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mercredi 17 décembre 2025 - 06h48
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il semblait timide


Il semblait timide, je me suis approché de lui, j'ai tenté de le mettre en confiance.
- C'est la premiere fois ?
Il me fit un oui un peu timide de la tete. Il était vraiment blotti tout contre moi. Entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie, et ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. Il devait sentir que j'étais nue en dessous de ma chemise de nuit. J'ai alors commencé à ressentir, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. Il s'est agrippé à moi. il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux beaux seins généreux, à peine affaisés sous la dentelle, qu'il commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon dos. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. Il s'est retrouve à hauteur de ma bouche. Il était sous l'emprise de mon souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mon cou. Il m'affolait de plus en plus. J'ai alors posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord, puis, nous nous sommes embrassé à pleine bouche. J'ai introduit doucement ma langue, je le sentis s'abandonner à mon baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma chemise de nuit. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapprochés, ses mains m'exploraient, nous avions, lui comme moi, besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, et l'ai regardé dans les yeux
- Je te plais ? lui demandai-je dans le creux de l'oreille
Il acquiesça avec un sourire d'envie. J'eu à la fois pitié de lui et une intense envie d'assouvir mon attirance violente pour ce jeune corps.
- Tu as envie de faire l'amour ? ... viens je t'emmène ! ...
je l'emmènais avec moi dans ma chambre et je l'ai entraîné sur mon lit. Je me suis mise à nue pour le couvrir de mon corps ...
- Tu vas entrer doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
Excitée finalement à l'idée d'initier mon bel adolescent aux délices de la pénétration... Je m'emparai doucement de son jeune sexe déjà bien dur et gonflé, j'en dirigeai le bout entre mes grandes lèvres déjà humides
- Je suis toute ouverte pour toi, tu sens ? ... Voilà, tu y es ! ...
et je fis rentrer doucement cette jeune verge bandée, éprouvant une véritable jubilation au contact de ce sexe bandé qui glissait à merveille dans mes chairs moites et je me suis offerte à lui.
- ça glisse tout seul, tu sens ? Tu es chez moi maintenant, bien au chaud !
- commence à bouger ... tu sens comme ca fait du bien ? Tu aimes ? ... Oui comme ça ! Cest bien !
- tu sens ? ta verge qui grossit et s'allonge dans mon ventre,
- tu as l'air d'aimer ca ! Moi aussi j'aime tu sais !
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques.
- Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
- Oh oui ! Je vous sens bien ! c'est tout doux ! C'est bon !
Etendu sous mon corps chaud et tendre, et fasciné par mes seins lourds se balançant doucement devant ses yeux, il se laissa alors aller à la jouissance de sentir le glissement onctueux d'un sexe mâle dans le sexe d'une femme mure.Je sentais sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants....
Emporté par sa fougue d'adolescent, il accelera. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser profondément son membre gonflé dans les moiteurs de mon ventre, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Je ne tardai pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Je serrai mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
-- Plus vite, mon chéri ! … Met le moi bien au fond !…
Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inondait d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon jeune adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'activa de plus belle, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, l'affolant encore plus. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y ! ..
Il était en train d'atteindre le point de non retour, je l'enserrai encore plus fortement entre mes cuisses pour l'empêcher de s'extraire de mon vagin affamé. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, il empoignait mes deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu,
-Oui, maintenant .. Donne moi ton sperme chaud ! Donne moi tout ! Je n'en peux plus !
ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
- Oh oui ! ... Que c'est bon !
Le jet puissant de mon jeune amant inondait le point le plus profond de mon vagin. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon ventre malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer ce jeune corps devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit:
- Eh bien, mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis, m'exclamai-je en me penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement…
- Tu m'as rempli le ventre, J'en ai de partout… C'était bon ? Tu as aimé ? ... Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder un moment le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement.
- J'aime tes caresses intimes ... Tu sens ? mes petites contractions amoureuses ?
Mon corps recommença à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrassait très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches venaient une nouvelle fois à sa rencontre et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte, puis sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence qui s'écoulait sur mes cuisses. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement.

Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
il semblait timide (E)
Il semblait timide, je me suis approché de lui, j'ai tenté de le mettre en confiance.
- C'est la premiere fois ?
Il me fit un oui un peu timide de la tete. Il était vraiment blotti tout contre moi. Entre lui et ...

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dans la remise 1


Ses mains étaient chaudes et douces. Il s’attardait. J'aimais ses caresses. Je tentais vaguement de reprendre une certaine distance lorsque, sans me laisser le temps de réagir, ses lèvres se sont posées sur les miennes. Elles étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui.

Mes seins pointaient sur son torse. Le contact de ses mains sur mon corps m'excitait doucement le bas du ventre. Je me sentais rougir. Je sentais tres nettement contre moi le relief explicite de son envie de moi, et je commençais malgré moi à me frotter contre lui. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre mon ventre. Je sentais tres nettement qu'il bandait de plus en plus contre moi, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Puis j'ai senti ses doigts remontant sous ma fine combinaison qui crissait doucement. La chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, ne firent qu'exacerber mon attirance pour ce corps puissant. Je le laissais faire.

Il avait pris mes seins dans ses deux mains qu'il commençait à caresser et à palper. il me fixa tendrement, sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes lèvres, et il recommenca ses caresses sur mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je me surpris pourtant à caresser son torse. J'ai senti alors sa main chaude qui remontait sous ma combinaison. Le feu a pris alors naissance entre mes jambes qui s’entr'ouvrirent. il commençait à me caresser l'intérieur de mes cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. C'était vraiment bon. Il venait de toucher un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu dejà trempé. Deux caresses intimes, J'ai étouffé un gémissement. Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de ma fine culotte de soie, Sa main effleurait mes lèvres intimes qui s’entrebâillèrent. Ses doigts s’attardaient, puis s'introduisirent, un de ses doigts penetrait mon intimité. je chavirai dans ses bras. Tout mon corps se raidissait, ma tête brinquebalait, mes muscles se contractaient. Je me mordis les lèvres, Je resserrai mes cuisses et j'emprisonnai sa main, puis ... je retombai ... inerte, en sueur.

Apres avoir repris mes esprits, je le regardai, un peu perdue et desemparée. Il avait ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. Il commençait à les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre, puis il s'est penché et s'est mis à sucer si delicieusement les pointes de mes seins que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Mes genoux fléchissaient de nouveau et, rapidement, sa main repris ses caresses sur mon corps, sur mes seins, Il promenait sa main sur mon ventre, puis continuait à me masser la vulve. je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir.

Je le regardais s'occuper de moi, J'avais terriblement envie de lui, de son corps puissant, je le désirais, violemment. J'étais toute chaude et trempée, puis il s'est allongé un peu plus sur mon corps, c'est à ce moment que j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... il me tenait par les hanches. Puis il commença à pousser en moi le gland. Il me penetra lentement, progressivement. Mes chairs se distendaient au contact de sa verge massive. Inconsciemment, je l'aspirai en moi. Je le sentais me fouiller, me remplir. je découvrais de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissaît. Je résistais, tres mollement ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. Je sentais son membre grossir de plus en plus, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Il chercha à me rassurer mais mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression dans mes chairs.





Ses seins pointaient sur mon torse. Le contact de ses mains sur mon corps m'excitait doucement le bas du ventre. Je me sentis rougir. Elle pouvait sentir tres nettement contre elle le relief explicite de mon envie d'elle, et elle commençait sans gêne à se frotter contre moi. Je caressais doucement ses hanches, frottant legerement mon bassin contre son ventre. Je bandais de plus en plus contre elle, ce qui ne faisait que l'exciter davantage. Puis je remontais mes doigts sous sa fine combinaison qui crissait doucement. La chaleur de mes mains sur ses seins, sur ses hanches, ne firent qu'exacerber mon attirance pour elle. Elle me laissait faire.

Ses mains étaient chaudes et douces. Il s’attardait. J'aimais ses caresses. Je tentais vaguement de reprendre une certaine distance lorsque, sans me laisser le temps de réagir, ses lèvres se sont posées sur les miennes. Elles étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Il avait pris mes seins dans ses deux mains qu'il commençait à caresser et à palper. il me fixa tendrement, sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes lèvres, et il recommenca ses caresses sur mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je me surpris pourtant à caresser son torse. J'ai senti alors sa main chaude qui remontait sous ma combinaison. Le feu a pris alors naissance entre mes jambes qui s’entr'ouvrirent. il commençait à me caresser l'intérieur de mes cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. C'était vraiment bon. Il venait de toucher un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu dejà trempé. Deux caresses intimes, J'ai étouffé un gémissement. Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de ma fine culotte de soie, Sa main effleurait mes lèvres intimes qui s’entrebâillèrent. Ses doigts s’attardaient, puis s'introduisirent, un de ses doigts penetrait mon intimité. je chavirai dans ses bras. Tout mon corps se raidissait, ma tête brinquebalait, mes muscles se contractaient. Je me mordis les lèvres, Je resserrai mes cuisses et j'emprisonnai sa main, puis ... je retombai ... inerte, en sueur.

Apres avoir repris mes esprits, je le regardai, un peu perdue et desemparée. Il avait ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. Il commençait à les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre, puis il s'est penché et s'est mis à sucer si delicieusement les pointes de mes seins que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Mes genoux fléchissaient de nouveau et, rapidement, sa main repris ses caresses sur mon corps, sur mes seins, Il promenait sa main sur mon ventre, puis continuait à me masser la vulve. je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir.

Je le regardais s'occuper de moi, J'avais terriblement envie de lui, de son corps puissant, je le désirais, violemment. J'étais toute chaude et trempée, puis il s'est allongé un peu plus sur mon corps, c'est à ce moment que j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... il me tenait par les hanches. Puis il commença à pousser en moi le gland. Il me penetra lentement, progressivement. Mes chairs se distendaient au contact de sa verge massive. Inconsciemment, je l'aspirai en moi. Je le sentais me fouiller, me remplir. je découvrais de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissaît. Je résistais, tres mollement ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. Je sentais son membre grossir de plus en plus, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Il chercha à me rassurer mais mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression dans mes chairs.
dans la remise 1 (E)
Ses mains étaient chaudes et douces. Il s’attardait. J'aimais ses caresses. Je tentais vaguement de reprendre une certaine distance lorsque, sans me laisser le temps de réagir, ses lèvres se sont posées sur ...

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dans la remise 2


Il entrait en moi et ressortait, s'enfonçant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il me remplisse complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble. il colla son ventre contre le mien et s’immobilisa un moment, nous étions completement emboités l'un dans l'autre. J'étais remplie de lui, de son sexe qui continuait à grossir et s'allonger dans mon ventre. il se remit à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de son membre. la caresse était douce et sensuelle. Chaque plongée m'arrachait quelques larmes. je frissonnais, je tremblais.... Tout mon corps commençait à vibrer à chaque penetration jusqu'au moment de l'explosion ... envolée prodigieuse, immense embrasement, puis la tension se relâcha, le ciel s’ouvrit ... Une marée s'écoula, se répandit. Je m'abandonnais à lui, me livrai aux flots qui m'absorbaient... Je m'abîmais, sombrais, m'anéantissais ...

Il restait planté en moi, immobile ... un moment ... puis il reprit ses mouvements se remit à glisser dans ma chair, mes seins ballottaient. Je mordis le coussin du canapé ... Il ralait de plus en plus fort contre moi, C'est alors que je l'ai senti venir .... Son corps entier a basculé en avant, Il a gémi très fort, s’est immobilisé, sa verge se contracta au fond de mes entrailles ... puis il lâcha les premiers salves de son sperme profondément en moi. Il jaillissait dans mon ventre ! .. Un flot de semence se répandait en moi. Un interminable frisson voluptueux courut tout au long de mon échine. Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence.

Alors que les décharges faiblissaient, je restais là, affaissée contre lui, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme et qui commençait a réduire de volume ... peu de temps ... Mes jambes étaient encore enroulées autour de lui quand je sentis que son membre recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées , lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. Il continuait à me limer doucement avec son sexe. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort. je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer, se bloquer ... et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.

Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma combinaison était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Monsieur dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
dans la remise 2 (E)
Il entrait en moi et ressortait, s'enfonçant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il me remplisse complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mo ...

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son corps s'est mis à trembler


Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, mon corps s'est mis à trembler, je me suis cabrée. Je sentis mes muscles intimes se contracter, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’était violent, et bien vite, le plaisir est arrivé là, balayant tout sur son passage. Tout mon corps s'est mis à vibrer. Je tremblai, me contractai, je jouissais. Un gigantesque frisson se mit a m'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans ma nuque, je sentis mes muscles vaginaux se resserrer sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi...
D’un coup de rein, il s'enfonca au plus profond de moi, en poussant un long râle, Il s’immobilisa ... Son visage se crispa, il ahanait, ses yeux étaient rouges et exorbités. J’enroulai mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, son corps entier a basculé en avant, son sexe enorme s'enfonçant tout au fond. Il a gémi très fort, s'est figé avec un regard vitreux, et il a lâché ses premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient mes hanches et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais son jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude tapissait mon vagin, Sa sève humide se rependait en moi en plusieurs vagues. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, son sperme chaud commencait à ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de se lâcher. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.
il retomba lourdement sur moi, affalé, amorphe... il m'avait remplie. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. puis il s’immobilisa au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Il jouissait encore en moi. Je jouissais aussi, une douce brûlure.
Apres plusieurs secousses, il s'est effondré sur moi. Nous sommes restés ainsi un moment, l'un dans l'autre, enlaces, nos sexes emboités,
son corps s'est mis à trembler (E)
Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, mon corps s'est mis à trembler, je me suis cabrée. Je sentis mes muscles intimes se contracter, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C&rs ...

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Son sexe gonflait, durcissait et s'allongeait encore en moi, il allait jouir, il arrivait au point de non retour. il s'enfonça alors un peu plus, et se bloqua au fond de mes entrailles, il se raidit, se contracta, puis poussa un cri rauque et long ... Je le tirai contre moi ... et il se lacha au fond de mon ventre, il gicla au fond de moi, une humeur bien épaisse, bien blanche qui coula et déborda sur mes cuisses. je sentais qu'il défaillait. Il jouissait dans mon corps, à en perdre la tête.

Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, me mordillai les levres. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. à chaque secousse, il me remplissait le vagin. Il ressortait, entrait de nouveau, s'arrêtait. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant.

Puis il s'affaissa sur mon corps avec des grondements d'ours blessé. Il m'envoya une dernière giclée, se vida, puis s'enfourna jusqu'au fond, ne bougeant plus. Il restait là contre moi, sa queue toujours bloquée en moi. J'étais inondée de sa douce chaleur et j'en gémissais de bonheur. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je sentis sa verge se rétrécir, libérant en abondance nos sécrétions amoureuses. Je le complimentai. C'était bientôt fini. Il tendit ses muscles des jambes. Le préservatif se remplit d'une humeur épaisse. Voilà. Je lui tend un kleenex. Il retire le préservatif et je regarde mon corps une dernière fois. Je remets ma robe, range mes affaires. Il range son sexe. Je lui souris et l'embrasse.
- C'était bon !

(E)
Son sexe gonflait, durcissait et s'allongeait encore en moi, il allait jouir, il arrivait au point de non retour. il s'enfonça alors un peu plus, et se bloqua au fond de mes entrailles, il se raidit, se contracta, puis poussa un cri ...

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Je l'ai senti frémir dans mon ventre !
Puis, son corps s'est mis à trembler !
Il s'est cabré en plissant les yeux
vibrant de tous ses membres
et lachant un long râle
Sa sève humide s'est rependu en moi
en plusieurs vagues chaudes. C'était bon !
Apres plusieurs secousses, il s'est effondré sur moi
Nous sommes restés ainsi un moment
l'un dans l'autre, amoureusement enlaces,
nos sexes emboités,
délicieusement,
(E)
Je l'ai senti frémir dans mon ventre !
Puis, son corps s'est mis à trembler !
Il s'est cabré en plissant les yeux
vibrant de tous ses membres
et lachant un long râle
Sa sève humide s'e ...

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derniers spasmes


Il déchargeait encore en moi, plus faiblement, me provoquant encore quelques spasmes. Je serrai son sexe bandé entre mes muqueuses gourmandes. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Je m'abandonnai à lui dans un long râle de volupté. Puis il se retira de moi, un peu, entra de nouveau, s’arrêta, et m'envoya une derniere giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougea plus.
Il resta là, affalé contre moi, sa queue toujours en moi, Je le repoussai doucement, je le laissai glisser hors de moi. Sa verge ressortit, dans un indecent bruit de succion, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Sa queue glisse hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J'étais aussi épuisée que lui.
Je m'abandonnai, me livrai aux flots qui m'absorbaient... Il s'abîma, sombre, s'anéantit... milles bulles éclataient. Nous nous regardames sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là
derniers spasmes (E)
Il déchargeait encore en moi, plus faiblement, me provoquant encore quelques spasmes. Je serrai son sexe bandé entre mes muqueuses gourmandes. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Je m'abandonnai à l ...

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chaude apres midi


Je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seule avec lui. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en travaillant, il me parlait de la sympathie que je lui inspirais. Curieusement, je le sentais sincère, mais il me regardait en même temps d'une manière qui me destabilisait. Bien que flattée par les regards de ce beau jeune homme mur, je ne me sentais pas très à l’aise… Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Je n’aurais pas dû ...

Nous nous etions assis sur le canapé, un peu grisés. C'est alors que, tout en parlant, il a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. Pourquoi l'ai-je laissé faire ? Il s’est encore rapproché en posant ses mains sur mes genoux, je ne reagissai toujours pas, puis ses mains se sont glissées sous ma robe devoilant ma fine combinaison. Je devinai, inconsciente, que les evenements prenaient une tournure de plus en plus incontrolable. Mais je le laissai faire, de plus en plus excitée par cette aventure inopinée. A un moment nous nous sommes arrêtés de parler en nous fixant droit dans les yeux. Je pressentais que quelque chose d'inevitable allait se produire. Il s'est encore approché de moi, fixant mes lèvres de manière tout à fait inhabituelle, Ensuite ...

Ensuite, il m'a embrassé sur la bouche, me clouant litteralement dans le canapé. nos sens se sont alors réveillés brutalement, nos langues se sont mélangées, nos bras se sont enlacés, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre. puis ses mains se sont égarées sous mon corsage pour s'emparer de mes seins. Les pointes ont durci sous ses doigts. Je me suis laissée aller à ces douces caresses, oubliant que j'etais mariée. Je ne contôlais plus rien ... il en profitait, et j'en profitai moi aussi ... Lui comme moi étions prêts desormais à precipiter les choses ...
- ou est ta chambre ?
- tu crois que c'est serieux ? ... lui repondais-je quelque peu surprise par l'aplomb de cette demande
- une femme bien plus agée que toi ! ... tout en ajoutant, mecaniquement:
- au fond du couloir !
Totalement inconsciente de ce que j'étais en train de declencher, j'étais prête à tout accepter. Il m'a alors prit par la main, et m'a entrainé jusqu’à ma propre chambre. Nous trouvions ça à la fois déplacé mais tellement romantique et tellement excitant ! Nous nous sommes febrilement déshabillés. Sa bouche a parcouru mon corps de la tête aux pieds, s’attardant sur mes seins et mes tresors intimes, de plus en plus humides. Il bandait à la limite de l'indecence, je n’attendais plus maintenant qu’une chose : qu'il ne s'arrête pas en chemin ... Je me suis allongée sur le lit, puis il s'est étendu sur moi. Mon regard s'est figé sur son engin qu'il sortait de son pantalon et qu'il pointait vers moi, c'est alors que, sans attendre plus longtemps, il s'est enfonçé d'un coup entre mes muqueuses trempées jusqu’à buter au plus profond de ma matrice. Arrivé à bon port, il a levé ses yeux brillants de désir vers moi. Il ne bougeait plus, comme en attente de ma réaction, un peu comme s’il avait fait une bêtise. Pour le rassurer, je lui ai caressé le visage et je me suis accrochée à son cou, lui laissant le soin de poursuivre la bêtise déjà bien engagée. Je sentais sa queue danser en moi, je balançais mon bassin au rythme de ses allées et venues. Il m’a prise sans s’arrêter jusqu’à ce que je jouisse, quelques minutes plus tard. Et là, il s’est laissé aller lui aussi, inondant mon ventre en abondance.
Il jouissait en moi à en perdre ses moyens. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir nos secretions ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Il était toujours allongé sur moi, emboité dans mon corps, épuisé comme moi, il ne se retirait toujours pas. J'étais bouleversée par ce qui venait de se passer entre nous. Nos deux corps à moitié dénudés étaient toujours l'un contre l'autre, sur le lit aux draps défaits, dans l'intimité de la chambre conjugale.

Quand je suis revenue à la réalité, j'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme et qui commençait a réduire de volume. Mes jambes étaient encore enroulées autour de lui quand je sentis que son sexe recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées , lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. Il continuait à me limer doucement avec son sexe. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort, Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié de rester en moi. Il m'a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer, se bloquer ... et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Julien, desormais mon jeune amant, dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Une fois de retour chez moi, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.



chaude apres midi (E)
Je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seule avec lui. Nous ...

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Il a joui en moi. Sa sève chaude s'écoule hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'interstice de mes fesses. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Je lui ai offert mon ventre, dans lequel il vient de se rependre en une apothéose … c’était bon. Oh oui… Que c’était bon ! Je suis maintenant étendue là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donne le frisson. Affalée sur le lit, ouverte, obscène presque.
il est toujours contre moi et se remet à durcir, sans complexe. son sexe pointe vers le mien, il le pousse un peu en moi, plus loin, puis, le ressort, une nouvelle fois .. c'est le paradis ! Il accélère maintenant. Je n'en peux plus. Je jouis ! et lui aussi ! Il se vide, n'en finit plus de se vider en moi ! Et me laisse admirer tout ce que j'ai reçu de lui,
Je luis de son jus, mes lèvres intimes toutes ouvertes. Il prend de nouveau son sexe et caresse ma fente avec son gland. Je soupire, les yeux fermés. Et sans précipitation, il me pénétre de nouveau. Mes chairs laissent entrer son sexe sans contrainte. Nous nous regardons l'un l'autre. Il recommence à coulisser en cadence, en caressant mes flancs. Je ferme les yeux en gémissant à chaque retour de sa verge dans mon fourreau. Il s'agrippe à mes hanches. Je sens son plaisir monter. Le mien aussi. Mon ventre se contracte et des spasmes en série soulevent mon corps. Il continue son va et vient, rugit très fort et finit par se repandre une nouvelle fois en moi.
J'ai 20 ans, de longs cheveux blonds tombant sous les épaules, un corps fin et deux belles poitrines, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. J'adore lorsqu'il me fait l'amour
(E)
Il a joui en moi. Sa sève chaude s'écoule hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur les draps. J'ai joui aussi, avec lui, c'est une brûlure douce. Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'interstice de mes fess ...

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Je le sentis s'enfoncer de plus en plus en moi. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus. Je m'emparai alors de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis me penetrer furieusement d'un seul coup, très profondement, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.
Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi.
(E)
Je le sentis s'enfoncer de plus en plus en moi. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore ...

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just after love


Comme chaque samedi, il émerge vers quatre heure de l’après-midi, il lui faut mon corps. Il m’attire, me presse contre lui, me pétrit guettant mon envie, une lueur de désir éveillé, une pointe de sein dressée. Ses regards obliques, effleurent furtivement le miroir reflétant son triomphe, de face, de profil, dur et tendu. Très fier de sa verge qu’il exhibe à chaque fois comme un trophée, comme s'il était le seul mâle du quartier à en posséder une.
Et moi, désapée, collée, plaquée, ses doigts partout à m’explorer, me fouiller, m’évider, mêlant sa salive à mes humeurs intimes, avant de me pénétrer sans ménagement et de se répandre en moi toujours trop vite. Insatiable, il veut ressusciter aussitôt. Je dois le revigorer des mains, de la langue et des lèvres, il entre dans ma bouche explore ma gorge à satiété.

Depuis peu, je garde la tête froide quand il me baise. Je ne ressens plus ces tremblements, cette fièvre, cet embrasement à en perdre le souffle. Collée sur le lit, désincarnée, je nous observe, je regarde son corps lourd et pesant s'activer sur moi, sa peau mate entre la paleur de mes cuisses, je sais exactement ce que j’aime ou déteste dans ce corps à corps énervé, brutal, qui me livre comme une poule déplumée à son bon vouloir.
il ne sait rien de ma réalité, de la consistance de ma vie, de mon corps de ma chair, hors de cet espace où il tire de moi son plaisir sans plus se soucier du mien. Me prendre par tous les bouts lui suffit, me fourrer, me planter. Oui, me planter comme un décor. La mer s'est retirée, l'amour, la passion, le désir ont fui, disparus, emportés dans le ressac de ma tourmente. Il faut que je m'en aille sans même chercher à expliquer, que je m'arrache le plus vite possible, comme un sparadrap sur une couenne poilue, d'un seul coup vif et sec !
just after love (E)
Comme chaque samedi, il émerge vers quatre heure de l’après-midi, il lui faut mon corps. Il m’attire, me presse contre lui, me pétrit guettant mon envie, une lueur de désir éveillé, une ...

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fièvre


hôtels de circonstances. Chambres vite réservée. Corps en manque de caresses. Couloirs feutrés où les pas s’enfoncent dans la moquette épaisse. Enfilade de portes closes sur des vies en voyage, le son étouffé de la ville qui fait se sentir hors du temps.
Chambre 132, on ne perd pas de temps. Efeuillage, tissus épars, soutien-gorge, petite culotte sur le sol, fusion de nos corps il attrape mon bras, jette mon sac au sol, dégrafe mon corsage, baise mon sein. Il me plaque contre le mur, m'embrasse, assoiffé, affamé, mordant. Il disperse un à un mes vêtements comme des petits cailloux blancs qui tracent le chemin jusqu'au lit où il m'allonge febrilement. Il aime ça et j'aime qu'il aime.
Le chaud de ses baisers m'enflamme, m'excite, je sens mon ventre papillonner, mes jambes tremblent déjà. Nos baisers sont plus doux, mes lèvres entrouvertes s'offrent à sa langue et je me laisse dévorer. La fièvre m'envahit, j'implore le plaisir sous ses mains expertes. Je m'abandonne.Il aime ça et j'aime qu'il aime.
Je pose mes mains sur son torse déjà nu, je descends jusqu'à la ceinture, un à un je fais sauter les boutons de son jean. Je voyage au gré de mon envie, son dos, ses fesses, ses cuisses, puis, l'objet de mon désir, son sexe, saillant et tendu sous le boxer. À mon tour, j'ôte la dernière barrière pour enfin mettre ma bouche sur ce vît
qui attend les caresses de ma langue agile, souple, rigide. Elle monte, descend, s'arrête un instant, reprend, ma bouche se referme, le happe et le pompe, de plus en plus dur. Soudain, je sens ses bras qui me retournent, je croise son regard dans le miroir. Me voilà à sa merci, ses mains puissantes et douces sur mes hanches, je sens sa quête, il me trouve enfin, son sexe me pénètre lentement, le miel de mon jardin s'écoule jusqu'en haut de mes cuisses. Il est derrière moi, j'entends ses gémissements, je l'accompagne. Cadence, force, puissance, la chaleur envahit tout mon corps et se mêle à la sienne, c'est bon et je lui dis. Il aime que je lui dise et j'aime qu'il aime.
À cet instant nous ne faisons qu'un, l'enchevêtrement de nos deux corps, les va-et-vient, le mélange de nos parfums, de nos souffles, de nos peaux emmêlées. Nos corps se tendent, on se sent, on se touche, on s'embrasse, partout, dedans, dehors, plaisir, notre plaisir. Encore ! Ensemble ! Crescendo ! Jouissance ! Baiser jusqu'à l'épuisement !Je me laisse aller, il tombe près de moi, je me colle à lui, nos cœurs battent, vite, très vite, il m'enlace. On se regarde, on sourit, on ne dit rien, les mots sont vains, les étincelles de ses yeux noisettes me suffisent...
Il se lève, allume une cigarette, le moment que je choisis pour partir. Je reprends le même chemin, à l'envers, je retrouve mes dentelles, ma robe, mon foulard, je les enfile un à un, et j'arrive devant cette porte qui va s'ouvrir, bientôt, profiter encore des derniers instants avant de retrouver mon quotidien. Doucement il arrive derrière moi, se colle à moi, la chaleur de son corps nu, je me retourne, je lui offre encore ma bouche et lui, ses derniers baisers. Il remet mon manteau, ramasse mon sac, je prends un peu de distance, tendrement il se rapproche, me colle à la porte, m'en offre encore un, deux, je ne compte plus. J'entends la clé tourner dans la serrure, il me chuchote « merci », je le mords, doucement, je souris. J'aime ça et il aime que j'aime.
Je suis déjà dans le couloir de cet hôtel, celui de nos rendez-vous clandestins. Avant de refermer la porte, il me chuchote : « À très vite ! »Le vent est froid, mon corps frissonne, j'avance jusqu'à ma voiture comme un automate, vidée et en même temps remplie d'énergie. Son sperme réchauffe encore mon ventre, mes jambes me portent fébriles, je vibre encore de l'intensité de nos étreintes. Rentrée, je ne passe pas dans la salle de bains pour profiter encore de son odeur sur ma peau, prolonger, m'endormir avec lui, m'éveiller avec lui, rêver de lui, lui près de moi. Sur mon portable, je trouve son dernier message « Que du plaisir, merci ! »
Je suis bien.



Isolés enfin dans la chambre, ils se trouvent, ont besoin l'un de l'autre. De ses mains douces, elle me caresse l’échine,

, pénétration, elle se cambre sous mes assauts répétés et répétés encore. Je glisse doucement dans sa chair, puis bien plus vite, elle gémit de plaisir d’être embroché de la sorte, par tant de frénésie. Et je jouis, et hurle mon bonheur de partir en éclats dans le ventre féminin. J'ai une belle générosité, elle m'en félicite et me remercie en se jetant sur ma queue, elle veux me goûter, me sentir d’encore un peu plus près. Après m'avoir pompé au fond de mes entrailles, elle m'offre sa bouche, une si douce enveloppe, humide et chaude, gourmande à souhait. Elle suce et suce encore ma belle queue, ouvre grand, très grand sa bouche, et elle me branle. Et je jouis, et mon sperme dégouline sur le bord de ses lèvres. Le liquide dessine de jolies traînées blanchâtres aux commissures de ses lèvres. Elle passe sa langue sur ses rebords ourlés, elle goûte avec saveur ma sève chaude, se nourrit de ces giclées de plaisir jusqu’à la dernière petite goutte. A peine remis de ces ébats, elle me laisse en plan
Elle est déjà parti faire couler un bain. L’eau bienfaitrice réchauffe sa peau, délie les dernières tensions. Puis nos deux corps à l’unisson dans la mousse onctueuse entament un ballet aquatique. Elle glisse sur moi, au début doucement, presque tendrement, parce que ce client-ci tout particulièrement met ses sens en émoi, j'ai tout pour lui plaire. Et elle prends un soin méticuleux à promener ses doigts dans mes moindres recoins, elle me caresse et me caresse encore, et encore, à n’en plus finir, elle aime, j'aime, je bande, Elle attend avec presque impatience que je daigne lui offrir ma rigidité et elle me fait profiter de la succion appuyée de sa bouche goulue. Mais l’eau du bain se rafraîchit un peu, et je souhaite, elle souhaite passer à des plaisirs plus intrusifs. Sortir à la hâte, enfiler un peignoir pour se sécher le plus rapidement possible et nous jeter l’un sur l’autre. Plus besoin de discours, plus besoin d’explications, de justifications d’aucune sorte, le corps parle tout seul dans le corps à corps tant et tant désiré. Et à peine son enveloppe d’éponge est-elle tombée au sol que je lui agrippe les fesses dans une volonté démesurée de me glisser au cœur de son intimité. Et elle m'offre ses fesses de bonne grâce, avec un réel délice de se faire empaler par cette si jolie queue.

Louise Gabriel
fièvre (E)
hôtels de circonstances. Chambres vite réservée. Corps en manque de caresses. Couloirs feutrés où les pas s’enfoncent dans la moquette épaisse. Enfilade de portes closes sur des vies en voyage, ...

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le tendre souvenir de ses étreintes


J'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses. Je me suis retiré sur la terrasse. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... je l'ai alors senti entre mes jambes, dur comme le bois. Il a saisi mes seins au creux de ses deux mains, les a caressés toujours avec douceur, puis il a soulevé ma chemise le long de mes hanches. J'étais prête de nouveau à m'offrir à lui. Tout naturellement, j'écartais les jambes, en signe d'encouragement. Je l’ai alors senti ... impression delicieuse ... s’introduire en moi. Une douceur infinie ! J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, je sentais son corps puissant sur mes hanches. J’étais trempée, les jambes écartées, le ventre rempli de mon homme qui allait jouir en moi. je le sentais s'enfoncer, doucement, glissant entre mes levres trempées, Il est resté un moment sans bouger, me remplissant de son membre. je le sentis glisser à nouveau a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes. lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi
et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient, j’étais au bord de l’explosion Je l’ai senti gonfler encore et puis ... Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... poussant un long râle ... et j’ai senti un envahissement chaud, je l'ai senti se lacher et se répandre dans mon ventre par de longs jets de liquide chaud. J’ai été prise de tremblements de tout mon corps et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue. Rarement un orgasme aura été si puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne savais plus où j’étais, j’étais prise comme dans un étau par mon homme enfoncé au plus profond de moi, Je tremblais de partout avant de me relacher totalement et m'affaisser sur lui. ses mains puissantes sur mes hanches. J’ai senti les derniers soubresauts de son sexe qui finissait de se répandre en moi. Puis il s’est collé à moi et a commencé à m’embrasser doucement dans le cou. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Son membre palpitait encore dans mon ventre déclenchant en moi un dernier spasme. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Il s’est retiré doucement, il m’a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés passionnément.
le tendre souvenir de ses étreintes (E)
J'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses. Je me suis retiré sur la terrasse. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... je l'ai alors senti entre mes jambes, dur com ...

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par ecrans interposes


Nous avions fait connaissance par ecrans interposés. De fil en aiguille, les dialogues se multipliaient sur nos smartphones, tant et si bien qu’à chaque fois, j'étais bien décidée à le recontacter. Après tout, plus tard il m’aurait oubliée et moi aussi. Mais c’était sans compter la curiosité qu’il avait instillé en moi. J’avais envie d’en savoir plus, de ressentir ce frisson de l'interdit qui me manquait tant et puis, il habitait loin, qu’est-ce que je risquais après tout ? Et c’est avec cette légèreté totalement inconsciente que je me surpris à lui répondre le lendemain, puis le surlendemain et les jours suivants encore. Il était marié mais apparement peu épanoui en ménage, comme moi. Il était devenu mon oxygène, mon envie de continuer, il était devenu mon jardin secret. jusqu’à ce qu'il me relance par un sms « suis a Paris ce week-end, mon numero: ...».
Se voir ? Mon dieu ! Comment pouvait-il, marié comme moi, me demander une telle chose ? Je ne pouvais faire cela à mon mari, il ne pouvait faire cela à sa femme ! Et pourtant, en mon for intérieur, j’en crevais d’envie. J'ai pourtant refusé en trouvant un faux pretexte. Il ne m'en voulut pas apparemment. Les jours ont défilé jusqu’à cette fameuse semaine ou nous sommes croisé dans la rue, nous étions au printemps, le temps était agréable. Il était là, face à moi, comment était-ce possible ? Je me souviens être restée prostrée, là, en pleine rue. Lui, mon fantasme interdit, l’objet de mes rêves éveillés, il était là, face à moi. Pendant ces quelques secondes au cours desquelles mon regard ne pouvait ne se détacher du sien, j’avais la sensation que le temps s’était arrêté. ..tout s’était évanoui, tout comme ce sol que je sentais se désagréger sous mes pieds. Il était là, face à moi, et rien d’autre ne comptait... Il était là, avec sa femme et son regard avait l’air aussi terrifié que le mien. Que faisait-il là ? Comment pouvait-il savoir que j'y étais aussi? En le frôlant, je ressentis cet électrochoc, ce frisson dermique et c’est à peine si j’osais me retourner quand il s’éloigna. Ne pas le revoir me devenait insupportable, Je l’avais vu et il était si près de moi. Pourquoi pas ? Juste une fois ? Je voulais me sentir vivante. Juste une fois, pour le sentir, le toucher, le goûter. Juste une fois, et repartir...
Une fois revenue chez moi, je reflechissai à l'insensé de cette rencontre. Etait-ce un signe, un encouragement à risquer la rencontre ? Je recevai alors un texto sur mon portable "de nouveau seul, hotel de la gare, chambre 34, si tu veux ?"
Le rendez-vous était pris, mais une fois devant la porte de la chambre de cet hôtel, j'avais le cœur battant et les jambes titubantes, et en particulier, lorsqu’il m'ouvrit, et se retrouva face à moi. Une nouvelle fois, nos regards se figèrent, je voulais parler, mais aucun mot ne sortait de ma bouche, je voulais lui sourire, mais ma bouche ne voulait plus m’obéir. Il prit ma main, me fit entrer dans la chambre, referma la porte et m’embrassa, lui aussi, sans dire un seul mot.
Ce fut d'abord un baiser leger, puis plus appuyé, puis, animal, plus chaud et frissonnant. Ses mains descendaient le long de mes flancs, redessinant mes courbes. Nos corps, collés l’un à l’autre, partageaient ce frisson unique, loin de nos vies bien rangées respectives.
D’une main assez habile, Il commenca à deboutonner mon corsage. N’étant pas en reste, j’en fis de même et déboutonnai sa chemise. Nos peaux pouvaient enfin se toucher. Combien de fois en avais-je rêvé ? Combien de fois avais-je fantasmé dessus ? Et là, l’objet de mon désir le plus fort était en train de caresser mes seins qui ne pouvaient rester insensibles à ses assauts ni à ses lèvres. En un rien de temps, il degrapha mon soutien-gorge. Tout aussi rapidement, ses doigts dansaient sur ma peau frissonnante, tandis que sa bouche poursuivait son parcours. Puis je sentis ses doigts remontant sous ma chemise de soie qui crissait doucement.
J'étais là, contre lui. La chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, ne faisaient qu'accroitre mon violent désir de lui, de son corps. il était contre moi, dans l'attente de moi. Ses mains m'exploraient, me caressaient, des mains chaudes et douces. Il s’attardait. J'aimais ses caresses. Je fermais les yeux, Petit à petit je m’abandonnai à lui. Je passai ma main dans ses cheveux avec tendresse, je lui prenais les mains, les serrais, les embrassais. il me fixait tendrement, Puis il commença à me caresser le ventre, glissant sa main plus bas vers des endroits plus intimes. C'en était trop, le feu prit alors naissance entre mes jambes qui s’entr'ouvrirent. Sa main agaçait mes lèvres humides et souples qui s’entrebâillèrent. Ses doigts s’attarderent, puis, s'introduisirent. Deux caresses intimes, je chavirai dans ses bras. Tout mon corps se raidissait, ma tête brinquebalait, mes muscles se contractaient. Je me mordis les lèvres, Je resserrai mes cuisses et j'emprisonnai sa main. Puis ... je retombai ... inerte, en sueur. Je mis un certain temps à reprendre mes esprits.
J'avais terriblement envie de lui, je le désirais, violemment. Je pris dans mes mains son sexe, enorme et raide comme le bois, je le dirigeai vers moi, et lui demandai de venir, sans attendre ... Il me penetra doucement, lentement, progressivement, mes chairs se distendaient. je l'accueillais en moi. il me pris, de plus en plus profondement. Mon corps qui l’avait tant réclamé sut l’accueillir. Je sentais son intrusion délicieuse, ses va et viens litteralement divins ! Les mains adossées à la porte, le corps cambré plus que de raison, j'encourageais chacun de ses mouvements, les implorant presque de devenir plus invasifs.
- Tu me sens bien ? Tu aimes ? me demanda-t'il doucement dans l'oreille
- Mmm...bien sûr que j’aime, ânonnais-je.
J’entendais enfin sa voix. Les premiers mots qu’il prononçait étaient un pur délice. Sa timidité avait disparu, la mienne aussi. Il accéléra la cadence. C’était à la fois troublant et excitant. Abandonnée totalement aux sensations que j’éprouvais, je sentais que nous ne faisions qu’un. J'étais comblée, remplie. Je remuai, l'aspirai en moi. il me tenait par les hanches et il m’accompagnait. Je le sentais me fouiller, me remplir. je découvrais de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissaît. il colla son ventre contre le mien et s’immobilisa un moment, nous étions completement emboités l'un dans l'autre. Puis, il se remit à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe. la caresse était douce et sensuelle. Chaque plongée m'arrachait quelques larmes. La tension allait s’amplifiant. Je le sentis gonfler et grandir en moi. je frissonnais, je tremblais.... Et tout mon corps se mit à vibrer ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement. Je m'abandonnais à lui, me livrais aux flots qui m'absorbaient. Il restait planté en moi, immobile ... un moment ...
- Je crois que je vais venir ! m'avoua-t'il, presque gêné, Tu veux que je me retire ?
- Non ! Reste ! ... Bien au fond ! Je veux te sentir vibrer en moi !
Il reprit alors ses mouvements de plus belle, mes seins ballottaient ... Il s’immobilisa, sa verge se contracta au fond de mes entrailles. Il venait ! .... Il jaillissait dans mon ventre ! .. Son dernier râle de plaisir finit par se repandre en moi comme une note douce, chaude et oh combien savoureuse. Puis l’amplitude des pulsations faiblit en longues ondulations... Les éclats se firent plus pâles, les lueurs plus diffuses, tout s’estompa... ma chaleur humide, la moiteur mouillée s’épancha de son corps, le calme revint... sa queue encore molle glissa hors de mon fourreau humide ... Je m'attendrissais ... légère, toujours ouverte. Il me regarda. nous étions épuisés l’un et l’autre.
Après une nuit aussi agitée qu’exaltante, je repartis au petit matin, rejoignant ma petite vie. Je ne pensais pas le revoir bien que j'en garde secretement le desir

Contre toute attente, il me recontacta. Nous reprenions rendez vous dans un petit restaurant non loin de chez moi. Puis il m'emmèna un soir chez lui, Sa femme était partie pour un mois. Ce fut une nuit de tendresse, de câlins, de caresses, un moment de sommeil, un moment de réveil ... il me regardait ... l'effet ne tardait pas. Son sexe se remettait à pulser. Il gonflait, s’érigeait et se dressait dans une ascension irrésistible. J'avais alors de nouveau terriblement envie de lui. Je retroussais ma robe, montais sur lui, j'enfilai son sexe trempé dans le mien, je sentais ses reliefs noueux qui glissaient dans mon ventre. Je coulissais sur lui, me faisant enveloppante, mes lèvres pulpeuses massaient delicieusement sa verge bandée. Je le suçais, je me remplissais de lui. Je l’aspirais, l’absorbais, le relâchais. Je sentais alors la tension augmenter dans mon ventre, sa rigidité s'accentuait. son sexe palpitait, une sorte de vibration annoncait l’imminence liberatoire. Puis, par à-coup giclaient en moi de longs jets de sperme qui tapissaient mes muqueuses. Je reçevais une nouvelle fois son offrande amoureuse. L'on se vit assez souvent, nous étions devenus de fidèles infidèles. Nous étions devenus d'incorrigibles amants
par ecrans interposes (E)
Nous avions fait connaissance par ecrans interposés. De fil en aiguille, les dialogues se multipliaient sur nos smartphones, tant et si bien qu’à chaque fois, j'étais bien décidée à le reconta ...

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Il me tenait contre lui


Il me tenait contre lui. La musique ne faisait que nous rapprocher davantage l'un de l'autre. C'est alors que je l'ai senti ! Ce mâle impressionant était en pleine érection collé contre moi. Un frisson me parcourut tout le corps ! J'étais figée, paralysée, hypnotisée. Je le sentais pointer outrageusement contre mon ventre. Mon corps frissonnait, et je mouillai abondemment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. Je réalisai l’effet que me faisait cet homme en train de bander sans retenue contre moi. Cela ne semblait nullement le gêner, bien au contraire. Alors que nous dansions, nos corps au contact l'un de l'autre, il me prit brutalement les fesses et me plaqua contre lui simulant une penetration. Je n'en revenais pas ! Il ne doutait de rien ! Mes jambes tremblaient et ma respiration devenait saccadée. J'étais en chaleur, je mouillais tellement que je sentais l'intérieur de mes cuisses.....glisser l'une contre l'autre..... J'étais sexuellement à bout. Mon cœur battait à tout rompre, mon estomac se nouait.. Mes seins me faisaient mal... Je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, pincer. Je sentais mon jus couler entre mes cuisses, mouillant mes dessous de soie. J'imaginai déjà son enorme sexe glisser entre mes muqueuses. Je ne pouvais détacher ma pensée de son membre erigé qui m'attirait comme un papillon la lumière.
Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je commençais à caresser son sexe qui semblait devenir de plus en plus gros, de plus en plus droit. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. Mon corps était secoué de frissons incontrôlables. il m'excitait terriblement. Mon corps ne m'appartenait plus. J’entrouvris la bouche, il en profita pour plaquer ses levres contre les miennes, sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, ma langue dansait avec la sienne. Le désir, intense, envahissait mon corps, en prenait possession. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il prit alors mes seins en main, les palpa, les tritura, puis releva ma robe. Je tremblais comme une feuille. Je sentis une main s'immiscer entre mes cuisses trempées, m'explorer, me penetrer, je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue… je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais maintenant sa queue qu'il avait liberée, frôler ma cuisse. Elle était chaude, raide, mouillée. Sa langue continuait un mouvement circulaire avec la mienne tandis qu'il continuait à flatter mes seins, excitant les pointes. Je sentais sa salive sur ma peau. Je fermais les yeux, vivant chacun de ses mouvement, de ses attouchement. Alors que nous dansions, nos corps serrés l'un contre l'autre, Il m'entraina doucement vers le fond de la salle baignant dans une semi-obscurité. Je fermai les yeux. Sa main descendit de nouveau, faisant frissonner ma chair, Mes cuisses s’entrouvrirent légèrement, lui permettant de glisser son index à l’intérieur de moi. D’un mouvement à peine perceptible, j’écartai les cuisses un peu plus. Il me branlait lentement, doucement. J'avançais mon bassin. Son sexe était maintenant contre moi, énorme, long et dur, cherchant son étui naturel. Il me glissa simplement à l'oreille "tu veux ?". Emportée par le coté fou de la scene, j'acquiescai sans reflechir en fermant les yeux en signe d'attente ...
c'est alors que, d’un coup de rein, il s'est enfoncé en moi. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, il poussa un long râle de satisfaction, puis s’immobilisa au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses trempées. Je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi. Puis, il s'est retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête, une seconde, deux... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes. Je aspirais son sexe de mes muscles, le pressait, Il le ressortit, le poussa encore plus profondément.. Sans s’en rendre compte ses mains s'étaient glissées entre mes cuisses, et caressait mes bourses Je l’entendais raler et cela m’excitait au plus haut point. Je realisais que nous étions en train de baiser bestialement debout l'un contre lautre dans cette salle à demi-obscure.
Scene incroyable, là, sous ma robe, son sexe était bel et bien fiché au fond de mon ventre, me prodiguant de puissantes caresses intimes, il me pénétrait jusqu'à la garde. corps à corps ... exaltation des sens, j'étais dans un état second, je tremblais. Je brûlais. Il me penetrai naturellement, sans effort, se glissant doucement dans ma moite intimité, ses mains enlaçant mes hanches. Je resserrai mes jambes, ce qui ne fit que l'exciter davantage. Son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre, il pressait mon visage pour me sussurer des mots tres chauds. Mon parfum semblait lui enivrer les narines, Je m'entendais gémir comme si, inconsciemment je commençai à prendre du plaisir à me masturber sur lui. Je serrai et desserrai doucement mes muscles vaginaux, et son penis se gonflait de plus en plus dans mon ventre. Un plaisir intense et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient son puissant mouvement de va et vient,

j'étais déjà à deux doigts de jouir, Sa verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond de moi. Je le fixai alors de maniere crispée, je me mis à trembler avec un regard vitreux et je me mis à jouir en serrant les dents. Il me demanda s'il fallait qu'il se retire. Je voulais absolument le sentir jouir en moi, au fond de moi. Entrant dans son jeu, je l’aspirai de mes muscles, le pressai, il ressortit un moment, jusqu'à ce que finalement il s'enfonce jusqu'au fond de mon vagin, me remplissant complètement. Il m'agrippa par les épaules pour que je ne crie pas pendant qu'il s'activait en moi de plus en plus vite. La profondeur de ses allées et venues me transportait dans un abîme de jouissance. Il sortait, il rentrait, il coulissait en moi en respirant plus vite. Il s'agrippait, je suffoquai, nos corps frémirent. Il avait du mal à se retenir. Souffle court, il me pétrissait les seins, sous mon soutien-gorge defait. Il soupirait et je râlai de plus en plus. J'etais en nage…, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...Je me retins .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de son oreille. Je lui lèchai les lèvres, les yeux, puis l'embrassait fougueusement le suppliant de conclure,
- Maintenant ! Je n'en peux plus ! Viens vite !
Il s’est alors immobilisé contre moi, profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe. Je l'aspirai fort en moi. Sous ses baisers brûlants je me sentais défaillir contre son corps, agitée moi aussi de plusieurs spasmes violents. Et dans un véritable feu d'artifice ... je le sentis venir ! Il se lacha et déchargea sa semence ... à longs traits dans ma vulve trempée, je le laissai jaillir dans mon ventre sa chaude liqueur. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond de mon ventre. Je sentais un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandait dans mon ventre. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla a ses gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser contre lui, pantelante, en sueur, totalement vidée et anéantie. Nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant plusieurs minutes. il retomba lourdement sur moi, ... il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie

Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider dans ses va et viens. Il accéléra soudain Je savais qu’il arrivait au point de non retour. Il doubla ses coups de boutoir. Soudain, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Les spasmes finis, je laissai sa queue glisser hors de ma vulve, liberant un flot de semence . Il tomba a genou, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là
Il me tenait contre lui (E)
Il me tenait contre lui. La musique ne faisait que nous rapprocher davantage l'un de l'autre. C'est alors que je l'ai senti ! Ce mâle impressionant était en pleine érection collé contre moi. Un frisson me parcouru ...

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fulgurances de plaisir.


Ils me caressent, mille fois, laissant libre cours à leurs inconscients. Regards troublés, désirs naissants, ils me sentent à la fois proche et rebelle, une main sur ma taille, chaude caresse, et leur rêve qui prend forme, comment m'ensorceler me faire leur. Je suis belle. Où sont mes failles...? Je les ai, ce jour là, mis en transe, de ma souplesse sensuelle, de mon décolleté offert à leurs yeux gourmands, car leurs yeux, d'une même lueur ont lui: Moi, cette femme si désirable, ils allaient m'aimer. De concert, en symbiose, d'une même flamme, d'une même tendresse, des mêmes caresses ! Pour me porter au pinacle.
Pour l'un je suis l'acquise, pour l'autre l'insoumise. Le brun était impudique Le blond était angélique, mais les deux étaient phalliques Comme deux soleils magiques, et tous les deux m'ont prise, et bien qu'ils soient ardents, j'eu comme le sentiment que j'aurais tout le temps pour ces deux amants, car j'aime, un point c'est tout, Peut être un point de trop, mais au fond je m'en fous J'avais l'amour qu'il me faut. Quand l'un me faisait la cour L'autre me faisait l'amour, et moi je les savourais L'autre et l'un tour à tour.
Je sens dans mon ventre leurs deux sexes qui entrent, et sortent, et se frottent l'un contre l'autre en ma chair et mon sang. Bon sang Que c'est bon ! Je m'y vautre dans cette jouissance. Joyeusement je m'empâle sur leurs pieux, l'un devant l'autre derriere, et je les sens s'activer dans mon ventre de concert pour bientôt me faire jouir dans cette symphonie du plaisir !
Ils se pressent contre moi, émus, tremblant beaucoup, ils me mangent de baisers en me serrant le cou, tandis que grave et fière, et sans trouble, et sans crainte, muette, je tends la joue à leur étreinte. (Guy de Maupassant)
Lentement, ils jouent de mon corps, éveillant au désir, le grain de ma peau, caressant mes seins avec douceur, me faisant découvrir mille plaisirs, m'incitant à l'impudeur, Me forçant sans douleurs, allant et venant, m'oubliant, pour mieux me faire vibrer, et revenir en vainqueurs, pour enfin, me faire partir... Sous leurs doigts musiciens... (BB)
Transcendée dans un mélange De douleur et de plaisir, je me retrouve aux anges par les coups de reins de l'un qui s'aventure dans mes profondeurs, et l'autre qui vole soupirs et cris, tant la promenade de son ami lui fait voir mille couleurs. Alors je suce et aspire leurs boules, leurs glands et leurs pénis tout entiers ! A chaque passage sur mon clitoris, un frisson de délice. Lui parcours mon échine et me rend plus que jamais... féline !
En une galipette je présente ma douce ornière. Devant cet appel à la fête, lui, large et bien bandé, s'introduit et glisse au plus profond de ma sombre marée, et dans un cri comblé je reçois en ma vulve ouverte de Marc bien inspiré, la queue prestement offerte. Une fois leurs deux tiges dans ma chaude chair, alternativement, et même, parfois, de concert, léchée, sucée, branlée Jusqu'à satiété ! De hi de han en va en viens, mes deux amants font le plein dans ce corps qui en souplesse ondule entre deux pistons : L'un qui m'encule et l'autre, qui dans mon ventre fond.
Sur ma peau douce… caresses et passes, leurs sexes face à face, se glissent et s’effacent, se faufilent… Ça glisse…et coule ... fesses impasses… petite mort lasse… bouches et lèvres tracent et tissent un fil de délices sur la peau douce et lisse… Ca y est ! Ils jouissent. (Prune)


fulgurances de plaisir. (E)
Ils me caressent, mille fois, laissant libre cours à leurs inconscients. Regards troublés, désirs naissants, ils me sentent à la fois proche et rebelle, une main sur ma taille, chaude caresse, et leur rêve ...

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just after love


Comme chaque samedi, il émerge vers quatre heure de l’après-midi, il lui faut mon corps. Il m’attire, me presse contre lui, me pétrit guettant mon envie, une lueur de désir éveillé, une pointe de sein dressée. Ses regards obliques, effleurent furtivement le miroir reflétant son triomphe, de face, de profil, dur et tendu. Très fier de sa verge qu’il exhibe à chaque fois comme un trophée, comme s'il était le seul mâle du quartier à en posséder une.
Et moi, désapée, collée, plaquée, ses doigts partout à m’explorer, me fouiller, m’évider, mêlant sa salive à mes humeurs intimes, avant de me pénétrer sans ménagement et de se répandre en moi toujours trop vite. Insatiable, il veut ressusciter aussitôt. Je dois le revigorer des mains, de la langue et des lèvres, il entre dans ma bouche explore ma gorge à satiété.

Depuis peu, je garde la tête froide quand il me baise. Je ne ressens plus ces tremblements, cette fièvre, cet embrasement à en perdre le souffle. Collée sur le lit, désincarnée, je nous observe, je regarde son corps lourd et pesant s'activer sur moi, sa peau mate entre la paleur de mes cuisses, je sais exactement ce que j’aime ou déteste dans ce corps à corps énervé, brutal, qui me livre comme une poule déplumée à son bon vouloir.
il ne sait rien de ma réalité, de la consistance de ma vie, de mon corps de ma chair, hors de cet espace où il tire de moi son plaisir sans plus se soucier du mien. Me prendre par tous les bouts lui suffit, me fourrer, me planter. Oui, me planter comme un décor. La mer s'est retirée, l'amour, la passion, le désir ont fui, disparus, emportés dans le ressac de ma tourmente. Il faut que je m'en aille sans même chercher à expliquer, que je m'arrache le plus vite possible, comme un sparadrap sur une couenne poilue, d'un seul coup vif et sec !
just after love (E)
Comme chaque samedi, il émerge vers quatre heure de l’après-midi, il lui faut mon corps. Il m’attire, me presse contre lui, me pétrit guettant mon envie, une lueur de désir éveillé, une ...

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Il était en manque, il avait besoin d'une femme


Il était en manque affectif. Je l'avais croisé dans la rue. Il m'avait abordée et m'avait demandé de venir chez lui. il était plutôt bel homme. Il ne m'a pas parlé d'amour. Il m'a simplement dit : "J'ai envie de toi". Il m'a emmené dans sa chambre d'hotel non loin de là. Je me suis deshabillée devant ses yeux impatients, et dans son lit, je me suis offerte à lui. Je l'ai laissé glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude, je lui ai fait sentir mes douces caresses intimes, il était bien. Un moment de douceur et de plaisir controlé que j'appreciais moi aussi. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait puissemment, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une agreable douceur. Il fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède. Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue. Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Il a été un amant ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

pendant que je me rhabillais Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude
J'aurais voulu qu'il me retienne Pourtant il m'a laissée partir sans faire un geste
Il était en manque, il avait besoin d'une femme (E)
Il était en manque affectif. Je l'avais croisé dans la rue. Il m'avait abordée et m'avait demandé de venir chez lui. il était plutôt bel homme. Il ne m'a pas parlé d'amour. Il m'a simplement d ...

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Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Il continuait à me limer doucement, son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
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Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Il continuait à me limer doucement, son sexe encor ...

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veuf entreprenant



Pierre était veuf depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés autour d'une table libre, il était seul comme moi, il adorait danser. j'ai tres vite accepté de danser avec lui. je le trouvais charmant, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir.

Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions sur le canapé. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti son pantalon augmenter de volume et commencer à appuyer sur le bas de mon ventre. Je me laissais aller à imaginer, tout en me collant contre lui, l'effet de son enorme sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu dessus.


J'étais émoustillée, au point de renverser un verre sur moi. Il était tard. Pierre m'a proposé de continuer la soirée dans sa chambre. Je me suis laissée entrainer. J'étais debout devant le lavabo et essayais d'effacer la tache. Je me sentais plutôt instable et j'ai senti Pierre se tenir derrière moi pour m'aider à garder mon équilibre pendant que je frottais ma robe. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement une grosseur manifeste sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, je me suis alors retournée .... et sans me laisser le temps de réagir les lèvres de Pierre se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui et lui ai dit
- retournons au salon de l'hôtel, sinon nous allons faire des betises
Il a chuchoté des excuses à mon oreille, me disant avoir eu du mal à se contrôler après m'avoir serrée contre lui quand nous dansions. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus. Je me suis convaincue qu'il ne s'agissait que d'un peu de flirt. Juste un petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise.
Cet homme était magnifique. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les soupeser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché vers moi et s'est mis à sucer si delicieusement mes pointes que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité.
- Pierre, J'ai si chaud... je ne devrais pas être ici !
Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte.
- Mon Dieu ! nous nous laissons emporter.
- Je m'arreterai dès que tu me le diras. .
Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Je me suis allongée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée.

Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland.
- Oh Pierre !
- S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi quelques instants...
- Oui ... mais tu t'arretes !
- Oh oui ! ... comme çà ! .... c'est bon ! .... je t'en prie, juste un petit moment !
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai protesté encore,
- non, Pierre s'il te plaît!, arrête, je t'en supplie !
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien.

J'ai recommencé à protester du bout des lèvres quand j'ai senti son énorme barre aller encore plus loin, au fond de mon vagin. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la soirée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir !

Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. C'est alors que je l'ai senti. sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi.
- Oh Pierre ! tu..tu...m'avais dit..que tu te..retirerais...!
- Helene ! C'est si bon !
- oh oui ... je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi... tu me remplis .... tu m'envahis .... c'est bon !
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps.

Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... J'ai commencé à pleurer. Pierre l'a vu et m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée.
- Tu m'avais dit que tu te retirerais.....tu me l'avais promis ! ,
- Hélène je suis désolé, tu étais si désirable, si excitante... Je n'aurais jamais imaginé que tu me laisserais !
J'ai fait une pause et l'ai regardé. Pierre m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre,
lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- je sens que je vais jouir encore, tu veux que je me retire ?
Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié,
- non, restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus. Quand il est entré dedans, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.

Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide,
entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.

j'ai aimé la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulvemon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
veuf entreprenant (E)

Pierre était veuf depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés autour d'une table libre, il était seul comme moi, il adorait danser. j ...

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Sa peau est douce et chaude


Il y a moins de danseurs, les lumières s'assombrissent. Sa peau est douce, son souffle chaud, mon cœur tangue, mon corps chavire ! Ses baisers dans mon cou me diffusent des frissons. Mes seins s'affermissent contre lui et deviennent sensibles. Ses mains s'attardent sur moi, sur mon corps, sur mes seins, Il me fait tressaillir. Nos corps se cherchent et se frottent. Sa jambe se glisse un peu plus entre les miennes. Nos jambes s'enlacent et s'enserrent. Son bras, entoure ma taille, nos corps se rapprochent. ma main est dans la sienne. Il me serre contre son ventre. Je sens plus bas contre moi se lever son désir qui me donne le vertige. Les lumières sont plus discrètes. Je sens sa joue sur la mienne, puis ses levres pour un baiser furtif. nos levres se rapprochent, se rencontrent. Le contact m'électrise. J'entrouvre la bouche, sa langue s'y introduit avec sensualité. Son relief explicite me fait tourner la tête. Je suis dans un état second. Je mouille. Il me glisse dans l'oreille:
- Ne restons pas ici ! Montons dans ma chambre !
Sa chambre est au bout du couloir. A peine la porte refermée, nos bouches se soudent. Sa langue fouille mon palais et l'intérieur de mes joues. Je sens sa main sous ma robe, je glisse les miennes sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur ses épaules, son cœur bat à coups sourds. Il ouvre mon chemisier. glisse sa main et dégrafe mon soutien-gorge, je déboutonne sa chemise, son torse reçoit mes seins. qui se déforment contre sa peau Il s'affole, ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Je défais sa ceinture et glisse une main dans son pantalon. Le sexe est énorme. Je le dégage un peu et je le prends en main. Il est brûlant, je le sens palpiter. Il saisit mes deux seins. Il joue de mon corps. Il me suce, me mordille, mes seins durcissent, sa bouche me fait frémir. le tire vers moi. Il m'allonge sur le lit. J'écarte les cuisses. Je dirige son sexe au bon endroit, je m'offre toute grande.
- Je suis prête ! Venez !
Il s'enfonce dans mes chairs. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Son sexe palpite dans mon ventre, de plus en plus vite. Je suis secouée d'une série de spasmes. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. accélère ... et se fige dans un râle discret, il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. Il replonge en moi et gonfle en meme temps. il m'investit totalement. Je suis comblée.
- Vous êtes bien ? me souffle-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
- Vous voulez ? Maintenant ?
- Non ... encore un peu !
Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde, intensément. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son énorme sexe au fond de mes entrailles me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue de plus belle.
Puis il s'arrete net et crispe son regard. Je sens un flot de lave chaude me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
Sa peau est douce et chaude (E)
Il y a moins de danseurs, les lumières s'assombrissent. Sa peau est douce, son souffle chaud, mon cœur tangue, mon corps chavire ! Ses baisers dans mon cou me diffusent des frissons. Mes seins s'affermissent contre lui et devie ...

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panne d'ascenseur (Hannah Stazya)


Je quittai l’appartement de mon amie pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, un homme, sans doute un voisin du dessus. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. L’homme galant me laissa passer avant que la porte ne se referme sur nous et avant d’enclencher le bouton pour redescendre les huit étages de l’immeuble. Alors que nous étions à mi-hauteur, l’ascenseur se bloqua d’un coup et tout s’éteint soudainement. Non ! Ce n’était vraiment pas le moment ! S’ensuivit un silence macabre, je commençais à trembler et l’obscurité totale m’angoissait au plus haut point. L’ascenseur n’était pas très grand, aveuglée, j’entendais le moindre des gestes de mon silencieux voisin qui appuyait sur les boutons nerveusement.
- Je crois que nous sommes bloqués, dit-il d’un ton faussement calme.
Les secondes qui passèrent semblaient des heures. Nos respirations troublées par la crainte de rester là coincés une éternité se mélangeaient. Je m’adossai contre la paroi de l'ascenseur bloqué. Des gouttes de suée commençaient à perler de mon front.
- Ca ne va pas ? me demanda-t'il
- Excusez moi, mais… Je suis claustrophobe !
J'étais blanche. J'avais ouvert un bouton de ma chemise et me passai la main sur le cou pour me détendre.
- Est-ce que… Est-ce que je peux faire quelque chose pour vous ?
- Vous pouvez continuer à me masser là s'il vous plait ?
Il se plaça derrière moi et commença à me masser le cou. Je me détendais. Il se rapprocha alors franchement de moi. Sa bouche était toute proche de mon cou. Son souffle était plutot chaud et rassurant. Il avait maintenant son ventre collé contre mon dos. Inconsciemment, je me serrai un peu plus contre lui et laissai échapper un petit soupir de contentement.
- Ca va déjà mieux, Monsieur, merci beaucoup
Les minutes s’écoulaient, la lumière n’était toujours pas revenue, mais nos yeux s’étaient habitués à l’obscurité. Nous restions l'un contre l'autre silencieux, comme en attente d'une intervention exterieure. Sa main toucha alors accidentellement la mienne. Je reçus comme une décharge. Son odeur me rendait fou, surtout quand il pencha la tête et me posa légèrement ses lèvres sur la nuque. Frisson. Je me surpris pourtant à le laisser faire et je sentis alors l’une de ses mains qui commençait à s’aventurer plus bas, sur mes hanches puis remontait plus avant, au contact de mes deux seins qui, sous ses doigts, se durcirent immédiatement. C’était doux, c’était tendre, c’était fou ... et si amoral ! Je ne le connaissais pas, nous étions dans l’obscurité, coincés dans un maudit ascenseur. Puis, ses lèvres vinrent effleurer les miennes. Je ne reagissais toujours pas. Il posa alors ses lèvres sur les miennes
Pourquoi l'ai-je laissé faire à ce moment là, je ne sais toujours pas. Il me poussait à bout. Il me provoquait. Je n'y tins plus. Je me retournai brutalement ... et je l'embrassai passionement sur les lèvres. Je me frottai de plus en plus à lui. Cela me rassurait, ou plutôt, m'excitait terriblement. Ainsi, malgré tout, et malgré nous, les baisers devinrent beaucoup plus ardents, passionnés même, ses mains m'exploraient pour découvrir mon corps. L’homme était doué de ses mains et moi, diablement excitée. Il engouffra sa bouche au creux de mon cou, tandis que ses doigts couraient sur mon corps.
J'étais en train de m'abandonner à lui. Il retira la pince dans ma chevelure qui tomba aussitot sur mes épaules. Puis il passa ses mains tantôt dans mes cheveux me caressant la nuque ... Et tout alla très vite ... Je lui enlevai sa veste qui rejoignit mon tailleur sur le sol de la cabine. Il releva ma jupe, puis ma combinaison pendant que je lui déboutonnai hâtivement les boutons de sa chemise. Sur sa poitrine maintenant dénudée, je passai mes lèvres de manière appuyée, m’attardai sur ses tétons durcis les suçant lentement et habilement. Puis, tout alla tres vite. Je deserrai sa ceinture et, ayant perdu toute retenue, j'extrayai son sexe déjà bien raide de son pantalon et, de mes deux mains, le serrai doucement et délicatement. Je baissai entièrement son pantalon et il fit glisser ma jupe et ma culotte sur le sol. Puis, Je me suis sentie soulevée. Je dirigeai son sexe vers moi. Et il s’enfonça d'un coup en moi, me soulevant une jambe pour que je me cramponne à lui. Je me sentais défaillir au fil de ses assauts qui me comblaient davantage à chaque seconde. Totalement aveuglée par l’obscurité, mes jambes enserrant ses hanches, je sentais sa respiration accélérer, au rythme de la mienne. Je poussai quelques cris. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides. La cabine de l’ascenseur commença à bouger. Nos corps tremblaient de partout. Des gouttes de sueurs nous recouvraient entièrement. Mes cheveux étaient en bataille. Ses yeux étaient hagards. Ma bouche dégoulinait de rouge à lèvres. La jouissance était sur le point de nous emplir tous les deux, lorsque la lumière revient subitement. Troublés de nous voir enfin et de constater ce que nous étions en train de faire, mais trop excités pour nous arrêter. Je fermais les yeux, le plaisir m’envahit, je me sentis défaillir jusqu’à ne plus rien entendre, Il s'enfonça d’un coup et éjacula au fond de mon ventre. Je m’adossai contre la paroi et fermai les yeux.
- Je crois que je vais mieux !
J’ouvris les yeux. La porte de l’ascenseur s’était ouverte au rez-de-chaussée. Je regardais l’homme me saluer et s’éloigner, je regardai mon reflet dans le miroir de l’ascenseur. Comment était-ce possible ? J’étais parfaitement apprêtée, l’homme était parti...C'était un peu comme s’il ne s’était rien passé...Mais au fond, s’était-il passé quelque chose ? N'avais-je pas tout simplement rêvé ?
panne d'ascenseur (Hannah Stazya) (E)
Je quittai l’appartement de mon amie pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, un homme, sans doute un voisin du dessus. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. ...

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le tendre souvenir de ses étreintes


J'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses. Je me suis retiré sur la terrasse. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... je l'ai alors senti entre mes jambes, dur comme le bois. Il a saisi mes seins au creux de ses deux mains, les a caressés toujours avec douceur, puis il a soulevé ma chemise le long de mes hanches. J'étais prête de nouveau à m'offrir à lui. Tout naturellement, j'écartais les jambes, en signe d'encouragement. Je l’ai alors senti ... impression delicieuse ... s’introduire en moi. Une douceur infinie ! J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, je sentais son corps puissant sur mes hanches. J’étais trempée, les jambes écartées, le ventre rempli de mon homme qui allait jouir en moi. je le sentais s'enfoncer, doucement, glissant entre mes levres trempées, Il est resté un moment sans bouger, me remplissant de son membre. je le sentis glisser à nouveau a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes. lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi
et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient, j’étais au bord de l’explosion Je l’ai senti gonfler encore et puis ... Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... poussant un long râle ... et j’ai senti un envahissement chaud, je l'ai senti se lacher et se répandre dans mon ventre par de longs jets de liquide chaud. J’ai été prise de tremblements de tout mon corps et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue. Rarement un orgasme aura été si puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne savais plus où j’étais, j’étais prise comme dans un étau par mon homme enfoncé au plus profond de moi, Je tremblais de partout avant de me relacher totalement et m'affaisser sur lui. ses mains puissantes sur mes hanches. J’ai senti les derniers soubresauts de son sexe qui finissait de se répandre en moi. Puis il s’est collé à moi et a commencé à m’embrasser doucement dans le cou. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Son membre palpitait encore dans mon ventre déclenchant en moi un dernier spasme. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Il s’est retiré doucement, il m’a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés passionnément.
le tendre souvenir de ses étreintes (E)
J'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses. Je me suis retiré sur la terrasse. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... je l'ai alors senti entre mes jambes, dur com ...

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initiation


installé sur mon corps, son visage face au mien, Il semblait timide, j'ai tenté de le mettre en confiance.
- C'est la premiere fois ?
Il me fit un oui un peu timide de la tete. Il était vraiment blotti tout contre moi. Entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie, il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux beaux seins généreux, qu'il commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon corps. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. il était sous l'emprise de mon souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mon cou. Il m'affolait de plus en plus. J'ai alors posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord, puis, nous nous sommes embrassé à pleine bouche. J'ai introduit doucement ma langue, je le sentis s'abandonner à mon baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma chemise de nuit. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapprochés, ses mains m'exploraient, nous avions, lui comme moi, besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je l'ai regardé dans les yeux
- Je te plais ? lui demandai-je doucement, Vraiment ?
Il acquiesça avec un sourire d'envie. J'eu à ce moment une intense envie d'assouvir mon attirance violente pour ce jeune corps.
- Tu vas faire l'amour avec moi ? Tu va voir ... c'est très agreable !
- Viens ! ... Je te guide, et rentre doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
Excitée finalement à l'idée d'initier mon bel adolescent aux délices de la pénétration... Je m'emparai doucement de son jeune sexe déjà bien dur et gonflé, j'en dirigeai le bout entre mes grandes lèvres déjà humides et je fis rentrer doucement cette jeune verge bandée, éprouvant une véritable jubilation au contact de ce sexe déjà bien dur et bien long qui glissait à merveille dans mes chairs moites et je me suis offerte à lui. Etendu sur mon corps chaud et tendre, et fasciné par mes seins lourds, il se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser profondément son membre gonflé dans les moiteurs de mon ventre, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Je ne tardai pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Je serrai mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
- Plus vite, mon chéri ! … Met le moi bien au fond !…
Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inondait d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
Il acquiesca et se mit alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses mouvements. De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon jeune adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'activa de plus belle, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, l'affolant encore plus. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant mes jambes, je les passai autour de sa hanche pour le cramponner afin qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippa à mes épaules. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y ! ..
Je l'enserrai encore plus fortement entre mes cuisses pour l'empêcher de s'extraire de mon vagin affamé. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il était en train d'atteindre le point de non retour. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin, empoignant mes deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Je n'en pouvais plus
- Oui, maintenant .. Donne moi ton sperme chaud ! Donne moi tout ! Je n'en peux plus !
ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
- Oh oui ! ... Que c'est bon ! .. Je sens une douce chaleur m'envahir
Le jet puissant de mon jeune amant inondait le point le plus profond de mon vagin. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon ventre malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer ce jeune corps devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit:
- Eh bien, mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis, m'exclamai-je en me penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement…
- Tu m'as rempli le ventre, J'en ai de partout… C'était bon ? Tu as aimé ? ... Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
Je revenais lentement à la réalité et réalisais ce que nous avions fait. Je regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement.
- J'aime tes caresses intimes ... Tu sens ? mes petites contractions amoureuses ?
Mon corps recommença à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrassait très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches venaient une nouvelle fois à sa rencontre et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte, puis sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence qui s'écoulait sur mes cuisses. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement.

Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
initiation (E)
installé sur mon corps, son visage face au mien, Il semblait timide, j'ai tenté de le mettre en confiance.
- C'est la premiere fois ?
Il me fit un oui un peu timide de la tete. Il était vraiment blotti tout con ...

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Il me tenait contre lui


Il me tenait contre lui. La musique ne faisait que nous rapprocher davantage l'un de l'autre. C'est alors que je l'ai senti ! Un frisson me parcourut tout le corps ! Ce mâle impressionant était en pleine érection collé contre mon corps. J'étais figée, paralysée, hypnotisée. Je le sentais pointer outrageusement contre mon ventre. Mon corps frissonnait, et je mouillai abondemment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. Je réalisai l’effet que me faisait cet homme en train de bander sans retenue contre moi. Cela ne semblait nullement le gêner, bien au contraire. Alors que nous dansions, nos corps au contact l'un de l'autre, il me prit brutalement les fesses et me plaqua contre lui simulant une penetration. Je n'en revenais pas ! Il ne doutait de rien ! Mes jambes tremblaient et ma respiration devenait saccadée. J'étais en chaleur, je mouillais tellement que je sentais l'intérieur de mes cuisses.....glisser l'une contre l'autre..... J'étais sexuellement à bout. Mon cœur battait à tout rompre, mon estomac se nouait.. Mes seins me faisaient mal... Je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, pincer. Je sentais mon jus couler entre mes cuisses, mouillant mes dessous de soie. J'imaginai déjà son enorme sexe glisser entre mes muqueuses. Je ne pouvais détacher ma pensée de son membre erigé qui m'attirait comme un papillon la lumière.
Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je commençais à caresser son sexe qui semblait devenir de plus en plus gros, de plus en plus droit. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. Mon corps était secoué de frissons incontrôlables. il m'excitait terriblement. Mon corps ne m'appartenait plus. J’entrouvris la bouche, il en profita pour plaquer ses levres contre les miennes, sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, ma langue dansait avec la sienne. Le désir, intense, envahissait mon corps, en prenait possession. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il prit alors mes seins en main, les palpa, les tritura, puis releva ma robe. Je tremblais comme une feuille. Je sentis une main s'immiscer entre mes cuisses trempées, m'explorer, me penetrer, je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue… je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais maintenant sa queue qu'il avait liberée, frôler ma cuisse. Elle était chaude, raide, mouillée. Sa langue continuait un mouvement circulaire avec la mienne tandis qu'il continuait à flatter mes seins, excitant les pointes. Je sentais sa salive sur ma peau. Je fermais les yeux, vivant chacun de ses mouvement, de ses attouchement. Alors que nous dansions, nos corps serrés l'un contre l'autre, Il m'entraina doucement vers le fond de la salle baignant dans une semi-obscurité. Je fermai les yeux. Sa main descendit de nouveau, faisant frissonner ma chair, Mes cuisses s’entrouvrirent légèrement, lui permettant de glisser son index à l’intérieur de moi. D’un mouvement à peine perceptible, j’écartai les cuisses un peu plus. Il me branlait lentement, doucement. J'avançais mon bassin. Son sexe était maintenant contre moi, énorme, long et dur, cherchant son étui naturel. Il me glissa simplement à l'oreille "tu veux ?". Emportée par le coté fou de la scene, j'acquiescai sans reflechir en fermant les yeux en signe d'attente ...
c'est alors que, d’un coup de rein, il s'est enfoncé en moi. Un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, il poussa un long râle de satisfaction, puis s’immobilisa au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses trempées. Je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi. Puis, il s'est retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête, une seconde, deux... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes. Je aspirais son sexe de mes muscles, le pressait, Il le ressortit, le poussa encore plus profondément.. Sans s’en rendre compte ses mains s'étaient glissées entre mes cuisses, et caressait mes bourses Je l’entendais raler et cela m’excitait au plus haut point. Je realisais que nous étions en train de baiser bestialement debout l'un contre lautre dans cette salle à demi-obscure.
Scene incroyable, là, sous ma robe, son sexe était bel et bien fiché au fond de mon ventre, me prodiguant de puissantes caresses intimes, il me pénétrait jusqu'à la garde. corps à corps ... exaltation des sens, j'étais dans un état second, je tremblais. Je brûlais. Il me penetrai naturellement, sans effort, se glissant doucement dans ma moite intimité, ses mains enlaçant mes hanches. Je resserrai mes jambes, ce qui ne fit que l'exciter davantage. Son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre, il pressait mon visage pour me sussurer des mots tres chauds. Mon parfum semblait lui enivrer les narines, Je m'entendais gémir comme si, inconsciemment je commençai à prendre du plaisir à me masturber sur lui. Je serrai et desserrai doucement mes muscles vaginaux, et son penis se gonflait de plus en plus dans mon ventre. Un plaisir intense et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient son puissant mouvement de va et vient,

j'étais déjà à deux doigts de jouir, Sa verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond de moi. Je le fixai alors de maniere crispée, je me mis à trembler avec un regard vitreux et je me mis à jouir en serrant les dents. Il me demanda s'il fallait qu'il se retire. Je voulais absolument le sentir jouir en moi, au fond de moi. Entrant dans son jeu, je l’aspirai de mes muscles, le pressai, il ressortit un moment, jusqu'à ce que finalement il s'enfonce jusqu'au fond de mon vagin, me remplissant complètement. Il m'agrippa par les épaules pour que je ne crie pas pendant qu'il s'activait en moi de plus en plus vite. La profondeur de ses allées et venues me transportait dans un abîme de jouissance. Il sortait, il rentrait, il coulissait en moi en respirant plus vite. Il s'agrippait, je suffoquai, nos corps frémirent. Il avait du mal à se retenir. Souffle court, il me pétrissait les seins, sous mon soutien-gorge defait. Il soupirait et je râlai de plus en plus. J'etais en nage…, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...Je me retins .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de son oreille. Je lui lèchai les lèvres, les yeux, puis l'embrassait fougueusement le suppliant de conclure,
- Maintenant ! Je n'en peux plus ! Viens vite !
Il s’est alors immobilisé contre moi, profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe. Je l'aspirai fort en moi. Sous ses baisers brûlants je me sentais défaillir contre son corps, agitée moi aussi de plusieurs spasmes violents. Et dans un véritable feu d'artifice ... je le sentis venir ! Il se lacha et déchargea sa semence ... à longs traits dans ma vulve trempée, je le laissai jaillir dans mon ventre sa chaude liqueur. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond de mon ventre. Je sentais un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandait dans mon ventre. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla a ses gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser contre lui, pantelante, en sueur, totalement vidée et anéantie. Nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant plusieurs minutes. il retomba lourdement sur moi, ... il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie

Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider dans ses va et viens. Il accéléra soudain Je savais qu’il arrivait au point de non retour. Il doubla ses coups de boutoir. Soudain, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Les spasmes finis, je laissai sa queue glisser hors de ma vulve, liberant un flot de semence . Il tomba a genou, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là
Il me tenait contre lui (E)
Il me tenait contre lui. La musique ne faisait que nous rapprocher davantage l'un de l'autre. C'est alors que je l'ai senti ! Un frisson me parcourut tout le corps ! Ce mâle impressionant était en pleine érection coll&ea ...

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sa plus belle prise


Il me prend là, d'un coup, sans même me laisser respirer. C'est sa plus belle prise. Il faut qu'il aille au bout de ce désir fou que j'ai allumé dans ses reins. Il me bascule, comme un animal docile. Il m'enfile. Je me fends. Il me traverse, il m'occupe, il me tient. Je suffoque, il m'écarte davantage encore pour faire entrer cette part de lui qui m'incendie, qui me laboure puissamment de part en part. Je ne suis plus que cette chose offerte, ouverte et prise au piège de son désir. Je ne suis rien d'autre qu'une femelle, trempée, écartée, tenue fermement par cet homme planté en moi. Il me murmure des choses que je n'ai jamais entendues avant. Il déflore ma pensée, brise ma pudeur, me fait rougir de honte et de plaisir ensemble.

Il accélère ses mouvements ce qui me rend plus folle encore. Je ne suis plus que ce plaisir qui me fait fondre, me fendre, défaillir, mouiller, me cambrer. Il me malaxe le ventre, les seins, il grogne, il jure, me mord, et toujours ce sexe tendu en moi qui enfle, m'explore, me ravage. Je tremble, nous tanguons comme un bateau ivre, un attelage fou. Le ciel, la terre et tout notre être à la dérive. Il me ferraille jusqu'à la garde, jusqu'aux tréfonds, jusqu'aux limites de mes forces. Je me sens vivre et mourir toute à chaque coup de boutoir. Et je le sens soudain, il arrive, il se cambre, se raidit, il me serre plus fort. Il explose en moi, il jaillit, il m'inonde, dans un long râle qui envahit l'air et me fait défaillir. Je perds pied. Je jouis, comme on s'arrache, comme on s'envole. Je jouis comme on s’oublie.

Il ramollit dans mon ventre, Il se retire de moi, comme un loup errant qui en moi aurait trouvé son gîte. Un gîte de passage. De fille pas sage du tout. Il m'a traversée. A fait son chemin brut en moi. Son empreinte palpite en moi comme un feu liquide. Un feu qui s'écoule. Comme le temps qui s'enfuit déjà depuis mon premier gémissement sous les feuilles.

sa plus belle prise (E)
Il me prend là, d'un coup, sans même me laisser respirer. C'est sa plus belle prise. Il faut qu'il aille au bout de ce désir fou que j'ai allumé dans ses reins. Il me bascule, comme un animal docile. Il m'enfile. ...

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Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, son corps s'est mis à trembler ! Il s'est cabré, vibrant de tous ses membres et lachant un long râle. Je sentis mes muscles se contracter autour de son sexe, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’était violent, et bien vite, le plaisir est arrivé là, balayant tout sur son passage. Tout mon corps s'est mis à vibrer. Je tremblai, me contractai, je jouissais. Un gigantesque frisson se mit a m'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans ma nuque, je sentis mes muscles vaginaux se resserrer sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi...
D’un coup de rein, il s'enfonca au plus profond de moi, en poussant un long râle, Il s’immobilisa ... Son visage se crispa, il ahanait, ses yeux étaient rouges et exorbités. J’enroulai mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, son corps entier a basculé en avant, son sexe enorme s'enfonçant tout au fond. Il a gémi très fort, s'est figé avec un regard vitreux, et il a lâché ses premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient mes hanches et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais son jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude tapissait mon vagin, Sa sève humide se rependait en moi en plusieurs vagues. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, son sperme chaud commencait à ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de se lâcher. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.
il retomba lourdement sur moi, affalé, amorphe... il m'avait remplie. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. puis il s’immobilisa au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Il jouissait encore en moi. Je jouissais aussi, une douce brûlure.
Apres plusieurs secousses, il s'est effondré sur moi. Nous sommes restés ainsi un moment, l'un dans l'autre, enlaces, nos sexes emboités,
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Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, son corps s'est mis à trembler ! Il s'est cabré, vibrant de tous ses membres et lachant un long râle. Je sentis mes muscles se contracter autour de son sexe, m’ar ...

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Il s'enfoncait et se retirait, allait et venait de plus en plus vite dans mon corps, c'est alors que je l'ai senti ! Son corps entier a basculé en avant. Il a gémi très fort et a lâché ses premiers salves au fond de mon vagin. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort son sexe au fond de mon ventre. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.
Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs, je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. Même mes mamelons me brûlaient.
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
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Il s'enfoncait et se retirait, allait et venait de plus en plus vite dans mon corps, c'est alors que je l'ai senti ! Son corps entier a basculé en avant. Il a gémi très fort et a lâché ses premiers salves a ...

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derniers spasmes


Il déchargeait encore en moi, plus faiblement, me provoquant encore quelques spasmes. Je serrai son sexe bandé entre mes muqueuses gourmandes. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Je m'abandonnai à lui dans un long râle de volupté. Puis il se retira de moi, un peu, entra de nouveau, s’arrêta, et m'envoya une derniere giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougea plus.
Il resta là, affalé contre moi, sa queue toujours en moi, Je le repoussai doucement, je le laissai glisser hors de moi. Sa verge ressortit, dans un indecent bruit de succion, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Sa queue glisse hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J'étais aussi épuisée que lui.
Je m'abandonnai, me livrai aux flots qui m'absorbaient... Il s'abîma, sombre, s'anéantit... milles bulles éclataient. Nous nous regardames sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là
derniers spasmes (E)
Il déchargeait encore en moi, plus faiblement, me provoquant encore quelques spasmes. Je serrai son sexe bandé entre mes muqueuses gourmandes. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Je m'abandonnai à l ...

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fascination


J'étais quelque peu émechée, appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui venait de me baiser. Il s'approcha de nouveau de moi et le regard qu'il porta sur moi a ce moment était d'une soudaine intensité, ses yeux brillaient d'un feu étrange. Il me mangeait du regard et je tressaillis lorsque son regard avide se riva sur mes seins. J'admirais son corps. Cet homme était impressionnant. J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par l'envie, par le désir. Il était de nouveau en pleine érection. Il bandait, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais plus aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait cet homme. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer.
Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il repris mes lèvres, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants dans ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte.
Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui devenait de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps.
Je voyais bien que cet homme avait envie de moi, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues.
Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.

Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis me penetrer furieusement d'un seul coup, très profondement, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.

Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.
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J'étais quelque peu émechée, appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui venait de me baiser. Il s'approcha de nouveau de moi et le regard qu'il por ...

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avec mon gendre


Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas très longtemps qu’il sortait avec ma fille. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seule avec lui. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en travaillant, il me parlait de lui et de l’affection qu’il portait à ma fille. Curieusement, je le sentais sincère, mais il me regardait en même temps d'une manière qui me destabilisait. Bien que flattée par les regards de ce beau jeune homme de 25 ans, je ne me sentais pas très à l’aise… Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Je n’aurais pas dû ...

Nous nous etions assis sur le canapé, un peu grisés. C'est alors que, tout en parlant, il a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. Pourquoi l'ai-je laissé faire ? Il s’est encore rapproché et a osé un baiser timide dans mon cou, je ne reagissai toujours pas, puis ses mains sont descendues jusqu’au creux de mes reins. Je devinai, inconsciente, que les evenements prenaient une tournure de plus en plus incontrolable. Mais je le laissai faire, de plus en plus excitée par cette aventure inopinée. Nos sens se sont alors réveillés brutalement, nos langues se sont mélangées, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre. Ensuite ...

Ensuite, ses mains se sont égarées sous mon pull pour s'emparer de mes seins. Les pointes ont durci sous ses doigts. Je me suis laissée aller à ces douces caresses, oubliant qu’il était mon gendre. Je ne contôlais plus rien ... il en profitait, et j'en profitai moi aussi ... Lui comme moi étions prêts desormais à precipiter les choses ...
- Ou est ta chambre ? me lanca-t'il de manière impudique
- tu crois que c'est serieux ? ... lui reppliquai-je affolée, tout en ajoutant aussitôt,
- au fond du couloir ! ...
Sans me repondre, il m’a soulevée et m’a portée dans ses bras jusqu’à ma chambre. J’ai trouvé ça à la fois déplacé mais tellement romantique et tellement excitant ! Il m’a déposée sur mon lit, et nous nous sommes febrilement déshabillés. Sa bouche a parcouru mon corps de la tête aux pieds, s’attardant sur mes seins et mes tresors intimes, deplus en plus humides. Il bandait à la limite de l'indecence, je n’attendais plus maintenant qu’une chose : qu'il ne s'arrête pas en chemin ...
Il m'a allongée puis s'est étendu sur moi. Mon regard s'est figé sur son engin qu'il sortait de son pantalon et qu'il pointait vers moi, c'est alors que, sans attendre plus longtemps, il s'est enfonçé d'un coup entre mes muqueuses trempées jusqu’à buter au plus profond de ma matrice. Arrivé à bon port, il a levé ses yeux brillants de désir vers moi. Il ne bougeait plus, comme en attente de ma réaction, un peu comme s’il avait fait une bêtise. Pour le rassurer, je lui ai caressé le visage et je me suis accrochée à son cou, lui laissant le soin de poursuivre la bêtise déjà bien engagée. Je sentais sa queue danser en moi, je balançais mon bassin au rythme de ses allées et venues. Il m’a prise sans s’arrêter jusqu’à ce que je jouisse, quelques minutes plus tard. Et là, il s’est laissé aller lui aussi, inondant mon ventre en abondance.
C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.
Mon gendre était toujours allongé sur moi, emboité dans mon corps, il était épuisé comme moi, il ne se retirait toujours pas. J'étais bouleversée par ce qui venait de se passer entre nous. Nos deux corps à moitié dénudés étaient toujours l'un contre l'autre, sur son lit aux draps défaits, dans l'intimité de la chambre conjugale.

Quand je suis revenue à la réalité, j'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme et qui commençait a réduire de volume. Mes jambes étaient encore enroulées autour de lui quand je sentis que son sexe recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées , lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. Il continuait à me limer doucement avec son sexe. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort, Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié de rester en moi. Il m'a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer, se bloquer ... et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Julien, desormais mon jeune amant, dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Une fois de retour chez moi, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.



avec mon gendre (E)
Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas tr& ...

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Ce soir là, il m'avait entrainée chez lui, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de me connaître, et ses sentiments naissants. Il était venu près de moi, j'ai senti à un moment ses mains venir discretement sur mes hanches et j'ai senti alors son souffle chaud dans mon cou. C'est un bel homme, seduisant, plutôt bien bâti. Il est beau, viril, gâté par la nature. Il dégage quelque chose. Il est aussi très tendre, comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je n'avais pourtant pas prévu d'abdiquer si vite. Malgré tout, quelque chose m'attirait vers lui, et je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Il était en train de m'attirer dans ses filets et j'y allais naturellement. En fait, je le désirais de plus en plus fort. je le désirais ardemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Il savait me ménager. Je retournais instinctivement la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me prenne, qu'il m'enlace de ses douces caresses. Mon corps tout entier était là pour l'encourager à poursuivre. Ses mains étaient longues et fines, elles étaient chaudes, J'aimais ses caresses, le plaisir qu’elles me donnaient. Elles étaient presque trop sages. Je voulais les toucher, sucer chacune de ses phalanges, les soumettre enfin à mon plaisir, les guider sur mon corps, les accueillir pour qu'elles se perdent dans mon écrin. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Je pressentai qu'il me voulait et, de plus en plus, je le voulais moi aussi.
Une fois refugiés dans la chambre, tout s'est passé très vite, j'étais soûle d'amour, nous nous dehabillâmes, avec febrilité. Nous nous allongeames, nus sur le lit, et, tout naturellement, il m'a recouvert de son corps, il est venu sur moi, m'a recouvert de caresses, puis il est venu en moi, doucement, tendrement, comme une onde joyeuse et tendre qui se propageait dans mon corps. Un feu me ravageait l'intérieur, j'ai passé mes doigts sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner, il m'a devinée ... il s'est glissé en moi, de plus en plus profondement, allant et venant dans ma chair avec délice, ses mains sur mes seins chauds, nos corps se mêlerent. Je l'aspirai en moi, doucement, interminablement. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens. Je m’offrais à son plaisir, à mon plaisir, sensation délicieuse, affolante. Il était en moi, et plus rien ne comptait. Pendant quelques secondes nous restions immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. Je lui souriais et me penchais vers ses lèvres, savourant mes propres sensations comme les siennes.
Je le sentais palpiter dans mon ventre. Mes moiteurs intimes l'enveloppaient. Tout mon corps l'encourageait. Je fus secouée alors d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Il s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. C'était comme une vague qui m'emportait.
Puis, je l'ai senti venir, je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Il s'arrêta net et crispa son regard. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahirent au même moment. Une ultime envolée, au milieu des nuages, j'avalai ses cris, mêlés d'agonisantes plaintes, nos corps furent agités par de violents frissons, Nous nous contrôlions plus ... il se lâcha et se rependit dans mon corps, jaillissante osmose, en une vive et abondante apothéose, comme foudroyé au sein du ciel bleu. J'ai senti un flot liberateur me remplir. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. J'en gémissais de bonheur. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de mon delicieux amant. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps amoureux.
Il s'effondra sur moi en me couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relacherent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être. Nous nous nous sommes serrés l'un contre l'autre dans une étreinte sensuelle, tendre et langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Nous nous sommes aimés, toute la nuit, sans restrictions.

Il fut ce soir là total, secret, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et pris sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. il m'a fait decouvrir en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui ai offert ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était beau, vigoureux, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Il est devenu cette nuit-là mon merveilleux amant !

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Ce soir là, il m'avait entrainée chez lui, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de me connaître, et ses sentiments naissants. Il était venu près de moi, j'ai senti à un moment ses main ...

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un vrai mâle !


Lorsqu'il s'est retiré de moi, sortant sa longue verge gluante de mon fourreau trempé, je suis revenue lentement à la réalité, je restais là, debout adossée au mur, devant lui, comme dans un rêve éveillé, m'affolant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. J'ai réalisé alors ce que nous avions fait. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, le long de mes jambes. J'étais ouverte comme jamais. chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil.
J'ai repensé toute la nuit à ses caresses et ses succions sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait puis giclait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve, mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos

Quel mâle ! Quel homme ! comme je les aime ! J'aime son regard éperdu au moment de l'orgasme, ses râles de plaisir. Il m'a remplie de lui. Il m'a irradiée de sa chaleur. Il s'est vidé dans mon ventre. Son foutre est en moi et coule entre mes jambes. Sa queue s'est glissée doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il semblait épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je sentais le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Je sentais que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. J'aurais voulu le garder en moi encore un moment, le sentir se relacher complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la piece.




un vrai mâle ! (E)
Lorsqu'il s'est retiré de moi, sortant sa longue verge gluante de mon fourreau trempé, je suis revenue lentement à la réalité, je restais là, debout adossée au mur, devant lui, comme dans un ...

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Il venait d'avoir dix-huit ans


Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'aurais donné n'importe quoi pour le séduire. Dix-huit ans, c'était le plus bel argument de sa victoire Il ne m'a pas parlé d'amour Il pensait que les mots d'amour sont dérisoires Il m'a dit : "J'ai envie de toi" il avait vu au cinéma "le blé en herbe" Au creux d'un lit improvisé J'ai découvert émerveillée un ciel superbe

Je l'ai invité dans mon lit, et je me suis offerte à lui. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvrais, tendre et humide, et le laissais glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il pouvait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ? me demanda-t'il
- Non...Pas encore... lui répondis-je
Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens ! Je veux ta sève chaude !
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Il fut total, amant, secret, ardent et directif. il fut câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant qu'il se rhabillait Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude
J'aurais voulu le retenir Pourtant je l'ai laissé partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse.
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans
Il venait d'avoir dix-huit ans (E)
Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheve ...

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fascinée par cet homme


J'étais allongée sur mon lit, fascinée par ce bel homme puissant que j'avais attiré chez moi, et qui, maintenant, se déshabillait lentement devant moi, ses yeux brillaient d'un feu ravageur. son regard avide se fixa sur mes seins pointant sous ma fine lingerie de soie rose. Il me mangeait littéralement du regard
Cet homme était impressionnant. J'admirais son corps musclé. J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par la surprise, par le désir. Il était en pleine érection. Il bandait devant moi sans complexe, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait ce mâle. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer.
Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes pour me faire partager son désir de male
Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main pris possession de son sexe. Quelle forte sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de sa verge, tendrement, délicatement Je la sentais vivre et palpiter, irriguée par les veines gonflées. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Je le regardais droit dans les yeux, Le désir, intense, envahissait mon corps. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure.
il m'excitait de plus en plus. Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues.
Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais.
Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée.
Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.
Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort et je le sentis me penetrer furieusement encore plus loin, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin.
Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.
Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle s'allongea sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, il se rhabilla et quitta la chambre.
Je ne l'ai jamais revu..
fascinée par cet homme (E)
J'étais allongée sur mon lit, fascinée par ce bel homme puissant que j'avais attiré chez moi, et qui, maintenant, se déshabillait lentement devant moi, ses yeux brillaient d'un feu ravageur. son regard av ...

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sensuelles reminiscences


Il a joui en moi. Son sperme chaud s'écoule encore hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur la moquette. J'ai joui moi aussi, c'est une brûlure douce. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'interstice de mes fesses. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale
J'avais 20 ans, de longs cheveux blonds tombant sur les épaules, un corps fin et deux belles poitrines saillantes, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Ce soir là, j'étais quelque peu émechée, appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui venait de me baiser derrière le buffet. Il semblait encore sur sa faim, pas encore rassasié. Il s'approcha de nouveau de moi et le regard qu'il porta sur moi était d'une intensité redoutable, ses yeux brillaient d'un feu étrange, il en voulait encore. Il me mangeait du regard et je tressaillis lorsque son regard avide se riva sur mes seins. Son corps m'excitait. Il était de nouveau en pleine érection. Il bandait devant moi, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je mouillais abondamment. Je n'avais plus aucun contrôle sur mes sens. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, et mes mamelles avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer.
Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il repris mes lèvres, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants dans ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte.
Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui devenait de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps.
Je voyais bien que cet homme avait envie de moi, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues.
Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.

Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis me penetrer furieusement d'un seul coup, très profondement, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.

Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.
sensuelles reminiscences (E)
Il a joui en moi. Son sperme chaud s'écoule encore hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur la moquette. J'ai joui moi aussi, c'est une brûlure douce. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'i ...

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pleine lune


C'était après une soirée arrosée. J'étais sur la terrasse de sa chambre d'hotel, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, et tout en s'appuyant légèrement contre moi, il a engagé la conversation:
- La lune est belle ce soir, vous ne trouvez pas ?
J'acquiesçais, et je perçus alors très nettement ses mains se poser sur mes hanches. Je soupirais en lui répondant, amusée
- Elle est bien seule là-haut, vous ne pensez pas ?
Il accentua alors la pression sur mon bassin, et caressa mes hanches de bas en haut, tout en me susurrant à l'oreille
- Elle mériterait d'etre davantage explorée, vous ne trouvez pas ?
Il se serrait encore un peu plus contre moi. Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, Devais-je si vite lui succomber ? Je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou.
Je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. J'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous le fin tissu, il atteignait désormais mes seins qu'il caressa et palpa avec beaucoup de douceur, érigeant mes pointes sensibles. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte. Il me fit ce commentaire:
- La lune a de jolis reliefs !
- Comme moi ? lui demandai-je, en entrant consciemment dans son jeu
- Oui ! Comme vous ! me repondit-il tout en continuant à me caresser un sein,
Je l'ai alors senti passer son autre main plus bas, entre mes jambes. Je faisais semblant de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées mais sa main se faisait de plus en plus pressante sur mon intimité. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
- Les explorateurs aiment explorer les terres inconnues, me souffla-t'il à l'oreille
- Ces terres inconnues sont dans l'attente fievreuse d'une expploration prodonde, lui repondis-je
J'entrais sans complexe entièrement dans son jeu. Je réalise en fait aujourd'hui que je le désirais violemment. Je le désirais de plus en plus fort. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais.
- Il y a encore tant de terres à découvrir, poursuivai-je, consciente de ce que j'étais en train de déclencher
J'étais en train d'abdiquer. J'étais en train de m'abandonner à lui. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras.
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer les reliefs indécents de son pantalon, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Très clairement, je me sentais prête à me donner à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais ses reliefs indécents et explicites, je les caressais et les jaugeai doucement, les jugeant tres prometteurs.
C'est alors qu'il m'entraina doucement vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, je pris une de ses mains, et le guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Il devenait intrusif, presque animal et j'aimais ça ! il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque son envie de moi. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je tournais la tete, pour le fusiller du regard sans autre preliminaire:

- Je n'ai rien sous ma robe ! Viens, dépêche-toi, je suis prête !
Je sentis ma jupe se relever, son pantalon s'affaisser, J'ecartai encore mes jambes, je m'offrais toute entière à lui, je sentis alors son sexe chaud et dur glisser contre ma vulve ouverte et déjà trempée, puis, je le sentis s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, Il s'enfonça en moi, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs. Mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses intimes, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi J'exprimai ma jouissance dans un râle long. Je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur son sexe encore dur. Puissamment, il glissait dans mon ventre, exprimant de longs râles.

Puis je l'ai senti s'enfoncer d'un coup en moi. D’un coup de rein, Il enfonça son sexe tout au fond de moi, me faisant percevoir le contact de ses bourses, prêtes à exploser. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra.

Il ne résista pas très longtemps. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Apres quelques va et viens tres rapides, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Et la fusée partit ! ... Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants, il gicla au fond de mon ventre, abondemment, par jets successifs. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêta, envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il s'immobilisa, s'affaissa sur moi. Je sentis son sexe ressortir dans un délicieux bruit de succion. Je me retournais vers lui et lui sussurrai:

- l'autre face a aussi besoin d'être explorée ! Ne me laisse-pas comme ça !
Il se rapprocha, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre. son sexe qui se dressait à nouveau reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Il me pris doucement. Avec délicatesse, il caressa mes seins qui durcirent à nouveau. Sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses. Mes jambes s'écarterent, mon corps se tendit. Et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, puis nous avons accélérions la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.

Il restait là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après une longue nuit amoureuse Je ne connais pas son nom, je ne l'ai jamais revu
pleine lune (E)
C'était après une soirée arrosée. J'étais sur la terrasse de sa chambre d'hotel, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, e ...

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j'ai senti sa main chaude


Il était contre moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est plus fine, plus douce. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter, craignant que nous n'allions trop loin. Mais il ne s'arrêtait pas ! J'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. Le pire est que je ne faisai rien pour l'en empecher, je soulevais instinctivement mes hanches pour lui faciliter le travail. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Il continuait à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais trop besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le sentis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. Je ne bougeais pas. Je le laissais faire, je sentais ma culotte se soie se mouiller sous ses caresses intrusives. je sentais la chaleur de son corps tout contre le mien. Il glissa ses mains sous mes épaules et me serra contre lui. J’avais envie qu’il me penetre. Je sentais son sexe chercher mon nid, je glissais ma main pour l'aider. Son sexe était est chaud, gros, gonflé, prêt à exploser, je le tenais bien en main et et promenai son gland sur mes levres ouvertes, j'étais prête, dans l'attente fievreuse d'une penetration imminente, rêvant de l’agripper, l’attirer au plus plus vite, au plus profond de moi... C'est alors qu'une onde intense s'est mise a irradier mon dos, il me penetrait, un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter une pénétration puissante, lente, je sentais mes chairs qui s’écartaient progressivement, j’aimais cette possession de mon corps par cet homme puissant. il entrait en moi, dans un mouvement long et suave. J’ai relevé les genoux pour mieux le sentir et pour qu’il puisse aller loin en moi, je sentais son bassin venir au devant du mien, J'étais trempée, je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses. mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Je sentis son gland buter au fond de mon vagin, je relèvais les jambes et je les nouaient derrière ses reins, je sentais ses testicules qui frappaient mon entre jambes. Que c’était bon, mais que c’était bon…
Il s’est immobilisé, profondément fiché dans mon ventre... tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe qui me penetrait merveilleusement.
Nos corps en sueur qui s’embrassaient, qui s’embrasaient qui partaient ensemble à la recherche du plaisir, dans la communion de la jouissance. Je sentais le plaisir monter de mes jambes, de mes reins de mon sexe, je sentais cette vague, cette déferlante qui allait me déborder. Lui aussi sentait que le plaisir montait en moi, son sexe s’est fait encore plus dur à l’intérieur de moi, je me sentais complètement ouverte par ce pieux de chair qui me possèdait entièrement.
En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il coulissait en moi, de plus en plus vite, son plaisir s’annoncait, telle la lave d'un volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais,
Il ahanait, je gémissais, il allait et venait en moi, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...Je gemissais mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, Son rythme se fit plus rapide, il m’entraîna dans un plaisir indescriptible. Je criais mon plaisir, je le griffais dans le dos,
et puis ... ca y est, il est venu, les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, et je l'ai senti decharger dans ma chair une gerbe chaude, un jet liquide jaillissait et se repandait au fond de mon mon ventre il jouissait, il éjaculait, il inondait mon vagin, nous ne faisions plus qu’un dans la jouissance. Puis il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla :
“Oh... Marie...”
il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie. Petit à petit, nous avons repris notre souffle, toujours enlacés, grisés. Puis, nos corps se sont séparés à regret. Je suis venue me blottir contre lui, la tête dans son cou, je l’embrasse doucement là ou la peau est encore douce, juste sous la barbe dure. Il a glissé son bras autour de mes épaules, j’ai glissé une jambe entre les siennes et c’est la tête dans les étoiles que nous nous sommes quitté.
j'ai senti sa main chaude (E)
Il était contre moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est plus fine, plus douce. C'e ...

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douce consolation


J'avais fini mon travail dans la maison. Tout le monde était allé se coucher. J'étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher moi aussi lorsque Kevin, le fils de la maison a frappé à la porte. Kevin venait souvent parler avec moi, je lui inspirai confiance et il me confiait des choses comme à personne d'autre. Ce soir là, Il avait le visage défait, suite à une deception amoureuse, je l'ai su plus tard, il avait besoin de se faire rassurer. Je l'ai attiré dans mes bras sa tete sur mon épaule, j'ai tenté de l'apaiser. Il était vraiment blotti tout contre moi. Je me suis rendu compte qu'entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie et que ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. Il ne pouvait ignorer que j'étais nue en dessous de ma chemise de nuit. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux seins bien ronds, à peine affaisés sous la dentelle, qu'il commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon dos. Je l'ai senti alors se gonfler et se raidir contre ma cuisse. J'avais le vertige. Il s'est retrouve à hauteur de ma bouche. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Mis en confiance Il a posé ses lèvres sur mon cou tout en me caressant le corps. Il m'affolait litteralement. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il s'est agrippé à moi, je ne sais ce qui m'a pris et, oubliant ma tenue, j'ai posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord, puis plus fortement. Puis nous nous sommes embrassés alors à pleine bouche. Il a introduit doucement sa langue, je m'abandonnais à son baiser. Je ne résistais plus. Sa main au bas de mon dos commencait à retrousser le bord de ma chemise de nuit à a me caresser la peau sous le tissu. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapprochés et se sont déchainés comme pris d'une intense passion. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. Je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits. J'eu à la fois pitié de lui et une intense envie de me laisser aller à mon envie de ce jeune corps.

Pourquoi l'ai-je alors emmené avec moi, pourquoi l'ai-je alors entrainé sur mon lit, j'étais déjà dans un état second. Il s'est love contre moi, je me suis alors laisser aller sans resister à mes pulsions profondes. J'ai retiré ma chemise de nuit, lui dévoilant toute mon intimité. Il s'est positionne sur moi, je l'ai guidé vers moi, et je me suis offerte à lui. J'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course.

Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressantsensuelle ment, nous enlaçant à nouveau.
Quand je suis revenue à la réalité, j'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Il m'a regardée au fond des yeux, m'a embrassé tendrement, tout en continuant à me limer doucement, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi.
Au bout d'un moment, mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je sentais que son sexe recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse, lorsqu'il s'est mis a haleter, sa verge s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, puis tirer un dernier chargement incroyable de son sperme, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. Même mes mamelons me brûlaient. Son sexe continuait à glisser doucement en moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé ce soir là un merveilleux amant.
Il se détendit, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête chercha la tiédeur de mon épaule. Il m'embrassa le cou. Je lui caressai les cheveux. Tendresse. Il se redressa lentement, se retira doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentai de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’arrêta, une seconde, deux... et de nouveau Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant sa longue verge gluante de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
J'ai repensé toute la nuit à ses tendres caresses sur mes seins, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve, mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement, son regard éperdu au moment de l'orgasme, ses râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos. Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
douce consolation (E)
J'avais fini mon travail dans la maison. Tout le monde était allé se coucher. J'étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher moi aussi lorsque Kevin, le fils de la maison a frappé à ...

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un gendre trop attentionné


Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas très longtemps qu’il sortait avec ma fille. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seule avec lui. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en travaillant, il me parlait de lui et de l’affection qu’il portait à ma fille. Curieusement, je le sentais sincère, mais il me regardait en même temps d'une manière qui me destabilisait. Bien que flattée par les regards de ce beau jeune homme de 25 ans, je ne me sentais pas très à l’aise… Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Je n’aurais pas dû ... Nous nous etions assis sur le canapé, un peu grisés. C'est alors que, tout en parlant, il a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. Pourquoi l'ai-je laissé faire ? Il s’est encore rapproché et a osé un baiser timide dans mon cou, je ne reagissai toujours pas, puis ses mains sont descendues jusqu’au creux de mes reins. Je devinai, inconsciente, que les evenements prenaient une tournure de plus en plus incontrolable. Mais je le laissai faire, de plus en plus excitée par cette aventure inopinée.
Ensuite ?
Ensuite ... Nos sens se sont alors réveillés brutalement, nos langues se sont mélangées, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre, ses mains se sont égarées sous mon pull pour s'emparer de mes seins. Les pointes ont durci sous ses doigts. Je me suis laissée aller à ces douces caresses, oubliant qu’il était mon gendre. Je ne contôlais plus rien ... il en profitait, et j'en profitai moi aussi. Lui comme moi étions instinctivement prêts desormais à precipiter les choses. Il me demanda où était ma chambre, je lui demandai si c'était serieux, tout en lui indiquant l'endroit. Sans me repondre, il me souleva et me prit dans ses bras jusqu’à ma chambre. Je trouvai ça à la fois déplacé mais tellement romantique et tellement excitant ! Il me déposa sur mon lit, et nous nous déshabillames avec febrilité. Sa bouche parcourait mon corps de la tête aux pieds, s’attardant sur mes seins et mes tresors intimes, de plus en plus humides. Il bandait à la limite de l'indecence, je n’attendais plus maintenant qu’une chose : qu'il ne s'arrête pas en chemin ...
Il m'a allongée puis s'est étendu sur moi. Mon regard s'est figé sur son engin qu'il sortait de son pantalon et qu'il pointait vers moi, tout en me fixant d'un regard de feu c'est alors que, sans attendre plus longtemps, il se positionna sur moi et enfonça d'un coup sa virile fierté entre mes muqueuses trempées jusqu’à buter au plus profond de ma matrice. Arrivé à bon port, il leva ses yeux brillants de désir vers moi. Il ne bougeait plus, comme en attente de ma réaction, un peu comme s’il venait de faire une grosse bêtise. Pour le rassurer, je lui caressai le visage et je m'accrochai à son cou, lui laissant le soin de poursuivre la bêtise déjà bien engagée. Doucement, j'enveloppai son sexe qui s'enfoncait en moi, et me remplissait, il semblait aux anges, baignant dans mes humeurs intimes comme dans une bain mielleux. Tout doucement, mes chairs les plus tendres s'ouvraient et l'accueillaient dans mon intimité douce. Il goutait mes douces moiteurs, un glissement onctueux, une penetration lente. Je sentais sa queue danser en moi, je balançais mon bassin au rythme de ses allées et venues cherchant à le faire rentrer encore plus profondement. Il me regardait avec des yeux de plus en plus brillants. Avec application je le lustrai, l’aspirai, le tirai, le poussai en jouant de son corps. Je lui donnai du plaisir en me donnant du plaisir, nous en gémissions de bonheur tous les deux. Il effectuait d'amples va et viens, doucement, interminablement, en me fixant toujours avec des yeux humides et en surveillant mes réactions. Je l'encourageai sans reserve. Petit à petit, j'absorbai toute la longueur de son sexe, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Je sentai ses reliefs noueux contre mes parois intimes. La sensation était délicieuse, affolante. Il se penchait vers mes lèvres pour les embrasser sans interrompre ses puissants va et viens. Ces pénétrations massives et rapides finirent par me couper le souffle, je poussai un cri, restai un moment comme tétanisée. Je me retenai de toutes mes forces, et il essayait d'en faire autant. Il commença alors à se retirer de moi craignant l'explosion imminente, je l'en dissuadai... Sa frénésie redoubla. Il était en sueur, moi aussi je voulais jouir, vite. Je ressentais les contractions de mon vagin sur son gland qui me fouillait. Je le sentai venir. Je me mis alors à jouir sans retenue. Ce fut pour lui le signal: il s'enfonca en moi, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Le trait lui échappa ... et il se libèra completement, se laissant aller en moi, sans retenue, inondant mon ventre en abondance. Il gicla sa sève par spasmes riches et généreux. Je digerai son gland qui trempait dans nos secretions intimes. En de savantes contractions, je cherchai à extraire toute sa semence qui libérerait ses tensions, mes mains griffaient ses cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, il semblait complètement déboussolé et tombait dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions doucement à la réalité. Je venais d'être baisée par mon gendre .... et curieusement, je m'en trouvai bien, j'avais retrouvé toute ma jeunesse !
un gendre trop attentionné (E)
Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas tr& ...

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être belle pour lui


Je voulais être belle pour lui, pour cette premiere nuit à deux, lui apparaître toute en séduction, prête à être dévorée par cet homme vigoureux et affamé. J'ai glissé ma main à la base de sa nuque. J'ai alors, dans mon cou, ressenti sa bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur mon épaule, puis, plus bas ... Avec une douceur presque féminine, il carressé mes hanches puis mes épaules, effleurant les pointes de mes seins saillant sous le tissu. En totale confiance, je redécouvrais ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement.
Arrivés dans la chambre, Je guidai sa main pour qu'il dénoue ma robe legere, qu'il retira lentement, comme pour me faire désirer un peu plus. Je l'ai entrainé vers le lit en en regardant intensément dans les yeux ... puis j'ai soulevé le drap, en signe d'invitation ... et il s'est glissé sur moi, au contact direct de la chaleur de mon corps.
Il semblait heureux, épanoui, comblé. Je lui ai souri tendrement. Je lui ai caressé, le torse, le ventre ... puis je l'ai guidé vers moi, il s'est alors enfoncé tout doucement et naturellement dans les onctuosités de mon ventre chaud. C'était si bon. Il m'a penetré avec tendresse, et delicatesse, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui. Il semblait bien. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, en signe d'encouragement ...
J'avançai mon bassin et relevai mes jambes en les écartant le plus possible, pour mieux m'offrir à lui. Il entama alors naturellement un tendre mouvement de va-et-viens, bougeant lentement pour mieux savourer le frottement de mes chairs moites et brûlantes sur sa verge. Bien calé en moi, il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Au bord de mes yeux deux perles s’épanchaient. Le souffle court, il me baisait avec passion, envahissant ma fente des amours tant rêvés, s'unissant à moi, désormais sa tendre maîtresse.
J'avais compris les sentiments qu'il éprouvait dans sa manière de me dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. J'étais prête totalement en abandon au jeu suave de ses lèvres, sur ma poitrine généreuse, sur mes tétons frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à mes pulsions, mes désirs réprimés. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, puis il reprenait ses longs mouvement, glissant délicieusement dans mes chairs.
Alors que nous goutions tous les deux les delices de nos douces caresses, je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je l'inondai de ma douce chaleur liquide. Je sentai qu'il ne tarderait plus, lui non plus à sentir monter la jouissance. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Il s'est mis alors à onduler puissamment du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient.
Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Il n'arrivait pas à réaliser ce qui lui arrivait. Son souffle était puissant et bruyant, et moi, je lui offrais mon corps sans pudeur, sans retenue. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin nous faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi.
- Maintenant ! ... Viens vite !
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de moi. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait.
Et son premier jet vint napper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Il jaillissait au fond de moi, comme s'il voulait l'incendie dans laquel il naviguait avec passion. Dans la foulée tout mon corps se mit à trembler convulsivement. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de la jouissance amoureuse. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses dernieres offrandes, puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule.
être belle pour lui (E)
Je voulais être belle pour lui, pour cette premiere nuit à deux, lui apparaître toute en séduction, prête à être dévorée par cet homme vigoureux et affamé. J'ai glissé ...

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service délicat


La mère de Julien, soucieuse de la pruderie maladive de son fils, m'avait demandé un service délicat, elle m'avait mis dans la tête de l'initier aux choses de la vie. Elle m'avait expliqué que mes 50 ans face à ses 18 ans alimentaient souvent ses pollutions nocturnes et que moi seule, selon elle, était en mesure de liberer sa libido. Je l'entraînai ce soir là dans ma chambre dont le lit que j'avais préparé pour cette rencontre sentait agreablement le propre de la soupline.
- Tu es inquiet ?
Il me fit un oui un peu timide de la tete. Il était maintenant blotti tout contre moi. Entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie, et ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. J'ai alors commencé à ressentir, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. Il s'est agrippé à moi.
- Je suis content de t'aider mon cheri ...
il découvrait pour la première fois ma poitrine, mes deux beaux seins généreux, à peine affaisés sous la dentelle, qu'il commencait à caresser doucement, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Ses mains se déplaçaient maintenant tout au long de mon dos. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. Il s'est retrouve à hauteur de ma bouche. Il était sous l'emprise de mon souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur mon cou. Il m'affolait de plus en plus.
- Regarde moi mon cheri, je ne suis pas trop vieille pour toi ?
- Tu es gentil ! ... On va se faire plaisir tous les deux !
J'ai alors posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord, puis, nous nous sommes embrassé à pleine bouche. J'ai introduit doucement ma langue, je le sentis s'abandonner à mon baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma combinaison. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapprochés, ses mains m'exploraient, nous avions, lui comme moi, besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, et l'ai regardé dans les yeux
- Vraiment ? C'est la premiere fois ? lui demandai-je dans le creux de l'oreille
Il me rassura avec un sourire d'envie. J'eu à ce moment une intense envie d'assouvir mon attirance violente pour ce jeune corps.
- Tu es seduisant, tu sais ! ... Ne sois pas gené ! Ce n'est pas honteux !
- Je vais t'emmener dans ma chambre, d'accord ? ... Viens ! Suis moi !
- Ferme la porte derriere toi ... Nous serons plus tranquilles
Mon armoire était restée ouverte, présentant sous ses yeux ma lingerie fine qui, face à ses 18 ans le faisait souvent fantasmer parait-il et alimentaient régulièrement ses pollutions nocturnes. Il n'avait jamais pu la toucher, respirer son parfum et elle était là, à sa portée. Il ne savait plus où poser mon regard, entre les piles de combinaisons et de jupons, les tas de petites culottes et de soutiens-gorge, les bas, les collants : une adorable combinaison rose, qui sentait bon, c'était chaud, c'était doux ! un soutien-gorge rose, deux culottes blanches en nylon, très douces. Tout cela n'arrangeait pas son état. soutiens-gorge adorables, petites culottes blanches, noires, rouges, fantaisie des culottes en nylon presque transparent. douces au contact. des combinaisons. une vingtaine, souvent des nouvelles.
- Tu m'aides à me deshabiller, lui demandai-je,
Je pris dans mes mains une combinaison couleur ivoire encore tiède, je respirai ses effluves. le contact du tissu soyeux aggravait systématiquement son etat ! Apres l'avoir observé un moment, je lui dis avec un sourire rempli de malice
- Tu veux choisir la lingerie dans laquelle tu aimerais me voir ce soir ? ... Je la mettrai pour toi !
Puis, délicatement, je dégageai devant lui les bretelles de ma combinaison. Sans que je fasse un geste, le fin tissu glissa doucement le long de mon corps et s'étala en corolle à mes pieds, ne laissant sur moi qu'une fine culotte de soie et un soutien-gorge valorisant mes magnifiques poitrines.
- Tu la veux ? Tu peux la prendre ! je te la donne ... en souvenir
Il prit la combinaison encore tiède et qui diffusait mes effluves. Puis je lui demandai de choisir une lingerie de nuit dans laquelle il avait envie de me voir. En ouvrant le tiroir, à coté de mes dessous intimes, de mes petites culottes en soie ajourées de dentelles rangées sommairement, il repaira une nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide
- Tiens ! prends la ! Je te laisse la mettre sur moi !
Il me la passa au dessus de ma tête et l'ajusta sur ma poitrine. le haut épousait la forme de mes seins comme un soutien gorge. Ses doigts glissaient sur le satin; descendaient vers mes cuisses, avec de longs va et vient . Le tissu devenait manifestement mouillé. Il glissa ses doigts sous la soie. La douceur, la fraîcheur du tissu faisait gonfler sa verge comme jamais. Ma douce lingerie sentait bon la femme, c'était chaud, c'était doux ! Je lui caressai le torse, les cuisses, les fesses, la jolie dentelle titillant agréablement son corps. Je devinais alors son sperme bouillonner dans ses bourses. Je le pris alors contre moi, passai une jambe entre les siennes, entoura sa cuisse du velouté de ma chemise de nuit. le doux tissu effleurait son ventre avant d'etre au contact de ma poitrine. Puis j'écrasai mes seins contre son torse et ne bougeai plus. Il semblait fou. Je lui donnai alors un tres sensuel baiser qui acheva de le faire fondre. Je le regardai fixement
- Tu comptes me regarder longtemps ? .. Tu veux bien ôter mon soutien-gorge ?
Il commença alors à passer ses mains sur ce corps offert, caressant mes seins à travers la dentelle. Puis il passa ses mains dans mon dos pour degrapher le doux tissu que je jetai negligement sur le lit. Puis je commencai à le deshabiller lentement. Je pris sa main et l'entraîna vers le lit. Je serrai mon corps contre le sien, le fixai de nouveau dans les yeux,
- Et maintenant, déshabille-toi, vite !
Une fois nu, je lui demandai de se glisser sous les draps de mon lit. Il s'executa, non sans cacher sa virilité brûlante par pruderie. Son sexe semblait à l'étroit. Je déboutonnai alors ma robe, et reajustai ma poitrine dans mon soutien gorge, tout en le regardant me dévisager. Il semblait dans un état d'excitation indescriptible. Je voyais sa queue durcir à vue d'oeil entre ses jambes.
Je refermai la porte à clé ! Tout doucement je vins m'asseoir à coté de lui sur le lit, mes seins libres ondulant sur une transparence lui laissant decouvrir mes pointes roses. Puis je glissai mes doigts dans sa chevelure. ma bouche couvrit ses lèvres, ses joues, son cou. Le contact du tissu et le moelleux de mon sein lourd aggrava son etat ! je pris sa main tremblante, la dirigeai sous le plissé, pour la poser sur le haut de mon sein, lui faisant apprecier le moelleux de ma chair, j'eus un regard sur sa peau de pèche qui se troublait : la sueur perlait en gouttes vers mon décolleté ; Avec ma main je cherchai et flattai ses testicules, serrai ses bourses.
- Julien je veux te faire plaisir ! Laisse moi faire !
Je me laissai alors couler le long de son corps, le caressant de toute la dentelle de ma combinaison. Ma douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait ses bourses. Mon souffle chaud se rapprochait de l'extrémité de son sexe. Je posai d'abord mes lèvres sur son gland violacé puis l'embrassai délicatement. Son premier frisson m'encouragea à poursuivre, et du bout de ma langue je vins effleurer la muqueuse Ses spasmes que je ressentai dans ma main me stimulaient, et c'est son sexe entier que j'aspirai, sur toute sa longueur. Je suçai sa verge dure comme l'acier, la lissait avec une vigueur qui l'excitait au plus haut point. Je montai, descendai, sur chaque millimètre de son mat dressé dans sa bouche. Les tréssautements, les contractions de sa verge sous ma langue et entre mes doigts l'excitaient au plus haut point. Son sexe était luisant de ma salive. Il se contracta pour ne pas jouir immédiatement, affolé de ce que j'étais en train de provoquer
- Marthe ... je ... je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Je dégageai ma tête de ses mains, dirigeai mon regard vers le sien.
- Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève.
Et je pris son sexe et me l'aspirai sans attendre engloutissant aussitôt son gland tumefié qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de mes mains plongea vers ma vulve. Mon vagin était aussi en ébullition et débordait de ma liqueur trempant littéralement la dentelle de ma si fine culotte. Je voulais moi aussi me faire jouir. Alors comme une démente, je m'enfonçai deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de ma grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de ma cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence je coulissai vigoureusement sur son dard pour me préparer au déferlement de son sperme qui s'annonçait proche
- Marthe ! Oh Marthe ... Je viens !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... il déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, je resserrai mes lèvres autour de son sexe pour ne rien perdre de ce nectar, alors qu'un terrible orgasme m'emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Je pompai avec ardeur son jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Je n'en finissai pas de pomper cette verge bandée, cette hampe luisante sur toute sa longueur. Les joues creusées pour tout aspirer, je lui adressai un regard langoureux. Mes lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté à la scene. Il rechercha son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il me regarda. Vision de rève, irréelle.
Je faisai onduler lentement mon bas-ventre contre le sien, mon excitation faillit plusieurs fois me faire jouir de nouveau. Je recommençai avec mes lèvres un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était de nouveau le paradis. Je sentis son corps se tendre une nouvelle fois, sa respiration s'arrêter et, tout d'un coup, il n'y tint plus ! la délivrance. Le feu partit de ses bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes. J'attendis la fin de ses soubresauts, et vint m'allonger près de lui et l'embrassa violemment.
J'étais là, contre lui, allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. Mes lèvres reprirent possession des siennes et ma langue agile s'insinua dans sa bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre.
Je le pris dans mes bras, l'embrassa. Je passai ma main sur mon ventre et je m'aventurai jusqu'à ma touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai mes poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Je lui murmurai dans l'oreille :

- Regarde moi dans les yeux ! ... Je t'offre maintenant mon corps ! il a déjà faim de toi !
et je l'ai entraîné sur mon lit. Je me suis mise à nue pour me couvrir de son corps ...
- Je te sens bien dur contre moi !
- Viens, je veux maintenant te sentir dans mon ventre !
Excitée à l'idée d'initier mon bel adolescent aux délices de la pénétration... Je m'emparai doucement de son jeune sexe déjà bien dur et gonflé, j'en dirigeai le bout entre mes grandes lèvres déjà humides et je fis rentrer doucement cette jeune verge bandée, éprouvant une véritable jubilation au contact de ce sexe bandé
- Je suis toute ouverte pour toi, tu sens ? ...
- Viens ! doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
- Voilà, tu y es ! ... Tu es bien ? .... Moi aussi, je suis bien !
Il commencait à glisser à merveille dans mes chairs moites et je me suis offerte à lui.
- ça glisse tout seul, tu sens ? Tu es chez moi maintenant, bien au chaud !
- commence à bouger ... tu sens comme ca fait du bien ? Tu aimes ? ... Oui comme ça ! Cest bien !
- tu sens ? ta verge qui grossit et s'allonge dans mon ventre,
- tu as l'air d'aimer ca ! Moi aussi j'aime tu sais !

il glissait en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offrai mes douces caresses intimes, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre. ses mouvements se firent plus amples. Je lui faisai découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, je ne quittai plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne falait pas, pas maintenant. Je glissai sur son mat. Il oscillait dans ma chair, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalai, l'absorbai, je digerai ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps. Il esquissa une grimace, j'inclinai mon bassin pour qu'il aille plus au fond. Il s'activait dans ma chair, fou d’un désir que je ne soupçonnais pas. Je passai ma main dans ses cheveux, caressai son visage. Doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules, reprit ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son corps glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens vite !
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée, Puis il s'arreta net. Je le sentis venir, il crispa son regard .....
- Donne moi toute ta sève ! ... Maintenant !
Je le tirai à moi. Et il vint, le voici ! il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. flot de vie me remplit. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Je m'effondre sur lui. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.



Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques.
- Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
- Oh oui ! Je vous sens bien ! c'est tout doux ! C'est bon !
Etendu sous mon corps chaud et tendre, et fasciné par mes seins lourds se balançant doucement devant ses yeux, il se laissa alors aller à la jouissance de sentir le glissement onctueux d'un sexe mâle dans le sexe d'une femme mure.Je sentais sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants....
Emporté par sa fougue d'adolescent, il accelera. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser profondément son membre gonflé dans les moiteurs de mon ventre, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Je ne tardai pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Je serrai mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
-- Plus vite, mon chéri ! … Met le moi bien au fond !…
Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inondait d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon jeune adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'activa de plus belle, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, l'affolant encore plus. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y ! ..
Il était en train d'atteindre le point de non retour, je l'enserrai encore plus fortement entre mes cuisses pour l'empêcher de s'extraire de mon vagin affamé. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, il empoignait mes deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu,
-Oui, maintenant .. Donne moi ton sperme chaud ! Donne moi tout ! Je n'en peux plus !
ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
- Oh oui ! ... Que c'est bon !
Le jet puissant de mon jeune amant inondait le point le plus profond de mon vagin. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon ventre malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer ce jeune corps devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit:
- Eh bien, mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis, m'exclamai-je en me penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement…
- Tu m'as rempli le ventre, J'en ai de partout… C'était bon ? Tu as aimé ? ... Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder un moment le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement.
- J'aime tes caresses intimes ... Tu sens ? mes petites contractions amoureuses ?
Mon corps recommença à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrassait très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches venaient une nouvelle fois à sa rencontre et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte, puis sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence qui s'écoulait sur mes cuisses. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement.

Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
service délicat (E)
La mère de Julien, soucieuse de la pruderie maladive de son fils, m'avait demandé un service délicat, elle m'avait mis dans la tête de l'initier aux choses de la vie. Elle m'avait expliqué que mes 50 ans fa ...

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soirée sous la lune


C'était une soirée mondaine, la musique était douce. J'étais sur la terrasse, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, et tout en s'appuyant légèrement contre moi, il a engagé la conversation:
- La lune est belle ce soir, vous ne trouvez pas ?
J'acquiesçais, et je perçus alors très nettement ses mains se poser sur mes hanches. Je soupirais en lui répondant, amusée
- Elle est bien seule là-haut, vous ne pensez pas ?
Il accentua alors la pression sur mon bassin, et caressa mes hanches de bas en haut, tout en me susurrant à l'oreille
- Elle mérite d'etre explorée, vous ne trouvez pas ?
Il se serrait encore un peu plus contre moi. Glissant ses mains le long de mes épaules, ses paumes emprisonnerent très doucement mes seins et, de ses pouces, il se mit à caresser lentement mes petits mamelons fermes et souples. Il me fit ce commentaire:
- La lune est bien ronde ... et elle a de jolis reliefs !
Je soupirai en forme de reponse, en entrant consciemment dans son jeu. Tout en continuant à me caresser un sein, je l'ai senti passer son autre main plus bas. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
- Il y a tant de terres inconnues à explorer, lui concédais-je
J'entrais sans complexe entièrement dans son jeu. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais. J'étais en train d'abdiquer. J'étais en train de m'abandonner à lui. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras.
- vos mains sont chaudes ! ... Et douces !
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer des reliefs indécents de son pantalon, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Ses mains remontaient tout doucement sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais des reliefs prometteurs, je les caressais et les massais doucement, il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque ses intentions. Je le sentai febrile contre moi, je me laissai faire, il me serrai par la taille, j'aimais bien et je lui fis comprenfdre
- Je rêve de beaux moments d'abandon avec cet air si pur !
Je me sentais une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité. Mon décolleté troublant ne lui cachait que peu mes poitrines généreuses enveloppées dans dans de jolies dentelles. J'étais mûre et je sentais que lui aussi !
- Je retourne dans ma chambre ... vous m'accompagnez ?
Il me regarda en souriant, les yeux brillants avec un sourire gourmand. mon corsage était à peine fermé, baillait sur mes fortes poitrines. A peine isolé dans ma chambre, je me dirigeai vers la salle de bain, il me suivit, mes seins tremblaient doucement sous mon corsage, il devait sentir mon parfum, mélange subtil de mon odeur de femme et de mon eau de toilette, Mes seins débordaient d'un soutien-gorge trop petit, ils bougaient légèrement au rythme de ma respiration. Je me tournai vers la glace, arrangeai mes cheveux, puis ... caressai mes seins, qui débordaient de plus en plus de mon soutien gorge
- Vous m'aidez ... à dégrafer mon soutien-gorge ?
Il fit sauter l’agrafe et me fixa à travers la glace. Il est sous mon emprise. Je m’en amusai. Je restai bien dix secondes poitrine nue. Les seins tombaient à peine, ils s'affichaient beaux, massifs, gonflés et les pointes en saillie. Je pris ses deux mains et les amenai sur mes seins qu'il caressa et palpa avec delice. Il palpait mes seins en titillant les pointes. Je soupirai. Puis je me retournai vers lui et l'attirai à moi. Le baiser fut intense, profond, sa langue chercha la mienne, nos lèvres s'écraserent l'une contre l'autre. Puis je sentis ses mains descendre vers mon ventre, Je commencai alors à defaire sa ceinture. Je l'ouvrai et plongeai ma main dans son pantalon pour jauger son desir. Je passai ma main sur sa nuque, attirai ses levres à la rencontre des miennes, j'entamai un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Je pris ses mains et les posai sur mes hanches, je me detachai de ses levres pour le fixer d'un regard plus intense
- Je suis mure, je crois que vous aussi !

Je dégrafe ma robe, descend la fermeture sur le côté, j'écarte les bretelles. Ma robe tombe, dévoilant ma douce combinaison de soie noire. Je le déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de son désir. Je le caresse, l’embrasse et le suce. Par petites touches féeriques. Sa bouche cherche ma bouche, il cherche mon corps, cherche mes seins, Nous sommes nus l’un contre l’autre. Il caresse mes seins. Ils sont fermes dans leur désir. Je me lève devant lui, le regarde tendrement,
- maintenant, Venez ! ... Je suis prête !
Je l'entraine vers le lit, m'allonge et l'attire vers moi. Je le regarde avec envie, je plonge alors mon regard dans ses yeux,
- Venez vite ! J'ai faim !
Et il s'enfonce en moi, glisse lentement dans mon ventre chaud. Son regard devient vitreux. Je lui presse la taille pour qu'il s'enfonce encore plus loin, j'avance mon bassin, il reprend son élan et recommence.Il arrive au fond de moi et commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Je me mord les lèvres, j'ondule de tout mon corps pour amplifier notre plaisir commun. Il m'embrasse dans le cou, hume mon délicieux parfum pendant qu'il me penetre en douceur. tout mon corps frémit … je suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent ses pénétrations, il s'agrippe à mes hanches, je tourne ma tete dans l’oreiller que j'étreins de mes deux mains, il se mets à me penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans mon corps et m'arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en lui sa semence, prête à exploser,
- Vite ! Allez-y ! Donnez moi tout !
ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Je suis secouée de gémissements et de spasmes. Il s'enfonce au fond de mon ventre, fort, profondemment, et ...il decharge sa sève chaude en plusieurs salves rapprochées. mes muscles etreignent son membre pour l’empêcher de sortir. Je me relache finalement sur le lit en lui souriant. Il caresse mon dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Vous avez été magnifique ! !
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives
- Vous restez avec moi cette nuit ?
soirée sous la lune (E)
C'était une soirée mondaine, la musique était douce. J'étais sur la terrasse, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, et tout en ...

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panne d'ascenseur (Hannah Stazya)


Je quittai l’appartement de mon amie pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, le voisin du dessus. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. L’homme galant me laissa passer avant que la porte ne se referme sur nous et avant d’enclencher le bouton pour redescendre les huit étages de l’immeuble. Alors que nous étions à mi-hauteur, l’ascenseur se bloqua d’un coup et tout s’éteint soudainement. Non ! Ce n’était vraiment pas le moment ! S’ensuivit un silence macabre, je commençais à trembler et l’obscurité totale m’angoissait au plus haut point. L’ascenseur n’était pas très grand, aveuglée, j’entendais le moindre des gestes de mon silencieux voisin qui appuyait sur les boutons nerveusement.
- Je crois que nous sommes bloqués, dit-il d’un ton faussement calme.
Les secondes qui passèrent semblaient des heures. Nos respirations troublées par la crainte de rester là coincés une éternité se mélangeaient. Je m’adossai contre la paroi de l'ascenseur bloqué. Des gouttes de suée commençaient à perler de mon front.
- Ca ne va pas ? me demanda-t'il
- Ce n'est rien ... Excusez moi, mais… Je suis un peu claustrophobe !
J'étais blanche. J'avais ouvert un bouton de ma chemise et me passai la main sur le cou pour me détendre.
- Est-ce que… Est-ce que je peux faire quelque chose pour vous ?
- Vous pouvez me tenir le bras s'il vous plait ?
Il s'executa et prit mon bras, presque timidement. Je commençai à me détendre. Il se rapprocha alors franchement de moi. Sa bouche était toute proche de mon cou. Son souffle était plutot chaud et rassurant. Inconsciemment, je me serrai un peu plus contre lui et laissai échapper un petit soupir de contentement.
- Ca va déjà mieux, Monsieur, merci beaucoup
Les minutes s’écoulaient, la lumière n’était toujours pas revenue, mais nos yeux s’étaient habitués à l’obscurité.

Nous restions l'un contre l'autre silencieux, comme en attente d'une intervention exterieure. Sa main reprit alors accidentellement la mienne. Je reçus comme une décharge. Son odeur me rendait fou. Je me surpris pourtant à le laisser faire et je sentis alors l’une de ses mains qui commençait à s’aventurer plus bas, sur mes hanches puis remontait plus avant, au contact de mes deux seins qui, sous ses doigts, se durcirent immédiatement. C’était doux, c’était tendre, c’était fou ... et si amoral ! Je ne le connaissais pas, nous étions dans l’obscurité, coincés dans un maudit ascenseur. Puis, ses lèvres vinrent effleurer les miennes. Je ne réagissai toujours pas. Il posa alors ses lèvres sur les miennes
Pourquoi l'ai-je laissé faire à ce moment là, je ne sais toujours pas. Il me provoquait. Je n'y tins plus. Je me retournai brutalement ... et je l'embrassai passionement sur les lèvres. Je me frottai de plus en plus à lui. Cela me rassurait, ou plutôt, m'excitait terriblement. Ainsi, malgré tout, et malgré nous, les baisers devinrent beaucoup plus ardents, passionnés même, ses mains m'exploraient pour découvrir mon corps. L’homme était doué de ses mains et moi, diablement excitée. Il engouffra sa bouche au creux de mon cou, tandis que ses doigts couraient sur mon corps.
J'étais en train de m'abandonner à lui. Il retira la pince dans ma chevelure qui tomba aussitot sur mes épaules. Puis il passa ses mains tantôt dans mes cheveux me caressant la nuque ... Et tout alla très vite ... Je lui enlevai sa veste qui rejoignit mon tailleur sur le sol de la cabine. Il releva ma jupe, puis ma combinaison pendant que je lui déboutonnai hâtivement les boutons de sa chemise. Sur sa poitrine maintenant dénudée, je passai mes lèvres de manière appuyée, m’attardai sur ses tétons durcis les suçant lentement et habilement. Puis, tout alla tres vite. Je deserrai sa ceinture et, ayant perdu toute retenue, j'extrayai son sexe déjà bien raide de son pantalon et, de mes deux mains, le serrai doucement et délicatement. Je baissai entièrement son pantalon et il fit glisser ma jupe et ma culotte sur le sol. Puis, Je me suis sentie soulevée. Je dirigeai son sexe vers moi. Et il s’enfonça d'un coup en moi, me soulevant une jambe pour que je me cramponne à lui. Je me sentais défaillir au fil de ses assauts qui me comblaient davantage à chaque seconde. Totalement aveuglée par l’obscurité, mes jambes enserrant ses hanches, je sentais sa respiration accélérer, au rythme de la mienne. Je poussai quelques cris. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides. La cabine de l’ascenseur commença à bouger. Nos corps tremblaient de partout. Des gouttes de sueurs nous recouvraient entièrement. Mes cheveux étaient en bataille. Ses yeux étaient hagards. Ma bouche dégoulinait de rouge à lèvres. La jouissance était sur le point de nous emplir tous les deux, lorsque la lumière revient subitement. Troublés de nous voir enfin et de constater ce que nous étions en train de faire, mais trop excités pour nous arrêter. Je fermais les yeux, le plaisir m’envahit, je me sentis défaillir jusqu’à ne plus rien entendre, Il s'enfonça d’un coup et éjacula au fond de mon ventre. Je m’adossai contre la paroi et fermai les yeux.
- Je crois que je vais mieux !
J’ouvris les yeux. La porte de l’ascenseur s’était ouverte au rez-de-chaussée. Je regardais l’homme me saluer et s’éloigner, je regardai mon reflet dans le miroir de l’ascenseur. Comment était-ce possible ? J’étais parfaitement apprêtée, l’homme était parti...C'était un peu comme s’il ne s’était rien passé...Mais au fond, s’était-il passé quelque chose ? N'avais-je pas tout simplement rêvé ?
panne d'ascenseur (Hannah Stazya) (E)
Je quittai l’appartement de mon amie pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, le voisin du dessus. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. L’homme galant ...

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panne d'ascenseur (Hannah Stazya)


Je quittai l’appartement de mon amie pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, le voisin du dessus. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. L’homme galant me laissa passer avant que la porte ne se referme sur nous et avant d’enclencher le bouton pour redescendre les huit étages de l’immeuble. Alors que nous étions à mi-hauteur, l’ascenseur se bloqua d’un coup et tout s’éteint soudainement. Non ! Ce n’était vraiment pas le moment ! S’ensuivit un silence macabre, je commençais à trembler et l’obscurité totale m’angoissait au plus haut point. L’ascenseur n’était pas très grand, aveuglée, j’entendais le moindre des gestes de mon silencieux voisin qui appuyait sur les boutons nerveusement.
- Je crois que nous sommes bloqués, dit-il d’un ton faussement calme.
Les secondes qui passèrent semblaient des heures. Nos respirations troublées par la crainte de rester là coincés une éternité se mélangeaient. Je m’adossai contre la paroi de l'ascenseur bloqué. Des gouttes de suée commençaient à perler de mon front.
- Ca ne va pas ? me demanda-t'il
- Ce n'est rien ... Excusez moi, mais… Je suis un peu claustrophobe !
J'étais blanche. J'avais ouvert un bouton de ma chemise et me passai la main sur le cou pour me détendre.
- Est-ce que… Est-ce que je peux faire quelque chose pour vous ?
- Vous pouvez me tenir le bras s'il vous plait ?
Il s'executa et prit mon bras, presque timidement. Je commençai à me détendre. Il se rapprocha alors franchement de moi. Sa bouche était toute proche de mon cou. Son souffle était plutot chaud et rassurant. Inconsciemment, je me serrai un peu plus contre lui et laissai échapper un petit soupir de contentement.
- Ca va déjà mieux, Monsieur, merci beaucoup
Les minutes s’écoulaient, la lumière n’était toujours pas revenue, mais nos yeux s’étaient habitués à l’obscurité.

Nous restions l'un contre l'autre silencieux, comme en attente d'une intervention exterieure. Sa main reprit alors accidentellement la mienne. Je reçus comme une décharge. Son odeur me rendait fou. Je me surpris pourtant à le laisser faire et je sentis alors l’une de ses mains qui commençait à s’aventurer plus bas, sur mes hanches puis remontait plus avant, au contact de mes deux seins qui, sous ses doigts, se durcirent immédiatement. C’était doux, c’était tendre, c’était fou ... et si amoral ! Je ne le connaissais pas, nous étions dans l’obscurité, coincés dans un maudit ascenseur. Puis, ses lèvres vinrent effleurer les miennes. Je ne réagissai toujours pas. Il posa alors ses lèvres sur les miennes
Pourquoi l'ai-je laissé faire à ce moment là, je ne sais toujours pas. Il me provoquait. Je n'y tins plus. Je me retournai brutalement ... et je l'embrassai passionement sur les lèvres. Je me frottai de plus en plus à lui. Cela me rassurait, ou plutôt, m'excitait terriblement. Ainsi, malgré tout, et malgré nous, les baisers devinrent beaucoup plus ardents, passionnés même, ses mains m'exploraient pour découvrir mon corps. L’homme était doué de ses mains et moi, diablement excitée. Il engouffra sa bouche au creux de mon cou, tandis que ses doigts couraient sur mon corps.
J'étais en train de m'abandonner à lui. Il retira la pince dans ma chevelure qui tomba aussitot sur mes épaules. Puis il passa ses mains tantôt dans mes cheveux me caressant la nuque ... Et tout alla très vite ... Je lui enlevai sa veste qui rejoignit mon tailleur sur le sol de la cabine. Il releva ma jupe, puis ma combinaison pendant que je lui déboutonnai hâtivement les boutons de sa chemise. Sur sa poitrine maintenant dénudée, je passai mes lèvres de manière appuyée, m’attardai sur ses tétons durcis les suçant lentement et habilement. Puis, tout alla tres vite. Je deserrai sa ceinture et, ayant perdu toute retenue, j'extrayai son sexe déjà bien raide de son pantalon et, de mes deux mains, le serrai doucement et délicatement. Je baissai entièrement son pantalon et il fit glisser ma jupe et ma culotte sur le sol. Puis, Je me suis sentie soulevée. Je dirigeai son sexe vers moi. Et il s’enfonça d'un coup en moi, me soulevant une jambe pour que je me cramponne à lui. Je me sentais défaillir au fil de ses assauts qui me comblaient davantage à chaque seconde. Totalement aveuglée par l’obscurité, mes jambes enserrant ses hanches, je sentais sa respiration accélérer, au rythme de la mienne. Je poussai quelques cris. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides. La cabine de l’ascenseur commença à bouger. Nos corps tremblaient de partout. Des gouttes de sueurs nous recouvraient entièrement. Mes cheveux étaient en bataille. Ses yeux étaient hagards. Ma bouche dégoulinait de rouge à lèvres. La jouissance était sur le point de nous emplir tous les deux, lorsque la lumière revient subitement. Troublés de nous voir enfin et de constater ce que nous étions en train de faire, mais trop excités pour nous arrêter. Je fermais les yeux, le plaisir m’envahit, je me sentis défaillir jusqu’à ne plus rien entendre, Il s'enfonça d’un coup et éjacula au fond de mon ventre. Je m’adossai contre la paroi et fermai les yeux.
- Je crois que je vais mieux !
J’ouvris les yeux. La porte de l’ascenseur s’était ouverte au rez-de-chaussée. Je regardais l’homme me saluer et s’éloigner, je regardai mon reflet dans le miroir de l’ascenseur. Comment était-ce possible ? J’étais parfaitement apprêtée, l’homme était parti...C'était un peu comme s’il ne s’était rien passé...Mais au fond, s’était-il passé quelque chose ? N'avais-je pas tout simplement rêvé ?
panne d'ascenseur (Hannah Stazya) (E)
Je quittai l’appartement de mon amie pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, le voisin du dessus. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. L’homme galant ...

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sensuelle, provocante


Elle est là devant moi, elle me fixe, elle me provoque, un beau corps de femme. sensuelle, ensorcelante. Ses seins sont beaux et pointent vers moi, mon corps s'émeut. Elle s'en rend compte. Elle me regarde droit dans les yeux. Je la fixe moi aussi. Elle me devine. Elle a compris. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Je me rapproche, discrètement, elle me laisse venir. Prise de contact. Marché conclu. Elle m'invite alors à à la suivre à l'etage de ce petit hotel. Je la suis. Elle me prend la main, m'entraine dans une petite chambre coquette et ferme la clé derrière nous. Nous sommes face à face. Regards intenses. Tout en me fixant avec des yeux humides, elle glisse ses mains sur ma chemise et sous ma veste qu'elle ecarte doucement, mes doigts la touchent, la palpent, au plus pressé, l'explorent, glissent sous sa robe, soulèvent et s'immiscent sous de fins dessous, elle agrippe mes épaules de ses mains douces, je l’embrasse, nos langues se rejoignent, mes mains glissent plus bas et l'agrippent par les fesses. Elle plonge ma main dans mon pantalon, me teste, me branle, je plonge la mienne sur ses lèvres, déjà ouvertes et humides Elle me fixe dans les yeux. son regard est vitreux. Je bande. J'enroule sa robe jusque sous ses bras. Elle m'offre son corps. Une couleur légèrement ambrée. Ses seins sont splendides, je les petris, j'apprecie leur souplesse. Elle reprends le branle. Mes doigts palpent sa vulve. Elle relève sa jambe et m'enserre. Tendresse et sauvagerie mêlée. Je deguste ses rondeurs, ma main gauche sur son sein. l'autre sous l'élastique de sa fine culotte que j écarte et qui tombe, mon pantalon qu'elle ouvre dans la foulée. Mon sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, se lève entre ses cuisses chaudes.
Elle est humide et grande ouverte, elle m'attend, elle me guide et sans attendre, je glisse, je m'enfonce dans ses chairs humides et chaudes, elle m'aspire en elle, je m'engloutis dans son nid douillet. C'est un soyeux intense, le charnel infini. Je suis aux anges. Son paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Je vais et je viens, je glisse et coulisse entre ses tendres muqueuses, et encore et encore. Ses mains agrippent mes hanches. Je m'extrais puis m’enfonçe à nouveau, tantôt lentement, tantôt plus rapidement. Elle gémit, de plus en plus. Je râle, de plus en plus fort, je me donne, elle se donne, elle en veut plus. Elle me tire vers elle, je pétris son sein, doucement, puis plus fort. Je la baise ardemment, sauvagement. Le sang monte, je m'engoufre dans son ventre, profondeur abyssale. Elle jouit dans mes bras. Mon sexe gonfle, durcit et s'allonge encore en elle, je vais jouir, je me contracte, me fige, un cri rauque, je me tend .... puis me lache dans son ventre, une humeur abondante, bien blanche qui coule et déborde sur ses cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tends mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle me tend un kleenex. Je retire le préservatif et regarde son corps une dernière fois. Elle remets sa robe, range ses affaires. Je range mon sexe. Elle me sourit et m'embrasse.
- C'était bon ! ... tu as aimé ? ... Tu reviens quand tu veux !
sensuelle, provocante (E)
Elle est là devant moi, elle me fixe, elle me provoque, un beau corps de femme. sensuelle, ensorcelante. Ses seins sont beaux et pointent vers moi, mon corps s'émeut. Elle s'en rend compte. Elle me regarde droit dans les yeux. ...

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C'était le frere d'une copine. Il était manifestement en manque affectif. Je l'avais croisé dans la rue. Il m'avait abordée et m'avait demandé de venir chez lui. il était plutôt beau garçon. Il ne m'a pas parlé d'amour. Il m'a simplement dit : "J'ai envie de toi". Il m'a emmené dans sa chambre. Je me suis deshabillée devant ses yeux impatients, et dans son lit, je me suis offerte à lui. Je l'ai laissé glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude, je lui ai fait sentir mes douces caresses intimes, il était bien. Un moment de douceur et de plaisir controlé que j'appreciais moi aussi. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait puissemment, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une agreable douceur. Il fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède. Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter

Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent. Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait pourtant en réclamer davantage. Je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas. Je passais ma main dans ses cheveux, carressai son visage, je me mordillai les levres, et doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue. Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi, jouissant dans mon corps à lui faire perdre la tête. Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservai un moment dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
pendant que je me rhabillais Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude J'aurais voulu qu'il me retienne Pourtant il m'a laissée partir sans faire un geste
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C'était le frere d'une copine. Il était manifestement en manque affectif. Je l'avais croisé dans la rue. Il m'avait abordée et m'avait demandé de venir chez lui. il était plutôt beau gar&ccedi ...

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Le bureau venait de se vider


Le bureau venait de se vider, il n'a pas perdu de temps. Après avoir fermé la porte, Il m'avait installé sur la desserte et avait défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation. le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, je le sentis alors s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens.
Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir.
Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.

Il s'affaire sur moi, écarte ma culotte, baisse son pantalon, sort sa queue glisse son gland dans ma fente, je me cambre et d’un coup de rein, Il engloutit son sexe jusqu’aux couilles. Il réagit, fait deux ou trois va-et-vient, il bute au fond de moi. Et très vite, il s’arrête, se crispe, je sens son sexe se raidir, se contracter.
Je resserre mon vagin, il ne tient plus, il décharge en moi. À chaque secousse je sens ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c’est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus.
Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je me lève en vitesse, ma culotte est trempée, collante, il en coule toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis !
Le bureau venait de se vider (E)
Le bureau venait de se vider, il n'a pas perdu de temps. Après avoir fermé la porte, Il m'avait installé sur la desserte et avait défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excita ...

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mon gendre


Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas très longtemps qu’il sortait avec ma fille. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seule avec lui. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en travaillant, il me parlait de lui et de l’affection qu’il portait à ma fille. Curieusement, je le sentais sincère, mais il me regardait en même temps d'une manière qui me destabilisait. Bien que flattée par les regards de ce beau jeune homme de 25 ans, je ne me sentais pas très à l’aise… Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Je n’aurais pas dû ... Nous nous etions assis sur le canapé, un peu grisés. C'est alors que, tout en parlant, il a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. Pourquoi l'ai-je laissé faire ? Il s’est encore rapproché et a osé un baiser timide dans mon cou, je ne reagissai toujours pas, puis ses mains sont descendues jusqu’au creux de mes reins. Je devinai, inconsciente, que les evenements prenaient une tournure de plus en plus incontrolable. Mais je le laissai faire, de plus en plus excitée par cette aventure inopinée. Nos sens se sont alors réveillés brutalement, nos langues se sont mélangées, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre. Ensuite ...
Ensuite, ses mains se sont égarées sous mon pull pour s'emparer de mes seins. Je sentais les pointes durcir sous ses doigts. Je me suis laissée aller à ces douces caresses, oubliant qu’il était mon gendre. Je ne contôlais plus rien ... il en profitait, et j'en profitai moi aussi ... Lui comme moi étions prêts desormais à precipiter les choses ...
- Ou est ta chambre ?
- tu crois que c'est serieux ? ... au fond du couloir ! ...
Sans me repondre, il m’a soulevée et m’a portée dans ses bras jusqu’à ma chambre. J’ai trouvé ça à la fois déplacé mais tellement romantique et tellement excitant ! Il m’a déposée sur mon lit, et nous nous sommes febrilement déshabillés. Sa bouche a parcouru mon corps de la tête aux pieds, s’attardant sur mes seins et mes tresors intimes, de plus en plus humides. Il bandait à la limite de l'indecence, je n’attendais plus maintenant qu’une chose : qu'il ne s'arrête pas en chemin ...
Il m'a allongée puis s'est étendu sur moi. Mon regard s'est figé sur sa fierté de mâle qu'il sortait de son pantalon et qu'il pointait vers moi sans complexe, c'est alors que, sans attendre plus longtemps, il s'est enfonçé d'un coup entre mes muqueuses trempées jusqu’à buter au plus profond de mon intimité. Arrivé à bon port, il a levé ses yeux brillants de désir vers moi. Il ne bougeait plus, comme en attente de ma réaction, un peu comme s’il avait fait une bêtise. Pour le rassurer, je lui ai caressé le visage et je me suis accrochée à son cou, lui laissant le soin de poursuivre la bêtise déjà bien engagée. Je sentais sa queue danser en moi, je balançais mon bassin au rythme de ses allées et venues. Il m’a prise sans s’arrêter jusqu’à ce que je jouisse, quelques minutes plus tard. Et là, il s’est laissé aller lui aussi, inondant mon ventre en abondance. Nous nous sommes regardés, stupefaits ... et nous avons eclaté de rire !
- Tout ça reste entre nous, lui precisai-je, bien sûr, n'est-ce pas ? ...
mon gendre (E)
Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas tr& ...

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ce soir là


Ce soir là, je l'avais invité à me rejoindre dans l'intimité de ma chambre. Je voulais lui apparaître toute en séduction, J'avais enfilé une belle chemise de nuit de soie rose laissant mobile mes généreuses poitrines, prêtes à être dévorées par un homme vigoureux et affamé, mes cheveux en un chignon savamment arrangé. Nous nous somme regardés un moment. Puis, prenant les devants, j'ai libéré ma chevelure, et l'ai étalé sur ma nuque et mes épaules, les joues de Louis se sont empourprées. J'ai prolongé mon audace, glissant ma main à la base de la nuque de Louis, il s’est laissé faire et m'a serrée dans ses bras.
Il y a si longtemps. J'avais bien eu un ou deux amants, mais rien de semblable. Cet homme audacieux, ranimait un érotisme dont j'avais oublié jusqu’à l'existence. Et maintenant, j'espérais qu'il franchisse toutes les limites. J'ai alors, dans mon cou, ressenti sa bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur mon épaule, puis, plus bas ... Je l'ai embrassé avec fougue, la fièvre dans nos regards, une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. A chacune de ses respirations, je ressentais ma lourde poitrine gonfler et cet effleurement tout en chaleur éveillait chez moi une troublante envie qu'il dévore mes seins.
Avec une douceur presque féminine, il caressa mon corps, glissant une main chaude sous ma chmise de soie. En totale confiance, je redécouvrais ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement. Je redécouvrais les bienfaits des caresses masculines, l’agréable douleur des morsures tactiles sur mes seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant mes entrailles avant qu'il ne mouille mes belles dentelles intimes ... Je redécouvrais combien il est bon de désirer et d’être désirée. Je savais dans son regard qu’il allait m'aimer, si ce n’était jusqu’au bout de la nuit, au moins jusqu’au bout de ses désirs.
Je l'ai regardé intensément dans les yeux, il s'est rapidement deshabillé et m'a rejoint dans le lit, au contact direct de la chaleur de mon corps. Il semblait heureux, épanoui, comblé. Je lui ai souri tendrement. Je lui ai caressé, le torse, le ventre, puis j'ai pris doucement sa verge, déjà bien bandée, en pratiquant sur elle un tendre et doux massage qui eut pour effet de la raffermir de plus en plus. Je lui ai souri. Alors sans attendre plus longtemps, tendrement, il s'est glissé sur moi, me couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et j'ai senti sa dure et longue verge chercher et, avec mon aide, trouver naturellement sa voie, et il m'a pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui, telle un offrande. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, Il a alors entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Je lui soufflai à l'oreille:
- Louis, Je veux que vous vous perdiez en moi, je veux toute votre joie, donnez moi tout de vous !
Au bord de mes yeux deux perles s’épanchaient. Le souffle court, son sexe bandé à l’extrême, il me baisait avec passion, envahissant ma fente des amours tant rêvés, s'unissant à moi, désormais sa tendre maîtresse.
- Je vous aime, Marie, j’ai tant besoin de vous !
J'avais compris les sentiments qu'il éprouvait dans sa manière de me dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. J'étais prête totalement en abandon au jeu suave de ses lèvres, sur ma poitrine généreuse, sur mes tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à mes pulsions, mes désirs réprimés. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, puis il reprenait ses longs mouvement, glissant délicieusement dans mes chairs. Je fus alors secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je l'inondai de ma douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement révélateur. Il plongeait en moi et gonflait en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. Il s'est mis alors à onduler puissamment du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient.
- Marie ! ... Je crois que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps !
Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin nous faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi.
- Oh ... Louis ! ... Maintenant ! ... Je suis prête !
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait,
- Louis ! ... Venez ! ... Vite !
Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard.
- Oh Marie ! ...
Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient.
- Oh Louis ! ... C'est si bon ! ... Continuez ! ... Encore !
- Bien au fond ! Je veux toute votre joie au fond de moi !
Je sentis un flot me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple.
- Oh Marie !! ....
Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux.
- Louis ! Vous êtes si tendre, si genereux et desirable ! ...Vous m'avez comblée. Ne vous inquiètez pas de mes larmes, Louis. Je pleure de joie. vous êtes mon bel amant !
A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule.

Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon homme planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.
Il fut mon bel amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.

Louis fut tendre et vigoureux à la fois, infatigable de son corps. Ses jouissances furent intenses, furent violentes. Les miennes furent sauvages. J'entends encore résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

- Louis, le soir, dans ma chambre, j'ai souvent rêvé de vous ouvrir mes cuisses pour que vous veniez vous y glisser et vous abreuver du plaisir que nous nous sommes donné.
J'ai alors écarté mes cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour qu'il découvre ma fente gourmande. Le regard qu'il me porta alors oscillait entre admiration et exploration. Cette femme offerte qu'il allait honorer, c'était moi, j'étais en train de me donner à lui, là sous ses yeux ébahis et brillants de désirs intenses. Son approche était encore malhabile, timide, mais mon regard reflétait un encouragement à plus d’audace de sa part. Je le regardais fixement, dans l’attente discrète qu'il m'appose ses lèvres sur mon sein, puis sur mes lèvres intimes, émouvantes tant elles lui étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. S’approchant doucement de mon trésor, entre mes cuisses ouvertes, il s’est alors délecté de cette humidité entourant mon bouton merveilleux, gorgé d’impatience.
ce soir là (E)
Ce soir là, je l'avais invité à me rejoindre dans l'intimité de ma chambre. Je voulais lui apparaître toute en séduction, J'avais enfilé une belle chemise de nuit de soie rose laissant mobile ...

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un gendre trop attentionné


Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas très longtemps qu’il sortait avec ma fille. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seule avec lui. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en travaillant, il me parlait de lui et de l’affection qu’il portait à ma fille. Curieusement, je le sentais sincère, mais il me regardait en même temps d'une manière qui me destabilisait. Bien que flattée par les regards de ce beau jeune homme de 25 ans, je ne me sentais pas très à l’aise… Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Je n’aurais pas dû ... Nous nous etions assis sur le canapé, un peu grisés. C'est alors que, tout en parlant, il a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. Pourquoi l'ai-je laissé faire ? Il s’est encore rapproché et a osé un baiser timide dans mon cou, je ne reagissai toujours pas, puis ses mains sont descendues jusqu’au creux de mes reins. Je devinai, inconsciente, que les evenements prenaient une tournure de plus en plus incontrolable. Mais je le laissai faire, de plus en plus excitée par cette aventure inopinée. Que s'est-il passé ensuite ?
Ensuite ... Nos sens se sont alors réveillés brutalement, nos langues se sont mélangées, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre, ses mains se sont égarées sous mon pull pour s'emparer de mes seins. Les pointes ont durci sous ses doigts. Je me suis laissée aller à ces douces caresses, oubliant qu’il était mon gendre. Je ne contôlais plus rien ... il en profitait, et j'en profitai moi aussi. Lui comme moi étions instinctivement prêts desormais à precipiter les choses. Il me demanda où était ma chambre, je lui demandai si c'était serieux, tout en lui indiquant l'endroit. Sans me repondre, il me souleva et me prit dans ses bras jusqu’à ma chambre. Je trouvai ça à la fois déplacé mais tellement romantique et tellement excitant ! Il me déposa sur mon lit, et nous nous déshabillames avec febrilité. Sa bouche parcourait mon corps de la tête aux pieds, s’attardant sur mes seins et mes tresors intimes, de plus en plus humides. Il bandait à la limite de l'indecence, je n’attendais plus maintenant qu’une chose : qu'il ne s'arrête pas en chemin ... Il m'a allongée puis s'est étendu sur moi. Mon regard s'est figé sur son engin qu'il sortait de son pantalon et qu'il pointait vers moi, tout en me fixant d'un regard de feu c'est alors que, sans attendre plus longtemps, il se positionna sur moi et enfonça d'un coup sa virile fierté entre mes muqueuses trempées jusqu’à buter au plus profond de ma matrice. Arrivé à bon port, il leva ses yeux brillants de désir vers moi. Il ne bougeait plus, comme en attente de ma réaction, un peu comme s’il venait de faire une grosse bêtise. Pour le rassurer, je lui caressai le visage et je m'accrochai à son cou, lui laissant le soin de poursuivre la bêtise déjà bien engagée. Doucement, j'enveloppai son sexe qui s'enfoncait en moi, et me remplissait, il semblait aux anges, baignant dans mes humeurs intimes comme dans une bain mielleux. Tout doucement, mes chairs les plus tendres s'ouvraient et l'accueillaient dans mon intimité douce. Il goutait mes douces moiteurs, un glissement onctueux, une penetration lente. Je sentais sa queue danser en moi, je balançais mon bassin au rythme de ses allées et venues cherchant à le faire rentrer encore plus profondement. Il me regardait avec des yeux de plus en plus brillants. Avec application je le lustrai, l’aspirai, le tirai, le poussai en jouant de son corps. Je lui donnai du plaisir en me donnant du plaisir, nous en gémissions de bonheur tous les deux. Il effectuait d'amples va et viens, doucement, interminablement, en me fixant toujours avec des yeux humides et en surveillant mes réactions. Je l'encourageai sans reserve. Petit à petit, j'absorbai toute la longueur de son sexe, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Je sentai ses reliefs noueux contre mes parois intimes. La sensation était délicieuse, affolante. Il se penchait vers mes lèvres pour les embrasser sans interrompre ses puissants va et viens. Ces pénétrations massives et rapides finirent par me couper le souffle, je poussai un cri, restai un moment comme tétanisée. Je me retenai de toutes mes forces, et il essayait d'en faire autant. Il commença alors à se retirer de moi craignant l'explosion imminente, je l'en dissuadai... Sa frénésie redoubla. Il était en sueur, moi aussi je voulais jouir, vite. Je ressentais les contractions de mon vagin sur son gland qui me fouillait. Je le sentai venir. Je me mis alors à jouir sans retenue. Ce fut pour lui le signal: il s'enfonca en moi, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Le trait lui échappa ... et il se libèra completement, se laissant aller en moi, sans retenue, inondant mon ventre en abondance. Il gicla sa sève par spasmes riches et généreux. Je digerai son gland qui trempait dans nos secretions intimes. En de savantes contractions, je cherchai à extraire toute sa semence qui libérerait ses tensions, mes mains griffaient ses cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, il semblait complètement déboussolé et tombait dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions doucement à la réalité. Je venais d'être baisée par mon gendre .... et curieusement, je m'en trouvai bien, j'avais retrouvé toute ma jeunesse !
un gendre trop attentionné (E)
Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas tr& ...

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dans l'ascenseur en panne


Parmi les derniers, je quittai le bureau pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, le patron. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. L’homme galant me laissa passer avant que la porte ne se referme sur nous et avant d’enclencher le bouton pour redescendre les huit étages de l’immeuble. Alors que nous étions à mi-hauteur, l’ascenseur se bloqua d’un coup et tout s’éteint soudainement. Non ! Ce n’était vraiment pas le moment ! S’ensuivit un silence macabre, je commençais à trembler et l’obscurité totale m’angoissait au plus haut point. L’ascenseur n’était pas très grand, aveuglée, j’entendais le moindre des gestes de mon silencieux voisin qui appuyait sur les boutons nerveusement. Les secondes qui passèrent semblaient des heures, la lumière n’était toujours pas revenue, mais nos yeux s’étaient habitués à l’obscurité. Nous restions l'un contre l'autre silencieux, comme en attente d'une intervention exterieure. Nos respirations troublées par la crainte de rester là coincés une éternité se mélangeaient. Je m’adossai contre la paroi de l'ascenseur bloqué. Des gouttes de suée commençaient à perler de mon front.
- Ca ne va pas ? me demanda-t'il
- Ce n'est rien ... Excusez moi, mais… Je suis un peu claustrophobe !
J'étais blanche. J'avais ouvert un bouton de ma chemise et me passai la main sur le cou pour me détendre.
- Est-ce que… Est-ce que je peux faire quelque chose pour vous ?
Il se rapprocha alors franchement de moi. Sa bouche était toute proche de mon cou. Son souffle était plutot chaud et rassurant. Inconsciemment, je me serrai un peu plus contre lui et laissai échapper un petit soupir de contentement. Je commençai à me détendre. Sa main reprit alors accidentellement, ou non ? la mienne. Je reçus comme une décharge. la suite ...
Son odeur me rendait folle. Je me surpris pourtant à le laisser faire et je sentis alors l’une de ses mains qui commençait à s’aventurer plus bas, sur mes hanches puis remontait plus avant, au contact de mes deux seins qui, sous ses doigts, se durcirent immédiatement. C’était doux, c’était tendre, c’était fou ... et si amoral ! Je ne le connaissais pas, nous étions dans l’obscurité, coincés dans un maudit ascenseur. Je me frottai de plus en plus à lui. Cela me rassurait certes, mais aussi m'excitait terriblement. Il me regardait avec une intensité desarmante. Il me provoquait. Puis, ses lèvres vinrent effleurer les miennes. Je ne réagissai toujours pas. Il posa alors ses lèvres sur les miennes. Pourquoi l'ai-je laissé faire à ce moment là, je ne sais toujours pas.
Prise alors d'une pulsion irresistible, je l'embrassai passionement sur les lèvres. Ainsi, malgré tout, et malgré nous, les baisers devinrent beaucoup plus ardents, passionnés même, ses mains m'exploraient pour découvrir mon corps. L’homme était doué de ses mains et moi, diablement excitée. Il engouffra sa bouche au creux de mon cou, tandis que ses doigts couraient sur mon corps. J'étais en train de m'abandonner à lui. Il retira la pince dans ma chevelure qui tomba aussitot sur mes épaules. Puis il passa ses mains tantôt dans mes cheveux me caressant la nuque ... Et tout alla très vite ... Je lui enlevai sa veste qui rejoignit mon tailleur sur le sol de la cabine. Il releva ma jupe, souleva ma combinaison pendant que je lui déboutonnai hâtivement les boutons de sa chemise. Sur sa poitrine maintenant dénudée, je passai mes lèvres de manière appuyée, m’attardai sur ses tétons durcis les suçant lentement et habilement. Puis, tout alla tres vite. Je deserrai sa ceinture et, ayant perdu toute retenue, j'extrayai son sexe déjà bien raide de son pantalon et, de mes deux mains, le serrai doucement et délicatement. Je baissai entièrement son pantalon et il fit glisser ma jupe et ma culotte sur le sol. Puis, Je me suis sentie soulevée. Il s’enfonça d'un coup en moi, me soulevant une jambe pour que je me cramponne à lui. Je me sentais défaillir au fil de ses assauts qui me comblaient davantage à chaque seconde. Totalement aveuglée par l’obscurité, mes jambes enserrant ses hanches, je sentais sa respiration accélérer, au rythme de la mienne. Je poussai quelques cris. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides. La cabine de l’ascenseur commença à bouger. Nos corps tremblaient de partout. Des gouttes de sueurs nous recouvraient entièrement. Mes cheveux étaient en bataille. Ses yeux étaient hagards. Ma bouche dégoulinait de rouge à lèvres. La jouissance était sur le point de nous emplir tous les deux, lorsque la lumière revient subitement. Troublés de nous voir enfin et de constater ce que nous étions en train de faire, mais trop excités pour nous arrêter. Je fermais les yeux, le plaisir m’envahit, je me sentis défaillir jusqu’à ne plus rien entendre, Il s'enfonça d’un coup et se libera en moi. Je m’adossai contre la paroi et fermai les yeux.
... plusieurs dizaines de minutes s'étaient écoulées ... Je reprenais doucement mes esprits. Je le regardais et voulu lui exprimer ma sollicitude,
- Je crois que je vais beaucoup mieux !
J’ouvris les yeux. La porte de l’ascenseur s’était ouverte au rez-de-chaussée. Je regardais l’homme me saluer et s’éloigner, je regardai mon reflet dans le miroir de l’ascenseur. Comment était-ce possible ? J’étais parfaitement apprêtée, l’homme était parti...C'était un peu comme s’il ne s’était rien passé.Mais au fond, s’était-il passé quelque chose ? N'avais-je pas tout simplement rêvé ?











dans l'ascenseur en panne (E)
Parmi les derniers, je quittai le bureau pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, le patron. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. L’homme galant me laissa pa ...

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le tendre souvenir de ses étreintes


Je m'étais retiré à l'exterieur de la tente pour prendre l'air avant de me coucher. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... me faisant sentir tres explicitement ses intentions à mon égard. J'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses des nuits precedentes. Il a saisi mes seins au creux de ses deux mains, les a caressés toujours avec douceur, puis il a soulevé ma chemise le long de mes hanches. J'étais déjà très receptive et il le savait. Instinctivement, naturellement, j'écartais les jambes, en signe d'approbation. Je l’ai alors senti ... impression delicieuse ... s’introduire en moi. Une douceur infinie ! J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, je sentais son corps puissant sur mes hanches. J’étais trempée, les jambes écartées, le ventre rempli de mon homme qui allait jouir en moi. je le sentais s'enfoncer, doucement, glissant entre mes levres trempées, Il est resté un moment sans bouger, me remplissant de son membre. je le sentis glisser à nouveau a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes. lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi
et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient, j’étais au bord de l’explosion Je l’ai senti gonfler encore et puis ... Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... poussant un long râle ... et j’ai senti un envahissement chaud, je l'ai senti se lacher et se répandre dans mon ventre par de longs jets de liquide chaud. J’ai été prise de tremblements de tout mon corps et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue. Rarement un orgasme aura été si puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne savais plus où j’étais, j’étais prise comme dans un étau par mon homme enfoncé au plus profond de moi, Je tremblais de partout avant de me relacher totalement et m'affaisser sur lui. ses mains puissantes sur mes hanches. J’ai senti les derniers soubresauts de son sexe qui finissait de se répandre en moi. Puis il s’est collé à moi et a commencé à m’embrasser doucement dans le cou. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Son membre palpitait encore dans mon ventre déclenchant en moi un dernier spasme. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Il s’est retiré doucement, il m’a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés passionnément.
le tendre souvenir de ses étreintes (E)
Je m'étais retiré à l'exterieur de la tente pour prendre l'air avant de me coucher. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... me faisant sentir tres explicitement ses intentions à mon &e ...

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pleine lune


C'était après une soirée arrosée. J'étais sur la terrasse de sa chambre d'hotel, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, et tout en s'appuyant légèrement contre moi, il a engagé la conversation:
- La lune est belle ce soir, vous ne trouvez pas ?
J'acquiesçais, et je perçus alors très nettement ses mains se poser sur mes hanches. Je soupirais en lui répondant, amusée
- Elle est bien seule là-haut, vous ne pensez pas ?
Il accentua alors la pression sur mon bassin, et caressa mes hanches de bas en haut, tout en me susurrant à l'oreille
- Elle mériterait d'etre davantage explorée, vous ne trouvez pas ?
Il se serrait encore un peu plus contre moi. Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, Devais-je si vite lui succomber ? Je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou.
Je sentais sous le tissu de ma robe légère, la douceur de ses mains. Petit à petit, il me caressait le ventre sous ma robe. Ma peau etait chaude, un peu moite. J'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous le fin tissu, il atteignait désormais mes seins qu'il caressa et palpa avec beaucoup de douceur, érigeant mes pointes sensibles. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte. Il me fit ce commentaire:
- La lune a de jolis reliefs !
- Comme moi ? lui demandai-je, en entrant consciemment dans son jeu
- Oui ! Comme vous ! me repondit-il tout en continuant à me caresser un sein,
Je l'ai alors senti passer son autre main plus bas, entre mes jambes. Je faisais semblant de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées mais sa main se faisait de plus en plus pressante sur mon intimité. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
- Les explorateurs aiment explorer les terres inconnues, me souffla-t'il à l'oreille
- Ces terres inconnues sont dans l'attente fievreuse d'une expploration prodonde, lui repondis-je
J'entrais sans complexe entièrement dans son jeu. Je réalise en fait aujourd'hui que je le désirais violemment. Je le désirais de plus en plus fort. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais.
- Il y a encore tant de terres à découvrir, poursuivai-je, consciente de ce que j'étais en train de déclencher
J'étais en train d'abdiquer. J'étais en train de m'abandonner à lui. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras.
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer les reliefs indécents de son pantalon, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Très clairement, je me sentais prête à me donner à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais ses reliefs indécents et explicites, je les caressais et les jaugeai doucement, les jugeant tres prometteurs.
C'est alors qu'il m'entraina doucement vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, je pris une de ses mains, et le guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Il devenait intrusif, presque animal et j'aimais ça ! il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque son envie de moi. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je tournais la tete, pour le fusiller du regard sans autre preliminaire:

- Je n'ai rien sous ma robe ! Viens, dépêche-toi, je suis prête !
Je sentis ma jupe se relever, son pantalon s'affaisser, J'ecartai encore mes jambes, je m'offrais toute entière à lui, je sentis alors son sexe chaud et dur glisser contre ma vulve ouverte et déjà trempée, puis, je le sentis s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, Il s'enfonça en moi, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs. Mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses intimes, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi J'exprimai ma jouissance dans un râle long. Je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur son sexe encore dur. Puissamment, il glissait dans mon ventre, exprimant de longs râles.

Puis je l'ai senti s'enfoncer d'un coup en moi. D’un coup de rein, Il enfonça son sexe tout au fond de moi, me faisant percevoir le contact de ses bourses, prêtes à exploser. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra.

Il ne résista pas très longtemps. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Apres quelques va et viens tres rapides, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Et la fusée partit ! ... Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants, il gicla au fond de mon ventre, abondemment, par jets successifs. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêta, envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il s'immobilisa, s'affaissa sur moi. Je sentis son sexe ressortir dans un délicieux bruit de succion. Je me retournais vers lui et lui sussurrai:

- l'autre face a aussi besoin d'être explorée ! Ne me laisse-pas comme ça !
Il se rapprocha, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre. son sexe qui se dressait à nouveau reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Il me pris doucement. Avec délicatesse, il caressa mes seins qui durcirent à nouveau. Sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses. Mes jambes s'écarterent, mon corps se tendit. Et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, puis nous avons accélérions la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.

Il restait là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après une longue nuit amoureuse Je ne connais pas son nom, je ne l'ai jamais revu
pleine lune (E)
C'était après une soirée arrosée. J'étais sur la terrasse de sa chambre d'hotel, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, e ...

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Parmi les derniers, je quittai le bureau pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, le patron. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. L’homme galant me laissa passer avant que la porte ne se referme sur nous et avant d’enclencher le bouton pour redescendre les huit étages de l’immeuble. Alors que nous étions à mi-hauteur, l’ascenseur se bloqua d’un coup et tout s’éteint soudainement. Non ! Ce n’était vraiment pas le moment ! S’ensuivit un silence macabre, je commençais à trembler et l’obscurité totale m’angoissait au plus haut point. L’ascenseur n’était pas très grand, aveuglée, j’entendais le moindre des gestes de mon silencieux voisin qui appuyait sur les boutons nerveusement. Les secondes qui passèrent semblaient des heures, la lumière n’était toujours pas revenue, mais nos yeux s’étaient habitués à l’obscurité. Nous restions l'un contre l'autre silencieux, comme en attente d'une intervention exterieure. Nos respirations troublées par la crainte de rester là coincés une éternité se mélangeaient. Je m’adossai contre la paroi de l'ascenseur bloqué. Des gouttes de suée commençaient à perler de mon front.
- Ca ne va pas ? me demanda-t'il
- Ce n'est rien ... Excusez moi, mais… Je suis un peu claustrophobe !
J'étais blanche. J'avais ouvert un bouton de ma chemise et me passai la main sur le cou pour me détendre.
- Est-ce que… Est-ce que je peux faire quelque chose pour vous ?
Il se rapprocha alors franchement de moi. Sa bouche était toute proche de mon cou. Son souffle était plutot chaud et rassurant. Inconsciemment, je me serrai un peu plus contre lui et laissai échapper un petit soupir de contentement. Je commençai à me détendre. Sa main reprit alors accidentellement, ou non ? la mienne. Je reçus comme une décharge. la suite ...
Son odeur me rendait folle. Je me surpris pourtant à le laisser faire et je sentis alors l’une de ses mains qui commençait à s’aventurer plus bas, sur mes hanches puis remontait plus avant, au contact de mes deux seins qui, sous ses doigts, se durcirent immédiatement. C’était doux, c’était tendre, c’était fou ... et si amoral ! Je ne le connaissais pas, nous étions dans l’obscurité, coincés dans un maudit ascenseur. Je me frottai de plus en plus à lui. Cela me rassurait certes, mais aussi m'excitait terriblement. Il me regardait avec une intensité desarmante. Il me provoquait. Puis, ses lèvres vinrent effleurer les miennes. Je ne réagissai toujours pas. Il posa alors ses lèvres sur les miennes. Pourquoi l'ai-je laissé faire à ce moment là, je ne sais toujours pas.
Prise alors d'une pulsion irresistible, je l'embrassai passionement sur les lèvres. Ainsi, malgré tout, et malgré nous, les baisers devinrent beaucoup plus ardents, passionnés même, ses mains m'exploraient pour découvrir mon corps. L’homme était doué de ses mains et moi, diablement excitée. Il engouffra sa bouche au creux de mon cou, tandis que ses doigts couraient sur mon corps. J'étais en train de m'abandonner à lui. Il retira la pince dans ma chevelure qui tomba aussitot sur mes épaules. Puis il passa ses mains tantôt dans mes cheveux me caressant la nuque ... Et tout alla très vite ... Je lui enlevai sa veste qui rejoignit mon tailleur sur le sol de la cabine. Il releva ma jupe, souleva ma combinaison pendant que je lui déboutonnai hâtivement les boutons de sa chemise. Sur sa poitrine maintenant dénudée, je passai mes lèvres de manière appuyée, m’attardai sur ses tétons durcis les suçant lentement et habilement. Puis, tout alla tres vite. Je deserrai sa ceinture et, ayant perdu toute retenue, j'extrayai son sexe déjà bien raide de son pantalon et, de mes deux mains, le serrai doucement et délicatement. Je baissai entièrement son pantalon et il fit glisser ma jupe et ma culotte sur le sol. Puis, Je me suis sentie soulevée. Il s’enfonça d'un coup en moi, me soulevant une jambe pour que je me cramponne à lui. Je me sentais défaillir au fil de ses assauts qui me comblaient davantage à chaque seconde. Totalement aveuglée par l’obscurité, mes jambes enserrant ses hanches, je sentais sa respiration accélérer, au rythme de la mienne. Je poussai quelques cris. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides. La cabine de l’ascenseur commença à bouger. Nos corps tremblaient de partout. Des gouttes de sueurs nous recouvraient entièrement. Mes cheveux étaient en bataille. Ses yeux étaient hagards. Ma bouche dégoulinait de rouge à lèvres. La jouissance était sur le point de nous emplir tous les deux, lorsque la lumière revient subitement. Troublés de nous voir enfin et de constater ce que nous étions en train de faire, mais trop excités pour nous arrêter. Je fermais les yeux, le plaisir m’envahit, je me sentis défaillir jusqu’à ne plus rien entendre, Il s'enfonça d’un coup et se libera en moi. Je m’adossai contre la paroi et fermai les yeux.

... plusieurs dizaines de minutes s'étaient écoulées ...

Je reprenais doucement mes esprits. Je le regardais et voulu lui exprimer ma sollicitude,
- Je crois que je vais beaucoup mieux !
J’ouvris les yeux. La porte de l’ascenseur s’était ouverte au rez-de-chaussée. Je regardais l’homme me saluer et s’éloigner, je regardai mon reflet dans le miroir de l’ascenseur. Comment était-ce possible ? J’étais parfaitement apprêtée, l’homme était parti...C'était un peu comme s’il ne s’était rien passé...Mais au fond, s’était-il passé quelque chose ? N'avais-je pas tout simplement rêvé ?

(E)
Parmi les derniers, je quittai le bureau pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, le patron. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. L’homme galant me laissa pa ...

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Parmi les derniers, je quittai le bureau pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, le patron. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. L’homme galant me laissa passer avant que la porte ne se referme sur nous et avant d’enclencher le bouton pour redescendre les huit étages de l’immeuble. Alors que nous étions à mi-hauteur, l’ascenseur se bloqua d’un coup et tout s’éteint soudainement. Non ! Ce n’était vraiment pas le moment ! S’ensuivit un silence macabre, je commençais à trembler et l’obscurité totale m’angoissait au plus haut point. L’ascenseur n’était pas très grand, aveuglée, j’entendais le moindre des gestes de mon silencieux voisin qui appuyait sur les boutons nerveusement. Les secondes qui passèrent semblaient des heures, la lumière n’était toujours pas revenue, mais nos yeux s’étaient habitués à l’obscurité. Nous restions l'un contre l'autre silencieux, comme en attente d'une intervention exterieure. Nos respirations troublées par la crainte de rester là coincés une éternité se mélangeaient. Je m’adossai contre la paroi de l'ascenseur bloqué. Des gouttes de suée commençaient à perler de mon front.
- Ca ne va pas ? me demanda-t'il
- Ce n'est rien ... Excusez moi, mais… Je suis un peu claustrophobe !
J'étais blanche. J'avais ouvert un bouton de ma chemise et me passai la main sur le cou pour me détendre.
- Est-ce que… Est-ce que je peux faire quelque chose pour vous ?
Il se rapprocha alors franchement de moi. Sa bouche était toute proche de mon cou. Son souffle était plutot chaud et rassurant. Inconsciemment, je me serrai un peu plus contre lui et laissai échapper un petit soupir de contentement. Je commençai à me détendre. Sa main reprit alors accidentellement, ou non ? la mienne. Je reçus comme une décharge. la suite ...
Son odeur me rendait folle. Je me surpris pourtant à le laisser faire et je sentis alors l’une de ses mains qui commençait à s’aventurer plus bas, sur mes hanches puis remontait plus avant, au contact de mes deux seins qui, sous ses doigts, se durcirent immédiatement. C’était doux, c’était tendre, c’était fou ... et si amoral ! Je ne le connaissais pas, nous étions dans l’obscurité, coincés dans un maudit ascenseur. Je me frottai de plus en plus à lui. Cela me rassurait certes, mais aussi m'excitait terriblement. Il me regardait avec une intensité desarmante. Il me provoquait. Puis, ses lèvres vinrent effleurer les miennes. Je ne réagissai toujours pas. Il posa alors ses lèvres sur les miennes. Pourquoi l'ai-je laissé faire à ce moment là, je ne sais toujours pas.
Prise alors d'une pulsion irresistible, je l'embrassai passionement sur les lèvres. Ainsi, malgré tout, et malgré nous, les baisers devinrent beaucoup plus ardents, passionnés même, ses mains m'exploraient pour découvrir mon corps. L’homme était doué de ses mains et moi, diablement excitée. Il engouffra sa bouche au creux de mon cou, tandis que ses doigts couraient sur mon corps. J'étais en train de m'abandonner à lui. Il retira la pince dans ma chevelure qui tomba aussitot sur mes épaules. Puis il passa ses mains tantôt dans mes cheveux me caressant la nuque ... Et tout alla très vite ... Je lui enlevai sa veste qui rejoignit mon tailleur sur le sol de la cabine. Il releva ma jupe, souleva ma combinaison pendant que je lui déboutonnai hâtivement les boutons de sa chemise. Sur sa poitrine maintenant dénudée, je passai mes lèvres de manière appuyée, m’attardai sur ses tétons durcis les suçant lentement et habilement. Puis, tout alla tres vite. Je deserrai sa ceinture et, ayant perdu toute retenue, j'extrayai son sexe déjà bien raide de son pantalon et, de mes deux mains, le serrai doucement et délicatement. Je baissai entièrement son pantalon et il fit glisser ma jupe et ma culotte sur le sol. Puis, Je me suis sentie soulevée. Il s’enfonça d'un coup en moi, me soulevant une jambe pour que je me cramponne à lui. Je me sentais défaillir au fil de ses assauts qui me comblaient davantage à chaque seconde. Totalement aveuglée par l’obscurité, mes jambes enserrant ses hanches, je sentais sa respiration accélérer, au rythme de la mienne. Je poussai quelques cris. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides. La cabine de l’ascenseur commença à bouger. Nos corps tremblaient de partout. Des gouttes de sueurs nous recouvraient entièrement. Mes cheveux étaient en bataille. Ses yeux étaient hagards. Ma bouche dégoulinait de rouge à lèvres. La jouissance était sur le point de nous emplir tous les deux, lorsque la lumière revient subitement. Troublés de nous voir enfin et de constater ce que nous étions en train de faire, mais trop excités pour nous arrêter. Je fermais les yeux, le plaisir m’envahit, je me sentis défaillir jusqu’à ne plus rien entendre, Il s'enfonça d’un coup et se libera en moi. Je m’adossai contre la paroi et fermai les yeux.

... plusieurs dizaines de minutes s'étaient écoulées ...

Je reprenais doucement mes esprits. Je le regardais et voulu lui exprimer ma sollicitude,
- Je crois que je vais beaucoup mieux !
J’ouvris les yeux. La porte de l’ascenseur s’était ouverte au rez-de-chaussée. Je regardais l’homme me saluer et s’éloigner, je regardai mon reflet dans le miroir de l’ascenseur. Comment était-ce possible ? J’étais parfaitement apprêtée, l’homme était parti...C'était un peu comme s’il ne s’était rien passé...Mais au fond, s’était-il passé quelque chose ? N'avais-je pas tout simplement rêvé ?

(E)
Parmi les derniers, je quittai le bureau pour reprendre l’ascenseur. A l'interieur, le patron. J’esquissai un sourire furtif en guise de bonjour, sans même l’observer trop longtemps. L’homme galant me laissa pa ...

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Mme la baronne


C’était une chaude journée d’été, sans brise. Nous roulions depuis une vingtaine de minutes. Le ciel était noir, dégagé, la lune était pleine. Moi, la chemise ouverte. Elle, les cheveux soigneusement arrangés sous un vaste chapeau, sa robe d’été legerement transparente, rabattue sur d'admirables cuisses. Gardant ma main gauche sur l'accoudoir, l'autre sans vraiment m'en rendre compte, effleurait sa cuisse, la caressai doucement. Le constatant avec malice, elle me souria, se décala un peu pour se rapprocher de moi, mon souffle devint un peu plus court. Tandis qu'elle me regardait avec une intensité inhabituelle, je sentis sa main prendre doucement la mienne, et la guider vers elle, sur sa jambe, puis plus loin, entre ses deux jambes, puis sous sa robe, vers des endroits plus secrets, me suggerant même de manière on ne peux plus explicite, de poursuivre plus avant cette tendre intrusion. Je m'executai aussitôt, debutant mes caresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, ses cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, encourageant sans detour mes douces incursions. Oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait, elle semblait ne pas pouvoir tenir longtemps à ce traitement. Prise d'une serie de legers spasmes, elle exprima sa jouissance dans un râle long. Elle s'agrippa à moi, serrant ses cuisses sur ma main, je n’en pouvais plus, elle non plus. Elle avait chaud, son entre-jambe suait d’excitation… Je lui mordais doucement le cou. Je glissai ma main dans son corsage entrouvert. Elle ne portait pas de soutien gorge et j'en profitai. Je me penchai vers elle et l'intensité de son parfum mêlé à son odeur de femme m’excitait moi aussi de plus en plus. Au travers de sa robe, elle devait me sentir pointer vers elle sans complexe. Comme mes mains descendaient le long de son dos, puis remontaient sous sa jupe à la recherche d’autres endroits plus intimes, elle agita son bassin, elle glissa une main plus bas et testa ma vigueur devenue insolente. Elle s'interrompit alors brusquement,
- je connais une petite auberge à deux pas d'ici ! ... Qu'en dites-vous ? ...
J'étais mur ... et elle aussi. Desormais, j'en voulais plus, elle en voulait plus. Nous primes congé du chauffeur au bas de l'hotel. A peine la porte de la chambre refermée, elle m'attira à elle violement en me fixant avec un sourire carnassier. Elle approcha son visage du mien. Je ne me fis pas prier. Le baiser fut long ... et profond. Elle s'agrippa à mon cou, tandis que mes mains exploraient son corps. Je l'embrassai fiévreusement. Son souffle s'accelerait. Je glissai ma main sous sa robe, elle glissa les siennes sous ma chemise, je m'immiscai sous la fine dentelle, sur la peau douce de ses seins. Elle deboutonna ma chemise tandis que sa robe tombait en corolle à ses pieds, puis sa fine combinaison, je degraphai febrilement son soutien-gorge, ses légers dessous tomberent à terre à leur tour. Mon torse reçut ses seins qui se déformerent contre ma peau. Elle défit ma ceinture et glissa une main dans mon pantalon. Le sexe devenait énorme. Elle le dégagea et le prit en main. Il était brûlant, je le sentais palpiter. Je saisissai ses deux seins qui durcirent sous mes doigts. Elle s'allongea à demi-nue sur le lit. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, violemment. Elle écarta les jambes, en me lançant un regard rempli d'impatience "venez vite !" .... (la suite ...)

Cinquante-cinq grammes de nylon séparés febrilement de cinquante-cinq kilos de chair tendre, Soutien gorge, paire de bas, fine combinaison, et petite culotte à dentelles, jetés, éparpillés sur le parquet, au bas du lit, nous etions desormais nus, febriles, l'un contre l'autre, enlaçés sur le lit, fous de désir, avides de nous assouvir l'un dans l'autre. J'ai pénètré son corps sans attendre, d'un coup. Elle m'aspira en elle avec gourmandise, ses chairs se distendaient. Je la tenais par les hanches et elle m’accompagnait. Elle mouillait de plus en plus sous mes coups, des gémissements contenus. Ses lèvres cherchaient les miennes et elle attrapa ma bouche. Elle me suppliait de la fouiller, la remplir. La sensation était puissante, suave, elle se propageait, s’éteignait, renaissait, nous étions emboités l'un dans l'autre. Je glissai en elle amplement, de plus en plus profondement, entrant et sortant de toute la longueur de mon sexe, nous approchant un peu plus du moment sublime. Ses jambes emprisonnaient mon corps et m'attiraient en elle chaque fois que je m'en éloignais. Nos deux corps comme des vagues allaient et venaient, éclaboussant les draps de sueurs, de désirs. Puis je m'enfonçai plus loin, plus profondement et plus fort. La tension alla s’amplifiant. Je me sentis gonfler et grandir dans son ventre. Elle frissonnait, elle tremblait , elle montait, irrémédiablement. En rythme, je l’agrippai, elle me suçait, me serrait, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de ses halètements. les allées et venues violentes de mon sexe dans le sien provoquerent une forte houle de sensations dans nos deux corps. Je continuai à coulisser en elle, furieusement, de plus en plus vite, mes mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux. Son plaisir s’annoncait, elle allait jouir d'un instant à l'autre, puis, tout son corps fut ébranlé, je sentis ses muscles se contracter autour de mon sexe, lui arrachant les tripes à chaque fois que je ressortais. C’était violent, le plaisir nous envahissait, balayant tout sur son passage. Tout son corps se mit à vibrer. Elle tremblait, se contractait, elle jouissait. Un gigantesque frisson se mit a l'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans sa nuque, je sentis ses muscles vaginaux se contracter sur mon sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond d'elle.
C'en était trop, je n'en pouvais plus. D’un coup de rein, je m'enfoncai au plus profond d'elle, en poussant un long râle, je m’immobilisai, je me crispai, je ahanai, les yeux rouges et exorbités. Elle enroula ses jambes autour de mes hanches, me rendant prisonnier de ses cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout mon corps se tendit, comme tétanisé. Je me raidis des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, mon corps entier bascula en avant, s'enfonçant tout au fond, gemissant très fort,je me suis figé avec un regard vitreux, et j'ai lâché mes premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et je giclai en elle avec toute la force et l'intensité de mon orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais mon jet liquide jaillir en elle ... une gerbe chaude qui se répandait et inondait son ventre, La seule chose qu'elle faisait était de cramponner mes fesses pour m'amener en elle le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, je sentais mon sperme chaud commencer à ressortir et couler entre ses fesses pendant que je continuai de me lâcher. Je ne pouvais pas croire que j'en avais tellement en moi.
Je retombai lourdement sur son corps, et restait affalé sur elle, amorphe... je l'avais remplie. Ses hanches ont recommencé à onduler contre moi sans qu'elle cherche à les contrôler. J'eu alors eu un dernier orgasme intense. Alors que les décharges faiblissaient, elle restait étendue là, comme dans un rêve éveillé, s'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de son corps. puis je m’immobilisai au fond de son ventre, pressé entre ses muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Je jouissai encore en elle. Elle jouissait aussi, une douce brûlure.

Mme la baronne (E)
C’était une chaude journée d’été, sans brise. Nous roulions depuis une vingtaine de minutes. Le ciel était noir, dégagé, la lune était pleine. Moi, la chemise ouverte. Elle ...

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fièvre amoureuse


Cinquante-cinq grammes de nylon séparés febrilement de cinquante-cinq kilos de chair tendre, Soutien gorge, paire de bas, fine combinaison, et petite culotte à dentelles, jetés, éparpillés sur le parquet, au bas du lit, nous etions desormais nus l'un contre l'autre, fous de désir, avides de nous assouvir l'un dans l'autre. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, violemment. J'ai pénètré son corps sans attendre, d'un coup. Elle m'aspira en elle avec gourmandise, ses chairs se distendaient. Je la tenais par les hanches et elle m’accompagnait. Elle mouillait de plus en plus sous mes coups, des gémissements contenus. Ses lèvres cherchaient les miennes et elle attrapa ma bouche. Elle me suppliait de la fouiller, la remplir. La sensation était puissante, suave, elle se propageait, s’éteignait, renaissait, nous étions emboités l'un dans l'autre. Je glissai en elle amplement, de plus en plus profondement, entrant et sortant de toute la longueur de mon sexe, nous approchant un peu plus du moment sublime. Ses jambes emprisonnaient mon corps et m'attiraient en elle chaque fois que je m'en éloignais. Nos deux corps comme des vagues allaient et venaient, éclaboussant les draps de sueurs, de désirs. Puis je m'enfonçai plus loin, plus profondement et plus fort. La tension alla s’amplifiant. Je me sentis gonfler et grandir dans son ventre. Elle frissonnait, elle tremblait , elle montait, irrémédiablement. En rythme, je l’agrippai, elle me suçait, me serrait, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de ses halètements. les allées et venues violentes de mon sexe dans le sien provoquerent une forte houle de sensations dans nos deux corps. Je continuai à coulisser en elle, furieusement, de plus en plus vite, mes mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux. Son plaisir s’annoncait, elle allait jouir d'un instant à l'autre, puis, tout son corps fut ébranlé, je sentis ses muscles se contracter autour de mon sexe, lui arrachant les tripes à chaque fois que je ressortais. C’était violent, le plaisir nous envahissait, balayant tout sur son passage. Tout son corps se mit à vibrer. Elle tremblait, se contractait, elle jouissait. Un gigantesque frisson se mit a l'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans sa nuque, je sentis ses muscles vaginaux se contracter sur mon sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond d'elle.
C'en était trop, je n'en pouvais plus. D’un coup de rein, je m'enfoncai au plus profond d'elle, en poussant un long râle, je m’immobilisai, je me crispai, je ahanai, les yeux rouges et exorbités. Elle enroula ses jambes autour de mes hanches, me rendant prisonnier de ses cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout mon corps se tendit, comme tétanisé. Je me raidis des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, mon corps entier bascula en avant, s'enfonçant tout au fond, gemissant très fort,je me suis figé avec un regard vitreux, et j'ai lâché mes premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et je giclai en elle avec toute la force et l'intensité de mon orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais mon jet liquide jaillir en elle ... une gerbe chaude qui se répandait et inondait son ventre, La seule chose qu'elle faisait était de cramponner mes fesses pour m'amener en elle le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, je sentais mon sperme chaud commencer à ressortir et couler entre ses fesses pendant que je continuai de me lâcher. Je ne pouvais pas croire que j'en avais tellement en moi.
Je retombai lourdement sur son corps, et restait affalé sur elle, amorphe... je l'avais remplie. Ses hanches ont recommencé à onduler contre moi sans qu'elle cherche à les contrôler. J'eu alors eu un dernier orgasme intense. Alors que les décharges faiblissaient, elle restait étendue là, comme dans un rêve éveillé, s'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de son corps. puis je m’immobilisai au fond de son ventre, pressé entre ses muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Je jouissai encore en elle. Elle jouissait aussi, une douce brûlure.

fièvre amoureuse (E)
Cinquante-cinq grammes de nylon séparés febrilement de cinquante-cinq kilos de chair tendre, Soutien gorge, paire de bas, fine combinaison, et petite culotte à dentelles, jetés, éparpillés sur le pa ...

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dans un coin du bois


Il m'entraîne un peu plus loin derrière une haie, ses mains trouvent le chemin de mes cuisses. Sous ma jupe courte, ma culotte glisse... Il bande. Il m'excite. Il m'efeuille, gestes précis, plus besoin du verbe, il extirpe, expert, de son pantalon un dard bien chaud, dur et long. A ses lèvres un sourire, dans ses yeux le désir. Il ouvre ma chemise, exhibe mes deux pointes cerises, se met sur moi à califourchon, et m'introduit son membre oblong. Lentement, sûrement, il glisse, coulisse, jusqu'à ce que son penis disparaisse ...dans mon orifice. Bien ancrée, comblée, miaulée, je minaude, chaloupe sensuelle, des hanches j'ondule. Je ne bouge pas, me concentre en mon centre, toute entière prise, happée, dans cette bulle, Il n'ose encore toucher ni mes seins, ni mon ventre, livré, abandonné, à son plaisir qui le taraude. Je le remue de l'intérieur de mon ventre, me remplit profondément de son pénis, sur mes mamellons perle la sueur... Et prise soudain comme d'une crampe indicible, je déverse un flot de mots incompréhensibles et ma cyprine qui coule sur ses bourses sensibles, Mes jambes se resserrent, je tremble, je jouis. Quand à lui, rendu au point extrême où tous les sens explosent, il m'avoue son désir d'enfin me satisfaire, et en mon ventre offert, son sexe se libère, et se répand en une apothéose … Fin de la fête,
C'était la première fois. Iil avait pourtant bien décidé, une fois dedans, de se retirer à temps. Mais une fois chez moi, il s'est bien amusé et on a tant ri, qu'il n'a pas su se retirer. On a jamais autant joui !
dans un coin du bois (E)
Il m'entraîne un peu plus loin derrière une haie, ses mains trouvent le chemin de mes cuisses. Sous ma jupe courte, ma culotte glisse... Il bande. Il m'excite. Il m'efeuille, gestes précis, plus besoin du verbe, il extir ...

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Il ne perd pas de temps. il attrape mon bras, jette mon sac au sol. Il dégrafe mon corsage, baise mon sein. Il me plaque contre le mur, m'embrasse, assoiffé, affamé, mordant. Il aime ça et j'aime qu'il aime.
Le chaud de ses baisers m'enflamme, m'excite, mes jambes tremblent déjà, il égraine un à un mes vêtements comme des petits cailloux blancs qui tracent le chemin jusqu'a la desserte sur laqu'elle il m'assoit. Nos baisers sont fievreux, mes lèvres entrouvertes s'offrent à sa langue et je me laisse dévorer, j'implore le plaisir sous ses mains expertes. Je m'abandonne.Il aime ça et j'aime qu'il aime.
Je pose mes mains sur son torse déjà nu, je descends jusqu'à la ceinture, un à un je fais sauter les boutons de son jean. Je voyage au gré de mon envie, son dos, ses fesses, ses cuisses, puis, l'objet de mon désir, son sexe, saillant et tendu sous le boxer. À mon tour, j'ôte la dernière barrière pour enfin mettre ma bouche sur ce vît
qui attend les caresses de ma langue agile, souple, rigide. Elle monte, descend, s'arrête un instant, reprend, ma bouche se referme, le happe et le pompe, de plus en plus dur. Soudain, je sens ses bras qui me retournent, je croise son regard dans le miroir. Me voilà à sa merci, ses mains puissantes et douces sur mes hanches, je sens sa quête, il me trouve enfin, son sexe me pénètre lentement, le miel de mon jardin s'écoule jusqu'en haut de mes cuisses. Il est derrière moi, j'entends ses gémissements, je l'accompagne. Cadence, force, puissance, la chaleur envahit tout mon corps et se mêle à la sienne, c'est bon et je lui dis. Il aime que je lui dise et j'aime qu'il aime.
À cet instant nous ne faisons qu'un, l'enchevêtrement de nos deux corps, les va-et-vient, le mélange de nos parfums, de nos souffles, de nos peaux emmêlées. Nos corps se tendent, on se sent, on se touche, on s'embrasse, partout, dedans, dehors, plaisir, notre plaisir. Encore ! Ensemble ! Crescendo ! Jouissance ! Baiser jusqu'à l'épuisement !Je me laisse aller, il tombe près de moi, je me colle à lui, nos cœurs battent, vite, très vite, il m'enlace. On se regarde, on sourit, on ne dit rien, les mots sont vains, les étincelles de ses yeux noisettes me suffisent...
Il se lève, allume une cigarette, le moment que je choisis pour partir. Je reprends le même chemin, à l'envers, je retrouve mes dentelles, ma robe, mon foulard, je les enfile un à un, et j'arrive devant cette porte qui va s'ouvrir, bientôt, profiter encore des derniers instants avant de retrouver mon quotidien. Doucement il arrive derrière moi, se colle à moi, la chaleur de son corps nu, je me retourne, je lui offre encore ma bouche et lui, ses derniers baisers. Il remet mon manteau, ramasse mon sac, je prends un peu de distance, tendrement il se rapproche, me colle à la porte, m'en offre encore un, deux, je ne compte plus. J'entends la clé tourner dans la serrure, il me chuchote « merci », je le mords, doucement, je souris. J'aime ça et il aime que j'aime.
Je suis déjà dans le couloir de cet hôtel, celui de nos rendez-vous clandestins. Avant de refermer la porte, il me chuchote : « À très vite ! »Le vent est froid, mon corps frissonne, j'avance jusqu'à ma voiture comme un automate, vidée et en même temps remplie d'énergie. Son sperme réchauffe encore mon ventre, mes jambes me portent fébriles, je vibre encore de l'intensité de nos étreintes. Rentrée, je ne passe pas dans la salle de bains pour profiter encore de son odeur sur ma peau, prolonger, m'endormir avec lui, m'éveiller avec lui, rêver de lui, lui près de moi. Sur mon portable, je trouve son dernier message « Que du plaisir, merci ! »
Je suis bien.
(E)
Il ne perd pas de temps. il attrape mon bras, jette mon sac au sol. Il dégrafe mon corsage, baise mon sein. Il me plaque contre le mur, m'embrasse, assoiffé, affamé, mordant. Il aime ça et j'aime qu'il aime.

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J’ai posé mes mains sur ses épaules et mes doigts se sont mis en action, ont commencé à fermement malaxer le corps de mon beau patron. Me tournant le dos, il ne me voyait pas. Mais à en juger par son souffle rauque, il prenait visiblement son pied dans cette activité improvisée par mes soins.

Depuis deux ans que je travaille à ses côtés, nous nous sommes rapprochés. Souvent, avant de quitter le bureau ou lors d’une pause improvisée, il m’invite à partager un café. A croire qu’il apprécie ma compagnie. Il me confie ses petits soucis personnels. j’ai ainsi appris qu’avec sa compagne du moment, le quotidien était compliqué. Comme lui, sa compagne est cadre dans une grosse société. Lorsqu’il la retrouve le soir, elle est aussi épuisée que lui. Je me suis surprise à ressentir de la jalousie, de l’envie. Il était temps que je montre à mon boss à quel point j’étais capable de prendre soin de lui.
C'est ainsi que deux jours plus tard, en allant le rejoindre pour partager notre traditionnel café, et le trouvant beaucoup plus fatigué que d’habitude, je me suis levée, sure de moi, et je me suis placée derrière lui pour lui masser les epaules. En fait, je me suis rapprochée et fait en sorte que sa tête repose sur mon genereux décolleté. Je sais que mes seins sont sources de fantasmes chez les mâles du bureau ! Et comme j’ai toujours eu l’âme d’un séductrice, je fais en sorte de systématiquement les mettre en valeur. Il n’a opposé aucune résistance. J’ai osé une parole grivoise, ne serait-ce que pour savoir si j’avais le feu vert pour aller plus loin dans notre rapprochement soudain : Sa tête s’est laissée aller à la renverse, il souriait béatement. J’ai osé glisser la paume de mes mains le long de son torse. Quelques doigts se sont aventurés sous le tissu de sa chemise, un bouton à sauté. Son ventre était chaud, son torse saillant… j’étais en train de vivre un de mes plus grands fantasmes : faire craquer mon patron ! Un rapide coup d’œil à son pantalon a confirmé que ma mission était en bonne voix : ce beau mâle bandait comme un cheval !

J’ai retourné son fauteuil face à moi, le toisant d’un regard fiévreux de désir. A la fois amusés de le voir perdu, ne sachant trop quelle réaction avoir… et excitée d’avoir un contrôle total de la situation. Il était à moi. J’ai posé l’index sur ses lèvres en murmurant « chut ».
J'ai rapidement fermé le loquet du bureau, puis me suis positionnée face à lui sans le quitter du regard. Nous étions clairement en train de passer un cap. J’étais comme hypnotisée par sa virilité gonflée pour moi ! Peut-être se rendait t-il compte qu’il était en train de franchir une barrière, celle de l’adultère et ainsi changer définitivement nos rapports. Il n’en a pas eu le temps. En quelques secondes, j’ai ouvert son pantalon pour libérer son potentiel, bien bandé qui arriva naturellement entre mes lèvres chaudes, il a alors relevé ma jupe pour qu’elle ne soit plus qu’une ceinture autour de mes hanches. Il a écarté ma fine combinaison sur le côté ... et il m’a pénétrée. il reprenait le pouvoir ! j’étais là pour son seul plaisir, pour qu’il se soulage ! Son sexe s’est enfoncé en moi jusqu’aux bourses. Je le fixais toujours, à la fois innocente et allumeuse, cela le rendait fou. Le premier va-et-vient a été puissant, entier. la suite toute aussi intense. Il me limait maintenant avec ardeur. Ses bourses claquaient bruyamment contre l’entrée de mon vagin. Il me tenait par les hanches, me baisant sans aucune reserve, avec une intensité toujours croissante. Je ressentais toute sa frustration sexuelle disparaitre enfin, il trouvait dans ma chatte docile le salut d’une réelle libération.

J’ai relevé les cuisses pour mieux le sentir me penetrer. J’avais le bas ventre en fusion. Je mordais mon poignet pour ne pas crier de plaisir. Dans un dernier soubresaut, je l’ai senti se coller fortement à moi, des spasmes dans les jambes. Il s'est arrêté et a longuement haleté. Puis il s'est vidé au fond de moi sans la moindre gêne, sans même me demander la permission. Pendant quelques secondes, il est resté planté en moi, comme pour reprendre ses esprits. Puis il s’est redressé, a laissé glisser son sexe ramoli pour le ranger encore poisseux dans son pantalon. J’étais toujours avachie, les jambes ecartées sur son bureau, mon intimité offerte maintenant souillée. Son sperme dégoulinait du mien, son courrier en était tâché tout comme son clavier d’ordinateur. Il n’était plus le même. Les couilles vides, je voyais bien qu’il avait pris conscience de mon potentiel sexuel.

Nos relations évoluerent vers un rapport dominant soumise que je n’avais pas vu venir. Mais au final, n’est-ce pas ce que je désirais du plus profond de mon être ? Il a pris sa veste de costume, ne m’accordant même pas un regard puis a souri :
- Demain matin, quand vous m’apporterez le café, s'il vous plait, ne mettez pas de culotte !»
(E)
J’ai posé mes mains sur ses épaules et mes doigts se sont mis en action, ont commencé à fermement malaxer le corps de mon beau patron. Me tournant le dos, il ne me voyait pas. Mais à en juger par son ...

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Comme chaque samedi, il émerge vers quatre heure de l’après-midi, il lui faut mon corps. Il m’attire, me presse contre lui, me pétrit guettant mon envie, une lueur de désir éveillé, une pointe de sein dressée. Ses regards obliques, effleurent furtivement le miroir reflétant son triomphe, de face, de profil, dur et tendu. Très fier de sa verge qu’il exhibe à chaque fois comme un trophée, comme s'il était le seul mâle du quartier à en posséder une.
Et moi, désapée, collée, plaquée, ses doigts partout à m’explorer, me fouiller, m’évider, mêlant sa salive à mes humeurs intimes, avant de me pénétrer sans ménagement et de se répandre en moi toujours trop vite. Insatiable, il veut ressusciter aussitôt. Je dois le revigorer des mains, de la langue et des lèvres, il entre dans ma bouche explore ma gorge à satiété.

Depuis peu, je garde la tête froide quand il me baise. Je ne ressens plus ces tremblements, cette fièvre, cet embrasement à en perdre le souffle. Collée sur le lit, désincarnée, je nous observe, je regarde son corps lourd et pesant s'activer sur moi, sa peau mate entre la paleur de mes cuisses, je sais exactement ce que j’aime ou déteste dans ce corps à corps énervé, brutal, qui me livre comme une poule déplumée à son bon vouloir.
il ne sait rien de ma réalité, de la consistance de ma vie, de mon corps de ma chair, hors de cet espace où il tire de moi son plaisir sans plus se soucier du mien. Me prendre par tous les bouts lui suffit, me fourrer, me planter. Oui, me planter comme un décor. La mer s'est retirée, l'amour, la passion, le désir ont fui, disparus, emportés dans le ressac de ma tourmente. Il faut que je m'en aille sans même chercher à expliquer, que je m'arrache le plus vite possible, comme un sparadrap sur une couenne poilue, d'un seul coup vif et sec !
(E)
Comme chaque samedi, il émerge vers quatre heure de l’après-midi, il lui faut mon corps. Il m’attire, me presse contre lui, me pétrit guettant mon envie, une lueur de désir éveillé, une ...

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Il veut me prendre là, tout de suite, sur le bureau, sans même me laisser respirer. C'est sa plus belle prise. Il faut qu'il aille au bout de ce désir fou que j'ai allumé dans ses reins. Il me bascule, comme un animal docile. Il glisse sa main entre mes cuisses brûlantes. Je m'ouvre et gémis, ses doigts me pénètrent, flattent ma chatte mouillée lisse et enflée de désir pur. Impatient et pressé, Il relève ma robe, glisse ses mains sous le nylon, je l'aide en ouvrant son pantalon, il degage sa queue, enorme, qui se deploie, et cherche sa voie, je le guide, il me pénétre d'un coup, puissamment, il se glisse dans mon ventre, il m'enfile, je me fends. Il me traverse, il m'occupe, il me tient. Je suffoque et m'écarte davantage encore pour cette queue qui m'incendie, qui me laboure délicieusement de part en part. Je ne suis plus que cette chose offerte, ouverte et prise au piège de son désir. Je ne suis rien d'autre qu'une femelle, trempée, écartée, tenue fermement par cet homme planté en moi. Il me murmure des choses que je n'ai jamais entendues avant. Il déflore ma pensée, brise ma pudeur, me fait rougir de honte et de plaisir ensemble. Je l’accompagne par les contractions de mes muscles, le presse, Il ressort, pousse encore plus profondément. Je l’entends gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage.

Il accélère ses mouvements vifs en moi et tape durement contre mes fesses ce qui me rend plus folle encore. Je ne suis plus que ce plaisir qui me fait fondre, me fendre, défaillir, mouiller, me cambrer. Il me malaxe le ventre, les seins, qu'il attrape en se penchant sur moi, il grogne, il jure, me mord le dos - et toujours ce sexe tendu en moi qui enfle, m'explore, me ravage. Je tremble, nous tanguons comme un bateau ivre, un attelage fou. Le ciel, la terre et tout notre être à la dérive. Il me ferraille jusqu'à la garde, jusqu'aux tréfonds, jusqu'aux limites de mes forces. Je me sens vivre et mourir toute à chaque coup de boutoir.

Il s'enfonçe encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aide dans ses va et viens. Je senis qu’il est sur le point de non retour. Il accélere, Je le sens trembler et se figer au fond de moi. Et je le sens soudain, il arrive, il se cambre, se raidit, il me serre plus fort, il pousse un cri rauque ... Et il explose au plus profond de moi, il jaillit, il m'inonde, dans un long râle qui envahit l'air et me fait défaillir. Il gicle au fond de mon vagin. Je sens qu’il défaille. Ses jambes semblent ne plus vouloir le soutenir. Je perds pied, traversée par une vague de plaisir immense qui m'arrache un long murmure venu du plus loin de mon être. Je jouis. Je jouis comme on s'arrache. Comme on s'envole. Je jouis comme on s’oublie.

Puis, les spasmes calmés, je le sens ramollir dans mon ventre, Il se retire de moi, comme un loup errant qui en moi aurait trouvé son gîte. Un gîte de passage. De fille pas sage du tout. Il m'a traversée. A fait son chemin brut en moi. De ma chatte jusqu'à ma pensée. Son empreinte palpite là comme un feu entre mes cuisses. Un feu qui s'écoule. Comme le temps qui s'enfuit déjà depuis mon premier gémissement sous les feuilles, je le laisse glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. Je suis completement épuisée et comblée. Il se glisse hors de moi, je ne fais rien pour le retenir.

Il commençe à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, me regardant fixement, puis il se ravise, se rapproche, et me pénétre de nouveau. Je commençe de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonçe doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupire quand il arrive au fond. il fait durer le plaisir. Il accélere, je n'en peux plus, Je me mets à trembler, un spasme violent me fige, de violentes secousses traversent mes entrailles. Il me regarde intensément, bloque son sexe au fond de mon vagin, et il fuse ... et se vide une nouvelle fois en moi, il n'en finit plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laisse pantois. En se retirant sa queue emet un bruit de succion j'ouvre les yeux et je vois tout ce que j'ai reçu de lui

Je suis debout. Debout je marche au cœur des arbres qui se dressent. Debout comme mon désir en moi nourri déjà de toutes ces nuits passées et à venir qui se fondent. J'avance d'un pas sûr. Je sais. Je sais à jamais la brûlure du plaisir. Ses vertiges. Ses sommets. Son antre. Qui bat dans mon ventre et contre mes tempes. Je sais l'incendie et l'abîme. Plus de peur. Juste la vie. Et les bonds de mon cœur.






(E)
Il veut me prendre là, tout de suite, sur le bureau, sans même me laisser respirer. C'est sa plus belle prise. Il faut qu'il aille au bout de ce désir fou que j'ai allumé dans ses reins. Il me bascule, comme un an ...

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dans un coin du bois


Il m'entraîne un peu plus loin derrière une haie, ses mains trouvent le chemin de mes cuisses. Sous ma jupe courte, ma culotte glisse... Il bande. Il m'excite. Il m'efeuille, gestes précis, plus besoin du verbe, il extirpe, expert, de son pantalon un dard bien chaud, dur et long. A ses lèvres un sourire, dans ses yeux le désir. Il ouvre ma chemise, exhibe mes deux pointes cerises, se met sur moi à califourchon, et m'introduit son membre oblong. Lentement, sûrement, il glisse, coulisse, jusqu'à ce que son penis disparaisse ...dans mon orifice. Bien ancrée, comblée, miaulée, je minaude, chaloupe sensuelle, des hanches j'ondule. Je ne bouge pas, me concentre en mon centre, toute entière prise, happée, dans cette bulle, Il n'ose encore toucher ni mes seins, ni mon ventre, livré, abandonné, à son plaisir qui le taraude. Je le remue de l'intérieur de mon ventre, me remplit profondément de son pénis, sur mes mamellons perle la sueur... Et prise soudain comme d'une crampe indicible, je déverse un flot de mots incompréhensibles et ma cyprine qui coule sur ses bourses sensibles, Mes jambes se resserrent, je tremble, je jouis. Quand à lui, rendu au point extrême où tous les sens explosent, il m'avoue son désir d'enfin me satisfaire, et en mon ventre offert, son sexe se libère, et se répand en une apothéose … Fin de la fête,
C'était la première fois. Iil avait pourtant bien décidé, une fois dedans, de se retirer à temps. Mais une fois chez moi, il s'est bien amusé et on a tant ri, qu'il n'a pas su se retirer. On a jamais autant joui !
dans un coin du bois (E)
Il m'entraîne un peu plus loin derrière une haie, ses mains trouvent le chemin de mes cuisses. Sous ma jupe courte, ma culotte glisse... Il bande. Il m'excite. Il m'efeuille, gestes précis, plus besoin du verbe, il extir ...

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j'ai senti sa main chaude


Il était contre moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est plus fine, plus douce. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter, craignant que nous n'allions trop loin. Mais il ne s'arrêtait pas ! J'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. Le pire est que je ne faisai rien pour l'en empecher, je soulevais instinctivement mes hanches pour lui faciliter le travail. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Il continuait à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais trop besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le sentis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée. Je ne bougeais pas. Je le laissais faire, je sentais ma culotte se soie se mouiller sous ses caresses intrusives. je sentais la chaleur de son corps tout contre le mien. Il glissa ses mains sous mes épaules et me serra contre lui. J’avais envie qu’il me penetre. Je sentais son sexe chercher mon nid, je glissais ma main pour l'aider. Son sexe était est chaud, gros, gonflé, prêt à exploser, je le tenais bien en main et et promenai son gland sur mes levres ouvertes, j'étais prête, dans l'attente fievreuse d'une penetration imminente, rêvant de l’agripper, l’attirer au plus plus vite, au plus profond de moi... C'est alors qu'une onde intense s'est mise a irradier mon dos, il me penetrait, un violent frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter une pénétration puissante, lente, je sentais mes chairs qui s’écartaient progressivement, j’aimais cette possession de mon corps par cet homme puissant. il entrait en moi, dans un mouvement long et suave. J’ai relevé les genoux pour mieux le sentir et pour qu’il puisse aller loin en moi, je sentais son bassin venir au devant du mien, J'étais trempée, je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses. mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Je sentis son gland buter au fond de mon vagin, je relèvais les jambes et je les nouaient derrière ses reins, je sentais ses testicules qui frappaient mon entre jambes. Que c’était bon, mais que c’était bon…
Il s’est immobilisé, profondément fiché dans mon ventre... tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe qui me penetrait merveilleusement.
Nos corps en sueur qui s’embrassaient, qui s’embrasaient qui partaient ensemble à la recherche du plaisir, dans la communion de la jouissance. Je sentais le plaisir monter de mes jambes, de mes reins de mon sexe, je sentais cette vague, cette déferlante qui allait me déborder. Lui aussi sentait que le plaisir montait en moi, son sexe s’est fait encore plus dur à l’intérieur de moi, je me sentais complètement ouverte par ce pieux de chair qui me possèdait entièrement.
En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il coulissait en moi, de plus en plus vite, son plaisir s’annoncait, telle la lave d'un volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais,
Il ahanait, je gémissais, il allait et venait en moi, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...Je gemissais mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant, Son rythme se fit plus rapide, il m’entraîna dans un plaisir indescriptible. Je criais mon plaisir, je le griffais dans le dos,
et puis ... ca y est, il est venu, les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, et je l'ai senti decharger dans ma chair une gerbe chaude, un jet liquide jaillissait et se repandait au fond de mon mon ventre il jouissait, il éjaculait, il inondait mon vagin, nous ne faisions plus qu’un dans la jouissance. Puis il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla :
“Oh... Marie...”
il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie. Petit à petit, nous avons repris notre souffle, toujours enlacés, grisés. Puis, nos corps se sont séparés à regret. Je suis venue me blottir contre lui, la tête dans son cou, je l’embrasse doucement là ou la peau est encore douce, juste sous la barbe dure. Il a glissé son bras autour de mes épaules, j’ai glissé une jambe entre les siennes et c’est la tête dans les étoiles que nous nous sommes quitté.
j'ai senti sa main chaude (E)
Il était contre moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est plus fine, plus douce. C'e ...

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dans la remise 2


Il entrait en moi et ressortait, s'enfonçant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il me remplisse complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble. il colla son ventre contre le mien et s’immobilisa un moment, nous étions completement emboités l'un dans l'autre. J'étais remplie de lui, de son sexe qui continuait à grossir et grandir dans mon ventre. il se remit à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de son membre. la caresse était douce et sensuelle. Chaque plongée m'arrachait quelques larmes. je frissonnais, je tremblais.... Tout mon corps se mit à vibrer à chaque penetration. Je partais ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement, la tension se relâcha, le ciel s’ouvrit ... Une marée s'écoula, se répandit. Je m'abandonnais à lui, me livrai aux flots qui m'absorbaient... Je m'abîmais, sombrais, m'anéantissais ...

Il resta planté en moi, immobile ... un moment ... puis il reprit ses mouvements se remit à glisser en moi, mes seins ballottaient. Je mordis le coussin du canapé ... Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi, C'est alors que je l'ai senti venir .... Son corps entier a basculé en avant, Il a gémi très fort ... Il s’est immobilisé, sa verge se contracta au fond de mes entrailles ... et il lâcha les premiers salves de son sperme profondément en moi. Il jaillissait dans mon ventre ! .. Un flot de semence se répandait en moi. Un interminable frisson voluptueux courut tout au long de mon échine. Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence.

Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme et qui commençait a réduire de volume. Mes jambes étaient encore enroulées autour de lui quand je sentis que son membre recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées , lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. Il continuait à me limer doucement avec son sexe. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort. je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer, se bloquer ... et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.

Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Monsieur dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
dans la remise 2 (E)
Il entrait en moi et ressortait, s'enfonçant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il me remplisse complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mo ...

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le tendre souvenir de ses étreintes


Je m'étais retiré à l'exterieur de la tente pour prendre l'air avant de me coucher. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... me faisant sentir tres explicitement ses intentions à mon égard. J'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses des nuits precedentes. Il a saisi mes seins au creux de ses deux mains, les a caressés toujours avec douceur, puis il a soulevé ma chemise le long de mes hanches. J'étais déjà très receptive et il le savait. Instinctivement, naturellement, j'écartais les jambes, en signe d'approbation. Je l’ai alors senti ... impression delicieuse ... s’introduire en moi. Une douceur infinie ! J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, je sentais son corps puissant sur mes hanches. J’étais trempée, les jambes écartées, le ventre rempli de mon homme qui allait jouir en moi. je le sentais s'enfoncer, doucement, glissant entre mes levres trempées, Il est resté un moment sans bouger, me remplissant de son membre. je le sentis glisser à nouveau a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes. lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi
et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient, j’étais au bord de l’explosion Je l’ai senti gonfler encore et puis ... Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... poussant un long râle ... et j’ai senti un envahissement chaud, je l'ai senti se lacher et se répandre dans mon ventre par de longs jets de liquide chaud. J’ai été prise de tremblements de tout mon corps et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue. Rarement un orgasme aura été si puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne savais plus où j’étais, j’étais prise comme dans un étau par mon homme enfoncé au plus profond de moi, Je tremblais de partout avant de me relacher totalement et m'affaisser sur lui. ses mains puissantes sur mes hanches. J’ai senti les derniers soubresauts de son sexe qui finissait de se répandre en moi. Puis il s’est collé à moi et a commencé à m’embrasser doucement dans le cou. Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Son membre palpitait encore dans mon ventre déclenchant en moi un dernier spasme. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Il s’est retiré doucement, il m’a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés passionnément.
le tendre souvenir de ses étreintes (E)
Je m'étais retiré à l'exterieur de la tente pour prendre l'air avant de me coucher. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... me faisant sentir tres explicitement ses intentions à mon &e ...

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plénitude des reveils amoureux


Je m'offrai à lui, totalement, le laissant glisser dans ma chair, onctueuse et chaude, savourant sa progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Mon corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Je lui offrai mes douces caresses intimes. Il était maintenant à l’intérieur de mon corps de femme, il était bien, j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Je lui caressai les cheveux et le visage et lui murmurai à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Mon souffle était lent. Il me pénétra doucement, tendrement, puis resta un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermai les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Je sentais son sexe s'allonger, grandir en moi, rendant son intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je l'aspirai, je l’absorbai. Je lui offrai mes petites contractions intimes sur son muscle bandé. Je remuai légèrement mon bassin, d'un coté et de l'autre.
- Redonne moi tes lèvres le suppliai-je pendant qu'il glissait merveilleusement dans mes chairs
Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en moi, je me mis à émettre de petits halètements. Je voulais l'appeler à plus d'audace et lui adressai un sourire teinté d'impatience.
- Continue ! ... Bien au fond ! ... C'est si bon !
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Mes muscles intimes l'emprisonnaient encore plus étroitement. Ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Je remuai pour bien le sentir envahir mes muqueuses, lui faisant découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède.
Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent, je fermai les yeux, m'offrant un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittai plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore.
- Tu veux...maintenant ? me demanda-t'il
- Non...Pas encore... me repondis-je en ajoutant:
- c'est si bon !
Et pourtant, mon regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalai, l'absorbai, je digérai ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. J'esquissai une grimace, j'inclinai mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond, je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, me mordillai les levres, doucement le rythme s'accélèra. Mon corps se tendit sous ses caresses. Je gémissai, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant mes ongles dans ses fesses musclées, l’invitant, le souffle haletant, à me prendre plus violemment.
- Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Le souffle court, son sexe bandé à l’extrême, il me baisait avec passion. Il s'agrippait à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, j'étais prise de vertige. Il se concentrait sur son enorme sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! le suppliai-je, Viens ! Viens vite !
Il saisit alors mes épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de ses mouvements, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Je me cabrai, il poursuivait sa chevauchée. Je jouissai et il continuait. Je le sentis venir, Je le tirai vers moi ... il crispa son regard ..... et fou d’un désir intense, il ne parvenait déjà plus à se retenir, Il arrêta net, jouissant à lui faire perdre la tête dans mon corps. Il explosait en moi, me delivrant un flot de son liquide de vie, m'inondant de sa douce chaleur. Nous en gémissions de bonheur.
Puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressai amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservai un moment dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Nous avons joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Son sperme chaud coulait encore entre mes cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Mes seins étaient encore couverts de marques de ses ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblée par notre corps à corps torride. Je restai encore toute ouverte pour lui.
- Tu es mon bel et merveilleux amant, lui declarai-je avec un sourire à le faire fondre definitivement
Nous avons fait l'amour longtemps, il m'a remercié de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où nous avions besoin l'un de l'autre.
Il s'est retiré de moi, lentement. La minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien ces moments. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À son réveil, me voyant découverte, il craignit que je n’eu froid. Il tâta mon corps. Il était brûlant. Me voir dormir lui procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté lui parut insupportable. Il m'embrassa sur l’épaule. Je ne m’éveillai pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Je sursautai, et, me frottant les yeux, le couvrit de baisers, Nous avons refait l'amour, merveilleusement
M’arrachant à lui, je m’étais saisie du premier vêtement à portée de ma main, enveloppant ma nudité d’une tendancieuse provocation. J'avais enveloppé mon exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de mes seins blancs Lorsque j'avais quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais la silhouette d’une femme ardement baisée. Mes cheveux ébouriffés, mes yeux cernés de bleu, l’avait ému, l’avait troublé, tant je me révélai bien plus amante qu'il n'y croyait.



plénitude des reveils amoureux (E)
Je m'offrai à lui, totalement, le laissant glisser dans ma chair, onctueuse et chaude, savourant sa progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Mon corps tout en ...

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dans ma chair, onctueuse et chaude


il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offre mes douces caresses intimes, il est bien, je suis bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle est lent. Plus il m'investit, plus il est long et profond. Il me pénètre doucement, tendrement, reste un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. ses mouvements sont plus amples, sa fierté plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Je lui fais découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, il se sent aspiré, absorbé par mon corps. La douce excitation devient un désir plus ardent, il s'inquiète de mon état,
- Tu es bien ?
- Oh oui... j'aime !
Je ferme les yeux, je m'offre à lui, la bouche entrouverte, tout mon corps jouit. Je suis maintenant offerte, chaude, et douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Il oscille en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avale, l'absorbe, je digere ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge est sèche. Il esquisse une grimace, j'incline mon bassin pour qu'il aille plus au fond. Il s'active dans ma chair, fou d’un désir que je ne connais pas, il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, je me mordille les levres. Doucement le rythme s'accélère. Il s'agrippe à mes épaules, reprend ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se soudent l'un à l'autre, je suis prise de vertige la transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son corps glissant dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net. Je le sens venir, il crispe son regard .....
- Tu veux que je me retire ?
- Non ! Donne moi toute ta sève ! Je veux garder ton empreinte au fond de mon ventre
Je le tire à moi. Il vient. Le voici ! Un flot de vie me remplit. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Puis Il s'effondre avec des grondements d'ours blessé. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
dans ma chair, onctueuse et chaude (E)
il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offre mes douces caresses intimes, il est bien, je suis bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle es ...

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Il pénètre mon corps. je mouille comme une fontaine. Gémissements contenus. Il se presse contre moi à chacun de ses mouvements, infiltrant son sexe massif dans mes chairs distendues, s'approchant un peu plus à mon corps. Mes jambes emprisonnent ses reins et l'attirent en moi chaque fois qu'il s'en éloigne. Nos deux corps comme des vagues vont et viennent l'un dans l'autre, trempés de sueurs, de désirs.
Il va plus loin en moi, plus profond et plus fort. Je tremble, je vibre, me contracte, je jouis. Un gigantesque frisson se met a m'envahir tout le long de l'échine et s'installe dans ma nuque, je sens mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... Il le sent, il s'enfonce encore, au plus profond de moi, en poussant un long râle, puis il s’immobilise au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide de jouissance.
Nos corps collés ensemble se contractent longuement. Il jouit en moi. Je le sens se répandre. J'ai joui aussi, une douce brûlure. Il se détend, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête cherche la tiédeur de mon épaule. Il m'embrasse le cou. Je lui caresse les cheveux.

Son sexe glisse toujours doucement en moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé un merveilleux amant. Il se retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tente de le retenir. Il n’en finit plus de sortir, il s’arrête, une seconde, deux...

et de nouveau rentre en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense se met a irradier mon dos, mon pouls bat de plus en plus fort dans mes tempes... Il s’immobilise, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage se crispe... Encore une fois, tout mon corps est ébranlé, je sens mes muscles se contracter autour de son sexe. Il s'enfonce lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressort. C’est violent, et bien vite, le plaisir est là, balaiyant tout sur son passage. En rythme, je l’agrippe, le suçe, le serre, de plus en plus fort, je m’entends émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquent une forte houle de sensations fortes dans tout mon corps,
Il continue à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se font saccadés et encore plus brutaux : Son plaisir s’annonce, telle la lave d'un volcan, J’ai chaud... Je suis en nage… halètements, soupirs, ses yeux sont rouges, exorbités, il va et viens furieusement, j’enroule mes jambes autour de lui. La sueur perle sur son front et roule entre ses sourcils...J'hurle mes encouragements. Il me répond d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tend, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sens alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repand dans mon ventre, quelques secondes, et il retombe lourdement sur moi, et dans mon oreille, il me souffle :
“Oh... Marie...”
il reste affalé sur moi, amorphe... il m'a remplie
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Il pénètre mon corps. je mouille comme une fontaine. Gémissements contenus. Il se presse contre moi à chacun de ses mouvements, infiltrant son sexe massif dans mes chairs distendues, s'approchant un peu plus &agr ...

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Il s'est aussitôt enfoncé en moi, dans mes chairs tendres, dans un nid douillet, il se glissa en moi, naturellement, comme dans du beurre tendre, un glissement onctueux, un frottement délicat irisé de plaisir, et de lents mouvements, de plus en plus profonds. J'ondulai de tout mon corps pour amplifier notre plaisir commun. Il m'embrassa dans le cou, humant mon délicieux parfum pendant qu'il me fouillait. Il allait et il venait, je l'aspirai et le buvai. Tout mon corps frémit … Des bruits delicieux de succion accompagnaient nos mouvements. Il se perdait en moi. J'avais le corps en feu, lui aussi ! Il s'enfonça, tout au fond, se frotta, se retira, redescendit en ondulant. Son sexe glissait, grossissait, s'allongeait dans ses chairs. Je l’aspirai, le tirai, le poussai en jouant de mon corps. Il bandait sans retenue dans mon ventre chaud, un cocon humide et moite que l'on ne voudrait jamais quitter.

. J'offrai ma vulve à son dard, il me remplissait le vagin. Je me masturbai litteralement sur son sexe

Son regard s'humidifie je m'agrippe à ses hanches, Chaque assaut se propage dans mon corps et m'arrache des gémissements. Mes mouvements deviennent désordonnés, sa frénésie redouble. Je suis en sueur, scintillante de mon abandon. Je ressens les contractions de mon vagin sur son gland qui me fouille. Son regard devient vitreux. Je lui presse la taille pour qu'il s'enfonce encore plus loin, mon corps est animé d’une force et de mouvements qui échappent à mon contrôle. Je veux jouir, vite. Je suis secouée de mouvements erratiques et de spasmes. Le climat monte et je sens vibrer ses bourses, prêtes à exploser. Nos sécrétions se font plus abondantes. Il me perfore, me défais, plonge, se retire. Je le serre et le dévore, littéralement. Je râle de plaisirs, il gémit de bonheur. Mes yeux sont humides de plaisir. Je ms raidis et, dans un long spasme, me laisse aller à l'orgasme. Je le tire vers moi,
- Maintenant ! Viens ! Viens vite ! ... Remplis-moi !


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Il s'est aussitôt enfoncé en moi, dans mes chairs tendres, dans un nid douillet, il se glissa en moi, naturellement, comme dans du beurre tendre, un glissement onctueux, un frottement délicat irisé de plaisir, et ...

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- C'est osé ce que nous faisons, tu ne crois pas ? ... tu crois aussi ? .... alors, soyons fous !
Doucement, elle enveloppait mon sexe qui s'enfoncait en elle, et la remplissait, il s'y complaisaît comme dans une bain mielleux. Je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Elle me regardait avec des yeux troubles.
- Tu aimes ? .... Je te sens bouger dans mon ventre ! ... C'est delicieux !
Elle suçait ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle glissait sur mon mat en se faisant plaisir, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait, se tendait. Avec application elle me sucait, m’aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle se donnait du plaisir, j'en gémissai de bonheur. Elle me fixait avec des yeux humides. Elle souriait. Ses yeux étaient magnifiques. Elle s'empalait doucement, interminablement, en surveillant mes réactions. Un étui chaud et humide entourait petit à petit ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Elle ralentit sa descente, me regardait jouir, la reprenait. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens.
- Tu me remues les entrailles ! Je fond !
Je la penetrai profondemment, en de lents mouvements. Elle se mordit les lèvres. Elle ondulait de tout son corps. Je coulissai en elle, elle pouvait sentir mes reliefs noueux qui glissaient dans son ventre. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçait, se remplissait de moi. Elle m’aspirait, m’absorbait, me relâchait.
Je la sentais toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorba toute la longueur de mon membre, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions agitaient son vagin telle une main serrant mon sexe dans son ventre. La sensation était délicieuse, affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se pencha vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon mat qui la pénètrait profondément. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. Elle se redressa, nouvelle sensation. Elle se soulèva un peu plus et se baissa à nouveau, je sentis ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommencea ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaissa rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je vis qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayai d'en faire autant.
Elle s'empalait sur moi, je me perdais en elle. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait litteralement sur mon sexe. Elle m'affolait. Je commençai à me retirer d'elle craignant une explosion imminente. Elle me fusilla des yeux
- Non ! Ne te retire pas ! ... Ne t'inquietes pas, je ne risque plus rien !
- tu vas jouir en moi ! ... Bien au fond de moi !
Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Elle voulat jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Elle se mit à jouir. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait, me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de plaisir.
- Viens ! ... Viens vite ! Inonde moi ! Remplis-moi de toi ! Donne moi ta sève ! toute ta sève !
Elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... et je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.








(E)
- C'est osé ce que nous faisons, tu ne crois pas ? ... tu crois aussi ? .... alors, soyons fous !
Doucement, elle enveloppait mon sexe qui s'enfoncait en elle, et la remplissait, il s'y complaisaît comme dans une bain mie ...

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Mon patient allait beaucoup mieux. Mes douces attentions lui avaient redonné du tonus et une certaine vigueur. L'idée d'une aventure avec lui m'occupait désormais l'esprit. Ce soir là, n'en pouvant plus, et excitée à l'idée à l'idée de m'adonner avec lui aux délices d'une relation plus intime ... je suis venu discrètement dans sa chambre, sans faire de bruit, je déboutonnai ma chemise, mettais à l'air mes deux belles poitrines qu'il avait souvent célébré, puis, je suis monté sur son lit, me plaçant à califourchon sur son corps, je m'emparai du sexe gonflé de mon beau patient, j'en dirigeai le bout entre les grandes lèvres de ma vulve ruisselante et m'empalai doucement sur ce pieu béni du ciel. J'éprouvai une merveilleuse jubilation en sentant ce beau et vigoureux sexe dur glisser dans mes chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, mon jeune patient, étendu sous le corps sensuel de sa chaude infirmière, fasciné par mes seins opulents se balançant doucement devant ses yeux se laissa alors emporter par ses pulsions. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs de mon sexe trempé, j'éprouvai un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous ces agréables intrusions, je ne tardai pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Serrant mes jambes sur les cuisses agitées de mon patient, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
- Plus vite ! … bien au fond !…
De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon vigoureux patient, Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de son infirmière amante, il s'activa de plus belle dans mon ventre accueillant, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, je m'étais mis à haleter en m'arquant frénétiquement, m'offrant avec rage à chaque pénétration. Je sentais chez mon partenaire d'un soir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. J'avais compris que ce dernier atteignait le point de non retour, aussi l'enserrai-je encore plus fortement entre mes cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de mon vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa sève ... à longs traits dans ma vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond de mon sexe dégoulinant. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs du jeune homme. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous mon jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti.

Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, je fits basculer le corps devenu trop lourd de mon patient à mes cotés, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit :
-- Ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, m'exclamai-je en me penchant sur le jeune homme pour l'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? lui demandai-je maternellement. Tu as aimé ?
-- Oh Oui !
-- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
(E)
Mon patient allait beaucoup mieux. Mes douces attentions lui avaient redonné du tonus et une certaine vigueur. L'idée d'une aventure avec lui m'occupait désormais l'esprit. Ce soir là, n'en pouvant plus, et excit ...

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chez Mme Granger


Julien replongea à nouveau dans la chatte moelleuse de Marthe qui eut un nouveau soupir de jouissance. Jouant de la frustration du retrait pour mieux provoquer la jouissance de la pénétration, Julien se mit à onduler très lentement du bassin, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de Marthe lui firent comprendre qu'il avait vu juste. Il baisait avec ardeur cette femme merveilleuse lui donnant tout le plaisir qu'elle lui avait procuré. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds pour le plus grand ravissement de Marthe qui maintenant ronronnait comme une chatte. Pour Julien, c'était de nouvelles sensations. Son sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Son membre raidi coulissait profondément dans le vagin de sa maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Le jeune homme sentait sa barre rigide complètement enserrée dans le ventre chaud de sa partenaire et pourtant son membre était étrangement libre d'aller où il voulait. Et Julien continuait ses va et vients régulers, méthodiques qui extasiaent Marthe. Elle n'était pas bonne, elle était délicieuse. Le goût de sa peau que Julien lapait comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. Marthe n'était pas chaude, elle était brûlante. Julien était en nage et une chaleur torride irradiait du corps de sa maîtresse, il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, sa queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion
Julien devenait fou. Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur du vagin feminin lui faisait totalement perdre le contrôle de ses actes. Chaque partie de son corps semblait évoluer pour son propre compte. Sa bouche courait sur tout le visage et le cou de son égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Les lèvres du jeune amant dévoraient à nouveau celles de sa maîtresse, les dents de Julien jouaient avec les mamelons turgides de son initiatrice. Les mains du jeune homme couraient elles aussi frénétiquement sur le corps de Solange pour la caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement sa partenaire et mieux investir de son pieu ardent le puits d'amour de Madame Granger. Un seul mot d'ordre pour le jeune mâle, contrôler les spasmes de son sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer sa charnelle déesse, pour combler sa muse volupteuse, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment.
Marthe n'en finissait pas de râler sous les perverses caresses internes de son amant qui se révélait être un vrai démon. Julien la pénétrait, la forçait à s'ouvrir à ses profondes avances. La tête de Marthe roulait sur ses épaules, son souffle était court, ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante.
Marthe voulait que son amant explose maintenant au plus profond de son ventre. Elle s'aggripa aux épaules de Julien, et soulevant sa jambe gauche, la passa autour de la hanche de son partenaire pour qu'il la pénètre encore plus loin, encore plus fort. Elle contracta ses muscles internes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Le contact du bas soyeux, la caresse de la chair tendre de l'intérieur de la cuisse de sa partenaire sur ses fesses électrisèrent Julien. La pression de la gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Julien banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua dans cette chatte baveuse. Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé. Profitant des poussées fulgurantes de son amant elle avait passé ses deux jambes autour de sa taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour. Julien lui avait empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Madame Granger était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait dans une série d'orgasmes en continu. Elle hurlait le nom de Julien, le suppliait d'arréter, le priait d'aller plus fort. gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait,
Julien avait sentit l'imminence de son éjaculation et il avait encore accéléré la force de ses coups de butoir dans le ventre brûlant de sa maîtresse. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. Enfin le jet puissant inonda le point le plus profond de la chatte, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride.
A bout de souffle, le jeune garçon enfouit sa tête dans le coup de Marthe, lui assenant ses derniers coups de belier pour lui exprimer sa gratitude. Les deux amants cherchaient leur respiration. Julien continuait de limer Marthe mais c'était la fin de la folle cavalcade, il limait sa brûlante maîtresse comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée. Marthe revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard du jeune homme planté en elle. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement les cheveux et la nuque de son délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Julien voulut exprimer ses sentiments mais elle le fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte puis elle repoussa doucement et le fixa dans les yeux.
chez Mme Granger (E)
Julien replongea à nouveau dans la chatte moelleuse de Marthe qui eut un nouveau soupir de jouissance. Jouant de la frustration du retrait pour mieux provoquer la jouissance de la pénétration, Julien se mit à ond ...

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Il s'agitait, enfoncant un peu plus en moi sa fierté de mâle qui se tendait et s'allongeait dans mes chairs. Il se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait, pénétrations puissantes. De mes muqueuses, je le suçais, l’aspirais, le tirais, le poussais, m'appliquais, en jouant de son corps pour qu'il puisse mieux venir se perdre au plus profond de moi. Mes moiteurs intimes enveloppait son sexe. J'enveloppais son mat de mon ventre brûlant. Il se soulèvait, se plantait, coulissait à nouveau, les yeux à moitié fermés, Mes seins lourds et mobiles se mirent à ballotter librement sous mon corsage entrouvert. Il les empoigna et les palpa de ses deux mains, puis serra mes deux fesses pour bien se planter au fond de moi. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Je m’empalais maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, le suppliant de jouir vite en moi.
(E)
Il s'agitait, enfoncant un peu plus en moi sa fierté de mâle qui se tendait et s'allongeait dans mes chairs. Il se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait, pénétrations puissantes. De mes muqueuses, ...

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je le maintenais prisonnier de mes bras, de mes jambes, je l’agrippai, le suçai, le serrai, en rythme et de plus en plus fort, je l’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de ses halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant,
et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre ... il m'avait remplie ... Il m'avait baisée !



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je le maintenais prisonnier de mes bras, de mes jambes, je l’agrippai, le suçai, le serrai, en rythme et de plus en plus fort, je l’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de ses h ...

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Il me prend là, d'un coup, sans même me laisser respirer. C'est sa plus belle prise. Il faut qu'il aille au bout de ce désir fou que j'ai allumé dans ses reins. Il me bascule, comme un animal docile. Il m'enfile. Je me fends. Il me traverse, il m'occupe, il me tient. Je suffoque, il m'écarte davantage encore pour faire entrer cette queue qui m'incendie, qui me laboure délicieusement de part en part. Je ne suis plus que cette chose offerte, ouverte et prise au piège de son désir. Je ne suis rien d'autre qu'une femelle, trempée, croupe levée, tenue fermement par cet homme planté en moi. Il me murmure des choses que je n'ai jamais entendues avant. Il déflore ma pensée, brise ma pudeur, me fait rougir de honte et de plaisir ensemble.
Il accélère ses mouvements vifs en moi et tape durement contre mes fesses ce qui me rend plus folle encore. Je ne suis plus que ce plaisir qui me fait fondre, me fendre, défaillir, mouiller, me cambrer. Il me malaxe le ventre, les seins, qu'il attrape en se penchant sur moi, il grogne, il jure, me mord le dos - et toujours ce sexe tendu en moi qui enfle, m'explore, me ravage. Je tremble, nous tanguons comme un bateau ivre, un attelage fou. Le ciel, la terre et tout notre être à la dérive. Il me ferraille jusqu'à la garde, jusqu'aux tréfonds, jusqu'aux limites de mes forces. Je me sens vivre et mourir toute à chaque coup de boutoir.
Et je le sens soudain, il arrive, il se cambre, se raidit, il me serre plus fort. Il explose en moi, il jaillit, il m'inonde, dans un long râle qui envahit l'air et me fait défaillir. Je perds pied, traversée par une vague de plaisir immense qui m'arrache un long murmure venu du plus loin de mon être. Je jouis. Je jouis comme on s'arrache. Comme on s'envole. Je jouis comme on s’oublie.
Il ramollit dans mon ventre, Il se retire de moi, comme un loup errant qui en moi aurait trouvé son gîte. Un gîte de passage. De fille pas sage du tout. Il m'a traversée. A fait son chemin brut en moi. De ma chatte jusqu'à ma pensée. Son empreinte palpite là comme un feu entre mes cuisses. Un feu qui s'écoule. Comme le temps qui s'enfuit déjà depuis mon premier gémissement sous les feuilles.

(E)
Il me prend là, d'un coup, sans même me laisser respirer. C'est sa plus belle prise. Il faut qu'il aille au bout de ce désir fou que j'ai allumé dans ses reins. Il me bascule, comme un animal docile. Il m'enfile. ...

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il râlait de plus en plus fort contre moi. Je réalisai alors qu'il était sur le point de venir. Et il arriva !.... Son corps entier bascula en avant, se contracta, se figea. Il se mit à gemir très fort et lâcha ses premiers salves au fond de mon ventre. Il jouissait en moi ! J'étais au bord de l'extase absolue. J'essayai de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tennaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Mes hanches recommencaient à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'enroulais mes jambes autour de sa taille et l'attirai encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.
Alors que les décharges faiblissaient, je sentais la chaleur de son sperme tapissant les profondeurs de mon corps. Je restais là, affaissée contre lui, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.
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il râlait de plus en plus fort contre moi. Je réalisai alors qu'il était sur le point de venir. Et il arriva !.... Son corps entier bascula en avant, se contracta, se figea. Il se mit à gemir très fort et l ...

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le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs, le frottement de ma lingerie soyeuse sur ses bourses, nous excitaient mutuellement, annonçant la conclusion proche. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. Je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon nouvel amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu.
A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins.
Puis j'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressantsensuelle ment, nous enlaçant à nouveau.
- Louis, je vous en prie, restez avec moi cette nuit !

Louis fut un amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était beau, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
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le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs, le frottement de ma lingerie soyeuse sur ses bourses, nous excitaient mutuellement, annonçant la conclusion proche. Il banda alors ses muscles et de toute ...

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Il m'empale, il me pompe, il me traverse, il me baise, assoiffé, affamé, mordant. Il aime ça et j'aime qu'il aime. Il m'excite, mes jambes tremblent, se serrent dans son dos, l'agrippent. Je me laisse dévorer, il implore le plaisir sous mes mains expertes. Je m'abandonne. Il aime ça et j'aime qu'il aime. Je suis à sa merci, ses mains puissantes et douces sur mes hanches, il me fouille, il m'enbroche, puissement, le miel de mon jardin s'écoule jusqu'en haut de mes cuisses. Il est en moi, il gémis, il brame, je l'accompagne. Cadence, force, puissance, la chaleur envahit tout mon corps et se mêle à la sienne, c'est bon et je lui dis. Il aime que je lui dise et j'aime qu'il aime.
Nous ne faisons qu'un, l'enchevêtrement de nos deux corps, les va-et-vient, le mélange de nos parfums, de nos secretions, de nos souffles, de nos peaux emmêlées. Nos corps se tendent, on se sent, on se touche, on s'embrasse, partout, dedans, dehors, plaisir, encore ! Ensemble ! Crescendo ! Jouissance ! Etre baisée jusqu'à l'épuisement ! Je me laisse aller, je me colle à lui, nos cœurs battent, vite, très vite, il m'enlace. Il se colle à moi, m'offre la chaleur de son corps nu. il râle de plus en plus fort contre moi. Je réalise qu'il est sur le point de venir. J'essaye de le repousser, mais il est trop tard, il arrive !.... Son corps entier bascule en avant, se contracte, se fige, il gémit, brâme ... et lâche ses premiers salves. Il jouit en moi, bloqué au fond de mon ventre ! Je suis au bord de l'extase absolue. Ses mains tiennent les miennes et il gicle en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation est inimaginable ! je sens son sperme chaud envahir mes muqueuses. Mes hanches recommenent à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. Un orgasme intense me gagne. Je cramponne ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je crie de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'enroule mes jambes autour de sa taille et l'attire encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'est merveilleux et intense. Je sens le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continue de lâcher sa semence. Je ne peux pas croire qu'il y en a tellement en lui. Puis les décharges faiblisent. Je reste là, affaissée contre lui, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produit à l'intérieur de moi. Je lui offre ma bouche et lui, ses derniers baisers, il m'en offre encore un, deux, je ne compte plus. il me chuchote « merci », je le mords, doucement, je souris. J'aime ça et il aime que j'aime. Je suis bien.
A ce moment, le patron entre dans le bureau ... Nous ne l'avons pas vu ...



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Il m'empale, il me pompe, il me traverse, il me baise, assoiffé, affamé, mordant. Il aime ça et j'aime qu'il aime. Il m'excite, mes jambes tremblent, se serrent dans son dos, l'agrippent. Je me laisse dévorer, il ...

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Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, son corps s'est mis à trembler ! Il s'est cabré, vibrant de tous ses membres et lachant un long râle. Je sentis mes muscles se contracter autour de son sexe, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’était violent, et bien vite, le plaisir est arrivé là, balayant tout sur son passage. Tout mon corps s'est mis à vibrer. Je tremblai, me contractai, je jouissais. Un gigantesque frisson se mit a m'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans ma nuque, je sentis mes muscles vaginaux se resserrer sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi...
D’un coup de rein, il s'enfonca au plus profond de moi, en poussant un long râle, Il s’immobilisa ... Son visage se crispa, il ahanait, ses yeux étaient rouges et exorbités. J’enroulai mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, son corps entier a basculé en avant, son sexe enorme s'enfonçant tout au fond. Il a gémi très fort, s'est figé avec un regard vitreux, et il a lâché ses premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient mes hanches et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais son jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude tapissait mon vagin, Sa sève humide se rependait en moi en plusieurs vagues. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, son sperme chaud commencait à ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de se lâcher. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.
il retomba lourdement sur moi, affalé, amorphe... il m'avait remplie. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. puis il s’immobilisa au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Il jouissait encore en moi. Je jouissais aussi, une douce brûlure.
Apres plusieurs secousses, il s'est effondré sur moi. Nous sommes restés ainsi un moment, l'un dans l'autre, enlaces, nos sexes emboités,
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Je l'ai senti frémir dans mon ventre ! Puis, son corps s'est mis à trembler ! Il s'est cabré, vibrant de tous ses membres et lachant un long râle. Je sentis mes muscles se contracter autour de son sexe, m’ar ...

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Il s'enfoncait et se retirait, allait et venait de plus en plus vite dans mon corps, c'est alors que je l'ai senti ! Son corps entier a basculé en avant. Il a gémi très fort et a lâché ses premiers salves au fond de mon vagin. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort son sexe au fond de mon ventre. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.
Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs, je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. Même mes mamelons me brûlaient.
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
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Il s'enfoncait et se retirait, allait et venait de plus en plus vite dans mon corps, c'est alors que je l'ai senti ! Son corps entier a basculé en avant. Il a gémi très fort et a lâché ses premiers salves a ...

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C'est alors que je l'ai senti ! Son corps entier a basculé en avant. Il a gémi et a lâché ses premiers salves au fond de mon vagin. Mon Dieu, il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort son sexe au fond de mon ventre. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je sentais le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe doucement, lentement, tendrement. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs, je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté, sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. Même mes mamelons me brûlaient.
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'étais completement épuisée, du sperme coulait sur mes cuisses. Je n'avais encore jamais rien vecu de pareil.

J'ai aimé la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve, mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
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C'est alors que je l'ai senti ! Son corps entier a basculé en avant. Il a gémi et a lâché ses premiers salves au fond de mon vagin. Mon Dieu, il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terroris ...

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il retomba lourdement sur moi


Alors que les décharges faiblissaient, il retomba lourdement sur moi, affalé, amorphe... il m'avait remplie. je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, affolée par la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. Il jouissait encore en moi par de legers soubresauts. Je jouissais aussi, une douce brûlure. puis il s’immobilisa au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Nous sommes restés ainsi un moment, l'un dans l'autre, enlaces, nos sexes emboités,

Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.



il retomba lourdement sur moi (E)
Alors que les décharges faiblissaient, il retomba lourdement sur moi, affalé, amorphe... il m'avait remplie. je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, affolée par la sensation ...

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le rythme s'accélèra, accompagnées d'indecents bruits de succion. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Je fus secouée d'un premier spasme. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses enfievrées de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti une nouvelle fois monter la jouissance en moi. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il empoigna mes deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, vivais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, et qui finit par l'emporter. Il me regarda l'air un peu perdu. La pensée de son corps glissant dans le mien lui fit perdre toute retenue, un violent coup de rein, je fus prise de vertige, puis il s'affola en accelerant, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Ce fut le signal, je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque. Je le tirai à moi. Et il explosa au fond de mes entrailles, il gicla en moi, en plusieurs salves successives. il jouissait à me faire perdre la tête. Un flot de vie me remplissait. J'étais inondée d'une douce chaleur. ... Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Sa tension s'accompagnait dans mon corps d'une serie de spasmes en continu ...
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le rythme s'accélèra, accompagnées d'indecents bruits de succion. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Je fus secouée d'un premier spasme. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un vo ...

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Dans un véritable feu d'artifice


Dans un véritable feu d'artifice, il déchargeait à longs traits dans mon ventre chaud. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant son sperme abondant au plus profond de mon ventre. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de mon mâle. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés, lui aussi totalement vidé et anéanti. Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes.
Il déchargeait encore en moi, plus faiblement, me provoquant encore quelques spasmes. Je serrai son sexe bandé entre mes muqueuses gourmandes. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Je m'abandonnai à lui dans un long râle de volupté. Puis il se retira de moi, un peu, entra de nouveau, s’arrêta, et m'envoya une derniere giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougea plus.
Il resta là, affalé contre moi, sa queue toujours en moi, Je le repoussai doucement, je le laissai glisser hors de moi. Sa verge ressortit, dans un indecent bruit de succion, entraînant le foutre qui coulait dans ma fente. Sa queue glisse hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J'étais aussi épuisée que lui.
Je m'abandonnai, me livrai aux flots qui m'absorbaient... Il s'abîma, sombre, s'anéantit... milles bulles éclataient. Nous nous regardames sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là
Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer le corps masculin devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement
Dans un véritable feu d'artifice (E)
Dans un véritable feu d'artifice, il déchargeait à longs traits dans mon ventre chaud. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant ...

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Puis il s'effondra sur moi. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'affaissa avec des grondements d'ours blessés. Je conservai un moment dans ma chair son sexe emprisonné. Je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder son dard planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, affolée de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Il continuait à me limer doucement, son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui.
Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de beatitude. Je lui caressais doucement les cheveux et la nuque, l'embrassant dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa definitivement hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.
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Puis il s'effondra sur moi. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'affaissa avec des grondements d'ours blessés. Je conservai un moment dans ma chair son sexe empri ...

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le rythme s'accelera


le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules, reprit ses longues pénétrations, accompagnées d'indecents bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, je fus prise de vertige, la transpiration perlait entre mes seins, La pensée de son corps glissant dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
J'enserrai de mes jambes son bassin pour qu'il aille plus au fond. Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Il s'activait dans ma chair, fou d’un désir que je ne lui connaissais pas,Je l'agrippai par les épaules pendant qu'il me mordillait le cou,
- Maintenant ... Viens vite !
Je sentais qu’il était sur le point de non retour. il s'activa dans mon ventre plus rapidement. Puis je l'ai senti s'enfoncer au fond de moi. D'un coup, il s'est bloqué au fond de mes entrailles, j'ai senti son sexe se raidir, se contracter. Il poussa un cri rauque et long ... Je le tirai à moi, et son premier jet vint gicler au fond de moi, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Il jouissait dans mon corps, à me faire perdre la tête. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, je me mordillai les levres. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse, il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait.
Puis il s'affaiissa sur mon corps avec des grondements d'ours blessé. Il m'envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il restait là contre moi, sa queue toujours bloquée en moi. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissai de bonheur. Je caressai amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je sentis sa verge se rétrécir, libérant en abondance nos sécrétions amoureuses. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa completement sur moi, épuisé. Je conservai dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
le rythme s'accelera (E)
le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules, reprit ses longues pénétrations, accompagnées d'indecents bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, je fus prise de ...

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l'amant de Lady Chatterley


nous étions fous de désir, de nous assouvir l'un dans l'autre. J'avais envie de lui, il avait envie de moi. Je le désirais, violemment. Il a pénètré mon corps sans attendre, d'un coup. Je l'aspirai aussitôt en moi avec gourmandise, mes chairs se distendaient. il me tenait par les hanches et il m’accompagnait. je mouillais sous ses coups. Je le sentais me fouiller, me remplir. La sensation était puissante, suave, elle se propageait, s’éteignait, renaissait, nous étions emboités l'un dans l'autre. il glissait en moi amplement, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe, nous approchant un peu plus du moment sublime. Mes jambes emprisonnaient son corps et l'attiraient en moi chaque fois qu'il s'en éloignait. Nos deux corps comme des vagues allaient et venaient, éclaboussant nos vetements de sueurs, de désirs. Puis il alla plus loin, plus profond et plus fort. La tension alla s’amplifiant. Je le sentis gonfler et grandir dans mon ventre. Je frissonnais, je tremblais.... Je montais irrémédiablement. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquerent une forte houle de sensations dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux :
Son plaisir s’annoncait, J'allais jouir moi aussi d'un instant à l'autre, je sentis mes muscles se contracter autour de son sexe, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’était violent, et bien vite, le plaisir est arrivé là, balayant tout sur son passage.
Tout mon corps se mit à vibrer. Je tremblai, me contractai, je jouissais. Un gigantesque frisson se mit a m'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans ma nuque, je sentis mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... Il le sentit et d’un coup de rein, s'enfonca au plus profond de moi, en poussant un long râle, Il s’immobilisa ... Son visage se crispa, il ahanait, ses yeux étaient rouges et exorbités, j’enroulai mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Son corps entier a basculé en avant, s'enfonçant tout au fond. Il a gémi très fort, s'est figé avec un regard vitreux, et il a lâché ses premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais son jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se répandait dans mon ventre, La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, je sentais son sperme chaud commencer à ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de se lâcher. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.
Il retomba lourdement sur moi, il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je cherche à les contrôler. J'ai alors eu un dernier orgasme intense.
l'amant de Lady Chatterley (E)
nous étions fous de désir, de nous assouvir l'un dans l'autre. J'avais envie de lui, il avait envie de moi. Je le désirais, violemment. Il a pénètré mon corps sans attendre, d'un coup. Je l'aspirai ...

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Je restais étendue là, le dard de mon homme encore planté en moi. comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. je réalisais ce que nous avions fait. et sentais entre mes jambes ouvertes couler tout son sperme. Il continuait à me limer doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Je l'ai senti de nouveau durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Ses dernières caresses intimes me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.

Il fut mon bel amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il fut tendre et vigoureux à la fois, infatigable de son corps. Ses jouissances furent intenses, furent violentes. Les miennes furent sauvages. J'entends encore résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
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Je restais étendue là, le dard de mon homme encore planté en moi. comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. j ...

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doux reveil


Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité, enlaçés tendrement. Le lendemain, à mon réveil, me voyant découvert, elle caressa doucement mon corps. Il était brûlant. Elle m’embrassa sur l’épaule. Un second baiser, plus prolongé me mit en eveil. Elle me couvrit de baisers, il n'en fallait pas plus pour nous remettre à l'ouvrage. Elle se positionna sur moi, la soie de sa chemise de nuit s'etalait doucement sur mes flancs, ses seins se deployaient sur mon torse sensible. Elle me fixa de ses yeux legerement humides en m'aspirant en elle. Elle m'enveloppait, comme si tout son corps m'enserrait. Je me perdais en elle. Elle suçait ma verge comme une sucrerie, je glissai en elle comme un doigt dans le beurre, un frottement délicat irisé de plaisir, un glissement onctueux, une penetration lente. Elle se frottait, s'empalait, se soulèvait, redescendait, ondulait. Mon sexe glissait, grossissait, s'allongeait dans ses chairs et remplissait son vagin, il s'y complaîsait comme dans une bain mielleux. Elle l’aspirait, le tirait, le poussait en jouant de son corps. Un étui chaud et humide, tel un poulpe, me pompait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. Elle se faisait plaisir en glissant allègrement sur moi tout en surveillant mes réactions. Ces pénétrations affolaient nos sens. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Ses beaux seins ballottaient au contact de mon corps. Elle savourait ses propres sensations et les miennes, je voyageai en elle, je m'enfoncai en elle, profondément, goutant ses succions intimes. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle m'affolait. Scene incroyable, là, sous ses dessous de soie que j'avais relevée sur ses hanches, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de puissantes caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Nos tempes claquaient, la chaleur montait en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés. Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle s'abandonnait, cèdait à la volupté, ne cherchait plus à se contrôler. Elle s'offrait à mon corps, à nos sens ! Je me retins. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. Je sentis mon sexe littéralement gobé, aspiré en elle, je la pénétrai jusqu'à la garde. Je voyais dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, ma verge dure comme du bois s'enfoncait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux, puis elle jouit devant moi en serrant les dents. Elle se repris et me fusilla du regard,
- Maintenant ! ... Viens vite !
Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme. Je me sentis aspiré, je ne pus me retenir longtemps, Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa, je me libèrai en elle, sans retenue, je giclai par spasmes riches et généreux, elle suca et aspira ma queue qui se vidait. J'explosai au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui coupa les jambes, elle devint pantelante contre moi. Elle suca tout, ne gâcha rien, ne perdit rien. Elle digera mon gland qui trempait dans mon sperme. elle chercha à extraire toute ma semence qui libérererait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendis à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restâmes un moment inertes, tetanisés
Nous restâmes pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençerent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.
Nous avons refais l'amour, longuement, merveilleusement, ne sachant meme plus nous desenlaçer. Puis, la fatigue aidant, nos corps ont commençé à se separer doucement. Cette minute où nous nous désenlaçâmes, avec ses yeux admirables, valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. Lorsque je me suis retiré d'elle, ce fut dans un delicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux. Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Nos secretions amoureuses coulaient encore entre nos cuisses imprégnées de nos ébats nocturnes. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi.
Nous avons fait l'amour longtemps, elle m'a remercié de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'elle ressentait. J'en tremble encore de plaisir, comblé par ce corps à corps torride. Je l'imaginais passive et classique alors que je la decouvrais presque perverse et très imaginative. J'avais été là au bon moment, où nous avions besoin l'un de l'autre.
- Tu es maintenant mon amant, tu realises ? me declara-t'elle avec un sourire à me faire fondre definitivement
S’arrachant à moi, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la chambre, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que desormais j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant elle se révélait bien plus amante que je n’y croyais.



doux reveil (E)
Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité, enlaçés tendrement. Le lendemain, à mon réveil, me voyant découvert, elle caressa doucement mon corps. Il était brûlant. Elle m’em ...

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Les spasmes finis


Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.
Les spasmes finis (E)
Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, ép ...

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Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, Il m'avait prise sur le divan. J'étais chaude et mouillée d'excitation. Il avait relevé ma fine lingerie, et je l'avais senti me pénétrer d'un coup. Puissamment, il se glissa dans mon ventre. Je l'accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l'entendre gémir et cela ne faisait que m'exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin au fond de mon ventre chaud. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu'il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu'il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J'étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir.

Il me regardait fixement, lorsqu'il s'est ravisé, il s'est rapproché, et m'a pénétrée de nouveau. Je commençais de nouveau à réagir à ces intrusions ! il s'enfonça doucement, son sexe de nouveau enorme écartant mes chairs. je soupirai quand il arriva au fond. il fit durer le plaisir. Il accélera, je n'en pouvais plus, Je me suis mise à trembler et un spasme violent me figea, de violentes secousses traverserent mes entrailles. Il me regarda intensément, bloqua son sexe au fond de mon vagin, et il fusa ... et se vida une nouvelle fois en moi, il n'en finissait plus de se vider. La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles me laissait pantois. En se retirant sa queue emit un bruit de succion j'ouvrais les yeux et je vis tout ce que j'avais reçu de lui

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Il commençait à se rhabiller en me laissant là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, Il m'avait prise sur le divan. J'étais chaude et mouillée d'excitat ...

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sensuelles reminiscences


Il a joui en moi. Son sperme chaud s'écoule encore hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur la moquette. J'ai joui moi aussi, c'est une brûlure douce. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'interstice de mes fesses. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale
J'avais 20 ans, de longs cheveux blonds tombant sur les épaules, un corps fin et deux belles poitrines saillantes, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Ce soir là, j'étais quelque peu émechée, appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui venait de me baiser derrière le buffet. Il semblait encore sur sa faim, pas encore rassasié. Il s'approcha de nouveau de moi et le regard qu'il porta sur moi était d'une intensité redoutable, ses yeux brillaient d'un feu étrange, il en voulait encore. Il me mangeait du regard et je tressaillis lorsque son regard avide se riva sur mes seins. Son corps m'excitait. Il était de nouveau en pleine érection. Il bandait devant moi, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je mouillais abondamment. Je n'avais plus aucun contrôle sur mes sens. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, et mes mamelles avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer.
Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il repris mes lèvres, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants dans ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte.
Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui devenait de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps.
Je voyais bien que cet homme avait envie de moi, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues.
Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.

Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis me penetrer furieusement d'un seul coup, très profondement, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.

Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.
sensuelles reminiscences (E)
Il a joui en moi. Son sperme chaud s'écoule encore hors de mon ventre, sur mes cuisses, sur la moquette. J'ai joui moi aussi, c'est une brûlure douce. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'i ...

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fascination


Il a joui en moi. J'en reste encore abassourdie. J'étais quelque peu émechée, appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui venait de me baiser. Lorsque, de nouveau, il s'approcha de moi, le regard qu'il porta sur moi a ce moment était d'une soudaine intensité, ses yeux brillaient d'un feu étrange. Il me mangeait du regard et je tressaillis lorsque son regard avide se riva sur mes seins. J'admirais son corps. Cet homme était impressionnant. J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par l'envie, par le désir. Il était de nouveau en pleine érection. Il bandait, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais plus aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait cet homme. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer.
Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant à quelques centimètres de mon visage. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi ! Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau et, l'instant d'après, il repris mes lèvres, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi. Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main partit à la rencontre de son sexe qui semblait vouloir crever l'étoffe distendue de son pantalon. Rapidement libéré, l'enorme sexe se dandina quelques instants dans ma main. Quelle merveilleuse sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière, il était la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de son sexe, tendrement, délicatement Je le sentais vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte.
Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Sans m'en rendre compte, je continuais à caresser avec vigueur son sexe qui devenait de plus en plus raide. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps.
Je voyais bien que cet homme avait envie de moi, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues.
Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Doucement, je l'attirai vers moi. Je le regardais droit dans les yeux. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais. Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.

Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis me penetrer furieusement d'un seul coup, très profondement, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.

Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle était allongé sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.
fascination (E)
Il a joui en moi. J'en reste encore abassourdie. J'étais quelque peu émechée, appuyée contre le mur du fond de cette grande pièce sombre fasciné par cet homme puissant qui venait de me baiser. Lorsq ...

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Ce soir là, il m'avait entrainée chez lui, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de me connaître, et ses sentiments naissants. Il était venu près de moi, j'ai senti à un moment ses mains venir discretement sur mes hanches et j'ai senti alors son souffle chaud dans mon cou. C'est un bel homme, seduisant, plutôt bien bâti. Il est beau, viril, gâté par la nature. Il dégage quelque chose. Il est aussi très tendre, comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je n'avais pourtant pas prévu d'abdiquer si vite. Malgré tout, quelque chose m'attirait vers lui, et je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Il était en train de m'attirer dans ses filets et j'y allais naturellement. En fait, je le désirais de plus en plus fort. je le désirais ardemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Il savait me ménager. Je retournais instinctivement la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me prenne, qu'il m'enlace de ses douces caresses. Mon corps tout entier était là pour l'encourager à poursuivre. Ses mains étaient longues et fines, elles étaient chaudes, J'aimais ses caresses, le plaisir qu’elles me donnaient. Elles étaient presque trop sages. Je voulais les toucher, sucer chacune de ses phalanges, les soumettre enfin à mon plaisir, les guider sur mon corps, les accueillir pour qu'elles se perdent dans mon écrin. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Je pressentai qu'il me voulait et, de plus en plus, je le voulais moi aussi.
Une fois refugiés dans la chambre, tout s'est passé très vite, j'étais soûle d'amour, nous nous dehabillâmes, avec febrilité. Nous nous allongeames, nus sur le lit, et, tout naturellement, il m'a recouvert de son corps, il est venu sur moi, m'a recouvert de caresses, puis il est venu en moi, doucement, tendrement, comme une onde joyeuse et tendre qui se propageait dans mon corps. Un feu me ravageait l'intérieur, j'ai passé mes doigts sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner, il m'a devinée ... il s'est glissé en moi, de plus en plus profondement, allant et venant dans ma chair avec délice, ses mains sur mes seins chauds, nos corps se mêlerent. Je l'aspirai en moi, doucement, interminablement. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens. Je m’offrais à son plaisir, à mon plaisir, sensation délicieuse, affolante. Il était en moi, et plus rien ne comptait. Pendant quelques secondes nous restions immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. Je lui souriais et me penchais vers ses lèvres, savourant mes propres sensations comme les siennes.
Je le sentais palpiter dans mon ventre. Mes moiteurs intimes l'enveloppaient. Tout mon corps l'encourageait. Je fus secouée alors d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Il s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. C'était comme une vague qui m'emportait.
Puis, je l'ai senti venir, je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Il s'arrêta net et crispa son regard. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahirent au même moment. Une ultime envolée, au milieu des nuages, j'avalai ses cris, mêlés d'agonisantes plaintes, nos corps furent agités par de violents frissons, Nous nous contrôlions plus ... il se lâcha et se rependit dans mon corps, jaillissante osmose, en une vive et abondante apothéose, comme foudroyé au sein du ciel bleu. J'ai senti un flot liberateur me remplir. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. J'en gémissais de bonheur. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de mon delicieux amant. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps amoureux.
Il s'effondra sur moi en me couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relacherent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être. Nous nous nous sommes serrés l'un contre l'autre dans une étreinte sensuelle, tendre et langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Nous nous sommes aimés, toute la nuit, sans restrictions.

Il fut ce soir là total, secret, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et pris sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. il m'a fait decouvrir en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui ai offert ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était beau, vigoureux, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Il est devenu cette nuit-là mon merveilleux amant !

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Ce soir là, il m'avait entrainée chez lui, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de me connaître, et ses sentiments naissants. Il était venu près de moi, j'ai senti à un moment ses main ...

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Ce jour là, Il m'a prise sur le siège qu'il avait au prealable incliné. J'étais chaude et mouillée d'excitation, il s'est positionné sur moi et il m'a penetré d'un coup. Puissamment, il s'est glissé dans mon ventre. Je l’accompagnais par les contractions de mes muscles, le pressais, Il ressortit, puis rentra en moi encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentis à un moment qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Une fois les spasmes apaisés, je l'ai laissé glisser hors de moi, dans un bruit de succion indécent, liberant un flot de semence. J’étais completement épuisée et comblée. Il s'est glissé hors de moi, je n'ai rien fait pour le retenir. Et il m'a laissé là, les cuisses écartées, béante, toute ouverte, obscène presque, La sensation de sperme chaud se rependant dans mes entrailles et coulant maintenant sur mes cuisses me laisse pantois

Il a joui en moi. J'ai joui avec lui, c'est une brûlure douce. La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Je me sens sans force, Son liquide coule toujours entre mes jambes, dans l'interstice de mes fesses. Je lui ai offert mon ventre, dans lequel il s'est répandu en une chaude apothéose. Je suis maintenant assise là à ses cotés, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur ma toison humide me donne le frisson, ouverte, obscène presque. Je luis de son jus, mes lèvres intimes toutes distendues.

J'ai 30 ans, de longs cheveux blonds tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine qu'il semble apprecier particulierement, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus et j'adore lorsqu'il me fait l'amour.



(E)
Ce jour là, Il m'a prise sur le siège qu'il avait au prealable incliné. J'étais chaude et mouillée d'excitation, il s'est positionné sur moi et il m'a penetré d'un coup. Puissamment, il s'est ...

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un ange de douceur


il a été très tendre, un ange de douceur. Je ressens encore sa main glissant tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. J'ai senti mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me touche, qu'il me frôle, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Il m'a caressée avec un maximum de tendresse, comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'adorais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. J'étais séduite, je me sentais amoureuse, folle. Il m'a prise dans ses bras et il m'a enbrassée, tendrement, passionement, un vrai feu d'artifice. J'avais envie de l'aspirer lentement, goulûment en moi. Il m'a rendue insatiable et enflammée.
Je me suis enfilée sur lui, allant et venant, le retenant au niveau des épaules. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitaient d'envie. Le rythme insidieusement s'accélérait par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Je voulais tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance. Je voulais aussi sa force animale quand il s'est emparé de moi. Je me mordais les lèvres, je secouais la tête, j'avais envie en crier.
Et puis j'ai explosé, je ne pouvais plus me contrôler, ravagée par les spasmes à répétition. la seconde vague est arrivée, déclenchée par la jouissance de mon homme, profonde, puissante, énorme... équi me donnaient la chair de poule et des frissons partout. C'était bon, merveilleux, pétillant...
un ange de douceur (E)
il a été très tendre, un ange de douceur. Je ressens encore sa main glissant tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. J'ai senti mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je r ...

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premiere experience


Il venait d'avoir dix-huit ans, c'était sa premiere experience. il avait besoin d'une femme qui puisse le deniaiser, l'initier, et enfin le satisfaire. il m'avait rencontré dans la rue et m'avait demandé de venir chez lui. il était beau et attirant. Il ne m'a pas parlé d'amour. Il m'a simplement dit : "J'ai envie".
C'était le debut de l'été, j'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'ai fait le maximum pour le séduire. Je me suis deshabillée devant ses yeux impatients, et, dans son lit, je me suis offerte à lui. Je l'ai laissé glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude, je lui ai fait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Un delicieux moment de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue. Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

- Pour une première fois, dis-moi, tu t'es bien débroullié !
- Je t'avais demandé, une fois chez moi, de te retirer à temps ... et tu ne t'es pas retiré ! ...
- Je te comprends ! ... Une fois chez moi, tu as pris ton plaisir
- et je dois avouer que j'en ai bien profité moi aussi.
- On s'est bien amusé et on a tant ri que tu n'as pas su te retirer,
- Mais console toi, j'étais contente que tu restes
- On a jamais autant joui ! Tu m'as copieusement remplie ! Je coule de partout !
- Tu es content ? Tu reviens demain ? ... Je t'attends !

Il a été un amant ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant que je me rhabillais Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude
J'aurais voulu qu'il me retienne Pourtant il m'a laissée partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse.
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans
premiere experience (E)
Il venait d'avoir dix-huit ans, c'était sa premiere experience. il avait besoin d'une femme qui puisse le deniaiser, l'initier, et enfin le satisfaire. il m'avait rencontré dans la rue et m'avait demandé de venir chez l ...

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chez lui


Il m'avait entrainée chez lui, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments ardents. Il était venu près de moi, j'ai senti à un moment ses mains venir discretement sur mes hanches et j'ai senti alors son souffle chaud dans mon cou. C'était un bel homme, seduisant, plutôt bien bâti. Il était beau, viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. Il était aussi très tendre, comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je n'avais pourtant pas prévu d'abdiquer si vite. Malgré tout, quelque chose m'attirait vers lui, et je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Il était en train de m'attirer dans ses filets et j'y allais naturellement. En fait, je le désirais de plus en plus fort. je le désirais ardemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Il savait me ménager. Je retournais instinctivement la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me prenne, qu'il m'enlace de ses douces caresses. Mon corps tout entier était là pour l'encourager à poursuivre. Ses mains étaient longues et fines, elles étaient chaudes, J'aimais ses caresses, le plaisir qu’elles me donnaient. Elles étaient presque trop sages. Je voulais les toucher, sucer chacune de ses phalanges, les soumettre enfin à mon plaisir, les guider sur mon corps, les accueillir pour qu'elles se perdent dans mon écrin. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Je pressentai qu'il me voulait et, de plus en plus, je le voulais moi aussi.

Une fois refugiés dans la chambre, tout s'est passé très vite, j'étais soûle d'amour, nous nous dehabillâmes, avec febrilité. Nous nous allongeames, nus sur le lit, et, tout naturellement, il m'a recouvert de son corps, il est venu sur moi, m'a recouvert de caresses, puis il est venu en moi, doucement, tendrement, comme une onde joyeuse et tendre qui se propageait dans mon corps. Je voyais dans ses yeux le soleil, les etoiles. Je m'agrippais à sa taille. Je ne l'entendais plus, je voyais le mouvement de ses lèvres, de sa bouche, de ses doigts. Un feu me ravageait l'intérieur, j'ai passé mes doigts sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner, il m'a devinée ... il s'est glissé un peu plus en moi, de plus en plus profondement, allant et venant dans ma chair avec délice, ses mains sur mes seins chauds, nos corps se mêlerent. Je l'aspirai en moi, doucement, interminablement. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens. Je m’offrais à son plaisir, à mon plaisir, sensation délicieuse, affolante. Il était en moi, et plus rien ne comptait. Pendant quelques secondes nous restions immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. Je lui souriais et me penchais vers ses lèvres, savourant mes propres sensations comme les siennes. Je le sentais palpiter dans mon ventre. Mes moiteurs intimes l'enveloppaient. Tout mon corps l'encourageait.

Je fus secouée alors d'un premier spasme annonciateur de jouissances imminentes. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Il s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. il continua ses va et viens réguliers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. C'était comme une vague qui m'emportait.

Puis, je l'ai senti venir, je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Il s'arrêta net et crispa son regard. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahirent au même moment. Une ultime envolée, au milieu des nuages, j'avalai ses cris, mêlés d'agonisantes plaintes, nos corps furent agités par de violents frissons, Nous nous contrôlions plus ... il se lâcha et se rependit dans mon corps, jaillissante osmose, en une vive et abondante apothéose, comme foudroyé au sein du ciel bleu. J'ai senti un flot liberateur me remplir. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. J'en gémissais de bonheur. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de mon delicieux amant. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps amoureux.

Il s'effondra sur moi en me couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relacherent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être. Nous nous nous sommes serrés l'un contre l'autre dans une étreinte sensuelle, tendre et langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Nous nous sommes aimés, toute la nuit, sans restrictions.

Il fut total, secret, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et pris sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. il me fit decouvrir en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offris ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était beau, vigoureux, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Il est devenu cette nuit-là mon merveilleux amour !

chez lui (E)
Il m'avait entrainée chez lui, l'air était doux. Il me confiait son plaisir de m'avoir rencontré, et ses sentiments ardents. Il était venu près de moi, j'ai senti à un moment ses mains venir discret ...

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la nuit avec lui avait été douce et tendre


J'etais encore nue devant ma glace, la nuit avec lui avait été douce et tendre, j'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... je l'ai alors senti entre mes jambes, dur comme le bois. Il a saisi mes seins au creux de ses deux mains, les a caressés toujours avec douceur, puis il a soulevé ma chemise le long de mes hanches. Tout naturellement, j'écartais les cuisses, et je décidais alors de m'offrir à lui, toute grande. Je l’ai alors senti ... impression delicieuse ... s’introduire en moi. Une douceur infinie ! J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, je sentais son corp puissant sur mes hanches. J’étais trempée, les jambes écartées, le ventre rempli de mon homme qui allait jouir en moi. je le sentais s'enfoncer, doucement, glissant entre mes levres trempées, Il est resté un moment sans bouger, me remplissant de son membre. je le sentis glisser à nouveau a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes. lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi
et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient, j’étais au bord de l’explosion Je l’ai senti gonfler encore et puis ... Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... poussant un long râle ... et j’ai senti un envahissement chaud, je l'ai senti se lacher et se répandre dans mon ventre par de longs jets de liquide chaud. J’ai été prise de tremblements de tout mon corps et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue. Rarement un orgasme aura été si puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne savais plus où j’étais, j’étais prise comme dans un étau par mon homme enfoncé au plus profond de moi, Je tremblais de partout avant de me relacher totalement et m'affaisser sur lui. ses mains puissantes sur mes hanches. J’ai senti les derniers soubresauts de son sexe qui finissait de se répandre en moi. Puis il s’est collé à moi et a commencé à m’embrasser doucement dans le cou,

Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Son membre palpitait encore dans mon ventre déclenchant en moi un nouvel spasme Il s'enfonca un peu plus, s'extraya, puis revint. Je fermais les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements devenaient plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion. Son sexe plongeait en moi et gonflait en meme temps, occupant mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Il s'agrippa alors à mes épaules et repris ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermais les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- tu es prête ?
- Oui, maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il se mit à jouir lui aussiJe sentis un flot de me remplir, inondée d'une douce chaleur, gémissant de bonheur. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Il s’est retiré doucement, il m’a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés passionnément.
la nuit avec lui avait été douce et tendre (E)
J'etais encore nue devant ma glace, la nuit avec lui avait été douce et tendre, j'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre m ...

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douces reminiscences


Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'aurais donné n'importe quoi pour le séduire. Dix-huit ans, c'était le plus bel argument de sa victoire Il ne m'a pas parlé d'amour Il pensait que les mots d'amour sont dérisoires Il m'a dit : "J'ai envie de toi" il avait vu au cinéma "le blé en herbe" Au creux d'un lit improvisé J'ai découvert émerveillée un ciel superbe

Je l'ai invité au creux de mon lit, et je me suis offerte à lui. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvrais, tendre et humide, et le laissais glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il pouvait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ? me demanda-t'il
- Non...Pas encore... lui répondis-je
Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, comme un cocon envoutant qu'il ne voulait dejà plus quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une première grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à lui faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens ! Je veux ta sève chaude !
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Il fut total, amant, secret, ardent et directif. il fut câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant qu'il se rhabillait Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude
J'aurais voulu le retenir Pourtant je l'ai laissé partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse.
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans
douces reminiscences (E)
Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheve ...

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Il était en manque, il avait besoin d'une femme


Il était en manque affectif. Je l'avais croisé dans la rue. Il m'avait abordée et m'avait demandé de venir chez lui. il était plutôt bel homme. Il ne m'a pas parlé d'amour. Il m'a simplement dit : "J'ai envie de toi". Il m'a emmené dans sa chambre d'hotel non loin de là. Je me suis deshabillée devant ses yeux impatients, et dans son lit, je me suis offerte à lui. Je l'ai laissé glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude, je lui ai fait sentir mes douces caresses intimes, il était bien. Un moment de douceur et de plaisir controlé que j'appreciais moi aussi. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait puissemment, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une agreable douceur. Il fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède. Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. Il oscillait en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue. Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Il a été un amant ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

pendant que je me rhabillais Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude
J'aurais voulu qu'il me retienne Pourtant il m'a laissée partir sans faire un geste
Il était en manque, il avait besoin d'une femme (E)
Il était en manque affectif. Je l'avais croisé dans la rue. Il m'avait abordée et m'avait demandé de venir chez lui. il était plutôt bel homme. Il ne m'a pas parlé d'amour. Il m'a simplement d ...

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Approche-toi, ferme les yeux. caresses mes jambes remonte le long de mes cuisses,
Sens la chaleur de mes levres ma peau est brûlante de désir, j’écarte les jambes pour toi.
Regarde mon sexe nu, ma forêt foudroyante vois mes lèvres distendues et gonflées,
Touche, butine, bois la douceur de mon elixir

De mes lèvres douces, humides, à ma fleur que tu butines, je sais pour toi le goût de mon corps,
de tous ses arômes, parfums secrets et interdits.
Puise donc ta force en mon calice, en y plongeant ton sexe avec malice.
Tu deviendras enfin le complice, de la fin de mon supplice. Goûte-moi

Je sens frissonner sur mes lèvres muettes la douceur et la chaleur de ton premier baiser.
Continue, respire le parfum de mon jardin de Jade. Plus près encore… Là où le désir transpire,
Là où la grotte à corail, l’écrin à bijoux, cache mon trésor mystérieux.
Sois tendre, prévenant, délicat, généreux, mais aussi, pourquoi pas, fantasque et un peu fou.

Goute ce paradis de douceur qui te cerne, Je m’ouvre à toi et te dévore.
sensation délicieuse et presque douloureuse. Tu es en moi, au plus profond de moi.
Tu appartiens à mes entrailles, tu fais partie de moi, Tu m’habites, je ressussite,
Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps.

Mon corps pour toi se fait soyeux, de ta vigueur fais moi douceur,
que ton sexe glisse, se fasse onctueux pour mieux remonter ma chair.
qu'il m'explore, remonte, s'immisce dans mes tendres muqueuses
qu'il m'explore plus loin, se faufile, me pénétre.

J'aime ce glissement onctueux, cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir.
Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t'enfonces ... loin, très loin.
Tu m'enroules, me défais, tu plonges, te retires. J'avale ton corps.
Courtisane lascive, soumise et attentive, au plus profond de moi, ton sceptre devient roi.

Savoures-tu cette douce sensation à l'extrémité de ton être,
ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soude l'un à l'autre.
Tu bouges lentement, tu caresses mes muqueuses, Je te suce, t'enroules et te déroule.
Je me creuse pour toi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau me remplir de moi.

Ton amour me comble et me remplit C'est un velours, total, une douceur qui m'enveloppe.
Tu vas et viens doucement et ta position change C'est une offrande totale.
Je te masse doucement de mes muscles intimes Le plaisir monte et tu jouis deux fois
Mes jambes se referment sur tes hanches et te maintiennent ancré au plus profond de moi

Resserre un peu plus fort l'étreinte de tes bras, qui entourent et pressent mon coeur contre le tien
Tu es là, Je te sens ! ... prend le temps ... arrete-toi ... Et puis, reviens ! ... bien au fond !
Sens mes douces caresses intimes, mes tendres contractions. Investis bien mon ventre chaud !
Laisse moi glisser sur toi la fleur de mes doigts. Tu es doux ! Je te sens vivre ! au plus profond de moi !

Tu vas et tu viens, vagues de plaisir, Au rythme de ton corps, je me plie sans effort.
les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine.
et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre l'oreiller.
Tu modules le rythme, tu glisses, léger, agile, mon corps ondule, je suis fluide, féline.

mes muscles se contractent et se relâchent, tu te tends, tu te crispes, tu haletes,
tu gemis, tu jouis de mon corps... tu vas jouir de moi, je vais jouir de toi.
agonie de plaisir, ton plaisir est le mien. J'aime ton corps qui vibre et qui se tend.
J'aime les soubresauts qui t'agitent, moi, si belle en ton plaisir.

Je remue, doucement. Je te serre de ma bouche amoureuse, juteuse comme une mangue.
Sens mes douces contractions qui pulsent dans ma vulve.
Ecoute mon corps qui respire et qui vit, ma chair qui s'ouvre et se ferme,
les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.

Regarde, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur,
ma bouche affamée qui cherche tes baisers, les larmes salées que je laisse s'écouler.
Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures.
Comme une plainte, comme un chant, la douceur de l'autre.

Je m'enfonce, tu me guides, de ta tendresse, de ton envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin.
Je caresse tes joues empourprées de lumière. Mes oreilles bourdonnent, ma tête s'embrase.
Jusqu'à l'épuisement, rien d'autre jusqu'au silence.
Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n\'y a pas de fin.

Tu vas et viens en moi, comme une puissante houle,
une marée secouée de violentes bourrasques,
ballotant mon être consentant au delà de la jouissance,
traversant les portes multiples de l'extase

Saveur pimentée de ton sexe, Fragrance poivrée de ton désir
Tu vas, je te retiens, tu viens, je t'aspire Oscillation, chavirement de tes pupilles
Ton corps houleux se pliant à mes lèvres Rivés en mon âme d'étang
Sucre de ma peau, sel de ma sueur Perlance de nos transparences (François d'Alayrac et Marion Lubreac)

Collés l'un à l'autre, c'est une étreinte sans bruit. caresses imprécises qui égarent nos mains.
le contact est chaud. Je te laisse coulisser au creux de ma tanniere tapissée de ma liqueur douce,
tu la mouille encore plus, tu me caresses au plus chaud de mon envie.
Tu te déverses longuement, diluant ton plaisir dans le mien, Prendre et être pris. échange total.


Oh oui, je te sens bien, tu glisses dans ma chair, C'est une sensation d'une douceur infinie.
Je goûte l'instant. J'aime tes mouvements plus amples, Ta verge plonge en moi et gonfle en meme temps.
Elle occupe maintenant mon espace tout entier. Continue, ne viens pas tout de suite ... pas encore...
Regarde moi. Pénétre moi, plus profondément, Donne moi le vertige. Je te donne du plaisir, tu me le rends au centuple.

Je pense à ce gros gland qui me fouille et que j'aime. Sens la transpiration qui perle entre mes seins,
Ecoute le clapotis de nos sexes emmélés et le claquement de nos chairs
Mon écrin si précieux si souple et vigoureux, tel un poulpe t'enserre, se détend, se resserre.
Ton sexe dans le mien, nous sommes à l'unisson de ce rythme sauvage qui nous cause ravage.

Je te sens dans mon corps, grandir et t'affermir, délicieuse intrusion
Non...Pas encore... Pas trop vite ! Prend le temps ... Profite de mon corps, je profite du tien !
Reprend ta course tendre au plus profond de moi,
je veux te sentir encore vibrer dans ma chair, C\'est si bon !



Tu m’habites. Tout s'estompe, je ressussite, je savoure cette douce sensation à l’extrémité de mon être,
ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soude l’un à l’autre.
Tu bouges lentement, tu caresses mes muqueuses, Je te suce, t'enroules et te déroule.
Je me creuse pour toi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau me remplir de moi.

Tu modules le rythme, tu glisses, légèr, agile, mon corps ondule, je suis fluide, féline.
mes muscles se contractent et se relâchent, tu te tends, tu te crispes, tu haletes,
tu gemis, tu jouis de mon corps... tu vas jouir de moi, je vais jouir de toi.
agonie de plaisir, ton plaisir est le mien. J’aime ton corps qui vibre et qui se tend.

J’aime les soubresauts qui t’agitent, moi, si belle en ton plaisir.
Je remue, doucement, j'ouvre les yeux, je cherche les tiens.
Je te serre de ma bouche amoureuse, juteuse comme une mangue.
Sens mes douces contractions qui pulsent dans ma vulve.

J'aime ce glissement onctueux, cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir.
Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin.
Je t’enroule, te défais, plonge, me retire. J'avale ton corps.
Courtisane lascive, soumise et attentive, au plus profond de moi, ton sceptre devient roi.

Tu vas et tu viens, les vagues de plaisir,
Au rythme de ton corps, je me plie sans effort.
les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine.
et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller.


Ecoute mon corps qui respire et qui vit, ma chair qui s'ouvre et se ferme,
les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Regarde, écoute, touche, respire, goûte. La sueur qui perle à ma peau rougissante.
Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
Les larmes salées que je laisse s'écouler. Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps.
le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte, comme un chant, la douceur de l'autre.
Je m'enfonçe, tu me guides, de ta tendresse, de ton envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin.
Je caresse tes joues empourprées de lumière. Mes oreilles bourdonnent, ma tête s'embrase.
Jusqu'à l'épuisement, rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Nous nous aimons.
Il n'y a pas de fin.

Ton amour me comble et me remplit C’est un velours, total, une douceur qui m’enveloppe.
Tu vas et viens doucement et ta position change C'est une offrande totale.
Je te masse doucement de mes muscles intimes Le plaisir monte et tu jouis deux fois
Mes jambes se referment sur tes hanches et te maintiennent ancré au plus profond de moi

Tu vas et viens en moi, comme une puissante houle, une marée secouée de violentes bourrasques,
ballotant mon être consentant au delà de la jouissance, traversant les portes multiples de l’extase
Saveur pimentée de ton sexe, Fragrance poivrée de ton désir Tu vas, je te retiens, tu viens, je t'aspire
Ton corps houleux se pliant à mes lèvres Oscillation, chavirement de tes pupilles
Rivées en mon âme d'étang Sucre de ma peau, sel de ma sueur Perlance de nos transparences
(François d'Alayrac et Marion Lubreac)

Collés l'un à l'autre, c'est une étreinte sans bruit. caresses imprécises qui égarent nos mains.
le contact est chaud. Je te laisse coulisser au creux de ma tanniere tapissée de ma liqueur douce,
tu la mouille encore plus, tu me caresses au plus chaud de mon envie.
Tu te déverses longuement, diluant ton plaisir dans le mien, Prendre et être pris. Échange total.


Oh oui, je te sens bien, tu t'enfonces dans ma chair, C'est une sensation d'une douceur infinie.
Je goûte l'instant. J'aime tes mouvements plus amples, Ta verge plonge en moi et gonfle en meme temps.
Elle occupe maintenant mon espace tout entier. Continue, ne viens pas tout de suite ... pas encore...
Regarde moi. Pénètre moi, plus profondément, Donne moi le vertige. Je te donne du plaisir, tu me le rends au centuple.

Je pense à ce gros gland qui me fouille et que j'aime. Sens la transpiration qui perle entre mes seins,
Ecoute le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs Je veux un souvenir de toi dans mon ventre !
Donne moi ta sève ! Maintenant ! Remplis moi de toi !Je sens que tu viens ! Je me cabre, Je jouis !
Tu t'arrêtes net et crispes ton regard ..... Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur.

Affaisse toi sur moi, j'aime tes grondements d'ours blessés. Laisse ta tête nichée au creux de mon épaule.
Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.

Mon écrin si précieux si souple et vigoureux, tel un poulpe t’enserre, se détend, se resserre.
Ton sexe dans le mien, nous sommes à l’unisson de ce rythme sauvage qui nous cause ravage.
Mes doux cris de supplique pour mieux que tu me lisses, Tes tendres gémissements et ta verge qui se tend.
Tu n'es plus qu’un phalle qui violemment m’empale et boute dans mon trou, où je te tords le cou.
Les vagues du désir s’en viennent te saisir, avivant durement comme poutre ta folle envie de foutre.
Et puis nous défaillons, ensemble nous jouissons: doux cocktail de sperme et de cyprine.
(Jean-Claude)




(E)
Approche-toi, ferme les yeux. caresses mes jambes remonte le long de mes cuisses,
Sens la chaleur de mes levres ma peau est brûlante de désir, j’écarte les jambes pour toi.
Regarde mon sexe nu, ma for&eci ...

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Pour l'un j'e suis l'acquise, pour l'autre l'insoumise. Le brun est impudique Le blond est angélique, mais les deux sont phalliques Comme deux soleils magiques, et tous les deux m'ont prise, et bien qu'ils soient ardents, j'ai comme le sentiment que j'ai tout le temps pour ces deux amants, car j'aime, un point c'est tout, Peut être un point de trop, mais au fond je m'en fous J'ai l'amour qu'il me faut.

Quand l'un me fait la cour L'autre me fait l'amour, et moi je les savoure L'autre et l'un tour à tour. Je sens dans mon ventre leurs deux sexes qui entrent, et sortent, et se frottent l'un contre l'autre en ma chair et mon sang. Bon sang Que c'est bon ! Je m'y vautre dans cette jouissance. Joyeusement je m'empâle sur leurs pieux, l'un devant l'autre derriere, et je les sens s'activer dans mon ventre de concert pour bientôt me faire jouir dans cette symphonie du plaisir !
Ils se pressent contre moi, émus, tremblant beaucoup, ils me mangent de baisers en me serrant le cou, tandis que grave et fière, et sans trouble, et sans crainte, muette, je tends la joue à leur étreinte. (Guy de Maupassant)
Lentement, ils jouent de mon corps, éveillant au désir, le grain de ma peau, caressant mes seins avec douceur, me faisant découvrir mille plaisirs, m'incitant à l'impudeur, Me forçant sans douleurs, allant et venant, m'oubliant, pour mieux me faire vibrer, et revenir en vainqueurs, pour enfin, me faire partir... Sous leurs doigts musiciens... (BB)
Transcendée dans un mélange De douleur et de plaisir, je me retrouve aux anges par les coups de reins de l'un qui s'aventure dans mes profondeurs, et l'autre qui vole soupirs et cris, tant la promenade de son ami lui fait voir mille couleurs. Alors je suce et aspire leurs boules, leurs glands et leurs pénis tout entiers ! A chaque passage sur mon clitoris, un frisson de délice. Lui parcours mon échine et me rend plus que jamais... féline !
En une galipette je présente ma douce ornière. Devant cet appel à la fête, lui, large et bien bandé, s'introduit et glisse au plus profond de ma sombre marée, et dans un cri comblé je reçois en ma vulve ouverte de Marc bien inspiré, la queue prestement offerte. Une fois leurs deux tiges dans ma chaude chair, alternativement, et même, parfois, de concert, léchée, sucée, branlée Jusqu'à satiété ! De hi de han en va en viens, mes deux amants font le plein dans ce corps qui en souplesse ondule entre deux pistons : L'un qui m'encule et l'autre, qui dans mon ventre fond.
Sur ma peau douce… caresses et passes, leurs sexes face à face, se glissent et s’effacent, se faufilent… Ça glisse…et coule ... fesses impasses… petite mort lasse… bouches et lèvres tracent et tissent un fil de délices sur la peau douce et lisse… Ca y est ! Ils jouissent. (Prune)

Ils m'ont carressée, mille fois, laissant libre cours à leurs inconscients. Regards troublés, désirs naissants, ils me sentaient à la fois proche et rebelle, une main sur ma taille, chaude caresse, et leur rêve qui prend forme, comment m'ensorceler me faire leur. Je suis belle. Où sont mes failles...? Je les avais, ce jour là, mis en transe, de ma souplesse sensuelle, de mon décolleté offert à leurs yeux gourmands, car leurs yeux, d'une même lueur ont lui: Moi, cette femme si désirable, ils allaient m'aimer. De concert, en symbiose, d'une même flamme, d'une même tendresse, des mêmes caresses ! Pour me porter au pinacle, (Cyr)


(E)
Pour l'un j'e suis l'acquise, pour l'autre l'insoumise. Le brun est impudique Le blond est angélique, mais les deux sont phalliques Comme deux soleils magiques, et tous les deux m'ont prise, et bien qu'ils soient ardents, j'ai comme ...

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Ils déchargent encore en moi


Ils déchargent encore en moi, plus faiblement, me provoquant encore quelques spasmes Je serre leurs sexes bandés entre mes muqueuses gourmandes. Ils me remplissent le vagin, c’est chaud. Je m'abandonne dans un long râle de volupté. Ils se retirent de moi, un peu, entrent de nouveau, s’arrêtent, m'envoient une derniere giclée, se vident, puis s’enfournent jusqu’au fond, ne bougent plus. Il restent là, affalés contre moi, leurs queues toujours en moi, Je les repousse doucement, je les laisse glisser hors de moi. Leurs verges ressortent, dans un indecent bruit de succion, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Leurs queues glissent hors de moi, liberant un flot de semence. Ils s'affaissent sur moi, épuisé. Je suis aussi épuisée qu'eux. Je m'abandonne, me livre aux flots qui m'absorbent... Ils s'abîment, sombrent, s'anéantissent... milles bulles éclatent. Nous nous regardons sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là
Ils déchargent encore en moi (E)
Ils déchargent encore en moi, plus faiblement, me provoquant encore quelques spasmes Je serre leurs sexes bandés entre mes muqueuses gourmandes. Ils me remplissent le vagin, c’est chaud. Je m'abandonne dans un long r&ac ...

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basic instinct


il s’est approché de moi, je me laissais faire. Il a commencé à me caresser, les bras, les hanches. Puis j'ai senti sa main devenir plus audacieuse. Je tentais doucement de le repousser. Je n'avais pas prévu de succomber si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même approcher ses lèvres au contact des miennes. Cétait un beau mâle, plutôt bien bâti. Le désir, intense, envahissait mon corps, en prenait possession. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure. J’entrouvrais à peine la bouche, il en profita pour glisser ses levres contre les miennes. Je tremblais comme une feuille. Je n'étais pas encore décidée.
Nos visages se sont rapprochés, il prit doucement et mordilla ma lèvre inferieure. Puis Sa langue s'insinua et s'enroula autour de la mienne. Ma salive se mêlait à la sienne. Puis il commença à relever ma robe, exposant mon ventre. Je cherchais à retirer ses mains qui se faisaient de plus en plus pressantes. Mais il s’imposa, fort, viril, dominant. Je feignais de résister, mais sa manière à lui de me contrôler, de me soumettre à lui, m’excitait bien plus que je ne le pensais et je finis par me laisser aller. J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Mon coeur lâchait Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais encore.
C'est alors que j'ai senti sa main chaude glisser sous mes dessous et me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord le bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce, puis, plus bas, des endroits plus intimes. Je sentis une main s'immiscer entre mes cuisses trempées, m'explorer, me penetrer, je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue… je ne savais plus ce que je voulais. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. C'était vraiment bon. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter le plaisir. Je guettais toutes les sensations de mon corps. Je sentais sa virilité s'affermir et se lever contre moi. Il bandait ... et j'en étais la cause. Je mouillais abondement. Il m'excitait de plus en plus et je commencai à repondre à ses avances subtiles. A présent, c'est clair, je le désirais. Je le désirais de plus en plus fort. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais à lui. Je le voulais. Je le voulais à moi, je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent, me fasse jouir. Il prit mes seins en main, les palpa, les tritura, Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus. J'avais abdiqué.

J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par l'envie, par le désir. Il était impressionnant. Il était contre moi en pleine érection. Mon corps frissonnait. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. Je réalisai l’effet que me faisait cet homme en train de bander sans retenue contre moi. Mes jambes tremblaient. Mon cœur battait à la chamade et ma respiration saccadée. J'étais en chaleur, je mouillais abondement qu point que je sentais l'intérieur de mes cuisses.....glisser l'une contre l'autre..... J'étais sexuellement à bout. Mon cœur battait à tout rompre, mon estomac se nouait.. Mes seins me faisaient mal... Je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, pincer. Je sentais mon jus couler entre mes cuisses, mouillant mes dessous de soie. Je ne pouvais détacher ma pensée de son membre erigé qui m'attirait comme un papillon la lumière. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi.
Alors sans me prévenir, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes. Quittant toute convenance, Je me laissais aller à tester de la main une virilité impressionante. Je la pris en main et elle continua à grandir et grossir sous mes tactiles caresses. Le sexe devenait énorme. Je tremblais .... Sans m'en rendre compte, je le masturbai sans vergogne. Je sentais la chaleur de ses jambes contre mes cuisses. Mon corps était secoué de frissons incontrôlables. il m'excitait terriblement. Mon corps ne m'appartenait plus. Je cambrai le dos… Je sentais maintenant sa queue, qu'il avait liberée, frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée. Sa langue continuait un mouvement circulaire avec la mienne tandis qu'il continuait à flatter mes seins, excitant les pointes. Je sentais sa salive sur ma peau. Je fermais les yeux, vivant chacun de ses mouvement, de ses attouchement. Il laissa mon sein, me poussa doucement au fond de la salle. Je fermai les yeux. Sa main descendit de nouveau, faisant frissonner ma chair, Mes cuisses s’entrouvrirent légèrement, lui permettant de glisser son index à l’intérieur de moi. D’un mouvement à peine perceptible, j’écartai les cuisses un peu plus. Il me branlait lentement, doucement. J'avançais mon bassin. Son sexe enorme était maintenant contre moi. Son gland, rouge vif, luisant, prêt à faire son oeuvre.
Je voulais maintenant qu'il vienne sans attendre. Je sentis alors son sexe venir naturellement au contact de mes grandes lèvres trempées. C'est alors que je l'ai senti ! Il s'enfonca en moi, d'un coup il me penetra puissement, profondement, et je ne faisais rien pour l'en empêcher, je resserrais mes jambes, et cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentis son membre s'allonger et grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler.
Je le sentais bestial, animal, il entrait en moi et ressortait, violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gemissais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. Je ne pouvais que donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait a la jouissance. Il entrait et ressortait, s'enfoncant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit en moi, me remplissant complètement. Mon excitation était à son comble Je recommencai à gémir du bout des lèvres, et je sentis son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps. J'explosai avec ce qui devait être le premier orgasme de cette soirée.
Lorsque je récupérai un peu, je réalisai que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Je gémissai de plus en plus bruyamment pendant qu'il coulissait au fond de moi. C'était terriblement agreable de sentir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, je sentis alors mon deuxième orgasme qui commençai à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir tandis qu'il râlait de plus en plus fort contre moi. Je réalisai alors qu'il était sur le point de venir aussi.
Et il arriva !.... Son corps entier bascula en avant, se contracta, se figea. Il se mit à gemir très fort et lâcha ses premiers salves au fond de mon ventre. Il jouissait en moi ! J'étais au bord de l'extase absolue. J'essayai de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tennaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Mes hanches recommencaient à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi. La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'enroulais mes jambes autour de sa taille et l'attirai encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je sentais la chaleur de son sperme tapissant les profondeurs de mon corps. Je restais là, affaissée contre lui, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.

Quand je revins à la réalité, je réalisai alors ce que nous avions fait. Je regardai entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commença a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommencait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrassa très doucement et recommenca à lécher doucement mes mamelons. Je sentais que son membre recommençai à durcir encore. Mes hanches recommencaient à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il libéra mes mains et nous recommençames ce qui s'avéra être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous restames longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. Je soulèvai ma tête et je commencai à sucer les mamelons sur son torse lorsque je me rendis compte qu'il voulait jouir encore. Il me sourit, m'embrassa, et accéléra son rythme.
Sa grosse queue se raidit de nouveau, et je le sentis une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance. Le resultat ne tarda pas, il finit par se bloquer au fond de moi et je le sentis ... tirer un chargement incroyable de son sperme tout au fond de mon vagin, je poussai mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
Lorsque, finalement, il se retira, il glissa lentement hors de moi, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me redressai lentement sur mes coudes et je regardai vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma combinaison était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune, toute humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, j'étais ouverte comme jamais.

basic instinct (E)
il s’est approché de moi, je me laissais faire. Il a commencé à me caresser, les bras, les hanches. Puis j'ai senti sa main devenir plus audacieuse. Je tentais doucement de le repousser. Je n'avais pas prév ...