découvrir mille plaisirs, m'incitant à l'impudeur, Me forçant sans douleurs, allant et venant, m'oubliant, pour mieux me faire vibrer, Et revenir en vainqueurs, pour enfin, me faire partir... Sous leurs doigts musiciens... (BB) | Venus rustique (Guy de Maupassant) (E) Ils se pressaient contre moi, émus, tremblant beaucoup, Me mangeaient de baisers en me serrant le cou, Tandis que grave et fière, et sans trouble, et sans crainte, Muette, je tendais la joue à leur ét ... |
![]() | Douces paroles, effleurements furtifsDouces paroles, effleurements furtifs, son chemisier frotte doucement sur la pointe des seins, douce chaleur qui irradie le ventre, oppresse la poitrine, respiration rauque, débit saccadé, profonds baisers qui laissent pantois, Je l'emmene vers la chambre, transport chaotique, et délicatement, je l'allonge sur le lit, jupe glissée le long des hanches, dos cambré pour faciliter l'opération, corps allongés, exploration du corps feminin, seins tendus, pointes dressées, ventre vibrant d'un désir ardent, mon sexe à peine dévoilé, brillant d'humidité, jeu de bouche et de langue sur le corps abandonné aux caresses, nous sommes serrés l'un contre l'autre, les deux corps s'épousent, les lèvres se joignent, les langues tournoient, les mains à la découverte du corps de l'autre. Ondulation lascive. sa main glissées sous ma veste, descente le long du dos, ma paume de main qui englobe un sein, le petrit, bouche dans son cou, souffle d'air chaud, spasme de plaisir, Son chemisier est lentement deboutonné et doucement écarté, glissant sur les épaules et le long des bras. baisers de bouches, pointes de langue, peau douce et frémissante. décharge électrique qui vrille les reins, langue qui tourbillonne autour d'une pointe de sein. souffle rauque, tétons durcis qui s'écrasent contre ma poitrine, le ventre qui se tend à la rencontre de l'autre. bouches qui se retrouvent, dents qui s'entrechoquent, les langues reprennent leurs explorations mutuelles, mes mains glissent sous sa jupe, peau tendre des cuisses, fesses libres de tout tissu, doux sillon humide de desir. Ses jambes sont secouées de tremblements, son ventre noué de contractures, redoublement de gémissements, mes doigts sont sous les bords de la dentelle. Ses jambes s'écartent, souffle d'air tiède sur le sexe feminin, mes doigts qui explorent, remontent, l'intérieur des jambes, doucement ouvertes, son corps arqué, exploration de tous les moindres replis, parfum enivrant de nectar, sa tête noyée dans les brumes de l'intense plaisir, vagues de l'orgasme naîssant au creux de ses reins et qui déferle dans tout son corps, torsion et gémissements sans discontinuer, lame de fond vers des sommets inexplorés d'un plaisir violent. paroxysme de jouissance. Elle jouit ! Sa peau est douce et chaude sous mes doigts, ses jambes écartées accueillent mon corps, mon sexe frole le sien. elle mouille ! elle m'attend. Elle ne bouge plus, ses yeux ouverts fixent le plafond. Mon pénis turgescent se frotte le long de sa vulve, l'humidifiant de son liquide, et ... je la penetre, lentement. Pamoison, jouissance intense, son sexe s'ouvre comme une fleur, sensations indescriptibles d'une lente progression dans son puits d'amour, centimètre après centimètre, prise de possession, les parois de son ventre m'épousent étroitement. Je la pénètre avec douceur, elle me reçoit tendrement. Je glisse en elle avec délice, je vais et je viens, doucement, amplement. Je la pénétre à fond, c'est chaud ... Je ressors, je reviens, plus profondement. Je touche le fond, mes bourses touchent sa peau, elle me serre dans ses bras et gémit doucement. Ses muscles intimes me serrent. Bien enfoncé en elle, je glisse dans son ventre, Planté au fond du vagin bouillant qui se serre convulsivement, son corps se cabre, ses hanches ondulent, le pubis se tend, ses jambes s'enroulent autour de mes cuisses, doux va et vient, gerbe d'étincelles venant éclater en cris et gémissements, cadence accelerée, râles, tant le plaisir est intense, les bras qui se referment sur les épaules, les doigts qui se crispent, les ongles qui se plantent dans la peau, elle jouit de nouveau, un long feulement rauque finissant en un râle de pure extase, orgasme ravageur, brusque accélération, coups de langues et caresses profondes, lèvres serrées autour de la verge tendue sentant le corps de l'autre, répondre par de violentes crispations incontrôlées, vagues de plaisir. Ma penetration se fait profonde, quelques mouvements ... dans un fourreau brûlant qui serre convulsivement ma verge. Paroxisme de la tension. Je vais venir ! Je viens ! Explosion. Jaillissement. Je jouis plus fort que jamais, j'inonde son intérieur. Ma semence gicle, remplit, envahit le vagin dans un grognement de plaisir. longs jets brûlant ... jouissance au plus profond d'elle, nouvelle explosion de plaisir la laissant totalement épuisée, repue, vidée de toutes forces. mêlée de deux corps, brume érotique, brouillard sensuel. Pendant cinq minutes, nous sommes compressés l'un contre l'autre, moi au plus profond d'elle et elle autour de moi. Nous nous parlons, en même temps, décrivant à l'autre des choses que nous n'avions jamais senti. Je m'endors en elle, c'est magique. Des voiles se referment, la tension se relâche, ma chaleur humide s’épanche de son corps. Sa respiration se fait profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe... Je reste planté en elle, immobile ... Une lourdeur pesante envahit ses membres. Une paix profonde nous gagne, toute de quiétude et de sérénité... nos corps sont repus... Nous avons fait l'amour avec douceur et joui tout les deux à l'unisson. | Douces paroles, effleurements furtifs (E) Douces paroles, effleurements furtifs, son chemisier frotte doucement sur la pointe des seins, douce chaleur qui irradie le ventre, oppresse la poitrine, respiration rauque, débit saccadé, profonds baisers qui laissent pantois ... |
![]() | tous deux à l'unissonSon visage, là, à quelques centimètres du mien. Ses pommettes légèrement rougies me troublent. Sa peau est douce et chaude, Ses yeux sont fermés, son corps est relâché, ses jambes ouvertes, elle m'attend. Je la sens, elle est prête ! Et je viens ! Je m'enfonce en elle. Oh subtile jouissance ! Elle esquisse un sourire et s'abandonne à moi Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je la pénètre, et la comble, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Un glissement onctueux, une sensation puissante, une penetration lente Un frottement délicat, une caresse tendre. Je continue, je la sens... Que c'est bon ! j'entre en elle ... encore, et encore !.... plus profond ! Je la pénétre à fond, le plaisir monte en vagues, son ventre est en feu. c'est chaud autour de moi... Je ressors, j'y retourne, plus fort, plus loin. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, Elle me sourit. Je touche le fond, J'ondule, elle m'aspire, je râle, elle gémis. Elle me serre, me dévore. Je m’enfonce ... loin, très loin. Elle m’enroule, je plonge, me retire, puis reviens. Elle soupire, et avale mon corps. Je vais et je viens, des vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ...Je me donne, elle me prends, ronronnements, feulements. Je me retire, laissant le vide. Elle se débat, je la reprends. complètement, passionnément. Mon corps collé au sien, je la pénètre de nouveau, totalement. Je sens mon sexe en elle, grossir, durcir et m'allonger, investir son ventre chaud Ses jambes s'écartent pour mieux me recevoir, et se resserrent pour mieux me retenir Je suis une flèche, fichée dans sa chair, son corps est frémissant. Je remue en elle la terre et le feu, la mer et le vent, mon sceptre en elle devient roi. Elle me serre dans ses bras en gémissant. Ses muscles intimes me serrent dans tous les sens. Ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Elle gémit lorsque j'atteints ses profondeurs secrètes. Je m'empare de nouveau de ses seins que je pétris au rythme de mes allées et venues. Bien en elle, glissant dans son conduit, j'accélère. Elle m'encourage, moi au plus profond d'elle et elle autour de moi. Nous nous parlons, en même temps, décrivant à l'autre des choses que nous n'avions jamais senti. Elle s'agite de plus en plus. Je la serre contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreins désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitent. Suit un furieux corps à corps. Elle est prête ! Je viens ! Elle jouit ! Moi aussi ! Un puissant orgasme nous dévaste tous les deux j'inonde son intérieur. Elle me boit, aspire tout ! Les corps se tendent une derniere fois, puis retombent. Je m'affaisse sur elle. Elle me caresse les cheveux Une délicieuse moiteur s'écoule sur le drap. Nous sourions ensemble, satisfaits Nous avons fait l'amour avec douceur et joui tout les deux à l'unisson. | tous deux à l'unisson (E) Son visage, là, à quelques centimètres du mien. Ses pommettes légèrement rougies me troublent. Sa peau est douce et chaude, Ses yeux sont fermés, son corps est relâché, ses jambes ouver ... |
![]() | Il s'enfonce en moiIl s'enfonce en moi, me penetre, me comble, un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. Il ondule, je l'aspire, il râle, je gémis. Il s'enfonce ... loin, très loin. Je l’enroule, le défais, il plonge, se retire. J'avale son corps. Il cajole le mien. Il va et il vient, vagues de plaisir, des montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis sa redescente voluptueuse des mille et une nuits. Je me donne, il me prends, ronronnements, gemissements. Il se retire, laissant le vide, je me débats. Il me reprends. complètement, passionnément. Son corps collé au mien, il me pénètre de nouveau, totalement. Je le sens en moi, grossir, durcir et s'allonger, investir mon ventre chaud, mes jambes écartées pour mieux le recevoir , mes jambes resserrées pour mieux le retenir. Au rythme de son corps, je me plie sans effort, courtisane lascive, soumise et attentive. Au plus profond de moi, son sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps. J'inonde son corps d'un torrent de caresses ruisselantes dont je veux le couvrir, Il explore les ports de mes grâces intimes d'une langue ondulante et jusqu'à me râvir, il baise ma bouche, y trouvant sa saveur, il saisit la souche de son désir fébrile pour écarter mes lèvres pleines de saveur en y laissant la sève d'un plaisir érectile. Pour que mes yeux se plissent, que mon regard se trouble, il me laisse incertaine de sa possession qui me frôle et se glisse et presse mon bouton. En posant ma poitrine sur la sienne que je presse, J'emprisonne ses jambes en lui serrant les fesses; Nous gémissons ensemble d'une tendre détresse, pris d'une passion commune pour ce qui nous oppresse. Il ramène ses genoux aux côtés de mes hanches, mes yeux deviennent fous sous cette invasion franche, il se redresse un peu pour caresser mon corps et se laisser tanguer entre mes cuisses ouvertes. Il y allume un feu qui m'éblouit bien fort mais j'aime le regarder courir droit à sa perte, la pointe de mes seins redressée fièrement. La danse de mes reins accélère, plus rythmée, Il cueille une auréole, il serre l'autre des dents, mes nerfs soudain s'affolent, je m'affaisse essouflée. | Il s'enfonce en moi (E) Il s'enfonce en moi, me penetre, me comble, un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. Il ondule, je l'aspire, il râle, je gémis. Il s'enfonce ... loin, très loin ... |
![]() | une sirene nommée VanessaUne sirène, troublante, entièrement nue dans l'eau claire de cette grande piscine. Cheveux bruns, des beaux seins, ronds et souples qui flottent nus entre deux eaux, libres de tout maillot, Des courbes ondulantes dans les reflets liquides. Elle doit avoir 20 ans, une peau lisse, délicatement bronzée. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies. Elle provoque mon émoi, je bande sans détour, elle le voit. Les derniers baigneurs sont partis. Nous restons seuls, face à face. Elle me nargue et m'interpelle. - Tu viens ? Je me glisse dans l'eau fraiche, je m'approche. Son visage ruisselant est maintenant à dix centimètres du mien. Elle me fixe un long moment qui me semble une éternité. Puis, subitement, elle se rapproche, prend mes lèvres et me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes. Je sens alors sa main frôler mon maillot de bain qui a doublé de volume. Elle sourit et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte, me regarde fixement avec un léger sourire gourmand et plaque son ventre et le frotte contre mon maillot. - Je m'appelle Vanessa ! Et toi ? Elle palpe sans pudeur mes reliefs, durs comme du bois. - C'est pour moi tout ça ? Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre. Elle est chaude, ses seins me narguent, je bande douloureusement. Je finis par toucher ses belles poitrines flottantes. Je les pétris, Je sens sa main plus bas qui capture mon sexe, le branle, et d'un coup, se l'enfile dans ses chairs. Je me sens aspiré, avalé, suçé, absorbé. Je glisse dans son ventre chaud, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux. Elle soupire, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, nous voulons tous les deux jouir ensemble et sans retenue. Elle grogne, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je me lache. Rendu au point extrême où tous les sens explosent, je lui dis mon envie d'enfin la satisfaire et en son trou, offert, je me répands enfin en une apothéose …Je libére ma sève et lui remplit le ventre, abondamment. Elle me sourit, se rhabille rapidement et me donne son numéro de chambre. Je retourne à ma chambre, petite douche, et je me dirige vers la chambre 33. Je frappe. J'ouvre. Elle est allongée sur son lit, complètement nue. Elle me provoque et elle réussit. La bandaison est repartie ! Elle m'attends, toute ouverte. Je m'exécute et me glisse sur elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre et me repousse un moment pour vérifier l'état de mon désir. Mon sexe se dresse droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant. Elle le saisit, se l'enfile sans attendre. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre… Puis elle se relève, prend ses affaires et m'annonce - Viens ! Je veux te présenter à ma mère, en general, elle a les memes gouts que moi | une sirene nommée Vanessa (E) Une sirène, troublante, entièrement nue dans l'eau claire de cette grande piscine. Cheveux bruns, des beaux seins, ronds et souples qui flottent nus entre deux eaux, libres de tout maillot, Des courbes ondulantes dans les refl ... |
![]() | la ceriseElle prit une cerise, l'enroula de sa langue et se mit à la suçer. Elle la fit monter et descendre dans sa bouche gourmande, avec des bruits de succion sur la friandise soumise, mon sang fut sous pression. Elle termina sa cerise et se passa la langue sur ses lèvres pulpeuses. Un peu de pulpe lui restait aux commissures des lèvres. Elle me demanda de lui retirer. J’approchais ma bouche de la sienne et lui nettoyais avec ma langue la pulpe mouillee. Elle ferma les yeux, un léger frisson la parcourut et elle me sourit à son tour. Elle s’étira longuement comme un chat. Elle bailla à s’en décrocher la mâchoire. Puis elle posa ses lèvres sur les miennes. Ce fut le début de l'histoire ... | la cerise (E) Elle prit une cerise, l'enroula de sa langue et se mit à la suçer. Elle la fit monter et descendre dans sa bouche gourmande, avec des bruits de succion sur la friandise soumise, mon sang fut sous pression. Elle termina sa ceri ... |
![]() | nos corps se mêlentUn étui chaud et humide entoure ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle s'empale sur moi, Cette pénétration affole nos sens. Elle s’offre à son plaisir, à mon plaisir. La sensation est puissante, affolante. Je suis en elle, et plus rien ne compte. Pendant un moment nous restons immobiles l’un dans l’autre. Une moiteur torride enveloppe mon sexe. Elle enveloppe mon mat de son ventre brûlant. Elle coulisse à nouveau, les yeux à moitié fermés, Elle s'agite, s'empale un peu plus, sur mon sexe qui se tend et s'allonge dans ses chairs. Elle se frotte, ondule. Une penetration puissante. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse, s'applique, en jouant de mon corps. Ses seins splendides se mettent à ballotter librement. Je les empoigne et les palpe de mes deux mains, puis je serre ses deux fesses pour bien me planter au fond d'elle Son corps inondé de sueur luit sous la lumière. Elle s’empale maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, me supplie de jouir vite.Une ultime envolée, nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes nos corps sont agités par de violents frissons, Je ne me contrôle plus ... je lache et me repends, nous mourons foudroyés au sein du firmament... Elle s’effondre sur moi en me couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relachent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être. | nos corps se mêlent (E) Un étui chaud et humide entoure ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle s'empale sur moi, Cette pénétration affole nos sens. Elle s’offre à son plaisir, à mon plaisir. La sensation est puissant ... |
![]() | LucieJ’adore le corps de Lucie chez qui je vais satisfaire maintenant tous les mardis mes besoins amoureux. Cet après-midi là, je la rejoins dans sa chambre. Elle m'attends, assise sur son lit, dans une legere chemise de nuit de satin creme, ouvert sur ses belles poitrines rondes, lourdes et généreuses. Elle est delicieusement potelée, ses poitrines ont des mouvements erratiques terriblement excitants, des mamelles qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, de sucer, d’écraser au moment de la jouissance. Lucie me regarde affectueusement avec ses deux grands yeux bleus. - Tu viens mon chéri ? me demande-t-elle en me fixant avec un sourire particulièrement gourmand. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses - Tu sens ? ... je suis toute prête ! Lucie commence à deboutonner ma chemise, ouvrir mon pantalon. Je saisis alors Lucie et l’embrasse à pleine bouche. Nos corps sont maintenant quasiment nus, l'un contre l'autre. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte mon gland contre son sexe. Elle gémit, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah. Son ventre est tout chaud. Il m’enserre, me presse. Lucie est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme. - Lucie, ma douce. - Nicolas, Nicolas, mon chéri ! Pas trop vite ! Que nous puissions jouir ensemble ! Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. Elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille dans ses chairs, annoncent une jouissance proche, trop proche. - Prends ton temps, tu dois faire monter le désir ... dans ton corps ... et dans le mien ! Je la pénètre plus lentement, elle pousse un long soupir de plaisir, je la regarde droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette. Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours à explorer le fond de ses entrailles. Je vois les prunelles bleues de Lucie s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. - C'est bien mon chou ! continue ! Tu me fais ça si bien ! - Tu sens mes petites contactions ? Tu es bien bans mon ventre ? Je te sens bien tu sais ! - Occupe toi de mes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. Palpe les ... je sens que ca t'excite ! La vibration devient communion, nos deux corps ne font plus qu’un, nos chairs font fusion, nos fluides et nos odeurs se mélangent. Elle ondule de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides. - Oh ! Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie. Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras de Lucie. Je n’avais jamais vu ça. - Oh Lucie ! Je crois que je viens ! Il n'en faut pas plus pour que ce prodigieux spectacle déclenche chez moi une jouissance instantanée. Je n'en peux plus. Je me plante au fond d'elle ... Je me raidis, me crispe ... et ... je me vide dans son ventre en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent. Il y en a plein le lit - Eh bien bravo mon Lou ! Qu'est-ce que tu m'as mis ! Il y en avait des litres ! Un duo de jouisseurs en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre sur le futon, vidés de nos sécrétions, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Lucie qui a étalé les jambes sur moi. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes. | Lucie (E) J’adore le corps de Lucie chez qui je vais satisfaire maintenant tous les mardis mes besoins amoureux. Cet après-midi là, je la rejoins dans sa chambre. Elle m'attends, assise sur son lit, dans une legere chemise de nuit ... |
![]() | chez LucieJ’adore le corps de Lucie chez qui je vais satisfaire maintenant tous les mardis mes besoins amoureux. - Entre mon cheri, viens vite, je t'attends Cet après-midi là, je la rejoins dans sa chambre. Elle m'attends, allongée sur son lit, dans un ensemble de nuit de satin rose, ouvert sur ses belles poitrines rondes, lourdes et généreuses. Elle est toute potelée, ses poitrines énormes ont des mouvements erratiques terriblement excitants, des mamelles à peine soutenues par un délicat soutien-gorge de dentelles, des mamelles qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, de sucer, d’écraser au moment de la jouissance. Lucie me regarde affectueusement avec ses deux grands yeux bleus. - Tu viens mon chéri ? me demande-t-elle en me fixant avec un sourire particulièrement gourmand. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses - Tu sens ? ... je suis toute prête ! Je saisis alors Lucie et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte mon gland contre son sexe. Elle gémit, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah. Son ventre est tout chaud. Il m’enserre, me presse. Lucie est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme. - Lucie, ma douce. - Nicolas, Nicolas, mon chéri ! Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. Elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille dans ses chairs, annoncent une jouissance proche. Je la pénètre plus lentement, elle pousse un long soupir de plaisir, je la regarde droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette. Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours à explorer le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Lucie s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. - Oh mon chou ! Tu me fais ça si bien ! - Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. La vibration devient communion, nos deux corps ne font plus qu’un, nos chairs font fusion, nos fluides et nos odeurs se mélangent. Elle ondule de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides. - Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie. Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras de Lucie. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez moi une jouissance instantanée. Un duo de jouisseurs en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre sur le futon, vidés de nos sécrétions, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Lucie qui a étalé les jambes sur moi. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes. | chez Lucie (E) J’adore le corps de Lucie chez qui je vais satisfaire maintenant tous les mardis mes besoins amoureux. - Entre mon cheri, viens vite, je t'attends Cet après-midi là, je la rejoins dans sa chambre. Elle m'attends ... |
![]() | Il était subjugué emmerveillé par la beauté du corps de cette belle femme avec qui il allait faire l'amour. Elle amena sa belle verge bien bandée de son à l'entrée de sa chatte. Ondulant de bassin, elle enduisit le gland de ses sécrétions intimes le caressant de ses lèvres vaginales Elle promenait l'extrémité du sexe du jeune homme sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Il n'en revenait pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, S'accrochant aux épaules du jeune homme, elle lui souffla à l'oreille : - Viens maintenant, vas-y ! Ce fut le signal et il propulsa brutalement son sexe dans le ventre accueillant, clouant littéralement sa maitresse sur le lit. Ce fut un véritable coup de butoir qui fit hoqueter Lucie, lui coupant le souffle. Elle s'aggripa plus étroitement à son jeune amant, essayant de retrouver ses esprits le moment de surprise passé. Le jeune homme s'affola : - Vas-y, bouge et ne t'arrête pas ! Elle murmurait ses encouragements à l'oreille de son jeune clientt en lui caressant affectueusement les cheveux. La pénétration brusque l'avait surprise. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la poussée du jeune garçon se fit facilement et que son gland put buter au plus profond de son ventre. Elle était remplie, comblée de ce gourdin planté en elle. Elle enfonca son visage dans le creux de l'épaule de son jeune amant. Le souffle chaud de sa maîtresse dans son cou, ses baisers mouillés sur sa peau, ses tendres caresses dans ses cheveux rassurèrent le jeune homme qui entama un lent retrait de son membre durci. Sur son épaule elle se crispa : - Non reste ! Et notre jeune homme replongea à nouveau dans la chatte moelleuse. Le jeune homme se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de sa maîtresse lui firent comprendre qu'il avait vu juste. Il lui fallait combler cette femme merveilleuse. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds, elle ronronnait comme une chatte, c'était de nouvelles sensations. Son sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux, il coulissait profondément dans le vagin de sa maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Le jeune homme sentait sa barre rigide complètement enserrée dans le ventre chaud et pourtant son membre était étrangement libre d'aller où il voulait. Il continuait ses va et vients régulers, Le goût de sa peau que le jeune homme lapait comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice pour le jeune garçon. Elle n'était pas chaude, elle était brûlante. Lui était en nage et une chaleur torride irradiait du corps de sa maîtresse, il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, sa queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion, il devenait fou. Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de lui-même vers son cerveau lui faisait totalement perdre le contrôle de ses actes. Chaque partie de son corps semblait évoluer pour son propre compte. Sa bouche courait sur tout le visage et le cou de son égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Les lèvres du jeune amant dévoraient à nouveau celles de sa maîtresse, les dents de Julien jouaient avec les mamelons turgides de son initiatrice. Les mains du jeune homme couraient elles aussi frénétiquement sur le corps de Solange pour la caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement sa partenaire et mieux investir de son pieu ardent le puits d'amour de Madame Granger. Un seul mot d'ordre pour le jeune mâle, contrôler les spasmes de son sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer sa charnelle déesse, pour combler sa muse volupteuse. Et Julien se consacrait entièrement au culte d'amour dans la caverne aux délices de Solange, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment.La gémissante Madame Granger n'en finissait pas de râler sous les perverses caresses internes de son amant. Décidément, ce jeune puceau se révélait être un vrai démon.Il la pénétrait, la forçait à s'ouvrir à ses profondes avances. Son vagin était un four dégoulinant. Un pieu de chair, qu'elle imaginait monstrueux, lui ravageait les entrailles puissament. La tête de Solange roulait sur ses épaules, son souffle était court, ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante. Elle ne se souvenait pas d'avoir été aussi bien possédée par Jean. Chaque nouvelle poussée la précipitait au bord du gouffre de la jouissance. Une nouvelle bourrade plus ample de son amant lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Le jeune garçon lui avait totalement perforé le ventre et venait de lui écraser le clitoris avec son pubis. Cette nouvelle vague de plaisir l'amenait encore plus haut vers les sommets de la jouissance. Solange mordit l'épaule de Julien pour ne pas hurler, mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelstrôm. Le jeune homme avait compris ce qui se passait mais continua ses mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de sa maîtresse et aboutir à son plaisir. Solange voulait que son amant explose maintenant au plus profond de son ventre. Elle s'aggripa aux épaules de Julien, et soulevant sa jambe gauche, la passa autour de la hanche de son partenaire pour qu'il la pénètre encore plus loin, encore plus fort. La divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Solange y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte. Le contact du bas soyeux, la caresse de la chair tendre de l'intérieur de la cuisse de sa partenaire sur ses fesses électrisèrent le jeune garçon. La pression de la gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final du ventre de Madame Granger. Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt, Julien banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua dans cette chatte baveuse comme s'il voulait faire traverser le mur à sa partenaire. Il lui pilonnait son con torride pour la propulser jusqu'au plafond. Il hurlait des rales d'effort à chaque violente poussée, il implorait le nom de sa maîtresse à chaque coup de butoir. Le jeune garçon était devenu un barbare ravageant l'Empire Romain, un vandale dévastant Rome, la ville éternelle. Julien était un guerrier sauvage violant la belle patricienne offerte à ses formidables assauts. Solange n'était qu'une frèle poupée emportée dans une folle chevauchée, ballotée par un étalon furieux. Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé, son con explosé. Profitant des poussées fulgurantes de son amant elle avait passé ses deux jambes autour de sa taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour. Julien lui avait empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Madame Granger était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de ses entrailles une horde de chevaux sauvages investissait son corps, se répandait dans la plaine profonde de son ventre. Leur galop résonnait jusqu'au bout de ses seins que la bouche vorace de son amant déchiquetait à pleine dent. Elle hurlait le nom de Julien, le suppliait d'arréter, le priait d'aller plus fort.. Solange gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle surfait sur cette vague ne révant que de plongée dans le bouillon d'écume du plaisir, elle atteignait l'orgasme absolu. Enfin le jet puissant de la semence de son amant inonda le point le plus profond de la chatte de Solange, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Julien avait sentit l'imminence de son éjaculation et il avait encore accélérer la force de ses coups de butoir dans le ventre brûlant de sa maîtresse. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride. Il était l'Etna et le Vésuve réunis, il était l'homme le plus puissant au monde ! A bout de souffle, le jeune garçon enfouit sa tête dans le coup de Madame Granger, lui assenant ses derniers coups de belier pour lui exprimer sa gratitude de jeune puceau. Les deux amants cherchaient leur respiration. Julien continuait de limer Solange mais c'était la fin de la folle cavalcade, il limait sa brûlante maîtresse comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée. Solange revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard du jeune homme planté en elle. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement les cheveux et la nuque de son délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Julien voulut exprimer ses sentiments mais elle le fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte puis elle repoussa doucement et le fixa dans les yeux. - Julien, mon mari ne va pas tarder. Il faut t'en aller ! Le fougueux amant voulu protester, mais son initiatrice lui posa la main sur sa bouche puis lui caressa la joue. - Julien ce fut merveilleux, tu as été un amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles ! Et comme pour confirmer ses dires, le sexe du jeune homme glissa de sa gaine soyeuse, faisant sursauter les deux amants et leur laissant une impression de vide immense. - Pars, maintenant, souffla Solange... Le jeune garçon un peu déconfit remonta son slip et son pantalon. Il y rangea rapidement son sexe flasque et tout poisseux et ses bourses trempées de la jouissance de sa maîtresse. Solange replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée au regard énamourer de son amant et, l'embrassant tendrement au coin des lèvres, le poussa vers la porte. - Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres ! Julien se retrouva dans le couloir et la porte se referma doucement derrière lui. Le clac de la poignée le ramena définitivement à la réalité. Au premier étage, appuyée contre la porte de sa chambre Madame Granger essayait d'analyser ce qui venait de se passer. Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avec un enfant à la faculté avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre le moment de plus fort de sa vie. Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant. Son clitoris encore sous le choc la fit frémir, la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante. Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés. Solange commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur. Celui ci clapotait dans un océan de sperme et de cyprine. Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant, agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines. | (E) Il était subjugué emmerveillé par la beauté du corps de cette belle femme avec qui il allait faire l'amour. Elle amena sa belle verge bien bandée de son à l'entrée de sa chatte. Ondulant de b ... |
![]() | ToinetteQuel spectacle ! Toinette nue comme la main, étendue sur son lit ! Toinette avait les yeux mourants et le visage rougi, ses bras étaient pendants, sa gorge s’élevait et se baissait avec une précipitation étonnante. Mes yeux parcouraient toutes les parties de son corps ; il n’y en avait pas une sur laquelle mon imagination ne collât mille baisers de feu. Un feu inconnu se glissait dans mes veines ; j’avais le visage enflammé, mon cœur palpitait, je retenais mon haleine, et ma dague, que je pris à la main, était d’une force et d’une roideur à abattre la cloison, si j’avais poussé un peu fort. Je suçais dans mon rêve ses tétons, son ventre ; mais l’endroit le plus délicieux, c’était... cette coquille ... quoique couverte d’une petite écume blanche, elle ne perdait rien à mes yeux de la vivacité de sa couleur. Au plaisir que je ressentais, je reconnus le centre de la volupté, Il était ombragé d’un poil épais, noir et frisé. Toinette avait les jambes écartées, Lui, ayant repris vigueur, vint de nouveau se présenter à l'ouvrage; il se remit sur Toinette, avec une nouvelle ardeur ; mais ses forces trahirent son courage, et, fatigué de piquer inutilement sa monture, je le vis retirer l’instrument de la coquille de Toinette, lâche et baissant la tête. Toinette, dépitée de sa retraite, se rhabillait, le père l’était déjà. Lui et Toinette ne se gênaient pas en notre présence : ils nous croyaient des témoins peu dangereux. Je voyais sa main gauche se glisser mystérieusement sous la table et agiter les jupes de Toinette, qui lui souriait et me paraissait écarter les cuisses pour laisser apparemment le passage plus libres aux doigts libertins du paillard. Toinette avait de son côté une main sur la table, mais l’autre était dessous et rendait vraisemblablement a son voisin ce que celui-ci lui prêtait. au point d’être gênés par notre présence : elle nous le fît connaître en nous conseillant, à ma sœur et à moi, d’aller faire un tour dans le jardin ; j’entendis ce qu’elle voulait nous dire. Nous nous levâmes aussitôt, et leur laissâmes, par notre départ, la liberté de faire autre chose que glisser les mains sous la table. | Toinette (E) Quel spectacle ! Toinette nue comme la main, étendue sur son lit ! Toinette avait les yeux mourants et le visage rougi, ses bras étaient pendants, sa gorge s’élevait et se baissait avec une précipitation &e ... |
![]() | pulsionsInconsciemment, comme poussée par une pulsion irrésistible, elle s'empara de mon sexe gonflé, le massait, sensuellement, puis elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante. Il n'en fallait pas plus pour que je m'enfonce d'un coup en elle, plantant ma verge bandée à l'extrême dans les profondeurs d'un cocon onctueux. Je m'enfonçais en elle, puissamment, profondément, je glissais dans son ventre avec une jouissance qu'elle semblait partager avec moi. Loin de me repousser, elle m'aspirait instinctivement de ses muscles intimes, me pressait, je ressortais, la pénétrais encore plus profondément. Je l’entendais gémir et cela ne faisait que m'exciter davantage. Elle m'aidait dans mes va et viens. Je sentais mon gland gonflé repousser les chairs intimes de sa vulve. Elle semblait totalement réceptive, je m'affairais sur son corps, fasciné par ses gros seins, tremblant doucement devant mes yeux. Je me laissai alors emporter par ma fougue d'adolescent. Agitant vivement mes hanches, je fis coulisser mon membre gonflé dans les moiteurs de son vagin, éprouvant un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous mes violents coups de boutoir que je lui dispensais, et sous les chocs répétés de mon gland volumineux, je ne ne tardai pas à sentir la jouissance monter rapidement en moi. Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonnait entre ses lèvres trempées: - Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !… Oh Julien ! De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, m'éclaboussant le bas-ventre et les bourses. Ivre de plaisir, encouragé par ses exhortations érotiques, je m'activai de plus belle dans son ventre désormais totalement investi, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, elle s'était mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Je ne tardais pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser. Elle m'enserra encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de mon vagin affamé. - Julien ! ... Oh Julien ! Alors tel un cheval pressé, j'accélérai encore le mouvement saccadé de mes reins. Je frémissais dans son ventre ... j'accélerais encore, très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter au fond d'elle. Je me mis à trembler, me figer, me crisper, pousser un cri rauque, me cabrer en plissant les yeux, vibrer de tous mes membres et dans un long râle, me lâcher. Mon premier jet vint frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je défaillais. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je déchargeais en elle en salves successives. À chaque secousse je giclais dans son vagin tuméfié, une éjaculation puissante, irrésistible, dans un grognement animal, déversant mon sperme de jeune amant au plus profond de son sexe ravagé. c’était chaud. Je ressortais, entrais de nouveau. Elle se laissa à son tour emportée par la jouissance dans un long râle qui se mêla a mes gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa. Je la regardais jouir et lui envoya une dernière giclée, je me vidais, puis m’enfournais jusqu’au fond de son ventre, ne bougeant plus. Je restais là, affalé, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Je la laissais pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant, moi aussi totalement vidé et anéanti. Haletants, nous restions ainsi tous les deux, intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, elle fit basculer mon corps devenu trop lourd à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit: - Julien ! Qu'avons nous fait ? Tu m'as comblé de toi ! Qu'allons nous faire maintenant ? Elle se pencha alors sur son jeune amant pour m'embrasser tendrement… - J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ? - Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir. Mais maintenant il faut que je parte J'étais desormais le jeune amant d'une femme mure ! | pulsions (E) Inconsciemment, comme poussée par une pulsion irrésistible, elle s'empara de mon sexe gonflé, le massait, sensuellement, puis elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante. Il n'en fall ... |
![]() | il venait d'avoir 18 ansIl venait d'avoir dix-huit ans, il avait besoin d'une femme qui saurait le satisfaire. il m'avait rencontré dans la rue et m'avait demandé de venir chez lui. il était beau comme un enfant, fort comme homme. Il ne m'a pas parlé d'amour. Il m'a simplement dit : "J'ai envie de toi". Il m'a emmené dans sa petite chambre non loin de là. C'était le debut de l'été, j'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'ai fait le maximum pour le séduire. Je me suis deshabillée devant ses yeux impatients, et, dans son lit, je me suis offerte à lui. Je l'ai laissé glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude, je lui ai fait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Un delicieux moment de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent, Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue. Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Il a été un amant ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle. Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant que je me rhabillais Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude J'aurais voulu qu'il me retienne Pourtant il m'a laissée partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse. J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans | il venait d'avoir 18 ans (E) Il venait d'avoir dix-huit ans, il avait besoin d'une femme qui saurait le satisfaire. il m'avait rencontré dans la rue et m'avait demandé de venir chez lui. il était beau comme un enfant, fort comme homme. Il ne m'a pa ... |
![]() | Ma mère s'était mis dans la tete de me confier à elle pour m'initier aux choses de la vie. ses 50 ans face à mes 18 ans alimentaient souvent mes pollutions nocturnes. ses lèvres aux couleurs soutenues donnaient a ses yeux noirs un velouté incroyable Elle m'entraîna le jour convenu dans sa chambre dont le lit préparé sentait le propre de la soupline. Apres s'etre absentée un moment, elle apparut dans une chemise de soie, resserrée sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, nue sans l'être tout à fait elle jouait des plis de sa combinaison, puis elle referma la porte à clé ! Tout doucement elle vint s'asseoir à coté de moi sur le lit, ses seins libres ondulant sur une transparence laissaient voir des pointes roses. Assise, elle venait de croiser ses jambes laissant apparaître une cuisse splendide ses mains déboutonnèrent deux boutons de son deshabillé… Elle me chuchota - Déshabille-toi, vite ! Nu je me glissai sous le drap cachant ma virilité brûlante par pruderie. mon sexe était à l'étroit, S'approchant de moi elle glissa ses doigts dans ma chevelure. sa bouche couvrit mes lèvres, mes joues, mon cou. mon penis en feu sentit son sein gauche le heurter. le contact du tissu et le moelleux de son sein lourd aggrava mon etat ! elle prit ma main tremblante, la dirigea sous le plissé, pour la poser sur le haut du sein, c'était moelleux comme jamais, j'eus un regard sur sa peau de pèche qui se troublait : la sueur perlait en gouttes vers son décolleté ; sa main chercha et flatta mes testicules, elle serra mes bourses la mienne tourna sous son sein , Elle écarta les jambes, et vint m'enjamber à califourchon, elle souleva sa nuisette qui se gonfla en retombant sur mon intimité tendue vers son sexe. Elle finit par se planter sur la hampe verticale de mon érection suintante, ses lèvres humidifiées presque inondées absorberent mon dard jusqu'a la base, elle mit ses seins en appui sur mon torse écrasant ses deux éminences contre mon corps, je sentis alors ma verge dure se napper comme un coulis enrobe un fruit ; son liquide plus le mien englobèrent ma tige sur toute sa longueur ! Que dire quand elle se décala d'un centimètre pour glisser ses muqueuses de part et autre de mon vit c'était chaud et aqueux, son vagin se contracta d'un mouvement de constriction réflexe ; l'étranglement par son antre de mon sexe décupla s'il se put mon pulsionnel plaisir Pubis contre pubis elle remit ses blonds cheveux d'un geste de la main des plus sensuels reprendre place dans son dos, elle se dégagea un peu, abandonnant ses liquidités presque amniotiques c'est moi qui poussai mes hanches vers ses fuites ; j'eus la force en six secondes d'aller et venir trois fois, dont deux qui se traduisirent par un gémissement de ma partenaire, Lorsqu'elle bascula sur le dos, mon membre qui obturait sa caverne laissa ses eaux m'inonder, nous étions liés au plus près assis, moi encore la traversant. mon phallus redevint Verge, je débandais en elle ! | (E) Ma mère s'était mis dans la tete de me confier à elle pour m'initier aux choses de la vie. ses 50 ans face à mes 18 ans alimentaient souvent mes pollutions nocturnes. ses lèvres aux couleurs soutenues donn ... |
![]() | Lucie et LolaJe m’approchai de Lucie, la serrait étroitement, ma verge raide, coincée dans le fossé ombreux de ses tendres cuisses, mes bourses, pleines, et bien au chaud entre ses rondeurs abricotières… des roudeurs si chaudes et si douces ! Je succombai. Je me mis à lutiner Lucie qui se laissa faire, visiblement contente d’avoir allumé des feux inesperés. Lola se joignit à nous pour un baiser en trio des plus ardent. Notre immoralité était scellée. Je me mis à bander entre les fesses charnues de Lucie que je penetrai dans la foulée, Une délicieuse chaleur couvrit mon gland, gagna le long de ma verge, se répandit sur mes bourses que ma femme pelotait joyeusement; je poussai et entrai majestueusement dans les grandes levres ouvertes et chaudes de Lucie, celle-ci émit une petite plainte étouffée, la bouche rivée à la chatte de Lola qu’elle était en train de sucer de plus belle. Je prenais mon temps, goûtant pleinement à ce plaisir imprévu et fus vite au fond du merveilleux puit, mes bourses frottant les poils frisés de la jolie chatte toute humide ; Je fis aller et venir ma queue, droite, dressée dans l'entre-fesses, me frottant délicatement sur les soies de mes deux femmes qui se balançait à présent au rythme de mes allées et venues, ce qui avait pour effet d’activer ma raideur, ma queue dressée comme un phare sur l’océan de chair blanche ... Les bas crissaient en douceur, Quelle délicieuse bandaison je faisais là, rivé à ce fessier superbement rond, douillet, n’attendant que mon bon plaisir… Je n’y tins plus et déchargeai abondamment dans le ventre de cette divine Lucie, planté dans son humidité ; Elles jouirent toutes les deux, Je fis aller et venir encore un peu ma verge et quittai la si accueillante chatte… | Lucie et Lola (E) Je m’approchai de Lucie, la serrait étroitement, ma verge raide, coincée dans le fossé ombreux de ses tendres cuisses, mes bourses, pleines, et bien au chaud entre ses rondeurs abricotières… des roud ... |
![]() | degustationC'est la première fois où je la vois, elle a choisi son endroit pour exercer sa vertu à l'égard de gens comme moi, c'est la première fois, je m'y prends comme un manche. On m'a dit qu'elle savait tres bien faire des choses nouvelles et originales. En travers de la porte, elle me provoque, sensuelle. Ses seins sont mobiles, ronds, lourds, ensorcelants. Elle me regarde droit dans les yeux. Je passe devant elle et son regard me suit. Je viens de la dépasser. Je m'arrête ... et je reviens sur mes pas. Je bande. Elle est encore là. Il faut faire vite. Elle me voît venir, elle a compris. Elle s’approche discrètement de moi. Le dialogue est bref. Elle rentre dans l'hotel, je la suis. C’est un petit hotel. On sera tranquille. Elle fouille dans son sac. Je la regarde. Je bande affreusement. Elle glisse sa main sur mon pantalon, puis dans mon pantalon, sort l'engin, enfile le préservatif, branle le mou. Je la regarde, elle roule sa robe jusque sous ses bras. Son corps est beau. Une couleur légèrement ambrée. Des seins relevés, sur lesquels je porte mes mains. Je voyage dans mon rêve à deux cents francs. Elle reprend le branle. Puis elle commence à me sucer. Elle s’agite autour de ma queue ... qui se raidit, se tend, se libere. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tend mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Elle me tend un kleenex. Je retire le préservatif. je regarde son corps. Elle me fixe de nouveau - Tu as encore faim ? - Alors, viens, suis moi, c'était le hors d'oeuvre ! On ne va pas en rester là ! ... Elle veut me faire gouter les délices d'une vraie fellation. Une fois allongé sur son lit, Elle se laisse couler le long de mon corps, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. Sa douce main continue son doux et lent massage, alors que l'autre empoigne mes bourses. Son souffle chaud se rapproche de l'extrémité de mon sexe. Elle pose d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrasse délicatement. Mon premier frisson l'encourage, et du bout de sa langue elle vient effleurer la muqueuse Mes spasmes qu'elle ressent dans sa main la stimulent, et c'est mon sexe entier qu'elle léche maintenant, sur toute sa longueur. Elle monte, descend, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant lui appartient. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts semblent l'exciter au plus haut point. Mon sexe est luisant de sa salive, ses caresses m'amènent à la limite du cataclysme. Je me contracte pour ne pas jouir immédiatement J' attrape sa tête pour bloquer son mouvement de va et vient le long de mon dard. - Je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas... Elle dégage alors sa tête de mes mains, enserre fortement la base de mon sexe pour bloquer la montée de la lave en fusion qui est imminente. Elle dirige son regard vers le mien. - Mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge. Et elle engloutit aussitôt le gland énorme sur le point d'exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait mon dard accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement liquide qui s'annonçait proche. Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements...Aaahhhh ! ... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, elle resserra ses lèvres à la base de mon gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu. ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Le bâton de jouissance de moi, son amant était encore dur dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Mme Granger à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse. De mon passage, Monsieur méfiez vous. Comme témoignage un peu partout, J’abandonne l’indice coloré d’une pointe de rosée. A petites touches de ma bouche, Je laisse l’empreinte de mon étreinte. Grenat, vermillon, carmin, ou géranium, Peu importe le corail : Votre sexe toujours défaille. Arthémisia | degustation (E) C'est la première fois où je la vois, elle a choisi son endroit pour exercer sa vertu à l'égard de gens comme moi, c'est la première fois, je m'y prends comme un manche. On m'a dit qu'elle savait tres bien ... |
![]() | Jeanne et le jardinierPrise d'une soudaine et irresistible envie de sexe, Jeanne emmena Robert le jardinier à l'écart dans le parc et l'enlaça tendrement. Emu, Robert sentit les seins de Jeanne qui s'écrasaient mollement contre sa poitrine. Il fut troublé par le contact sensuel des deux masses élastiques. Dans un geste qui se voulait bienveillant, il caressa affectueusement le dos de la comtesse et sentit aussitot le relief du soutien-gorge sous le corsage de soie. Jeanne n'abrégeait toujours pas ses elans de tendresse. Tout en continuant, d'une manière un peu plus sensuelle qu'il n'aurait fallu, elle sentit le frémissement du sexe de Robert, reveillant ses fantasmes les plus fous. Paniqué, Robert tenta de repousser ce corps chaud et sensuel qui le troublait de plus en plus, mais Jeanne continuait à cajoler son jardinier, inconsciente du trouble qu'elle créait. Le frôlement des deux corps ne fit qu'aggraver les choses. Jeanne, éprouvant soudain une douce sensation au contact de la proéminence dans le pantalon de Robert, s'ingénia à faire durer le moment. Affolée, elle sentit même une douce chaleur prendre naissance au plus intime de son sexe, Elle tenta de se calmer elle-même en se frottant lascivement contre cette raideur, ce qui eut l'effet inverse: Affolée par ce contact viril, elle demeura figée, la bouche entrouverte, machinalement Robert posa une main sur l'un des seins fremissants sous son corsage, Il le palpa avec émotion, souple au toucher sous le leger tissu. elle le laissa faire - Ils ne sont plus aussi fermes qu'auparavant, bégaya-t-elle, comme pour excuser la lourdeur de ses appâts . Terriblement excité, Robert prit alors le second sein et entreprit de palper les lourdes mamelles, objets de ses fantasmes. Il constata vite que le regard de Jeanne devenait plus trouble au fil des caresses, que sa respiration s'accélérait, se faisait haletante. le corps parcouru d'un long frémissement érotique, elle cambra ses reins Accrochée à lui, le visage dans son cou, Les sens exacerbés, elle fit frotter son bas-ventre contre ce membre dressé, N'y tenant plus, Robert attira la comtesse plus étroitement vers lui, lui faisant sentir la fermeté de son désir. Lorsqu'elle se rendit compte qu'imperceptiblement Robert retroussait sa jupe sur ses cuisses, elle s'immobilisa afin de ne pas entraver l'opération. Comprenant à son immobilisme soudain, que la comtesse s'abandonnait à ses sens en complet désarroi, Robert retroussa un peu plus la jupe. et put saisir à pleine mains les fesses rondes et fermes, avant de glisser ses doigts dans le vêtement intime Dans son cou Jeanne gémissait furtivement. et lorsque l'un des doigts de Robert s'enfonça délicatement dans son intimité, elle sentit son cœur s'emballer, son bas-ventre se crisper, cette onde voluptueuse la submergea toute, elle ressentit comme une explosion à l'intérieur de ses organes féminins qui la tétanisa toute. Incapable de se contrôler, elle poussa une longue plainte de bête blessée, libérant tout le flux sensuel emmagasiné en elle. Les jambes soudain coupées par la violence de son orgasme, elle s'accrocha désespérément au cou de son jardinier dont les doigts la fouillaient d'une manière terriblement voluptueuse. la vulve de Jeanne dégoulinait d'un jus chaud et onctueux. La gorge nouée, terriblement ému par ce qu'il osait, Robert enfonça ses doigts dans le magma liquide qui enduisait l'intérieur du sexe en fusion. Sa main barbota dans un océan de lave ardente avec un excitant bruit de clapotis. il commença à se mouvoir en profondeur dans le vaste vagin, repoussant avec délectation les chairs gorgées de jus chaud et glissant. Complètement bouleversée par cette situation, Jeanne se mit à agiter vivement son bassin d'avant en arrière, dans une frénétique danse du ventre, tentant par ses mouvements désordonnés d'aider son neveu qui la fouillait si profondément. Sous ce traitement délirant, Jeanne ne tarda pas à sentir monter la jouissance. Dans une crise frisant l'hystérie elle se laissa emporter par un orgasme violent et dévastateur en laissant échapper de longs vagissements. La main trempé par l'abondance des sécrétions vaginales que Jeanne avait lâchées dans ses nombreux spasmes sensuels, La verge de Robert ètait raidie à l'extrême, dure et frémissante de désir contenu. Jeanne s'en rendit compte et posa alors sa main sur l'énorme protubérance. Prise d'une impatience érotique, elle s'attaqua à la ceinture du pantalon, qui s'écroula mollement. Sentant la main de la comtesse enserrer sa verge, Robert ne put réprimer un tremblement voluptueux. Saisissant sa sensuelle partenaire par les hanches, Robert la poussa doucement et l'allongea dans l'herbe fraiche. Jeanne tenta faiblement de protester mais, incapable de résister, elle laissa Robert la maitriser, un long frisson de désir lui parcouru tout le corps. - Oh non… Robert… Non… Gémit-elle doucement en sentant son jardinier retrousser sa jupe… Robert se pencha sur le bas-ventre qu’il venait de découvrir. Saisissant la fine culotte de satin, il la tira doucement vers le bas. - Oh Non ! Gémit Jeanne d’une toute petite voix… - Soyez sage…Robert Ce n’est pas bien, ce que nous faisons… Mais son corps s’offrait sans retenues, elle souleva ses fesses, afin d’aider Robert à lui retirer sa lingerie intime. elle sentit la douceur du satin glisser le long de ses cuisses frémissantes, Envahie de desir, elle empoigna fougueusement ses deux seins pour les étreindre passionnément. Soudain une violente décharge sexuelle la fit se cambrer furieusement. Une onde dévastatrice explosa au plus profond de son vagin, irradia son bas-ventre, grimpa le long de son corps, les yeux clos, les doigts encore refermés sur son opulente poitrine, les cuisses largement ouvertes sur sa vulve trempée, elle haletait doucement, le bas-ventre encore agité de frémissements voluptueux. Allongée sur l'herbe, les jambes largement ouvertes, Jeanne fixa comme médusée l’énorme sexe de son jardinier. Elle degrapha son chemisier d'un geste souple libérant brutalement ses magnifiques seins, qui s’avachirent de chaque coté de son torse, tel deux masses élastiques. Se penchant sur le corps étendu de sa sensuelle maitresse, il referma ses lèvres sur l’un des tétons raides et durs, qu’il se mit à sucer avec une délectation sensuelle. Sous cette nouvelle caresse terriblement affolante, Jeanne referma ses doigts dans la chevelure de son beau jardinier, l’attirant fiévreusement contre son sein. son bas-ventre commençait à s’agiter sensuellement à la recherche d’un sexe masculin. Robert abandonna alors les énormes mamelles luisantes de sa salive, pour se redresser. il présenta sa verge à l’entrée de la vulve de la comtesse, Jeanne ne put contenir le frisson de que lui procura ce frôlement érotique. - Oh Robert ! … Que faisons-nous ! … C’est pas bien ! … Surexcitée, elle agita pourtant ses hanches, langoureusement, lançant désespérément sa vulve à la rencontre du sexe mâle. Perdant toute retenue, impatiente de se sentir penetrer, impatiente d'absorber ce sexe dans son vagin en fusion, - Robert ! ... Venez vite ! Sans attendre, Robert enfonça son sexe qui fut comme aspiré par l'orifice sexuel féminin. Bientôt, seules les bourses émergèrent, la totalité du sexe étant enfoui dans le ventre de la comtesse, Jeanne ne tarda pas à haleter sensuellement, la vulve entièrement comblée par l’énorme sexe, Les mains agrippées aux larges hanches potelées de Jeanne, Robert se laissa glisser d’abord lentement, Puis il retira sa verge .... un peu. - Oh non, gémit-elle… Restez !… C’est si bon !… Robert s'enfonça de nouveau entre les cuisses grandes ouvertes, - Oh, Robert !… C'est si bon ! Le va-et-vient puissant et régulier du gland dilaté entre les parois juteuses de la vulve de la comtesse declencha chez elle des milliers d’ondes voluptueuses qui irradiaient son corps. - Je sens bien votre belle queue dans mon ventre ! - Venez vite ! Je n'en peux plus ! Lui saisissant les hanches, Robert la penetra d’un ample mouvement des reins, et fit coulisser sa verge dans son vagin, elle sentit ses entrailles se liquéfier. Un mince filet chaud et abondant s’écoula de son vagin pour se perdre entre ses fesses charnues. il ressentait le frottement terriblement affolant des chairs internes de la vulve contre sa verge. Le corps en sueur il se démena alors en ondulant des hanches, Accompagnant les gémissements de plus en plus prononcés de Jeanne, il se dechaina dans le fourreau sexuel, le pistonnant avec une véritable rage sexuelle, Enfin Robert sentit le plaisir envahir son bas-ventre, gonfler un peu plus son sexe. Percevant les frémissements avant coureur qui agitaient son membre, il s'enfonça bien au fond, s'immobilisa - Oh Madame ! ... Aaahhh ! Et .... il gicla copieusement son sperme épais et abondant en plusieurs jets puissants. Au même moment dans un long râle de femelle comblée, Jeanne jouit dans une contorsion desordonnée de tout son corps. Au bout d’un long moment, les deux amants reprirent enfin leurs esprits. Lentement, Jeanne retira l'enorme sexe ramoli de sa vulve trempée, qu’elle reposa sur son ventre encore parcouru de spasmes. Jeanne s’accrocha au cou de son neveu et l’embrassa tendrement du bout des lèvres. Attendri par cet abandon, Robert attira sa tante à lui et collant ses lèvres aux siennes l’embrassa passionnément, lui fouillant la bouche de sa langue agile. | Jeanne et le jardinier (E) Prise d'une soudaine et irresistible envie de sexe, Jeanne emmena Robert le jardinier à l'écart dans le parc et l'enlaça tendrement. Emu, Robert sentit les seins de Jeanne qui s'écrasaient mollement contre sa poi ... |
![]() | Etendue dans le foinil me déposa, avec mille précautions, sur la paille de cette grange. Le regard qu'il porta sur moi a ce moment était d'une forte intensité. Cet homme était impressionnant, généreux et tendre, j'en avais là la confirmation la plus limpide. Je sentis qu'il s'arrachait à mon regard et il me sembla voir ses joues s'empourprer légèrement. Il se mit à masser ma cheville endolorie avec des gestes doux et attentionnés. Le contact était très agréable. Je le vécus plus comme une première caresse que comme un acte de soin destiné à apaiser ma douleur. Il sortit son mouchoir de sa poche et, après l'avoir légèrement humecté de salive, le posa délicatement sur ma cuisse à l'endroit de la blessure. Je remarquai, non sans une secrète satisfaction, qu'il regardait ma jambe avec admiration. Je ne pus m'empêcher de la remuer légèrement pour mieux l'offrir à son regard. Lorsque ses yeux se reportèrent sur moi, ils brillaient d'un feu étrange. Il me mangeait du regard à présent et je tressaillis de fierté lorsque son regard avide se riva un instant sur mes seins. Allongée avec lui dans la grange, j'admirais son corps. J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par la surprise, par le désir. Il était en pleine érection. Il bandait devant moi et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait cet homme. Mes jambes avaient de la difficulté à me soutenir. Mon cœur battait à la chamade et ma respiration saccadée. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses..... glisser l'une contre l'autre..... J'étais sexuellement à bout. Mon cœur battait à tout rompre, mon estomac se nouait.. Mes seins me faisaient mal... Je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer. Lorsque j'entrouvris les lèvres et inclinai légèrement la tête sur le côté, il se rapprocha de moi, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage … il eut une sorte de soupir d'animal blessé. Et puis, soudain, ses lèvres entrèrent en contact avec les miennes. Elles étaient brûlantes et je crus défaillir. Nos langues se cherchèrent un bref instant puis se lancèrent dans une course effrénée. Mon excitation grimpa aussitôt, multipliée par celle que je sentais gronder dans son corps massif. Il me serrait à me briser les côtes et c'était divin ! Quelle force, quelle fougue. Notre baiser se prolongea longtemps, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, de doux frissons, et d'une envie grandissante de l'autre. Il finit par se ressaisir. Il détacha son visage du mien, me sourit et me regarda avec une tendresse qui acheva de me faire fondre. Dieu que j'avais envie de cet homme, de ce mâle ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée puis, sans un mot, me souleva comme une plume et m'entraîna dans ses bras puissants. Je m'efforçai de me faire aussi légère que possible dans ses bras. Il m'allongea sur la paille un peu plus loin, à l'abri des regards, et entreprit aussitôt de soigner ma cheville endolorie, j'avais pris soin de déboutonner légèrement mon chemisier de façon à laisser voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il était sur moi, haletant, en proie à une belle excitation, lui aussi. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Le membre accusait une belle taille, j'en fus fortement impressionnée. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants sous mes yeux ravis avant de se faire happer par ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, tendu de désir, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à masser vigoureusement le sexe ainsi brandi, offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui semblait devenir de plus en plus gros, de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Je devinai que cet homme avait envie de moi. Délaissant le phallus incendié, je dégrafai mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, m'étendant de tout mon long sur la paille, les mains ramenées dans ma chevelure. Je me cambrai, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer de longues et insistantes caresses. Rapidement, je fus dans tous mes états, le danger qu'il y avait à être surpris ajoutait encore à l'excitation. Je poussai un petit gémissement de plaisir lorsqu'il s'empara de mes seins et se mit à les caresser et les palper. Je me tendis vers lui, vers ses mains, vers sa force… Etendue dans le foin, je sentais son enorme appareil au contact de ma chemise de nuit et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda dans les yeux et sans me demander, releva ma chemise de nuit, exposant mes seins, mon ventre.. mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux. Sa main descendit, faisant frissonner ma chair, Mes cuisses s’entrouvrirent légèrement, Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve. j’entrouvris mes lèvres intimes, je les lui offrais. Je fermais les yeux, Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Puis, je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière au fond de mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement Et il recommença ses va et vient. Chaque coup de rein m'emplissait de plaisir. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, il me fit jouir en même temps que lui. pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours sur moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours Je voulais le sentir revenir vite en moi. Et les va et vient infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus. Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis se glisser furieusement en moi d'un seul coup. Il me pénétra très profondement m'arrachant un long râle tant j'étais prête : ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Il explosa presque aussitôt, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de son plaisir. Je fus secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme. Les spasmes finis, je laissai sa queue glisser hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, tel un enfant sur le ventre de sa mère, mon beau mâle était allongé sur moi, c'était attendrissant au possible. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Je sentis que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Mon bel Apollon ouvrit les yeux. Quelle douceur ! quelle paix ! Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. J'aurais voulu le garder en moi encore un moment, le sentir s'abandonner complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Je m'assoupis dans ses bras puissants... Puis une fois réveillés, Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange. | Etendue dans le foin (E) il me déposa, avec mille précautions, sur la paille de cette grange. Le regard qu'il porta sur moi a ce moment était d'une forte intensité. Cet homme était impressionnant, généreux et tendre, ... |
![]() | mains sur le tronc de l’arbreIl posa mes mains sur le tronc de l’arbre, afin que je sois bien cambrée. Il releva ma robe sur mon dos. Ma lune souriait à la lune, et mon cœur battait. Julien me pétrit les fesses et entra en moi. Il me tint par les hanches et alla, vint, délicieusement. j’aimais ce mouvement lunaire, Plus il avançait, plus mon plaisir grandissait. Je finis par embrasser totalement le tronc de l’arbre afin de ne pas tomber. Mes seins se frottaient contre le bois, décuplant ma jouissance. Je devins comme folle, gigotant en tous sens. Il me pilonnait avec ardeur. Je gemissais au fur et à mesure que je sentais l’orgasme progresser. Ce fut une position d’un doigt, à un endroit stratégique, qui le déclencha. Je me dégageai et m’écroulai dans ses bras. Haletante, je voyais encore la queue de Julien dressée vers le ciel. Ma poitrine était toujours nue, mon corset entièrement défait. J’engloutissais sa queue avec gourmandise, tenant délicatement les bourses dans ma main. j’allais, venais, le sentant grossir davantage, et encore, et encore, jusqu’à ce qu’il explose. Je me dégageai, et des giclées de sperme atterrirent au creux de mes seins, souillant le tissu précieux du corset. il me nettoya. Délicatement, en silence, il frottait mon menton, mes épaules, ma gorge. Avec beaucoup de sérieux, il s’employait à faire disparaître chaque trace de sperme. Sur mon corset, il avait séché. Il trouva du parfum de femme dans sa boîte à gants et en diffusa sur le tissu. Tous ses gestes me serraient le cœur. Jamais il n’avait été aussi tendre. | mains sur le tronc de l’arbre (E) Il posa mes mains sur le tronc de l’arbre, afin que je sois bien cambrée. Il releva ma robe sur mon dos. Ma lune souriait à la lune, et mon cœur battait. Julien me pétrit les fesses et entra en moi. Il me ti ... |
![]() | Il m'entraîne dans des fourrés, un peu plus loin derrière un pré, ses mains trouvent le chemin de mes cuisses. Sous ma jupe courte, ma culotte glisse... Il bande. Il m'excite. Il me pousse dans l'herbe, gestes précis, plus besoin du verbe, il extirpe, expert, de son pantalon un dard bien chaud, dur et long. A ses lèvres un sourire, dans ses yeux le désir. Il ouvre ma chemise, exhibe mes deux pointes cerises, se met sur moi à califourchon, et m'introduit son membre oblong. Lentement, sûrement, il glisse, coulisse, jusqu'à ce que son penis disparaisse ...dans mon orifice. Bien ancrée, comblée, miaulée, je minaude, chaloupe sensuelle, des hanches j'ondule. Je ne bouge pas, me concentre en mon centre, toute entière prise, happée, dans cette bulle, Il n'ose encore toucher ni mes seins, ni mon ventre, livré, abandonné, à son plaisir qui le taraude. Je le remue de l'intérieur de mon ventre, me remplit profondément de son pénis, sur mes mamellons perle la sueur... Et prise soudain comme d'une crampe indicible, je déverse un flot de mots incompréhensibles et ma cyprine qui coule sur ses bourses sensibles, Mes jambes se resserrent, je tremble, je jouis. Quand à lui, rendu au point extrême où tous les sens explosent, il m'avoue son désir d'enfin me satisfaire, et en mon ventre offert, son sexe put se complaire, et il se répandit en une apothéose … Fin de la fête, C'était la première fois. Iil avait pourtant bien décidé, une fois dedans, de se retirer à temps. Mais une fois chez moi, il s'est bien amusé et on a tant ri, qu'il n'a pas su se retirer. On a jamais autant joui ! | (E) Il m'entraîne dans des fourrés, un peu plus loin derrière un pré, ses mains trouvent le chemin de mes cuisses. Sous ma jupe courte, ma culotte glisse... Il bande. Il m'excite. Il me pousse dans l'herbe, gestes pr& ... |
![]() | avant l'orageJ’avais été engagé comme saisonnier pour toute la période des moissons. Le vieux n’avait plus la force. Il vivait seul avec sa fille depuis quelques années ; la sublime Bella. Avec sa longue chevelure et ses légères robes fleuries, cette adorable fille de la campagne m’avait charmé dès le premier regard. Le jour de mon arrivée, elle m’avait déjà presque hypnotisé en plongeant ses yeux dans les miens, me dévisageant des pieds à la tête alors que je déposais mon baluchon sur le lit de la chambre qu’elle me faisait visiter. Alors qu’elle se penchait pour ouvrir les volets extérieurs afin d’accueillir plus de lumière dans cette pièce au plafond bas, je n’avais pas pu m’empêcher de glisser un œil indiscret sur l’ourlet de sa jupe qui lui remontait jusqu’à mi-cuisse. J’avais déjà fauché plus des trois quarts de la prairie cet après-midi-là. Aussi c’est avec une grande joie que je vis arriver Bella, son panier d’osier à la main. Elle m’apportait une délicieuse bouteille de thé glacé concocté par ses soins, dans laquelle elle avait ajouté une bonne dizaine de glaçons : le rafraichissement idéal ! Je n’avais jamais vu le petit short en jean qu’elle portait ce jour-là ; il était presque indécent tellement il était court, laissant voir la naissance de ses fesses. Sa petite blouse blanche sans manche était courte, elle aussi. Lorsqu’elle m’invita à m’asseoir à ses côtés et qu’elle me tendit un grand gobelet de boissons glacée, je remarquai l’absence de soutien-gorge, ce qui contribua à me troubler encore un peu plus. Elle me complimenta sur le travail déjà accompli ainsi que sur le hâle de mes biceps en sueur. Je la remerciai en balbutiant maladroitement quelques mots, puis avalai d’un trait la moitié de ce providentiel breuvage. Bella me regardait faire, laissant pendre nonchalamment sa jambe droite en bas de la remorque, alors que son pied gauche était posé à plat sur la benne, son menton posé sur son genou. J’avais du mal à ne pas mater ses cuisses, aussi tendres que généreuses. Le ciel commençait à s’assombrir de plus en plus, mais aucune goutte de pluie n’était encore tombée. Elle me fit signe de m’approcher, et elle embrassa ma bouche d’un long baiser fruité que je n’oublierai jamais de ma vie ! La suite se passa comme dans un rêve ! Sans dire un seul mot, nous nous sommes enlacés, mus par un désir mutuel. Allongés sur le plancher en bois de la remorque, nos mains partaient à la découverte de nos corps, alors que nos langues faisaient connaissance avec de plus en plus de fougue. Sa bouche était tendre et gourmande à la fois. Sa cuisse vint se caler entre mes jambes. Mes doigts fébriles se glissèrent sous sa blouse, partant à la recherche de ses merveilleux globes d’amour, tendus d’excitation. Les petits gémissements qu’elle poussait m’indiquaient qu’elle devait au moins être aussi excitée que moi, ce qui me fut confirmé au moment où elle me lança un « Prends-moi ! » gorgé de désir, dans un souffle, entre deux baisers torrides. C’est à ce moment que j’ai remarqué qu’elle m’avait déjà facilité la tâche en déboutonnant son petit short en jean ; je n’avais plus qu’à glisser ma main le long de son bas-ventre pour plonger dans un doigt explorateur sur le dessus de son clitoris en feu. Un long soupir s’échappa de sa gorge lorsqu’elle sentit mon index s’immiscer en elle, glissant d’autant plus facilement que sa vulve était déjà trempée. Mon sexe me faisait presque mal, tant il se sentait prisonnier à l’étroit dans mon pantalon encore fermé. D’une main experte, Bella le dégagea de son carcan, pour se mettre à le goûter avidement. Sa bouche formait un véritable écrin de velours autour de mon gland durci par l’immense excitation qui m’envahissait. Les baisers qui suivirent, mêlant salive et mouille suave, achevèrent de nous saouler de désir, et c’est le moment qu’elle choisit pour me chevaucher et guider mon sexe en elle. Elle s’y empala jusqu’à la garde, me fixant du regard. Comme hypnotisé par ses yeux de féline, je saisis ses seins lourds dans mes mains ; grâce aux mouvements de son bassin je n’avais même pas besoin de bouger mes mains pour masser ses deux sublimes mamelles, qui bougeaient dans le rythme de ses ondulations. Quelques gouttes de pluie ont alors commencé à tomber, mais nous étions trop occupés à goûter ce moment que pour nous en soucier. Au contraire, elle se mit à me baiser encore plus énergiquement dès que le premier éclair zébra le ciel. On eut dit que tous les dieux de l’Olympe avaient décidé de photographier nos ébats, flashant de plus belle alors que le tonnerre commençait à gronder ! Frissonnant à chaque goutte de pluie qui coulait dans son dos, Bella décida de changer de position et m’invita à la protéger de mon corps. Allongée sur le dos, elle m’ouvrit ses cuisses si largement que je compris en un clin d’œil la caresse qu’elle attendait. Mon gland déjà bien lubrifié par sa mouille abondant n’eût aucune peine à se frayer un chemin dans l’étroit conduit de son anus. Elle gémit un peu au moment où toute sa tête disparut entre ses fesses, puis je poussai délicatement et très progressivement mon sexe jusqu’au plus profond de ses entrailles. L’orage redoubla alors d’intensité, comme si les dieux avaient décidé de désapprouver cette position pourtant si terriblement excitante. Et c’est finalement sous une pluie chaude et battante que Bella m’invita à remplir sa bouche d’une longue et puissante rasade d’un sperme chaud et abondant. C’était le dernier jour de ma mission de saisonnier à la ferme. Le vieux Ramedillis me remit ma paie ce soir-là, et je n’ai plus jamais revu la torride Bella. | avant l'orage (E) J’avais été engagé comme saisonnier pour toute la période des moissons. Le vieux n’avait plus la force. Il vivait seul avec sa fille depuis quelques années ; la sublime Bella. Avec sa longue ... |
![]() | Il est là, a deux pas de moiIl est là, a deux pas de moi, et il ne fait rien, ne réagit pas. Et moi je reve de lui, je rêve des caresses qu'il pourrait me faire. Je rêve qu'il se place derrière moi, qu'il glisse doucement ses mains sous mes seins, qu'il découvre leur douceur leur rondeur, à peine comprimés dans leur joli soutien-gorge. Je rêve qu'il promène ses mains délicatement le long de mes seins, puis les serre doucement, et recommençe, qu'il les palpe, les caresse à loisir. je ferme les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de ses chaudes caresses. Je sens déjà sa douce chaleur. Il est maintenant contre moi, ses lèvres sur mon cou, Ses deux mains chaudes se posent en coupe sous mes seins et les pressent tendrement. J'aime ses mains chaudes qui pressent légèrement mes volumes mammaires, Il les palpe doucement, en apprécie la souplesse, il les rapproche l'un de l'autre. Il les lâche ... ils reviennent en place dans de légers tremblements. Il enfonçe ses doigts, dans ma chair laiteuse, il agace mes tétons. Je ressens des ondes de chaleurs. Ses doigts n'en finissent pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambre pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. Je suis au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entends geindre. Immobile, j'essaye de respirer lentement et profondément, ma vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. la tête penchée de coté, je laisse échapper un gémissement continu de plaisir au gré de ses caresses. Mais ... Je rêve. | Il est là, a deux pas de moi (E) Il est là, a deux pas de moi, et il ne fait rien, ne réagit pas. Et moi je reve de lui, je rêve des caresses qu'il pourrait me faire. Je rêve qu'il se place derrière moi, qu'il glisse doucement ses ... |
![]() | Le bureau venait de se viderLe bureau venait de se vider, il n'a pas perdu de temps. Après avoir fermé la porte, Il m'avait installé sur la desserte et avait défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, je le sentis alors s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Il s'affaire sur moi, écarte ma culotte, baisse son pantalon, sort sa queue glisse son gland dans ma fente, je me cambre et d’un coup de rein, Il engloutit son sexe jusqu’aux couilles. Il réagit, fait deux ou trois va-et-vient, il bute au fond de moi. Et très vite, il s’arrête, se crispe, je sens son sexe se raidir, se contracter. Je resserre mon vagin, il ne tient plus, il décharge en moi. À chaque secousse je sens ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c’est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus. Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je me lève en vitesse, ma culotte est trempée, collante, il en coule toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis ! | Le bureau venait de se vider (E) Le bureau venait de se vider, il n'a pas perdu de temps. Après avoir fermé la porte, Il m'avait installé sur la desserte et avait défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excita ... |
![]() | caresses intimesSes cuisses s’ouvrirent, ses petites lèvres s’entrebâillèrent. Mes doigts effleuraient, s’attardaient, puis s'introduisirent en elle. Je sentais sous mes doigts un endroit chaud et moite. l'humidité s'intensifia. Mon doigt fut comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonça entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Deux caresses plus intimes, plus profondes, tout son corps se raidit, sa tête brinquebala, elle chavira, une coulée de plaisir se répandit dans son corps. Ses muscles se contracterent, son cœur battait la chamade. Elle se mordit les lèvres, ses cuisses se resserrerent et emprisonnaient ma main. Puis ... Elle retomba ... inerte, en sueur. | caresses intimes (E) Ses cuisses s’ouvrirent, ses petites lèvres s’entrebâillèrent. Mes doigts effleuraient, s’attardaient, puis s'introduisirent en elle. Je sentais sous mes doigts un endroit chaud et moite. l'humidit&eacu ... |
![]() | dans l'alcôvej'étais près de lui et je le regardais sans me rendre compte que ce regard pouvait être perçu comme une invitation. il m'a attiré dans ses bras. Je ne sais pas alors ce qui m'a pris, j'ai mis ma tete sur son épaule. Et je me suis vraiment blotti tout contre lui. Je me suis rendu compte qu'entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie et que ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. Il ne pouvait ignorer que j'étais nue en dessous de ma chemise. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il s'est agrippé à moi. il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux seins bien ronds, à peine affaisés sous la dentelle, qu'il commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon dos. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. J'avais le vertige. Il s'est retrouve à hauteur de ma bouche. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mon cou. Il m'affolait litteralement. Puis il a posé ses levres sur les miennes, doucement d'abord. Je ne résistais plus, nous nous sommes embrassé à pleine bouche. Il a introduit doucement sa langue, je m'abandonnais à son baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma robe et remontait sous ma combinaison. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapproché et se sont déchainé d'une intense passion. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits. - Nous sommes en train de faire des bêtises ! J'eu à la fois pitié de moi et une intense envie de me laisser aller à mon envie de ce beau corps mâle. Il m'a emmené avec lui et m'a entrainé dans la petite alcôve. Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé toute mon intimité ... et je me suis offerte à lui. - S'il vous plait, rentrez doucement ... pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble... J'ai dirigé son sexe et j'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. - Vous êtes bien ? me demanda-t-il en m'embrassant sur le front - Oh oui ! Je vous sens bien ! c'est tout doux ! C'est bon ! Mon bel amant d'un jour s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce bel amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. - Maintenant ! lui dis-je, Je suis prête ! Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre électrisait son ardeur. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressantsensuelle ment, nous enlaçant à nouveau. Il fut un amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Il était infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Entre tes cuisses tièdes, je viens de glisser ma main, et d'instinct tu t'ouvres pour que mon doigt s'insinue dans ta fentine suintante; Telle une chatte tu ronronnes, mais tes joues soudain virent a un beau rouge écarlate; Pour bien garder prisonnière cette main au creux de ton écrin, tu la serres comme dans un étau de tous tes muscles génitaux; Puis tu laisses échapper un soupir avant de m'inonder de ton miel. Mes doigts effleurent, s’attardent, puis s'introduisent. Deux caresses intimes. Tout ton corps se raidit, ta tête brinquebale, tu chavires, une coulée de plaisir se répand dans ton corps. tes muscles se contractent, ton cœur bat la chamade. Tu te mords les lèvres, Tes cuisses se resserrent et emprisonnent la main. Tu me fixes du regard ... et tu me souris Je sens sous mes doigts un endroit chaud et moite. l'humidité s'intensifie. Mon doigt est comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonçe entièrement dans des profondeurs inconnues, t'arrachant des gémissements à chaque pénétration. La tendre humidité , l 'émotion de tes sens. J 'effleure cette corolle qui est encore cachée, Cette rose orchidée qui veut que je l 'offense , Qui ouvre ses pétales mille fois désirés. De mon doigt je poursuis la ligne de ces lèvres Sublimes et si douces, imprégnées de ton miel, Qui me mènent tout droit au profond de ta fièvre, Puis lève ce bouton jusqu 'au septième ciel. Un bouton qui cede, ta robe que j'écarte, et sous mes doigts, soudain, une douce toison, pour un autre plaisir, douce exploration J'abandonne ta bouche et caresse ton ventre Un souffle, un gémissement, Un frisson, un soupir, Je te sens trembler et tu m'entends gémir. tes seins contre moi qui se frottent doucement... et je sens le velours de ta langue qui glisse en même temps sur ma peau enfiévrée... Audacieux, j'explore le plus petit recoin, jusqu'à venir me perdre au creux de ta féminité... Et ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise, et ces frémissements qui n'en finissent pas. Je ne sens ma main vraiment vivante que quand elle s’enfonce entre tes deux cuisses pour y chercher ton sexe qui se laisse découvrir comme un beau fruit dans l’herbe Ma main sculpte tes seins et l'autre te dessine. Aux flots de tes cheveux, tombant sur tes épaules, Je glisse mon visage et ma joue te ravine, Mes lèvres te goûtant, baisers que tu me voles. Un peu comme un aveugle, en te prenant les mains, Je te découvre en braille et cherche tes chemins. Comment me détacher, mes doigts que tu enserres, Le soc de ma charrue labourant en tes terres. Tu ronronnes féline et, mi-femme, mi-chatte, Tu me dis "je suis sage" et puis, d'un coup de patte, Tu m'affoles indécente et tu fais connaissance De mes sens en attente qui te sont renaissance. Tu es là, assouvie de nos folles amours, Tu rêves alanguie au fil de ce parcours, Mon livre entre tes doigts, repos de la guerrière, Pour que ton âme vaque en vague cavalière. Ma main t'entre-baille, vivante rose de cyprès, et tout de suite travaille, d'un doigt léger, le clitoris. Fin chef-d'œuvre de la nature, vit d'oiseau, pine en miniature, bouton subitement durci, qui, dans l'écartement des lèvres, tout baigné d'amoureuses fièvres, dresse la tête et bande aussi. Ma main tout doucement, se pose sur ton genou, Elle reste là, figée, n’ose pas d’avantage, Se permettre autre chose serait un rêve fou, pourtant tant de trésors et tant d’autres rivages. Et voilà que ma main se permet une avance, elle doit se sentir bien car elle s’arrête à nouveau, L’endroit est doux et chaud et mérite une danse, une cuisse qui vibre, rien ne sera plus beau. Mais pourtant sans attendre elle remonte un peu plus, sous la jupe à présent la voici qui découvre, Comme un léger barrage en un bout de tissu, sans frapper à la porte la voilà qui l’entrouvre. La main a dû trouver là sa destination, car elle ne bouge plus de cet endroit divin, Et voilà qu’elle s’endort dans un léger frisson, rêvant à d’autres lieux, et à d’autres câlins. ma main tremblante avance vers tes flancs. Contact. Douceur. sur ton ventre, peau de pèche velouté fragilité Contact soyeux. Découverte. Ma main glisse et s'égare, tes cuisses s'ouvrent. mes doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, si délicatement offert. Mes doigts gênés s'égarent et avancent en terre inconnu. Raidissement soudain de ton corps, tétanie passagère. Regard vers tes yeux, mon amour ... C'est bon ? Encore ? Je continue ... ? C'est toi qui le demande, tu diriges ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Tu me nommes les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Ouvre tes jambes, prends mes flancs. Dans ces rondeurs blanches et lisses, ouvre tes genoux tremblants … ouvre tes cuisses, ouvre tout ce qu’on peut ouvrir Dans les chauds trésors de ton ventre, j’inonderai sans me tarir L’abîme où j’entre. Source d'amour, fontaine de douceur, joli petit ruisseau apaisant toute ardeur, mal et langueur ô lieux solacieux et gracieux séjour délicieux, voluptueux, plus que tout autre au monde Petit sentier qui droit mène à la bonde d'excellent bien et souverain plaisir, Heureux sera cil duquel le désir contentera qui prendre te pourra et qui de toi pleinement jouira Je te salue, Ô merveillette fente, qui vivement entre ces flancs reluis; Je te salue, Ô bienheureux pertuis, qui rend ma vie heureusement contente! C’est toi qui fais que plus ne me tourmente l’archer volant qui causait mes ennuis; T’ayant tenu seulement quatre nuits Je sens sa force en moi déjà plus lente. Ô petit trou, trou mignard, trou velu, D’un poil folet mollement crespelu, Qui à ton gré domptes les plus rebelles: Tous vers galans devraient, pour t’honorer, A beaux genoux te venir adorer, Tenant au poing leurs flambantes chandelles! Pierre de Ronsard (1570) Laisse ma main glisser doucement entre tes cuisses, laisse moi, s'il te plait, effleurer tes lèvres intimes, je les sens s'attendrir et s'ouvrir sous mes doigts. Ta respiration se fait haletante, Laisse moi poursuivre ma caresse, enfoncer mes doigts plus profondément en toi, tes gémissements m'encouragent. Je sens tes mains glisser dans mes cheveux que tu agrippes avec douceur. Un gémissement plus aigu que les autres je sens tes doigts se crisper dans ma chevelure Ta respiration irrégulière s’accélère encore un peu plus. tout ton corps se crispe. Puis tes muscles se détendent, j’achève de te faire jouir en tendant ma main au maximum, l’enfonçant au plus profond de ton sexe brûlant. Tu as encore un ou deux sursauts puis tu soupires longuement je sens une peau douce, humide, gonflée, qui s'ouvre comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt est comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonce entièrement dans des profondeurs inconnues, Je déclenche chez toi des feulements à chacune de mes pénétrations. Oh tendre humidité ! émotion de tes sens. J 'effleure cette corolle qui est encore cachée, Cette rose orchidée qui veut que je l 'offense, Qui ouvre ses pétales mille fois désirés. De mon doigt je poursuis la ligne de ces lèvres, sublimes et si douces, imprégnées de ton miel, Qui me mènent tout droit au profond de ta fièvre, puis lève ce bouton jusqu 'au septième ciel. Tu écartes les jambes doucement, tu t'ouvres, tu t'offres à moi ! Sens mes doigts qui s'aventurent, se glissent dans la moiteur d'une jungle suave. comme aspirés dans la fente brûlante et lisse. Ils pénètrent avec facilité cet antre de feu liquide. mes doigts sont comme aspirés, sucés, engloutis, tel des sables mouvants. J'entends ton halètement, bien perceptible, ta tête est maintenant légèrement inclinée, ta bouche s'est entrouverte sur une étrange grimace, Laisse-moi t’approcher. Laisse-moi te toucher toute et te fragmenter par petites touches Laisse-moi ma plurielle de fond en comble te dévaster Trouver réunies au secret ma soif et mon ruisseau ma verdure et ma faim Lécher jusqu’au cœur notre vaste complot Laisse mon corps immobile entrer chez lui par les seuils de ton corps inamovible Laisse s’accomplir à l’infini vertigineux du temps vertical cette opération-extase infiniment longue et Infiniment aimable Que mon désir me conduise à tes seins et que le satin soit la doublure de ma bouche tissé sur ton cœur battant Laisse-moi connaître ton sexe et qu’il soit ou non de velours laisse-moi le bercer. Laisse-moi recueillir l’huile prodigieuse de cette amande douce pour en lisser les feuillages de ta vulve Laisse-moi naviguer en toi. Laisse-moi faire ce naufrage dont nous rêvions et laisse-moi en ta perdition Laisse-moi aborder au clitorivage heureux de ton corps heureux laisse-moi m’y reposer. Laisse-moi me reposer en toi de cette définitive splendeur Mes lèvres sur ses joues, effluves de ton parfum. Mes mains entre tes seins qui les massent et les serrent. Mes mains qui descendent, et remontent. Frissons. Mes mains entre tes jambes et tes jambes qui me serrent, et toi qui ondules, lentement, doucement, la bouche entr'ouverte. Je sens l'humidité qui perle entre tes cuisses, tu m'excites. Ton murmure qui se prolonge est, manifestement, une invitation. Ma main effleure ton sexe, descend, remonte, se frotte. Tu ondoies, tu m'excites, tu me pinces, tu m'incites. Tu m'enlaces, tu agrippes mes chairs. Nos corps se frottent, s'excitent, lascivement. Tu t'accroches à mon cou, je caresse ta vulve. Nos ombres glissent. En silence. Contact moelleux. ma chemise qui vole, tes dessous qui s'esquivent. Un sein dans ma main, s'affermit. Ta peau chaude, ton odeur, ton doux râle me grisent. Ton corps abandonné, tes jambes ecartées, tu attends, je me tend. Ma main s'attarde, explore, s'introduit dans le puit. Tu gémis. Je m'active. Tu te cambres, Je m'attarde. Tu ondules, de plus en plus vite, tu rales de plus en plus fort. Et tu jouis, longuement, dans une plainte heureuse. Je cherche un petit bois touffu, que vous portez, Aminthe, qui couvre s’il n’est pas tondu un gentil labyrinthe. Tous les mois, on voit quelques fleurs colorer le rivage ; Laissez-moi verser quelques pleurs dans ce joli bocage. ---------------------------------- -Allez-, monsieur, porter vos pleurs sur un autre rivage ; Vous pourriez bien gâter les fleurs de mon joli bocage ; Car, si vous pleuriez tout de bon, des pleurs comme les vôtres Pourraient, dans une autre saison, m’en faire verser d’autres. --------------------------------- -Quoi ! Vous craignez l’événement de l’amoureux mystère ; Vous ne savez donc pas comment on agit à Cythère ; L’amant modérant sa raison, dans cette aimable guerre, Sait bien arroser le gazon sans imbiber la terre. --------------------------------- -Je voudrais bien mon cher amant, hasarder pour vous plaire ; Mais dans ce fortuné moment on ne se connaît guère. L’amour maîtrisant vos désirs, vous ne seriez plus maître De retrancher de nos plaisirs ce qui vous donna l’être Voltaire Ce soir, mon amant, me donneras tu ta bouche, aux fumets de tourbe celtique, de fjord profond et habité de monstres, d'embruns, de vents du Nord ? Ce soir, mon amant, me donneras tu ton cou, aux effluves de mousse, de lichens ténébreux, d'écorces, de châtaignes, d'automne ? Ce soir, mon amant, me donneras tu tes épaules aux essences de pierre, de marbre davidien, de grès lisse et rond, à lécher ? Ce soir, mon amant, me donneras tu, tes bras, aux bouquets de soieries, d'indiennes, de pampres capiteux, et rassurant, de nid ? Ce soir mon amant, me donneras tu, ton ventre, d'où s'exhale la vie, le rouge des furies, la chaleur enfiévrée de l'envie, le tison ? Ce soir, mon amant, me donneras tu tes mains, au parfum d'encre noire, de papier raturé, de poudre de fusain, de pigments sur vélin ? Ce soir, mon amant, me donneras tu ton sexe, aux odeurs de rebelle, de blouson noir, de cuivre saxophoniste, de cri ? Ce soir, mon amant, donneras tu ton sexe aux arômes du mien ? Tes doigts attisent mon feu Et me pénètrent lentement Libérant doucement Du plaisir, le tendre aveu Plus mon jus te mouille Plus tu me fouilles Puis m'en barbouille Nos langues se caressent Au-delà de tes doigts Ont envie de tendresse Et laisse parler leur émoi Lorsque nous tremblons l'un contre l'autre, lorsque nos corps, deviennent à nous, Lorsque chacun de nous s'appartient dans l'autre et qu'ensemble nous avançons, C'est alors aussi la teneur du printemps qui passe dans nos corps et qui se connait Les lumières de la salle sont éteintes, restent quelques murmures. Tu as capturé ma main dans la tienne doucement m’entraîne vers tes lèvres tièdes et joue de mes doigts dans ton repaire humide... Mon regard troublé, le tien incandescent, ma main toujours dans la tienne lentement descend En voyage sous le soyeux de ta robe légère jusqu'à la naissance de tes cuisses qui s'ouvrent et s'abandonnent. Nos souffles s'accélèrent, tu fais glisser ma main, tu frissonnes doucement et t'offre à mes doigts qui s'animent... ton souffle au sommet du plaisir s’apparente à un léger soupir. Je rêve de ta tête sur mon épaule, que tu t'endormes, t’envoles lorsque mon visage glisse méticuleux le long de ta poitrine, au plus doux et atteindre en caresse de ta joue le renflement palpitant de mon corps. Pourvu que le film se prolonge encore et encore, que tu puisses de tes lèvres ingénues, en douce vague effleurer le velouté de ma dague la relâchant légèrement de sa prison devenue exiguë. Le temps de s'étourdir de cette flagrance secrète de laisser jaillir cette première perle de liqueur céleste qui déjà vous cambre, vous fait glisser discrètement. La séance se termine, lentement, la salle s'éclaire peu à peu, le temps de se ressaisir. Mais déjà tu m'entraînes au dehors, m'enlace dans un corps à corps, en un long baiser qui reconnaît la présence de mon envie. Pourvu qu’il fasse nuit. Pourvu qu'il y est de belles portes cochères perdues au cœur d’une rue sombre dans la chaleur de la nuit légère. Ma main caresse ton ventre chaud, glisse entre tes cuisses, effleure tes lèvres intimes, Ton corps languissant à un léger sursaut. Je caresse avec douceur. Tes lèvres intimes s'attendrissent et s'ouvrent sous mes doigts Ta poitrine se soulève par saccades, ta respiration se fait haletante, Je poursuis ma caresse, j'enfonce mes doigts plus profondément en toi, encouragé par ses gémissements réguliers. Tes mains ont glissé dans mes cheveux bruns qu’elles agrippent avec douceur. Un gémissement plus aigu que les autres me ramène à la réalité, et je sens ses doigts se crisper dans ma chevelure sa respiration irrégulière s’accélère encore un peu plus. elle est proche de l’orgasme tout son corps se crispe sous l’effet du plaisir. Puis ses muscles se détendent, elle se contracte à nouveau, puis se détend encore. Son sexe et son corps reagissent de concert. Prise de légers spasmes qui font tressauter tout son corps glissante de sueur et de musc elle pousse de petits cris de plaisir, puis un seul gémissement, plus aigu que les autres, j’achève de la faire jouir en tendant ma main au maximum, l’enfonçant au plus profond de son sexe brûlant. Elle a encore un ou deux sursauts puis soupire longuement, comme soulagée d’avoir pu évacuer tout ces plaisirs par un orgasme. Ma main tendre feuille tes pétales effeuille La rosée d'amour sème bientôt son miel, tu aimes... et t'ouvres, t’épanouis, laissant couler tes envies Le nœud de mon charme, douce et troublante arme, pointe et glisse à l'arcade de ton centre En toi lentement entre, fière aubade Tes pétales m'enroulent, me happent. Mes épaules tu attrapes Et tandis que tu te suspends à ces branches, j'entame une danse des hanches langoureuse et sinueuse à la fois pour avancer dur et souple en toi... Mon tronc de sève s'y gonfle L'écorce douce envoie des ondes Dans ton ventre plume, Mon désir y ronfle De bonheur au monde Qui s'allume | dans l'alcôve (E) j'étais près de lui et je le regardais sans me rendre compte que ce regard pouvait être perçu comme une invitation. il m'a attiré dans ses bras. Je ne sais pas alors ce qui m'a pris, j'ai mis ma tete sur so ... |
![]() | dans l'ascenseurLa jeune femme s’adossa contre la paroi de l'ascenseur bloqué. Des gouttes de suée commençaient à perler de son front. - Ca ne va pas ? lui demandai-je - Oh, excusez moi, Je… Je suis… Claustrophobe… Elle était toute blanche. Elle avait ouvert un bouton de sa veste et se passait la main sur le cou pour se détendre. - Est-ce que… Est-ce que je peux faire quelque chose ? Je me plaçais derrière elle et commença à lui masser le cou. Elle semblait se détendre - Ca va mieux ? - Oui ... Merci ! - Je continue ? - Oui… S’il vous plaît… Je me rapprochais encore plus d’elle. Ma bouche était toute proche de son cou. Elle respirait très fort. Son haleine était chaude et rassurante. Elle se sentait mieux, visiblement. Elle commençait à se détendre. J'avais maintenant mon ventre collé contre son dos. Elle se serra un peu plus contre moi et laissa échapper un petit soupir de contentement. - Vous êtes très… efficace, Merci. Son odeur me rendait fou. Je penchais la tête et posais légèrement mes lèvres sur sa nuque. - Continuez ... Merci… Elle se laissa faire et elle reprît son geste de se caresser le cou avec ses deux mains cette fois. Tout en continuant de l’embrasser dans le cou, l’une de mes mains s’aventurait maintenant plus bas, sur ses hanches puis remontait plus avant, à la rencontre des ses deux seins. Sous mes doigts, ses seins se durcirent immédiatement. Elle soupira à nouveau et se frotta un peu plus contre moi. Elle retira la pince dans ses cheveux qui tombèrent aussitot sur ses épaules. Je passais mes mains tantôt dans ses cheveux, tantôt sur sa poitrine. Elle se frottait de plus en plus à moi. Cela semblait la rassurer, ou plutôt, l'exciter. Elle se retourna brutalement ... m'embrassa sur les lèvres puis me déboutonna hâtivement les boutons de ma chemise. Elle m'enleva ma veste qui rejoignait son tailleur sur le sol de la cabine. Sur ma poitrine nue, elle passa ses lèvres de manière sensuelle, s’attarda sur les tétons durcis les suçant lentement et habilement. Puis ayant perdu toute retenue, elle sortit mon sexe déjà bien raide de mon pantalon et, de ses deux mains, la serra doucement et délicatement. Elle baissa entièrement sa culotte et fit glisser sa jupe sur le sol. Elle dirigea mon sexe vers sa chatte trempée. Je m’enfonçais doucement en elle, lui soulevant une jambe pour qu’elle se cramponne à moi. Elle poussa des petits cris. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides. La cabine de l’ascenseur commença à bouger. Son corps tremblait de partout. Des gouttes de sueurs le recouvraient entièrement. Ses cheveux étaient en bataille. Ses yeux étaient hagards. Sa bouche dégoulinait de rouge à lèvres. Je m'enfonçais d’un coup et éjaculais au fond de son ventre. Elle s’adossa contre la paroi et ferma les yeux. - Oh merci ! Je crois que je vais mieux ! | dans l'ascenseur (E) La jeune femme s’adossa contre la paroi de l'ascenseur bloqué. Des gouttes de suée commençaient à perler de son front. - Ca ne va pas ? lui demandai-je - Oh, excusez moi, Je… Je suis… ... |
![]() | Il m'avait installée sur le rebord de la bibliotequeApres avoir fermé à clef son bureau, Il m'avait installée sur le rebord de la biblioteque, il venait d'abaisser son pantalon, ma fine culotte était déjà enroulée sur le bas de mes jambes. Et presque aussitot, j'ai senti son sexe au contact du mien, j'étais affolée, mais tres receptive à la fois, j'ai alors senti son gland écarter ma vulve dejà trempée, il s'est doucement, mais puissement enfoncé en moi, en me fixant d'un regard intense, puis il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... il s'est retiré doucement un moment, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir. Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête ... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Son sexe long et dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé, je sentais mes muscles se contracter. Il se planta une nouvelle fois dans mes entrailles, m’arracheant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’etait violent, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations fortes dans tout mon corps, J'avais les yeux mouillés d'excitation et il continuait à coulisser en moi, de plus en plus vite, son plaisir s’annoncait. J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait , j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé, il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe: je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, puis il retomba lourdement sur moi, affalé, amorphe... il m'avait remplie | Il m'avait installée sur le rebord de la biblioteque (E) Apres avoir fermé à clef son bureau, Il m'avait installée sur le rebord de la biblioteque, il venait d'abaisser son pantalon, ma fine culotte était déjà enroulée sur le bas de mes jambes. Et ... |
![]() | Deshabillez-moiJe vous en prie ! Pas tout de suite, pas trop vite Sachez me convoiter, me desirer, me captiver Ne soyez pas comme les autres, trop presses. Tout le temps du prelude Ne doit pas etre rude, ni hagard Devorez-moi des yeux Mais avec retenue Pour que je m'habitue, peu a peu... Sachez m'hypnotiser, m'envelopper, me capturer Avec delicatesse, en souplesse, et doigte Choisissez bien les mots Dirigez bien vos gestes Ni trop lents, ni trop lestes, sur ma peau Voila, Ca y est, je suis fremissante et offerte De votre main experte, allez-y... Deshabillez-moi, Maintenant tout de suite, allez vite Sachez me posseder, me consommer, me consumer Conduisez-vous en hommes Soyez hommes ... Agissez ! Et vous... deshabillez-vous ! | Deshabillez-moi (E) Je vous en prie ! Pas tout de suite, pas trop vite Sachez me convoiter, me desirer, me captiver Ne soyez pas comme les autres, trop presses. Tout le temps du prelude Ne doit pas etre rude, ni hagard Devorez-moi des yeux ... |
![]() | un corsage de soie tres ouvertElle est assise à quelques mètres de moi, elle consulte le catalogue. Je la regarde, ses poitrines somptueuses s'épanouissent dans un corsage de soie tres ouvert, provoquant. Je rêve des caresses que je pourrais lui faire. Je rêve de me placer derrière elle, de glisser doucement mes mains sous ses seins, de découvrir la douceur de ses poitrines généreuses et bien visibles sous son chemisier. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge discret. Je rêve de promener mes mains délicatement le long de ses seins, puis les serrer doucement, et recommençer. Je sens déjà sa douce chaleur. Je rêve de les palper, les caresser à loisir. Elle ferme les yeux. Je m'avance vers elle. Elle ne réagit pas. Sa douce chair laiteuse contraste avec ses aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevent des tétons turgescents. Elle lache le catalogue qui glisse sur le sol. Mes deux mains chaudes se posent maintenant en coupe sous ses seins et les pressent tendrement. Je plaque ensuite mes doigts sur ses mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Je recommence plusieurs fois, empoignant cette fois ses seins à pleine main. Elle sent bien maintenant mes mains chaudes qui pressent légèrement ses volumes mammaires, les palpe doucement pour en apprécier la souplesse. Puis je les rapproche l'un de l'autre. Je les lâche ... ils reviennent en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fait sortir ses pointes. J'enfonçe mes doigts, dans sa chair laiteuse, j'effectue de petits cercles concentriques et écrase ses tétons. Elle ressent des ondes de chaleurs. Mes doigts n'en finissent pas de la traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, elle se cambre pour mieux offrir ses poitrines gonflées d'excitation. Elle est au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de ses cuisses crispés à l'extrême, je l'entends geindre. Immobile, elle essaye de respirer lentement et profondément, sa vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Je pétris ses seins, les frotte l'un contre l'autre, les déplaçe, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpe, les caresse. Elle est affalée sur sa chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de mes caresses. Mais ... Je rêve. | un corsage de soie tres ouvert (E) Elle est assise à quelques mètres de moi, elle consulte le catalogue. Je la regarde, ses poitrines somptueuses s'épanouissent dans un corsage de soie tres ouvert, provoquant. Je rêve des caresses que je pourrais l ... |
![]() | une réaction physiologiqueSa voix est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds débordent du décolleté, les pointes se détachent en relief sous le nylon. - Ils sont à ton goût ? J’ai l’impression de manquer d’air tout à coup. - Tu peux les caresser tu sais ! Je tente de me ressaisir. Elle s’approche de moi à me toucher et je m’étrangle en respirant son parfum. Je sens la chaleur de son corps et les pointes de ses seins qui me chatouillent la poitrine. - Dis moi ? ... c'est pour moi là ... plus bas ? - Comment ca une réaction physiologique ? Elle se colle à moi et m’enlaçe ... elle me tend ses lèvres. Je tente de resister mais mon désir monte, presque douloureux. Elle se colle à moi. Je sens ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser sur mon cou et une main qui vient tâter délicatement ma vigueur de mâle. - Dis moi , ta réaction physiologique s’est bien développée ! J'ai le corps en feu. - Cool Paul ! Vas-y, laisses-toi aller, la vie est belle. J'ai du mal à garder une contenance - Paul ! je sens ton regard sur mes seins ! ... Et ça m’excite ! Elle a glissé une main sous son chemisier et se caresse un sein. Et d’un geste très naturel, elle défait ma braguette et extirpe mon sexe douloureux. elle se penche, m’avale le sexe tout entier puis me suce langoureusement. Dieu que c’est bon ! Je me raidis sous la caresse J’ai l’impression que mon âme est aspirée par sa bouche. Le plaisir monte, monte jusqu’au jaillissement dans une telle jouissance que j’en ai des éblouissements lumineux. Elle se redresse d’un petit air satisfait. - Te voilà soulagé ! ... Ça t'as plu ? Je sens bientôt un pied nu chercher le mien je m’abandonne à la caresse. elle se colle contre moi, m’enlace, se frotte. Sa main tâte de nouveau mes reliefs. - Hé Paul, tu sais quoi, il y a ton érection qui t’as repris ! ... Et moi .... Je mouille ! Elle commence à me masturber sur le tissu tout en continuant à se frotter sur moi. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire bander comme un taureau. De nouveau, elle se colle à moi, elle m’enlace et m'embrasse, nos langues se mêlent et mon esprit s’emballe. Quelques frottis frotta puis je sens mon sexe aspiré par une main volontaire. Sans avoir le temps de réagir, je me sens d'un coup aspiré en elle. Je la penetre, elle m'engloutit. Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle absorbe mon sexe, le masse doucement, interminablement, contractant ses muqueuses. Ces lente pénétrations affolent nos sens. La sensation est délicieuse, affolante. Je la sens maintenant toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, les yeux à moitié fermés, Elle s'agite, s'empale un peu plus, sur mon sexe qui se tend et s'allonge dans ses chairs. Une penetration puissante. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse, s'applique, en jouant de mon corps. Je me soulève un peu lorsqu'elle se retire pour mieux venir me perdre au plus profond d'elle. Elle porte une nuisette de soie blanche que je caresse avec ferveur et qui ne cache pas grand chose. Elle est là face à moi, toujours provoquante. Ses seins palpitent doucement sous les dentelles. Je suis litteralement aimanté. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces ....Je suis tellement excité que j’éjacule très rapidement. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crus finir épuisé. Dix fois elle parvint à raviver mon désir. Elle me fermait la bouche d’un baiser m’assurant que j'étais le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvint encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi | une réaction physiologique (E) Sa voix est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds débordent du décolleté, les pointes se détachent en relief sous le nylon. - Ils sont à ton goût ? J’ai l’impression de manqu ... |
![]() | une réaction physiologique 2Il s'affaira sur moi, écarta ma culotte, baissa son pantalon, sortit sa queue, glissa son gland dans ma fente, je me cambrai et, d’un coup de rein, Il engloutit son sexe jusqu’aux couilles. Il réagit, fit deux ou trois va-et-vient, il buta au fond de moi. Et très vite, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Je resserrai mon vagin, il ne tint pas plus longtemps, il déchargea en moi. À chaque secousse je sentis ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait, m'envoyait une dernière giclée, se vidait, puis s’enfournait jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il resta là un moment, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Son foutre abondant commençait à couler hors de ma fente. Je le repoussai doucement, la verge ressortit en diminuant doucement de volume. Lorsqu'il s'est complètement retiré de moi, je me redressai et je regardai vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi intense. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Ma robe tirebouchonnée et ma culotte trempée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et gonflée, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait sur mes cuisses. J'étais ouverte comme jamais. Il gisait assis devant moi avec son sexe gluant posé lamentablement sur son bas-ventre. - Eh bien mon ami ! ... Qu’est-ce que tu m’en a mis ! | une réaction physiologique 2 (E) Il s'affaira sur moi, écarta ma culotte, baissa son pantalon, sortit sa queue, glissa son gland dans ma fente, je me cambrai et, d’un coup de rein, Il engloutit son sexe jusqu’aux couilles. Il réagit, fit deux ou t ... |
![]() | Apres cette chevauchée intenseApres cette chevauchée intense, je le regardai avec tendresse. Nous nous regardions l'un l'autre. J'avais 40 ans, j'étais sa nouvelle secretaire, de longs cheveux blonds bouclés tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine qu'il avait tout de suite reperée, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous venions de faire sauvagement l'amour là sur son bureau. Il semblait épuisé. Lentement, comme à regret, j'ai senti sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de mon ventre, liberant un flot de son jus. Je mis un certain temps pour reprendre mes esprits. J’étais aussi épuisée que lui. Je regardais nos deux sexes gluants de nos secretions intimes, sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je sentais le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il venait de jouir en moi, et me laissait maintenant là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donnait le frisson. Trempée, ouverte, obscène presque. Son sperme chaud s'écoulait hors de mon ventre, sur mes cuisses. Je me sentais sans force. Au depart, j’avais failli refuser, mais il a su s'y prendre et je lui ai cedé sans complexe mon corps et mon ventre, dans lequel il a joui abondement et s'est répandu en une veritable apothéose Il était toujours là devant moi, il me fixait à nouveau avec un regard d'envie, il se remit à bander devant moi, sans retenue. Il reprit son sexe, qui durcissait et s'allongeait à vue d'oeil et le disposa en face du mien, - Tu veux bien ? J'acquiescai, il le poussa un peu en moi, puis, plus loin, puis, le ressortit, avec un bruit de succion terriblement erotique. Il s'enfonca enfin bien au fond, écarta bien mes chairs rosées et fit durer le plaisir. puis Il accélèra dans le magma liquide declenchant un bruit de clopotis terriblement obscene. Je n'en pouvais plus. Je jouissais, et lui aussi ! Il s'est vidé de nouveau dans mon ventre, n'en finissait plus de se vider en moi ! Apres m'avoir baisé deux fois dans son bureau, Il s'est rhabillé en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres , il s'est rapidement glissé hors du bureau en me donnant rendez-vous pour le lendemain. | Apres cette chevauchée intense (E) Apres cette chevauchée intense, je le regardai avec tendresse. Nous nous regardions l'un l'autre. J'avais 40 ans, j'étais sa nouvelle secretaire, de longs cheveux blonds bouclés tombant sous les épaules, un corps ... |
![]() | dans l'arrière bureau- Louise, ils sont tous partis ! A peine achevé sa phrase il prit ma tête dans ses mains et posa un baiser sur mes lèvres. Surprise, je ne réagissais pas vraiment. Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins contre lui. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti son pantalon augmenter de volume et commencer à appuyer sur le bas de mon ventre. Je me laissais aller à imaginer, tout en me collant contre lui, l'effet de son enorme sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu dessus. Pierre était veuf depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, il était seul comme moi, je le trouvais charmant. Je n'étais pas insensible à son corps et ce contact maintenant sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. - je crois qu'on est en train de faire des bêtises ! J'étais émoustillée. Je me laissais entrainer. Je me sentais plutôt instable et je l'ai senti m'aider à garder mon équilibre pendant que je réajustais ma robe. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement une grosseur manifeste sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, puis, sans me laisser le temps de réagir les lèvres de Pierre se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était magnifique. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les soupeser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché vers moi et s'est mis à sucer si delicieusement mes pointes que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. - Monsieur, J'ai si chaud ... je devrais déjà être partie ! Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. - Mon Dieu ! nous nous laissons emporter. - Louise, Je m'arreterai dès que vous me le direz. . Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner, mais il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. - Monsieur ! Que faites vous ? Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland. - Monsieur ! Il faut vous retirer ! - S'il vous plait, Louise ! j'ai juste besoin de me sentir en vous quelques instants... - Ce n'est pas bien ! ... Alors, oui ... mais juste un moment, - Oh oui ! ... comme çà ! .... juste un petit moment ! Mais il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai protesté encore, mais sans grande conviction - C'est vrai que c'est bon ! Mais il faut vous retirer maintenant J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. - Monsieur ! Je n'arrive plus à résister ! - Oh Oui Louise ! C'est si bon ! Ne résistez plus ! J'ai alors senti son énorme barre aller encore plus loin, au fond de mon vagin. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la journée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. - Louise ? ... Je crois que je viens ! Vous voulez vraiment que je me retire ? - Non ! Continuez ! C'est alors que je l'ai senti. sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi. - Oh Monsieur ! ... Qu'avons nous fait ? - Louise ! C'est si bon ! Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. - Pierre ! ... Je suis remplie de ... Je suis trempée ...Ça coule partout ! Je restais affaissée là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... Il m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée. Il m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, - Louise ? je sens que je vais jouir encore, vous voulez que je me retire ? Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié, - non, Pierre, restez à l'intérieur de moi, je veux vous sentir... venir…encore… s'il vous plaît ! C'est si bon Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus. Quand il est entré dedans, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sur mes cuisses. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Pierre avait son sexe merveilleusement gluant pendant lamentablement en bas de son ventre. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me redresser, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Une fois renté chez moi, J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé, j'ai enfilé ma chemise de nuit, couvrant mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit. Je repensais encore à la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve, mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement et nos râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos | dans l'arrière bureau (E) - Louise, ils sont tous partis ! A peine achevé sa phrase il prit ma tête dans ses mains et posa un baiser sur mes lèvres. Surprise, je ne réagissais pas vraiment. Ses bras m'ont entouré de maniere plus ... |
![]() | Il avait défait nerveusement sa ceintureIl avait défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il s'affairait sur moi, écarta ma culotte, baissa son pantalon, sortit sa queue et glissa son gland sur ma fente, je me cambrai et le temps d'écarter et de baisser completement ma fine culotte, je le sentis alors s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glissa dans mon ventre. d’un coup de rein, Il engloutit en moi son sexe jusqu’aux couilles. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. très vite, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortit, entra de nouveau, s’arrêta, envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bouge plus. Il restait là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repoussais, la verge ressortit, entraînant le foutre qui coulait dans ma fente. Je me lèvai en vitesse, ma culotte trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. | Il avait défait nerveusement sa ceinture (E) Il avait défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il s'affairait sur moi, écarta ma culotte, baissa son pantalon, sortit sa queue et glissa son gland sur ma fente, je me cambrai e ... |
![]() | allongés sur le sol du bureauIl m'a allongée sur le sol du bureau. J'ai senti sa main qui est venue se poser sur mon ventre. Je ne bougeai pas, la chaleur de sa main irradiait sur mon nombril. Je le laissais faire, sa main est remontée vers ma poitrine, s'est immobilisée un instant. Je ne disais toujours rien, je le laissai venir. Et puis, il a recommencé à bouger sa main, doucement, elle était douce et délicate, elle est remontée vers mon sein, s'y est posée et l'a pressé doucement. Il remplissait bien sa main, ses doigts atteignirent la pointe qui s'est durcie aussitot, Ma respiration s'accelerait. Il le sentait et il savait que je commencai à éprouver du plaisir. Il passait sa main d’un sein à l’autre, je sentais ma culotte se soie se mouiller. J'étais toujours sur le dos et il se serrait contre moi, je sentaiss la chaleur de son corps tout contre le mien. Sa main maintenant parcourait mon ventre et remontait doucement vers mon aisselle, provoquant des frissons. Ses doigts se promènaient sur mon bras, remontaient vers mon cou, caressaient mon oreille puis mes cheveux, sensations délicieuses. J’aimais ces préliminaires qui duraient et petit à petit embrasent mon corps et affolent mes sens. Il déposa de doux baisers, dans mon cou, sur mon front, sur mes yeux fermés, passive, je m’abandonnai à lui. Sa main repris l’exploration de mon corps, descendit plus bas, atteingnit ma culotte et glissa dessus sans y entrer. Elle caressa mes cuisses puis mes genoux, remonta lentement à l’intérieur de mes cuisses, là ou la peau est douce et sensible, Sa main revint se poser sur ma culotte empoignant mon sexe à pleine main. Elle se fit plus précise et j’entrouvrai un peu plus les cuisses en signe d’encouragement. Il glissa une jambe entre les miennes, toujours allongé contre moi. Je sentis son sexe durcir contre ma cuisse. Sa main descendit vers ma vulve, je sentais que le tissus était humide, lui aussi sans doute. A travers le tissu humide, je sentis son doigt appuyer plus fortement sur mes lèvres, mon clitoris était gonflé. Sa bouche suçe mes seins. Il les mordille doucement ses doigts ont écarté ma culotte, cheminé vers mes levres intimes, penetré ma vulve. Elle est trempée et chaude. l'excitation monte, je vais jouir, il mouille ses doigts en les enfonçant profondément dans mon vagin, j’ai écarté les jambes et c’est trois doigts qu’il arrive à y enfoncer avant de revenir caresser mon clitoris. Je sens la jouissance monter et exploser une première fois. Elle envahit mon ventre, vague de chaleur qui monte, mon corps est agité de soubresauts. Petit à petit, après la tornade, le calme revient. Il reprend ses caresses sur mon ventre et mes seins. Je sens son sexe encore plus ferme que tout à l’heure contre ma cuisse. Je le prends dans ma main et je commence à le caresser. Je soulève les fesses pour l’aider à enlever ma culotte. Il est maintenant tout contre moi. Je sens ses cuisses entre mes jambes, son sexe qui grossit et durcit à l’entée du mien, j’ai envie qu’il me penetre. J'ai envie de lui, il a envie de moi. Il me désire, violemment. Je sens son sexe chercher l’entrée de mon puit, je glisse ma main pour le guider. Il est chaud, gros, gonflé, prêt à exploser, j'avance un peu mon bassin pour lui faire sentir que je suis prête. Mes chairs se distendent. Je me laisse pénètrer, Je l'accueille en moi. Je l'aspire en moi. il me tient par les hanches et il m’accompagne. Je le sens me fouiller, me remplir. La sensation est diffuse, elle se propage, s’éteint, renaît. il colle son ventre contre le mien, nous sommes completement emboités l'un dans l'autre. il se remet à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe. La tension va s’amplifiant. Je le sens gonfler et grandir dans mon ventre. je frissonne, je tremble.... Tout mon corps se met à vibrer à chaque penetration. Je pars ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement, milles bulles éclatent, sa verge se contracte au fond de mes entrailles. Je le supplie de venir ... Et il vient ! .... Son corps se tend et vibre, et tremble, et se vide, par saccades, Tout mon corps se raidit, ma tête brinquebale, mes muscles se contractent. Je me mords les lèvres, Je resserre mes cuisses Il jaillit dans mon ventre qui l'avale, qui le boit… Un flot de semence se répand dans mes chairs. Il jaillit et s'immerge dans mon corps, Il se noie en moi. Un interminable frisson voluptueux court tout au long de mon échine. Une marée s'écoule. Elle cède et se répand. Je m'abandonne à lui, me livre aux flots qui m'absorbent... Je m'abîme, sombre, m'anéantis... Puis l’amplitude des pulsations faiblit en longues ondulations... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Une paix profonde nous gagne, mon corps est repus... sa queue encore molle glisse hors de mon fourreau humide ... Je m'attendris ... je suis toujours ouverte. Il me regarde. nous sommes épuisés l’un et l’autre. | allongés sur le sol du bureau (E) Il m'a allongée sur le sol du bureau. J'ai senti sa main qui est venue se poser sur mon ventre. Je ne bougeai pas, la chaleur de sa main irradiait sur mon nombril. Je le laissais faire, sa main est remontée vers ma poitrine, s ... |
![]() | dans la remiseNous sommes desormais à l'abri des regards, cachés dans la remise, Louise est maintenant totalement offerte, assise sur l'étagère, nos deux corps se touchent, se serrent, se palpent. Nos vêtements se froissent, nos peaux au contact dégagent un parfum de baisers. Nos mains fourmillent sur le corps de l'autre. l'air est déja chaud. Je sens sous sa robe légère, la douceur de sa peau. Plaquée contre le mur, Louise n’offre désormais plus aucune résistance et semble même de plus en plus excitée. Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux, Elle guide ma main. Nos bouches se joignent une nouvelle fois etouffant nos cris. Je me sens comme une bête. La tension est si forte ! Par quoi commencer ? Je n’en peux plus. Petit à petit, ma main se glisse, explore, s'immisce. Sa peau est chaude, un peu moite Je la caresse avec ardeur, elle semble aimer. Ses reins se creusent, elle ferme les yeux, la bouche légèrement entre-ouverte, Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire, je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore. elle pose, une de ses main sur la mienne, et me guide vers des endroits plus intimes. D'une main habile je m'invite entre ses cuisses et palpant son entrejambe, j'y prends en coulisse une moiteur passagère, un parfum capiteux. D'une main je caresse, de l'autre je pénètre son insondable gouffre, si avide de tendresse. Rougissante, elle semble au supplice, et rêve que mes doigts fins effleurent son clitoris. Mes doigts se font dentelle, effleurent à pas de loup, mon doigt avance encore, creuse, se faufile. Humidité abondante, majestueuse. Envie de me perdre totalement entre ses lèvres ouvertes. Ma main part à sa découverte, s'immisce un peu plus. Parfum de femme. Son orgasme monte, arrive, il est enfin là, merveilleux, en partage total. Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté. Cris étouffés entre nos bouches. Je reprend mes carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Assise sur la desserte, elle n’offre plus aucune résistance. Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux. Elle attrape ma bouche, suçe mes levres. Nos bouches se joignent etouffant nos cris. Je m'agite sur elle, comme une bête. La tension est si forte ! Ma main caresse, explore, écartèle, Je n’en peux plus. Chaleur. Suffocation. Je relève sa robe, je degraphe le soutien-gorge de dentelle et j'abaisse fiévreusement sa culotte en satin. La robe d'Angela tombe au sol. soutien-gorge de dentelle et culotte en satin. j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur. Elle ouvre mon pantalon qui tombe. Elle ecarte ses cuisses, elle s'offre à moi, me guide, guide mon sexe sur ses lèvres intimes, sa vulve est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... je m'immisce .... Pénétration. Je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Je m'enfonce en elle, la pénètre, la comble, le plaisir monte en vagues, son ventre est en feu. Un glissement onctueux, une pénétration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. J'ondule, elle m'aspire, je râle, elle gémis. Je la serre, elle me dévore. Je m’enfonce ... loin, très loin. Elle m’enroule, me défais, je plonge, me retire. Elle avale mon corps. Je me penche vers elle, elle sourit. Je perds pied. Je vais et je viens, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits à mordre d’oreiller. Je me donne, elle me prend, ronronnements, feulements. Je me retire, laissant le vide. Elle se débat, elle me reprend. complètement, passionnément. Mon corps collé au sien, je la pénètre de nouveau, totalement. Me sentir en elle, grossir, durcir et m'allonger, investir son ventre chaud. Ses jambes écartées pour mieux me recevoir, ses jambes resserrées pour mieux me retenir. Je suis sa flèche, fichée dans sa chair, son corps est frémissant. Je remue en elle la terre et le feu, la mer et le vent. Courtisane lascive, soumise et attentive, au rythme de mon corps, elle se plie sans effort, Je m'enfonçe en elle, lentement, naturellement. Précipices de saveurs. Mon sexe dur, glissant, tournoyant dans ses chairs et son bassin, comme le reflet de mes carresses, elle s'agite. Sa tete en arriere, m'offre une gorge tendue, nos mains semblent avoir trouver un rythme commun. Ses cuisses se serrent, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à mes carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui monte en elle Elle exprime sa jouissance dans un râle long. Elle s'agrippe à moi, serrant les cuisses sur mes doigts, Accélération. Elle tend ses lèvres, me caresse le torse. Sa vulve est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Je la fais monter au ciel, elle s'y accroche, redescend et recommence, encore et encore. Je l'empoigne, elle me griffe, me harnache, Râles, bruits de succion, parfums d'orgasme. Une poussée, deux poussées Quelques aller-retour, râle assourdissant. Je décharge ... et je la remplis. Elle me sourit et en veut encore. Cette secrétaire nymphomane est insatiable. Au fond de la remise, elle me colle littéralement, soutien-gorge a moitié défait. - Baise-moi encore ! ... dépêche toi ! Je n'en peux plus ! Elle me prend les mains qu'elle plaque sur ses seins. puis elle empoigna ma verge. Je n'en peux plus. Elle relève sa robe et guide mon sexe vers le sien, je sens mon gland aspiré dans son puit humide et chaud. Elle s'excite sur moi, puis se fait coulisser de plus en plus vite, tout en m'embrassant la bouche avec avidité, je lui léche les seins, elle gémit de plus en plus fort, j'accélére la cadence, Elle se déhanche de plus en plus. Je la baise. Elle s'excite. Nous sommes ivres de l'odeur du nos sexes. Elle est chaude, elle a ses fesses rebondies. Je bande comme un cheval, elle me pétrit le sexe, les bourses à pleines mains. Je me met à petrir ses seins, fermes et opulents. je n'ai qu'une hâte, celle de gicler ma sève dans son ventre. elle est si mouillée que je sens sa culotte trempée collée contre sa peau. je palpe sa merveilleuse poitrine. Je la palpe de plus belle en bandant comme un ours au fond de son ventre, elle accélére sans cesse le rythme, elle grogne, elle va venir… Des spasmes soudain secouent son corps, je sens sa mouille à nouveau couler. Et elle jouit ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle me conduit au bord de l'explosion, puis, mon corps se raidit. Je sens mon liquide chaud couler dans son ventre. Je ne connais pas son nom. Au plus profond de son corps, mon sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps. la jouissance qui monte en elle femme révélée. Je l'investis, brutalement, sans concession, je la finis. Elle jouit. Enflammée jusqu'au cœur. Nous sommes essoufflés, et nos yeux sont heureux. | dans la remise (E) Nous sommes desormais à l'abri des regards, cachés dans la remise, Louise est maintenant totalement offerte, assise sur l'étagère, nos deux corps se touchent, se serrent, se palpent. Nos vêtements se froiss ... |
![]() | Il s'affaissa, épuiséLes spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange. | Il s'affaissa, épuisé (E) Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, ép ... |
![]() | douce natureAssise sur mon ventre, la poitrine en avant, elle contemple sa prise, elle savoure son oeuvre, satisfaite. Je suis vaincu. Ses seins mobiles devant mon nez, son visage penché sur le mien, ses grands yeux qui me laissent anéanti, son corps est contre le mien, sa chaleur irradie. Sa grâce est élastique, élégance naturelle, trouble. Elle est éblouissante. Une jupe légère qui la couvre à mi-cuisses, un corsage leger moule des seins adorables qui pointent, provocants. Sa voix est douce, suave, souple comme une liane. Je la regarde, je la détaille, je me remplis les yeux. Son corps, ses mouvements, ses expressions, tout en elle est emprunt d’une sensualité indéfinissable, envoûtante. Elle s'empare de ma tête, me touche. Frisson. Flash. Nos yeux se ferment. sa chaleur, son parfum, son visage me grisent, chaque souffle anime sa poitrine. Une respiration lente, calme. Les pointes de ses seins se dressent sur des mamelons crispés par la fraicheur. Elle me pétrit la nuque, ses mains me caressent. De longs frissons voluptueux me parcourent l’échine. Elle joue avec mes lèvres, fouille ma bouche, me baise les yeux, mordille mes oreilles, un tourbillon sauvage me déborde de toute part. Je bande entre ses cuisses, à pouvoir pénétrer un mur. Elle le voit, elle le sent, elle me met à nu, nous sommes murs. En appui sur ses bras, elle leve son bassin, se positionne au dessus de moi. Elle me fixe, intensemment, puis me guide vers ses moiteurs intimes. Elle s'empale, petit à petit. Chaude humidité. Sensation divine. Lentement, elle m'aspire, me digère. C’est un ciel sans fin dans lequel je me noie. Mes mains sur ses reins suivent son mouvement. Elle bouge lentement, se délectant de la caresse qu’elle se procure. Sa bouche s’est ouverte, je respire son haleine parfumée. Elle se recule... se redresse, me prend de nouveau à l’orée de son ouverture. Les yeux fermés, attentive, lentement elle se plante, m’enfonce en son sein. Je la pénètre ou elle me prend. Elle est suave, onctueuse, moelleuse. Un paradis de douceur me cerne, ferme, élastique, étroit. Elle s’ouvre et me dévore. sensation délicieuse, presque douloureuse. Je suis en elle, au plus profond d’elle. Je sens la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartiens à ses entrailles, je fais partie d’elle, je l’habite.Tout disparaît, je suis dans un autre univers, plus rien ne compte que cette douce sensation à l’extrémité de mon être, Elle bouge lentement, d’avant en arrière, d’arrière en avant, elle se frotte, masse ses parois intimes contre mon gland. Tête rejetée en arrière, elle se mord la lèvre sous l’effet des sensations qu’elle fait naître. elle se soulève, cambre les reins, me suce, me roule et me déroule, se laisse retomber. Elle bouge, portée par une houle invisible, de plus en plus creuse, de plus en plus profonde. Au sommet de la vague, elle plonge avec avidité pour à nouveau s’emplir de moi. L’ascension est plus lente, elle reflue à regret pour mieux me sentir revenir. Elle module le rythme, s’arrête, repart, me quitte presque pour se combler à nouveau. Elle glisse sur le guide, légère, agile, elle ondule fluide, féline comme une panthère. Sous mes doigts tous ses muscles entrent en mouvement, marée vivante qui se contracte et se relâche, chair ferme et souple. Elle a fermé les yeux, ses narines palpitent, le rose qui lui vient aux joues témoigne du plaisir qui monte en elle. elle aussi se tend, se crispe sous l’effet du plaisir, Elle jouit de mon corps... de mon sexe. Elle va jouir de moi, sur moi et moi en elle. bonheur de la voir perdre pied. Elle remue, imperceptiblement, appliquée à prolonger sa jouissance. Elle ouvre les yeux, cherche les miens. Un sourire de bonheur éclaire son visage. Elle se redresse, tête en arrière, seins pointés vers le ciel, secoue sa crinière, cambrée, me possédant, inflexible en elle, elle me serre de sa bouche amoureuse, juteuse comme une mangue. Elle est à moi, je la garde... ------------------------------------------------- (Elle) --------------------- Tout s'est passé très vite, j'étais soûle de vent, nous nous étions allongé dans l'herbe fraiche, moi sur lui à califourchon, je voyais dans ses yeux le mouvement des nuages. Je m'agrippais à sa taille. Je ne l'entendais plus, je voyais le mouvement de ses lèvres, de sa bouche, de ses doigts qui désignaient l'horizon. Je l'ai interrompu en plaquant mes lèvres sur les siennes, ma langue chaude s'est enfouie dans sa bouche, un feu me ravageait l'intérieur, j'ai passé mes doigts sous ses vêtements, sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner, il m'a devinée ... J'ai relevé ma robe et je me suis empalée sur lui, me laissant pénétrer avec délice. Il bougait en moi, ses mains sur mes seins chauds, j'ai mordu son cou et ma salive s'est glissée sur sa peau. A l’abri des buttes et des taillis, nos corps se mêlerent. Je m'empalais sur lui, doucement, interminablement, je ralentissais ma descente, la reprenais. Cette lente pénétration affolait nos sens. Je m’offrais à son plaisir, à mon plaisir, sensation délicieuse, affolante. Il était en moi, et plus rien ne comptait. Pendant quelques secondes nous restions immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. Je lui souriais, me penchais vers ses lèvres, savourant mes propres sensations comme les siennes. Mes moiteurs intimes enveloppaient son sexe. J'enrobais son mat de mon ventre brûlant. Je me soulèvais un peu et coulissais à nouveau, les yeux à moitié fermés, Je m'agitais, m'empalais un peu plus, sur son sexe qui se tendait et s'allongeait dans mes chairs. Je me frottais, me soulèvais, redescendais, ondulais, pénétrations puissantes. De mes muqueuses, je le suçais, l’aspirais, le tirais, le poussais, m'appliquais, en jouant de son corps pour qu'il puisse mieux venir se perdre au plus profond de moi. Mes seins lourds et mobiles se mirent à ballotter librement sous mon corsage entrouvert. Il les empoigna et les palpa de ses deux mains, puis serra mes deux fesses pour bien se planter au fond de moi. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Je m’empalais maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, le suppliant de jouir vite en moi. Une ultime envolée, nous touchions aux nuages, j'avalais ses cris, mêlés d'agonisantes plaintes, nos corps furent agités par de violents frissons, Nous nous contrôlions plus ... il se lâcha et se rependit, jaillissante osmose, en une vive et abondante apothéose, comme foudroyé au sein du ciel bleu. Je m’effondrais sur lui en le couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relacherent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être. | douce nature (E) Assise sur mon ventre, la poitrine en avant, elle contemple sa prise, elle savoure son oeuvre, satisfaite. Je suis vaincu. Ses seins mobiles devant mon nez, son visage penché sur le mien, ses grands yeux qui me laissent anéant ... |
![]() | étreinte amoureuse (d'après Edmond Haraucourt - Guy de Maupassant - Alfred de Musset)Les deux corps enlacés se fondèrent l'un dans l'autre. Ils se serraient, se tordaient, bondissaient. Les chairs en feu frottaient les chairs, s'électrisaient.Les veines se gonflaient. Les langues acérées cherchaient une morsure entre les dents serrées, des nerfs tendus et fous, des muscles contractés, des élans furieux, des bonds de volupté... Elle se renversa, râlant sous les caresses. Sa poitrine oppressée et dure haletait fortement avec de longs sanglots. Sa joie était brûlante et ses yeux demi-clos, et leurs bouches, et leurs sens, leurs soupirs se mêlèrent. Plus fort ! Plus vite ! Leurs deux corps mélangés se mirent à vibrer au son de leurs soupirs. Ce fut enfin la suprême étreinte, le frison convulsif.... Un cri d'amour monta, si fort que des oiseaux effarés s'envolèrent. Comme une lame de fond amenant la vague ... Il sentirent petit à petit monter la puissante rivière rivière, comme la lave crachée d'un volcan déchaîné… Elle l'aspira fort pour le laisser jaillir sa chaude liqueur, fruit de leur orgasme. Les salves se succèderent irradiant leurs sens. Sous leurs baisers brûlants ils se sentirent défaillir, leurs corps agités d'une série de spasmes. Elle, superbe en son désordre, tombant, les seins nus, béante, se tordant, dans un baiser de rage, et mordant l'oreiller en criant des mots inconnus ! Il étouffa ses sanglots, elle avala ses cris, ils bloquerent dans leurs gorges d'agonisantes plaintes et, leurs corps agités par de violents frissons, ils se laissèrent mourir, foudroyés au sein du firmament... Alanguie, éteinte, elle se pâma en un soupir et fléchit sur ses reins ! Ses yeux chercherent le ciel ; son coeur battait sous ses seins. Son beau corps souple, frêle, et blanc comme la neige, s'arrondissait, s'abandonnait au bras protecteurs de l'amant. Et ils resterent ainsi, confondus, emmêlés, collés, anéantis, du dernier de leurs souffles au plus petit frisson, accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement. Lui, heureux et las, se coucha à son côté. Puis tous deux, lourds, le sein doucement agité, comme s'ils écoutaient de tendres harmonies, rêverent, dans la langueur des voluptés finies. Ainsi que deux forçats rivés aux mêmes fers, un lien les unissait, l'affinité des chairs. | étreinte amoureuse (d'après Edmond Haraucourt - Guy de Maupassant - Alfred de Musset) (E) Les deux corps enlacés se fondèrent l'un dans l'autre. Ils se serraient, se tordaient, bondissaient. Les chairs en feu frottaient les chairs, s'électrisaient.Les veines se gonflaient. Les langues acérées c ... |
![]() | Marthe et PaulMarthe était une violoniste de renom et elle avait déjà soixante-cinq ans quand on la sollicita pour accompagner un groupe de musiciens dans ses déplacements en Belgique et à l’étranger. Avec ses yeux d’un bleu intense et ses cheveux bouclés, courts et blancs, elle charmait tout le monde. Elle ne s’habillait que de noir et de blanc. Du velours en hiver et de la soie en été. Paul, le saxophoniste, en tomba amoureux dès le deuxième concert et il devint son amant. Marthe n’était pas seulement élégante, elle était aussi très sensuelle dans sa façon de parler, de bouger, de regarder l’autre dans les yeux. Jusqu’à présent, elle avait reçu Paul en déshabillé de satin noir, leurs caresses avaient été tendres et enveloppantes, mais elle espérait davantage de leurs rencontres. Elle se sentait pleine de gourmandise pour Paul et souhaitait le voir devenir plus audacieux. Elle craignait qu’il la ménageât comme si, étant plutot menue, elle avait des os de verre. Elle rêva de sous-vêtements ajustés qui mettraient ses formes en valeur. Quand elle entra dans le magasin de lingerie fine, elle eut beaucoup de mal à se faire comprendre. Dès qu’elles la virent, les vendeuses sortirent de leurs tiroirs les habituels dessous, soutiens à balconnets fermés, culottes serrées à la taille, le tout dans des tons fades ou couleur chair. Elle n’osa afficher clairement ses goûts et sortit vexée. Marthe essaya plusieurs ensembles et arrêta son choix sur un des plus sobres, d’un mauve soutenu qui contrastait sans violence avec la blancheur de sa peau. « Il aime les couleurs sombres », pensa-t-elle. Le jour où Paul devait venir, elle enfila ses nouveaux dessous et y ajouta des bas noirs légèrement ajourés. La porte d’entrée de l’appartement était entrouverte, car Marthe attendait toujours son amant au lit. On sonna, ce qui l’étonna, mais ne la fit pas se lever. - Entre mon doux chéri, je t’attends. Paul se déshabilla rapidement et se glissa tout contre elle. Il sentit contre sa peau la soie des sous-vêtements. Soulevant délicatement le drap, il vit combien, malgré son âge, son amante était belle et désirable dans ces presque-rien qui la couvraient à peine. Il l’embrassa sur le visage, sur la bouche puis descendit tout le long de son corps avec des baisers doux et aériens. Elle ronronna et remua son corps avec beaucoup de langueur. Il leva les yeux vers elle. Son regard insistant et malicieux le confondit. - Marthe, j’ai hâte de venir en toi, tu me fais perdre la tête. Il la pénétra avec un vif plaisir. Elle aima le sentir vibrer en elle, s’émut d’être encore si réceptive. Les notes qu’elle chanta exprimèrent tout son bonheur. Chaque semaine, il revint prendre le corps de cette femme dont la tendre passion et l’absence de gêne autorisaient tous les gestes de l’amour. Jamais Paul ne s’était senti autant aimé, autant désirant et désiré que dans cette rencontre singulière. Marthe avait une connaissance du sexe masculin qui le subjugua. Aucune femme ne l’avait auparavant caressé ni aspiré de la sorte, elle pouvait lui donner du plaisir longuement avec ses mains enveloppantes ou sa bouche chaude. Elle le faisait s’approcher de l’extase jusqu’à ce que cela en devienne intolérable et qu’il la supplie de le laisser exploser. Il hurlait alors tant la décharge était longue et puissante. Repu, il se couchait dans ses bras et ils s’endormaient tous les deux, apaisés et heureux. Marthe prit congé du groupe quelques années plus tard, mais les amants continuèrent à se voir longtemps chez elle. | Marthe et Paul (E) Marthe était une violoniste de renom et elle avait déjà soixante-cinq ans quand on la sollicita pour accompagner un groupe de musiciens dans ses déplacements en Belgique et à l’étranger. Avec ... |
![]() | Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kgBlonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette jeune allemande avait des formes à faire bander tout un régiment. J'avais la quarantaine, et elle travaillait dans le quartier Montparnasse. Elle recevait dans un appartement au 15 étage de la tour. Je me suis retrouvé contre elle dans l'ascenseur, elle me collait litteralement. Elle était ronde, elle était chaude, elle avait de belles fesses rebondies contre lesquelles ma queue s'est mis a se lever. Je me suis mis à bander sans détour. Elle se collait encore plus fort contre moi. Passablement excités, à peine installés sur le divan de l'appart que déjà nous nous embrassions à pleines bouches, nos langues emmêlées Affalée sur le sofa, jambes écartées, indécente presque, elle me provoquait: - Est-ce que je t'excite ? Elle fixait mon pantalon, tendu à l'extrême, comme un chapiteau. J'avais chaud. Ma respiration s'accélérait. Elle posa sa main sur mon appareil génital, le jaugea bien mur: - Tes bourses sont pleines ! Elles ont besoin d'être déchargées Je la sentais terriblement excitée. Je l'entendais gémir doucement. Lentement, je lui caressais son ventre. Elle gémissait encore plus. - Je suis chaude ! ... et ouverte ! Profites en ! Je bandais comme un cheval, et déjà elle me pétrissait à pleines mains ma tige. Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents sous son soutien-gorge pret à craquer. J'ai dégagé sa poitrine et j'ai suçé ses tétons roses. La fille, peu farouche, se laissait tripoter. Elle m'a confié qu'elle était si mouillée qu'elle sentait sa culotte collée sur sa peau. Moi je n'avais qu'une hâte, celle de me planter entre ses cuisses. Je me suis retourné vers elle pour l'embrasser avec passion et ... pour me calmer. J'ai posé ma main entre ses cuisses, elle m'a poussé sur le lit Elle est montée sur moi après avoir simplement retiré sa robe. Ses seins étaient toujours à moitié sortis de son soutien-gorge: j'en ai profité pour presser sa poitrine plus dure que jamais, elle était si excitante que mon cœur battait la chamade… Elle s'est alors mise à cheval sur moi, elle a enlevé son soutif et a révélé sa merveilleuse poitrine à mes yeux effarés. Je l'ai léchée de plus belle en bandant comme un ours. Je me suis relevé et j'ai entrepris de la téter. Elle s'est laissée faire un moment, l'instant pour elle d'enlever ma chemise puis elle m'a basculé à nouveau sur le lit. Cette fois-ci elle avait enlevé sa culotte et, accroupie, elle avait les cuisses largement écartée. Et penchée vers l'arrière, elle se tenait sur les mains et faisant aller et venir son bassin sur mon ventre.Tout en frottant sa chatte, elle s'attaquait à ma ceinture et est parvenue à dégrafer mon pantalon. En même temps elle accélérait sans cesse le rythme, Elle grognait, elle était à moitié partie, elle allait venir… Elle n'a d'ailleurs pas tardé. Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Ensuite, elle s'est relevée, elle a enlevé mon pantalon en m'embrassant le bas du ventre et les cuisses. Toujours entre mes jambes, elle a terminé de me déshabiller. Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps… elle m'a renversé et est venue se mettre à cheval sur moi dans une position d'amazone chevauchant son étalon. Avec dextérité elle a fait rentrer ma bite dans son vagin, allant et venant lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté incroyable épousait parfaitement son vagin étroit. Nous étions faits l'un pour l'autre semble-t-il, au moins sur ce plan là… Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait en faisant dans de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait ma bite sauvagement je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, nous désirions tous les deux jouir ainsi et sans retenue. J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle jouisse, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus pour libérer toute ma sève et lui remplir le ventre abondamment, une ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme. En me retirant, ma queue émit un délicieux bruit de siphon. Elle restait là, les cuisses écartées, béante. elle était ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, mais oh combien desirable. Elle relèva la tête, me regarda dans les yeux d'un regard trouble Elle me sentait glisser hors d’elle et ne fit rien pour me retenir. Je me rapprochais de nouveau je posai mon sexe sur le sien, je le poussai ..., le ressortais, ce fut une nouvelle fois le paradis, et je m'y enfonçais doucement, écartant ses chairs rosées, elle poussa un gros soupir quand j'arrivai au fond, je fis durer le plaisir, j'accélèrais, je n'en pouvais plus ! elle jouit soudain Je ne tins plus ! je fusai, je me vidai, je n'en finissais plus de me vider ! Elle rouvrit les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, J'aurais voulu que tout ceci dure un temps infini mais finalement elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes avant que je lui éclabousse la matrice… Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes… | Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg (E) Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette jeune allemande avait des formes à faire bander tout un régiment. J'avais la quarantaine, et elle travaillait dans le quartier Montparnasse. Elle recevait dans un appartement au 15 ét ... |
![]() | J'étais dans un demi-sommeilJ'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans une quasi obscurité Un bruit de froissement de tissu me tira de ma torpeur. Une hotesse de nuit se tenait devant mon lit. Splendide. Une longue robe de nuit a demi-transparente laissant les deux seins pointer sous le fin tissu. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes. Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et se positionna sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers elle. Et se laissa progressivement enfoncer sur mon sexe dressé tel un mat. Elle l'absorba petit à petit en surveillant mes réactions Je le vis disparaître entre ses grandes lèvres. Aspiré, sucé, absorbé, digéré, Il s'enfonçait dans du beurre ! Mon penis était en feu, enrobé de ses sécrétions. Elle se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. Penchée vers moi, avec un sourire gourmand, elle s'empalait en me regardant fixement, ses seins ballottaient et réveillaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, elle soulèvait son bassin puis se laissait redescendre pour mieux me sentir glisser sur ses muqueuses, j'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, elle remuait sur moi, ses sécrétions coulaient sur sur mes bourses. avec un bruit de succion terriblement érotique. Le drap se tachait de nos liquides, ses seins ballottaient et exacerbaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, Je pétrissais ses seins, elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement se mit à vibrer, trembler en une série de spasmes ininterrompus, Elle se déchaîna, ses seins ballotterent de droite à gauche elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, elle jouissait au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Elle jouissait sur mon sexe. Elle excitait mes sens. Elle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en pouvais plus. J'accélèrai ! Elle se crispa. Un dernier coup de rein Je ne me retins plus ! Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme gicla en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs prolongeait sa jouissance. Elle s'écroula en sueur. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! En me retirant, ma queue émit un indécent bruit de siphon Elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur une autre hotesse, blonde cette fois-ci. Elle portait un plateau où se trouvaient, à côté des mets, une carafe d’eau et un verre. Elle me salua, posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien. - Vous avez dormi, il faut vous nourrir ! Elle prit place près de moi et me donna à manger. Son corsage était ouvert sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous sa robe, ses cuisses étaient gainées de bas sombres. - On m’a dit que vous aviez apprécié notre service de nuit. Cette hotesse était aussi sinon plus désirable que la première Je mangeais tout. Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de moi. Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement son corsage, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux. Puis, elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle ne portait pas de culotte. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter. Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu. | J'étais dans un demi-sommeil (E) J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans une quasi obscurité Un bruit de froissement de tissu me tira de ma torpeur. Une hotesse de nuit se tenait devant mon lit. Splendide. Une longue robe de nuit a demi-transparente lai ... |
![]() | Tout s'est passé si viteTout s'est passé si vite, j'étais soûle de vent, même avec les yeux clos, je voyais les étoiles. Je me laissais conduire, m'agrippant à sa taille je retenais mon souffle, nous glissions sur la route. Il racontait ses terres et sa part du monde je ne l'entendais plus, je voyais la buée qui sortait de sa bouche, se detachant du ciel, ses doigts gantés désignaient l'horizon. Il s'est retourné et il m'a embrassé. Sa langue chaude a écarté mes lèvres. Le froid aurait du me figer, mais un feu me ravageait l'intérieur. Je l'ai embrassé, j'ai retiré mes gants et j'ai passé mes doigts sous ses vêtements, sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner. Il m'a devinée ... il a pris son manteau et il m'a allongée. Il m'a pénètrée comme un loup, en hurlant au soleil couchant. Il était en moi, ses mains sur mes seins chauds, et il m'a enfourchée encore mieux qu'une moto, il a mordu mon cou et sa salive s'est glaçée sur ma peau. Je crois que c'est là, quand nos regards se sont croisés, que j'ai tout attrapé, l'amour, l'orgasme et la fièvre. Il a crié et j'ai vibré, sa chaleur dans mon ventre, mon cou gelé, sa semence qui s'éjectait en moi, et ce fut bon, oui, si bon de me sentir si petite dans cet univers infiniment grand. (Dominique Chénier) | Tout s'est passé si vite (E) Tout s'est passé si vite, j'étais soûle de vent, même avec les yeux clos, je voyais les étoiles. Je me laissais conduire, m'agrippant à sa taille je retenais mon souffle, nous glissions sur la route. ... |
![]() | Nos regards se sont télescopés. Explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent, reciproque, qui traversait l'espace de ce bureau desormais vide. il n'y avait plus personne, il y avait deux corps, deux regards... Temps suspendu... Ses yeux projettaient plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Eclat impudique de sensualité... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, le faire succomber, me faire plus séduisante encore... Il me provoquait avec un art consommé de gestes discrets, divinement sensuels et son regard mouillé.. Il s'est approché un peu plus. Il m'a abordée. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, mon parfum de femme, et sa voix, délicatement posée. Son regard s'est planté dans mes yeux. Attirance quasi magnétique de deux corps qui se désirent, qui se rapprochent, irrésistiblement. Ma respiration s'est précipitée.... Son souffle m'appellait. Mon corps tout entier le réclamait. Nos lèvres se sont touchées, et enfin, se sont rejointes. Nos langues se sont mêlées. un feu me ravageait l'intérieur. Puis, j'ai passé mes mains sous ses vêtements, sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner. Il m'a devinée ... Il m'a emmenée chez lui, et dans la chaleur de ses draps je me suis donnée à lui. Il est venu en moi, ses mains sur mes seins chauds, nos deux corps confondus l'un dans l'autre. Et il m'a aimée. Il a crié et j'ai vibré, sa chaleur dans mon ventre, sa semence qui s'éjectait en moi, et ce fut bon, oui, si bon de me sentir si petite dans cet univers infiniment grand. Je crois que c'est là, quand nos regards se sont croisés, que j'ai tout attrapé, l'amour, l'orgasme et la fièvre. (Dominique Chénier) | (E) Nos regards se sont télescopés. Explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent, reciproque, qui traversait l'espace de ce bureau desormais vide. il n'y avait plus personne, il y avait deux corps, deux regard ... |
![]() | Ainsi soudé à elle, je la serrai contre moi. Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées et nos souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus que nos soupirs, nos halètements et des bruits mouillés de lèvres qui se séparent pour s'unir à nouveau. Nos regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. Ma cuisse se mit à comprimer davantage sa vulve. Mes lèvres se remirent à dévorer les siennes, alors que mon autre main s'accaparait de sa poitrine. Malaxant les deux mamelles l'une aprés l'autre. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. Je posais fébrilement ma joue contre la sienne pour murmurer à son oreille : - Je ... j'ai envie de toi ... Elle s'aggripa encore plus fortement à moi. - Oui, Viens, viens vite ! D'un geste discret et rapide, elle écarta sa culotte mouillée et amena mon mat à l'entrée de son sexe trempé. Ondulant du bassin, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes et commença à le faire tourner autour de ses lèvres vaginales. Elle promenait l'extrémité de mon sexe sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. C'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, s'accrochant à mes épaules, elle me souffla à l'oreille : - Maintenant ! Viens ! Je propulsais alors mon bassin vers l'avant, enfonçant du meme coup mon sexe dans le fourreau ardent. Elle s'aggripa plus étroitement à moi, murmurant ses encouragements à mon oreille en me caressant amoureusement les cheveux. La pénétration ample de mon membre la comblait, c'était un véritable envahissement. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la penetration se fit facilement. Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule et me souffla à nouveau : - entre encore, Je t'en prie, enfonces-toi en moi. Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, mes tendres caresses dans ses cheveux, il se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Une nouvelle penetration plus ample me déclencha un orgasme qui me tétanisa. Je lui mordis l'épaule pour ne pas hurler. Il continuait ses mouvements ondulatoires accélérant sa cadence amplifiant ainsi ma jouissance. Je m'aggripai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. contractant mes muscles internes pour enserrer sa colonne de chair. Le contact de mon bas soyeux l'électrisait. Ma pression emprisonnant son gland fut le signal. Il banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se ruait au plus profond de mon ventre, hurlant ses rales d'effort à chaque violente poussée. Je n'en pouvais plus, mon sexe était investi, envahi. Mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur son pieu. Je fus térassée par une série d'orgasmes en continu. Je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, ralais mes orgasmes. Je sentis l'imminence de l'eruption. Il accéléra la force de ses coups de butoir dans mon ventre brûlant, concentrant sa semence dans ses bourses pleines, la faisant remonter le long de la hampe de son sexe tendu, explosant enfin par son gland congestionné. Le jet puissant inonda le point le plus profond de mon vagin. C'était un volcan, un flot bouillonant de lave en fusion. A bout de souffle, il enfouit ma tête dans son cou, m'assenant ses dernieres giclées pour m'exprimer sa gratitude. Nous recherchions notre respiration. Il continuait de coulisser doucement dans mon ventre. Je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder son dard planté en moi. Les dernières caresses de son sexe d'acier me comblait de bonheur. Je carressais doucement ses cheveux et sa nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte puis je le repoussai doucement et le fixai dans les yeux, Son sexe glissa doucement en dehors de sa gaine soyeuse, liberant un flot de secretions amoureuses. | (E) Ainsi soudé à elle, je la serrai contre moi. Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées et nos souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus que nos soupirs, nos halète ... |
![]() | Avec impudeur, et sans doute pour donner un spectacle plus complet, les tendres amies rejetèrent loin d’elles les couvertures. Une petite lampe brûlait dans un coin de la pièce, jetant une lumière rose sur les corps étendus. Cette chair blanche et délicate, ces mouvements au rythme mélodieux, ces belles gorges pâmées évoquaient les plus beaux poèmes de la Grèce antique. Mais j’étais loin de les admirer. Je dus m’avouer à moi-même que j’étais folle de jalousie. Les deux femmes haletaient, frénétiquement livrées l’une à l’autre. Doucement, Sergine glissa le long du corps de son amie pâmée ; sa tête blonde promena sur les jeunes cuisses la caresse de leurs boucles soyeuses, puis elle se fixa, comme happée au creux des cuisses, par le triangle sombre des voluptés. Sous le baiser précis, la jeune inconnue se raidit, et des hurlements de plaisir s’échappèrent en houles de sa gorge. Elle noua ses longues jambes fines autour du corps de son amie, et fondit bientôt dans le plaisir suprême, les seins agités de longs tressaillements. | (E) Avec impudeur, et sans doute pour donner un spectacle plus complet, les tendres amies rejetèrent loin d’elles les couvertures. Une petite lampe brûlait dans un coin de la pièce, jetant une lumière rose sur l ... |
![]() | animalitéNotre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, déjà irradiés de joies intimes. Nos vetements s'éparpillerent rapidement dans la pièce, et ce fut les premiers contacts entre nos peaux fievreuses. Premières chaleurs de nos muqueuses. Nos visages se rapprocherent. nos lèvres s'écraserent l'une contre l'autre, nos langues se nouerent. Frémissements. Elle s'ouvrit à moi et naturellement, je glissai dans son ventre, ses yeux se fermerent, son corps s'ouvrit. Elle m'absorba au fond d'elle. Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. Elle se masturbait allègrement sur moi en surveillant mes réactions. Je la regardais jouir, Ces pénétrations affolaient nos sens. Je la sentais empalée, toute entière autour de mon mat, l'enveloppant,comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. Elle me sentait l'envahir. Elle s’abandonna, je voyageai en elle. Je m'enfoncai dans son ventre, profondément, goutant ses succions intimes. Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle s'abandonnait, cèdait à la volupté, ne cherchait plus à se contrôler. Elle s'offrait à mon corps, à nos sens ! | animalité (E) Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, ... |
![]() | Chaleurs du soirChaleurs du soir, chaleur de toi. Je te respire. Tu m'accueilles. Je m’enfonce en toi. Tu me reçois. Je glisse dans ton ventre. Tu suces mon membre, Je te sens, tu t’abandonnes. Tu es liquide, légèreté. Je sens la chaleur humide de ton plaisir, l’envie de moi, le désir de toi. Tantôt dessus, tantôt dessous, goût du vertige, je voyage en toi. Je m'enfonce dans ton ventre, profondément, je voyage en toi. je goute tes succions. Mes muscles se tendent. Je raidis, je me retiens… Je suis tendu D’un souffle je vide ma joie en toi. Tu t’immerges dans mes sens sans égard pour mon désir. Tu hésites. Je ressens. Tu t’interroges. Je refais sans cesse ces secondes. Cela te trouble, te gêne. Cela m’envahit. Nos temps se séparent. | Chaleurs du soir (E) Chaleurs du soir, chaleur de toi. Je te respire. Tu m'accueilles. Je m’enfonce en toi. Tu me reçois. Je glisse dans ton ventre. Tu suces mon membre, Je te sens, tu t’abandonnes. Tu es liquide, légèreté ... |
![]() | Tout juste une douce caresseTout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper mon sexe. Les lèvres s'entrouvent un peu plus et engloutissent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupe de la réalité, sa langue onctueuse entoure et lisse mon gland avec insistance, en mouvements circulaires, elle s’enroule autour de ma verge. Elle lèche mon vit de tes lèvres gourmandes. Elle caresse mes bourses lentement, sa langue est douce comme l’eau, crue comme une bouchère, rouge comme un gigot. Mon vit sanglote de salive. Mes yeux rivés au plafond, je sens mon sexe gonflé s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond. Tout tourne autour de moi. Une douce chaleur humide et moite envahit mon bas ventre. Elle me suce plus profondément en accélérant la cadence. Mon sexe me brûle comme si j’allais me liberer tout seul. Je ne peux bientôt plus me contrôler, la pression est trop forte et je me répands aussitot dans sa bouche. Elle me léche alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, elle nettoie mon gland de la dernière goutte. Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts ma virile raideur. Ses mains tout en douceur, et d'une fraîcheur surprenante. Ce massage divin eut des conséquences: je libérais peu à peu du liquide pré séminal, Elle continua son massage quelque temps en fixant intensément mon sexe, gonflé comme jamais. Penchée vers mon penis qu'elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait. Elle posa ses lèvres sur mon gland, Puis elle l'engloutit jusqu'à la base tout en me regardant fixement. Je sentis alors sa langue s'activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de sang. Elle allait et venait avec sa bouche pendant que sa main me caressait les bourses. Je portais ma main sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains. Mes doigts avaient repoussé la fine culotte, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s'ouvrait. La situation l'avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, Je sentis ses globes fessiers se contracter. Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer, Je sentais ma sève monter progressivement. Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son œuvre. Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d'une femme. Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper. Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l'instant. | Tout juste une douce caresse (E) Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper mon sexe. Les lèvres s'entrouvent un peu plus et engloutissent progressivement mon gland. Une impression d ... |
![]() | dans un recoin du murImpatient et pressé, Il m'avait prise dans un recoin du mur de la chambre. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé rapidement ma robe, ma lingerie, avait ouvert son pantalon et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l’accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir. Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, lorsqu'il s'est ravisé, il s'est rapproché, et m'a pénétrée de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui | dans un recoin du mur (E) Impatient et pressé, Il m'avait prise dans un recoin du mur de la chambre. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé rapidement ma robe, ma lingerie, avait ouvert son pantalon et je l'ai senti me p ... |
![]() | elle avait choisi son endroitLa première fois où je l'ai vue, elle avait choisi son endroit pour exercer sa belle vertu à l'égard des gens de droit, c'était la première fois, je m'y prenais comme un grand maladroit. Elle m'accueillit avec force de voix, elle prit la chose en main, je ne refusai pas. elle me prit par le bras, je n'avais plus le choix. Elle me demanda de lui dire un grand oui à haute voix. C'était une remise dérobée, elle voulait le meilleur de moi. Elle m'offrit un baiser Je n'avais plus du tout froid et dans un grand silence Elle me dit : je suis à toi zoran.tempete Dans l'encadrement d'une porte, cette femme ... aguicheuse ... en tenue légère, la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris. - Bonjour ! ... Rentrez donc ! Entrez ! et fermez la porte ! Elle me sourit étrangement, me fixe un bon moment et me déclare tout de go: - Je suis sûr que vous vous demandez si vous allez pouvoir me baiser ? Je ne trouve pas mes mots. - Ai-je tord ? Vous etes inquiet, il me semble. - Votre voix n’est plus aussi sûre que tout à l’heure. Je ne peux plus articuler (ma défaite), - J’ai des seins qui vous plaisent ? J’aime sentir qu’on me pénètre, - j’aime qu’un sexe d’homme s’empare de mon ventre. Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, - Nous allons baiser ! Maintenant ! Le voulez-vous ? Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Je suis subjugué que tout soit si simple. - Vous me désirez car je suis belle. Elle commence à me déshabiller, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. - Mais ... Tu bandes ! ... comme un cheval ! Tu m'excites ! Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. je la fouille. Elle me regarde tendrement, pose un préservatif sur mon sexe. - Tu veux toujours ? Elle me darde du regard puis s'allonge sur le lit - Viens ! J'ai envie de toi ! Pénètre moi ! ... Fort ! Violemment ! - Je veux te sentir dans mon ventre ... Je te veux en moi. Viens. Je me penche vers elle. Elle dirige mon sexe. je m'enfonce, je me perd en elle ! Un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat, ma verge fouille son ventre, se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend en elle. Elle me tient profondément serré en elle. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous lançons des mots sans suite juste pour apaiser le silence de notre jouissance. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont gourmands. Elle sourit. Nous nous balançons l’un en l’autre, nous puisons tous les instants. Elle avale mon sexe et joue de ma résistance. Je vais éclater en elle. Elle me regarde me dit - Jouis ! vite ! ... Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs. Je sens chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. elle me serre et me dévore. Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monte. Un frisson. Elle le sent, m’enfonce en elle loin très loin. Je me rapetisse. Le trait m’échappe .... Je lache tout. J'ouvre les vannes. je me libère .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçoit mon offrande liquide Elle me suçe, je me vide au fin fond de son ventre. Elle suce tout, ne gâche, ne perd rien. C’est insoutenable. Elle me prend par la hampe et frotte contre ses lèvres mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle avale presque tout mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. ... C'était un soir d'été | elle avait choisi son endroit (E) La première fois où je l'ai vue, elle avait choisi son endroit pour exercer sa belle vertu à l'égard des gens de droit, c'était la première fois, je m'y prenais comme un grand maladroit. Elle m'accu ... |
![]() | Je ne suis plus qu’une femme, qui sent naître en elle son seul bien, sa seule force, qui vibre sous la force irradiante de l’éclosion de sa chair. Enivrée solitaire, je me plonge nue dans mes draps. Je me laisse doucement posséder par cette caresse née de mon imagination, et je pense. Doucement, ma main descend sous les draps, cherchant entre mes cuisses crispées le point d’apaisement. Et bientôt le silence de la chambre n’est plus troublé que par mon souffle pressé, et par un doux gémissement qui s’échappe de mes lèvres entr’ouvertes, comme pour appeler l’impossible rêve, et l’absorber dans le délire de ma chair. | (E) Je ne suis plus qu’une femme, qui sent naître en elle son seul bien, sa seule force, qui vibre sous la force irradiante de l’éclosion de sa chair. Enivrée solitaire, je me plonge nue dans mes draps. Je me lai ... |
![]() | Adam et Eve (Edmond Haraucourt)Adam glissa sous la femme une main caressante...Eve bondit, l'oeil clos, la croupe frémissante, Les seins tendus, les poings crispés dans ses cheveux. Tout son être frémit d'un long frisson nerveux, soupirant des "Encore !" Elle entr'ouvrit ses deux cuisses cambrées, et omme il croisait ses mains sous deux épaules blanches, Adam sentit deux pieds se croiser sur ses hanches. Leurs membres innocents s'enlaçaient, s'emmêlaient. S'ils avaient pu savoir, au moins, ce qu'ils voulaient ! Alors, presque sans le comprendre, Tous deux en même temps, d'une voix faible et tendre, s'avouerent leur amour. Et le premier baiser vint, en papillonnant, se poser sur leurs lèvres unies. Puis, comme le serpent, Adam s'élanca, recula, avanca; à la recherche d'un trou, un asile où faire jaillir sa sève bouillonante. Il chercha, il trouva enfin, Il entra et ne sortit plus. Adam avait trouvé ! Un cri, puis des soupirs : l'homme avait compris la femme. Les deux corps enlacés semblaient n'avoir qu'une âme. Ils se serraient, ils se tordaient, ils bondissaient. Les chairs en feu frottaient les chairs, s'électrisaient. Les veines se gonflaient. Les langues acérées cherchaient une morsure entre les dents serées, Des nerfs tendus et fous, des muscles contractés, Des élans furieux, des bonds de voluptés... Plus fort ! Plus vite ! Enfin, c'est la suprême étreinte, Le frisson convulsif... Eve, alanguie, éteinte, Se pâme en un soupir et fléchit sur ses reins ;Ses yeux cherchent le ciel ; son coeur bat sous ses seins. Son beau corps souple, frêle, et blanc comme la neige, S'arrondit, s'abandonne au bras qui la protège. Adam, heureux et las, se couche à son côté. Puis, tous deux, lourds, le sein doucement agité Comme s'ils écoutaient de tendres harmonies, Rêvent, dans la langueur des voluptés finies. Mais Eve : "Dieu, vois-tu, ne fait rien sans raison, Dieu fait bien ce qu'il fait... Viens là ! Recommençons..." Edmond Haraucourt | Adam et Eve (Edmond Haraucourt) (E) Adam glissa sous la femme une main caressante...Eve bondit, l'oeil clos, la croupe frémissante, Les seins tendus, les poings crispés dans ses cheveux. Tout son être frémit d'un long frisson nerveux, soupirant des ... |
![]() | elle me regarde, avec insistance. Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité, des poitrines généreuses. Elle me fixe, intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, son corsage est largement ouvert, baillant sur ses fortes poitrines, ses seins tremblent doucement sous mes yeux, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. J'ai chaud. je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Elle me trouble Elle caresse ses seins, elle me provoque. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. - J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire ! ... Elle s'approche, tend ses lèvres qui rejoignent les miennes. Le baiser est intense, profond, sa langue cherche la mienne, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre une de ses mains s'attaque aux boutons de ma chemise ... aux crans de ma ceinture puis elle caresse mon ventre, glisse sa main plus bas ! Elle sent ce que je n'arrive plus à cacher ... et me lance un sourire gourmand ! - Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire ! Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. elle passe sa main derriere ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, Elle m'excite terriblement, je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa robe tombe, dévoilant une douce combinaison de soie noire. Elle me déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement.Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle me regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur son ventre, malaxant mes testicules. Elle plonge alors son regard dans mes yeux, - vous venez ? Je m'execute aussitôt. Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser, - Vite ! Allez-y ! Donnez moi tout ! ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de gémissements et de spasmes. Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, et ... je decharge ma sève chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. - Vous avez été magnifique ! ! Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives - Restez avec moi ce soir ! Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi. Dans l'encadrement d'une porte, cette femme ... aguicheuse ... en tenue légère, la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris. - Bonjour ! ... Rentrez donc ! Entrez ! et fermez la porte ! Elle me sourit étrangement, me fixe un bon moment et me déclare tout de go: - Je suis sûr que vous vous demandez si vous allez pouvoir me baiser ? Je ne trouve pas mes mots. - Ai-je tord ? Vous etes inquiet, il me semble. - Votre voix n’est plus aussi sûre que tout à l’heure. Je ne peux plus articuler (ma défaite), - J’ai des seins qui vous plaisent ? J’aime sentir qu’on me pénètre, - j’aime qu’un sexe d’homme s’empare de mon ventre. Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, - Nous allons baiser ! Maintenant ! Le voulez-vous ? Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Je suis subjugué que tout soit si simple. - Vous me désirez car je suis belle. Elle commence à me déshabiller, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. - Mais ... Tu bandes ! ... comme un cheval ! Tu m'excites ! Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. je la fouille. Elle me regarde tendrement, pose un préservatif sur mon sexe. - Tu veux toujours ? Elle me darde du regard puis s'allonge sur le lit - Viens ! J'ai envie de toi ! Pénètre moi ! ... Fort ! Violemment ! - Je veux te sentir dans mon ventre ... Je te veux en moi. Viens. Je me penche vers elle. Elle dirige mon sexe. je m'enfonce, je me perd en elle ! Un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat, ma verge fouille son ventre, se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend en elle. Elle me tient profondément serré en elle. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous lançons des mots sans suite juste pour apaiser le silence de notre jouissance. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont gourmands. Elle sourit. Nous nous balançons l’un en l’autre, nous puisons tous les instants. Elle avale mon sexe et joue de ma résistance. Je vais éclater en elle. Elle me regarde me dit - Jouis ! vite ! ... Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs. Je sens chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. elle me serre et me dévore. Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monte. Un frisson. Elle le sent, m’enfonce en elle loin très loin. Je me rapetisse. Le trait m’échappe .... Je lache tout. J'ouvre les vannes. je me libère .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçoit mon offrande liquide Elle me suçe, je me vide au fin fond de son ventre. Elle suce tout, ne gâche, ne perd rien. C’est insoutenable. Elle me prend par la hampe et frotte contre ses lèvres mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle avale presque tout mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. ... C'était un soir d'été | (E) elle me regarde, avec insistance. Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité, des poitrines généreuses. Elle me fixe, intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est v ... |
![]() | appétits secrets de désirs convoitésJe considérais autour de moi ces femmes qui vivaient dans leur corps les appétits secrets de désirs convoités. j’essayais de deviner leurs corps, leurs dessous. Je me croyais transparent, effacé du monde. je laissais libre cours à mon imagination, à mes fantasmes et profitais sans limite de ces frôlements, de ces rencontres fortuites. C'est alors que je la vis, avec sa robe blanche, dans la chaleur de l’été. Ses formes étaient rondes, rebondies, et terriblement désirables. C’est elle qui m'a regardé en premier je crois et a trouvé des prétextes pour que je me rapproche. Je sentais déjà sa chaleur. J’imaginais la fermeté de ses cuisses. J’imaginais l’onctuosité insoutenable de son envie. J’imaginais sans vraiment me rendre compte qu’elle me regardait. Je n'ai réalisé qu’après avoir senti la chaleur de sa présence, son regard amusé, sa main relever ma tête, ses doigts passer dans mes cheveux, son corps frotter mon ventre, son genou serrer mon entrejambe, ses lèvres frotter les miennes, sa langue chercher la mienne. J’imaginais encore quand elle crut bon de me murmurer, - Mais ... où êtes-vous ? .... Est-ce que j'embrasse un rêve ? Je ne l’imaginais plus. Elle était contre moi et s’enroulait maintenant contre mon corps. Je compris que ses petits gémissements de contentement formaient un appel à plus d’impudeur. - Nous ne pouvons rester ici ! Venez avec moi, ne dites rien ... et surtout ... bandez ! - J’ai envie de vous savoir bandant quand vous êtes près de moi ! - Je vous fais peur ? - Venez ! Allons chez moi ! | appétits secrets de désirs convoités (E) Je considérais autour de moi ces femmes qui vivaient dans leur corps les appétits secrets de désirs convoités. j’essayais de deviner leurs corps, leurs dessous. Je me croyais transparent, effacé du m ... |
![]() | Est-ce que je t'exciteAffalée sur le sofa, jambes écartées, indécente presque, elle me provoque: - Est-ce que je t'excite ? Elle fixe mon pantalon, tendu à l'extrême, comme un chapiteau. J'ai chaud. Ma respiration s'accélére. Elle ne lache pas des yeux mon appareil génital - Tes bourses sont pleines ! Elles ont besoin d'être déchargées Je la sens terriblement excitée. Je l'entends gémir doucement. Elle se caresse le ventre. Elle gémit. - Je suis chaude ! ... et ouverte ! J'ai encore faim ! Tu viens ? Je reviens vers elle, je sors mon appareil, je promene mon gland sur sa vulve trempée. Lentement, je sens ma queue aspirée entre ses grandes lèvres. - Tu aimes ? C'est doux et chaud, tu ne trouves pas ? Je commençe à faire glisser ma verge en elle. je saisis ses seins, je les palpe, les masse. elle s'abandonne à mes attouchements. je sens son vagin qui se contracte autour de mon penis, en émettant un bruit de succion terriblement érotique. Son vagin dégouline sur mes bourses. Le lit est taché de nos sécrétions. ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en peux plus. Elle m'offre la vue de son corps couvert de sueur jouant de cette queue douce et chaude qui la fouille dans son intimité la plus profonde et lui arrache de petits cris. Je pétris ses seins et je la bourre de plus en plus puissamment. Un dernier coup de rein, je n'en peux plus Je me plante au plus profond d'elle et .... je gicle en elle ma semence. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles provoque de nouveau sa jouissance. Elle s'affaisse en sueur. En me retirant, ma queue émet un bruit de siphon qui nous fait rire tous les deux. Elle reste là, les cuisses écartées, béante, ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, mais oh combien desirable. Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d'un regard trouble. Elle m'a senti glisser hors d’elle et n'a rien fait rien pour me retenir. Je me rapproche de nouveau, je pose mon sexe sur le sien, je le pousse ... un peu, le ressort, c'est le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs rosées, elle pousse un gros soupir quand j'arrive au fond, je fais durer le plaisir, j'accélère, je n'en peux plus ! elle jouit soudain Je ne tiens plus ! je fuse, je me vide, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, | Est-ce que je t'excite (E) Affalée sur le sofa, jambes écartées, indécente presque, elle me provoque: - Est-ce que je t'excite ? Elle fixe mon pantalon, tendu à l'extrême, comme un chapiteau. J'ai chaud. Ma respiration ... |
![]() | elle était étendue sur son lit, ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, Elle relèva la tête vers moi, me regarda dans les yeux d'un regard trouble Je m'approchais, je posais mon sexe sur le sien, je le poussais un peu, le ressortais, ce fut le paradis, et je m'y enfoncais doucement, écartant ses chairs rosées, elle poussa un gros soupir quand j'arrivais au fond, je fis durer le plaisir, j'accélèrais, je n'en pouvais plus, elle jouit soudain et au dernier moment, je fusais, je me vidais, je n'en finissais plus de me vider ! Elle rouvrit les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, je me plaquais sur elle, écrasant nos deux corps | (E) elle était étendue sur son lit, ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, Elle relèva la tête vers moi, me regarda dans les yeux d'un regard trouble Je m'approchais, je posais mon sexe sur le ... |
![]() | Dans un véritable feu d'artifice, il déchargea sa semence à longs traits dans ma vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond de mon ventre. Je me laissais emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de mon jeune amant. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés, le laissant lui aussi totalement vidé et anéanti. Haletants, comme deux amants insatiables, nous restames ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer à mes cotés le corps de mon jeune amant, devenu trop lourd, libérant ainsi mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement | (E) Dans un véritable feu d'artifice, il déchargea sa semence à longs traits dans ma vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial ... |
![]() | Son corps inondé de sueur luit sous la lumière. Elle s’empale maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, me supplie de jouir vite dans son ventre. Une ultime envolée, nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes nos corps sont agités par de violents frissons, Je ne me contrôle plus ... je lache et me repends au fond de son vagin, nous mourons foudroyés au sein du firmament... Elle s’effondre sur moi en me couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relachent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être. | (E) Son corps inondé de sueur luit sous la lumière. Elle s’empale maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, me supplie de jouir vite dans son ventre. Une ultime envolée, nous bloquons dan ... |
![]() | Julien était curieux de toutJulien était curieux de tout et en particulier du fonctionnement des rapports amoureux. Plusieurs fois il m'interrogeait sur les femmes, l'amour, le désir. Je lui disais qu'à l'occasion je lui expliquerai un certain nombre de choses à savoir. Il n'aura pas attendu très longtemps. Ce soir là, j'étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque Julien a frappé à la porte. Il voulait apprendre, savoir, découvrir comment nait le désir. Il est venu dans mes bras, sa tete sur mon épaule, touchée par ce geste de confiance, j'ai tenté de lui expliquer, par les mots d'abord. Il était vraiment blotti tout contre moi. Je me suis rendu compte qu'entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie et que ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. Il ne pouvait ignorer que j'étais nue en dessous de ma chemise de nuit. J'ai alors senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. Il bandait sans complexe et j'ai réalisé que j'en étais la cause. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il s'est agrippé à moi. Il se rendait compte de ce qui se passait dans son corps, j'ai alors tenté de lui expliquer. il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux seins bien ronds, à peine affaisés sous la dentelle, qu'il commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon dos. J'avais le vertige. Il s'est retrouve à hauteur de ma bouche. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mon cou, puis sur mes joues, puis à la naissance de mes lèvres. Il m'affolait litteralement. N'y tenant plus, j'ai alors posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord. Puis nous nous sommes embrassé de manière plus appuyée. J'ai introduit doucement ma langue entre ses lèvres. Il a introduit la sienne, Il s'abandonnait à mon baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma chemise de nuit. Il me serrait contre lui. J'étais en train d'accepter de tout partager. Nos corps se sont rapproché et se sont déchainé d'une intense passion. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits, mais il me fixa d'un regard suppliant. J'eu alors une intense envie de me laisser aller à mon attirance violente pour ce jeune corps. Je décidais de l'emmener avec moi. Je l'entraînais sur mon lit. Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé mon corps ... Je l'ai caressé tendrement, puis, le sentant prêt, je l'ai guidé vers moi. Il s'est positionne sur moi, et je me suis offerte à lui. J'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. Il a alors entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir et qu'il jouisse avec moi. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. Je lui demandais d'accélérer. Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se ruait au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau. Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle. | Julien était curieux de tout (E) Julien était curieux de tout et en particulier du fonctionnement des rapports amoureux. Plusieurs fois il m'interrogeait sur les femmes, l'amour, le désir. Je lui disais qu'à l'occasion je lui expliquerai un certain nom ... |
![]() | le mepris (Jean-Luc Godard)- Tu vois mes pieds dans la glace ? - Oui - Tu les trouves jolis ? - Oui, très. - Et mes chevilles, tu les aimes ? - Oui. - Tu les aimes mes genoux aussi ? - Oui, j'aime beaucoup tes genoux. - Et mes cuisses ? - Aussi ! - Tu vois mon derrière dans la glace ? - Oui. - Tu les trouves jolies, mes fesses ? - Oui, très ! (...) - Et mes seins, tu les aimes ? - Oui, énormément. - Doucement, pas si fort. - Pardon ! - Qu'est-ce que tu préfères, mes seins ou la pointe de mes seins ? - Je sais pas; c'est pareil. - Et mes épaules, tu les aimes ? - Oui. - Je trouve qu'elles sont pas assez rondes. - Et mes bras ? Et mon visage ? - Aussi ! - Tout ? - Ma bouche, mes yeux, mon nez, mes oreilles ? - Oui, tout ! - Donc, tu m'aimes totalement ? - Oui, je t'aime totalement, tendrement, tragiquement. - Moi aussi, Paul. Brigitte Bardot (Camille) à Michel Piccoli (Paul) dans Le mépris de Jean-Luc Godard (1963) | le mepris (Jean-Luc Godard) (E) - Tu vois mes pieds dans la glace ? - Oui - Tu les trouves jolis ? - Oui, très. - Et mes chevilles, tu les aimes ? - Oui. - Tu les aimes mes genoux aussi ? - Oui, j'aime beaucoup tes genoux. - Et mes c ... |
![]() | geisha et maikosUn pan du rideau s'est écarté discrètement sur le visage de ma geisha. une chair blanche aux formes douces, d'une rondeur fragile, Délicatement, elle s'approche de moi, puis, elle parcourt mon corps de ses doigts fins et graciles en s'attardant aux parties plus sensibles. Elle s'y appuie plus longuement. Mes sens s'agitent. Deux jeunes maikos qui étaient discrètement silencieuses, dans l'un des coins de la piece, se rapprochent avec grâce, par petits pas saccadés. L'une d'elle se rapproche doucement, et, avec des gestes délicats, me libère de mon kimono. Ma compagne geisha est impassible, les yeux légèrement baissés, elle n'a pas bougé. L'autre s'approche de ma compagne, et elle commence à la dévêtir, Le lent et compliqué rituel qui se déroule devant moi exacerbe mes pulsions sexuelles. je perçois, ici et là, des parcelles de chair d'une blancheur exquise. Le premier kimono aux motifs fleuris s'ouvre sur un second kimono. La chair blanche de ma somptueuse toyu se dévoile lentement. Ma respiration s'arrête. Les seins laiteux se dévoilent, et toute cette chair ronde et blanche qui s'étale maintenant, jusqu'à l'étroite et longue déchirure du vagin, une chair lisse et luisante, parcimonieusement épilée. Elle n'a pas bougé. La jeune maiko s'attaque maintenant, à l'étrange coiffure de ma kan-geiko. la longue et noire crinière de ma kan-geiko vient s'étaler sur ses chairs blanches, en de multiples filaments effarouchés. La jolie maiko a laissé tomber son yukata fleuri, dévoilant en entier son corps de fillette, elle vient glisser sournoisement dans mon dos, où elle s'incruste avec passion. La pression de sa chair chaude exacerbe mes sens, elle s'intensifie, les pointes de ses seins s'incrustent plus profondément dans mes chairs. Je regarde en face de moi les chairs appétissantes de ma tendre geisha, elle a bougé légèrement, ses yeux se sont relevés. Mon sexe se gonfle. Les mains de ma kan-geiko glissent jusqu'à mon tronc, s'y appuient légèrement, faisant basculer mon corps dans le vide, je viens m'affaler doucement sur le corps de la jeune et gracile maiko, lascivement déployé sur le tatami. Je sens parfaitement la structure de ce corps trop fragile s'encastrer dans mon dos, ses petits seins rigides transpercer mes omoplates, mes fesses viennent reposer avec impudence dans l'étroite et chaude vallée formée par la fissure, qui marque la rencontre de ses jambes fluettes, celles-ci se sont volontairement déployées et encerclent maintenant mes jambes en une étreinte énergique. Pendant ce temps, ma kan-geiko s'est elle aussi discrètement glissée sur mon ventre; elle s'y incruste habilement, déployant ses membres autour de mon corps, rejoignant les membres de la jeune maiko pour former ainsi une enveloppe compacte et inexpugnable, Mon corps s'agite. Les chairs chaudes qui m'enrobent se resserrent, s'échauffent, et s'agitent au rythme des palpitations de mon corps. Le sang coure dans mes veines qui se gonflent jusqu'au paroxysme frisant l'éclatement. Elle est là, immobile devant moi, ses yeux fixent mon pénis au bord de l'éclatement, elle se penche sur moi et elle engouffre doucement mon pénis entre ses lèvres hermétiquement closes. Je sens ses lèvres glisser le long de mon sexe, en exerçant une forte pression, mon sexe se gonfle de sang, il est au bord de l'éclatement, il plonge, pénètre plus profondément, puis elle resserre et desserre l'étreinte, jusqu'à l'expulsion de mon visqueux sperme dans le liquide encore tout chaud, qui gonfle la gorge de ma kan-geiko, chaud élixir qu'elle ingurgite avec passion. C'est ainsi que j'ai atteint le wao-kei-sei-jaku, la suprême harmonie, | geisha et maikos (E) Un pan du rideau s'est écarté discrètement sur le visage de ma geisha. une chair blanche aux formes douces, d'une rondeur fragile, Délicatement, elle s'approche de moi, puis, elle parcourt mon corps de ses doigts ... |
![]() | des poses suggestives et tendrement lascivesElle nous provoquait de ses deux seins dressés saillant sous leur soutien tout comme des trésors Ses poses suggestives et tendrement lascives rehaussaient ses atours invitant à l’amour Et son pas balancé qui nous faisait tanguer usait de l’allumette de son casse-noisette Son regard aguicheur embrasait nos ardeurs quand de sa voix enjouée elle nous apostrophait Puis elle nous emmenait dans un coin en retrait commencer sans complexe une partie de sexe Jean-Claude | des poses suggestives et tendrement lascives (E) Elle nous provoquait de ses deux seins dressés saillant sous leur soutien tout comme des trésors Ses poses suggestives et tendrement lascives rehaussaient ses atours invitant à l’amour Et son pas b ... |
![]() | le vieux LothLe vieux Loth ronflait au fond de sa caverne ; Assises à côté d'une pâle lanterne, Ses deux filles en pleurs se rappelaient tout bas Les plaisirs de Sodome et ne s'endormaient pas. L'aînée avait vingt ans, une figure altière, L'œil bleu et des cheveux rejetés en arrière, Des trésors sous sa robe et des doigts exercés... La plus jeune était blonde, avait seize ans passés, Des fruits s'arrondissaient sur sa blanche poitrine Et son poil frissonnait où l'esprit le devine ; Les yeux pleins de langueur et de timidité Cachaient sous leurs cils d'or l'ardente volupté. Vierges ! Comprenez que deux filles à cet âge N'ont pas quitté Sodome avec leur pucelage. Elles avaient goûté le breuvage amoureux, Et leur soif insatiable avait fait des heureux, Jusqu'au jour redouté du divin châtiment, Leur vie entière fut détruite en un moment, Tous les hommes perdus, car il n'en restait pas Qui pussent désormais jouir de leurs appas ! D'où viendra la rosée à leur bouche altérée ? ... "Ne pleure pas ma sœur, ma sœur, que ton âme éplorée Retrouve quelque espoir. Tiens ! Déshabillons-nous, J'ai trouvé pour jouir, un moyen simple et doux." Ainsi parla l'aînée. Déboutonnant sa robe, Elle montre à sa sœur, avec un double globe Un ventre satiné qui se trouve en bas Par un petit triangle couvert de poils ras, Noirs comme de l'ébène, et doux comme de la soie, Sarah sourit, s'approche et écarte avec joie Les lèvres de la trousse, ainsi les vieux Hébreux Nommaient l'endroit charmant qui les rendait heureux. " Que faut-il faire Agass ? - Du bout de ton doigt rose, Chatouille-moi - J'y suis, attends que je me pose Pour que mon doux bouton s'érige sous ton doigt Et que j'écarte les cuisses comme toi. " Et sous leur main, servie d'une amoureuse ivresse, La symphyse se gonfle et palpite et se dresse. Enfin n'en pouvant plus et d'amour se pâmant, Agass donne à sa sœur un doux baiser d'amant. Mais celle-ci lui dit : " Faisons mieux, ma charmante Remplaçons notre doigt à la place amusante Par une langue agile ; et tu verras, ma sœur Que nos attouchements auront plus de douceur. Oui, sur ton petit ventre, attends que je me couche, Ta bouche sur mes lèvres, ton poil dans ma bouche Qu'une douce langue chatouille en l'excitant Notre bouton de rose encore tout palpitant. Que nos corps enlacés se tordent et se roulent, Que le jus de l'amour sur nos cuisses s'écoule. " Sitôt dit, sitôt fait, et bientôt ce doux jeu Arrose leur trésor d'un liquide onctueux. Mais ce sperme infécond ne rappelle les hommes Que de manière vague. " Ah ! Sottes que nous sommes, A quoi rêvons-nous donc quand on a ce qu'il nous faut : Notre père est bien vieux, mais il est encore chaud. Il peut bander encor quand les femmes sont belles, Bien heureux qu'il n'ait pas affaire à des pucelles. Mais il ne voudra pas, tant il est scrupuleux, Nous donner la bouteille où jadis toutes deux Avons puisé la vie,... où notre pauvre ère, Allait remplir ses fleurs, teindre son cratère. Tâchons de l'enivrer, il aime le bon vin, Et s'il veut nous baiser, sauvons le genre humain... " Chacune sur le chef portait un grand voile noir ; Loth avec sa lanterne, a demandé, hagard : " A qui sont ces tétons dont la blancheur rayonne ? Ces globes opalins, dont la pointe frissonne ? " Il jette sur Agass des regards polissons, Ecoute en soupirant les charmeuses chansons Qu'ensemble ont commencé ses filles toutes nues, Il croit être à Sodome et, sur ses propres filles Haletant de planter le bâton de famille, Il s'élance soudain. Agass l'avait prévu. Au ventre paternel, elle saisit tout nu Le membre recherché par l'ensemble des femmes S'aperçoit qu'il faut encore qu'elle l'enflamme, Et, pour mieux en jouir, elle roule à la main L'instrument qui doit féconder le genre humain. " J'enfanterai, dit-elle, et pour être plus sûre Adoptons pour jouir la meilleure posture. " Elle tombe à genoux, découvre son cul blanc ; Le vieux Loth inclinant la tête et s'approchant Voit le cul : Oh ! Jeune Femme ! Oh ! ma toute belle", Dit-il alors, jetant ses deux bras autour d'elle. Agass, poussant le cul, accroît le mouvement Car elle connaissait l'effet du frottement. Elle se sent mouiller. Aucune jouissance N'a pourtant assouvi sa brutale espérance. Un soupir la saisit ; elle porte la main Je ne sais où. " Tu n'es pas dans le bon chemin, C'est à recommencer ", dit-elle à son vieux père. Et l'ivrogne à nouveau recommence l'affaire ? En craignant de manquer, il se laisse guider A travers les replis qu'il devra féconder. Agass tressaille. Enfin tout son beau corps frissonne ; Les os ont craqué. Le père Loth s'en étonne " Qu'as-tu donc ? Mon enfant : va donc que je jouisse ! Si je m'en suis douté, que le ciel m'engloutisse ! " Dit le vieux Loth. Agass dit alors à sa sœur : " Viens goûter à ton tour la divine liqueur. " L'autre aussitôt s'approche et dans ses douces cuisses Elle montre à son père un doux nid de délices. Elle chatouille alors les couilles du taureau, Prend l'arme tout à coup et la met au fourreau. Entre ses blanches mains, saisit la vieille épée Pour la faire entrer plus grosse et mieux trempée. Enfin elle se pâme, laisse tomber ses bras, Le sceptre paternel inondant ses appas. " Gloire à Dieu " se dit-elle, " à présent j'ai conçu. " Loth, en se réveillant n'avait rien vu, ni su. Alfred de Musset - les filles de Loth | le vieux Loth (E) Le vieux Loth ronflait au fond de sa caverne ; Assises à côté d'une pâle lanterne, Ses deux filles en pleurs se rappelaient tout bas Les plaisirs de Sodome et ne s'endormaient pas. L'aîn& ... |
![]() | Jeux de lèvres, jeux de boucheJeux de lèvres, jeux de bouche, jeux de langues, nous sommes collés l'un contre l'autre dans cette remise sombre, à l'ecart de la maisonnée, et plus bas, nos corps emboités, un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat, ma verge fouille son ventre, se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend en elle. Je m'enfonce, je me perd entre ses muqueuses Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous lançons des mots sans suite juste pour apaiser le silence de notre jouissance. Ses yeux sont gourmands. Nous nous balançons l’un en l’autre, nous puisons tous les instants. Elle avale mon sexe et joue de ma résistance. Je vais éclater en elle. Elle me regarde me dit - Jouis ! vite ! ... Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs. Je sens chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. elle me serre et me dévore. Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monte. Un frisson. Elle le sent, m’enfonce en elle loin très loin. Je me rapetisse. Le trait m’échappe .... Je lache tout. J'ouvre les vannes. je me libère .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçoit mon offrande liquide Elle me suçe, je me vide au fin fond de son ventre. Elle suce tout, ne gâche, ne perd rien. C’est insoutenable. Elle me prend par la hampe et frotte contre ses lèvres mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle avale presque tout mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. C'était un soir d'été Je la pris près de la rivière Car je la croyais sans mari Tandis qu’elle était adultère Ce fut la Saint-Jacques la nuit Par rendez-vous et compromis Quand s’éteignirent les lumières Et s’allumèrent les cri-cri Au coin des dernières enceintes Je touchai ses seins endormis… Ses cuisses s’enfuyaient sous moi Comme des truites effrayées L’une moitié toute embrasée L’autre moitié pleine de froid Cette nuit me vit galoper De ma plus belle chevauchée Sur une pouliche nacrée Sans bride et sans étriers Federico Garcia Lorca. | Jeux de lèvres, jeux de bouche (E) Jeux de lèvres, jeux de bouche, jeux de langues, nous sommes collés l'un contre l'autre dans cette remise sombre, à l'ecart de la maisonnée, et plus bas, nos corps emboités, un glissement onctueux, une plo ... |