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mercredi 17 décembre 2025 - 07h53
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Tissu frais à jolis fleurs (Prune)


Tissu frais à jolis carreaux vichy, laissant filtrer l'odeur du désir, de la sueur légère mêlant inquiétude et impatience… fragrance excitant les sens … La matinée de juin était déjà chaude. Il avait fallu quelques ruses, quelques mensonges peut-être, pour en arriver à se retrouver là dans sa voiture
Les lèvres se le disputaient aux doigts, la fébrilité accélérait déjà les respirations … Aurions-nous le temps de faire connaissance ? les habits déjà se froissaient, les peaux s'irritaient … l'impatience devenait violence, de peur de devoir renoncer au plaisir…
J'ai alors fermé ses yeux, calmé son souffle, apaisé son agitation anxieuse. J'ai juste laissé balader mes doigts et mes lèvres, dans une découverte tendre. Puis ont été défaits, un à un, lentement et tranquillement, les petits boutons de sa chemise légère, s'ouvrant sur sa peau douce et chaude d'envie. Mes mains sous le fin tissu ont exploré, poursuivant leur chemin, nos corps se sont tendus de désir, de dialogues, de caresses, correspondance muette, lecture de l'envie de l'autre ... accord … puis les habits ont glissé, nos bouches, nos doigts, nos sexes se sont emmêlés, rattrapés par un beau plaisir, trop vite transformé en souvenir d'une première fois dont nous redoutions qu'elle soit aussi la dernière.
Tu m'as promis de ne jamais te séparer de ta chemise aux petits boutons que j'avais défaits, un à un…

Prune
Tissu frais à jolis fleurs (Prune) (E)
Tissu frais à jolis carreaux vichy, laissant filtrer l'odeur du désir, de la sueur légère mêlant inquiétude et impatience… fragrance excitant les sens … La matinée de juin &eacut ...

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nuit dans l'Orient Express


Nous avions fait ensemble tout le voyage depuis Moscou, la nuit était tombée et le couloir du wagon s'était progressivement vidé. Elle se tenait, seule, dans l'ouverture de la porte du compartiment en robe de nuit, a demi denudée. Sensuelle, aguicheuse, des yeux brillant. J'etais hypnotisé. Elle s'approcha de moi, m'attira à l'intérieur et referma la porte derrière moi. Elle me plaqua contre la porte et se colla langoureusement à moi. Elle caressa mon visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de ma peau pour s'imprégner de mon odeur. Je commençais à reagir a ce parfum capiteux et envoûtant de feminité, un mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. féminité, sensualité, lascivité, volupté, je la désirais. Elle posa un doigt sur ma bouche. le glissant sensuellement sur mes lèvres. Ses lèvres remplaçerent son doigt, et c'est sa langue qui s'introduisit dans ma bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. Ses mains m'enlacerent pour me coller encore plus fortement à elle. Les fines bretelles de la robe de nuit tombèrent. Je lui rendis son sauvage baiser et cherchais moi aussi à pénétrer sa bouche, Nos lèvres s'écraserent les unes contre les autres dans un obcène bruit mouillé, Nos langues se cherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. Ce fut un ballet violent, animal, sauvage, melant nos souffles, nos haleines, nos salives. Ses doigts courraient sur ma peau, à la limite de l'asphyxie, Elle planta ses yeux dans les miens, un regard de feu, de passion, et c'est en feulant qu'elle me murmura :
- Baise-moi !
elle se laissa couler le long de mon corps, Toute la dentelle de sa combinaison caressa mon sexe qui se dressait de plus en plus. Sa voix était chaude, rauque. Elle prit mon membre et commenca un lent massage. L'autre main empoignait mes bourses. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement. Elle enserra fortement mon membre pour retenir la montée de la lave en fusion. Ses yeux brûlaient de passion, elle était devenue une véritable lionne. Son vagin était en ébullition, trempant littéralement la dentelle de sa fine culotte. Elle voulait jouir. Alors comme une démente, elle prit mon sexe et l'enfonça dans sa fournaise détrempée Dans un mouvement frénétique elle pompa mon dard, se coulissa sur moi. Et là, dans un cri... je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, Un terrible orgasme emporta tout son corps dans un océan de jouissance. Ma verge eut plusieurs soubressauts, j'envoyai de nouvelles giclées de mon jus épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de ma tige brûlante, laissant échapper de delicieux bruits de succion et de déglutition. Mon sexe était encore dur, Elle m'adressa un regard langoureux, auréolé de douceur, de tendresse, de sensualié. Un regard allangui, une bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Je l'embrassai à pleine bouche. Nos lèvres s'épousaient profondément, nos langues s'enlaçaient, s'unissaient intimement. Le goût de sa bouche était plus fort, plus chaud, plus entêtant. Ce baiser se prolongea hors du temps et nous redonna des forces, nous revitalisant. Je ressentis dans mon sexe les effets de nos caresses. Mes mains caressaient le dos feminin, s'aventuraient sur ses fesses. les flattant, les palpant et les empaumant pour mieux les pêtrir. Toujours collée à mes lèvres, elle se cambrait et tendait ses reins pour répondre à la caresse. Je m'enhardissai et passai mes mains sous la fine dentelle tendue pour n'être en contact qu'avec sa peau. Ainsi soudé à elle, je la fis pivoter pour la plaquer contre le mur. Je m'écrasai un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées et nos souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus que nos soupirs, nos halètements et des bruits mouillés de lèvres qui se séparent pour s'unir à nouveau. Nos regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. Ma cuisse se mit à comprimer davantage la vulve de ma chaude compagne. Mes lèvres se remirent à dévorer celles de ma maîtresse, alors que mon autre main s'accaparait de sa poitrine. Malaxant les deux mamelles l'une aprés l'autre. Le compartiment était envahi de bruits de bouche, de succion, de soupirs. Elle s'aggripa encore plus fortement à moi, elle écarta sa culotte mouillée et amena mon mat à l'entrée de son sexe trempé.
Ondulant du bassin, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes et commença à le faire tourner autour de ses lèvres vaginales.
Elle promenait l'extrémité de mon sexe sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. C'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, s'accrochant à mes épaules, elle me souffla à l'oreille :
- Viens, vas-y !
Je propulsais alors mon bassin vers l'avant, enfonçant du meme coup mon sexe dans le fourreau ardent. Elle s'aggripa plus étroitement à moi, murmurant ses encouragements à mon oreille en me caressant amoureusement les cheveux. La pénétration ample de mon membre la comblait, c'était un véritable envahissement. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la penetration se fit facilement. Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule et me souffla à nouveau :
- encore, Je t'en prie,
Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux, Je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Ses râles augmentaient en intensité. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux,
coulissait profondément dans le vagin, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Mon penis était complètement enserré dans son ventre chaud. Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques. Elle était en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. Elle était brûlante. J'étais en nage. Une chaleur torride irradiait son corps, Mes lèvres dévoraient à nouveau les siennes, Mes dents jouaient avec ses mamelons. Je la pénétrais de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment. Elle n'en finissait pas de râler sous mes caresses intimes. Une nouvelle penetration plus ample lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Elle me mordit l'épaule pour ne pas hurler. Je continuais mes mouvements ondulatoires accélérant ma cadence amplifiant ainsi sa jouissance. Elle s'aggripa a mes épaules, passa sa jambe autour de ma hanche pour que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. contractant ses muscles internes pour enserrer ma colonne de chair. Le contact du bas soyeux m'électrisait. La pression emprisonnant mon gland fut le signal. Je bandais mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruais au plus profond de son ventre, hurlant des rales d'effort à chaque violente poussée. Elle n'en pouvait plus, son sexe était investi, envahi Ses deux jambes autour de ma taille, s'empalant davantage sur mon pieu. Elle fut térassée par une série d'orgasmes en continu. Elle gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgasmes. Je sentis l'imminence de l'eruption. J'accélérais la force de mes coups de butoir dans son ventre brûlant.
Je sentis ma semence partir de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu, explosant enfin par mon gland congestionné. Le jet puissant inonda le point le plus profond de son vagin. C'était un volcan, un flot bouillonant de lave en fusion.
A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans son cou, lui assenant mes dernieres giclées pour lui exprimer ma gratitude. Nous recherchions notre respiration. Je continuais de coulisser doucement dans son ventre. Elle laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle. Les dernières caresses de mon sexe d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou. Sa langue envahit délicatement ma bouche pour une dernière étreinte puis elle me repoussa doucement et me fixa dans les yeux, Mon sexe glissa doucement de sa gaine soyeuse, liberant un flot de secretions amoureuses.
nuit dans l'Orient Express (E)
Nous avions fait ensemble tout le voyage depuis Moscou, la nuit était tombée et le couloir du wagon s'était progressivement vidé. Elle se tenait, seule, dans l'ouverture de la porte du compartiment en robe de nui ...

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chaude nuit d’été


C’est une chaude nuit d’été, sans brise. Nous roulons sur une route secondaire. Le ciel est noir, dégagé, la lune est pleine. Je suis au volant. La chemise ouverte… Elle, les cheveux en cascade sur ses épaules, sa robe d’été un peu transparente se trouve rabattue sur ses cuisses rondes… Gardant ma main gauche sur le volant, j'effleure sa cuisse, la caresse… Elle sourit, se décale un peu pour se rapprocher de moi, mon souffle est un peu plus court. Elle se colle un peu plus et pose sa tête sur mon épaule… Ma main descend le long de sa cuisse, remonte lentement, palpe la douce peau. petites pressions intimes… Elle sourit et laisse échapper un soupir. Je m’insinue, je sens un leger spasme, mon doigt s'insinue, ressort un peu, rentre et accélère le mouvement… elle a les yeux fermés, se caresse les seins par dessus le tissu, les mamelons se dressent. Elle se colle tendrement contre mon epaule. Elle relève la tête et vient m'embrasser,

Elle reprend le volant. Je m'installe à coté… Elle me jette un regard plein de malice. Me tournant vers elle, je glisse la main dans son decolleté et commence à lui palper un sein, tout doucement, je le degage, pose mes levres dessus et exerce une douce succion… petit à petit, mes baisers se font plus soutenus… j'embrasse, je lèche, je gobe entre mes levres la poitrine elastique et l’aspire encore et encore. À nouveau, je sens mon pénis raidir… elle sourit d’envie et, apercevant un chemin de terre, elle bifurque aussitôt et dirige la voiture dans la pénombre d’un espace boisé…

Nous descendons… Elle se plaque contre l’arrière arrondi de la voiture… le métal froid contre sa poitrine excite encore plus ses mamelons… elle écarte les bras, tourne la tête de côté et m'attend impatiemment… je m’avance vers elle, releve sa robe sur ses hanches, caresse un peu les fesses rondes et douces… je degage mon sexe et le glisse entre ses cuisses, je sens sa vulve ouverte et dilatée, mon gland est immediatement aspiré.. je dicte le rythme de la penetration, je m'enfonce un peu plus, me retire à moitié, m'introduit de nouveau… je ressors encore et puis, je m’enfonce complètement en elle ! Elle lache un cri de jouissance… premier orgasme, petit mais intense.
Mon sexe grossit et s'allonge en elle, elle le sent et redresse le bassin, me supplie de la penetrer totalement… Je m'execute, m’insère très profondément, ressors presque complètement, retourne au plus profond d'elle… puis je cesse de bouger… sa chaleur m’enveloppe, ses muscles intimes compriment mon penis… je gémis… elle gémit…
après un moment, je recommence mes va-et-vient, la pénètre de plus en plus vite, de plus en plus profondément…
mes bourses fremissent en frottant sa toison. Je m’enfonce en elle jusqu’à la garde… mon souffle est court, ses gémissements augmentent… Deuxième orgasme… Je ralentis la cadence, je vais caresser le clitoris tout en continuant de la pénétrer doucement, je parcours son dos, ses hanches, ses cuisses… Elle gémit de plus en plus fort, Je n’en peux plus, Elle contracte ses muscles et jouit très fort. Je laisse fuser en elle plusieurs giclées et m'effondre sur son dos. Je suis toujours en elle, je reste debout, sans bouger, les yeux clos et je goutte les mouvements de son bassin.

Nous reprenons la route
chaude nuit d’été (E)
C’est une chaude nuit d’été, sans brise. Nous roulons sur une route secondaire. Le ciel est noir, dégagé, la lune est pleine. Je suis au volant. La chemise ouverte… Elle, les cheveux en cascade ...

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Mes doigts se font dentelle


Caressez mon sein soyeux, de vos doigts de velours.
Effleurez doucement mes pointes au bout dur et nacré.
Faites vous onctueux pour mieux remonter mes flancs.
Appreciez ma chaleur, ma douceur
De votre main explorez, descendez, plus bas
glissez vos mains chaudes sous ma combinaison de soie
immiscez vous, creusez, faufilez vous,
Sentez, mon humidité abondante, majestueuse.
Perdez vous totalement entre mes lèvres.
goutez mon parfum de femme.
Declenchez mon orgasme.
Il arrive, il est là est, merveilleux, en partage total.
Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté.
Cris étouffés entre nos bouches.
Je ne connais même pas votre prénom...



Son sein est soyeux, mes doigts se font dentelle, effleurent à pas de loup les pointes qui s'érigent. Le bout est dur et nacré. Mes doigts s'immiscent, glissent sur le côté, arpentent par l'arrière, se font onctueux pour mieux remonter ses flancs. Chaleur. Douceur. Ma main explore, descend, sous sa combinaison de soie, explore plus bas, creuse, se faufile, s'immisce. Humidité abondante, majestueuse. Envie de me perdre totalement entre ses lèvres. Ma main part à sa découverte, s'immisce un peu plus. Parfum de femme. Son orgasme est enfin là, merveilleux, en partage total.
Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté. Cris étouffés entre nos bouches. Je ne connais même pas son nom...


Mes doigts se font dentelle (E)
Caressez mon sein soyeux, de vos doigts de velours.
Effleurez doucement mes pointes au bout dur et nacré.
Faites vous onctueux pour mieux remonter mes flancs.
Appreciez ma chaleur, ma douceur
De votre main explorez ...

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Elle arrive… J'y suis presque ! elle répond qu'elle aussi
elle m'emprisonne en elle. Nous poussons un cri … Nous voici !
nos deux corps tremblent et frissonnent.
de longs souffles succédent. Sa jouissance explose,
Elle gémit en sentant l'énorme pénis gicler en elle par saccades.
elle se mit à jouir comme une folle en s'immobilisant toute,
profondément fichée sur mon pieu de chair.
Nous jouissons simultanément, gémissant, se griffant l'un l'autre.
Dans un cri commun, l'extase nous enlace.
Elle est sur moi, je suis en elle, je l'inonde de moi.
Une marée s'accumule. Elle cède et se répand.
Ses cris se succèdent, en même temps que les miens.
Nos liqueurs se mêlent, se mélangent.
Un frisson voluptueux court tout au long de son échine.
Puis l’amplitude des pulsations faiblit
en longues ondulations... Elle s'affaisse sur moi
Je la serre dans mes bras
(E)
Elle arrive… J'y suis presque ! elle répond qu'elle aussi
elle m'emprisonne en elle. Nous poussons un cri … Nous voici !
nos deux corps tremblent et frissonnent.
de longs souffles succédent. Sa jou ...

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conduite délicate


Le souffle chaud de Lea enveloppait l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea à poursuivre, et du bout de sa langue elle vint effleurer ma sensible muqueuse. Les spasmes de mes bourses qu'elle manipulait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe en entier qu'elle goba, puis lécha goulument sur toute sa longueur. J'avais du mal à maintenir la direction de ma voiture. Elle dégagea un moment ses lèvres de mon sexe planta ses yeux dans les miens. C'était un regard de feu, de passion, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle me murmura :
- Ne t'occupe pas de moi mon chéri, je veux te faire jouir, te sucer, te pomper, je veux te vider de ta sève.
Elle allait et venait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Mon sexe était tout luisant de sa salive, Les caresses de ma sublime maîtresse, m'avaient amené à la limite du cataclysme. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement, j'attrapai la tête de ma joyeuse fellatrice pour bloquer son mouvement de va et vient le long de mon dard et l'avertir de l'imminence de mon explosion
- Attention Lea, je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête de mes mains, enserra fortement la base de mon membre pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers mon visage.
- Mon chéri, donne-moi toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt mon gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Elle pompait le dard de son amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche
- Lea ! Je viens !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, elle resserra ses lèvres à la base de mon gland pour ne rien perdre de mon nectar, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Mon jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle, et pourtant, pour elle apparemment, un véritable hydromel, un nectar. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de ma tige brûlante encore dure dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper ma verge encore bien bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher ma hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, elle m'adressa un regard langoureux pour me remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de ma délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Je recherchais mon souffle, mes yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti ma salive, je regardai ma douce fellatrice à mes genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de ma sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de mon sperme. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore mon sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme satisfaite.
conduite délicate (E)
Le souffle chaud de Lea enveloppait l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea à poursuivre, et du bou ...

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en vol


Je trouve ma place au 8e rang, coté couloir. Les passagers avancent avec leurs bagages. Une jeune femme retient mon attention, elle cherche sa place elle aussi et semble encombrée d'un sac noir volumineux et lourd. Elle s'arrete à mon niveau et soupire
- c'est ici, j'y suis - je crois que je vais vous deranger !
puis elle tente de soulever son sac vers le casier en mettant en relief de très jolies formes. Elle porte un chemisier blanc moulant des poitrines saillantes dans un delicieux soutien-gorge couleur chair, et une robe fluide fendue sur le devant. Je cache à peine mon trouble.
- Attendez ! je vous aide, lui dis-je.
En saisissant la poignée du sac je touche inopinement son corsage, elle me sourit
- vous etes gentil ! me dit-elle dans un delicieux accent quebecois
Je leve le sac avec elle, puis le coince dans le casier. Elle me remercie avec un large sourire, ote son manteau, et s'installe, se mettant à l'aise et dans le même temps augmentant mon trouble.
Nous decollons. Au bout d'une heure de vol, la radio de bord annonce des turbulences. Ma voisine a quelques difficultés et m'appelle à l'aide. En me penchant vers elle pour fixer sa ceinture, je suis envouté par sa douce chaleur parfumée. L'appareil commence à tanguer serieusement dans tous les sens, je sens les mains de ma voisine me serrer l'avant bras,
- les secousses me font peur. Vous acceptez vous que je vous tienne le bras ? me demande t'elle en forme de supplique
Ses doigts se crispent à chaque bourrasque. Elle colle ses épaules contre les miennes en attendant que l'orage passe. Puis le calme revient, et elle reprend sa place en s'excusant. Je lui souris.
Elle pose alors sa main sur mon bras et le serre tendrement en me remerciant d'un sourire qui me fait fondre litteralement.
Nous bavardons et faisons connaissance. Survolant l'irlande, elle me reprend le bras avec plus d'insistance
pour me montrer le coucher de soleil Je sens ses effluves subtiles. Ma tete touche presque la sienne au bord du hublot. Mon sang bouillonne. Puis les lumieres s'éteignent. L'hotesse nous donne deux couvertures pour la nuit. Ma voisine me propose avec un sourire complice d'en prendre une pour nous deux puis elle l'installe sur nos genoux. Elle me reprend le bras et me dit
- nous sommes bien ici, nous pouvons dormir.
Elle s'endort ou feint de s'endormir. Mes pensées se bousculent. la climatisation amene un air frais sur nos tetes, je saisis l'occasion pour prendre la couverture et la relever sur elle. Je sens alors sous la couverture une main se poser tendrement sur ma jambe. Mon pantalon se gonfle, je ne sais plus ou me mettre. Elle s'en apercoit et me lance un sourire complice en inclinant la tete vers moi. Je ne retiens plus ma main droite qui se pose sur la sienne sous la couverture. Elle laisse faire, puis elle laisse sa tete s'appuyer completement sur mon épaule. Tout se precipite. Ses joues se colorent. Mon pantalon se tend. Prenant alors ma main avec force, elle la dirige maintenant vers elle, vers des jambes que je sens fremir. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle écarte, puis resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main. Puis ses cuisses se deserrent à nouveau comme une invitation. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe bandé sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus.
Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe et son slip et me presente sa croupe. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens une main le saisir et le diriger vers sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, camouflés par la couverture s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Mais la radio de bord annonce déjà la descente à destination. Ma main remonte alors le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Personne ne semble se douter de rien à coté. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains. L'avion atterrit. Elle me quitte et me dit:
- Je prends la correspondance pour quebec ... et vous ?
en vol (E)
Je trouve ma place au 8e rang, coté couloir. Les passagers avancent avec leurs bagages. Une jeune femme retient mon attention, elle cherche sa place elle aussi et semble encombrée d'un sac noir volumineux et lourd. Elle s'arre ...

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