![]() | La soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion, éclat impudique du désir... et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser et la rendre plus séduisante encore. Le temps de prendre congé des derniers invités et de refermer la porte derriere eux, elle s'approcha de moi. - Je suis si contente de te garder un peu ce soir avec moi ! ... tu viens t'asseoir un moment avec moi ? ... Elle entoura alors ma tête des ses mains et m'embrassa un long moment sur la joue puis imperceptiblement sur la commissure des levres. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. Et elle ne fit rien pour calmer mon attirance violente. - je t'aime bien tu sais ! Apres m'avoir fixé un moment en silence, elle rapprocha son visage du mien en me prenant les mains dans les siennes. - et même plus que ça ! .... c'est pas bien de dire ça ? ... Quelque chose était en train de se declencher sans que aucun de nous deux ne puissions à ce stade prévoir la suite. Elle me troublait autant qu'elle m'attirait. Elle me troublait terriblement. Elle poursuivit en me prenant la main et en me soufflant à voix basse: - embrasse moi ! ... Je l'embrassai chastement sur la commissure des lèvres, mais ce n'etait visiblement pas ça qu'elle voulait. - non, pas comme ça ! ... J'eu à peine le temps de realiser ce qui se passait qu'elle plaqua de nouveau ses lèvres sur les miennes, fouillant ma bouche avec ardeur. Ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur, et ce fut moi qui l’embrassai cette fois sans retenue, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche. Notre baiser fut long et humide. Toute reserve ou retenue avait disparue. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Elle glissait sa main sous ma chemise, caressant ma peau de ses mains chaudes, tandis que je poursuivai mes caresses en glissant ma main dans l'echancrure de son chemisier et en m'emparant de son sein. - oh mon dieu ! ... si tu savais ce que tu es pour moi ! .... Elle guida ma main plus loin, plus bas sous sa fine combinaison, au contact des parties les plus intimes de son corps. Notre baiser dura un très long moment, puis elle s'ecarta alors soudainement, - tu penses la même chose que moi ? ... tu as envie ? ... comme moi ? ... - on va dans ma chambre ? ... - allez, viens ! ... je t'emmène ! .... Elle me prit par la main et m'entraina dans le couloir. Arrivés dans sa chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir terriblement envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Elle commença à deboutonner ma chemise, je glissai mes mains sous son corsage deja à moitié defait, je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis nous reprîmes nos etreintes ardentes qu'elle interrompit seulement pour m'annoncer le programme, - tu me laisses une minute ? ... je voudrais me faire belle pour toi ! ... Installe toi et mets toi à l'aise ! ... j'arrive ! .... Apres s'être eclipsée un instant dans la salle de bain, elle revient vers moi, rayonnante de séduction, avec glissant sur elle une chemise se soie fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines. Nous nous effeuillâmes alors rapidement. Puis elle m'entraîna sur le lit en relevant doucement sa chemise de soie, Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, elle me desirait. Elle me fixa alors droit dans les yeux en me tendant la main, - tu viens ? .... Viens vite ! ... Je m'allongeai alors sur elle, au contact de son corps chaud. Tandis qu'elle me guidait discretement ... | (E) La soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Gr ... |
![]() | Je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. toujours est il que je me sentis soudain glisser avec délice dans ses chairs intimes, comme aspiré en elle. Elle m'accueillait chez elle naturellement, doucement mais aussi avec gourmandise, je m'immiscai en douceur dans sa douce moiteur. Je la pénétrai ... lentement, profondément. Desormais, nus sous les draps, nos deux corps étaient desormais enlacés l'un dans l'autre. Elle enveloppait totalement ma fierté de mâle qui déjà dansait en elle, et la remplissait, je me complaisaîs avec delice dans cette douce tannière, comme dans une bain mielleux. Je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Elle me regardait avec des yeux à me faire fondre. Je voyageai dans son corps doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. - Tu aimes ? ... J'ai longtemps rêvé de ce moment tu sais ! ... Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. Elle s'abandonna à mes attouchements. Elle fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois. Nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Je glissai dans un étui chaud et humide. Tel un poulpe, son ventre me suçait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. J'étais ivre, je tremblai. Je brûlai. La sensation était profonde, sensuelle, humide. Elle me donna ses levres en regardant les miennes tout en m'aspirant dans ses chairs. La langueur de ce contact chaud et vivant autour de la partie la plus intime de mon corps me perdit dans une béatitude mystique qu'elle semblait partager avec moi. Elle me buvait des yeux je la buvais des yeux, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, un glissement onctueux, une penetration lente, un étui chaud et humide entourait ma verge, l'engloutissait et petit à petit l'absorbait. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle était bien, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé - si tu savais comme j'ai esperé ce moment ! ... Puis nos mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, de plus en plus profondement. Elle m'aspirait comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra. J'amorçai un debut de retrait d'elle craignant une explosion imminente. - non, reste ! ... bien au fond ! ... Ne t'inquiete pas. je ne risque plus grand chose maintenant ! Nos regards se souderent l'un à l'autre, Elle se mit à gémir doucement, puis, honorant mon érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle enfonça presque inconsciemment ses ongles dans mes fesses, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés nous excitait tous les deux. elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de nos sexes glissant l'un dans l'autre nous fit perdre toute retenue. Elle se cabra, m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Elle me tira vers elle. - Viens ! ..... Viens vite ! ... infuse moi ta sève ! ... bien au fond de mon corps ! ... donne moi tout ! ... N'y tenant plus, je me bloquai au fond de ses entrailles et sans attendre plus longtemps, je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, je giclai toute ma sève en plusieurs salves successives. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, puis toute ma tête nichée au creux de son épaule. Puis je m'affaissai sur son corps. Nos cuisses étaient imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Cette minute où nous nous désenlaçâmes valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux. - j'ai adoré ! ... pas toi ? ... merci pour ce moment de pur bonheur ... - mon bel amant ! ... mon merveilleux amant ! ... tu réalises ? ... Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous revenions à la réalité. Nous nous endormimes dans un paisible sommeil, enlacés l'un contre l'autre | (E) Je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. toujours est il que je me sentis soudain glisser avec délice dans ses chairs intimes, comme aspiré en elle. Elle m'accueillait chez ... |
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![]() | Nous etions desormais dans sa chambre. Sa robe de nuit, à peine fermée, baillait un peu sur de lourdes poitrines à peine cachées par un léger et discret soutien gorge de soie, J'étais deja en partie denudé à la suite de nos etreintes ardentes. Elle me regarda en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange et je sentis que son attitude changeait. Elle s'approcha près de moi. Ses seins tremblaient doucement sous la soie, je sentais son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle regarda mes lèvres en les fixant de manière insistante, elle s'en approcha et y posa delicatement les siennes, d'abord legerement puis de maniere plus appuyée. Son sein légèrement mobile tremblait sous mes yeux, elle posa sa main sur la mienne comme pour m'inciter à repondre à ses caresses, tout en continuant à m'embrasser. Elle se pencha encore et ses seins vinrent s'appuyer sur mon torse, mon sexe frottait contre son ventre, et durcissait à vue d'oeil ! Elle me regarda de nouveau fixement en s'écartant un peu, son corsage entr-ouvert, les pans de sa robe de nuit écartés. Son souffle chaud glissait sur mes épaules, dans mon cou. Ses lèvres effleuraient ma peau. Mes yeux fous plongait sur ses seins encore enveloppés dans la soie. - tu veux défaire mon soutien-gorge ! ... vas-y ! Ses mains saisirent les miennes et les conduisirent sur sa taille, et les firent remonter sur sa poitrine. Je passai mes mains dans son dos et dégrafai cette ultime protection qui se détacha d'un coup et libera ses deux seins opulents. elle guida mes doigts vers ses pointes sensibles, soupira. elle pouvait sentir le renflement de mon slip sur ses cuisses. Mes mains entourerent son corps pour saisir ses mamelons tendus, Elle gémissait, elle mouillait abondamment ! j'avais envie d'elle, elle avait envie de moi ! Elle prit ma main et la conduisit entre ses deux cuisses sur sa vulve trempée. Mes doigts palperent le renflement de sa vulve. L'étoffe de sa culotte de soie etait mouillée, ma main massa le tissu qui s'enfonca entre ses lèvres gonflées. Elle poussa son bassin à la rencontre de mes doigts. Elle soupira. Mes mains glisserent sous l'élastique de sa douce culotte de soie et entraînerent la fine lingerie sur ses jambes. Elle écarta ostensiblement les jambes, Ma main glissa sur ses bas, remonta, s'insinua de nouveau entre ses cuisses bien chaudes, Elle m'embrassa toute langue dehors, s'écarta, tira sur mon slip et me déshabilla. En quelques secondes je me retrouvai plus nu qu'elle. De la main elle saisit mon instrument, massa doucement mes testicules, écarta ses lèvres intimes, fit glisser mon gland sur sa fente, une fois, deux fois, la placa à l'entrée de sa vulve. Elle soupira, sa vulve se dilata, et mon mat se glissa tout naturellement en elle, il se lova dans son nid. Elle posa ses mains sur mes flancs et m'entraina en elle. Ses lèvres s'ouvrirent et se poserent sur les miennes. Ma langue vint dans sa bouche, lapa sa salive. Mes mains palpaient ses hanches, ses cuisses, griffant ses bas qui crissaient sous mes caresses. Je commencais à monter et descendre entre ses muqueuses trempées. Elle accélèra le rythme avec de petits mouvements. Je sentis la pression monter dans mes bourses pleines. Je ne pus me retenir plus longtemps. Je giclai des flux de ma semence dans son ventre. Mes gémissements spasmodiques s'apaiseront enfin. Nous restions un moment lovés l'un contre l'autre. Puis elle me prit par la main et m'attira dans sa chambre. Elle s'allonga sur son lit, en mettant sa poitrine en valeur. Je m'avançais alors et me penchai vers elle. Je saisis ses seins. Mes doigts caressaient, palpaient la chair tendre, J'ouvrai la bouche, gobais un sein, ma langue frottait le bout souple du mamelon, Elle serrait les poings. Mes lèvres se collaient sur l'autre sein, comme une ventouse. L'excitation la fit frotter ses jambes l'une contre l'autre. Ma langue relâcha son étreinte et descendit sur son ventre, fureta autour du nombril. Elle écarta ses cuisses pour m'inviter à poursuivre son chemin. Ma main se posa sur le renflement de son entre-jambes et commenca à en flatter la douce fourrure. Elle se mordit la lèvre. Son bassin fut pris d'ondulations incontrôlées. Elle était toute liquéfiée et les titillements de mes doigts brisaient ses résistances. Elle relèva ses deux jambes, offrant sa féminité impatiente. Je m'approchai, dardai ma sonde charnue entre ses muqueuses lubrifiées. Je m'enfonçai, poussant mon pubis à la rencontre du sien, j'entamai un va et vient onctueux. Elle soupira. Je la penetrai réellement, profondément! Elle se mordit la lèvre et contempla mon visage défait par la jouissance. Mon jeune sexe était en elle ! Comme une vague incessante, il polissait avec endurance l'anse de sa féminité. Ce ne fit qu'accélérer les choses ! Je sentis ses contractions vaginales, ses mains grifferent la couette, ses jambes ne lui obéissaient plus ! Elle halèta, plongée dans la ouate de son orgasme. Les tensions de son corps portaient mon excitation à son comble. J' accélèrai, je la baisai avec force, violence... je me crispai ! Elle jouissait! Ma semence de jeune mâle gicla en elle et nappa son intimité qui ondulait et la faisait ronronner de plaisir! | (E) Nous etions desormais dans sa chambre. Sa robe de nuit, à peine fermée, baillait un peu sur de lourdes poitrines à peine cachées par un léger et discret soutien gorge de soie, J'étais deja en partie ... |
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![]() | Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me signifia qu'elle était prête. En me regardant avec tendresse, elle me guida et me laissa m'introduire à l’intérieur de son corps de femme. Elle m'adressa un sourire rempli de gratitude. - Donne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs Nous nous embrassames amoureusement, tendrement. J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond, son bassin glissait de quelques centimètres. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille - oui, c’est bon ! Elle me tranquillisai par des gestes et paroles. je la pénétrai avec douceur, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait, Elle remua pour bien me sentir contre ses parois intimes. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Je sentais les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. je me mis à la caresser, massant ses seins et les malaxant à deux mains tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se mit à émettre de petits cris et halètements qui soulignaient son plaisir, Son corps se tendit sous mes caresses, je sentis mon sexe s'allonger en elle. sa poitrine se souleva au rythme de sa respiration. elle ouvrit encore plus ses cuisses, je faisais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée, | (E) Je regardais Marthe dans les yeux, des yeux legement humides et embués. Avec un leger mouvement de la tête elle me signifia qu'elle était prête. En me regardant avec tendresse, elle me guida et me laissa m'introdui ... |
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J'ai longtemps rêvé de ce moment tu sais ! ... Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. Elle s'abandonna à mes attouchements. Elle fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois. Nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Je glissai dans un étui chaud et humide. Tel un poulpe, son ventre me suçait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. J'étais ivre, je tremblai. Je brûlai. La sensation était profonde, sensuelle, humide. Elle me donna ses levres en regardant les miennes tout en m'aspirant dans ses chairs. La langueur de ce contact chaud et vivant autour de la partie la plus intime de mon corps me perdit dans une béatitude mystique qu'elle semblait partager avec moi. Elle me buvait des yeux je la buvais des yeux, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, un glissement onctueux, une penetration lente, un étui chaud et humide entourait ma verge, l'engloutissait et petit à petit l'absorbait. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle était bien, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé - si tu savais comme j'ai esperé ce moment ! ... Puis nos mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, de plus en plus profondement. Elle m'aspirait comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra. J'amorçai un debut de retrait d'elle craignant une explosion imminente. - non, reste ! ... bien au fond ! ... Ne t'inquiete pas. je ne risque plus grand chose maintenant ! Nos regards se souderent l'un à l'autre, Elle se mit à gémir doucement, puis, honorant mon érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle enfonça presque inconsciemment ses ongles dans mes fesses, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés nous excitait tous les deux. elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de nos sexes glissant l'un dans l'autre nous fit perdre toute retenue. Elle se cabra, m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Elle me tira vers elle. - Viens ! ..... Viens vite ! ... donne moi tout ! ... bien au fond ! ... N'y tenant plus, je me bloquai au fond de ses entrailles et sans attendre plus longtemps, je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête, je giclai toute ma sève en plusieurs salves successives. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, puis toute ma tête nichée au creux de son épaule. Puis je m'affaissai sur son corps. Nos cuisses étaient imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Cette minute où nous nous désenlaçâmes valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux. - j'ai adoré ! ... pas toi ? ... merci pour ce moment de pur bonheur ... - mon bel amant ! ... mon merveilleux amant ! ... tu réalises ? ... Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous revenions à la réalité. Nous nous endormimes dans un paisible sommeil, enlacés l'un contre l'autre | (E) Je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. toujours est il que je me sentis soudain glisser avec délice dans ses chairs intimes, comme aspiré en elle. Elle m'accueillait chez ... |