![]() | adultere (Alfred de Vigny)Venez, mon bien-aimé, m'enivrer de délices Jusqu'à l'heure où le jour appelle aux sacrifices : Aujourd'hui que l'époux n'est plus dans la cité, Au nocturne bonheur soyez dont invité ------------------ Voilà ces yeux si purs dont mes yeux sont épris ! Votre front est semblable au lys de la vallée, De vos lèvres toujours la rose est exhalée : Que votre voix est douce et douces vos amours ! Oh ! quittez ces colliers et ces brillants atours ! Non ; ma main veut tarir cette humide rosée Que l'air sur vos cheveux a longtemps déposée : C'est pour moi que ce front s'est glacé sous la nuit ! Mais ce cœur est brûlant, et l'amour l'a conduit. Me voici devant vous, ô belle entre les belles ! Qu'importent les dangers ? que sont les nuits cruelles Quand du palmier d'amour le fruit va se cueillir, Quand sous mes doigts tremblants je le sens tressaillir ? Alfred de Vigny - adultere | adultere (Alfred de Vigny) (E) Venez, mon bien-aimé, m'enivrer de délices Jusqu'à l'heure où le jour appelle aux sacrifices : Aujourd'hui que l'époux n'est plus dans la cité, Au nocturne bonheur soyez dont invit&eacut ... |
![]() | Près de moi je sens ton corps chaud et serein Sous le voile vaporeux des draps frais en satin. C'est alors que l'envie m'est venue de poser Sur ta peau de velours, mes lèvres enfiévrées. A cet instant, l'envie de te toucher m'effleure. Je goûte au silence de cette première heure, Et mes pensées refont le chemin à l'envers Pour me remémorer nos chevauchées d'hier. J'attends tout de toi, tes mains, tes lèvres, ton vit, Mes courbes se tendent du plaisir des étreintes, Et dans mon triangle d'or, ta sève jaillit. Je sublime cet instant et je ne dis mot, Je sens tout ton amour s'incruster sous ma peau Et mon âme fragile se mêler à la tienne. Sofofee | (E) Près de moi je sens ton corps chaud et serein Sous le voile vaporeux des draps frais en satin. C'est alors que l'envie m'est venue de poser Sur ta peau de velours, mes lèvres enfiévrées. A c ... |
![]() | donne moi (Christian Bailly)Donne-moi ce tout petit peu de toi, qui vaut tant pour moi, L'extrait, L'intime, Le sublime, de ton corps d'homme. Donne-moi, de tes fascinants atours, la preuve de ton amour, L'élixir, L'essence, La quintessence, de ta chair amoureuse. Donne-moi, de tes viriles splendeurs, ce qui fait mon bonheur, Le divin, Le céleste, Le zeste, de tes désirs de mortel. Donne-moi de ta substance consumée, de quoi me camer, Ma défonce, Ma dose, Mon overdose, sans, je me meurs d'amour… Christian Bailly | donne moi (Christian Bailly) (E) Donne-moi ce tout petit peu de toi, qui vaut tant pour moi, L'extrait, L'intime, Le sublime, de ton corps d'homme. Donne-moi, de tes fascinants atours, la preuve de ton amour, L'élixir, L'essence, La quintessence, de ta ... |
![]() | le diable au corpsEffleure moi, effleure le contour de mon corps, que tes mains douces devinent mes courbes. Enserre moi, Enserre mon corps troublé de tes bras, empoigne le fermement mais ne le brise pas. Contre ma gorge fébrile, adoucis ton étreinte. Frôle moi, Frôle le creux de mes reins, glisse tes mains sur mes hanches. Aie des gestes habiles. Caresse mes formes, le galbe de mes généreuses poitrines, gonflées par tes attouchements impudiques. S'il te plait, donne moi tes lèvres sensuelles Embrasse moi, Ne t’arrête pas, écoute le murmure de ma voix. Sur mes lèvres un baiser, goûte ma bouche enfiévrée. Savoure moi, Savoure la pointe de mes seins, soit délicat. Acharne toi sans être maladroit. Embrasse ma nuque qui s‘offre à toi. Découvre moi, là, plus bas ... découvre l’intérieur de mes cuisses. Au creux de mes lèvres humides, glisse un doigt timide. Insiste, et sens l’invitation du brûlant orifice. Touche moi, Touche mon sexe lestement. sous tes doigts caressants. Fais les entrer, doucement progressivement, de quelques doigts seulement. Excite moi, Excite ma chair par le flux et reflux de tes mouvements. Les spasmes s’emparent de mon bassin. N’hésite pas, soit violent. Envahis moi, Envahis mes sens d’obscènes sensations, Provoque moi, Provoque l’ultime exaltation, cette jouissance exquise fruit de mon initiation. Viens sur moi. Pénètre moi, Pénètre entre mes lèvres humides Pénètre ma chaleur vaginale, enfonce ton sexe en moi Abandonne toi, goute mes caresses intimes. Je vais et viens autour de ton pénis, Au bord de l’orgasme, maitrisons la volupté, Abandonne toi, Offre ta liqueur douce amère, qu‘elle jaillisse et coule entre mes lèvres. Abreuve moi ! Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant ! | le diable au corps (E) Effleure moi, effleure le contour de mon corps, que tes mains douces devinent mes courbes. Enserre moi, Enserre mon corps troublé de tes bras, empoigne le fermement mais ne le brise pas. Contre ma gorge féb ... |
![]() | Viens ... plus près- Viens ! ... Plus près ! - J'ai besoin de sentir la chaleur de ton corps contre moi - j'ai besoin de tes caresses dessinant mes contours en appel de tendresse - J'ai envie de toi - Aime moi sans retenue, fais de moi ta déesse - Entre les draps toute nue, comble moi de tes prouesses. Devore ma peau avec de tendres baisers - Dis moi tout bas tes plus folles pensées. Enmene moi au paradis de l'amour et du desir - Donne moi de la magie de la passion et du plaisir - Fais moi l'amour ! Maintenant ! | Viens ... plus près (E) - Viens ! ... Plus près ! - J'ai besoin de sentir la chaleur de ton corps contre moi - j'ai besoin de tes caresses dessinant mes contours en appel de tendresse - J'ai envie de toi - Aime moi sans retenue, fais de mo ... |
![]() | Viens sur moi- Viens sur moi, je t'en prie. - Ton désir est là, tout près, Je te sens, - Sillonnes-moi de ton membre, laisse le prendre son essor - Prend le temps, arretes-toi et sens la caresse de mon ventre. - Laisses-toi aller sur moi, laisses-moi te recevoir. - Commence ta course tendre au plus profond de moi, - Je veux que tu rechauffes mon corps de ta semence chaude, - Restes sur moi je t'en prie. Je ressens ta chaleur dans mon intimité. - Garde moi dans tes bras encore quelques instants, - Ne bouges pas. Pas encore ! - Une bulle lumineuse nous coupe du monde. | Viens sur moi (E) - Viens sur moi, je t'en prie. - Ton désir est là, tout près, Je te sens, - Sillonnes-moi de ton membre, laisse le prendre son essor - Prend le temps, arretes-toi et sens la caresse de mon ventre. - L ... |
![]() | Je t'attendsViens. Je t'attends. Toute chaude, demi-nue, alanguie ma petite fleur s'impatiente de la soie qui la frôle je veux tes mains sur mon corps je suis à toi, offerte, suppliante ma rosée perle en larmes je veux tes lèvres, je tangue, je te veux contre moi, je te veux pour moi, je te veux en moi Oh Oui ! Prends moi ! | Je t'attends (E) Viens. Je t'attends. Toute chaude, demi-nue, alanguie ma petite fleur s'impatiente de la soie qui la frôle je veux tes mains sur mon corps je suis à toi, offerte, suppliante ma rosée perle en larmes ... |
![]() | comme à 16 ans (Marie Laforet)Faisons l'amour comme à 16 ans Faisons l'amour sans expérience Faisons l'amour timidement Comme un beau soir d'adolescence Dis-moi les mots qui n'osent pas Fais-moi les gestes qui hésitent Étouffons nous entre nos bras Faisons l'amour un peu trop vite Fais-moi l'amour comme à 16 ans Et fais offense à ma pudeur Avec tes larmes et des serments Fais-moi l'amour, l'amour avec le cœur Sois mon premier fruit défendu Sois maladroit et moi docile Émerveillés, un peu émus Toi collégien, et moi petite fille Marie Laforet | comme à 16 ans (Marie Laforet) (E) Faisons l'amour comme à 16 ans Faisons l'amour sans expérience Faisons l'amour timidement Comme un beau soir d'adolescence Dis-moi les mots qui n'osent pas Fais-moi les gestes qui hésitent Étouffons ... |
![]() | aime moi (Spatifi)aime moi sans retenue fais de moi ta deesse entre les draps toute nue comble moi de tes prouesses Dévore ma peau avec de tendres baisers dis moi tout bas tes plus folles pensées Enmene moi au paradis de l'amour et du desir donne moi de la magie de la passion et du plaisir fais moi l'amour j'ai envie de toi de sentir la chaleur de ton corps contre moi fais moi l'amour donne moi tes caresses dessinant mes contours en manque de tendresse Spatifi | aime moi (Spatifi) (E) aime moi sans retenue fais de moi ta deesse entre les draps toute nue comble moi de tes prouesses Dévore ma peau avec de tendres baisers dis moi tout bas tes plus folles pensées Enmene moi au paradis d ... |
![]() | infinie tendresseFais-moi bouillir sous les caresses Ardentes de ton infinie tendresse Fais-moi chavirer sous les empreintes Brûlantes de tes chaleureuses étreintes Fais-moi l’amour comme une déesse Emmène-moi sur les ailes de Pégase Fais-moi goûter à cette divine extase De jouir sous tes soyeuses caresses Fais moi l’amour que je puisse oublier Le froid que dans ce cœur on a jeté Fais moi l’amour que je puisse goûter À la chaleur de ce corps tant aimé Fais moi l’amour comme jamais tu ne l’as fait Fais moi l’amour qu’en toi je puisse exister Fais moi oublier la froideur de ce mouroir Fais moi vibrer comme résonne un espoir Fais-moi l’amour que je puisse te donner Tout ce bonheur que pour toi j’ai réservé Toute cette tendresse qu’on peut partager Toute cette passion qui ne demande qu’à s’exprimer Fais-moi l’amour et que nos corps résonnent À l’unisson des fièvres de nos cœurs Fais-moi l’amour car mon esprit raisonne Sur notre avenir et sur mon malheur Déchaîne sur moi tous tes désirs Libère sur moi ton instinct de lionne Aux vertiges de ton corps qui frissonne Je verrai mon destin s’accomplir | infinie tendresse (E) Fais-moi bouillir sous les caresses Ardentes de ton infinie tendresse Fais-moi chavirer sous les empreintes Brûlantes de tes chaleureuses étreintes Fais-moi l’amour comme une déesse Em ... |
![]() | ton île (Sofifée)Je découvre ton île, un abri sans nuage Le ressac océan y sculpte ses rivages Une île aux hortensias, aux oiseaux d'apparat, Les vagues déferlent et effacent les pas. Comme un vieux corsaire, je passe à l'abordage, Dans l'aube qui se lève, j'accoste sur ta plage. Sur tes lèvres roses je dérive déjà, Et caresse ta peau de mes doigts délicats. Me voilà un instant transporté par le vent Qui soulève le voile de ton joli corsage Et laisse deviner tes contours scintillants. Je pose mes baisers sur tes rives océan, Dans le bleu de tes yeux défilent les nuages C'est un rêve que je fais depuis si longtemps. Sofifée | ton île (Sofifée) (E) Je découvre ton île, un abri sans nuage Le ressac océan y sculpte ses rivages Une île aux hortensias, aux oiseaux d'apparat, Les vagues déferlent et effacent les pas. Comme un vieux cors ... |
![]() | jardin secret (Libera)Je veux t'emmener au fond de mon jardin secret tapissé de terre mouillée je suis la profondeur de l'arbre, l'entre branches, l'entre jambes Tu vas entrer dans ma chambre noire pour y développer tes rêves Tu franchiras le seuil, écarteras les feuilles, pénètrera dans l'ombre pour y goûter au milieu ma douce amande Libera | jardin secret (Libera) (E) Je veux t'emmener au fond de mon jardin secret tapissé de terre mouillée je suis la profondeur de l'arbre, l'entre branches, l'entre jambes Tu vas entrer dans ma chambre noire pour y développ ... |
![]() | comme la danseuse qui se prépare (Claude Vaillant)Sois belle comme la danseuse qui se prépare Arrondis le soleil de ton ventre et qu'il surgisse sur les collines de tes hanches Allume-moi Frémis dans les cordes de mes veines Prélude à la Fête dans le tam-tam de mon sang Saccage-moi Et que je danse au Zénith de la Joie Claude Vaillant | comme la danseuse qui se prépare (Claude Vaillant) (E) Sois belle comme la danseuse qui se prépare Arrondis le soleil de ton ventre et qu'il surgisse sur les collines de tes hanches Allume-moi Frémis dans les cordes de mes veines Prélude à la F&ec ... |
![]() | Je te découvre en dessous, Je t'observe avec attention, Oui je m'y résouds, Je passe a l'action, D'une simple pichenette, Je fais sauter l'attache, Puisqu'il ne serait pas honnête, Que tes beaux seins se cachent, Puis d'un geste maladroit, Sur ta peau vanillé, Je laisse glisser mes doigts, Et enlève un petit bout de tissus froissé, Alors je découvre ton petit bouton de rose humidifié, Ce bouton de rose tant espéré, Et oui j'ai aimé, Te déshabiller.. | (E) Je te découvre en dessous, Je t'observe avec attention, Oui je m'y résouds, Je passe a l'action, D'une simple pichenette, Je fais sauter l'attache, Puisqu'il ne serait pas honnête, Que tes beaux seins se c ... |
![]() | donnez moi (Christian Bailly)Donnez-moi ce tout petit peu de vous Qui vaut tant pour moi, L'extrait, L'intime, Le sublime, De votre corps d'homme. Donnez-moi, de vos fascinants atours, La preuve de votre amour, L'élixir, L'essence, La quintessence, De votre chair amoureuse. Donnez-moi, de vos viriles splendeurs, Ce qui fait mon bonheur, Le divin, Le céleste, Le zeste, De vos désirs de mortel. Donnez-moi de votre substance consumée, De quoi me camer, Ma défonce, Ma dose, Mon overdose, Sans, je me meurs d'amour… Christian Bailly | donnez moi (Christian Bailly) (E) Donnez-moi ce tout petit peu de vous Qui vaut tant pour moi, L'extrait, L'intime, Le sublime, De votre corps d'homme. Donnez-moi, de vos fascinants atours, La preuve de votre amour, L'élixir, L'essence, ... |
![]() | donnez moi (Christian Bailly)Donnez-moi ce tout petit peu de vous Qui vaut tant pour moi, L'extrait, L'intime, Le sublime, De votre corps d'homme. Donnez-moi, de vos fascinants atours, La preuve de votre amour, L'élixir, L'essence, La quintessence, De votre chair amoureuse. Donnez-moi, de vos viriles splendeurs, Ce qui fait mon bonheur, Le divin, Le céleste, Le zeste, De vos désirs de mortel. Christian Bailly | donnez moi (Christian Bailly) (E) Donnez-moi ce tout petit peu de vous Qui vaut tant pour moi, L'extrait, L'intime, Le sublime, De votre corps d'homme. Donnez-moi, de vos fascinants atours, La preuve de votre amour, L'élixir, L'essence, ... |
![]() | je veux tout (Luciano)De ton corps je veux tout. Que tes lèvres me savourent Qu’elles me sucent, m’engloutissent. Que ta bouche déguste les épices De nos salives qui se mélangent. Qu’elle crie le plaisir de nos corps De mes seins lourds et chaleureux qui t'affolent, qui t’excitent Je veux qu’ils soient l’oasis de nos orgasmes Je veux me soumette à tes assauts Que de mon soleil t’enflamme, qu'il te brûle, te vide de ton corps. Que dans mon nid parfumé d’encens, je te mouille de mon nectar. Que tu puisse, tel un Phoenix, renaître de tes cendres. Luciano | je veux tout (Luciano) (E) De ton corps je veux tout. Que tes lèvres me savourent Qu’elles me sucent, m’engloutissent. Que ta bouche déguste les épices De nos salives qui se mélangent. Qu’elle crie ... |
![]() | je veux tout (Luciano)De ton corps je veux tout. Que tes lèvres me savourent Qu’elles me sucent, m’engloutissent. Que ta bouche déguste les épices De nos salives qui se mélangent. Qu’elle crie le plaisir de nos corps De mes seins lourds et chaleureux que tu suce, qui t’excitent Je veux qu’ils soient l’oasis de nos orgasmes Je veux me soumette à tes assauts Que de mon soleil t’enflamme, qu'il te brûle, te vide de ton corps. Que dans mon nid parfumé d’encens, je te mouille de mon nectar. Que tu puisse, tel un Phoenix, renaître de tes cendres. Luciano | je veux tout (Luciano) (E) De ton corps je veux tout. Que tes lèvres me savourent Qu’elles me sucent, m’engloutissent. Que ta bouche déguste les épices De nos salives qui se mélangent. Qu’elle crie le plaisir de n ... |
![]() | Mon plaisir, mon bonheurMon plaisir, mon bonheur ? Etre contre toi. Te sentir me frôler, m'entrouvrir ressentir la fermeté de ton désir m'abandonner, m'offrir te laisser glisser doucement en moi te sentir dans ma chair durcir et t'allonger investir mon ventre chaud mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir la jouissance qui monte en moi femme révélée Et dans mon corps, cette sensation de puissance Et ta semence ... qui m'envahit Le long de mes cuisses coule l'innocence | Mon plaisir, mon bonheur (E) Mon plaisir, mon bonheur ? Etre contre toi. Te sentir me frôler, m'entrouvrir ressentir la fermeté de ton désir m'abandonner, m'offrir te laisser glisser doucement en moi te sentir dans ma chair d ... |
![]() | Fais de moi ce que tu veux (ludo-cindy)Fais de moi ce que tu veux, pour moi ce n'est qu'un jeu pendant une nuit d'ivresse, être ta maîtresse rends toi heureux, prends mon corps si tu le veux prends le temps de me faire rêver, de m'embrasser montre moi que tu es un homme, Ne t'inquiètes pas, je ne suis pas nonne je vais gémir sous ta tendresse, et frémir sous tes caresses avec douceur sur mes seins, et ardeur entre mes reins Traite moi en princesse, vas-y avec adresse car dans le sexe, tout est délicatesse ludo-cindy-les-inseparable | Fais de moi ce que tu veux (ludo-cindy) (E) Fais de moi ce que tu veux, pour moi ce n'est qu'un jeu pendant une nuit d'ivresse, être ta maîtresse rends toi heureux, prends mon corps si tu le veux prends le temps de me faire rêver, de m'embrasser mont ... |
![]() | tendresseSerrons nous l'un vers l'autre pour offrir nos sens, laisse moi te regarder dans les yeux, cueillir ton sourire approcher mes lèvres des tiennes, doucement, jusqu'à les effleurer, te caresser sans cesse, faire naitre ton désir Te toucher au plus vif, puis te serrer plus fort, Explore de tes mains le brasier de mon ventre Je m'ouvre à toi, comme l'orchidée. ------------------------------------ Tes lèvres sont douces, ton frémissement est mien, ma beauté, ma princesse de feu... je sens ton corps qui s'alanguit, offert, le mouvement que tu fais, presque imperceptible pour m'inviter à venir te remplir, là où c'est si doux, si tendre, sens-tu la douceur de mon désir qui se réveille, qu'un effleurement de ta main déclenche, des mots que tu soupires plus que tu ne les dis, ------------------------------------ Viens en moi, viens, mon roi, Je te sens, tu me longes, me scrute puis me pénetre, tes soupirs, ta fougue qui se déclenche quand je serre mes muscles et que tu n'y tiens plus... ton intrusion divine me comble. ------------------------------------ mes mains te rendent honneur, se plaquent sur tes chairs. Ton corps comme un arc ploie sous mes assauts. J'aime tes mots doux pour me faire attendre tes encore pour me contrôler encore puis me demander soudain de ... ne plus me contrôler, ------------------------------------ Et la jouissance qui nous prend, tous les deux. Tu cries ta jouissance. Une étincelle. Le néant. Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse | tendresse (E) Serrons nous l'un vers l'autre pour offrir nos sens, laisse moi te regarder dans les yeux, cueillir ton sourire approcher mes lèvres des tiennes, doucement, jusqu'à les effleurer, te caresser sans cesse, fa ... |
![]() | tendresseSerrons nous l'un vers l'autre pour offrir nos sens, laisse moi te regarder dans les yeux, cueillir ton sourire approcher mes lèvres des tiennes, doucement, jusqu'à les effleurer, te caresser sans cesse, faire naitre ton désir Te toucher au plus vif, puis te serrer plus fort, Explore de tes mains le brasier de mon ventre Je m'ouvre à toi, comme l'orchidée. ------------------------------------ Tu es ma beauté, ma princesse de feu... Tes lèvres sont douces, ton frémissement est mien, je sens ton corps qui s'alanguit, offert, le mouvement que tu fais, presque imperceptible pour m'inviter à venir te remplir, là où c'est si doux, si tendre, sens-tu la douceur de mon désir qui se réveille, qu'un effleurement de ta main déclenche, des mots que tu soupires plus que tu ne les dis, ------------------------------------ Viens en moi, oh mon roi ! Viens ! Je te sens, tu me longes, me scrute puis me pénetre, tes soupirs, ta fougue qui se déclenche quand je serre mes muscles et que tu n'y tiens plus... ton intrusion divine me comble. ------------------------------------ mes mains te rendent honneur, se plaquent sur tes chairs. Ton corps comme un arc ploie sous mes assauts. J'aime tes mots doux pour me faire attendre tes encore pour me contrôler encore puis me demander soudain de ... ne plus me contrôler, ------------------------------------ Il est temps, maintenant ! Que la jouissance nous prenne, tous les deux ! Crie ta jouissance. Une étincelle. Le néant. Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse | tendresse (E) Serrons nous l'un vers l'autre pour offrir nos sens, laisse moi te regarder dans les yeux, cueillir ton sourire approcher mes lèvres des tiennes, doucement, jusqu'à les effleurer, te caresser sans cesse, fa ... |
![]() | Faire l'amour ce soir (Bertino Le Pascalois)Viens là , dans mes bras, allume la flamme Mon corps impudique et brulant te réclame Dans la douce lumière, pour toi je m'abandonne Prends moi, tu seras mon amour, je me donne. Ce soir tu es mon coeur, serre-moi dans tes bras Laisse courir ta main, tes doigts, brûle-moi De ton souffle, de tes lèvres, attise ma chaleur Ouvre- toi, aime moi de toute ta ferveur. Laisse-moi prendre tes lèvres sucrés, m'abreuver Laisse-moi à mon tour, de douceur te caresser Laisse-moi de ma bouche te gâter, t'attiser Laisse-moi sous mes morsures, te faire soupirer. Viens amour, j'ai encore envie cette nuit, prend moi Viens, je plonge je me noie au plus profond de toi Viens, berce-moi dans le gouffre de ton ardeur Viens, je dresse mon désir et te fais les honneurs. Toute la nuit, jouissons de l'amoureuse union Deux corps en fusions, nos désirs à l'unisson Se sentir vivre et ensemble atteindre l'ivresse Puis repus de fatigue, s'endormir dans la tendresse. Bertino le Pascalois | Faire l'amour ce soir (Bertino Le Pascalois) (E) Viens là , dans mes bras, allume la flamme Mon corps impudique et brulant te réclame Dans la douce lumière, pour toi je m'abandonne Prends moi, tu seras mon amour, je me donne. Ce soir tu es mon co ... |
![]() | dans tes brasJe veux que tu me serres dans tes bras, que tu approches tes lèvres des miennes, doucement, jusqu'à les effleurer, puis me serrer plus fort, t'allonger avec moi, te contrôler un peu puis ne plus te contrôler, me caresser sans cesse, faire grandir ton désir. Me toucher au plus vif, nous serrer l'un vers l'autre pour offrir nos sens, me regarder dans les yeux, cueillir mon desir Plonger en moi enfin quand je suis prête. ***** Tes lèvres sont douces, ton frémissement est mien, ma beauté, ma princesse de feu... Viens, viens vers moi, ma reine, mes mains te rendent honneur, se plaquent sur tes chairs. ***** Prend moi dans tes bras, embrasse moi doucement, fixe moi dans les yeux, caresse moi tendrement saisis ma bouche chaude, introduis-y ta langue mélangeons nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent nos chaleurs enmelées, et nos corps enboitées nos sourires qui s'echangent et un parfum d'été ***** Je te caresse doucement, je me penche, tu ploies, tu dérives ... Je te saisis, Tu es exsangue, écartelée, plaie ouverte, tu ne bouges pas, tu trembles. Mon sexe raide bat la mesure de ton cœur affolé, Je m'avance et je plonge en toi. ***** Ta langue me parcourt, m'inonde. tu m'enjambes, tu t'introduis en moi, tu viens au fond de moi. Nous bougeons, lentement. Mon muscle se contracte, tu gémis doucement. Des vagues de chaleur envahissent mon ventre. ***** mes mains explorent le brasier de ton ventre, ta chaleur infernale... Tu t'ouvres comme l'orchidée. mon intrusion t'arrache un gemissement. Ton corps comme un arc ploie sous mes assauts. Tu cries ta jouissance. Une étincelle. Le néant. Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse ***** Tu me tiens par la taille. je veux happer tes lèvres, J'ai les jambes tremblantes, ma langue veut te sentir. Je veux te goûter, je te désire, j'ai la tête enfouie dans les draps en bataille. Je sens sur moi tes mains, J'aggrippe les draps froissés. Tu me laisses encore dans l'attente de toi. Je veux t'avaler, me remplir de toi, me rassasier. le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Tu te retires. Le vide se fait en moi. Je te reprends, entièrement, complètement, passionnément. Tu m'investis. Brutalement, sans concession, tu me finis. Je jouis avec toi, enflammée jusqu'au cœur, Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux. Tout bascule. Je crie, mon corps est en branle. Je m'ouvre tout entière pour toi. Et tu viens. Ta jouissance est à moi. souviens-toi de la nuit, de la tendresse, de la douceur de mon désir qui se réveille, qu'un effleurement de ta main déclenche, des mots que tu soupires plus que tu ne les dis, mon corps qui s'alanguit, offert, le mouvement que je fais presque imperceptible pour t'inviter à venir me remplir, là où c'est si doux, si tendre, ton membre qui me longe, me scrute puis me pénetre, tes soupirs, la fougue qui se déclenche quand tu serre tes muscles et que tu n'y tiens plus... mes mots doux, encore, pour te demander d'attendre un peu. Et la jouissance qui nous prend, tous les deux. | dans tes bras (E) Je veux que tu me serres dans tes bras, que tu approches tes lèvres des miennes, doucement, jusqu'à les effleurer, puis me serrer plus fort, t'allonger avec moi, te contrôler un peu puis ne plus te co ... |
![]() | étreinte amoureuse (Arianne)Effleure moi, Effleure le contour de mes joues, que tes mains douces devinent mes courbes. Au creux de mes lèvres humides, glisse un doigt timide. Enserre moi, Enserre mon corps troublé de tes bras, empoigne le fermement mais ne le brise pas. Contre ma gorge fébrile, ton étreinte m’adoucit. Frôle moi, Frôle le creux de mes reins, glisse tes mains sur mes hanches, suis leur chemin. Aie des gestes voluptueux, habiles. Caresse moi, Caresse le galbe de ma poitrine généreuse, gonflée par tes attouchements impudiques. Sur mon corps sensuel, tes mains s’animent, m‘ensorcellent. Embrasse moi, Embrasse ma nuque qui s‘offre à toi. Ne t’arrête pas, écoute le murmure de ma voix. Découvre moi, Découvre l’intérieur de mes cuisses. Insiste, sens l’invitation du brûlant orifice. Sur tes lèvres un baiser, je goûte ta bouche enfiévrée. Savoure moi, Savoure la pointe de mes seins, soit délicat. Acharne toi sans être maladroit. Touche moi, Touche mon sexe lestement. Que mon clitoris glisse sous tes doigts caressants. Une étreinte convulsive, passionnée, Pénètre moi, Pénètre ma chaleur vaginale progressivement, de quelques doigts seulement. Les spasmes s’emparent de mon bassin, je cambre mes reins. Excite moi, Excite ma chair par le flux et reflux de tes mouvements. N’hésite pas, soit violent. Plus qu’humide, la vulve est maintenant submergée par mon liquide. Envahis moi, Envahis mes sens d’obscènes sensations, éclosion de l‘excitation. Enivrée de plaisir, je sens chacun de mes membres tressaillir. Provoque moi, Provoque l’ultime exaltation, cette jouissance exquise fruit de ton initiation. Au bord de l’orgasme, je décide pourtant de quitter la volupté, Pour mieux te montrer comme je saurais t’exciter. Abandonne toi, Abandonne ton sexe aux caresses de mes mains expertes. Je glisse le long de ton torse m’échouant contre ton bassin encore inerte. Appelle moi, Appelle ma bouche qu’elle enserre ton sexe tendrement. Le membre engourdit déjà humide, m’incite à la gourmandise inconvenante. Soumet toi, Soumet ton esprit à la volupté sans chercher à te contrôler. Avide je vais et viens le long de ton pénis, la main frôlant l’intérieur de tes cuisses. Offre toi, Offre ta liqueur douce amère, qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres. Onction lubrique, abreuve moi de ton liquide. Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant ! Arianne | étreinte amoureuse (Arianne) (E) Effleure moi, Effleure le contour de mes joues, que tes mains douces devinent mes courbes. Au creux de mes lèvres humides, glisse un doigt timide. Enserre moi, Enserre mon corps troublé de tes bras, empoigne ... |
![]() | Ton arbre (Arthémisia)Le désir est puissant et j'en ai presque mal Je veux tes mains sur moi, ta peau contre ma peau, Je veux sentir en toi un désir animal Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau Ton arbre, je le sens, frémissant sous la brise, tremblant mais résistant de toute sa force blonde, vibrant, vivant et jaillissant en mille éclats Cet arbre me provoque, m’interpelle. Il m’appelle, Mon âme en est captive ; Je voudrais le prendre, le serrer, me griser à ses épices, Ce matin, dans la lumière du soir, ton sexe est mon arbre. 2006 © Arthémisia | Ton arbre (Arthémisia) (E) Le désir est puissant et j'en ai presque mal Je veux tes mains sur moi, ta peau contre ma peau, Je veux sentir en toi un désir animal Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau Ton arbre, je le se ... |
![]() | ma fleurTu es doux ! Apprivoise mon ventre ... je veux sentir tes mains, je veux sentir tes doigts Approche-toi, doucement. --------------------------- De la rondeur de tes seins, à la chute de tes reins, De tes lèvres douces, humides, à ta fleur que je butine, De cette jolie petite faiblesse, à la courbe de tes fesses, Je sais le goût de ton corps, tous tes arômes et plus encore. Senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits. --------------------------- Mets ta main ... là ... plus bas ... Tu sens comme c'est doux ? Tu sens ? Je suis prête ! | ma fleur (E) Tu es doux ! Apprivoise mon ventre ... je veux sentir tes mains, je veux sentir tes doigts Approche-toi, doucement. --------------------------- De la rondeur de tes seins, à la chute de tes reins, De tes l&egrav ... |
![]() | le désirLe désir est puissant et j'en ai presque mal Je veux tes mains sur moi, ta peau contre ma peau, Je veux sentir en toi un désir animal Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau Il envahit mon corps et brûle dans mes veines Il coule entre mes cuisses en lentes traînées de feu Il me coupe le souffle et je respire à peine Et j'entrouvre la bouche et je ferme les yeux | le désir (E) Le désir est puissant et j'en ai presque mal Je veux tes mains sur moi, ta peau contre ma peau, Je veux sentir en toi un désir animal Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau Il envahit mon corps ... |
![]() | Sens. Respire. Goûte. Touche. Ecoute. Le clapotis des doigts fouillant la moiteur de mes tropiques. Ecoutes mon corps qui s'ouvre et se ferme mes pensées qui vadrouillent Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Mes doigts trempés que je te donne à goûter. Les larmes salées que je laisse s'écouler. Touches. Mêles tes doigts aux miens. Voles ma jouissance avant que je ne te l'offre. Fais-moi ce cadeau, fais-moi plaisir, fais-moi jouir. | (E) Sens. Respire. Goûte. Touche. Ecoute. Le clapotis des doigts fouillant la moiteur de mes tropiques. Ecoutes mon corps qui s'ouvre et se ferme mes pensées qui vadrouillent Touches. Respires. Goûtes ... |
![]() | le feu et la soie (Etienne Daho)C'est un moment fort où se reveille l'eau qui dort Un moment clair où je me confonds a ta chair C'est le feu et la soie C'est le vent qui court sous la peau Et c'est t'apprendre avec les doigts qui me rend tout chose C'est comme un mal en moi qui m'effraie qui me tord Sens m'encore et fais moi perdre pied Dans ces eaux troubles fais-moi plonger Me garder en toi le souffle court figer la pose Les yeux noyés comme deux mutants sous hypnose C'est comme un mal en toi qui te pèse et te mord Baise m'encore et fais-moi tournoyer Dans ces eaux sombres fais-moi plonger C'est se taire et fuir s'offrir à temps Partir avant de découvrir D'autres poisons dans d'autres villes Et en finir de ces voyages immobiles. Etienne Daho | le feu et la soie (Etienne Daho) (E) C'est un moment fort où se reveille l'eau qui dort Un moment clair où je me confonds a ta chair C'est le feu et la soie C'est le vent qui court sous la peau Et c'est t'apprendre avec les doigts qui me rend tout ... |
![]() | le baiser (Paul Eluard)Toute tiède encore du linge annulé Tu fermes les yeux et tu bouges Comme bouge un chant qui naît Vaguement mais de partout Odorante et savoureuse Tu dépasse sans te perdre Les frontières de ton corps Tu as enjambé le temps Te voici femme nouvelle Révélée à l’infini. Paul Eluard - le baiser | le baiser (Paul Eluard) (E) Toute tiède encore du linge annulé Tu fermes les yeux et tu bouges Comme bouge un chant qui naît Vaguement mais de partout Odorante et savoureuse Tu dépasse sans te perdre Les fronti&e ... |
![]() | lettre à Anne (Francois Mitterand)j'aime ton corps, la joie qui coule en moi quand je détiens ta bouche, la possession qui me brûle de tous les feux du monde, le jaillissement de mon sang au fond de toi, ton plaisir qui surgit du volcan de nos corps, flamme dans l'espace, embrasement. Francois Mitterand - lettre à Anne | lettre à Anne (Francois Mitterand) (E) j'aime ton corps, la joie qui coule en moi quand je détiens ta bouche, la possession qui me brûle de tous les feux du monde, le jaillissement de mon sang au fond de toi, ton plaisir qui surgit ... |
![]() | Viens (Chris)Viens, je t'emmène au gré de mon humeur Ferme les yeux. Suis-moi, mon tendre coeur. Je t'emmène au pays du plaisir et du bonheur. Donne moi ta main, aie confiance en la vie Aujourd'hui, tu me suis au pays de mes envies. Ecoute le bruit de cette onde qui murmure Sens le vent léger sur notre peau si pure Allez viens, tu aimeras, tu peux en être sûr Chris | Viens (Chris) (E) Viens, je t'emmène au gré de mon humeur Ferme les yeux. Suis-moi, mon tendre coeur. Je t'emmène au pays du plaisir et du bonheur. Donne moi ta main, aie confiance en la vie Aujourd'hui, tu me suis ... |
![]() | Viens (Chris)Viens, je t'emmène au gré de mon humeur Ferme les yeux. Suis-moi, mon tendre coeur. Je t'emmène au pays du plaisir et du bonheur. Donne moi ta main, aie confiance en la vie Aujourd'hui, tu me suis au pays de mes envies. Ecoute le bruit de cette onde qui murmure Sens le vent léger sur notre peau si pure Allez viens, tu aimeras, tu peux en être sûr Chris | Viens (Chris) (E) Viens, je t'emmène au gré de mon humeur Ferme les yeux. Suis-moi, mon tendre coeur. Je t'emmène au pays du plaisir et du bonheur. Donne moi ta main, aie confiance en la vie Aujourd'hui, tu me sui ... |
![]() | près de la rivière (Frederico Garcia Lorca)Je la pris près de la rivière Car je la croyais sans mari Tandis qu’elle était adultère Ce fut la Saint-Jacques la nuit Par rendez-vous et compromis Quand s’éteignirent les lumières Et s’allumèrent les cri-cri Au coin des dernières enceintes Je touchai ses seins endormis… Ses cuisses s’enfuyaient sous moi Comme des truites effrayées L’une moitié toute embrasée L’autre moitié pleine de froid Cette nuit me vit galoper De ma plus belle chevauchée Sur une pouliche nacrée Sans bride et sans étriers Frederico Garcia Lorca (1898-1936) | près de la rivière (Frederico Garcia Lorca) (E) Je la pris près de la rivière Car je la croyais sans mari Tandis qu’elle était adultère Ce fut la Saint-Jacques la nuit Par rendez-vous et compromis Quand s’éteignirent les lumiè ... |
![]() | ViensDe la rondeur de tes seins, à la chute de tes reins, De tes lèvres douces, humides, à ta fleur que je butine, De cette jolie petite faiblesse, à la courbe de tes fesses, Je sais le goût de ton corps, tout tes arômes et plus encore. Senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits. ---------------------------- Tu es doux ... Viens ! Apprivoise mon corps... je veux sentir tes mains, je veux sentir tes doigts ... là ... plus bas ... Tu vois, je suis prête ! | Viens (E) De la rondeur de tes seins, à la chute de tes reins, De tes lèvres douces, humides, à ta fleur que je butine, De cette jolie petite faiblesse, à la courbe de tes fesses, Je sais le goût de ton c ... |
![]() | Je fondJe fond sous tes caresses. Je suis soumise et prête. Attente de tes spasmes, de ton membre tendu, et de mes levres ouvertes qui brulent d'impatience. Donnes-moi le vertige. Maintenant. Je n'en peux plus ! je veux sentir ton sexe s'enfoncer dans ma chair. Je veux sentir ton sexe à l'intérieur de moi. Valse des sens dans tous les sens. Mes jambes sont en coton, ma respiration courte. mes seins, aux pointes durcies, sont grossies de désir, Je veux ton membre chaud au plus profond de moi. Je veux ton sperme chaud au fond de mes entrailles. je n'en peux plus de te désirer. Remplis moi. Avales moi. Maintenant ! Je te ressens enfin, en douceur. Flottement. Tu t'enfonces doucement, par glissades subtiles. Tu t'enfonces, encore et encore, au plus profond de moi. J'aime le regard que tu poses sur moi. Je suis prise, transportée, transgressée je te laisse me finir, et c'est bon ! à présent tu es mien, je suis tienne. Tu allumes un feu qui m'éblouit bien fort Tu aimes me regarder courir droit à ma perte, La pointe de mes seins redressée fièrement. Je sens ton sperme chaud couler entre mes levres, Douce chaleur liquide, ton foutre qui m'inonde et coule entre mes jambes. Ta douceur m'apaise | Je fond (E) Je fond sous tes caresses. Je suis soumise et prête. Attente de tes spasmes, de ton membre tendu, et de mes levres ouvertes qui brulent d'impatience. Donnes-moi le vertige. Maintenant. Je n'en peux plus ! je veux s ... |
![]() | Ta voixTa voix est une main qui caresse mes entrailles, un vent qui se déploie de murmure en tempête. Je t’aime. Tu caresses mon corps de tes deux yeux brillants. Tu me prends sur un lit de velours et de soies, à la lumière de bougies exhalant le santal. Tu glisses entre mes jambes une main chaude et froide. Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades, Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines, Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel. Tu m’aimes. Tu serres nos corps jusqu’à la douleur. Tu dessines dans le vide des arabesques d’or. Le sol, le tapis, deviennent un champ immense où ta voix me fait l’amour entre un cri et un soupir… Je t’aime. Tu me mords, entres en moi comme un loup à l'affut. Tu cambres mon corps à la fureur du tien et nos deux voix s’épousent. Tu me souffles des mots crus et allume des incendies que tu t’empresses d’éteindre. Tu attises la faim que mon ventre conçoit pour le tien. Tu remontes mes jambes et des feux d’artifices sillonnent notre ciel. Tu m’aime. Tu te glisses dans mon dos et prend mes seins en mains, Tu me parles des étoiles, de la magie du ciel. Tu t’appuies contre moi pour me faire sentir ton desir, Tu te penches sur ma nuque et te glisse dans mon ventre. Tu me fouilles de ta langue, tu m’explores de ses doigts. Tu te glisses sur moi, je t’embrasse, te caresse. Tes gémissements m’excitent, J’aime l’éclat de tes yeux quand tu me désires. Je sens leur chaleur aux endroits qu’ils effleurent. Tu remontes ma robe, la remonte encore, et te glisse dans mon ventre. J’aime. Ton sexe dans le mien, ta peau sur la mienne jusqu’à ne plus savoir où commence ton corps et où finit le mien. Je t’aime et plus j’y pense, plus mon cœur brûle. Tu t’enfonces en moi et le monde disparaît, bout de chair durci qui va et vient dans mon ventre Tes doigts qui me fouillent, ta langue, tes mains qui me frôlent, pincent, griffent, s’agrippent, ta bouche qui m’embrasse, me mord et toujours me fait gémir. Il y a ton parfum sur ma peau et le poids de ton désir dans mon ventre. La nuit est mon histoire, ma délivrance. Tu m’aimes. Sa voix est une main qui caresse mes entrailles, un vent qui se déploie de murmure en tempête. Je l’aime. Il caresse mon corps de ses deux yeux brillants. Il me prend sur un lit de velours et de soies, à la lumière de bougies exhalant le santal. Il glisse entre mes jambes une main chaude et froide. Il dessine sur ma peau des oiseaux, des cascades, Il souffle des orages sur les méandres de mes veines, Il fait porter ma voix plus loin que le ciel. Il m’aime. Il serre nos corps jusqu’à la douleur. Il dessine dans le vide des arabesques d’or. Le sol, le tapis, deviennent un champ immense où sa voix me fait l’amour entre un cri et un soupir… Je l’aime. Il me mord, entre en moi comme un loup à l'affut. Il cambre mon corps à la fureur du sien et nos deux voix s’épousent. Il me souffle des mots crus et allume des incendies qu’il s’empresse d’éteindre. Il attise la faim que mon ventre conçoit pour le sien. Il remonte mes jambes et des feux d’artifices sillonnent notre ciel. Il m’aime. Il se glisse dans mon dos et prend mes seins en mains, Il me parle des étoiles, de la magie du ciel. Il s’appuie contre moi pour me faire sentir son desir, Il se penche sur ma nuque et se glisse dans mon ventre. Il me fouille de sa langue, il m’explore de ses doigts. Il se glisse sur moi, je l’embrasse, le caresse. Ses gémissements m’excitent, J’aime l’éclat de ses yeux quand il me desire. Je sens leur chaleur aux endroits qu’ils effleurent. Il remonte ma robe, la remonte encore, et se glisse dans mon ventre. J’aime. son sexe dans le mien, sa peau sur la mienne jusqu’à ne plus savoir où commence son corps et où finit le mien. Je l’aime et plus j’y pense, plus mon cœur brûle. Il s’enfonce en moi et le monde disparaît, bout de chair durci qui va et vient dans mon ventre ses doigts qui me fouillent, sa langue, ses mains qui me frôlent, pincent, griffent, s’agrippent, sa bouche qui m’embrasse, me mord et toujours me fait gémir. Il y a son parfum sur ma peau et le poids de son désir dans mon ventre. La nuit est mon histoire, ma délivrance. Il m’aime. | Ta voix (E) Ta voix est une main qui caresse mes entrailles, un vent qui se déploie de murmure en tempête. Je t’aime. Tu caresses mon corps de tes deux yeux brillants. Tu me prends sur un lit de velours et de soie ... |
![]() | tester (Arthémisia)Tu caresses mon cou de cet air doux, Tu me murmures des mots fous Tu me pousses à bout. Je tremble de partout Tu répands ton désir de voyou, Tu me réchauffes, debout Allons tester ça … entre nous ! Arthémisia | tester (Arthémisia) (E) Tu caresses mon cou de cet air doux, Tu me murmures des mots fous Tu me pousses à bout. Je tremble de partout Tu répands ton désir de voyou, Tu me réchauffes, debout Allons tester &cced ... |
![]() | Les Promesses d'un visage (Charles Baudelaire)J'aime, ô pâle beauté, tes sourcils surbaissés, D'où semblent couler des ténèbres; Tes yeux, quoique très-noirs, m'inspirent des pensées Qui ne sont pas du tout funèbres. Tes yeux, qui sont d'accord avec tes noirs cheveux, Avec ta crinière élastique, Tes yeux, languissamment, me disent: «Si tu veux, Amant de la muse plastique, Suivre l'espoir qu'en toi nous avons excité, Et tous les goûts que tu professes, Tu pourras constater notre véracité Depuis le nombril jusqu'aux fesses; Tu trouveras au bout de deux beaux seins bien lourds, Deux larges médailles de bronze, Et sous un ventre uni, doux comme du velours, Bistré comme la peau d'un bonze, Une riche toison qui, vraiment, est la soeur De cette énorme chevelure, Souple et frisée, et qui t'égale en épaisseur, Nuit sans étoiles, Nuit obscure ! — Charles Baudelaire, les fleurs du mal, Les Promesses d'un visage | Les Promesses d'un visage (Charles Baudelaire) (E) J'aime, ô pâle beauté, tes sourcils surbaissés, D'où semblent couler des ténèbres; Tes yeux, quoique très-noirs, m'inspirent des pensées Qui ne sont pas du tout fun ... |
![]() | Ecoutes mon corps impatient qui respire ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Regardes. Ecoutes. Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler. | (E) Ecoutes mon corps impatient qui respire ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Regar ... |
![]() | infinie tendresseSurprendre l’infinie tendresse Apprendre la douceur de tes mains Frémir à l’idée de l’instant prochain Et succomber sous tes caresses Enchevêtrer nos pudeurs Briser les chaînes de nos interdits Entrevoir les chauds secrets enfouis Et déchaîner nos ardeurs Rendre nos lèvres muettes Effleurer nos langues encore timides Respirer de l’autre le doux humide Et colorer tes pommettes Surprendre l’infini plaisir Apprendre la violence de tes voluptés Couvrir de mes baisers ton corps apaisé Et auprès de toi, vieillir… | infinie tendresse (E) Surprendre l’infinie tendresse Apprendre la douceur de tes mains Frémir à l’idée de l’instant prochain Et succomber sous tes caresses Enchevêtrer nos pudeurs Briser ... |
![]() | comme on cueille un fruitRegarde moi ! Dans les yeux ! Ne te lasse pas de me regarder, Laisse pétiller tes yeux dans les miens, ne cesse pas de me désirer, Tu vas me prendre comme on cueille un fruit, Tu vas me déguster avec délice et gourmandise, Tu vas caresser mes lèvres à ta guise, et effeuiller mon corps dans un soupir, Tu vas te donner à moi tel un cadeau sucré, Tu vas faire jaillir en moi le feu sacré, celui qui fait rougir de plaisir... Tu vas te laisser aller à ton plaisir ! C’est si bon de s’abandonner ! Chut ! ne dis plus rien ! Et donne moi tes lèvres chaudes ! Echangeons ce premier baiser pour un premier plaisir. Puis, ce deuxieme baiser, plus mouillé, plus profond ... Et maintenant, collée à tes lèvres, Je ne veux que tes baisers. Laissons nos langues se caresser, s'emmêler, se reconnaitre. Je te sens trembler et je t'entends gémir. Sens tu la chaleur de mon corps contre toi ? Sens tu mes seins qui sur toi se frottent doucement ? Sens tu mes mains vagabondes qui remodèlent ton corps ? Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ? et ces frémissements qui n'en finissent pas ? Je veux que mon corps chaud t’enflamme, qu'il te brûle. Je veux que mes seins lourds que tu caresses et qui te troublent soient l’oasis de nos jouissances De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent. Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent. Devore ma peau avec de tendres baisers Dis moi tout bas tes plus folles pensées Enmene moi au paradis. Donne moi de la magie de la passion et du plaisir Et maintenant, Aime moi sans retenue. Fais de moi ta deesse Entre les draps, toute nue, comble moi de tes prouesses Serre-moi fort dans tes bras. Prends-moi avec modération Fais-moi l'amour, tout simplement, comme si tu me connaissais depuis toujours Dresse toi bien contre moi, Enfonce toi dans ma chair, Enfonce toi en moi, pénètre moi, explore moi, Perfore moi, Investis moi, brutalement, sans concession, Fais moi jouir, Enflamme moi, Essouffle moi, Finis moi, Et toi, remplis moi de toi Dans mon nid parfumé mouillé de mon nectar, libère toi en moi et donne moi ta sève chaude Qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi. Jouis en moi ! Maintenant ! Abreuve moi de ton élixir de vie, de ton onction liquide, Lâche toi ! Fais jaillir ton miel d'homme ! Inonde moi de toi ! | comme on cueille un fruit (E) Regarde moi ! Dans les yeux ! Ne te lasse pas de me regarder, Laisse pétiller tes yeux dans les miens, ne cesse pas de me désirer, Tu vas me prendre comme on cueille un fruit, Tu vas me déguster avec d&ea ... |
![]() | retrouver ce frisson (Bertino Le Pascalois)Je veux retrouver ce frisson ultime des caresses sur ma peau Retrouver le bouillonnement tumulte de mes sens en éveil Par tes mains sillonnant mon dos, jouant au plus profond De ces petits points sensible de moi qui cabrent mes reins épris ------------------------- Comment te dire à quel point la magie de tes mains m'ensorcelle Et comment dans le feu qui m'inonde je quitte un peu le monde Pour gagner celui des étoiles puis retomber en chaude larmes Et finir la tête sur ton épaule en une violente jouissance | retrouver ce frisson (Bertino Le Pascalois) (E) Je veux retrouver ce frisson ultime des caresses sur ma peau Retrouver le bouillonnement tumulte de mes sens en éveil Par tes mains sillonnant mon dos, jouant au plus profond De ces petits points sensible de moi qui cabre ... |
![]() | Ma beauté, ma princesse de feu... mes mains explorent le brasier de ton ventre, Tu t'ouvres comme l'orchidée. J'aime tes doux gémissements. Tes lèvres sont douces, ton frémissement est mien, Tu as l'été dans tes reins et de tes seins gonflés tu exhales les parfums de la terre Ton corps comme un arc ploie sous mes assauts. Ouvre donc tes jambes à ma semence Une étincelle. Le néant et dans ton ventre bleu Quand la nuit vient, tu as la mère des étoiles. Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse | (E) Ma beauté, ma princesse de feu... mes mains explorent le brasier de ton ventre, Tu t'ouvres comme l'orchidée. J'aime tes doux gémissements. Tes lèvres sont douces, ton frémissement est ... |
![]() | fruits envoûtantsLaisse moi entrer doucement dans le verger fécond de ton doux corps vierge, et cueillir, savourer tes fruits envoûtants que jaime tant: Pommes, pêches, poires, parfumées et délicieuses, rares, bien mûres, moites Entre les rameaux de ton frais corps, laisse moi pénétrer dans ton jardin d'Eden pour goûter tes fruits secrets une fois encore. ------------------------------------ Viens contre moi ! Viens, mon bel amant. Je sens ton envie qui se dresse ! Je m'ouvre à toi. Viens ! Là... Doucement... Je sens, contre moi, ta chair qui me presse. Rythme bien ton ardente caresse Au gré de mon balancements, Ô mon âme ... Lentement, Prolongeons l'instant d'ivresse. Là... Vite ! Plus longtemps ! Je fonds ! Attends, Oui, je t'adore... Va ! va ! va ! Encore ! OUI ! | fruits envoûtants (E) Laisse moi entrer doucement dans le verger fécond de ton doux corps vierge, et cueillir, savourer tes fruits envoûtants que jaime tant: Pommes, pêches, poires, parfumées et délicieuses, r ... |
![]() | emmène moienmene moi au paradis de l'amour et du desir donne moi de la magie de la passion et du plaisir fais moi l'amour. J'ai envie de toi, de sentir la chaleur de ton corps contre moi fais moi l'amour j'ai besoin de tes caresses dessinant mes contours en manque de tendresse aime moi sans retenue fais de moi ta deesse entre les draps toute nue comble moi de tes prouesses devore ma peau avec de tendres baisers dit moi tout bas tes plus folles pensées | emmène moi (E) enmene moi au paradis de l'amour et du desir donne moi de la magie de la passion et du plaisir fais moi l'amour. J'ai envie de toi, de sentir la chaleur de ton corps contre moi fais moi l'amour j'ai besoin de tes ca ... |
![]() | Fais-moi l'amour. Cette nuit c'est toi qui m'aime Fais-moi l'amour sans que rien ne te retienne Et pour une fois prend les devants. Cette nuit je vais t'apprendre toutes les folies Qui font paraitre la nuit plus claire et plus jolie Fais-moi l'amour sans retenue et sans gène Je serai ta souveraine et je serais tout entière à toi Dave | (E) Fais-moi l'amour. Cette nuit c'est toi qui m'aime Fais-moi l'amour sans que rien ne te retienne Et pour une fois prend les devants. Cette nuit je vais t'apprendre toutes les folies Qui font paraitre la nuit plus claire et p ... |
![]() | ardeur (Jacques)Allongé près de toi, ivre de ta douceur, A l 'orée de tes lèvres, prélude à nos caresses,, Ton corps soudé au mien, ton cœur contre mon cœur, Nos bouches qui se cherchent, tant cette ardeur nous presse ! Et tant et tant que nos baisers se font brûlants. Impatiente ma main se pose sur ton sein, En palpe la douceur, telle la peau d 'un enfant Elle en cherche la pointe, aux teintes de carmin. Mes lèvres te parcourent, en hâte de ton ventre, De ce velours si chaud qu 'en ta tendre pureté, D'un brin de tissu rouge, tu as laissé voilé. Puis mon doigt reconnaît, au sillon de ce centre, Jacques | ardeur (Jacques) (E) Allongé près de toi, ivre de ta douceur, A l 'orée de tes lèvres, prélude à nos caresses,, Ton corps soudé au mien, ton cœur contre mon cœur, Nos bouches qui se cherch ... |
![]() | la tension le désir et la fièvre (Gilles Rivière)Il sont beaux tous les deux en habits de lumière Dans cette alcôve sombre où patiente l'amour Fureur et envie font de ce lieu un four Et tout sent la tension le désir et la fièvre Maintenant ils sont nus, mais souverains quand même Se toisant de regards prometteurs d'impossible Et là point de retour et une seule cible Relever ce défi, ils se disent je t'aime Leur étreinte commence il la fait tournoyer Loin de la fatiguer le plaisir s'invite De sa langue embrasée dans le sillon trempe. Elle avale l'épée en sa bouche aphrodite Les regards sont plus doux, déjà un peu voilés La tendresse naîtrait de ces corps enchevêtrés ? Il la veut, elle veut, le fluide se répand Aussitôt disparu dans le coton brûlant Et son corps de s'offrir tout à coup en saccade Cette belle madone attend l'estocade Le vit rouge fer attaque le trou béant Et le fessier se donne, accepte l'assaillant Trempés les yeux perdus, déjà dans l'abandon Ils savent que bientôt l'absolue jouissance Du jet dévastateur noiera ce vallon Elle gémit et râle, elle attend la semence. L'homme dans ses yeux n'a plus qu'un soleil blanc Son corps s'est déchiré, lui aussi est vidé Il retombe en elle, l'embrasse tendrement : Elle rit aux anges du plafond dessinés Ces pantins tout cassés dans leur petite mort Attendent le sommeil, les ombres picadors Ils tireront leurs corps enchaînés l'un à l'autre Vers des rêves maudits qui ne seront pas nôtres Gilles Rivière | la tension le désir et la fièvre (Gilles Rivière) (E) Il sont beaux tous les deux en habits de lumière Dans cette alcôve sombre où patiente l'amour Fureur et envie font de ce lieu un four Et tout sent la tension le désir et la fièvre Maint ... |