![]() | Cette lingerie de soie blanche (François d'Alayrac)Goute, cette lingerie de soie blanche, sur laquelle je sens tes lèvres sur laquelle je sens ton désir se gonfler. Cette lingerie, pleine de tes mains, de ma faim, de ma soif de toi, Cette lingerie, si fine, pleine de mon odeur, de ton odeur Cette lingerie que tu écartes pour venir en moi, Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de la tienne, Et qui me fait comme un souvenir le jour durant. Cette lingerie, qui garde les coulures chaudes de notre orgasme Joyeusement partagé, et que je conserve jalousement. Cette lingerie si remplie de moi, si remplie de toi, mon amour. François d'Alayrac | Cette lingerie de soie blanche (François d'Alayrac) (E) Goute, cette lingerie de soie blanche, sur laquelle je sens tes lèvres sur laquelle je sens ton désir se gonfler. Cette lingerie, pleine de tes mains, de ma faim, de ma soif de toi, Cette lingerie, si fin ... |
![]() | Si tu m'attrapes, Tu pourras chiffonner mes cheveux, Froisser mes paupières et déchirer ma trouille… Me faire basculer sens par dessus tête et cul par dessus raison… Mélangés, embrouillés, emmêlés pour le grand déballage de nos désirs. Si tu m'attrapes Depuis ma nuque, le long de mon échine et jusqu'à mes fesses tu pourras gribouiller un chemin de frissons, griffonner une esquisse douce sur mon ventre vibrant, et de tes lèvres, bafouiller une promesse à l'entrée de mon sexe. Si tu m'attrapes, Tu conduiras mes hanches à l'aventure, Défrichant de ton sexe le parcours de mes envies. Tu fredonneras le rythme de la ballade, Déchiffrant la partition confuse de mes plaisirs touffus. Si tu m'attrapes, Je sais qu'alors, pénétrée de ton membre gonflé, Dans une dernière onde brûlante de mon ventre affolé, Je t'accueillerai pour cet instant précis D'abandon et d'oubli, d'évidence claire, De jouissance offerte. Si tu m'attrapes… 2005 © Prune | (E) Si tu m'attrapes, Tu pourras chiffonner mes cheveux, Froisser mes paupières et déchirer ma trouille… Me faire basculer sens par dessus tête et cul par dessus raison… Mélangés ... |
![]() | une nuit avec toiUne nuit avec toi ...C'est un ciel qui s'illumine Des milliards d'étoiles, c'est l'amour qui domine, c'est un oui dans un râle, des caresses intimes que l'on dit immorales, c'est nos corps qui s'animent aux allures animales, c'est le désir présent, c'est le oui de nos corps, la maitresse, l'amant, c'est le silence qui dort, les yeux reclamant à grands cris des encore, des caresses s'engageant en des doux accords, c'est les non, c'est les oui, c'est nos corps qui réclamment des ébats dans un lit, nos désirs qui s'enflamment, ce sont des jeux interdits à faire perdre nos âmes, ce sont nos corps qui crient les plaisir que l'on damne, c'est un plaisir sans fin dans un désir assouvi, c'est le mien c'est le tien, c'est un cadeau de la vie que l'on veut quotidien, c'est les étoiles qui brillent quand le soleil revient dans nos yeux qui scintillent | une nuit avec toi (E) Une nuit avec toi ...C'est un ciel qui s'illumine Des milliards d'étoiles, c'est l'amour qui domine, c'est un oui dans un râle, des caresses intimes que l'on dit immorales, c'est nos corps qui s'animent aux allur ... |
![]() | Tu veux tant de caresses et tu veux tant de mots Que parfois je te laisse un chagrin sur la peau. Les courbes de ton corps m’arrachent à l’ennui Du verbe qui s’endort et de la chair flétrie. Sur ton sein lisse et doux ma main cherche à l’envie A devenir la prose que ta langue me crie. Sur ton regard de braise qui flambe et se trahit Je souffle en criminel pour attiser mon vit. L’alexandrin m’entraîne vers tes hanches gourmandes Et plus rien ne me freine c’est mon cerveau qui bande. Ta descente de rein est un creuset immense Pour le poète enclin à lâcher sa semence. Marvic | (E) Tu veux tant de caresses et tu veux tant de mots Que parfois je te laisse un chagrin sur la peau. Les courbes de ton corps m’arrachent à l’ennui Du verbe qui s’endort et de la chair flétrie. S ... |
![]() | Le plus beau concerto (d'après Leo Ferré)Le plus beau concerto est celui que j'écris Sur les claviers jaloux de votre corps ébloui Quand mes hautbois en caravanes Viennent mourir dans vos jardins Et que m'offrant tant de festins Vos lèvres dansent la pavane Le plus beau concerto est celui de votre voix Les matins reconquis à l'archet de mes doigts Quand vous mourez à mes violoncelles Les anges cassent leurs violons Et sont jaloux de nos chansons Car la musique en est trop belle Leo Ferré | Le plus beau concerto (d'après Leo Ferré) (E) Le plus beau concerto est celui que j'écris Sur les claviers jaloux de votre corps ébloui Quand mes hautbois en caravanes Viennent mourir dans vos jardins Et que m'offrant tant de festins Vos lèvres ... |
![]() | Une nuit avec toiUne nuit avec toi... C'est un ciel qui s'illumine, des milliards d'étoiles C'est l'amour qui domine, c'est un oui dans un râle Des caresses intimes que l'on dit immorales Nos corps qui s'animent aux allures animales C'est le désir présent, c'est le oui de nos corps La maitresse, l'amant, c'est le silence qui dort Les yeux réclamant à grands cris des "encore" Des caresses s'engageant en des doux accords C'est les non, c'est les oui Ce sont nos corps qui réclament des ébats dans un lit Nos désirs qui s'enfflamment Ce sont des jeux interdits à faire perdre nos âmes Ce sont nos corps qui crient les plaisir que l'on damne C'est un plaisir sans fin dans un désir assouvi C'est le mien c'est le tien, c'est un cadeau de la vie Que l'on veut quotidien, c'est les étoiles qui brillent Quand le soleil revient dans nos yeux qui scintillent | Une nuit avec toi (E) Une nuit avec toi... C'est un ciel qui s'illumine, des milliards d'étoiles C'est l'amour qui domine, c'est un oui dans un râle Des caresses intimes que l'on dit immorales Nos corps qui s'animent aux allures a ... |
![]() | Une nuit avec toiUne nuit avec toi... C'est un ciel qui s'illumine, des milliards d'étoiles C'est l'amour qui domine, c'est un oui dans un râle Des caresses intimes que l'on dit immorales Nos corps qui s'animent aux allures animales C'est le désir présent, c'est le oui de nos corps La maitresse, l'amant, c'est le silence qui dort Les yeux réclamant à grands cris des "encore" Des caresses s'engageant en des doux accords C'est les non, c'est les oui Ce sont nos corps qui réclament des ébats dans un lit Nos désirs qui s'enfflamment Ce sont des jeux interdits à faire perdre nos âmes Ce sont nos corps qui crient les plaisir que l'on damne C'est un plaisir sans fin dans un désir assouvi C'est le mien c'est le tien, c'est un cadeau de la vie Que l'on veut quotidien, c'est les étoiles qui brillent Quand le soleil revient dans nos yeux qui scintillent | Une nuit avec toi (E) Une nuit avec toi... C'est un ciel qui s'illumine, des milliards d'étoiles C'est l'amour qui domine, c'est un oui dans un râle Des caresses intimes que l'on dit immorales Nos corps qui s'animent aux allures a ... |
![]() | deux jours, deux moments (Alfred de Vigny)Ils passèrent deux jours d’amour et d’harmonie, De chants et de baisers, de voix, de lèvre unie, De regards confondus, de soupirs bienheureux, Qui furent deux moments et deux siècles pour eux. L’extase avait fini par éblouir leur âme, Comme seraient nos yeux éblouis par la flamme. Troublés, ils chancelaient, et le troisième soir, Ils étaient enivrés jusques à ne rien voir Alfred de Vigny | deux jours, deux moments (Alfred de Vigny) (E) Ils passèrent deux jours d’amour et d’harmonie, De chants et de baisers, de voix, de lèvre unie, De regards confondus, de soupirs bienheureux, Qui furent deux moments et deux siècles pour eux. |
![]() | Ce que j'aimeCe que j'aime par-dessus tout, c'est cet instant un peu fou Quand tu viens tout contre moi, que la raison n'est plus loi Dans l'extase de nos baisers, sentir nos corps s'embraser Prés à défaillir sous le langage de nos désirs On se cherche on s'attire, sans rien se dire Parfois jusqu'à l'expire à en mourir Ce que j'aime éperdument, c'est la force des sentiments De nos corps à corps qui en redemandent plus encore Le parfum enivrant, le décor La douceur, la saveur de ton corps Nos désirs, nos délires, nos plaisirs Exaltants, existants, envoûtants Ce que j'aime après l'amour, quand nos élans n'ont plus cours Ce sont ces moments tendresse, nos silences et puis le reste Allongés, repus, vainqueurs, sur le lit de l'impudeur Sans dessus dessous Et savourer par-dessus tout le goût de toi Ce tout dernier plaisir Et puis s'endormir Ce que j'aime mon tendre amour, dans la richesse de nos jours C'est la déraison, qui nous unit dans la passion © Jean-Michel Leleu | Ce que j'aime (E) Ce que j'aime par-dessus tout, c'est cet instant un peu fou Quand tu viens tout contre moi, que la raison n'est plus loi Dans l'extase de nos baisers, sentir nos corps s'embraser Prés à défaillir sous le lan ... |
![]() | - Ne bouge plus ! Serre moi bien contre toi ! - Mon visage dans ton cou, ton souffle sur mes lèvres. - Mes mains sur ta peau lisse et douce. - Sens mon parfum sur ta peau. - Je te sens apaisé, vidé, comblé, - J'ai bousculé ta vie. Tu m'a donné ta douceur, ta fraîcheur ... - Je t'ai appris à aimer. Tu es mon bel et jeune amant ! | (E) - Ne bouge plus ! Serre moi bien contre toi ! - Mon visage dans ton cou, ton souffle sur mes lèvres. - Mes mains sur ta peau lisse et douce. - Sens mon parfum sur ta peau. - Je te sens apaisé, vidé, ... |
![]() | Ta petite flammeQuand enfin arrive le soir, et que tes cuisses laissent entrevoir ta petite flamme, ton étincelle, ta petite fente originelle, J’abandonne alors la vie, et viens mourir dans ton lit. -------------------------- Ecoutes mon corps impatient qui respire ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur qui palpite, regardes les draps qui se froissent, Respires. Goûtes la sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler. ----------------------------- Dans une étreinte passionnelle, Une longue étreinte éternelle, Encore une fois te faire gémir, Un dernier souffle, dernier soupir. | Ta petite flamme (E) Quand enfin arrive le soir, et que tes cuisses laissent entrevoir ta petite flamme, ton étincelle, ta petite fente originelle, J’abandonne alors la vie, et viens mourir dans ton lit. -------------------------- ... |