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mercredi 17 décembre 2025 - 07h53
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Ses mains (Clémence Crozet)


Ses mains sont chaudes, longues et fines, Je les regarde avec envie, je les désire avec force. J’imagine les caresses qu’elles pourraient me faire, le plaisir qu’elles pourraient me donner. C’est affreux le supplice que ses mains me font subir, à rester sages, presque à m’ignorer.
Je rêve de toucher, sucer chacune de ses phalanges, de les soumettre à mon plaisir, de les guider sur mon corps, de les perdre dans mon écrin.

Clémence Crozet
Ses mains (Clémence Crozet) (E)
Ses mains sont chaudes, longues et fines, Je les regarde avec envie, je les désire avec force. J’imagine les caresses qu’elles pourraient me faire, le plaisir qu’elles pourraient me donner. C’est affreux le su ...

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le feu entre mes jambes


Je sentais ses doigts remontant sur ma chemise de soie qui crissait doucement. La chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, faisait monter mon desir de lui. J'étais là, contre lui, il était contre moi, dans l'attente de moi. Ses mains se risquaient à explorer mon corps, il caressait mes épaules. Je me laissais faire. Ses mains étaient chaudes et douces. Il s’attardait. J'aimais ses caresses. Je fermais les yeux, Petit à petit je m’abandonnai à lui. Je lui caressais lentement les cheveux avec une infinie tendresse, je lui prenais les mains, les serrais, les embrassais. il me fixa tendrement, le feu a pris alors naissance entre mes jambes qui s’entr'ouvrirent. Sa main effleura mes lèvres intimes qui s’entrebâillèrent. Ses doigts s’attardaient, s'introduisirent. Deux caresses intimes, je chavirai dans ses bras. Tout mon corps se raidissait, ma tête brinquebalait, mes muscles se contractaient. Je me mordis les lèvres, Je resserrai mes cuisses et j'emprisonnai sa main. Puis ... je retombai ... inerte, en sueur.
Je repris mes esprits.
J'avais terriblement envie de lui, je le désirais, violemment. Je l'attirai vers moi, je défis sa ceinture, pour libérer son sexe, je le dirigeai vers le mien, et lui demanda de venir, sans attendre ... Et Je me laissai pénètrer doucement, lentement, progressivement, mes chairs se distendaient. je l'accueillais en moi. J'étais comblée, remplie. Je remuai, l'aspirai en moi. il me tenait par les hanches et il m’accompagnait. Je le sentais me fouiller, me remplir. je découvrais de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de mes reins. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissaît. il colla son ventre contre le mien et s’immobilisa un moment, nous étions completement emboités l'un dans l'autre. il se remit à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe. la caresse était douce et sensuelle. Chaque plongée m'arrachait quelques larmes. La tension allait s’amplifiant. Je le sentis gonfler et grandir en moi. je frissonnais, je tremblais.... Tout mon corps se mit à vibrer à chaque penetration. Je partais ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement, la tension se relâcha, le ciel s’ouvrit ... Une marée s'écoula, se répandit. Je m'abandonnais à lui, me livrais aux flots qui m'absorbaient... Je m'abîmais, sombrais, m'anéantissais ... milles bulles éclataient. la tempête s’apaisa , Il restait planté en moi, immobile ... un moment ... puis il reprit ses mouvements se remit à glisser en moi, mes seins ballottaient. Je mordis le coussin du canapé ... Il s’immobilisa, sa verge se contracta au fond de mes entrailles. Il venait ! ....Il jaillissait dans mon ventre ! .. Un flot de semence se répandit en moi. Un interminable frisson voluptueux courut tout au long de mon échine. Libération !

Puis l’amplitude des pulsations faiblit en longues ondulations... Les éclats se font plus pâles, les lueurs plus diffuses, tout s’estompe... Des voiles se referment, le théâtre s’éteint. Elle perçoit ma chaleur humide, la moiteur mouillée qui s’épanche de son corps. ma respiration se fait plus profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Une paix profonde nous gagne, toute de quiétude et de sérénité... mon corps est repus... sa queue encore molle glisse hors de mon fourreau humide ... Je m'attendris ... je suis légère, toujours ouverte. Il me regarde. nous sommes épuisés l’un et l’autre.
Il m'emmène chez lui.
Une nuit de tendresse, de câlins, de caresses, un moment de sommeil, un moment de réveil ... il me regarde ... l'effet ne tarde pas. Son sexe pulse, s’élève en longues ondulations. Il gonfle et se hausse. Il redevient raide et tendu. Il s’érige et se dresse dans une ascension irrésistible. Il brûle d’une fièvre ardente, Il est maintenant dur et rigide, C'est un manche, une gouverne. J'ai de nouveau envie de lui. Je serre mes cuisses, les frotte l’une contre l’autre, retrousse ma robe de nuit, découvre mes longues cuisses. Je monte sur lui, j'enfile son sexe trempé dans le mien, prend sa tête entre mes mains. Je plonge mon regard dans le sien et vient déposer un baiser enflammé sur ses lèvres. Je sens des reliefs noueux qui glissent dans mon ventre. Je coulisse sur lui Je me fait enveloppante, mes lèvres pulpeuses massent delicieusement son sexe bandé. Je le suçe, je me remplis de lui. Je l’aspire, l’absorbe, le relâche. Je sens la tension augmenter dans mon ventre, sa rigidité s'accentue. son sexe palpite, une sorte de vibration annonce l’imminence liberatoire. Puis, par à-coup giclent de longs jets de sperme qui tapissent mes muqueuses. les soubresauts diminuent et laissent place à un épanchement bouillonnant de flots laiteux. Je reçois son offrande.
le feu entre mes jambes (E)
Je sentais ses doigts remontant sur ma chemise de soie qui crissait doucement. La chaleur de ses mains sur mes seins, sur mes hanches, faisait monter mon desir de lui. J'étais là, contre lui, il était contre moi, dans l ...

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Mon souffle chaud lui provoque des frissons qui parcourent tout son corps. Je sens l’arrivée de l’orgasme, mon sexe plonge maintenant en elle à une cadence folle. Elle mord son poing pour ne pas hurler. Ma verge gonfle encore, se déchaîne au fond de son ventre. L’orgasme déferle dans son corps. Elle jouis comme une folle. J'explose à mon tour dans un râle de jouissance. Ma semence chaude l’inonde. Nous restons quelques secondes imbriqués dans cette position, comme si nous voulions prolonger cet instant unique.
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Mon souffle chaud lui provoque des frissons qui parcourent tout son corps. Je sens l’arrivée de l’orgasme, mon sexe plonge maintenant en elle à une cadence folle. Elle mord son poing pour ne pas hurler. Ma verge go ...

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Je m’insère très profondément en elle, ressors presque complètement, retourne au plus profond de ses muqueuses…
puis je cesse de bouger… sa chaleur m’enveloppe, ses muscles intimes compriment mon penis… je gémis… elle gémit…
après un moment, je recommence mes va-et-vient, la pénètre de plus en plus vite, de plus en plus profondément…
mes bourses fremissent en frottant sa toison. Je m’enfonce en elle jusqu’à la garde…
mon souffle est court, ses gémissements augmentent… Deuxième orgasme…
Je ralentis la cadence, je vais caresser le clitoris tout en continuant de la pénétrer doucement,
je parcours son dos, ses hanches, ses cuisses… Elle gémit de plus en plus fort, Je n’en peux plus,
Elle contracte ses muscles et jouit très fort. Je laisse fuser en elle plusieurs giclées et m'effondre sur son dos.
Je suis toujours en elle, je reste debout, sans bouger, les yeux clos et je goutte les mouvements de son bassin.
(E)
Je m’insère très profondément en elle, ressors presque complètement, retourne au plus profond de ses muqueuses…
puis je cesse de bouger… sa chaleur m’enveloppe, ses muscles intimes ...

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Laissez vous aller ! Abandonnez vous à moi !
Vous êtes mon beau mâle !
Goutez les caresses de mes lèvres intimes.
Cèdez à la volupté, sans chercher à vous contrôler.
Offrez vous à mon corps, à nos sens
Et jouissons ensemble ! Je suis prête !
Offrez moi votre liqueur douce amère,
qu‘elle jaillisse en moi et remplisse mon ventre.
Onction bénie, abreuvez moi de votre sève.
Lâchez vous ! Jouissez en moi ! Maintenant !
Ne vous retenez plus ! Allez-y, je vous reçois !
Votre corps vibre et se tend ! Oui ! Je vous sens !
Votre sève humide se repend dans ma chair
en vagues chaudes et c'est bon !
Donnez moi tout de vous et restez encore en moi
Vous êtes sur moi, vous êtes en moi,
vous m'avez inondé de vous.
Vous êtes venu sexe nu en moi, et c'était la première fois.
Restons l'un dans l'autre, Restons enlaces,
nos sexes emboités, délicieusement,
Vous êtes mon bel amant !
(E)
Laissez vous aller ! Abandonnez vous à moi !
Vous êtes mon beau mâle !
Goutez les caresses de mes lèvres intimes.
Cèdez à la volupté, sans chercher à vous contrôler. ...

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dans son corps, je me noie


J'ai envie de lui, il a envie de moi. Il m'excite, je l'excite. Il me désire, violemment. Je l'attire vers moi. Je me laisse pénètrer, mes chairs se distendent. Je l'accueille en moi. Je l'aspire en moi. il me tient par les hanches et il m’accompagne.
Il pénètre mon corps. Sursaut. Décharge. Flash. je mouille sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchent les siennes et j'attrape sa bouche. Il se presse contre moi à chacun de ses mouvements, infiltrant son membre dans mes chairs distendues, s'approchant un peu plus du moment sublime. Je le sens me fouiller, me remplir. La sensation est diffuse, elle se propage, s’éteint, renaît. il colle son ventre contre le mien, nous sommes emboités l'un dans l'autre. il se remet à glisser en moi, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe.
Mes jambes emprisonnent son corps et l'attirent en moi chaque fois qu'il s'en éloigne. Nos deux corps comme des vagues vont et viennent sur le lit, éclaboussent les draps de sueurs, de désirs. Il va plus loin, plus profond et plus fort. La tension va s’amplifiant. Je le sens gonfler et grandir dans mon ventre. je frissonne, je tremble.... Je monte irrémédiablement. Je vais jouir d'un instant à l'autre. Et soudain, l'éclair. Tout mon corps se met à vibrer. Je tremble, me contracte, je jouis. Un gigantesque frisson se met a m'envahir tout le long de l'échine et s'installe dans ma nuque, je sens mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... Il le sent et ... d’un coup de rein, il s'enfonce au plus profond de moi, en poussant un long râle, puis il s’immobilise au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contractent longuement. Il jouit en moi. Je le sens se répandre. J'ai joui aussi, une douce brûlure. Il se détend, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête cherche la tiédeur de mon épaule. Il m'embrasse le cou. Je lui caresse les cheveux. Tendresse. son sexe glisse doucement en moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé un merveilleux amant.
Il se redresse lentement, se retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tente de le retenir Il n’en finit plus de sortir, il s’arrête, une seconde, deux... et de nouveau il reprend vigueur, entre en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense se met a irradier mon dos, mon pouls bat de plus en plus fort dans mes tempes... Il s’immobilise, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage se crispe... Encore une fois, tout mon corps est ébranlé, je sens mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonte lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressort. C’est violent, et bien vite, le plaisir est là, balaiyant tout sur son passage. En rythme, je l’agrippe, le suçe, le serre, de plus en plus fort, je m’entends émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquent une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continue à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se font saccadés et encore plus brutaux :
Son plaisir s’annonce, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’ai chaud... Je suis en nage…Je halète, je soupire, il ahane, ses yeux sont rouges et exorbités, je gémis, il va et viens furieusement, j’enroule mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perle sur son front et roule entre ses sourcils...J'hurle mes encouragements. Il me répond d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tend, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sens alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repand dans mon ventre, quelques secondes, et il retombe lourdement sur moi, et dans mon oreille, il me souffle :
“Oh... Marie...”
il reste affalé sur moi, amorphe... il m'a remplie


Je pars ... une envolée prodigieuse, un immense embrasement, milles bulles éclatent,
sa verge se contracte au fond de mes entrailles. Je le supplie de venir ... Et il vient ! ....
Son corps se tend et vibre, et tremble, et se vide, par saccades,
Tout mon corps se raidit, ma tête brinquebale, mes muscles se contractent.
Je me mords les lèvres, Je resserre mes cuisses
Il jaillit dans mon ventre qui l'avale, qui le boit…
Un flot de semence se répand dans mes chairs
Il jaillit et s'immerge dans mon corps, Il se noie en moi.
Un interminable frisson voluptueux court tout au long de mon échine.
Une marée s'écoule. Elle cède et se répand.
Je m'abandonne à lui, me livre aux flots qui m'absorbent...
Je m'abîme, sombre, m'anéantis...

Puis l’amplitude des pulsations faiblit en longues ondulations...
Une lourdeur pesante envahit nos membres.
Une paix profonde nous gagne, mon corps est repus...
sa queue encore molle glisse hors de mon fourreau humide ...
Je m'attendris ... je suis toujours ouverte.
Il me regarde. nous sommes épuisés l’un et l’autre.
dans son corps, je me noie (E)
J'ai envie de lui, il a envie de moi. Il m'excite, je l'excite. Il me désire, violemment. Je l'attire vers moi. Je me laisse pénètrer, mes chairs se distendent. Je l'accueille en moi. Je l'aspire en moi. il me tient par ...

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Délicieux plaisir de la chair


Qu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés, avivés par ces mots impudiques que vous avez murmuré à mon oreille. J'ai senti le plaisir au fonds de vous trésaillir, puis, comme une eau vive, ruisseler et jaillir en soubresauts insaisissables dans mon corps brulant. Attente fiévreuse de l'orgasme fulgurant. Quel délicieux plaisir de la chair, vertige des sens libérés ! Vous avez ensorcelé votre belle secretaire au corps parfumé
Délicieux plaisir de la chair (E)
Qu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés, avivés par ces mots impudiques que vous avez murmuré à mon oreille. J'ai senti le plaisir au fonds de vous trésaillir, puis, comme une eau ...

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dans la remise


Je rangeais quelques articles dans la remise. Sans dire un mot, il m'a agrippée et s'est jetée sur mes lèvres pour un baiser qui m'a fait tourner la tête. Ses mains puissantes tentaient de glisser sous ma robe légère, sur mes hanches, mes cuisses, sur mon dos dénudé. Je sentais contre mon ventre le relief indécent et excitant de son pantalon. Les coutures de ma robe ont craqué, il était presque brutal de maladresse. il m'a poussée contre les étagères et s'est jeté sur mes seins qu'il a sucés et mordillés longuement.
Je me suis rappelée ses regards furtifs au bureau, les semaines précédentes. Et maintenant, j'étais sous son emprise. Ses mains d'homme me caressaient avec audace et gourmandise. Son pantalon est tombé et son sexe brûlant s'est mis à frotter contre mes cuisses. J'agrippais sa tige de chair dure que je recueillais dans ma main. Il gémissait, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant sur son visage les signes du plaisir, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir montait irrémédiablement. J'étais ravie de le voir ainsi abandonné, lui si conquérant quelques secondes auparavant. Je m'émerveillais de la grosseur de son sexe. Il se redressa sur son séant et me regarda avec une imploration muette. Je lui souriais. Il me caressait les cheveux. Puis sa main se referma sur ma nuque et poussa mon visage vers son sexe. J'obtempérais à son caprice d'enfant gâté et l'accueillais dans ma bouche. Son sexe glissa jusqu'à ma gorge, ma mâchoire presque se décrocher, il semblait heureux. La fellation fut douce pour cet homme de trente-huit ans, plein de santé. Je le suçais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour, montant et descendant sur sa verge tendue. chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre se tordait de désir et que grandissait le sentiment de vide, plus bas entre mes cuisses affamées.

Je montais à califourchon sur ses hanches, de part et d'autre de sa taille, et pointais son sexe contre ma vulve humide. Je fis passer son gland dans mes plis, le placait contre mon entrée brûlante, et je descendis lentement sur lui. La pénétration fut délicieuse. Son sexe était en moi, énorme et brûlant, d'une dureté incroyable. Doucement je me balançais, le savourant au fond de mon vagin. Je l'embrassais avec sauvagerie, violant sa bouche de ma langue, pinçant mes tétons. Il pétrissait mes fesses. Je jouissais intensemment, empalée sur cette jeune bite qui me fouillait et me bouleversait jusqu'au fond, butant contre ma matrice. L'orgasme lui noua le ventre jusqu'à ce que je le libère en coulissant jusqu'au bout sur ce pieu de chair. Nous avons crié ensemble, comme un sanglot et un éclat de rire, libérés. Quand je m'effondrais sur sa poitrine, je serrai mon vagin pour le sentir en moi, encore dur, allant et venant entre mes muqueuses, lubrifié par son sperme. Le ciel par la fenêtre était bleu et magnifique, comme je ne l'ai jamais vu.

Je l'ai regardé se rhabiller. Il est revenu Apres de moi, m'a embrassée timidement sur la joue. Je me suis rhabillée, me suis remaquillée et peignée devant le miroir. Mon maquillage était ravagé, mais pas mon sourire. En remettant la clé à l'accueil, j'ai regardé franchement la gardienne, qui a souri sans rien dire. Les cigales dans leur folie font retentir la garrigue de leurs tribulations.
dans la remise (E)
Je rangeais quelques articles dans la remise. Sans dire un mot, il m'a agrippée et s'est jetée sur mes lèvres pour un baiser qui m'a fait tourner la tête. Ses mains puissantes tentaient de glisser sous ma robe l&e ...

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au bureau


Elle provoque, ses seins presque à l'air. Je bande. Elle s’approche. Le dialogue est bref. Elle passe sa main dans mon pantalon, sort l'engin, enfile le préservatif, branle le mou. Elle roule sa robe jusque sous ses bras. Ses seins relevés, je les caresse et les palpe. Elle commence à me sucer, s’agite autour de ma queue. Je me raidis, me tends, je râle ... et me libere. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tends mes muscles. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle me tend un kleenex, retire le préservatif. Elle re-ajuste sa robe, range ses affaires. J'ai rangé mon sexe. nous retournons à nos bureaux respectifs
au bureau (E)
Elle provoque, ses seins presque à l'air. Je bande. Elle s’approche. Le dialogue est bref. Elle passe sa main dans mon pantalon, sort l'engin, enfile le préservatif, branle le mou. Elle roule sa robe jusque sous ses bras ...

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dans l'ascenseur


- Monsieur, je crois que nous sommes bloqués dans l'ascenseur !
- Ah bon ! Ca va se débloquer. Nous allons sagement attendre.
Condamnés a rester enfermés dans cet ascenseur, presque collé l'un a l'autre. Elle me murmure, d'une voix tremblante
- Ce n'est pas une situation très habituelle !
- C'est vrai.
- On ne se connaît pas !
- C'est peut-être l'occasion !
- Que voulez vous dire ?
- On pourrait en profiter pour rapprocher nos points de vue
A peine achevé ma phrase je posai mes lèvres dans son cou, mes mains empoignerent ses hanches. Elle dégagea sa nuque.
- Mais que faites-vous ?
- Je rapproche nos points de vue. Tout va bien ? demandais-je dans un souffle
En guise de réponse, elle me tendit ses lèvres. Je sentis alors en elle quelques frissons. Nos lèvres se collèrent alors dans un long baiser passionné. je la sentis se cambrer collant sa croupe contre mon sexe déjà bien a l'étroit. Nous nous embrassions avec une force presque animale. Elle ondulait du bassin, collant celui-ci au mien. mes doigts s'étaient déjà attaqués aux premiers boutons de son corsage J'écartais son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons étaient durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Son coeur battait la chamade, et tandis que je m'appuyais encore davantage contre elle, elle put sentir à travers, mon pantalon, mon sexe déjà dur. Un frisson me parcourut a mon tour, tout se passait trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions.

Mes mains remontèrent rapidement sa jupe étroite jusqu'à sa taille. Je ne réalisais pas encore totalement ce que j'étais en train de faire, Tout allait trop vite mais mes baisers auxquels elle me répondait avidement chassait peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glissa entre ses deux jambes, je la sentis sur le point de défaillir. Les lèvres toujours rivées aux siennes, je fis lentement glisser le sous-vêtement le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses. Sa croupe toujours collée a mes hanches, ma main droite entreprit de caresser l'intérieur de ses cuisses. Passive, elle était loin de l'idée que je m'en faisais. Centimètres par centimètres, ma main découvrait ce terrain inconnu, remontant en direction de ses lèvres que je ne possédais pas encore. Je mêlais alors mes doigts a nos baisers, puis elle posa sa tête en arrière, la posant sur mon épaule. Elle écartait doucement les jambes cambrant son derrière, ses talons haut perchés lui donnaient une cambrure de rêve ... Mes mains redescendirent alors sur le haut de ses cuisses pour mieux remonter vers son sexe et ses lèvres. ma main atteignit son sexe, elle parvenait a peine a tenir sur ses jambes. Cela ne fit qu'augmenter mon ardeur, et chacun de mes baisers devinrent de plus en plus animal au fur et a mesure que ma main s'activait a l'approche de son sexe. je dessinais de l'index les contours humides de ses lèvres. Une simple pression de mon sexe me permit de m'imiser entre celle-ci pour y découvrir l'ambiance chaude et humide qui y régnait.
dans l'ascenseur (E)
- Monsieur, je crois que nous sommes bloqués dans l'ascenseur !
- Ah bon ! Ca va se débloquer. Nous allons sagement attendre.
Condamnés a rester enfermés dans cet ascenseur, presque collé l'un a l' ...

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La secretaire entra dans la remise, et vint vers moi, arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, la secretaire poussa un petit soupir, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche. Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande. Elle resta un court instant penchée sur moi et commencait a déboutonner sa blouse, elle reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement.
Elle s’allongea sur moi, fit « chut » avec l’index de sa main droite de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil. Un sourire carnassier sur les lèvres,
ma belle secretaire écarta les meubles et s'installa à califourchon sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son puit luisant. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe de femme absorbant mon penis eut pour effet de m'amener une puissante éjaculation . Elle eut un orgasme, ondulant du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin,
elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre.


Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager
sous peine de souffrir un maximum.

Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement.
J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche.
Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur une autre infirmière,
blonde cette fois-ci.
Elle portait un plateau où se trouvaient, à côté des mets, une carafe d’eau et un verre.
Elle me salua, posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit,
versa de l’eau dans le verre et me fit boire.
Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Vous avez dormi, il faut vous nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger.
Sa blouse était ouverte sur le haut et à chaque bouchée,
je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins.
Sous sa blouse, ses cuisses étaient gainées de bas sombres.
- On m’a dit que vous aviez apprécié notre service de nuit.
Cette infirmière était aussi sinon plus désirable que la première
J'étais pratiquement réduit à l’état de légume mais je mangeais tout.
Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de moi
- Il paraît que vos reflexes fonctionnent bien. Cela ne peut que nous faire espérer un rétablissement rapide.
Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins.
Puis, elle déboutonna legerement sa blouse,
découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées.
Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes.
Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement
pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles.
Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main.
Je poussai un gémissement.
Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient
de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire.
Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur,
puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base.
Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge,
mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis,
et elle abandonna ses mouvements buccaux.
- Vous réagissez bien aux stimuli. Je pense que vous vous remettrez rapidement.
Là-dessus, elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds
Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux.
Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes.
Elle ne portait pas de culotte. Elle remonta sur moi à genoux,
sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres,
puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve
et s’empala sur toute la longueur du membre.
J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre
tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes.
Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre.
J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue…
Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière
Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud.
Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles
qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait.
Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection.
Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter.
- Vous savez, dit-elle, la volonté constitue cinquante pour cent du chemin.
- Même si vous êtes faible, même si vous souffrez, vous devez persévérer.
- Votre volonté, nous sommes là pour lui répondre et vous remettre en forme.
Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu, dans la convalescence.
(E)
La secretaire entra dans la remise, et vint vers moi, arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, la secretaire poussa un petit soupir, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet d ...

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assistance logicielle


Ce logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Eva la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux noirs, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine à dissimuler une poitrine généreuse , Elle s'approcha et vint se placer debout près de moi, à ma droite afin d'accéder à mon clavier d'ordinateur et visualiser l'écran. C'est alors que je sentis sa poitrine contre mon bras. J'ai eu un petit sursaut d'excitation.
Je n'ai pas bougé, elle était en train de frotter son sein contre mon bras. J'ai accompagné le mouvement, en promenant mon coude le long de la douce rondeur, et j'ai entendu Eva pousser un petit soupir de contentement. à l'occasion d'une question, j'ai tourné la tête franchement dans sa direction. elle avait la main sur son autre sein et le caressait délibérément à travers sa chemise, tout en affectant de ne regarder que l'ordinateur,
j'ai cette fois-ci osé placer ma main sur son sein. J'ai commencé à le caresser doucement à travers son chemisier, le pressant doucement, j'entendais nettement les petits soupirs de plaisir se glisser dans la conversation.

Je me plaçais derrière elle, et je posais mon autre main sur son deuxième sein. Elle s'est aussitot positionnée face à l'écran, les mains sur le clavier... me laissant libre de lui pétrir ses belles poitrines. Je promenais délicatement mes mains le long de ses seins, puis les empoignais et les serrais doucement, et recommençais. J'écrasais les tétons à travers le vêtement, provoquant des violents soupirs de la part de Christa. Pendant tout ce temps, nous n'avions cessé de parler de programmation...Elle a soudain posé une main sur la mienne, et a commencé à me guider dans son chemisier. J'ai aussitôt plongé les deux mains dans l'échancrure, et j'ai recommencé mon massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sans la barrière du tissu. Anna a déboutonné un peu son chemisier et l'a écarté, révélant ainsi son joli soutien gorge blanc qui enserrait ses seins bronzés. J'ai continué à les pétrir, les frottant l'un contre l'autre, les déplaçant en tout sens, arrachant à chaque fois un long ronronnement de plaisir. Enfin, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j'ai délicatement écarté le soutien-gorge et libéré ses gros seins qui tressautèrent comme s'ils étaient contents de s'échapper. Les tétons étaient marron foncés, bien durs, avec une large aréole à la base. Sans aucun tissu entre eux et moi, je pouvais maintenant les palper, les caresser, les tortiller et les chatouiller à loisir. Anna s'est renversée sur sa chaise avec un véritable gémissement de plaisir. Elle était affalée sur sa chaise, la tête renversée en arrière, les yeux fermés,
laissant échapper des gémissement continus de plaisir au gré de mes caresses. A un moment elle changea légèrement de position écartant très légèrement les jambes, je plaçais ma main devenue impatiente sur l'intérieur de sa cuisse gauche, à hauteur du genoux. Cette caresse magique changea son attitude , elle poussa un long soupir de plaisir, relevant la tête, cambrant son corps et écartant plus largement ses jambes. Je bandais terriblement.

Soudain, elle se dégagea et m'échappa. Elle se diriga vers la porte du bureau, elle donna un tour de clé. Puis d'un geste prompt elle se débarrassa de sa petite culotte noire qu'elle jeta négligemment sur mon bureau, Je la laissais revenir vers moi, toujours assis sur mon fauteuil, m'écartant du bureau. Elle vint vers moi, me fixa dans les yeux puis caressa mon pantalon a hauteur de mon sexe dur comme une barre, elle défit ma ceinture et fit glisser la fermeture éclair de mon pantalon. elle se positionna sur moi, prenant mon sexe à pleine main en le dirigeant à la verticale. Et elle s'enfonça lentement sur mon pieu. Elle guida ma queue tendue à l'extrême, mon gland turgescent glissait entre ses nymphes avec un léger mouvement de va et vient . Je continuais le mouvement du gland dans son puit maintenant mouillé et ruisselant.
d'un coup, n'y tenant plus, elle s'enfonçait sur mon sexe jusqu'au fond. Elle laissa échapper un cri, elle se laissait coulisser maintenant à un rythme beaucoup plus soutenu, j'avais dégrafé son soutien-gorge pour palper ses seins dénudés dans son corsage ouvert. Le rythme de mes coup de queue s'accéléra encore, mon bas ventre claquait contre le sien, nos halètements réunis devenait de plus en plus rapprochés.. Ma queue, gorgée de sang avait atteint sa taille maximum. Je sentis la jouissance et l'orgasme monter en moi, je déchargeais alors à quatre reprises, je sentis les spasmes de son vagin sur mon sexe encore tendu et devenu hyper sensible que je continuais à faire aller et venir en elle plus doucement.
Lentement elle se retira. Elle attrapa sa culotte et quelques Kleenex pour recueillir la semence qui s'écoulait le long de ses cuisses, remis tant bien que mal de l'ordre dans sa tenue et quitta furtivement le bureau me jetant un regard complice.
Quelques jours plus tard ma secrétaire était de retour, bronzée, en pleine forme.
- Ca été l'intérimaire ?
- Oui très bien , vous pouvez la retenir pour vos prochains congés.
assistance logicielle (E)
Ce logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Eva la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux noirs, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine &ag ...

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pas le temps ?


Je prends possession de ton bureau, débarrassé de tout le superflu et mon regard de tigresse en furie se plante dans le tien. Dans l'agitation qui m'anime mon chemisier a glissé, découvrant la naissance de mes seins, des gouttelettes de rage perlent entre leur sillon !
- J'attends toujours le soi-disant joli mail !
- ha oui ? pas le temps ?
- Tiens ! il reste bien un objet ou je ne sais quoi te balancer à la figure !
- et le p'tit coup de fil ? pas le temps non plus ?
- là c'est toi que je vais balancer du fauteuil...
ma jupe droite largement fendue est remontée le long de mes cuisses offrant à la vue des curieux la délicate dentelle de ma petite culotte.
- Eh ! Regarde moi ! je suis sur toi, et en plus à moitié nue ...
- furieuse du temps qui passe et que tu ne prends jamais !
- des phrases que tu lances, quand tu as le temps et que tu oublies L'instant d'après....
- Alors ! Monsieur le lapin pressé, qui n'avez jamais le temps ...
- Vous êtes maintenant prisonnier sous mon corps, là ... sous les débris de ma colère
- Je vous tiens ! et ne vous relâcherez qu'après vous avoir fait rageusement l'amour...
- là ! ici ! et maintenant !!!!!
- Exécution ! ... ... ...
- A la bonne heure ! ... ... ... Voilà
le temps de remettre de l'ordre à mes vêtements et de passer une main dans mes cheveux, je me lève, vous laissant exsangue sur le sol.
Je claque la porte vitrée, je traverse le couloir en souriant à vos collaborateurs. Le taxi est en bas...
Je repars !

Nathalie Racine
pas le temps ? (E)
Je prends possession de ton bureau, débarrassé de tout le superflu et mon regard de tigresse en furie se plante dans le tien. Dans l'agitation qui m'anime mon chemisier a glissé, découvrant la naissance de mes se ...

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ascenseur bloqué


La jeune femme s’adossa contre la paroi de l'ascenseur bloqué. Des gouttes de suée commençaient à perler de son front.
- Ca ne va pas ? lui demandai-je
- Oh Monsieur, excusez moi, Je… Je suis… Claustrophobe…
Elle était toute blanche. Elle avait ouvert un bouton de sa veste et se passait la main sur le cou pour se détendre.
- Est-ce que… Est-ce que je peux faire quelque chose ?
Je me plaçais derrière elle et commença à lui masser le cou. Elle semblait se détendre
- Ca va mieux ?
- Oui ... Merci !
- Je continue ?
- Oui… S’il vous plaît…
Je me rapprochais encore plus d’elle. Ma bouche était toute proche de son cou. Elle respirait très fort. Son haleine était chaude et rassurante. Elle se sentait mieux, visiblement. Elle commençait à se détendre. J'avais maintenant mon ventre collé contre son dos. Elle se serra un peu plus contre moi et laissa échapper un petit soupir de contentement.
- Vous êtes très… efficace, Monsieur.
Son odeur me rendait fou. Je penchais la tête et posais légèrement mes lèvres sur sa nuque.
- Continuez ... Merci…
Elle se laissa faire et elle reprît son geste de se caresser le cou avec ses deux mains cette fois. Tout en continuant de l’embrasser dans le cou, l’une de mes mains s’aventurait maintenant plus bas, sur ses hanches puis remontait plus avant, à la rencontre des ses deux seins. Sous mes doigts, ses seins se durcirent immédiatement. Elle soupira à nouveau et se frotta un peu plus contre moi. Elle retira la pince dans ses cheveux qui tombèrent aussitot sur ses épaules. Je passais mes mains tantôt dans ses cheveux, tantôt sur sa poitrine. Elle se frottait de plus en plus à moi. Cela semblait la rassurer, ou plutôt, l'exciter.
Elle se retourna brutalement ... m'embrassa sur les lèvres puis me déboutonna hâtivement les boutons de ma chemise. Elle m'enleva ma veste qui rejoignait son tailleur sur le sol de la cabine. Sur ma poitrine nue, elle passa ses lèvres de manière sensuelle, s’attarda sur les tétons durcis les suçant lentement et habilement. Puis ayant perdu toute retenue, elle sortit mon sexe déjà bien raide de mon pantalon et, de ses deux mains, la serra doucement et délicatement. Elle baissa entièrement sa culotte et fit glisser sa jupe sur le sol. Elle dirigea mon sexe vers sa chatte trempée. Je m’enfonçais doucement en elle, lui soulevant une jambe pour qu’elle se cramponne à moi. Elle poussa des petits cris. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides. La cabine de l’ascenseur commença à bouger. Son corps tremblait de partout. Des gouttes de sueurs le recouvraient entièrement. Ses cheveux étaient en bataille. Ses yeux étaient hagards. Sa bouche dégoulinait de rouge à lèvres. Je m'enfonçais d’un coup et éjaculais au fond de son ventre. Elle s’adossa contre la paroi et ferma les yeux.
- Oh merci Monsieur ! Je crois que je vais mieux !
ascenseur bloqué (E)
La jeune femme s’adossa contre la paroi de l'ascenseur bloqué. Des gouttes de suée commençaient à perler de son front.
- Ca ne va pas ? lui demandai-je
- Oh Monsieur, excusez moi, Je… Je suis ...

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dans l'arrière bureau


Il est venu contre moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma jupe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le nylon de ma petite culotte. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter, craignant que nous n'allions trop loin. Mais il ne s'arrêtait pas ! Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte.
- Mon Dieu ! nous nous laissons emporter.
- Je m'arreterai dès que vous me le direz. .
Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, il semblait venir de si loin, paraissait si profond. J'avais trop besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je gémissais très fort. Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée.

Je ne bougeais pas. Je le laissais faire, je sentais ma culotte se soie se mouiller sous ses caresses intrusives. je sentais la chaleur de son corps tout contre le mien. Sa main maintenant parcourait mon ventre et remontait doucement vers mon aisselle, provoquant des frissons. Ses doigts se promènaient sur mon bras, remontaient vers mon cou, caressaient mon oreille puis mes cheveux, sensations délicieuses. Il glissa ses mains sous mes épaules et me serra contre lui. Je sentis mon bassin onduler au rythme de ses baisers, j’avais envie qu’il me penetre. Je sentais son sexe chercher l’entrée de mon puit, je glissais ma main pour l'aider. Son sexe était est chaud, gros, gonflé, prêt à exploser, je le tenais bien en main et j’en profitais pour promener son gland sur mes levres ouvertes, c’était bon. Puis, j'avançais un peu mon bassin pour lui faire sentir que j'étais prête. il commenca aussitot à pousser et à me pénétrer, une pénétration puissante, lente, je sentais mes chairs qui s’écartaient, j’aimais cette possession de mon corps par cet homme.

J’ai relevé les genoux pour mieux le sentir et pour qu’il puisse aller loin en moi. Il allait et venait, je sentais son bassin venir au devant du mien, pubis contre pubis, imbriqués l’un dans l’autre. J'étais trempée, je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses.
Je sentis son gland buter contre mon utérus tellement il me pénètrait loin et pourtant j’avais envie de lui donner encore plus,
je relèvais les jambes et je les nouaient derrière ses reins. Mon bassin vint à sa rencontre chaque fois qu’il écartèlait mon sexe,
je sentais ses testicules qui frappaient mon entre jambes. Que c’était bon, mais que c’était bon…
Nos corps en sueur qui s’embrassaient, qui s’embrasaient qui partaient ensemble à la recherche du plaisir, dans la communion de la jouissance. Je sentais le plaisir monter de mes jambes, de mes reins de mon sexe, je sentais cette vague, cette déferlante qui allait me déborder. Lui aussi sentait que le plaisir montait en moi, son sexe s’est fait encore plus dur à l’intérieur de moi, je me sentais complètement ouverte par ce pieux de chair qui me possèdait entièrement.
Son rythme se fit plus rapide, il m’entraîna dans un plaisir indescriptible. Je criais mon plaisir, je le griffais dans le dos, ca y est, il jouissait, je le sentis qui éjaculait, qui inondait mon vagin, nous ne faisions plus qu’un dans la jouissance. Petit à petit, nous avons repris notre souffle, toujours enlacés, grisés. Puis, nos corps se sont séparés à regret. Je suis venue me blottir contre lui, la tête dans son cou, je l’embrasse doucement là ou la peau est encore douce, juste sous la barbe dure. Il a glissé son bras autour de mes épaules, j’ai glissé une jambe entre les siennes et c’est la tête dans les étoiles que nous avons trouvé le sommeil.
dans l'arrière bureau (E)
Il est venu contre moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très ...

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au bureau


je me suis posté derrière elle, devant l'ecran de lecture, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, les bras autour de sa taille. Lise, ma nouvelle secrétaire se détendit et sa respiration se fit plus profonde. je glissai une main sous son T-shirt pour atteindre son soutien-gorge, je commençai à caresser ses poitrines souples. la chaleur monta à ses joues, la faiblesse s'installa dans ses jambes. L'une de mes mains descendit le long de son ventre, se glissa sous l'élastique de la robe,
- Ecoutez, je ne peux pas me concentrer si vous continuez, me dit-elle à bout de souffle.
je fis pénétrer en elle un doigt, lentement, en pinçant l'un de ses seins à travers le soutien-gorge. Lise poussa un long gémissement, se cambra, puis essaya à nouveau de se concentrer sur les mots écrits. je me mis à dégrafer son soutien-gorge, Je commençais à la sentir s'abandonner, fragile, dépendante.
- Vous en êtes où ? lui demandai-je
Elle chercha à me balbutier une réponse incompréhensible, mes doigts se mirent à la fouiller de façon plus franche. Elle poussa un cri, écarta d'un geste souris et clavier, et s'accrocha à la chaise pour se cambrer au maximum. J'avais du mal à garder mes doigts en elle, mais elle ne tarda pas à avancer le bassin pour que je puisse aller plus au fond. La main en coquille sur son sexe, je commençai à la branler activement. Lise se laissait aller, je la sentais offerte sous mes mains, son corps bougeant de lui même, ses halètements se faisant de plus en plus débridés, Elle jouit alors en retenant un peu ses cris, secouée par ses spasmes, Nous avons alors échangé un sensuel baiser, mes doigts toujours en elle.
- Je n'en peux plus ! Vous m'avez poussée à bout ! Je suis à vous, je suis prête !
c'était bon, pour moi et pour elle, Je la pris sur la table, je la baisais. Je bougeais en elle, de plus en plus vite, elle ondulait sous moi et nous cherchions tous deux à nous accorder. Je n'étais plus très loin de l'apothéose, et elle non plus je pense. Quand j'ai vu ses mains chercher à s'accrocher à quelque chose, je les ai prises dans les miennes et nous avons joui presque ensemble, elle juste après moi. je la regardais dans les yeux en gémissant alors que ma semence tapissait ses parois intérieures. et elle partit dans une série de cris ponctuant son plaisir. Après un long moment passé à nous embrasser, j'ai glissé à côté d'elle, nous nous sommes essuyés et elle s'est lovée dans mes bras. Je l'ai alors invitée
- Venez, je vous emmène chez moi !
au bureau (E)
je me suis posté derrière elle, devant l'ecran de lecture, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, les bras autour de sa taille. Lise, ma nouvelle secrétaire se détendit et sa respiration se fit ...

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effeuillage


La main de Jeanne habile, entre pouce et index,
attaque mon pantalon en peu de temps ouvert.
je relève sa robe pour permettre à mes doigts
de se frayer passage sur cette peau si fine
dans la fine dentelle de ses dessous humides.
Jeanne a tôt fait de saisir mon vit et lui faire prendre l'air
Quand cette chose est dehors, elle appartient au monde
elle n'est plus à nous-même mais à la terre entière
Pénétrant d'un seul coup la tiédeur de l'atmosphère
elle devient le pivot de rotation de tout l'univers
Sentant s'ouvrir à moi sa douce intimité
ma main s'invite à la douceur des chairs.
Le sang afflux si fort dans nos parties secrètes,
que le rythme de nos cœurs affolés nous chavire
déferlante vague au-dedans de nos corps enlacés.
À terre nous voici ; étendus dans la paille et l'odeur animale.
Nos bouches sont collées, l'une sur l'autre et l'autre sur elle ;
langues mouvantes dans la bouche de l'autre.
Notre désir s'exprime par les bouches et les ventres ;
deux points d'énergie pure qui annihilent les corps
pour n'en plus faire qu'un pôle où le plaisir explose...

Glissant le long de ma cuisse : gluant et rétréci,
comme pas fier de lui, le voici oublié et vite emmitouflé dans son nid de coton.
L'intimité de Jeanne aussi est bien vite à l'abri entre ses cuisses chaudes,
recouverte par l'étoffe de ses jupes rabattues.
effeuillage (E)
La main de Jeanne habile, entre pouce et index,
attaque mon pantalon en peu de temps ouvert.
je relève sa robe pour permettre à mes doigts
de se frayer passage sur cette peau si fine
dans la fine dentelle de ...

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timidité


Nous avions fait connaissance au bureau ou j'avais effectué un stage Nous imaginions chacun comment pouvait être l'autre Il m'avait donné rendez vous chez lui a 19 heures L'homme qui m'a ouvert, était d'âge mûr, cheveux déjà gris mais plutôt bien conservé pour son âge. Il me proposa un café. et m'invita à m'asseoir sur le canapé Nous nous somme regardés un moment sans parler J'ai senti que ce n'était pas lui qui allait lancer les hostilités.
- Vous permettez que je retire ma veste ?
je retirais ma veste ... Je m'approchais de lui. Il me regardait sans bouger Je lui posai d'entrée un délicieux baiser sur les lèvres. Quelque peu désarçonné, il me fixa avec des yeux émerveillés, reconnaissants je ne portais rien sous mon chemisier, Il devait d'en rendre compte car il regardait avec insistance cette partie de mon anatiomie et je m'amusais à sentir son regard qu'il essayait de faire discret sur mes seins. Je lui pris doucement la main et la posa sur mon sein. Il le caressa à travers la soie.
- c'est doux ! ... vous aimez ?
Il maintenait ses doigts sur mon corsage. Je défis un premier bouton.
- vous voulez continuer ? lui demandai-je
il s'appliqua à poursuivre le travail commençé degageant mes deux belles pommes, lourdes et fermes à la fois, Il pris et caressa mes seins. L'entrée en matière était faite.
Nous avons partagé un repas arrosé qui s'est terminé par des baisers beaucoup plus appuyés. Il m'invita à le suivre Nous sommes arrivés directement dans sa chambre Pendant qu'il me deshabillait, je cherchais ma nuisette dans mon sac Je la lui donnais en lui suggerant de me la mettre lui-meme Il s'empara de la nuisette, la passa au dessus de ma tête et l'ajusta sur ma poitrine. une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide le haut épousait la forme de mes seins comme un soutien gorge. Ses doigts glissaient sur le satin avec de longs va et vient puis il descendit sa main plus bas, juste sur ma fente.
Le tissu devenait manifestement mouillé. Je ne me pressais pas. Je commençais à soupirer sous ses caresses. Il glissa ses doigts sous la soie et commença à me masturber. Je gemissais. Il écarta le satin dévoilant ma vulve toute mouillée. Il introduisit son index et le fit coulisser de plus en plus profondemment. Il alternait caresses profondes et sensuelles. jusqu'à mon orgasme impressionnant. Je le regardai alors avec insistance
- Je suis prête
Je lui pris alors la main pour que nous nous glissions dans son lit.
timidité (E)
Nous avions fait connaissance au bureau ou j'avais effectué un stage Nous imaginions chacun comment pouvait être l'autre Il m'avait donné rendez vous chez lui a 19 heures L'homme qui m'a ouvert, était d'âge ...

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Laisse moi promener mes mains délicatement le long de tes seins, laisse moi les serrer doucement, et recommençer. Je sens une douce chaleur. j'aime les palper, les caresser à loisir. Tiens toi contre moi ton cou contre mes levres, tes yeux fermés, laissant échapper des gémissementau gré de mes caresses.

Je promenais mes mains délicatement le long de ses seins, puis les serrais doucement, et recommençais. sentant cette fois-ci une douce chaleur. je pouvais les palper, les caresser à loisir. Elle était contre moi son cou contre mes levres, les yeux fermés, laissant échapper des gémissementau gré de mes caresses.
(E)
Laisse moi promener mes mains délicatement le long de tes seins, laisse moi les serrer doucement, et recommençer. Je sens une douce chaleur. j'aime les palper, les caresser à loisir. Tiens toi contre moi ton cou contre ...

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la secrétaire intérimaire


Ce logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Anna la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux blonds, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine à dissimuler une poitrine généreuse , Elle s'approcha et vint se placer devant l'ordinateur afin d'accéder à mon clavier et visualiser l'écran. C'est alors que je sentis sa poitrine contre mon bras. J'eu un petit sursaut d'excitation. Je n'ai pas bougé, elle était en train de frotter son sein contre mon bras. J'ai accompagné le mouvement, en promenant mon coude le long de la douce rondeur, et je l'ai entendue pousser un petit soupir. j'ai tourné la tête franchement dans sa direction. elle avait la main sur son autre sein et le caressait délibérément à travers sa chemise, tout en affectant de ne regarder que l'ordinateur, j'ai cette fois-ci osé placer ma main sur son sein. J'ai commencé à le caresser doucement à travers son chemisier, le pressant doucement, j'entendais nettement les petits soupirs se glisser dans la conversation de ma jolie secrétaire remplaçante.
Elle me laissait libre apparement de lui caresser ses belles poitrines. Je promenais donc délicatement mes mains le long de ses seins, en jouant doucement avec les tétons à travers son corsage. Malgré quelques soupirs très prometteurs, nous ne cessions pendant tout ce temps de parler de programmation... jusqu'à ce que ... une de ses mains se pose sur la mienne et commence à la diriger dans l'échancrure de son chemisier. Voyant là un feu vert à mes audaces, j'ai aussitôt plongé les deux mains dans le décolleté, et j'ai recommencé mon doux massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sous la barrière du tissu. Prise de quelques chaleurs, Anna a déboutonné un peu son chemisier et l'a écarté, révélant ainsi son joli soutien gorge blanc qui enserrait ses seins gonflés. J'ai continué à les pétrir, les frottant l'un contre l'autre, les soupesant, lui arrachant à chaque fois un long ronronnement de satisfaction et, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j'ai délicatement écarté le soutien-gorge et libéré ses deux beaux seins qui tressautèrent comme s'ils étaient contents de s'échapper, avec des tétons, bien durs, une large aréole à la base. Désormais libres de tout tissu, je pouvais maintenant les palper, les caresser, les tortiller et les chatouiller à loisir.
Anna se renversa alors sur sa chaise dans une position de quasi abandon, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement continus au gré de mes caresses. Puis elle changea légèrement de position écartant très légèrement les jambes, je plaçais alors ma main devenue impatiente sur l'intérieur de sa cuisse gauche, à hauteur du genoux. Cette caresse magique changea son attitude, elle poussa un long soupir, releva la tête, en cabrant son corps et en écartant plus largement ses cuisses. Je bandais affreusement et elle s'en aperçut. Cette vision déclencha la suite de l'histoire
D'un coup, elle se dégagea de mon emprise et se diriga rapidement vers la porte du bureau à laquelle elle donna un tour de clé. Elle revint vers moi ... me fixa puis, d'un geste prompt, se débarrassa de sa petite culotte qu'elle jeta négligemment sur mon bureau. Me fixant toujours dans les yeux, elle caressa le relief indécent de mon pantalon, commença à défaire ma ceinture, à ouvrir la fermeture éclair et finalement libéra un sexe énorme, dur, pointant à la verticale. Sans attendre, elle se positionna sur moi, prenant mon sexe à pleine main en le dirigeant vers le sien, puis elle s'enfonça lentement sur mon pieu tendu à l'extrême, mon gland commença à glisser entre ses nymphes avec un léger mouvement de va et vient dans son puit maintenant mouillé et ruisselant. Elle s'enfonça sur mon sexe jusqu'au fond, laissa échapper un cri, et se laissa coulisser ensuite à un rythme beaucoup plus soutenu. J'avais dégrafé son soutien-gorge pour palper ses seins dénudés dans son corsage ouvert. Le rythme s'accéléra encore, nos halètements réunis devenait de plus en plus rapprochés.. Ma queue, gorgée de sang avait atteint sa taille maximum. Je sentis la jouissance et l'orgasme monter en moi, cela n'a pas tardé,
je déchargeais alors à quatre reprises, et je sentis les spasmes de son vagin sur mon sexe encore tendu et devenu hyper sensible. Lentement elle se retira, attrapa sa culotte et quelques Kleenex pour essuyer ma semence qui s'écoulait le long de ses cuisses, Elle remis tant bien que mal de l'ordre dans sa tenue et quitta furtivement le bureau me jetant un regard complice.
Quelques jours plus tard ma secrétaire titulaire était de retour, bronzée, en pleine forme.
- Comment a été l'intérimaire ?
- Très bien, vous pouvez la retenir pour vos prochains congés.
la secrétaire intérimaire (E)
Ce logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Anna la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux blonds, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine & ...

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au gré de ses caresses


Il s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il découvrait pour la première fois mes poitrines. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge bien visible. Il promenait ses mains délicatement le long de mes seins, puis les serrais doucement, et recommençais. sentant cette fois-ci une douce chaleur. Il pouvait les palper, les caresser à loisir. Il était contre moi, mon cou contre ses levres, je fermais les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de ses caresses. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Ses deux mains chaudes se posaient en coupe sous mes seins et les pressaient tendrement. Il plaqua ensuite ses doigts sur mes mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Il recommenca plusieurs fois, empoignant cette fois mes seins à pleine main. Je sentais ses mains chaudes qui pressaient légèrement mes volumes mammaires, les palpait doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapprochait l'un de l'autre. Il les lâchait ... ils revenaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fit sortir mes pointes. Il enfonçait ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectua de petits cercles concentriques et écrasa mes tétons. Je ressentais des ondes de chaleurs. Ses doigts n'en finissaient pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambrais pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. J'étais au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entendais geindre. Immobile, j'essayais de respirer lentement et profondément, ma vulve était envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Il pétrissait mes seins, les frottait l'un contre l'autre, les déplaçait, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpait, les caressait. J'étais affalée sur ma chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de ses caresses.
au gré de ses caresses (E)
Il s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il découvrait pour la première fois mes poitrines. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, lég&egrav ...

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sensations


Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions sur le canapé. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti son pantalon augmenter de volume et commencer à appuyer sur le bas de mon ventre. Je me laissais aller à imaginer, tout en me collant contre lui, l'effet de son enorme sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu dessus.
Pierre était veuf depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés autour d'une table libre, il était seul comme moi, il adorait danser. j'ai tres vite accepté de danser avec lui. je le trouvais charmant, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir.
J'étais émoustillée, au point de renverser un verre sur moi. Il était tard. Pierre m'a proposé de continuer la soirée dans sa chambre. Je me suis laissée entrainer. J'étais debout devant le lavabo et essayais d'effacer la tache. Je me sentais plutôt instable et j'ai senti Pierre se tenir derrière moi pour m'aider à garder mon équilibre pendant que je frottais ma robe. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement une grosseur manifeste sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, je me suis alors retournée .... et sans me laisser le temps de réagir les lèvres de Pierre se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui et lui ai dit
- retournons au salon de l'hôtel, sinon nous allons faire des betises
Il a chuchoté des excuses à mon oreille, me disant avoir eu du mal à se contrôler après m'avoir serrée contre lui quand nous dansions. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus. Je me suis convaincue qu'il ne s'agissait que d'un peu de flirt. Juste un petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise.
Cet homme était magnifique. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les soupeser, les presser l'un contre l'autre J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché vers moi et s'est mis à sucer si delicieusement mes pointes que je ne trouvais plus la force de le faire cesser. rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité.
- Pierre, J'ai si chaud... je ne devrais pas être ici !
Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte.
- Mon Dieu ! nous nous laissons emporter.
- Je m'arreterai dès que tu me le diras. .
Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Je me suis allongée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée.

Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland.
- Oh Pierre !
- S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi quelques instants...
- Oui ... mais tu t'arretes !
- Oh oui ! ... comme çà ! .... c'est bon ! .... je t'en prie, juste un petit moment !
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai protesté encore,
- non, Pierre s'il te plaît!, arrête, je t'en supplie !
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien.

J'ai recommencé à protester du bout des lèvres quand j'ai senti son énorme barre aller encore plus loin, au fond de mon vagin. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la soirée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir !

Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. C'est alors que je l'ai senti. sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi.
- Oh Pierre ! tu..tu...m'avais dit..que tu te..retirerais...!
- Helene ! C'est si bon !
- oh oui ... je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi... tu me remplis .... tu m'envahis .... c'est bon !
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps.

Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... J'ai commencé à pleurer. Pierre l'a vu et m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée.
- Tu m'avais dit que tu te retirerais.....tu me l'avais promis ! ,
- Hélène je suis désolé, tu étais si désirable, si excitante... Je n'aurais jamais imaginé que tu me laisserais !
J'ai fait une pause et l'ai regardé. Pierre m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre,
lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- je sens que je vais jouir encore, tu veux que je me retire ?
Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié,
- non, restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus. Quand il est entré dedans, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.

Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide,
entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.

j'ai aimé la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulvemon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
sensations (E)
Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions sur le canapé. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti son pantalon augmenter de volume et commenc ...

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ma tigresse


Les yeux fixés sur moi, gémissante, empalée sur mon sexe bandé, elle se donne à son plaisir. De mon instrument, elle joue toutes les gammes. De sa voix émane les doux gémissements des plaisirs légers et les hautes octaves des gemissements enfiévrés, plaisirs brusques, pulsions animales d’une véritable tigresse.
mon organe gonflant en son séant, la friction se créant, le plaisir et le désir grimpant, elle ne cesse de gémir et de jouir sur mon sexe. Rageusement, elle se donne un plaisir intense. Mon pieu enfoncé en elle, elle lâche un grand cri sous l’assaut qu’elle n’a pas vu venir. Et c’est l’explosion simultanée, nos organes flanchent, ne pouvant plus plus contenir l’énorme pression qui, j'explose mon nectar blanc gicle dans sa chair, comme une bouteille de champagne secouée violemment, dont le bouchon saute et qui totalement, se vide. c’est le double plaisir d’une explosion en elle et hors d’elle.
Un peu plus tard, nous nous retrouvons dans la chambre d'hôtel, nos deux corps sont nus dans les draps en desordre. Deux corps délivrés de leurs démons tentateurs dans une séance d’exorcisme endiablée.
Au matin le soleil est entré par la fenêtre et a jeté ses rayons chauds sur nos corps encore humides de nos plaisirs torrides.
ma tigresse (E)
Les yeux fixés sur moi, gémissante, empalée sur mon sexe bandé, elle se donne à son plaisir. De mon instrument, elle joue toutes les gammes. De sa voix émane les doux gémissements des plaisir ...

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Sursaut. Décharge. Flash


Il pénètre mon corps. Sursaut. Décharge. Flash. je mouille sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchent les siennes et j'attrape sa bouche. Il se presse contre moi à chacun de ses mouvements, infiltrant son membre dans mes chairs distendues, s'approchant un peu plus du moment sublime. Mes jambes emprisonnent son corps et l'attirent en moi chaque fois qu'il s'en éloigne. Nos deux corps comme des vagues vont et viennent sur le lit, éclaboussent les draps de sueurs, de désirs.
Il va plus loin, plus profond et plus fort. Je monte irrémédiablement. Je vais jouir d'un instant à l'autre. Je viens Et soudain, l'éclair. Je tremble, je vibre, me contracte, je jouis. Un gigantesque frisson se met a m'envahir tout le long de l'échine et s'installe dans ma nuque, je sens mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... Il le sent et ... d’un coup de rein, il s'enfonce au plus profond de moi, en poussant un long râle, puis il s’immobilise au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contractent longuement. Il jouit en moi. Je le sens se répandre. J'ai joui aussi, une douce brûlure. Il se détend, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête cherche la tiédeur de mon épaule. Il m'embrasse le cou. Je lui caresse les cheveux. Tendresse. son sexe glisse doucement en moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé un merveilleux amant.
Il se redresse lentement, se retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tente de le retenir Il n’en finit plus de sortir, il s’arrête, une seconde, deux... et de nouveau il reprend vigueur, entre en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense se met a irradier mon dos, mon pouls bat de plus en plus fort dans mes tempes... Il s’immobilise, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage se crispe... Encore une fois, tout mon corps est ébranlé, je sens mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonte lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressort. C’est violent, et bien vite, le plaisir est là, balaiyant tout sur son passage. En rythme, je l’agrippe, le suçe, le serre, de plus en plus fort, je m’entends émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquent une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continue à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se font saccadés et encore plus brutaux :
Son plaisir s’annonce, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’ai chaud... Je suis en nage…Je halète, je soupire, il ahane, ses yeux sont rouges et exorbités, je gémis, il va et viens furieusement, j’enroule mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perle sur son front et roule entre ses sourcils...J'hurle mes encouragements. Il me répond d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tend, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sens alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repand dans mon ventre, quelques secondes, et il retombe lourdement sur moi, et dans mon oreille, il me souffle :
“Oh... Marie...”
il reste affalé sur moi, amorphe... il m'a remplie






















D’un coup de rein, il s'est enfoncé au plus profond de moi, en poussant un long râle, puis il s’est immobilisé au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Un gigantesque frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi...
il s'est redresse lentement, s'est retire doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentais de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’est arrête, une seconde, deux... et il est de nouveau entré en moi, dans un mouvement long et puissant, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes...
Il s’est immobilisé, son sexe dur profondément fiché dans mon ventre... Son visage s'est crispé... Encore une fois, tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe. Il remonta lentement, pour se planter une nouvelle fois dans mes entrailles, et encore, et encore, et de plus en plus vite, m’arracheant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’etait violent, et bien vite, le plaisir fut là, balaiyant tout sur son passage.
En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquaient une forte houle de sensations délicieuses dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, il allait et venait furieusement, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant,
et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et il retomba lourdement sur moi, et dans mon oreille, il souffla :
“Oh... Marie...”
il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie
Sursaut. Décharge. Flash (E)
Il pénètre mon corps. Sursaut. Décharge. Flash. je mouille sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchent les siennes et j'attrape sa bouche. Il se presse contre moi à chacun de ses mou ...

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Il s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il découvrait pour la première fois mes poitrines. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge bien visible. Il promenait ses mains délicatement le long de mes seins, puis les serrais doucement, et recommençais. sentant cette fois-ci une douce chaleur. Il pouvait les palper, les caresser à loisir. Il était contre moi, mon cou contre ses levres, je fermais les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de ses caresses. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Ses deux mains chaudes se posaient en coupe sous mes seins et les pressaient tendrement. Il plaqua ensuite ses doigts sur mes mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Il recommenca plusieurs fois, empoignant cette fois mes seins à pleine main. Je sentais ses mains chaudes qui pressaient légèrement mes volumes mammaires, les palpait doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapprochait l'un de l'autre. Il les lâchait ... ils revenaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fit sortir mes pointes. Il enfonçait ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectua de petits cercles concentriques et écrasa mes tétons. Je ressentais des ondes de chaleurs. Ses doigts n'en finissaient pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambrais pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. J'étais au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entendais geindre. Immobile, j'essayais de respirer lentement et profondément, ma vulve était envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Il pétrissait mes seins, les frottait l'un contre l'autre, les déplaçait, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpait, les caressait. J'étais affalée sur ma chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de ses caresses.
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Il s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il découvrait pour la première fois mes poitrines. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, lég&egrav ...

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