![]() | son client (d'après Louise Gabriel)Grands hôtels de Paris. Ces endroits sont pleins d’âmes seules, de corps en manque de caresses. Les couloirs feutrés où les pas s’enfoncent dans la moquette épaisse, l’enfilade de portes closes sur des vies en voyage, le son étouffé de la ville qui fait se sentir hors du temps, le bar où elle donne rendez-vous, les lumières tamisées, les serveurs stylés dont elle ferait bien parfois son quatre-heures pour se mettre en bouche avant le futur client, la musique sirupeuse et presque désincarnée juste là pour meubler les silences ... Elle arrive, dans sa posture forcément séductrice, légèrement provocante. Je comprend instantanément, au regard porté sur moi, qu'elle va m'offrir, de ses mains expertes, de sa bouche veloutée, les mille et une saveurs que je désire tant, me prodiguant ce savant massage venu de territoires lointains. Premier contact, elle me sourit. Nous faisons connaissance, me voilà détendu. Un peu d’alcool, quelques mots doux, et je l'amène vers ma chambre avec l’envie chevillée au corps. Je vais enfin pouvoir chavirer, basculer vers les délices de la chair. De ses mains douces, elle me caresse l’échine, et moi, je ne perd pas de temps. Efeuillage, tissus épars, soutien-gorge, petite culotte sur le sol, fusion de nos corps, pénétration, elle se cambre sous mes assauts répétés et répétés encore. Je glisse doucement dans sa chair, puis bien plus vite, elle gémit de plaisir d’être embroché de la sorte, par tant de frénésie. Et je jouis, et hurle mon bonheur de partir en éclats dans le ventre féminin. J'ai une belle générosité, elle m'en félicite et me remercie en se jetant sur ma queue, elle veux me goûter, me sentir d’encore un peu plus près. Après m'avoir pompé au fond de mes entrailles, elle m'offre sa bouche, une si douce enveloppe, humide et chaude, gourmande à souhait. Elle suce et suce encore ma belle queue, ouvre grand, très grand sa bouche, et elle me branle. Et je jouis, et mon sperme dégouline sur le bord de ses lèvres. Le liquide dessine de jolies traînées blanchâtres aux commissures de ses lèvres. Elle passe sa langue sur ses rebords ourlés, elle goûte avec saveur ma sève chaude, se nourrit de ces giclées de plaisir jusqu’à la dernière petite goutte. A peine remis de ces ébats, elle me laisse en plan Elle est déjà parti faire couler un bain. L’eau bienfaitrice réchauffe sa peau, délie les dernières tensions. Puis nos deux corps à l’unisson dans la mousse onctueuse entament un ballet aquatique. Elle glisse sur moi, au début doucement, presque tendrement, parce que ce client-ci tout particulièrement met ses sens en émoi, j'ai tout pour lui plaire. Et elle prends un soin méticuleux à promener ses doigts dans mes moindres recoins, elle me caresse et me caresse encore, et encore, à n’en plus finir, elle aime, j'aime, je bande, Elle attend avec presque impatience que je daigne lui offrir ma rigidité et elle me fait profiter de la succion appuyée de sa bouche goulue. Mais l’eau du bain se rafraîchit un peu, et je souhaite, elle souhaite passer à des plaisirs plus intrusifs. Sortir à la hâte, enfiler un peignoir pour se sécher le plus rapidement possible et nous jeter l’un sur l’autre. Plus besoin de discours, plus besoin d’explications, de justifications d’aucune sorte, le corps parle tout seul dans le corps à corps tant et tant désiré. Et à peine son enveloppe d’éponge est-elle tombée au sol que je lui agrippe les fesses dans une volonté démesurée de me glisser au cœur de son intimité. Et elle m'offre ses fesses de bonne grâce, avec un réel délice de se faire empaler par cette si jolie queue. Louise Gabriel | son client (d'après Louise Gabriel) (E) Grands hôtels de Paris. Ces endroits sont pleins d’âmes seules, de corps en manque de caresses. Les couloirs feutrés où les pas s’enfoncent dans la moquette épaisse, l’enfilade de portes cl ... |
![]() | tendre geishaUn pan du rideau s'écarte discrètement sur le visage de ma geisha. Une chair blanche aux formes douces, d'une rondeur fragile. Elle est nue, les seins laiteux se dévoilent, toute cette chair ronde et blanche s'étale maintenant sous mes yeux. Nuque pâle, tête inclinée, elle a la grâce de vestale lorsqu'elle sert le thé. Sur sa nuque d’opale s’est posé un délicat pétale, de fleur de cerisier. Elle m'a installé dans cette pièce attenante et s'est absentée, quelques instants seulement. Puis elle vient se glisser sournoisement et s'incruste avec passion contre moi. La pression de sa chair chaude s'intensifie, les pointes de ses seins caressent ma peau sensible. Je caresse les chairs appétissantes, elle bouge légèrement, ses yeux se sont relevés. Mon sexe se gonfle. Mon corps s'agite. Elle m'allonge doucement sur le tatami, me fixe intensément, puis saisit mon pénis, le caresse doucement, le dirige vers ses lèvres intimes et glissantes. Je me sens absorbé dans ses chairs chaudes, mon sexe se gonfle de sang, enserré dans son ventre qui m'enrobe et m'aspire, s'échauffe, et s'agite au rythme des palpitations de mon corps. Je plonge en elle, la pénètre plus profondément, elle resserre et desserre l'étreinte, jusqu'à l'expulsion de mon sperme dans le ventre tout chaud de ma tendre geisha, C'est ainsi que j'ai atteint le wao-kei-sei-jaku, la suprême harmonie, | tendre geisha (E) Un pan du rideau s'écarte discrètement sur le visage de ma geisha. Une chair blanche aux formes douces, d'une rondeur fragile. Elle est nue, les seins laiteux se dévoilent, toute cette chair ronde et blan ... |
![]() | Elle nous enflammait (Jean-Claude)Elle nous provoquait de ses deux seins dressés saillant sous leur soutien tout comme des trésors Ses poses suggestives et tendrement lascives rehaussaient ses atours invitant à l’amour Et son pas balancé qui nous faisait tanguer usait de l’allumette de son casse-noisette Son regard aguicheur embrasait nos ardeurs quand de sa voix enjouée elle nous apostrophait Puis elle nous emmenait dans un coin en retrait commencer sans complexe une partie de sexe Jean-Claude | Elle nous enflammait (Jean-Claude) (E) Elle nous provoquait de ses deux seins dressés saillant sous leur soutien tout comme des trésors Ses poses suggestives et tendrement lascives rehaussaient ses atours invitant à l’amour Et son pas b ... |
![]() | soir de pleine luneRencontre fortuite, insensée, hasardeuse. Une allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Marché conclu. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au plus pressé, explorent, mon dessous de chemisier, mes dessous de dentelles. L'effeuillage est rapide, Il s’approche, me serre contre lui, agrippe mes épaules de ses mains fermes. Il me plaque contre le mur et m’embrasse avec fougue, il enfonçe sa langue autour de la mienne, ses mains glissent sur mes fesses, les pressant fermement puis les écartant. Ses doigts palpent ma vulve, une invite discrète : - Tu es trempée, tu as besoin d'un sexe d'homme ! Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il relève ma jambe. Tendresse et sauvagerie mêlée. Mes rondeurs se dégustent, sa main est sur mon sein. son doigt sous l'élastique de ma fine culotte qui s'écarte et qui tombe, son pantalon qui s'ouvre. Son sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, dirigé immédiatement au bon endroit et sans attendre ... pénètre dans mon nid brulant. Vient le soyeux intense, le charnel infini. Le paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Son sexe s'enfonce, et encore ... et encore ... Ses mains agrippent mes hanches. Son sexe sort puis s’enfonçe à nouveau, va et vient, tantôt lent, tantôt rapide. Je gémis, de plus en plus, le supplie de continuer, encore et encore… Je gémis, de plus en plus fort, il me défonçe, j'en veux plus. Je me redresse, bouche ouverte, haletante, encore plus cambrée. Plus je gémis et plus il se déchaine, plus j'adore. Il me tire encore plus vers lui, sa main pétrit encore plus mon sein, puis pinçe le téton, doucement, puis plus fort. Je me fait baiser ! sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Son sexe gonfle durcit et s'allonge encore dans mon ventre, les va-et-vient ralentissent, il va jouir, Il se contracte, se fige, un cri rauque ... et il gicle, une humeur bien épaisse, bien blanche coule et déborde sur mes cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant. | soir de pleine lune (E) Rencontre fortuite, insensée, hasardeuse. Une allée, une impasse, deux pieds dans la lumière. Sourires, connivence, un plissement de paupière. Marché conclu. Jeux de mains, des doigts qui me touchent, au p ... |
![]() | Elle se positionnaElle se positionna sur moi, s’arrêta un moment, me fixa intensement dans les yeux, avec gourmandise, puis amorça sa descente, centimètre par centimètre, Ses chairs glissantes et chaudes s'ouvrirent sous la pression de mon gland. Un glissement onctueux, une penetration lente. Elle m'absorbait, s'empalait sur moi, je me perdais en elle. Elle remonta un peu pour redescendre un peu plus. Elle suçait ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir, ma verge bandée dans son ventre. Elle se frottait, se soulevait, redescendait. Elle ondulait faisant grossir mon membre qui se tendait en elle. Elle l’aspirait, le tirait, le poussait en jouant de son corps. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Elle se pencha vers moi, ses yeux lumineux me souriaient. Nous nous balançions l’un dans l’autre, nous savourions chaque instant. Elle se soulèva, redescendit, avala mon sexe jusqu'aux bourses. Ses beaux seins ballottaient, je les suçais à la volée, un teton puis l'autre. Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Elle voulait jouir, vite. Elle avala mon corps, lapa avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flattait doucement mon gland. Elle s’enroula, se défit, plongea, se retira. Elle me serra et me dévora, littéralement. Je m’enfonçai en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme Un trait fusa, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... je me libérai en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle, caressant mon gland qui trempait dans mon sperme. Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, assouvis et heureux, | Elle se positionna (E) Elle se positionna sur moi, s’arrêta un moment, me fixa intensement dans les yeux, avec gourmandise, puis amorça sa descente, centimètre par centimètre, Ses chairs glissantes et chaudes s'ouvrirent sous la p ... |
![]() | violentes secoussesDe violentes secousses lui traversent les entrailles... Elle se met à jouir comme une folle, s'empalant profondément sur mon sexe bandé Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, se met à trembler, a un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un feu d’artifice. Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, Elle frissonne, elle tremble..... Tout son corps se met à vibrer. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté, puis se met à se déhancher, à se tortiller, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus ! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. La sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement. Puis elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent. | violentes secousses (E) De violentes secousses lui traversent les entrailles... Elle se met à jouir comme une folle, s'empalant profondément sur mon sexe bandé Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, se met à t ... |
![]() | assauts amoureuxje la regarde prendre son plaisir, La sueur pointe entre ses seins, ses cheveux en bataille s'agitent au gré de ses ruades. Son souffle s'accélère et se transforme a chaque descente en de discrets cris de plaisir. Son coeur s'accélère, en même temps que le mouvement de son bassin. Ses seins s'agitent frénétiquement. Ses joues rosissent ... Je tente de résister a ses assauts, je ferme les yeux, me détend pour durer, durer, et faire que ce moment dure une éternité pour nous deux. J'empoigne sa poitrine transpirante. c'en est trop, la caresse me fait exploser. Je tremble et me fige au fond d'elle. Mon premier jet vient frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Mon flot humide envahit ses muqueuses en vagues chaudes. Ses jambes tremblent, je me déverse en elle en de multiples soubresauts Vidé, épuisé, après tant de luxure, mon sexe diminue de volume. Je sens ma queue qui glisse doucement hors de son ventre, et qui libere un flot de semence sur mes cuisses. Elle ressort lentement, liberant un flot de secretions amoureuses, puis s’échappe totalement, dans un agréable glissement mouillé, accompagné d’un torrent de mon jus qui coule délicieusement entre ses fesses. Elle s'affaisse sur moi, épuisée. Je suis aussi épuisé qu'elle. Je me demande sans vraiment comprendre comment nous en sommes arrivés là | assauts amoureux (E) je la regarde prendre son plaisir, La sueur pointe entre ses seins, ses cheveux en bataille s'agitent au gré de ses ruades. Son souffle s'accélère et se transforme a chaque descente en de discrets cris de plaisir. Son c ... |
![]() | Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant ! Ne te retiens plus ! Vas-y, je te reçois ! Ton corps vibre et se tend ! Oui ! Je te sens ! Ta sève humide se repend dans ma chair en vagues chaudes et c'est bon ! Donne moi tout de toi ! Maintenant ! | (E) Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant ! Ne te retiens plus ! Vas-y, je te reçois ! Ton corps vibre et se tend ! Oui ! Je te sens ! Ta sève humide se repend dans ma chair en vagues chaudes et c'est bon ... |
![]() | service de nuitJ'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans une quasi obscurité Un bruit de froissement de tissu me tira de ma torpeur. Une hotesse de nuit se tenait devant mon lit. Splendide. Elle avait déboutonné sa robe, et reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes. Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et se positionna sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers elle. Et se laissa progressivement enfoncer sur mon sexe dressé tel un mat et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. Penchée vers moi, avec un sourire gourmand, elle s'empalait en me regardant fixement, ses seins ballottaient et réveillaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, elle soulèvait son bassin puis se laissait redescendre pour mieux me sentir glisser sur ses muqueuses, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, J'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin Elle l'absorba petit à petit en surveillant mes réactions Je le vis disparaître entre ses grandes lèvres. Aspiré, sucé, absorbé, digéré, Il s'enfonçait dans du beurre ! Mon penis était en feu, enrobé de ses sécrétions ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, elle remuait sur moi, son vagin coulait sur sur mes bourses. avec un bruit de succion terriblement érotique. Le drap se tachait de nos sécrétions. ses seins ballottaient et exacerbaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, Je pétrissais ses seins, elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement se mit à vibrer, trembler en une série de spasmes ininterrompus, Elle se déchaîna, ses seins ballotterent de droite à gauche elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, elle jouissait au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Elle jouissait sur mon sexe. Elle excitait mes sens. Elle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en pouvais plus. J'accélèrai ! Elle se crispa. Un dernier coup de rein Je ne me retins plus ! Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme gicla en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs prolongeait sa jouissance. Elle s'écroula en sueur. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! En me retirant, ma queue émit un indécent bruit de siphon Elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur une autre hotesse, blonde cette fois-ci. Elle portait un plateau où se trouvaient, à côté des mets, une carafe d’eau et un verre. Elle me salua, posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien. - Vous avez dormi, il faut vous nourrir ! Elle prit place près de moi et me donna à manger. Son corsage était ouvert sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous sa robe, ses cuisses étaient gainées de bas sombres. - On m’a dit que vous aviez apprécié notre service de nuit. Cette hotesse était aussi sinon plus désirable que la première Je mangeais tout. Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de moi. Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement son corsage, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux. Puis, elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle ne portait pas de culotte. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter. Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu. | service de nuit (E) J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans une quasi obscurité Un bruit de froissement de tissu me tira de ma torpeur. Une hotesse de nuit se tenait devant mon lit. Splendide. Elle avait déboutonné sa robe, et ... |
![]() | AlcôveLa nuit est tombée, il vient de se retirer de moi. Entre mes jambes je sens tout l'humide de notre feu, son sperme chaud qui coule doucement entre mes cuisses, son foutre qui m'inonde et coule sur mes jambes, son ardeur bouillante qui m'irradie de chaleur. Immobile, extasiée tremblant encore de plaisir, je reste là, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur a collé mes cheveux sur mon silence. le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir | Alcôve
(E) La nuit est tombée, il vient de se retirer de moi. Entre mes jambes je sens tout l'humide de notre feu, son sperme chaud qui coule doucement entre mes cuisses, son foutre qui m'inonde et coule sur mes jambes, son ardeur bouillante qu ... |
![]() | ouverteelle était étendue sur son lit, ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, Elle relèva la tête vers moi, me regarda dans les yeux d'un regard trouble Je m'approchais, je posais mon sexe sur le sien, je le poussais un peu, le ressortais, ce fut le paradis, et je m'y enfoncais doucement, écartant ses chairs rosées, elle poussa un gros soupir quand j'arrivais au fond, je fis durer le plaisir, j'accélèrais, je n'en pouvais plus, elle jouit soudain et au dernier moment, je fusais, je me vidais, je n'en finissais plus de me vider ! Elle rouvrit les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi, je me plaquais sur elle, écrasant nos deux corps | ouverte (E) elle était étendue sur son lit, ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, Elle relèva la tête vers moi, me regarda dans les yeux d'un regard trouble Je m'approchais, je posais mon sexe sur le ... |
![]() | douce caresse 2Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper mon sexe. Les lèvres s'entrouvent un peu plus et engloutissent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupe de la réalité, sa langue onctueuse entoure et lisse mon gland avec insistance, en mouvements circulaires, elle s’enroule autour de ma verge. Elle lèche mon vit de tes lèvres gourmandes. Elle caresse mes bourses lentement, sa langue est douce comme l’eau, crue comme une bouchère, rouge comme un gigot. Mon vit sanglote de salive. Mes yeux rivés au plafond, je sens mon sexe gonflé s'engouffrer dans sa bouche, toujours plus profond. Tout tourne autour de moi. Une douce chaleur humide et moite envahit mon bas ventre. Elle me suce plus profondément en accélérant la cadence. Mon sexe me brûle comme si j’allais me liberer tout seul. Je ne peux bientôt plus me contrôler, la pression est trop forte et je me répands aussitot dans sa bouche. Elle me léche alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, elle nettoie mon gland de la dernière goutte. | douce caresse 2 (E) Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleure ma peau. Une gaine humide, onctueuse est en train d'envelopper mon sexe. Les lèvres s'entrouvent un peu plus et engloutissent progressivement mon gland. Une impression d ... |
![]() | fellatoireElle allait et venait doucement, testant de ses doigts ma virile raideur. Ses mains tout en douceur, et d'une fraîcheur surprenante. Ce massage divin eut des conséquences: je libérais peu à peu du liquide pré séminal, Elle continua son massage quelque temps en fixant intensément mon sexe, gonflé comme jamais. Penchée vers mon penis qu'elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait. Elle posa ses lèvres sur mon gland, Puis elle l'engloutit jusqu'à la base tout en me regardant fixement. Je sentis alors sa langue s'activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de sang. Elle allait et venait avec sa bouche pendant que sa main me caressait les bourses. Je portais ma main sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains. Mes doigts avaient repoussé la fine culotte, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s'ouvrait. La situation l'avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, Je sentis ses globes fessiers se contracter. Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer, Je sentais ma sève monter progressivement. Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son œuvre. Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d'une femme. Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper. Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l'instant. | fellatoire (E) Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts ma virile raideur. Ses mains tout en douceur, et d'une fraîcheur surprenante. Ce massage divin eut des conséquences: je libérais peu à peu du liquide pr&eacut ... |
![]() | Sous la lumière naissanteEn m'endormant ce soir-là, était-ce un rêve ? je sentis comme une présence derrière la porte de la chambre, quelqu'un s'approchait, à pas feutrés. Je cessais de bouger. Il faisait nuit dans la chambre. la porte s'ouvrit doucement. Sous la lumière naissante, une idée imprécise. J'étais dans une douce pénombre, la porte s'est ouverte ... discrètement ... un silence ...Je fermai les yeux, je sentis un parfum féminin, qui m'ennivra. Elle était là, tout près. J'avais l'impression qu'elle me regardait Je devinais son corps plus que je ne la voyais Mes yeux se firent prunelles Je sentis frémir sa peau Je la découvris enfin dans la pénombre, approchant sous une chemise de nuit légère et translucide. Le tissu flottait doucement sur la pointe de ses seins, Juste quelques dentelles qui caressaient sa poitrine sa respiration était rauque et son débit saccadé. Elle ouvrit doucement sa chemise, et l'écarta devant moi Marthe était maintenant là, devant moi, terriblement troublante, me regardant fixement avec un air de tendresse. Je découvrais discrètement toute la sensualité de ses formes. Elle apparut de nouveau dans l'ombre, très proche de moi Je n'endendis plus rien ... Le silence dura une éternité. J'entendis enfin un bruit feutré de tissu ... qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique ... un nouveau silence. Elle jouait de ma résistance. Je sentis le contact d'une main ... Je tressaillais. J'entendis alors une douce voix me murmurer à l'oreille - Detends-toi ! Laisse toi aller ! l'autre main se posa sur mon ventre ... Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sentis des gestes lents. Mon drap s'est subitement écarté. poussé par des doigts graciles, mon pyjama glissa furtivement vers le bas. Une douce chaleur humide et moite envahit mon bas ventre, sur le haut de mes jambes, tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Un parfum capiteux flottait dans l’espace. Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul. Je portais ma main au bas de mon ventre. Mes doigts se glisserent dans une texture fine et soyeuse. C’était la longue chevelure de Marthe. Mes mains caressaient la nuque, qui fléchissait en de longs mouvements réguliers , effleurant à peine les sillons de la peau si douce et tiède. Et maintenant, je caressais son épaule qui ondulait, La gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe, c’était une bouche humide, sensuelle, charnelle ! Elle s’était glissée discrètement dans la pièce , pour me prodiguer cette sublime fellation. Les mouvements de sa tête furent d’une extrême lenteur, Sa langue fougueuse lècha ensuite mon gland avec plus d’insistance. En mouvements circulaires, ses lèvres s’enroulerent autour de ma verge. Elle me suça plus profondément en accélérant la cadence. Je ne résistai plus. Mon sperme se répandit dans sa bouche. Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, pour nettoyer mon gland de la dernière goutte. Je sentis des jambes nues qui s'enroulerent autour de mes cuisses. Une peau douce qui caressait la mienne, elle s'allongea sur moi. Je sentis mon sexe aspiré dans un écrin chaud. Je n'y tins plus. Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme gicla en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs prolongeait sa jouissance. - Merci mon chéri Tu m'as donné du plaisir. Maintenant, il faut dormir ! Elle se redressa brusquement. J'eu à peine le temps de distinguer sa silhouette qui disparaissait dans l’embrasure de la porte. | Sous la lumière naissante (E) En m'endormant ce soir-là, était-ce un rêve ? je sentis comme une présence derrière la porte de la chambre, quelqu'un s'approchait, à pas feutrés. Je cessais de bouger. Il faisait nuit dans la ... |
![]() | Son peignoir, à peine fermé, baillait un peu sur de lourdes poitrines à peine cachées par un léger et discret soutien gorge de soie, J'étais à demi nu et fort excité. Elle me regarda en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange et je sentis que son attitude changeait. Elle s'approcha près de moi. Ses seins tremblaient doucement sous la soie, je sentais son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle regarda mes lèvres en les fixant de manière insistante, elle s'en approcha et y posa delicatement les siennes, d'abord legerement puis de maniere plus appuyée. Son sein légèrement mobile tremblait sous mes yeux, elle posa sa main sur la mienne comme pour m'inciter à repondre à ses caresses, tout en continuant à m'embrasser. Elle se pencha encore et ses seins vinrent s'appuyer sur mon torse, mon sexe frottait contre son ventre, et durcissait à vue d'oeil ! Elle me regarda de nouveau fixement en s'écartant un peu, son corsage entr-ouvert, les pans de sa robe de nuit écartés. Son souffle chaud glissait sur mes épaules, dans mon cou. Ses lèvres effleuraient ma peau. Mes yeux fous plongait sur ses seins encore enveloppés dans la soie. - Je te laisse défaire mon soutien-gorge ! Ses mains saisirent les miennes et les conduisirent sur sa taille, et les firent remonter sur sa poitrine. Je passai mes mains dans son dos et dégrafai cette ultime protection qui se détacha d'un coup et libera ses deux seins opulents. elle guida mes doigts vers ses pointes sensibles, soupira. elle pouvait sentir le renflement de mon slip sur ses cuisses. Mes mains entourerent son corps pour saisir ses mamelons tendus, Elle gémissait, elle mouillait abondamment ! j'avais envie d'elle, elle avait envie de moi ! Elle prit ma main et la conduisit entre ses deux cuisses sur sa vulve trempée. Entre deux soupirs elle m'expliqua: - Quand on fait ça à une femme, on ne peut pas en rester là ! Mes doigts palperent le renflement de sa vulve. L'étoffe de sa culotte de soie etait mouillée, ma main massa le tissu qui s'enfonca entre ses lèvres gonflées. Elle poussa son bassin à la rencontre de mes doigts. Elle soupira. Mes mains glisserent sous l'élastique de sa douce culotte de soie et entraînerent la fine lingerie sur ses jambes. Elle écarta ostensiblement les jambes, Ma main glissa sur ses bas, remonta, s'insinua de nouveau entre ses cuisses bien chaudes, Elle m'embrassa toute langue dehors, s'écarta, tira sur mon slip et me déshabilla. En quelques secondes je me retrouvai plus nu qu'elle. De la main elle saisit mon sexe, massa doucement mes testicules, elle écarta ses lèvres intimes, fit glisser mon gland sur sa fente, la placa à l'entrée de sa vulve. Elle soupira ... et descendit son bassin, sa vulve se dilata, Mon mat glissa en elle doucement naturellement, se lova dans son nid. Elle posa ses mains sur mes épaules et s'empala sur moi jusqu'à ce que ses fesses reposent sur mes cuisses. Ses lèvres s'ouvrirent et se poserent sur les miennes. Ma langue vint dans sa bouche, lapa sa salive. Mes mains palpaient ses hanches, ses cuisses, griffant ses bas qui crissaient sous mes caresses. Elle commenca à monter et descendre le long de ma hampe. Elle accélèra le rythme avec de petits mouvements. Je sentis la pression monter dans mes bourses pleines. Je ne pus me retenir plus longtemps. Je giclai des flux de ma semence dans son ventre. Mes gémissements spasmodiques s'apaiseront enfin. Nous restions un moment lovés l'un contre l'autre. Puis elle me prit par la main et m'attira dans sa chambre. Elle s'allonga sur son lit, en mettant sa poitrine en valeur. - Fais moi encore l'amour ! Je m'avançais alors et me penchai vers elle. Je saisis ses seins. Mes doigts caressaient, palpaient la chair tendre, J'ouvrai la bouche, gobais un sein, ma langue frottait le bout souple du mamelon, Elle serrait les poings. Mes lèvres se collaient sur l'autre sein, comme une ventouse. L'excitation la fit frotter ses jambes l'une contre l'autre. Ma langue relâcha son étreinte et descendit sur son ventre, fureta autour du nombril. Elle écarta ses cuisses pour m'inviter à poursuivre son chemin. Ma main se posa sur le renflement de son entre-jambes et commenca à en flatter la douce fourrure. Elle se mordit la lèvre. Son bassin fut pris d'ondulations incontrôlées. Elle était toute liquéfiée et les titillements de mes doigts brisaient ses résistances. - j'ai envie de toi ... je veux ton sexe en moi ! Elle relèva ses deux jambes, offrant sa féminité impatiente. Je m'approchai, dardai ma sonde charnue entre ses muqueuses lubrifiées. Je m'enfonçai, poussant mon pubis à la rencontre du sien, j'entamai un va et vient onctueux. Elle soupira. Je la penetrai réellement, profondément! Elle se mordit la lèvre et contempla mon visage défait par la jouissance. Mon jeune sexe était en elle ! Comme une vague incessante, il polissait avec endurance l'anse de sa féminité. Ce ne fit qu'accélérer les choses ! - Oh je viens! Je sentis ses contractions vaginales, ses mains grifferent la couette, ses jambes ne lui obéissaient plus ! Elle halèta, plongée dans la ouate de son orgasme. Les tensions de son corps portaient mon excitation à son comble. J' accélèrai, je la baisai avec force, violence... je me crispai ! Elle jouissait! Ma semence de jeune mâle gicla et nappa son intimité qui ondulait et la faisait ronronner de plaisir! | (E) Son peignoir, à peine fermé, baillait un peu sur de lourdes poitrines à peine cachées par un léger et discret soutien gorge de soie, J'étais à demi nu et fort excité. Elle me regarda e ... |
![]() | ventilateurLe ventilateur bien disposé devant elle envoie de l’air frais directement entre ses jambes. le tissu léger de sa robe se gonfle, le vent s’infiltre entre ses cuisses qu'elle écarte un peu plus. elle ouvre quelques boutons de son chemisier et degraphe son soutien-gorge. ses seins, ainsi libérés, animent le tissu satiné du chemisier. sa main pétrit sa poitrine qui durcit de désir, la seconde descend vers une étuve les pales du ventilateur ont de plus en plus de mal à ramener une température convenable. elle écarte ses grandes lèvres pour faciliter le passage de l’air jusqu’au plus profond de son sillon en surchauffe. La caresse de l'air l’enfièvre. Le soleil chauffe son corps à travers la vitre. elle s’étire comme une chatte dans son panier après une sieste. Elle amene la coupe de vin à ses levres Je regarde ses lèvres s'appuyer tout doucement sur le rebord du verre de cristal, je vois le trouble dans ses yeux qui fixent le liquide rouge. Ce regard trouble m'excite, je pose ma main sur sa nuque et commence à la caresser doucement. Son corps se raidit. Je remonte plus haut et commençe à embrasser ses oreilles, laissant ma main caresser ses épaules et sa nuque. Elle laisse échapper un court gémissement. Elle ferme les yeux, et je sens qu'elle commençe à s'abandonner… la texture de ses bas m'excite délicatement les sens. nous nous frottons l'un a l'autre pour profiter des sensations voluptueuses que nous procurent le contact de nos corps, Ses seins lourds débordent du décolleté, les pointes se détachent en relief sous le tissu blanc de son chemisier. Elle s’approche de moi, à me toucher, et je m’étrangle en respirant son parfum. Je sens la chaleur de son corps et les pointes de ses seins qui pressent ma poitrine. Elle a glissé une main sous son chemisier et se caresse un sein. Ses yeux me sourient, ses seins palpitent doucement sous le fin tissu. son chemisier flotte doucement sur la pointe de ses seins, sa respiration est rauque et son débit saccadé. Nous nous serrons l'un contre l'autre, elle ondule lascivement contre mon corps. Ses mains se sont glissées sous ma veste, descendent lentement le long de mon dos, Mes mains se sont glissées sous son chemisier pour englober ses seins ses seins ballottent lourdement sous le corsage, Elle défait les deux premiers boutons. Sa voix est presque tremblante. J'essaye une respiration maîtrisée, Elle se masse les seins de maniere voluptueuse, je vois avec délice ses paumes écraser tendrement ses mamelons. | ventilateur (E) Le ventilateur bien disposé devant elle envoie de l’air frais directement entre ses jambes. le tissu léger de sa robe se gonfle, le vent s’infiltre entre ses cuisses qu'elle écarte un peu plus. elle ouvre qu ... |
![]() | les beaux seins de BarbaraJ’adore le corps de Barbara chez qui je vais satifaire mes besoins amoureux. Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Barbara est fine, à tel point que sa poitrine paraît énorme. Ses seins sont magnifiques, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Barbara a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus. - Viens, mon chéri, me dit-elle en me fixant avec un mystérieux sourire. - Viens, mon amour, viens. Tu m’aimes, nous allons faire l’amour. Je me laisse guider. Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses - Sens ! je suis toute prête pour toi ! Ce soir, c’est notre soir. - Tu vas m’embrasser partout, me lécher, me pincer, me griffer, me mordre, me manger. - Ce soir je veux que tu me soulèves, que tu me retournes, me désarticules, que tu me démantibules, que tu m’écartèles, me pilonnes, que tu t’enfonces en moi, que tu me ramones, que tu me chéries, que tu me câlines, que tu m’aimes ! - En somme, tu voudrais que je te baise ? - Oui, voilà. Je ne savais pas comment te le dire, mon poussin. Je saisis Barbara et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte mon gland contre son sexe. Elle gémit, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah . son ventre est chaud. Il m’enserre, me presse.Barbara est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme. - Barbara, Barbara, ma douce. - Nicolas, Nicolas, mon amour ! Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille, annoncent une jouissance proche. Elle pousse un long soupir de plaisir quand je la pénètre plus lentement, la regardant droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette. Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Barbara s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres. - Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. La vibration devient communion, les deux corps ne font plus qu’un, les chairs font fusion, les fluides et les odeurs se mélangent. Elle ondule toujours de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides. - Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie. Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras de Barbara. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez Barbara et moi une jouissance instantanée. Un trio de jouisseur en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons les uns sur les autres sur le futon, vidés de toutes substances, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Liz qui a étalé les jambes sur le ventre de Barbara. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes. | les beaux seins de Barbara (E) J’adore le corps de Barbara chez qui je vais satifaire mes besoins amoureux. Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Barbara est fine, à tel point que sa poitrine paraît énorme. Ses s ... |
![]() | bandaisonJe considérais autour de moi ces femmes qui vivaient dans leur corps les appétits secrets de désirs convoités. j’essayais de deviner leurs corps, leurs dessous. Je me croyais transparent, effacé du monde. je laissais libre cours à mon imagination, à mes fantasmes et profitais sans limite de ces frôlements, de ces rencontres fortuites. C'est alors que je la vis, appuyée sur l'entrée de ce petit hotel discret. Ses formes étaient rondes, rebondies, et terriblement désirables. C’est elle qui m'a regardé en premier je crois et a trouvé des prétextes pour que je me rapproche. Je sentais déjà sa chaleur. J’imaginais la fermeté de ses cuisses. J’imaginais l’onctuosité insoutenable de son envie. J’imaginais sans vraiment me rendre compte qu’elle me regardait. Je ne l’ai deviné que plus tard. Qu’après avoir senti la chaleur de sa présence, son regard amusé, sa main relever ma tête, ses doigts passer dans mes cheveux, son corps frotter mon ventre, son genou serrer mon entrejambe, ses lèvres frotter les miennes, sa langue chercher la mienne. J’imaginais encore quand elle crut bon de me murmurer, - Où êtes-vous ? .... Est-ce que j'embrasse un rêve ? Je ne l’imaginais plus. Elle était contre moi et s’enroulait maintenant contre mon corps. Je compris que ses petits gémissements de contentement formaient un appel à plus d’impudeur. - Nous ne pouvons rester ici ! Venez avec moi. - Et surtout ... bandez, bandez encore ! - J’ai envie de vous savoir bandant me dit-elle en regardant le relief de mon pantalon. - J’ai envie de vous ainsi. Votre sexe je le veux chaud dans mes mains. - Je vous fais peur ? - Venez ! je vous emmène dans ce petit hôtel ! | bandaison (E) Je considérais autour de moi ces femmes qui vivaient dans leur corps les appétits secrets de désirs convoités. j’essayais de deviner leurs corps, leurs dessous. Je me croyais transparent, effacé du m ... |
![]() | elle avait choisi son endroitLa première fois où je l'ai vue, elle avait choisi son endroit pour exercer sa belle vertu à l'égard des gens de droit, c'était la première fois, je m'y prenais comme un grand maladroit. Elle m'accueillit avec force de voix, elle prit la chose en main, je ne refusai pas. elle me prit par le bras, je n'avais plus le choix. Elle me demanda de lui dire un grand oui à haute voix. C'était une remise dérobée, elle voulait le meilleur de moi. Elle m'offrit un baiser Je n'avais plus du tout froid et dans un grand silence Elle me dit : je suis à toi zoran.tempete | elle avait choisi son endroit (E) La première fois où je l'ai vue, elle avait choisi son endroit pour exercer sa belle vertu à l'égard des gens de droit, c'était la première fois, je m'y prenais comme un grand maladroit. Elle m'accu ... |
![]() | Dans l'encadrement d'une porteDans l'encadrement d'une porte, cette femme ... aguicheuse ... en tenue légère, la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris. - Bonjour ! ... Rentrez donc ! Entrez ! et fermez la porte ! Elle me sourit étrangement, me fixe un bon moment et me déclare tout de go: - Je suis sûr que vous vous demandez si vous allez pouvoir me baiser ? Je ne trouve pas mes mots. - Ai-je tord ? Vous etes inquiet, il me semble. - Votre voix n’est plus aussi sûre que tout à l’heure. Je ne peux plus articuler (ma défaite), - J’ai des seins qui vous plaisent ? J’aime sentir qu’on me pénètre, - j’aime qu’un sexe d’homme s’empare de mon ventre. Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, - Nous allons baiser ! Maintenant ! Le voulez-vous ? Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Je suis subjugué que tout soit si simple. - Vous me désirez car je suis belle. Elle commence à me déshabiller, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. - Mais ... Tu bandes ! ... comme un cheval ! Tu m'excites ! Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. je la fouille. Elle me regarde tendrement, pose un préservatif sur mon sexe. - Tu veux toujours ? Elle me darde du regard puis s'allonge sur le lit - Viens ! J'ai envie de toi ! Pénètre moi ! ... Fort ! Violemment ! - Je veux te sentir dans mon ventre ... Je te veux en moi. Viens. Je me penche vers elle. Elle dirige mon sexe. je m'enfonce, je me perd en elle ! Un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat, ma verge fouille son ventre, se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend en elle. Elle me tient profondément serré en elle. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous lançons des mots sans suite juste pour apaiser le silence de notre jouissance. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont gourmands. Elle sourit. Nous nous balançons l’un en l’autre, nous puisons tous les instants. Elle avale mon sexe et joue de ma résistance. Je vais éclater en elle. Elle me regarde me dit - Jouis ! vite ! ... Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs. Je sens chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. elle me serre et me dévore. Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monte. Un frisson. Elle le sent, m’enfonce en elle loin très loin. Je me rapetisse. Le trait m’échappe .... Je lache tout. J'ouvre les vannes. je me libère .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçoit mon offrande liquide Elle me suçe, je me vide au fin fond de son ventre. Elle suce tout, ne gâche, ne perd rien. C’est insoutenable. Elle me prend par la hampe et frotte contre ses lèvres mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle avale presque tout mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. ... C'était un soir d'été | Dans l'encadrement d'une porte (E) Dans l'encadrement d'une porte, cette femme ... aguicheuse ... en tenue légère, la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris. - Bonjour ! ... Rentrez donc ! Entrez ! et fermez la porte ! Elle me sour ... |
![]() | Regardez moi dans les yeux, j'ai dis les yeuxEtendue demi nue sur le sofa, elle me regarde, avec insistance. Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité, des poitrines généreuses. Elle me fixe, intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, son corsage est largement ouvert, baillant sur ses fortes poitrines, ses seins tremblent doucement sous mes yeux, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. J'ai chaud. je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Elle me trouble Elle caresse ses seins, elle me provoque. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. - Regardez moi dans les yeux ! ... J'ai dis les yeux ! - Mes seins sont encore bien fermes ? vous ne trouvez pas ? - Ils ne sont plus aussi ronds qu'avant, mais ils restent bien souples ! - Je suis sur que vos mains sont chaudes et douces ! - Approchez vous ... et donnez moi vos lèvres ! Le baiser est intense, profond, sa langue cherche la mienne, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre une de ses mains s'attaque aux boutons de ma chemise ... aux crans de ma ceinture puis elle caresse mon ventre, glisse sa main plus bas ! Elle sent ce que je n'arrive plus à cacher ... et me lance un sourire gourmand ! - Je vous sens plein de vigueur ! Je ne vous laisse pas indifférent ? Elle rapproche son visage du mien, avec un sourire ... bienveillant, - Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire ! - J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire ! ... - On ne va pas en rester là ? Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Et soudain ... elle passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, se detache de mes levres pour me lancer: - Je suis mure, vous aussi ! On continue ? Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, Elle m'excite terriblement - deshabillez-moi, avec délicatesse, en souplesse, et doigté - Ne soyez pas impatient, Sachez me faire attendre un peu je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa robe tombe, dévoilant une douce combinaison de soie noire - Faites glisser ma lingerie ... vous appréciez sa douceur ? ... plus bas ... Elle s'attaque maintenant à la ceinture de mon pantalon, - Vais-je plus loin ? J’affirme de la tête. Elle me déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. - Je vois ! Je sens ! Je vous sens bien mûr ! Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement, - Attendez un instant ! Je vous appelle quand je suis prête ! Et elle file dans sa chambre - maintenant, Venez ! ... Je suis prête ! - venez avec moi sur le lit ! ... j'ai si envie... donnez moi l'absolu ! je vous en prie ! Elle m'entraine vers le lit, s'allonge et m'attire vers elle - Venez ! ... vite ! Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle me regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur son ventre, malaxant mes testicules. Elle plonge alors son regard dans mes yeux, - Je suis prête ! Venez ! Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser, - Vite ! Allez-y ! Donnez moi tout ! ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de gémissements et de spasmes. Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, et ... je decharge ma sève chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. - Vous avez été magnifique ! ! Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives - Restez avec moi ce soir ! Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi. | Regardez moi dans les yeux, j'ai dis les yeux (E) Etendue demi nue sur le sofa, elle me regarde, avec insistance. Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité, des poitrines généreuses. Elle me fixe, intensément, les yeux brillants avec un sour ... |
![]() | Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kgBlonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette femme plantureuse, suisse-allemande avait des formes à faire bander tout un régiment. J'avais la quarantaine, nous étions assis au fond du bar de l'hôtel. Je me suis retrouvé contre elle. elle me collait litteralement. Elle était grande, elle était chaude, elle avait de belles fesses rebondies contre lesquelles ma queue s'est mis a se lever. Je me suis mis à bander sans détour. Elle se collait encore plus fort contre moi. Passablement excité, installés sur la banquette que déjà nous nous embrassions à pleines bouches, nos langues emmêlées Je bandais comme un cheval, et déjà elle me pétrissait à pleines mains ma tige. Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents sous son soutien-gorge pret à craquer. J'ai dégagé sa poitrine et j'ai suçé ses tétons roses. La fille, peu farouche, se laissait tripoter sous les regards ébahis des quelques clients encore là. Nous avons grimpé quatre à quatre les escaliers de l'hôtel. Sabine m'a confié qu'elle était si mouillée qu'elle sentait sa culotte collée sur sa peau. Moi je n'avais qu'une hâte, celle de me planter entre ses cuisses. Je me suis retourné vers elle pour l'embrasser avec passion et ... pour me calmer. J'ai posé ma main entre ses cuisses, elle m'a poussé sur le lit Elle est montée sur moi après avoir simplement retiré son jean et sa veste. Ses seins étaient toujours à moitié sortis de son soutien-gorge: j'en ai profité pour presser sa poitrine plus dure que jamais, elle était si excitante que mon cœur battait la chamade… Elle s'est alors mise à cheval sur moi, elle a enlevé son soutif et a révélé sa merveilleuse poitrine à mes yeux effarés. Je l'ai léchée de plus belle en bandant comme un ours. Je me suis relevé et j'ai entrepris de la téter. Elle s'est laissée faire un moment, l'instant pour elle d'enlever ma chemise puis elle m'a basculé à nouveau sur le lit. Cette fois-ci elle avait enlevé sa culotte et, accroupie, elle avait les cuisses largement écartée. Et penchée vers l'arrière, elle se tenait sur les mains et faisant aller et venir son bassin sur mon ventre. Tout en frottant sa chatte, elle s'attaquait à ma ceinture et est parvenue à dégrafer mon pantalon. En même temps elle accélérait sans cesse le rythme, Elle grognait, elle était à moitié partie, elle allait venir… Elle n'a d'ailleurs pas tardé. Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Ensuite, elle s'est relevée, elle a enlevé mon pantalon en m'embrassant le bas du ventre et les cuisses. Toujours entre mes jambes, elle a terminé de me déshabiller. Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps… elle m'a renversé et est venue se mettre à cheval sur moi dans une position d'amazone chevauchant son étalon. Avec dextérité elle a fait rentrer ma bite dans son vagin, allant et venant lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté incroyable épousait parfaitement son vagin étroit. Nous étions faits l'un pour l'autre semble-t-il, au moins sur ce plan là… Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait en faisant dans de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait ma bite sauvagement je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, nous désirions tous les deux jouir ainsi et sans retenue. J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle jouisse, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus pour libérer toute ma sève et lui remplir le ventre abondamment, une ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme J'aurais voulu que tout ceci dure un temps infini mais finalement elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes avant que je lui éclabousse la matrice… Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes… Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette jeune suissesse avait des formes à faire bander tout un monastere. J'avais la quarantaine, Je me suis retrouvé contre elle dans l'ascenseur, elle me collait litteralement. Elle était grande, elle était chaude, elle avait des fesses rebondies contre lesquelles ma queue s'est mis a se lever. Je me suis mis à bander sans détour. Elle se colla alors franchement contre moi. Je bandais comme un cheval, elle mit ses mains sur mon bas ventre et déjà elle me pétrissait le sexe à pleines mains. Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents sous son soutien-gorge pret à craquer. je n'avais qu'une hâte, celle de planter mon sexe dans son ventre. elle était si mouillée que je sentais sa culotte trempée collée contre sa peau. Ses seins étaient toujours à moitié sortis de son soutien-gorge : J'ai enlevé son soutien-gorge et j'ai dégagé sa merveilleuse poitrine. Je l'ai palpée de plus belle en bandant comme un ours. Elle faisait aller et venir son bassin sur mon ventre. Tout en se frottant à moi, elle s'attaqua à ma ceinture et dégrafa mon pantalon. En même temps elle accélérait sans cesse le rythme, Elle grognait, elle allait venir… Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler. Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps… Avec dextérité elle a saisi mon sexe dur et l'a fait rentrer dans son vagin glissant, je me suis voluptueusement enfonçé en elle elle allait et venait lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté absolue épousait parfaitement son vagin étroit. Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait dans son ventre avec de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait mon membre sauvagement , je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, Je libérais alors toute ma sève et lui remplit le ventre abondamment, ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes alors que je l'inondais de mon sperme Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes… | Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg (E) Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette femme plantureuse, suisse-allemande avait des formes à faire bander tout un régiment. J'avais la quarantaine, nous étions assis au fond du bar de l'hôtel. Je me suis retrouv&eacu ... |
![]() | indécenteAffalée sur le sofa, jambes écartées, indécente presque, elle me provoque: - Est-ce que je t'excite ? Elle fixe mon pantalon, tendu à l'extrême, comme un chapiteau. J'ai chaud. Ma respiration s'accélére. - Tes bourses sont pleines ! Elles ont besoin d'être déchargées Je la sens terriblement excitée. Je l'entends gémir doucement. - Je suis chaude ! ... et ouverte ! Profites en ! Je promene mon gland sur sa vulve. Je sens son sexe s'ouvrir un peu plus. Lentement, je sens ma queue aspirée entre ses grandes lèvres. - Tu aimes ? C'est doux et chaud, tu ne trouves pas ? Je commençe à faire glisser ma verge en elle. je saisis ses seins, je les palpe, les masse. elle s'abandonne à mes attouchements. je sens son vagin qui se contracte autour de mon penis, en émettant un bruit de succion terriblement érotique. - Ca glisse tout seul ! Tu aimes ? Son vagin dégouline sur mon membre et sur mes bourses. Le fauteuil est taché de nos sécrétions. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations, Je n'en peux plus. Elle m'offre la vue de son corps couvert de sueur jouant de cette queue douce et chaude qui la fouille dans son intimité la plus profonde et lui arrache de petits cris de jouissances. Je pétris ses seins et je la bourre de plus en plus puissamment. - Vas-y maintenant ! Lache toi ! Un dernier coup de rein, je n'en peux plus Je me plante au plus profond d'elle et .... je gicle en elle ma semence. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles provoque sa jouissance. Elle s'écroule en sueur. En me retirant, ma queue émet un bruit de siphon qui nous fait rire tous les deux. | indécente (E) Affalée sur le sofa, jambes écartées, indécente presque, elle me provoque: - Est-ce que je t'excite ? Elle fixe mon pantalon, tendu à l'extrême, comme un chapiteau. J'ai chaud. Ma respiration ... |
![]() | elle dégagea les bretellesDélicatement, elle dégagea les bretelles de ses épaules. Le fin tissu de soie glissa doucement le long de son corps et s'étala en corolle à ses pieds. Toujours en me regardant, elle passa les mains dans son dos, dégrafa son soutien-gorge qui tomba à terre. Elle caressa lentement le dessous de ses seins, puis se pencha et fit descendre sa culotte sur ses jambes. Je ne savais plus où poser mon regard, Elle s'avança vers moi et je sentis soudain son parfum. Elle passa une jambe entre les miennes, entourant ma cuisse. Elle écrasa ses seins généreux sur mon ventre et ne bougea plus. J'étais fou. Elle me regardait en souriant. Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert, tenant entre mes doigts les pointes en saillie, sa langue vint violer ma bouche et s'enroula doucement avec la mienne. Elle lécha tendrement mon ventre qui frémissait. Ses mains jouaient avec mes cheveux ou caressaient mes joues. Mon sexe reprit du volume. Elle se mit à genoux et, tout en me regardant, se saisit de ma verge bien bandée. Elle commença un voluptueux va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était le paradis. Je sentis mon corps se tendre, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, une délivrance. Le feu partit de mes bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes. Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée, les jambes écartées. Sans un mot, elle me poussa sur le lit ouvert et me couvrit de son corps. Ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément. elle se rallongea sur le dos et je continuai mon exploration. Ses seins étaient tendus par le désir. - Tète-moi, mon ange ! Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse. - Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose ! Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle murmura : - C'est bon, continue. Descends un peu, tu es doux. Et je sentis soudain une peau douce, humide, gonflée qui s'ouvrit comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt fut comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonça entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Elle glissa alors sa main entre nos deux corps, réussit à saisir mon sexe et commença un lent massage de bas en haut. Tandis que nous échangions ces caresses, elle vint au-devant de ma main, Elle se pressa contre elle mes deux doigts rencontrèrent alors le clitoris en haut sa vulve inondée. Ses yeux s'écarquillèrent, sa peau devint fiévreuse, elle arqua le dos pour se coller à moi. Elle prit ma main libre dans la sienne et la serra contre son sein. Puis renversant la tête en arrière, elle poussa un cri, la bouche grande ouverte. Elle se serra alors contre moi et je sentis quelques larmes qui coulaient sur sa joue. je continuai de la caresser, elle était complètement inondée. Elle me lanca un regard suppliant - Viens, je te veux en moi ! Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant. - Viens, enfonce-toi loin ! Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que celle-ci s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond. - Viens, c'est bon ! Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme ! Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. J'avais l'impression de tomber, je fermais les yeux, je m'abandonnais sur son corps, je sentais ses seins gonfler contre moi, elle me berçait sur elle, déposait mille baisers sur mon visage. J'étais sur une immense vague, le flot m'emporta, m'engloutit, je criai, elle aussi ! - Oui ! Oh, que c'est bon ! Je me suis vidé. Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles. La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement. | elle dégagea les bretelles (E) Délicatement, elle dégagea les bretelles de ses épaules. Le fin tissu de soie glissa doucement le long de son corps et s'étala en corolle à ses pieds. Toujours en me regardant, elle passa les mains dans so ... |
![]() | Lorsque la porte s’ouvritLorsque la porte s’ouvrit, mes sens furent impregnés de cette odeur à la fois subtile et raffinée. Elle était enveloppée d’une longue chemise satinée fendue sur le coté jusqu’à mi-cuisse, une peau somptueuse et blanche, de longues jambes fines et musclées. Elle m’accompagna et je pus observer à portée de mon regard ses formes moulées par le tissus luisant, alors qu’elle continuait à me parler de sa voix chaude, mon désir s'enflamma, sauvage, irraisonné. la beauté radieuse qu’elle offrait à ma vue, et le désir violent que j’avais pour elle s’imposaient à moi d’évidence. Sa poitrine souple et légèrement tombante, offrait de ravissants contours. Il faisait chaud. Elle me fixa d'un étrange sourire et m'invita a monter avec elle. Dans l’obscurité de sa chambre, son odeur m'envahissait. En un geste élégant, elle dégagea sa jupe étroite de la main et fit apparaitre une ravissante combinaison blanche , Penchée vers moi, alors que ses seins ballotants caressaient par instant mon torse, elle s’affaira à me déshabiller. Je découvrais alors la finesse et la douceur de ses mains,l'elegance de ses bas couleur chair légèrement satinés. Elle faisait glisser la paume de ses mains sur ma poitrine. Elle avait des bras doux, des jambes fines, une taille étroite, un cou mince et élancé. En même temps elle portait fièrement les formes épanouies et sensuelles de la féminité accomplie. Ses hanches étaient bien dessinées, ses fesses étaient fermes, sa poitrine était généreuse. A cela s’associait cette voix chaude et cette élégance singulière qui ne pouvaient être que l’expression d’une maturité sereine. Je passais ma main dans ses cheveux puis je massais doucement sa nuque. Je contemplais son dos, les courbes de ses reins Alors qu’elle me déposait de petits baisers, je caressais maintenant ses épaules et son dos. Sa peau était d’une texture si agréable. Mes doigts se laissaient glisser sur son échine, que je ressentis parcourue d’un léger frisson. Elle m’embrassa la nuque, et bientôt flatta de petits coups de langues circulaires le lobe, puis le creux de mon oreille. Le souffle chaud de son haleine me fit tressaillir et en un geste réflexe je m’agrippai à son bras. Elle me regardait de ses yeux azurs, profonds et limpides. Ses lèvres pulpeuses et fines à la fois, esquissaient un sourire complice. Mes mains s’avancèrent vers elle comme pour enfin saisir les fruits défendus. A l’instant où mes doigts effleuraient le dessous de ses seins doux et souples, elle glissa sa main dans mes cheveux. Je malaxais la surface tendue et souple à la fois de ses seins chauds et moites. Elle vint se blottir dans mes bras, sa poitrine contre mon torse. Ses cuisses chaudes et humides emprisonnaient les miennes. Son sexe brûlant était placé juste au contact du mien. Elle approcha alors sa bouche pour m’embrasser avec sensualité. Elle suça ma langue comme un sucre d'orge. Son souffle chaud me caressait les lèvres. Bientôt une moiteur torride enveloppa mon sexe. Je sentis sa vulve glissante autour de mon gland. Pendant quelques secondes nous étions immobiles l’un dans l’autre. Sa toison brune et soyeuse caressait mon bas ventre alors que les lèvres de sa bouche commençaient à téter les miennes. Puis elle se fit coulisser autour de ma verge. Ses fesses se mirent à claquer bruyamment contre mes cuisses. En même temps que j’empoignais fermement sa taille étroite elle se cambra légèrement. Ses seins splendides se mirent à ballotter librement sous l’effet de ses saccades, produisant un petit claquement sonore et sec. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Elle s’empalait maintenant de façon sauvage et désordonnée, mon sexe butant violemment sur les parois de son vagin. Bientôt je me vidais en elle à en perdre presque connaissance. Jamais je n'avais sentis des sensations si violentes traverser tout mon corps. Nous sommes restés ainsi immobiles pendant quelques secondes, l'un dans l'autre. Elle s’effondra littéralement sur moi. Je m'endormis ainsi comme englouti dans ses chairs. Elle me déposa un délicat baiser sur les lèvres Puis elle est se leva, pour revêtir une tenue plus habituelle. au retour son buste était voilé d'une ravissante nuisette transparente qui magnifiait ses charmes plus qu'elle ne les cachait. Les mamelons de ses seins gonflés, à chaque mouvement de sa respiration caressaient le tissus léger . les contours des mamelons apparaissaient plus impudiques encore à travers l'étoffe diaphane. Elle fit glisser sa combinaison moulante et vint s'allonger tout du long sur mon corps. Elle était près de moi, prête à s'offrir entièrement. je me mis à caresser son visage, pour m'attarder à frôler les contours de sa bouche. Ses lèvres entrouvertes frémissaient sous l'effet des caresses, elle se mis à me lécher les doigts puis à les sucer voluptueusement. Elle commença alors à caresser mes testicules, puis ma verge. Elle déposait sur mon cou de délicats baisers me caressant ensuite l'intérieur des cuisses - Penetre-moi, je veux te sentir profondément Le fourreau de sa vulve brulante enveloppa vite mon sexe dressé. Puis, par des mouvements imperceptibles de ses reins, elle fit coulisser ses chairs intimes sur mon sexe. Je glissais mon sexe en elle sans trop de résistance, je coulissais délicieusement dans ses chairs. - Vas-y, plus vite, je veux sentir ta chaleur liquide ! Bientôt je jouissais en elle, longuement. | Lorsque la porte s’ouvrit (E) Lorsque la porte s’ouvrit, mes sens furent impregnés de cette odeur à la fois subtile et raffinée. Elle était enveloppée d’une longue chemise satinée fendue sur le coté jusqu&rsqu ... |
![]() | AllongéeAllongée sur le lit, les jambes légerment ouvertes, elle s’abandonne à moi, sans retenue. une main sur la poitrine, elle fixe comme médusée mon énorme sexe qui darde vers elle. J'avance mon gland qui frôle sa vulve trempée. Je m'introduis dans la fente béante, chaude et onctueuse. je m'enfonçe dans le magma liquide qui enduit l'intérieur du sexe en fusion. Mon penis bandé à l'extreme barbote dans un excitant bruit de clapotis. Son nid est onctueux, je m'y enfonce entierement, je sens ses entrailles se liquéfier. Je commençe à me mouvoir en profondeur, repoussant avec délectation les chairs glissantes et chaudes. Elle se met à agiter son bassin d'avant en arrière, dans une frénétique danse du ventre, guidant par ses mouvements désordonnés ce sexe qui la fouille si profondément. J'enfonçe totalement mon sexe à l'intérieur du vagin brûlant, je fouille ses parois intimes, pressant avec ivresse les chairs trempées. Un suintement liquide s'échappe du puit feminin, m'engluant les bourses, alors qu'une odeur musquée et terriblement aphrodisiaque me monte aux narines. Mes mains agrippées a ses larges hanches potelées, je m’agite d’abord lentement, je ressens le frottement terriblement affolant de ma verge conte les parois de son vagin. Le corps en sueur je me démene alors plus puissement en ondulant des hanches. Ses gémissements sont de plus en plus prononcés, je me dechaine dans le fourreau sexuel. Bientôt, seules mes bourses émergent, la totalité du sexe étant enfoui dans le ventre, Elle commence à haleter sensuellement, en émettant un grognement de contentement qui se transforme en un râle de plaisir, j'accélére le mouvement, m’enfonçant le plus loin possible dans son ventre. Sous cette vigoureuse pénétration, les petits cris se transforment peu à peu en vagissements. J'agrippe ses levres, je suce sa bouche tout en enfonçant la totalité de ma verge dans son puit je fait tourner ma verge dans son vagin, accentuant ainsi l'excitaion de nos corps Sous ce traitement, elle ne tarde pas à sentir la jouissance prendre possession de ses organes sexuels exacerbés. Se démenant comme une démente sur mon, Elle se met à jouir. Dans une crise frisant l'hystérie elle se laisse emporter par un orgasme violent en laissant échapper de longues plaintes. elle jouit dans un râle de femelle comblée dans une contorsion de tout son corps. Je sens moi aussi le plaisir envahir mon bas-ventre, monter dans mes bourses, gonfler un peu plus mon sexe. Je ne peux résister plus longtemps. Je m'enfonce au plus profond de son ventre et je me bloque Je libere toute ma semence par de longues saccades. je gicle copieusement en elle mon sperme épais et abondant. Fermement immobilisée, les levres collées aux miennes, elle reçoit l'abondante semence virile qui lui emplit le ventre. Ma source intime se tarie progressivement et mon membre apaisé commençe à perdre de sa rigidité. Je relâche mon éteinte. Nous reprenons petit à petit nos esprits. Lentement, Je retire mon enorme sexe ramoli de sa vulve trempée, dans un bruit de divine succion Sa vulve encore béante rejette le trop plein de mon sperme abondant Je repose mon sexe trempé sur son ventre encore parcouru de spasmes. Elle s’accroche à mon cou et m’embrasse tendrement du bout des lèvres. Je l'attire à moi et colle mes lèvres aux siennes. Je l’embrasse passionnément, lui fouillant la bouche de ma langue agile. | Allongée (E) Allongée sur le lit, les jambes légerment ouvertes, elle s’abandonne à moi, sans retenue. une main sur la poitrine, elle fixe comme médusée mon énorme sexe qui darde vers elle. J'avance mon gl ... |
![]() | mon clientJe me positionne sur lui et ajuste son sexe au mien. Je sens alors sa grosse queue, raide glisser puissamment dans mon ventre. je ressens une sensation de chaleur intime, Il s'enfonce jusqu'au fond. envahissement et détente libératrice. Un gros sexe mâle est enfoncé en moi, bien chaud et doux, J'ai l’impression d'être remplie. Je suis inondée de sécrétions. Je me mets à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à enfoncer son sexe plus profondément. Mes mouvements se font plus amples, plus enveloppants. Il râle de plaisir sous mes caresses intimes. D’instinct, je passe mes jambes autour de ses reins, mes bras autour de son corps et le serre en plaquant mon ventre contre le sien, | mon client (E) Je me positionne sur lui et ajuste son sexe au mien. Je sens alors sa grosse queue, raide glisser puissamment dans mon ventre. je ressens une sensation de chaleur intime, Il s'enfonce jusqu'au fond. envahissement et détente lib&eacu ... |
![]() | ArmandArmand, mon jeune client, en pleine érection, me prit sans attendre, il enfonça sa longue verge dans les moiteurs de mon sexe ouvert et trempé, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Je ne tardais pas à sentir venir la jouissance. Lançant ses jambes sur les fesses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnais entre mes cuisses trempées. De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant son bas-ventre et ses bourses pleines, avant de s'écouler dans ma raie et de tremper mon anus. Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, Armand s'activa de plus belle dans mon ventre, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, l'affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, je m'étais mis à haleter en m'arquant frénétiquement, m'offrant avec rage à chaque pénétration. Il ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. J'avais compris qu'il atteignait le point de non retour, aussi je l'enserrais encore plus fortement entre mes cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de mon vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice, il déchargea sa semence à longs traits dans ma vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond de mon sexe. Je me laissais emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de mon amant. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés, lui aussi totalement vidé et anéanti. Haletants, nous restames ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Moi, la première à reprendre mes esprits, je fis basculer le corps devenu trop lourd d'Armand à mes cotés, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit : - Eh ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis ! J'en ai de partout… - C'était bon ? Tu as aimé ? Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir Armand, le jeune client, en pleine érection, enfonça sa longue verge dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Lea ne tarda pas à sentir la jouissance. Lançant ses jambes sur les fesses agitées de son amant, elle l'emprisonna entre ses cuisses trempées. De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses masculines, avant de s'écouler dans sa raie et de tremper son anus. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de sa partenaire, Armand s'activa de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, les affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Lea s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Armand ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Lea avait compris qu'il atteignait le point de non retour, aussi l'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de son vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice, il déchargea sa semence à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de l'amant. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés lui aussi totalement vidé et anéanti. Haletants les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer le corps devenu trop lourd d'Armand à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit : - Eh ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis ! - J'en ai de partout… - C'était bon ? Tu as aimé ? - Oh Oui ! - Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir | Armand (E) Armand, mon jeune client, en pleine érection, me prit sans attendre, il enfonça sa longue verge dans les moiteurs de mon sexe ouvert et trempé, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs br&uci ... |
![]() | sur le tapisLe jeune mâle rampe entre ses cuisses, son énorme sexe bandé. Il grimpe sur le corps feminin nu, offert sur le tapis. Elle saisit le mandrin et dirige le gland gonflé vers sa vulve trempée. Elle gémit et mord sa lèvre inférieure en sentant l'enorme gland presser ses grandes levres La grosse queue entre en elle, lentement, puissemment, commence à aller, dedans et dehors, s'enfonçant un peu plus à chaque coup de reins. Elle soulève la tête, regardant vers son ventre, observant le va et vient de l'enorme mandrin dans son vagin. La vision l'excite violemment. Elle commence à se cambrer et à agiter sa croupe, poussant son vagin à la rencontre de l'énorme sexe masculin. Il commence à aller et venir plus vigoureusement, elle grimace. Il est maintenant en entier dedans, jusqu'à ses bourses pleines. Elle ne s'est jamais sentie aussi remplie. Elle contracte sa vulve autour de la rigidité énorme qui occupe tout son ventre. Il est étendu immobile sur elle pendant plusieurs secondes. Il écrase ses mamelles énormes sous son torse. L'intensité de son désir devenant encore plus fort, elle lève ses jambes aussi haut qu'elle le peut et les croise dans son dos pour le coller à elle. Alors elle commence à s'agiter et à pomper comme une chienne en chaleur, pressant frénétiquement sa chatte serrée et humide avec la queue de son jeune amant. Bruno se retire, jusqu'à ce que seul son énorme gland turgescent dilate encore les lèvres. Il frissonne pendant qu'il replonge lentement, enfonçant chaque centimètre de son organe géant dans la fente trempée. Hélène remue des hanches comme une assoiffée de sexe, les monticules énormes de sa poitrine rebondissant et tremblant pendant qu'elle projète son vagin sur le penis enorme de son amant. Bruno épouse le rythme de son amante, claquant sa verge bien profondément, jusqu'aux bourses. Hélène enroule ses bras autour de ses épaules, l'étreignant fortement, haletante et gémissante. Bruno halète sur son épaule, et il commence à la pistonner aussi fort qu'il le peut. Implacablement il avance ses hanches entre ses cuisses, grognant pendant qu'il enfonce son pieu géant dans les profondeurs du puit en fusion. Excitée,elle peut sentir la deuxième série de spasmes monter de son ventre, la faisant se pâmer, ses muscles du vagin plus serrés que jamais sur le barreau titanesque de Bruno. Elle explose dans l'orgasme, faisant jaillir de la mouille, les parois étroites se contractant autour de la queue de Bruno. Bruno s'effondre sur elle, enfonçant son membre à fond. Alors le deuxième chargement de sperme jaillit hors de lui. Hélène le sent gicler et se répandre, inondant son intérieur profond, inondant son utérus avec un déchargement chaud et apaisant de crème liquide. Elle relâche ses muscles épuisés autour de la verge degoulinante, aidant son amant à se vider complètement les couilles dans son ventre. | sur le tapis (E) Le jeune mâle rampe entre ses cuisses, son énorme sexe bandé. Il grimpe sur le corps feminin nu, offert sur le tapis. Elle saisit le mandrin et dirige le gland gonflé vers sa vulve trempée. Elle gémi ... |
![]() | péripatéticienne experteL'hôtel est silencieux. Dans l'encadrement de la porte je découvre sa silhouette se glisser dans la chambre. Des bruits de tissu qui tombent sur le plancher, un soutien gorge qui claque. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus bouger et mon sexe qui se tend. Je sens alors sur mon torse une langue caressante qui me fait frissonner. Des soupirs, des cheveux qui chatouillent mes cuisses. nous nous retrouvons bouche-à-bouche, mon odeur est sur ses lèvres, une odeur animale, nos langues s'enroulent. Elle offre sa vulve à mon dard, ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux. Mon gland caresse sa vuve, s'enfonce, et remplit son vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. Elle absorbe mon gland, elle s'empale sur moi, je me perds en elle. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle s’empale tout au fond. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui grossit, s'allonge et se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottent au contact de mes lèvres. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Je ressens les contractions de son vagin sur mon sexe qui la fouille. Elle vient de jouir. Mes sécrétions se font plus abondantes, et elle se hâte d'en recueillir les gouttes. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Je me sens aspiré, et en de savantes contractions, elle cherche à extraire toute ma semence qui libérera mes tensions, ses mains griffent mes cuisses, un voile bleu passe dans mes yeux, j'entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité. Je la sens se dégager et le matelas sursaute. | péripatéticienne experte (E) L'hôtel est silencieux. Dans l'encadrement de la porte je découvre sa silhouette se glisser dans la chambre. Des bruits de tissu qui tombent sur le plancher, un soutien gorge qui claque. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus ... |
![]() | Ses chairs sont douces et chaudesSes chairs sont douces et chaudes. Elle absorbe mon gland, elle s'empale sur moi, je me perds en elle. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie. un frottement délicat irisé de plaisir. Elle monte et descend sur mon sexe, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'est suave, je suis au paradis, ma queue bien enfouie dans son ventre chaud. Le spectacle de ses seins lourds ballottant au-dessus de ma tête ne tarde pas à renforcer ma vigueur ! Elle le remarque - je te sens bien dur en moi ! Elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir mon penis investir son ventre. Je vois ma verge tantot enfoncée, tantôt presque sortie, nos ventres l'un contre l'autre. Empalée à fond elle remue ma queue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage ! - regarde bien mes seins ! Prend les ! Caresse les ! Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Elle sourit et s’empale tout au fond. Elle se frotte, se soulève, redescend. Elle ondule et fait grossir mon membre qui se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous nous balançons l’un dans l’autre, nous savourons chaque instant. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche, elle se met à gémir, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je n'en peux plus, moi non plus. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je sens mon sperme gicler par saccades au fond de son ventre. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Et caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je suis comblé. Elle s'affaisse sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, assouvis et heureux, | Ses chairs sont douces et chaudes (E) Ses chairs sont douces et chaudes. Elle absorbe mon gland, elle s'empale sur moi, je me perds en elle. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie. un frottement délicat iris&eacu ... |
![]() | tétaniséeTendue dans une puissante contraction, Elle se met à trembler, a un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un véritable feu d’artifice Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, Elle frissonne, elle tremble..... Tout son corps se met à vibrer. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté Elle se mit à se déhancher, à se tortiller, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement. Puis elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent. | tétanisée (E) Tendue dans une puissante contraction, Elle se met à trembler, a un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanis ... |
![]() | provocationElle est face a moi, caresse ses seins, son parfum, est un mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, Ses seins se modifient au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, légèrement mobiles gonflés et les pointes en saillie provocanteil fait chaud. Nous restons un moment, face à face - Tu aimes mes seins ? ils te plaisent ? Puis elle prend mes mains et les dirige vers elle - Sens, ils ne sont plus tout jeunes, mais ils restent bien souples ! Je malaxe ses belles poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches, - J’ai des seins qui te plaisent, j’aime plaire. - Prend-moi ! Nous sommes l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement. Elle me regarde tendrement, me souffle dans l'oreille - Baise moi ! Tu veux bien ? - Viens ! ... vite ! Puis elle prend mon sexe et le guide vers le sien. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, - Donne moi ta sève ! Maintenant ! ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Mon excitation atteind un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre - Vas-y ! Vite ! et je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de gémissements et de spasmes de plaisir . ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. - Tu as été à la hauteur | provocation (E) Elle est face a moi, caresse ses seins, son parfum, est un mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, Ses seins se modifient au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, légèrement ... |
![]() | vidé, épuiséJe me positionne sur lui et ajuste son sexe au mien. Je sens alors sa grosse queue, raide glisser puissamment dans mon ventre. je ressens une sensation de chaleur intime, Il s'enfonce jusqu'au fond. envahissement et détente libératrice. Un gros sexe mâle est enfoncé en moi, bien chaud et doux, J'ai l’impression d'être remplie. Je suis inondée de sécrétions. Je me mets à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à enfoncer son sexe plus profondément. Mes mouvements se font plus amples, plus enveloppants. Il râle de plaisir sous mes caresses intimes. D’instinct, je passe mes jambes autour de ses reins, mes bras autour de son corps et le serre en plaquant mon ventre contre le sien, je sens alors un flot de sperme me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. Il semble vidé, épuisé, après tant de luxure, il se relâche totalement, avec des grondements d'ours blessés. Des voiles se referment, la tension se relâche, sa chaleur humide s’épanche de mon corps. Sa respiration se fait profonde, le calme revient... Progressivement, tout retombe... Il reste planté en moi, immobile ... Une lourdeur pesante envahit mes membres, nos corps sont repus... Je conserve un moment dans ma chair son sexe emprisonné, puis je le laisse diminuer de volume et ressortir lentement, liberant un flot de secretions amoureuses. Il s’échappe alors totalement, dans un agréable glissement mouillé, accompagné d’un torrent de son jus qui coule délicieusement entre mes fesses. | vidé, épuisé (E) Je me positionne sur lui et ajuste son sexe au mien. Je sens alors sa grosse queue, raide glisser puissamment dans mon ventre. je ressens une sensation de chaleur intime, Il s'enfonce jusqu'au fond. envahissement et détente lib&eacu ... |
![]() | AlcôveLa nuit est tombée, il vient de se retirer de moi. Entre mes jambes je sens tout l'humide de notre feu, son sperme chaud qui coule doucement entre mes cuisses, son foutre qui m'inonde et coule sur mes jambes, son ardeur bouillante qui m'irradie de chaleur. Immobile, extasiée tremblant encore de plaisir, je reste là, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur a collé mes cheveux sur mon silence. le plaisir d'aimer, de se faire aimer et d'en jouir | Alcôve
(E) La nuit est tombée, il vient de se retirer de moi. Entre mes jambes je sens tout l'humide de notre feu, son sperme chaud qui coule doucement entre mes cuisses, son foutre qui m'inonde et coule sur mes jambes, son ardeur bouillante qu ... |
![]() | douce caresse 1Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Une gaine humide, onctueuse était en train d'envelopper mon sexe. Les lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité, sa langue onctueuse entourait et lissait mon gland avec insistance, en mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge. Elle lèche mon vit de tes lèvres gourmandes. Elle caresse mes bourses lentement, sa langue est douce comme l’eau, crue comme une bouchère, rouge comme un gigot, sa pointe est un coucou criant. Mon vit sanglote de salive Georges Bataille (1897-1962) | douce caresse 1 (E) Tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Une gaine humide, onctueuse était en train d'envelopper mon sexe. Les lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement mon gland. Une ... |
![]() | elle provoqueEn travers de la porte, elle provoque, sensuelle. Ses seins sont mobiles, ronds, lourds, ensorcelants. Elle le regarde droit dans les yeux. Un regard. Il vient de passer. Il revient sur ses pas. Il pense à son désir. Il bande. Elle est encore là. Il faut faire vite. Elle le voît venir, elle a compris. Il avançe et son cœur bat. Il ralentit son pas. Elle s’approche discrètement de lui. Le dialogue est bref. Elle rentre dans l'hotel. C’est un petit hotel. On sera tranquille. Elle fouille dans son sac. Il la regarde. Il bande. Elle passe sa main dans le pantalon sort l'engin, enfile le préservatif, branle le mou. Il la regarde, elle roule sa robe jusque sous ses bras. Son corps est beau. Une couleur légèrement ambrée. Des seins relevés, il y porte ses mains. Il voyage dans son rêve à deux cents francs. Elle reprend le branle. Elle commence à le sucer. Elle s’agite autour de sa queue. Il se raidit, se tend, se libere. Elle le complimente. C’est bientôt fini. Il tend ses muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle tend un kleenex. Il retire le préservatif. Il regarde son corps une dernière fois. Elle remet sa robe, range ses affaires. Il a rangé son sexe. - Tu es prêt ? lui dit-elle, on sort ?… | elle provoque (E) En travers de la porte, elle provoque, sensuelle. Ses seins sont mobiles, ronds, lourds, ensorcelants. Elle le regarde droit dans les yeux. Un regard. Il vient de passer. Il revient sur ses pas. Il pense à son désir. Il bande ... |
![]() | mon jeune clientmon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se retourna vers moi, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant son visage, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir monta. J'étais ravie de le voir ainsi abandonné, lui si conquérant quelques secondes auparavant. Son sexe devint enorme. Il me regarda avec une imploration muette. Je lui souris. il me caressa les cheveux, puis sa main se referma sur ma nuque j'avançais mon visage vers son sexe, et j'obtempèrais à son caprice d'enfant gâté. Je l'accueillis dans ma bouche. Il était heureux. Ma fellation fut d'une grande douceur. Je le sucais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour de sa tige de chair. Chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre se tordait de désir et que grandissat le sentiment de vide, entre mes cuisses serrées. J'avais maintenant envie de le prendre enfin en moi | mon jeune client (E) mon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se retourna vers moi, respi ... |
![]() | La première fois où je l'ai vueLa première fois où je l'ai vue, elle avait choisi son endroit Pour exercer sa belle vertu à l'égard des gens de droit J'allais laver mon linge, c'était la première fois Je m'y prenais comme un singe Elle m'accueillit avec force de voix Mais je vois dans ses joues bonbon Qu'elle ne s'arrêtera pas là Elle prit la chose en main Je ne refusai pas Et me prit par le bras Soudain, je me fis conduire Je n'avais pas le choix Elle me demanda de lui dire Un grand oui à haute voix C'était une remise dérobée Elle voulait du bien de moi Elle m'offrit un baiser Je n'avais plus du tout froid Dans un grand silence Elle me dit : je suis à toi zoran.tempete | La première fois où je l'ai vue (E) La première fois où je l'ai vue, elle avait choisi son endroit Pour exercer sa belle vertu à l'égard des gens de droit J'allais laver mon linge, c'était la première fois Je m'y prenai ... |
![]() | rêve éveilléJe considérais autour de moi ces femmes qui vivaient dans leur corps les appétits secrets de désirs convoités. j’essayais de deviner ce corps, d'imaginer leurs dessous. Je me croyais transparent, effacé du monde. je laissais libre cours à mon imagination, à mes fantasmes et profitais sans limite de ces frôlements, de ces rencontres fortuites. C'est alors que je la vis, elle, avec sa robe blanche, dans la chaleur de l’été. Ses formes étaient rondes, rebondies, et terriblement désirables. C’est elle qui m'a regardé en premier je crois et a trouvé des prétextes pour que je me rapproche. Je sentais déjà sa chaleur. J’imaginais la fermeté de ses cuisses. J’imaginais l’onctuosité insoutenable de son envie. J’imaginais son corps sans vraiment me rendre compte qu’elle me regardait. Je n'ai réalisé qu’après avoir senti la chaleur de sa présence, son regard amusé, sa main relever ma tête, ses doigts passer dans mes cheveux, son corps frotter mon ventre, son genou serrer mon entrejambe, ses lèvres frotter les miennes, sa langue chercher la mienne. J’imaginais encore, quand elle crut bon de me faire réagir, - Mais ... où êtes-vous ? .... Est-ce que j'embrasse un rêve ? Je ne l’imaginais plus. Elle était contre moi et s’enroulait maintenant contre moi. Je compris que ses petits gémissements de contentement formaient un appel à plus d’impudeur. - Nous ne pouvons rester ici ! Venez avec moi, ne dites rien ... - et surtout ... ne vous lassez pas de me regarder, ne cessez pas de me désirer. - Je suis prête à me donner à vous tel un cadeau sucré, - vous ferez jaillir en moi le feu sacré, vous me ferez rougir de plaisir... - Vous vous laisserez aller à votre plaisir ! Ce sera si bon de s’abandonner ! - De votre corps, je veux tout ! - Que vos lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent. - - Que votre bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent. - Je veux sentir votre désir se dresser contre moi, - Je veux que mes seins lourds soient l’oasis de nos jouissances partagées. - Je veux que mon corps chaud vous enveloppe, vous enflamme, qu'il vous brûle. - Je veux sentir votre sexe s'enfoncer dans ma chair, - qu'il s'enfonce loin en moi, qu'il me pénètre, qu'il m'explore, - qu'il me perfore, brutalement, sans concession, - Je veux que vous me fassiez jouir, que vous m'enflammiez, - que vous m'essouffliez, que vous me finissiez, - Je veux que, dans mon nid parfumé, mouillé de mon nectar, vous vous libèriez - que vous me donniez toute votre sève chaude, - que vous me remplissiez de vous, de votre liqueur douce amère, - qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi. - Je veux que vous m'abreuviez de votre sève, de votre onction liquide, - que vous vous lachiez, que vous jouissiez en moi, - que vous fassiez jaillir votre miel d'homme, - que vous m'inondiez de vous ! - Venez et allons vite nous aimer ! | rêve éveillé (E) Je considérais autour de moi ces femmes qui vivaient dans leur corps les appétits secrets de désirs convoités. j’essayais de deviner ce corps, d'imaginer leurs dessous. Je me croyais transparent, effac&eacu ... |
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![]() | je suis à toiLa première fois où je l'ai vue, elle avait choisi son endroit pour exercer sa belle vertu à l'égard des gens de droit, c'était la première fois, je m'y prenais comme un grand maladroit. Elle m'accueillit avec force de voix, elle prit la chose en main, je ne refusai pas. elle me prit par le bras, je n'avais plus le choix. Elle me demanda de lui dire un grand oui à haute voix. C'était une remise dérobée, elle voulait le meilleur de moi. Elle m'offrit un baiser Je n'avais plus du tout froid et dans un grand silence Elle me dit : je suis à toi zoran.tempete | je suis à toi (E) La première fois où je l'ai vue, elle avait choisi son endroit pour exercer sa belle vertu à l'égard des gens de droit, c'était la première fois, je m'y prenais comme un grand maladroit. Elle m'accu ... |
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![]() | souffle chaudLe souffle chaud de ma divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea à poursuivre, et du bout de sa langue elle vint effleurer ma muqueuse. Les spasmes de mes bourses qu'elle manipulait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe en entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle dégagea un moment ses lèvres de mon sexe planta ses yeux dans les miens. C'était un regard de feu, de passion, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle me murmura : - Mon chéri, je veux te faire jouir, te sucer, te pomper, je veux te vider de ton élixir de vie. Elle allait et venait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Mon sexe était tout luisant de sa salive, Les caresses de ma sublime maîtresse, m'avaient amené à la limite du cataclysme. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement, j'attrapai la tête de ma fellatrice pour bloquer son mouvement de va et vient le long de mon dard et l'avertir de l'imminence de mon explosion - Madame, je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas... Elle dégagea sa tête de mes mains, enserra fortement la base de mon membre pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers mon visage. - Mon chéri, donne-moi toute ta sève, au fond de ma gorge. Et elle engloutit aussitôt mon gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche - Oh Madame ! Je viens ! Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, elle resserra ses lèvres à la base de mon gland pour ne rien perdre de mon nectar, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Mon jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle, et pourtant, pour elle apparemment, un véritable hydromel, un nectar. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de ma tige brûlante encore dure dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper ma verge encore bien bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher ma hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, elle m'adressa un regard langoureux pour me remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de ma délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Je recherchais mon souffle, mes yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti ma salive, je regardai ma douce fellatrice à mes genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de ma sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de mon sperme. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore mon sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme satisfaite. | souffle chaud (E) Le souffle chaud de ma divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea &a ... |
![]() | paradis bien terrestreelle montait et descendait sur mon sexe, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'était suave, j'étais au paradis, Ma queue bien enfouie dans son ventre chaud Elle en profitait pour se coulisser sur moi le spectacle de ses gros seins ballottant au-dessus de ma tête ne tarda pas à me donner de la vigueur ! Elle le remarqua - je te sens bien dur en moi ! elle soulevait son bassin puis se laissait retomber en poussant en avant pour mieux sentir mon penis investir son ventre je voyais ma verge tantot enfoncée, tantôt presque sortie, nos ventres l'un contre l'autre. Empalée à fond elle remuait ma queue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourageait ! - regarde bien mes seins ! - tu es bien profond en moi, - vas-y, coulisses fort ! Elle se déchaîna, ses seins ballottaient de droite à gauche elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je n'en pouvais plus, moi non plus - Vas-y, remplis-moi, - laches tout ! Et je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre Un immense sentiment de bien être m'envahit ! J'étais comblé Elle se coucha sur moi, je serrai tendrement son visage contre ma joue, | paradis bien terrestre (E) elle montait et descendait sur mon sexe, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'était suave, j'étais au paradis, Ma queue bien enfouie dans son ventre chaud Elle en profitait pour se coulisser sur moi le spec ... |
![]() | Elle se frotte, se soulèveElle se frotte, se soulève, redescend, ondule Elle fait grossir mon sexe qui se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Elle sourit. Nous nous balançons l’un dans l’autre, nous savourons chaque instant. Elle se soulève, redescend, avale mon sexe. Ses beaux seins ballottent au dessus de mes yeux. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Et caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, assouvis et heureux, | Elle se frotte, se soulève (E) Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule Elle fait grossir mon sexe qui se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche ver ... |
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![]() | - Bonjour ! ... de passage ? - Vous venez prendre un verre ? - Entrez ! Je vous attends. La porte est ouverte. - Bonjour ! Entrez. Installez-vous. - Je suis sûr que vous vous demandez si nous n’allons pas baiser ? - Ai-je tord ? Vous etes inquiet, il me semble. - Votre voix n’est plus aussi sûre que tout à l’heure. - J’ai des seins qui te plaisent, - j’aime sentir qu’on me pénètre. - J’aime qu’un sexe d’homme s’empare de mon ventre. - Nous allons baiser ! Tout de suite ! Le veux tu ? - Vais-je plus loin ? - Tu me désires car je suis belle. - Mais .... Tu bandes ! ... comme un cheval ! - Tu veux toujours ? - Viens ! Moi aussi j'ai envie ! - Tu sens ? Je suis toute ouverte ! - Pénètre moi ! ... Fort ! Violemment ! - Met la moi bien profonde ! - Je veux te sentir frémir dans mon ventre ... - A la bonne heure ! Oui ! C'est bien - bien au fond ! ... Accélère ! - Non ! Reste en moi ! Bien au fond ! - Je veux ta sève en moi. Viens vite ! - Jouis ! Vite ! ... - Oui ! ... Oh ! Que c'est bon ! - Je garderai un souvenir de toi dans mes chairs. - Eh bien Tu en avait des litres ! Félicitations ! - Tu peux revenir quand tu veux ! | (E) - Bonjour ! ... de passage ? - Vous venez prendre un verre ? - Entrez ! Je vous attends. La porte est ouverte. - Bonjour ! Entrez. Installez-vous. - Je suis sûr que vous vous demandez si nous n’allons pas ba ... |
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![]() | Je passais dans la rue, et dans l'encadrement d'une porte une femme ... aguicheuse ... en tenue légère. la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris. - Bonjour ! ... de passage ? - Oui. juste une nuit. Cette rue est tranquille. - Venez prendre un verre ? - Si vous voulez - Entrez ! Je vous attends. La porte est ouverte. Je ferme ma porte, et la rejoint. Étonnant la vie. - Bonjour ! Entrez. Installez-vous. Je vous offre un whisky ? J'acquiesce, elle se déplace avec toute l’élégance de son corps. Elle me sourit étrangement. Elle s'assoit près de moi, me fixe un bon moment et me déclare tout de go: - Je suis sûr que vous vous demandez si nous n’allons pas baiser ? Je ne trouve pas mes mots. - Ai-je tord ? Vous etes inquiet, il me semble. Votre voix n’est plus aussi sûre que tout à l’heure. Je ne peux plus articuler (ma défaite), - J’ai des seins qui te plaisent, j’aime sentir qu’on me pénètre, - j’aime qu’un sexe d’homme s’empare de mon ventre. Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, - Nous allons baiser ! Tout de suite ! Le veux tu ? Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Je suis subjugué que tout soit si simple. - Vais-je plus loin ? J’affirme de la tête - Tu me désires car je suis belle. Elle me déshabille, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. - Mais .... Tu bandes ! ... comme un cheval ! Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. je la fouille. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement, pose un préservatif sur mon sexe. - Tu veux toujours ? Elle me darde du regard puis s'allonge sur le lit - Viens ! J'ai envie de toi !Pénètre moi ! ... Fort ! Violemment ! - Je veux te sentir dans mon ventre ... Je te veux en moi. Viens. Je me penche vers elle. Elle dirige mon sexe. je m'enfonce, je me perd en elle un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat, ma verge fouille son ventre, se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend en elle. elle me tient profondément serré en elle. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous lançons des mots sans suite juste pour apaiser le silence de notre jouissance. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont gourmands. Elle sourit. Nous nous balançons l’un en l’autre, nous puisons tous les instants. Elle avale mon sexe et joue de ma résistance. Je vais éclater en elle. Elle me regarde me dit - Jouis ! vite ! ... Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs. Je sens chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. elle me serre et me dévore. Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monte. Un frisson. Elle le sent, m’enfonce en elle loin très loin. Je me rapetisse. Le trait m’échappe .... Je lache tout. J'ouvre les vannes. je me libère .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçoit mon offrande liquide Elle me suçe, je me vide au fin fond de son ventre. Elle suce tout, ne gâche, ne perd rien. C’est insoutenable. Elle me prend par la hampe et frotte contre ses lèvres mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle avale presque tout mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. C'était un soir d'été | (E) Je passais dans la rue, et dans l'encadrement d'une porte une femme ... aguicheuse ... en tenue légère. la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris. - Bonjour ! ... de passage ? - Oui. jus ... |
![]() | Dans l'encadrement d'une porteDans l'encadrement d'une porte, cette femme ... aguicheuse ... en tenue légère, la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris. - Bonjour ! ... Rentrez donc ! Entrez ! et fermez la porte ! Elle me sourit étrangement, me fixe un bon moment et me déclare tout de go: - Je suis sûr que vous vous demandez si vous allez pouvoir me baiser ? Je ne trouve pas mes mots. - Ai-je tord ? Vous etes inquiet, il me semble. - Votre voix n’est plus aussi sûre que tout à l’heure. Je ne peux plus articuler (ma défaite), - J’ai des seins qui vous plaisent ? J’aime sentir qu’on me pénètre, - j’aime qu’un sexe d’homme s’empare de mon ventre. Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, - Nous allons baiser ! Maintenant ! Le voulez-vous ? Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Je suis subjugué que tout soit si simple. - Vous me désirez car je suis belle. Elle commence à me déshabiller, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. - Mais ... Tu bandes ! ... comme un cheval ! Tu m'excites ! Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. je la fouille. Elle me regarde tendrement, pose un préservatif sur mon sexe. - Tu veux toujours ? Elle me darde du regard puis s'allonge sur le lit - Viens ! J'ai envie de toi ! Pénètre moi ! ... Fort ! Violemment ! - Je veux te sentir dans mon ventre ... Je te veux en moi. Viens. Je me penche vers elle. Elle dirige mon sexe. je m'enfonce, je me perd en elle ! Un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat, ma verge fouille son ventre, se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend en elle. Elle me tient profondément serré en elle. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous lançons des mots sans suite juste pour apaiser le silence de notre jouissance. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont gourmands. Elle sourit. Nous nous balançons l’un en l’autre, nous puisons tous les instants. Elle avale mon sexe et joue de ma résistance. Je vais éclater en elle. Elle me regarde me dit - Jouis ! vite ! ... Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs. Je sens chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. elle me serre et me dévore. Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monte. Un frisson. Elle le sent, m’enfonce en elle loin très loin. Je me rapetisse. Le trait m’échappe .... Je lache tout. J'ouvre les vannes. je me libère .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçoit mon offrande liquide Elle me suçe, je me vide au fin fond de son ventre. Elle suce tout, ne gâche, ne perd rien. C’est insoutenable. Elle me prend par la hampe et frotte contre ses lèvres mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle avale presque tout mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. ... C'était un soir d'été | Dans l'encadrement d'une porte (E) Dans l'encadrement d'une porte, cette femme ... aguicheuse ... en tenue légère, la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris. - Bonjour ! ... Rentrez donc ! Entrez ! et fermez la porte ! Elle me sour ... |
![]() | Si vous venezSi vous venez, je prendrai vos lèvres dès la porte, Nous irons sans parler dans l'ombre et les coussins, Vous m'y ferez tomber, longue comme une morte, Et, passionnément, vous chercherez mes seins. A travers mon bouquet de corsage, votre bouche Prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs, Et vous écoutant gémir du baiser qui vous touche, Vous me désirerez, jusqu'aux pleurs, jusqu'aux pleurs ! Or, vos lèvres au sein, je veux que votre main Fasse vibrer mon corps - instrument sans défaut - Que tout l'art de l'Amour inspiré de mes seins Exalte cette chair sensible intime et moite. Mais quand le difficile et terrible plaisir Me cambrera, livrée, éperdument ouverte, Puissé-je retenir l'élan fou du désir Qui crispera vos doigts contre mon col inerte ! Lucie Delarue-Mardrus | Si vous venez (E) Si vous venez, je prendrai vos lèvres dès la porte, Nous irons sans parler dans l'ombre et les coussins, Vous m'y ferez tomber, longue comme une morte, Et, passionnément, vous chercherez mes seins. ... |
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![]() | l’empreinte de mon étreinteDe mon passage, Monsieur méfiez vous. Comme témoignage un peu partout, J’abandonne l’indice coloré d’une pointe de rosée. A petites touches de ma bouche, Je laisse l’empreinte de mon étreinte. Grenat, vermillon, carmin, ou géranium, Peu importe le corail : Votre sexe toujours défaille. Arthémisia | l’empreinte de mon étreinte (E) De mon passage, Monsieur méfiez vous. Comme témoignage un peu partout, J’abandonne l’indice coloré d’une pointe de rosée. A petites touches de ma bouche, Je laisse l’emprei ... |
![]() | le con d'Irene (Louis Aragon)Comme il se tend vers vos yeux, comme il bombe, attirant et gonflé, avec sa chevelure d’où sort, pareil aux trois déesses nues au-dessus des arbres du Mont Ida, l’éclat incomparable du ventre et des deux cuisses. Touchez mais touchez donc vous ne sauriez faire un meilleur emploi de vos mains. Touchez ce sourire voluptueux, dessinez de vos doigts l’hiatus ravissant. Là que vos deux paumes immobiles, vos phalanges éprises à cette courbe avancée se joignent vers le point le plus dur, le meilleur, qui soulève l’ogive sainte à son sommet, ô mon église. Aragon (le con d'Irene) | le con d'Irene (Louis Aragon) (E) Comme il se tend vers vos yeux, comme il bombe, attirant et gonflé, avec sa chevelure d’où sort, pareil aux trois déesses nues au-dessus des arbres du Mont Ida, l’éclat incomp ... |
![]() | souffle chaudLe souffle chaud de Lucie, ma divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea à poursuivre, et du bout de sa langue elle vint effleurer ma muqueuse. Les spasmes de mes bourses qu'elle manipulait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe en entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle dégagea un moment ses lèvres de mon sexe planta ses yeux dans les miens. C'était un regard de feu, de passion, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle me murmura : - Mon chéri, je veux te faire jouir, te sucer, te pomper, je veux te vider de ton élixir de vie. Elle allait et venait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Mon sexe était tout luisant de sa salive, Les caresses de ma sublime maîtresse, m'avaient amené à la limite du cataclysme. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement, j'attrapai la tête de ma fellatrice pour bloquer son mouvement de va et vient le long de mon dard et l'avertir de l'imminence de mon explosion - Madame, je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas... Elle dégagea sa tête de mes mains, enserra fortement la base de mon membre pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers mon visage. - Mon chéri, donne-moi toute ta sève, au fond de ma gorge. Et elle engloutit aussitôt mon gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche - Oh Madame ! Je viens ! Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, elle resserra ses lèvres à la base de mon gland pour ne rien perdre de mon nectar, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Mon jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle, et pourtant, pour elle apparemment, un véritable hydromel, un nectar. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de ma tige brûlante encore dure dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper ma verge encore bien bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher ma hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, elle m'adressa un regard langoureux pour me remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de ma délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Je recherchais mon souffle, mes yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti ma salive, je regardai ma douce fellatrice à mes genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de ma sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de mon sperme. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore mon sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme satisfaite. | souffle chaud (E) Le souffle chaud de Lucie, ma divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encour ... |
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![]() | Je passais dans la rue, et dans l'encadrement d'une porte, une femme ... aguicheuse ... en tenue légère, la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris. Elle m'invite, Je rentre dans son alcôve. Je ferme ma porte, et la rejoint. Étonnant la vie. Elle se déplace avec toute la sensualité de son corps. Elle me sourit étrangement, s'assoit près de moi, me fixe un bon moment. Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Je suis subjugué que tout soit si simple. Elle me déshabille, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. je la fouille. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement, pose un préservatif sur mon sexe, me darde du regard puis s'allonge sur le lit, ouverte, provocante. Je me penche vers elle. Elle dirige mon sexe. je m'enfonce, je me perd en elle, un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat, ma verge fouille son ventre, se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend en elle. elle me tient profondément serré en elle. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous lançons des mots sans suite, juste pour apaiser le silence de notre jouissance. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont gourmands. Elle sourit. Nous nous balançons l’un en l’autre, nous puisons tous les instants. Elle avale mon sexe et joue de ma résistance. Je vais éclater en elle. Je sens chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. elle me serre et me dévore. Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monte. Un frisson. Elle le sent, m’enfonce en elle loin très loin. Je me rapetisse. Le trait m’échappe .... Je lache tout. J'ouvre les vannes. je me libère .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçoit mon offrande liquide Elle me suçe, je me vide au fin fond de son ventre. Elle suce tout, ne gâche, ne perd rien. C’est insoutenable. Elle me prend par la hampe et frotte contre ses lèvres mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle avale presque tout mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. C'était un soir d'été | (E) Je passais dans la rue, et dans l'encadrement d'une porte, une femme ... aguicheuse ... en tenue légère, la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris. Elle m'invite, Je rentre dans son alcôve. Je ferme ... |