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mercredi 17 décembre 2025 - 04h24
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Caresse-moi


Caresse-moi de tes chaudes mains, donne-moi des frissons,
fais-moi rêver dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins.
Fais-moi vibrer et trembler. Caresse-moi, oh! Mon charnel corps.
Réveille chez moi des sentiments déments, réveille mes sens endormis et morts.
Fais moi croire que tu m'aimes vraiment.
Caresse-moi, de tes mains, de tes regards.
Fais-moi tendre mes muscles, mes nerfs comme les cordes d’une cithare endiablée.
Que mon souffle chante comme une sirène.
Caresse-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes,
caresse-moi pour que je sache enfin que tendresse et passion ne sont pas mortes.
Caresse-moi de grâce… Fais couler l`huile de l`amour dans mon corps.
Caresse-moi...de tes mains habiles. Fais-moi transcender, jusqu’ au creux de mes reins …

Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte,
la sueur qui perle à ma peau rougissante,
mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur,
ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
Les larmes salées que je laisse s'écouler.
Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir,
ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant,
les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent
et vadrouillent vers mille rêves impudiques.

Tu t'enfonces en moi, me penetre, me comble,
le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu.
Un glissement onctueux, une penetration lente
Un frottement délicat irisé de plaisir.
Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis.
Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin.
Je t’enroule, te défait, plonge, se retire. J'avale ton corps.
Tu te penches vers moi, je souris.
Tu vas et tu viens, les vagues de plaisir,
les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine.
et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller.
Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
Tu te retires, laissant le vide. Je me débats,
tu me reprends. complètement, passionnément.
Ton corps collé au mien tu me pénètres de nouveau, totalement.

Te sentir en moi, grossir, durcir et t'allonger, investir mon ventre chaud
mes jambes écartées pour mieux te recevoir
mes jambes resserrées pour mieux te retenir
Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant.
Tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent.
Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive
Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi.
Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux.
Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent.
Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps.
la jouissance qui monte en moi femme révélée
Tu m'investis, brutalement, sans concession, tu me finis.
Je jouis. Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée,
et tes yeux sont heureux.
Caresse-moi (E)
Caresse-moi de tes chaudes mains, donne-moi des frissons,
fais-moi rêver dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins.
Fais-moi vibrer et trembler. Caresse-moi, oh! Mon charnel corps.
Réveille chez mo ...

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Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude.
- Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je faisais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisais avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant Mathilde, ma maîtresse adorée à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.

J’étais dans le lit avec Marthe. Je lui demandai d’éteindre. Mais la minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien mon malaise. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À mon réveil, la voyant découverte, je craignis qu’elle n’eût froid. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir dormir me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe sur l’épaule. Elle ne s’éveilla pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Elle sursauta, et, se frottant les yeux, me couvrit de baisers,

S’arrachant à moi, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Marthe se révélait bien plus amante que je n’y croyais.



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Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en e ...

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J’étais deja dans mon lit lorsque Julien a frappé à la porte. Il avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris, je l'ai attiré dans mes bras, j'ai tenté de l'apaiser. Il était vraiment blotti tout contre moi. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie contre son torse. J'ai tenté de me séparer de lui, mais ses mains se déplaçaient déjà tout au long de mon dos. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. J'avais le vertige. Il s'est trouve alors à hauteur de ma bouche. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur les miennes. Il m'affolait littéralement Nous nous sommes embrassé à pleine bouche, je m'abandonnais à son baiser. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapproché et se sont déchainés, se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits.
- j'ai envie de toi. me lança-t'il dans l'oreille
J'eu alors une intense envie de me laisser aller à mon envie de ce jeune corps. Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé toute mon intimité ... et je me suis offerte à lui.
- Viens .. et rentre doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
j'ai dirigé son sexe et j'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'une premiere serie de spasmes. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je l'inondais de ma douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en même temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Ça va mieux ? Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
- Oh oui ! Je vais mieux ! c'est tout doux ! C'est bon !
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l’encourageaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues pénétrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se soudèrent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénétra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son énorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y, jouis ! .. oui, maintenant ..
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, terrassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plénitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonnant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, libérant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous étions arrivés ensemble à l'orgasme. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuelle ment, nous enlaçant à nouveau.

Je lui avais permis de revenir le lendemain sur mon lit. Sa présence néanmoins me troublait d'une sensation étrange. Je le savais. Nous étions proches l'un de l'autre, trop proches. J'ai senti à un moment sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur les genoux, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin, je n'osais me l'avouer. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts pénétrait mon intimité.
- Mon chéri, J'ai si chaud... est-ce vraiment raisonnable ?
Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commençais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Et quand j'ai senti le contact de son sexe bandé sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alors qu'il commença à me pénétrer.
- juste un peu ! S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi ...
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi, il ne s’arrêtait pas !
- Mon chéri ! Que fais-tu ? s'il te plaît ! arrête, je t'en supplie,
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son sexe grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à l'accompagner au fur et à mesure de sa pénétration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir en l'accompagnant malgré moi pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son énorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'ai recommencé à protester du bout des lèvres, mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute cette période,
Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissamment dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe qui coulissait au fond de moi. j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. Il râlait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi.
C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant, j'ai senti l'extrémité de son gland au fin fond de mon ventre. Il a gémi très fort et ... a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi.
Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses.
- Oh mon chéri ! Mon Dieu ... je...ton..sperme... tu me remplis .... tu m'envahis ....
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je sentais déjà le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.
Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes: son sexe était encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes seins. Je sentis que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commençais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- je sens que je viens encore !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance Le résultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au fond de moi et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles.Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Pierre dormait sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.

Julien est revenu le jour suivant, nous nous sommes vite retrouvés dans le lit. Il s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion. Il plongeait en moi et gonflait en même temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon... Tu me fais du bien !
Mon jeune amant s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l’encourageaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait mes muqueuses les plus sensibles.
Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues pénétrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se soudèrent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénétra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son énorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait Julien. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barattée, et je jouissais, terrassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait,

J’aime ces pénétrations lentes ou je sens le frottement du sexe mâle dans ma chair. Il faisait de petits mouvements de coté, avec toujours cette pénétration lente, et toujours ces mouvements de rotation. Il s’est collé à mon dos a repris mes seins dans ses mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi.
Il a alors commencé à aller et venir, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes.
lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient je répondais a chaque pénétration en creusant les reins pour qu’il puisse aller le plus loin possible. j’étais au bord de l’explosion lorsqu'il a encore ralenti le rythme de ses intrusions allant de plus en plus loin en moi et ressortant presque complètement avant de revenir encore plus loin. J’ai senti son sexe gonfler encore et puis ...
Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfoncé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plénitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonnant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de ma chatte torride. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte.

Mon jeune amant s'est mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l’encourageaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barattée, et je jouissais, terrassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, Je sentis enfin le jet puissant de mon jeune amant qui inonda le point le plus profond de mon vagin,
le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonnant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de ma chatte torride. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte.
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J’étais deja dans mon lit lorsque Julien a frappé à la porte. Il avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris, je l'ai attiré dans mes bras, j'ai tenté de l'apaiser. Il était vrai ...

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Il m'a prise sur le divan. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l’accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir.

Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, lorsqu'il s'est ravisé, il s'est rapproché, et m'a pénétrée de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traversèrent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui
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Il m'a prise sur le divan. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'ai senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l&rsquo ...

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Sens mon corps


- Je sens votre vigueur ! ... Là ... plus bas contre moi !
- Vous faites trembler mes lèvres vers un désir étrange !
- Caressez mon ventre ... là, plus bas .. oui ! ..
- Vous sentez ? ... Je mouille !
- Sentez mon corps ! Sentez mes seins contre vous !
- Caressez les ! A pleines mains ! Palpez les !
- Votre sexe a grandi et s'est allongé !
- Sentez-vous ce plaisir qui monte, qui dure ...
- Laissez ma main ... aller ou je veux !
- Il est grand et bien dur ! Vous m'excitez !
- Je suis prête, moi aussi !
- Et maintenant, Venez ! ... Là oui, vous y etes !
- Venez ! ... doucement, par glissades subtiles.
- Sentez-vous mes muscles intimes, mes légères contractions ?
- Mettez le moi bien profond ! Oh Oui ! continuez … Plus vite !
- Je sens vos testicules frotter et taquiner mes cuisses, c'est délicieux.
- Enfoncez-vous plus franchement, que le monde disparaisse,
- Allez et venez dans mes chairs, glissez bien sur mes muqueuses,
- Ne bougez plus ! Restez en moi. Je veux vous sentir grossir, durcir et t'allonger
- Respirez. Goûtez. La sueur qui perle à ma peau rougissante,
- mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur
- J'aime la tendre caresse de vos mains sur mes seins !
- Ils excitent nos sens ! palpez les bien ! Oui ! Encore ... C'est bien !
- J’aime les soubresauts qui vous agitent.
- Je sens votre sexe qui vibre et qui se tend.
- Plus loin, plus loin, ... Gonfle bien ta verge !
- Je sens tes bourses pleines ! Je veux ton jet de vie !
- Tu es prêt ? Je suis prete ! Maintenant !
- Vas-y ! Plus vite ! Oui,
- Ouuuii , Cà y est ! Oh c'est chaud ! Oui, c'est bon !
- C'est doux, Je suis remplie de vous ...
- Oh oui ! .... encore ! Oh c'est bon !
- Votre foutre m'inonde et coule entre mes jambes.
- Ne bouge plus ! Laisse moi te serrer contre moi,
- Sens mon parfum sur ta peau.
- Vous êtes un amant efficace !



- Je sens ta vigueur ! ... Là ... plus bas contre moi !
- Tu fais trembler mes lèvres vers un désir étrange !
- Caresses mon ventre ... là, plus bas .. oui ! ..
- Tu sens comme je mouille !
- Sens mon corps ! Sens mes seins contre toi !
- Caresse les ! A pleines mains ! Palpe les ! Petris les !
- Ton sexe a grandi et s'est allongé !
- Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure ...
- Laisse ma main ... aller ou je veux !
- Il est grand et bien dur ! Tu m'excites !
- Je suis prête, moi aussi !
- Et maintenant, Viens ! ... Là oui, tu y es !
- Viens ! ... doucement, par glissades subtiles.
- Sens-tu mes muscles intimes, mes légères contractions ?
- Mets le moi bien profond ! Oh Oui ! continue … Plus vite !
- Je sens tes testicules frotter et taquiner mes cuisses, c'est délicieux.
- Enfonce-toi plus franchement, que le monde disparaisse,
- Va et viens dans mes chairs, glisse bien sur mes muqueuses,
- Ne bouge plus ! Restes en moi. Je veux te sentir grossir, durcir et t'allonger
- Respires. Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante,
- mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur
- J'aime la tendre caresse de tes mains sur mes seins !
- Ils excitent nos sens ! palpe les bien ! Oui ! Encore ... C'est bien !
- J’aime les soubresauts qui t’agitent. Je sens ton sexe qui vibre et qui se tend.
- Plus loin, plus loin, Viens, viens ... gonfle bien ta verge !
- Je sens tes bourses pleines ! Je veux ton jet de vie !
- Tu es prêt ? Je suis prete ! Maintenant !
- Vas-y ! Oui, maintenant ... Je te sens venir. Tu te bloques, tu palpites. Tu râle un long cri rauque
- Ouuuii , Cà y est ! Ne te retiens plus, Tu jaillis dans mon ventre. Oh c'est chaud ! Oui, c'est bon !
- Je sens ta semence chaude ! C'est doux, tu me remplis ...
- Oh oui ! .... Remplis-moi encore !
- J'aime sentir ta verge gonflée de sève qui se vide dans mon ventre,
- J'aime ton regard éperdu au moment de l'orgasme,
- J'aime tes râles de plaisir, ton foutre m'inonde et coule entre mes jambes.
- J'aime ton sexe bouillant qui m'irradie de chaleur.
- Ne bouge plus ! Laisse moi te serrer contre moi,
- Sens mon parfum sur ta peau. Tu es mon bel et jeune amant !
Sens mon corps (E)
- Je sens votre vigueur ! ... Là ... plus bas contre moi !
- Vous faites trembler mes lèvres vers un désir étrange !
- Caressez mon ventre ... là, plus bas .. oui ! ..
- Vous sentez ? ... Je ...

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le diable au corps (Raymond Radiguet)


Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveillée, les yeux humides, me dire qu’elle venait d’avoir un rêve triste. Elle ne voulait jamais me le raconter. Je profitais de son faux sommeil pour respirer ses cheveux, son cou, ses joues brûlantes, et en les effleurant à peine pour qu’elle ne se réveillât point, je me penchais sur elle pour voir son visage entouré de flammes. C’était jouer avec le feu.
Un jour que je m’approchais, je fus comme l’aiguille qui dépasse d’un millimètre la zone interdite. Est-ce la faute de l’aimant ou de l’aiguille ? C’est ainsi que je sentis mes lèvres contre les siennes. Elle fermait encore les yeux, mais visiblement comme quelqu’un qui ne dort pas. Je l’embrassai, stupéfait de mon audace, alors qu’en réalité c’était elle qui, lorsque j’approchais de son visage, avait attiré ma tête contre sa bouche. Ses deux mains s’accrochaient à mon cou ; elles ne se seraient pas accrochées plus furieusement dans un naufrage. Et je ne comprenais pas si elle voulait que je la sauve, ou bien que je me noie avec elle.
- Tu es bien jeune. Tu ne comprends donc pas que si je te demande de t’en aller, c’est que je t’aime et que j'ai envie de toi.
- Va t’en et ne me crois pas méchante ; bientôt tu m’auras oubliée. Je suis trop vieille pour toi !
J’aurais voulu pouvoir embrasser ses seins. Je n’osais pas le lui demander, pensant qu’elle saurait les offrir elle-même, comme ses lèvres. Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me regarda avec compassion et tendresse
- Tu es triste ? .... Il ne faut pas !
- Approche toi ! ... Et donne moi tes lèvres !
Nous nous embrassames amoureusement, tendrement. Elle me tranquillisai par ses gestes et paroles. je me mis à la caresser, massant ses seins et les palpant doucement à deux mains. Elle me laissa faire. Puis elle me regarda avec un regard plus intense.
- Tu es en train de gagner ! .... Viens ! ...
Mon approche était malhabile, imprégnée de désir et de timidité. Mais les yeux de Marthe semblaient ne pas refuser plus d’audace de ma part, dans l’attente discrète peut-être que je lui appose mes lèvres sur son sein puis mes mains sur ses lèvres intimes, émouvantes tant elles m'étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. Approchant doucement quelques doigts de son trésor, entre ses cuisses ouvertes, son bouton merveilleux, gorgé d’une impatience au plaisir, appelait au délit, à un viol consenti de sa troublante féminité. Comme une prière, elle m’avait invité, oubliant les manières et les civilités.
- Viens ! Je t'offre mon corps ! Je te désire tant, et, si tu savais, bien plus que ça !
Mon sexe, bandé à l’extrême, je m'apprêtais à lui faire l'amour. Elle aussi avait envie de moi. Alors, quand elle m'a regardé, sa bouche dévorante, le plaisir au bleu de ses paupières, elle avait peut-être décidé instinctivement qu’elle allait m’aimer, moi ce jeune homme qu'elle repoussait il y a quelques instants encore. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle m'avait débarrassé de ma chemise trop sage.
- Viens près de moi. Je veux te toucher, j'ai envie de te sentir,
Elle m’a caressé, de la base de son cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi. Elle m'a alors invité a venir la rejoindre
- Viens ! .... Je suis prête !
Tendrement, je me suis allongé sur elle, la couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, Puis elle me guida, et en accord parfait avec ses attentes discrètes, je l’ai pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Je me suis introduit à l’intérieur de son corps de femme, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, je sentis mon sexe s'allonger en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se mit à émettre de petits halètements qui soulignaient son plaisir. Elle m'appela à plus d'audace et m'adressa un sourire rempli de gratitude.
- Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Elle remuait pour bien me sentir contre ses parois intimes. Son corps se tendit sous mes caresses, je faisais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée. Marthe gémissait, secouée de spasmes et de frissons, elle avait presque inconsciemment enfoncé ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Au bord des yeux noirs de Marthe deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion et de désillusion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisais avec passion, envahissant sa fente des amours interdites, unissant Mathilde, ma maîtresse adorée à mon proche destin. Elle s’était prêtée totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.

J’étais dans le lit avec Marthe. Je lui demandai d’éteindre. Mais la minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien mon malaise. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À mon réveil, la voyant découverte, je craignis qu’elle n’eût froid. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir dormir me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe sur l’épaule. Elle ne s’éveilla pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Elle sursauta, et, se frottant les yeux, me couvrit de baisers,

S’arrachant à moi, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Marthe se révélait bien plus amante que je n’y croyais.



le diable au corps (Raymond Radiguet) (E)
Sa chevelure dénouée, Marthe aimait dormir près du feu. Ou plutôt je croyais qu’elle dormait. Son sommeil lui était prétexte, pour mettre ses bras autour de mon cou, et une fois réveill& ...

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douce visite nocturne


Je m'étais couché tôt ce soir là. J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais plus parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, je reconnu alors Marthe. Elle m'avait surpris dans mon sommeil et je feignais de rester endormi. puis de nouveau le contact d'une main. Frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps qui se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentais des gestes lents. Marthe était désormais à mes côtés, avec son parfum discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrais sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis sa poitrine au contact de ma peau. Je caressai ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de ses levres intimes. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchai avec douceur. Je sentis son corps s'embraser. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes étaient au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement.

Et puis vint le moment, oh subtile jouissance ! Elle redescendit lentement, tout doucement. Je m'enfonçais en elle avec un rare délice, je m'enfouissais dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Un va et vient s'amorça comme un doigt dans le beurre, ses parois me comprimaient, me relachaient, m'aspiraient. Elle gémissait lorsque j'atteignis ses profondeurs intimes. Je devenais fou. Je m'emparai de nouveau de ses seins que je pétrissais au rythme de ses allées et venues. Je voulais accélerer. Elle s'agitait de plus en plus. Je la serrais contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreignis désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitaient. Je sentais un corps voluptueux. Suivit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guidais de plus en plus vite sur mon mat, bercé par ses gémissements, qui montaient en intensité au rythme de son bassin, je commençai à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévasta simultanément et nous laissa pantois. Une vague nous inonda. Les corps se tendirent une derniere fois, puis retomberent. Nous retrouvions le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus.

Lorsque je me réveillais tôt le matin, la chambre était encore dans une quasi obscurité Un bruit de froissement de tissu me tira de nouveau de ma torpeur. Marthe s'était relevée et m'avait chevauché. Splendide. Elle avait ouvert sa chemise de nuit, et reajustait sa poitrine, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes. Elle me fit « chut » avec l’index de sa main droite, un sourire luisant sur les lèvres, elle prit mon sexe bandé dans sa main et se laissa progressivement glisser sur mon sexe dressé tel un mat et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. Penchée vers moi, avec un sourire gourmand, elle s'empalait avec delectation sur moi en me fixant avec un regard legerement humide, ses seins ballottaient et réveillaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, elle soulèvait son bassin puis se laissait redescendre pour mieux me sentir sur ses muqueuses, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, J'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin Elle l'absorba petit à petit en surveillant mes réactions Je le vis disparaître entre ses grandes lèvres. Aspiré, sucé, absorbé, digéré, Il s'enfonçait comme dans du beurre ! Mon penis était en feu, enrobé de ses sécrétions, elle remuait sur moi, son vagin coulait sur sur mes bourses. avec un bruit de succion terriblement érotique. Le drap se tachait de nos sécrétions. ses seins ballottaient et exacerbaient ma vigueur ! je bandais en elle comme un cheval, Je pétrissais ses seins, elle gémissait, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement se mit à vibrer, trembler en une série de spasmes ininterrompus, Elle se déchaîna, ses seins ballotterent de droite à gauche elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, elle jouissait au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Elle jouissait sur mon sexe. Elle excitait mes sens
Elle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en pouvais plus. J'accélèrai ! Je me crispai. Un dernier coup de rein Je ne me retins plus ! planté au plus profond d'elle, je lâchais ma semence par salves successives. Je giclai en elle par saccades. La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs et prolongeait sa jouissance. Elle s'écroula sur moi en sueur. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! En se retirant d'elle, ma queue émit un indécent bruit de siphon
douce visite nocturne (E)
Je m'étais couché tôt ce soir là. J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendis plus rien. Le silence dura u ...

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Il venait d'avoir dix-huit ans


Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'aurais donné n'importe quoi pour le séduire. Dix-huit ans, c'était le plus bel argument de sa victoire Il ne m'a pas parlé d'amour Il pensait que les mots d'amour sont dérisoires Il m'a dit : "J'ai envie de toi" il avait vu au cinéma "le blé en herbe" Au creux d'un lit improvisé J'ai découvert émerveillée un ciel superbe

Je l'ai invité dans mon lit, et je me suis offerte à lui. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvrais, tendre et humide, et le laissais glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il pouvait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus ses yeux, Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ? me demanda-t'il
- Non ... Pas encore... lui répondis-je, continue tes douces caresses intimes !
je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Il se remit à osciller en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens ! Donne moi ta sève chaude !
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Il fut total, amant, secret, ardent et directif. il fut câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant qu'il se rhabillait Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude
J'aurais voulu le retenir Pourtant je l'ai laissé partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse.
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans
Il venait d'avoir dix-huit ans (E)
Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheve ...

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prisonnier de ses muqueuses


Mes yeux sont dans ses yeux et mon sexe, planté au fond du sien, prisonnier de sa chair onctueuse et gourmande. Sa vulve trempée stimule ma verge gorgée de sang, et droite comme un mat, elle l'enveloppe, l'absorbe, le lisse, doucement, interminablement. Elle joue de moi en surveillant mes réactions. Elle se masturbe sur moi, lustrant ma verge bandée sur ses muqueuses humides. Un étui chaud et visqueux entoure ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle ralentit ses mouvements, me regarde jouir, les reprend. Ces lentes pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de ma verge bandée. Petit à petit, elle absorbe toute la longueur de mon mat, le voilà maintenant enveloppé d'un fourreau chaud, doux, vivant, comme si tout son corps m'enserrait. Des contractions agitent son vagin. La sensation est délicieuse, affolante. Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon sexe qui la pénètre profondément. Ses mouvements le déplacent dans son ventre. Elle se redresse, nouvelle sensation. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, je sens ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaisse rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant.
prisonnier de ses muqueuses (E)
Mes yeux sont dans ses yeux et mon sexe, planté au fond du sien, prisonnier de sa chair onctueuse et gourmande. Sa vulve trempée stimule ma verge gorgée de sang, et droite comme un mat, elle l'enveloppe, l'absorbe, le l ...

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Je retourne à ma chambre, petite douche, et je me dirige vers la chambre 33. Je frappe. J'ouvre. Elle est allongée sur son lit, complètement nue. Elle me provoque et elle réussit. La bandaison est repartie ! Elle m'attends, toute ouverte. Je m'exécute et me glisse sur elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre et me repousse un moment pour vérifier l'état de mon désir. Mon sexe se dresse droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant. Elle le saisit, se l'enfile sans attendre. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre…
Puis elle se relève, prend ses affaires et m'annonce
- Viens ! Je te présente à ma mère
(E)
Je retourne à ma chambre, petite douche, et je me dirige vers la chambre 33. Je frappe. J'ouvre. Elle est allongée sur son lit, complètement nue. Elle me provoque et elle réussit. La bandaison est repartie ! Elle ...

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Il m'avait invité à terminer la soirée chez lui. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments naissants. Il était venu contre moi, je sentais ses mains s'affermir sur mes hanches. Il accentua la pression, et je sentais son souffle chaud dans mon cou. Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, Devais-je si vite lui succomber ? Je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Et pourtant, je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Glissant ses mains le long de mes épaules, il prit très doucement mes seins et se mit à les caresser lentement, les palper délicatement. Tout en continuant à me caresser, je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. Il me carressait avec tendresse, j'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous le fin tissu, il atteignait désormais mes seins qu'il caressa et palpa avec beaucoup de douceur, érigeant mes pointes sensibles. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, puis je l'ai senti passer son autre main plus bas. Je tentais de l'en dissuader, serrant mes jambes sur sa main mais il se faisait de plus en plus pressant sur des endroits plus intimes. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
En fait, je le désirais de plus en plus fort. je le désirais ardemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais moi aussi. Je repris sa main, et la guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. J'ecartai encore mes jambes, lui facilitant ses douces intrusions, Il enfonça un doigt, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs et mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi
Prise d'une serie de legers spasmes, J'exprimai ma jouissance dans un râle long. Je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur sa main, Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Pourquoi se débattre ? J'étais en train d'abdiquer. Je m'abandonnais. Il me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter lui aussi de plus en plus.

Au travers de ma robe, je sentais pointer un relief explicite ce qui ne nous calmait pas vraiment. Très clairement, je me sentais prête à m’abandonner à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main plus bas et testais son désir, déjà tres prometteur. Il me serrait contre lui. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je le fusillais du regard
- Je suis toute prête !
Il m'entraina alors vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, il relèva ma jupe, descendit discrètement son pantalon. A bout de force, je le laissai venir. Je l'ai alors senti s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Puissamment, il glissait dans mes entrailles. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortait, poussait encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je l'aidais dans ses va et viens. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais, pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra, puis s'activa dans mon ventre de plus en plus vite.
Puis je sentis qu'il accelerait, son sexe se mit à raidir, se durcir. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler. Il s'enfonca d'un coup, s’arrêta, se crispa, poussa alors un cri rauque et long. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais un liquide chaud tapisser mes muqueuses. Il me remplissait le vagin, c’était intense. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait, m'envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il restait là, affaissé contre moi, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.

Nous restames un moment à nous regarder en souriant puis, reprenant de la vigueur, Il se rapprocha de nouveau, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre tout en faisant pénétrer son sexe qui se dressait à nouveau et qui reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Avec délicatesse, sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, à la limite de l'indecence, puis nous avons accéléré la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après un long baiser. Je ne connais même pas son nom, je ne l'ai jamais revu



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Il m'avait invité à terminer la soirée chez lui. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments naissants. Il était venu contre moi, je sentais ses mains s'affermir sur mes hanches. Il ...

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