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tendre réconfort


j'étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque Julien a frappé à la porte. Il avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris et, oubliant ma tenue, je l'ai attiré dans mes bras sa tete sur mon épaule, j'ai tenté de l'apaiser. Il était vraiment blotti tout contre moi. Je me suis rendu compte qu'entre lui et moi, il n'y avait plus qu'une mince cloison de soie et que ma poitrine, libre de toute contrainte pesait sur son torse. Il ne pouvait ignorer que j'étais nue en dessous de ma chemise de nuit. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à ce contact, mes pointes étaient en saillie sous le léger tissu. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il s'est agrippé à moi. il découvrait pour la première fois ma poitrine. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, à peine affaisés sous la dentelle, les bretelles étaient tombées sur mes bras, un corps aux formes harmonieuses, sublimes. Ses mains se déplaçaient tout au long de mon dos. J'ai senti sa verge se gonfler et se raidir contre ma cuisse. J'avais le vertige. Il s'est trouve alors à hauteur de ma bouche. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. Il a posé ses lèvres sur les miennes. Il m'affolait litteralement Nous nous sommes embrassé à pleine bouche. Il a introduit doucement sa langue, je m'abandonnais à son baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma chemise de nuit. Il me serrait contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se sont rapproché et se sont déchainé d'une intense passion. Nos corps se heurtaient, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous pénétrer, de nos assouvir l'un dans l'autre. je me suis alors séparé de lui, tentant de reprendre mes esprits.
- j'ai envie de toi. me lança-t'il dans l'oreille
J'eu à la fois pitié de lui et une intense envie de me laisser aller à mon envie de ce jeune corps. je l'emmènais avec moi. Je l'ai entraîné sur mon lit. Il s'est love contre moi, je lui ai dévoilé toute mon intimité ... et je me suis offerte à lui.
- Viens sur moi.. et rentre doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
Il s'est positionne sur moi, j'ai dirigé son sexe et j'ai senti sa dure et longue verge m'envahir et me remplir, il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie. il a entamé un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagna d'un bruit de succion. Il plongea en moi et gonfla en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier.
- Ca va mieux ? Tu es bien ? lui demandai-je en l'embrassant sur le front
- Oh oui ! Je vais mieux ! c'est tout doux ! C'est bon !
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour lui faire perdre complètement le contrôle de ses actes. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de ce jeune amant fougueux. Je m'agrippai a ses épaules, et soulevant ma jambe gauche, la passai autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer cette colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. J'ai senti monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y, jouis ! .. oui, maintenant ..
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait.
Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses électrisait le jeune garçon. La pression de ma gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur ce sexe béni. Il m'a empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je gémissais mon plaisir, soupirais ma jouissance, relais mes orgasmes. C'était comme une vague qui m'emportait, ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
Je sentais le jet puissant de mon jeune amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de mon vagin malmené. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence . Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressantsensuelle ment, nous enlaçant à nouveau.

Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
tendre réconfort (E)
j'étais dans ma chambre, en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque Julien a frappé à la porte. Il avait le visage défait. Je ne sais ce qui m'a pris et, oubliant ma tenue, je l'ai attiré dans ...

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apprentissage


Louise était belle, avec beaucoup de charme. J'essayais de la séduire souvent Elle me dit un jour:
- Retiens ceci : les femmes sont sensibles, sois tendre avec elles et tu auras tout ce que tu veux.
Elle me fixe dans les yeux, me dépose un baiser sur le bout des lèvres.
- Tu vois, tu es gentil avec moi, ça me donne envie de te faire des douceurs.
Je ne sais plus où je suis, je reste sans voix et savoure le moment. Elle reprend :
- Tu m'écoutes ? Tu es avec moi ?
Son regard est maintenant différent, plus profond. Nous sommes l'un en face de l'autre. Je reste toujours sans voix
- il va falloir que je prenne les choses en main si je veux qu'on progresse !
Elle se rapproche encore et m'embrasse délicatement, je sens ses lèvres chaudes et humides sur les miennes, sa langue commence à effleurer mes lèvres, je me laisse faire mais je ne sais que faire de mes mains, elle se recule:
- un peu empoté, hein ?? Attends un instant.
Elle déplie ses jambes et les passe autour de ma taille. Elle recommence alors à m'embrasser, et glisse ses mains sous mon t-shirt. C'est divin, je la sens explorer mon dos avec douceur, je commence à être dans tous mes états,
elle me retire le T-shirt, et le sien mettant ainsi à nu cette poitrine délicatement enveloppée dans un soutien gorge de dentelle blanche, elle reprend ses baisers sur ma joue puis mon cou. Sa respiration change, elle a laissé sa tête retomber sur mon épaule et sa respiration se fait de plus en plus haletante, je sens ses bras me serrer, ses mains se crisper sur ma peau, elle relève la tête, me regarde droit dans les yeux et dit :
- maintenant il va falloir que tu assumes l'état dans lequel tu viens de me mettre !
Mes mains sont au niveau du soutien gorge et je cherche à l'ôter, elle sourit, passe ses mains dans son dos et me guide, elle bascule à nouveau son buste en arrière afin que je puisse libérer sa poitrine. Ses seins sont magnifiques, les bouts sont tendus sous l'excitation, j'entreprends de les embrasser, elle me serre la tête dans ses bras. Je passe mes mains sur sa poitrine puis j'en dessine délicatement le contour. Elle a les yeux fermés, sa respiration redevient haletante, elle reste accrochée à mon cou, sa tête repose sur mes cheveux.
Elle se relève et me lance :
- si tu continues comme ça, je ne vais plus pouvoir me tenir.
Avant que j'aie eu le temps de répondre, elle se libère de moi et me projette en arrière sur le lit, Elle me chevauche alors et recommence de fougueux baisers. Sa peau me semble de plus en plus douce et une odeur s'en dégage, l'ivresse me guette. Je libère délicatement la ceinture de son jean et défait les boutons un à un, elle souleve son bassin afin que je retire le pantalon. Apparaît alors devant moi, son slip de nylon blanc, il est auréolé et humide. Je parcours l'élastique de la taille en glissant un doigt en dessous et le fait délicatement glisser vers le bas, je vois apparaître petit à petit une toison brune et peu étoffée, l'odeur se fait de plus en plus forte. Son slip glisse le long de ses jambes et elle l'envoie balader d'un simple geste, elle garde uniquement une cuisse écartée. Je m'installe entre ses jambes et commence à embrasser toutes ses chairs, je vois son ventre qui commence à être pris de spasme, son bassin se balance, elle est prise de frisson, ses mains se crispent sur les draps avant de me saisir la tête et de la relever pour que nos regards s'échangent, elle me jette alors :
- pas comme ça, viens me faire l'amour
Elle joint les mots à l'action et me fait remonter sur son corps en tirant délicatement sur ma tête, je l'embrasse. elle me guide vers son sexe. Le bout de mon sexe est à l'entrée du sien, elle me regarde fixement, sourit et appuie sur mes fesses, je pénètre dans cet espace chaud et humide, elle soupire et je sens ses jambes se raidir, son bassin remonter. Une fois au fond, elle garde une pression forte sur mes fesses pour que je ne me retire pas,
elle relâche puis rappuie afin de m'imprimer le rythme. Ses yeux sont clos, sa respiration s'accélère, elle glisse ses mains sur mes hanches et ses ongles me blessent au rythme de ses spasmes. Sa tête s'agite, ses bras retombent sur le lit, ses jambes me resserrent, son bassin remonte, elle retient sa respiration un instant, ses mains se crispent sur les draps et elle lâche un long soupir suivi d'une respiration haletante, tous les muscles de son corps se relâchent, elle me repousse pour que je me retire et elle roule sur le ventre parcouru de frissons.
Je l'inonde. Je suis à ses côtés, je lui caresse le dos, elle me regarde, sourit, puis referme les yeux, elle savoure l'instant. Elle se rapproche de moi. Elle se love dans mes bras et nous profitons ensemble de ces instants. Je sens son odeur sur mon corps, l'ivresse me reprend. Elle se lève et me dit qu'il faut prendre une douche. Elle m'invite à la prendre ensemble. La douche fut ponctuée de baisers et de tendres caresses.
apprentissage (E)
Louise était belle, avec beaucoup de charme. J'essayais de la séduire souvent Elle me dit un jour:
- Retiens ceci : les femmes sont sensibles, sois tendre avec elles et tu auras tout ce que tu veux.
Elle me fixe dans ...

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Il venait d'avoir dix-huit ans


Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux. Ça l'a fait rire Quand il s'est approché de moi J'aurais donné n'importe quoi pour le séduire. Dix-huit ans, c'était le plus bel argument de sa victoire Il ne m'a pas parlé d'amour Il pensait que les mots d'amour sont dérisoires Il m'a dit : "J'ai envie de toi" il avait vu au cinéma "le blé en herbe" Au creux d'un lit improvisé J'ai découvert émerveillée un ciel superbe

Je l'ai invité dans mon lit, et je me suis offerte à lui. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvrais, tendre et humide, et le laissais glisser en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il pouvait sentir mes douces caresses intimes, j'étais bien, lui aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspirais, je l’absorbais. son souffle était lent. Il me pénétrait doucement, tendrement, puis restait un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. ses mouvements reprennaient, plus amples, sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Je lui faisais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède Il accéléra peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent,
Je fermais les yeux, je m'offrais un peu plus à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de ses pénétrations rythmées. J'étais maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais plus ses yeux, Son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ? me demanda-t'il
- Non ... Pas encore... lui répondis-je, continue tes douces caresses intimes !
je sentais son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Il se remit à osciller en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avalais, l'absorbais, je digérais ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge était sèche. Il esquissa une grimace, j'inclinais mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entama des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas et dès son premier soupir, il ne parvint déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, je me mordillais les levres, doucement le rythme s'accélèra. Il s'agrippa à mes épaules et repris ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bougeais pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. il me pénètra plus profondément, j'étais prise de vertige. Je me concentrais sur ce gros sexe qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je, Viens ! Donne moi ta sève chaude !
Il saisit alors mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net. Je le sentis venir, il crispa son regard ..... Je le tirai à moi. Il explosa en moi ! Je sentis un flot de son liquide de vie me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
- Je suis remplie de toi ! Tu m'as comblée ! Tu as été merveilleux !
Puis Il s'effondra avec des grondements d'ours blessé. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.

Il fut total, amant, secret, ardent et directif. il fut câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.

Il venait d'avoir dix-huit ans Ça le rendait presque insolent de certitude Et pendant qu'il se rhabillait Déjà vaincue, je retrouvais ma solitude
J'aurais voulu le retenir Pourtant je l'ai laissé partir sans faire un geste Il m'a dit : "C'était pas si mal", avec la candeur infernale de sa jeunesse.
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux Un peu plus de noir sur mes yeux par habitude J'avais oublié simplement Que j'avais deux fois dix-huit ans
Il venait d'avoir dix-huit ans (E)
Il venait d'avoir dix-huit ans, il était beau comme un enfant, fort comme homme C'était l'été évidemment Et j'ai compté en le voyant mes nuits d'automne." J'ai mis de l'ordre à mes cheve ...

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discretion


- Sois tranquille ! La porte est fermée ! Nous sommes seuls dans la maison !
- Laisse-toi faire ! N'aie pas peur ! Détends toi ! ... Voilà !
- caresse mon corps ! caresse mes seins ! Ils te plaisent ? ... Doucement !
- Je te sens troublé ! Tu fais trembler mes lèvres vers un désir étrange !
- Caresses maintenant mon ventre ... là, plus bas .. oui ! ..
- Tu sens comme je mouille ... c'est à cause de toi ! tu ne m'est pas indifférent !
- Met tes doigts ! Tu sens ? ils rentrent tout seul, et ça me fait du bien !
- Pose tes lèvres sur les miennes ... doucement l'une contre l'autre
- maintenant ... fais pénétrer ta langue entre mes lèvres ... joue avec la mienne .
- Je sens que je te fais de l'effet ! Je sens ta virilité qui s'affirme !
- caresse mon corps, mes seins, mon cou, mon dos ...
- J'aime le velours de ta langue qui glisse sur ma peau ! Je te sens trembler ! ...
- Regarde maintenant mes beaux seins qui ballotent devant toi !
- Je les pose sur ton torse, je les fais se frotter doucement contre ta peau
- Tu sens ce plaisir qui monte en toi ?
- Laisse moi prendre ton sexe en main. Laisse moi faire !
- il grossit et s'allonge. Tu as envie de moi ! ... et j'ai envie de toi !
- Je veux sentir ton sexe, Ferme avec moi tes yeux. Laisse moi te guider !
- Tu sens ? ... il rentre tout seul ! ... Oui ! ... Je te sens bien !
- Prend le temps, arrêtes-toi ... et sens la caresse de mon ventre !
- Je m’ouvre à toi, je t'aspire en moi avec mes muscles intimes ... tu sens ?
- Tu aimes ?
- Enfonce toi, encore et encore, plus profondément. C'est une sensation délicieuse.
- à présent tu es mien, je suis tienne.
- J'aime ton souffle haletant. J'aime ton regard brulant.
- J'aime quand ta chair se melange à ma chair, blottie au fond de moi.
- Maintenant, j'en veux plus !
- Je veux ton jet de vie ! Je veux que tu rechauffes mon corps de ta semence chaude,
- Viens ! ... plus loin ! ... gonfle bien ta verge ! Je sens tes bourses bien pleines ! Investis moi, Ne te retiens plus,
- Reprend mes seins en main ! Tu sens comme ils sont doux ! palpe les bien. Oui comme ça ! Ils t'excitent, je le sens !
- Donne moi tes lèvres , et enfonce-toi complètement, Va au fond de mon ventre ... plus vite ... plus fort !
- Donne moi ta bouche, vite ! embrasse moi ! Mord moi !
- Je suis prete ! Maintenant ! Bloque toi bien, au fond de mon ventre... Et lache toi ! Maintenant ...
- Vides toi en moi. Donne moi tout ton sperme !
- Ouuuii , Cà y est ! ...
- Oh c'est chaud ! Oui, c'est bon ! Je sens ta douce chaleur liquide.
- Oh ! Mon chéri ! ... C'est doux, Je sens ta semence chaude qui gicle par saccades !
- là ... je vais jouir, viens ... vite ! Oh oui ! remplis-moi encore ...
- Tu me fais jouir à mon tour ! Je suis prise, je te laisse me finir,
- Je suis remplie de toi, J'aime ton regard éperdu au moment de l'orgasme,
- J'aime tes râles de plaisir. ,
- J'aime ton foutre qui m'inonde et coule entre mes jambes.
- Relâche toi maintenant ! Affaisse toi contre moi ...
- Ne bouge plus ! Laisse moi te serrer contre moi. ton visage dans mon cou, ton souffle sur ma nuque.
- Mes mains dans le creux de tes reins, sur ta peau lisse et douce.
- Tu es blotti contre moi, inerte et si vivant. Sens mon parfum sur ta peau.
- Je te sens apaisé, vidé, comblé, je bouscule ta vie. Tu m'a donné ta douceur, ta fraîcheur
- Je t'embrasse, ... Je te laisse maintenant glisser hors de moi ...
- tu entends ... ce bruit de siphon
- Tu vois ... tu m'en a mis des litres !
- Ca veut dire que c'était bon ! Embrasse moi !
discretion (E)
- Sois tranquille ! La porte est fermée ! Nous sommes seuls dans la maison !
- Laisse-toi faire ! N'aie pas peur ! Détends toi ! ... Voilà !
- caresse mon corps ! caresse mes seins ! Ils te plaisent ? ... Doucem ...

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acceleration


Julien, fort excité, enfonça sa longue verge dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Marthe ne tarda pas à sentir la jouissance. Lançant ses jambes sur les fesses agitées de son jeune amant, elle l'emprisonna entre ses cuisses trempées. De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses masculines. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de sa maitresse, Lucien s'activa de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, les affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Marthe s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration.
Lucien ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Marthe avait compris qu'il atteignait le point de non retour, aussi l'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de son vagin affamé.
Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible.
Dans un véritable feu d'artifice, il déchargea sa semence à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives,
dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Marthe. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs du jeune amant. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés lui aussi totalement vidé et anéanti. Haletants les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes.

Puis la première à reprendre ses esprits, Marthe fit basculer le corps devenu trop lourd de Lucien à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait.
De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit :
- Eh ben mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis !
- J'en ai de partout…
- C'était bon ? Tu as aimé ?
- Oh Oui !
- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
acceleration (E)
Julien, fort excité, enfonça sa longue verge dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Marthe ...

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doux massage


Marthe voulait me faire gouter les délices d'une douce fellation. Elle se laissa couler le long du corps de Julien, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. La douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait les bourses du jeune garçon qui se crispa sous cette nouvelle attaque. Le souffle chaud de sa divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de son sexe.
Elle posa d'abord ses lèvres sur le gland violacé puis l'embrassa délicatement. Le premier frisson de Julien l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse Les spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est le sexe entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive, Les caresses de sa sublime maîtresse, l'avaient amené à la limite du cataclysme. Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement Il attrapa la tête de sa suçeuse pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard.
- Marthe ... je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête des mains de Julien, enserra fortement la base du membre du jeune garçon pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers le visage de son amant.
- Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme qui s'annonçait proche
- Marthe !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Julien déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, Mme Granger resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu. ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Le bâton de jouissance de son amant était encore dur dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Mme Granger à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.
doux massage (E)
Marthe voulait me faire gouter les délices d'une douce fellation. Elle se laissa couler le long du corps de Julien, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. La douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'a ...

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première avec Carole


Le visage empourpré, Carole s'était rapprochée de moi et me saisissant la tête, elle posa ses lèvres sur les miennes. J'avais le cœur dans la gorge, sa langue douce et chaude s'infiltra habilement entre mes lèvres pour finalement s'enfoncer dans ma bouche. D'abord surpris par ce baiser, je me laissais faire, passif. Puis je lançais ma langue à la rencontre de celle de Carole.
- Je suis la première ? continua Carole en me fixant d'un air extasié.
J'acquiesçai, un peu gêné, mais cet aveu déclencha d'un coup chez Carole une passion nouvelle. Elle se pencha sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Peu à peu, sous ces assauts, j'avancais une main dans l'ouverture de sa robe puis dans son large décolleté pour me saisir d'un sein, et le malaxer doucement. je fis rouler le téton entre mes doigts. Il était dur et certainement sensible, car Carole se mit aussitôt à pousser des petits gémissements. Jamais je n'avais bandé aussi fort. J'avais l'impression que mon pantalon allait exploser. Haletante Carole se redressa, s'empara de mes deux mains, elle les posa sur ses seins genereux à la peau si soyeuse.
- Caresse bien mes seins, gémit-elle.
Je m'exécutais sans me faire prier, malaxant les chairs fragiles avec frénésie. Nous haletions tous les deux. L'excitation était à son comble. Carole se jeta une nouvelle fois sur ma bouche pour m'embrasser fougueusement. Tout en me fouillant l'intérieur du palais de sa langue diabolique, elle posa sa main sur mon pantalon. Avec beaucoup de douceur elle me caressa par-dessus le tissu. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, Carole me regarda dans les yeux :
- Tu veux, que nous allions plus loin ?
Elle dénoua sa robe de soie, qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce corps si proche de moi. Elle se caressa les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Puis elle posa une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, elle écarta ses jambes pour me montrer sa vulve rose et luisante. Carole me demanda d'une voix soudain changée.
- Viens contre moi !
Visiblement excitée, elle m'agrippa la main et la plaqua contre sa vulve.
- Caresses-moi là, me commanda-t-elle d'une voix hachée.
Je posais alors ma main contre les lèvres humides du sexe féminin. Carole me guida, prise par sa passion dévorante. Appuyant fortement ma main contre sa longue fente, elle m'encouragea d'une voix rauque :
- Tu sens comme je mouille … ma vulve est toute ouverte
Timidement, je commençais à caresser la vulve ruisselante, la couvrant de petites incursions appuyées.
- Oui, c'est bien, m'encouragea Carole… là… Tu peux enfoncer tes doigts …
Carole se mit à pousser des petits gémissements, Puis je sentis ses deux mains se saisir de ma main pour l'immobiliser. Agitant son bas-ventre d'avant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son clitoris contre ma main. Je ne tardais pas à m'apercevoir que son sexe était de plus en plus ruisselant de sécrétion,
au bout d'un instant, Carole cessa tout mouvement, s'immobilisant brusquement, tandis qu'une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de la cuisine. Puis au bout de quelques minutes, elle me libéra.
- C'était bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire !
La main littéralement trempée par tout le liquide qui s'était échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse,
mon sexe effroyablement bandé, J'eus sous les yeux le spectacle hallucinant des plis et replis rouges vifs et luisants de sa vulve. Je mourais d'envie d'y enfoncer mon sexe, de sentir ces chairs palpitantes enserrer mon penis.
- Viens ! me demanda soudain Carole ...
nous nous embrassâmes de nouveau, passionnément. Ayant perdu toute timidité, j'en profitais pour laisser courir mes doigts sur ce corps si sensuel, frôlant les larges hanches évasées, pétrissant les fesses, les écartant largement l'une de l'autre. Est-ce le fait de mes caresses, Carole, accrochée à mon cou, commença à s'agiter contre mon corps, frottant lascivement son bas-ventre nu contre l'imposante bosse que faisait ma verge tendue. Au bas de mon ventre, ma verge se dressait orgueilleusement, tandis qu'une douleur me tordait les entrailles. Sans un mot, Carole s'allongea sur le lit conjugal. Là me fixant avec une intensité que je ne lui connaissait pas elle écarta ses jambes.
- Viens ! M'appela-t-elle… Viens entre mes jambes mon chéri…
Tout en me parlant, elle écarta de ses deux mains sa longue fente trempée, je m'approchais. Ecartant encore plus largement l'entré de son vagin, Carole m'invita à la pénétrer d'une voix oppressée.
- je l'ouvre bien pour que toi … Viens mon chéri…
Je n'en croyais pas mes yeux de voir ce sexe féminin offert à mes désirs, à ma disposition. Carole se saisit de mon sexe pour diriger mon gland à l'entrée de sa faille sexuelle. Alors je me laissais aller et m'allongeait sur elle, m'appuyant sur mes coudes. Avec une énorme émotion je sentis ma verge s'enfoncer progressivement dans le conduit vaginal d'une extrême onctuosité. J'étais terriblement excité par cette situation. C'était la première fois que j'enfonçais mon membre viril dans le sexe d'une femme. Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes bourses venir heurter les fesses de ma compagne, qui sans que je comprenne pourquoi se mit à gémir sans retenue. Prise d'une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour s'offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde. J'entamais alors ce mouvement de va-et-vient, faisant coulisser mon dard de chair dans les entrailles féminines, je bougeais lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes sur ma verge, cela me plaisait énormément.
- Plus vite ! Gémit-elle soudain … Va plus vite mon chéri … Baises-moi bien à fond.
j'accélérais alors mon mouvement pour finir par de grands coups de boutoir qui m'enfonçaient violemment dans son ventre. Sa chatte était de plus en plus ruisselante de jus chaud et onctueux. Elle émettait un delicieux bruit de clapotis Plus mes coups de reins se faisaient violent, plus ma compagne se cambrait en poussant de véritables cris de plaisir. Haletante, elle s'accrocha à mon cou pour m'embrasser avec fougue.
Nos langues se caressèrent dans un bain de salive, alors que ses énormes seins se trouvèrent écrasés par ma poitrine. J'étais au paradis. ma langue dans sa bouche, mon sexe bien au fond de son ventre. Des gémissements de plus en plus fort sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps de tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Je n'arrivais pas à réaliser ce qu'il m'arrivait. Je voyais et sentais ma queue entrer et sortir de cette forêt gluante. Carole avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Entre deux gémissements langoureux, elle me marmonnait entre ses dents
- Oh, j'aime ça, tu me rends heureuse.
- Oh oui ! Vas-y mon chéri, enfonce ta bien ta queue dans mon ventre… Vas-y baises-moi profondément…
Elle soufflait comme un bœuf, son souffle était puissant et bruyant, elle jouissait comme une folle. à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que sa jouissance était bien réelle, elle m'offrait son corps sans pudeur, sans retenue. Je la baisais de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon soc charnel. Sa vulve ruisselait d'un jus chaud et poisseux qui me trempait les cuisses, avant d'inonder les draps du lit. Subitement je sentis le plaisir monter en moi,
- Carole .... je crois que je viens !!!!
- Oui mon Cheri ... vas-y ! donnes moi ton sperme ! remplis moi le ventre !
De longues giclées jaillirent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait la vulve dans laquelle je naviguais. Cet orgasme aussi violent que soudain me procura des douleurs dans le dos et l'arrière des jambes, j'étais secoué de la tête aux pieds. Carole se raidit soudainement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se mit à trembler convulsivement, comme pris de convulsions. Ca dépassait tout ce que j'avais pu imaginer. Le fait de penser que j'étais responsable de cette jouissance phénoménale, me comblait d'exitation.
- Oh mon cheri tu viens de me faire jouir comme tu ne peux pas imaginer !
Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire, à reprendre notre souffle et nos esprits. J'avais laissé ma verge profondément enfouie dans la chatte devenue brûlante et dégoulinante de jus. Au bout de quelques minutes, Carole ayant refait surface, me passa tendrement la main dans les cheveux.
- Tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui ?
- Oh oui, répliquais-je comblé. Si je n'ai pas perdu connaissance, c'est un miracle.
- Tu es sûr que c'est ta première expérience ?
- Oui, c'est la première fois.
- Eh bien, il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle. M'attirant à elle, Carole m'embrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à nous embrasser et nous caresser mutuellement. Au bout d'un moment, m'ayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se pencher sur ma virilité encore à demi bandée.

Lorsque je sentis la pointe de sa langue effleurer mon gland tout poisseux de nos sécrétions amoureuses, je ne pus refouler un geste de recul, songeant qu'elle ne pouvait lécher les résidus de nos jouissances respectives. Comprenant mon émoi, Carole tint à me rassurer :
- Tu sais, mon amour, Ton sperme ou mon jus, ce sont des liquides savoureux …
- Regarde je vais te faire du bien.
et la mère de Luc, joignant le geste à la parole, se mit à me sucer mon sexe avec ardeur. Si bien qu'en un rien de temps, je me remis à bander avec autant de force qu'avant mon éjaculation. Je n'en revenais pas. sous la fellation savante et terriblement voluptueuse que je me procurait Carole, voila que mon sexe se durcissait de nouveau.
- Tu aimes ?
- J'adore, lui répondis-je.

D'un coup de reins, elle s'allongea devant moi, et en passant une de ses mains entre ses cuisses, elle se saisit de ma verge qu'elle dirigea vers le sien. Le bout arrondi de mon gland s'appuya sur sa vulve trempée.
- Là, tu y es, me prévint Carole d'une voix sourde… Va doucement, tu es gros… c'est bon
- Oh comme tu es gros, gémit-elle… Vas-y entre !
- Oui, Oooh c'est bon… Ne bouge pas, je t'en prie… Pas tout de suite.
- Vas-y, me demanda enfin Carole… va doucement,
- Oh oui ! Vas-y mon chéri défonce moi...
J'étais excité comme jamais je ne l'aurais imaginé et les gémissements plaintifs de ma compagne m'encourageaient à continuer.
J'accélérais peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Mais d'un seul coup je senti mon sperme monter de mes bourses gonflées à ma verge frémissante. Sans que je puisse me retenir je lâchais mon sperme par saccades. J'eus l'impression de me vider entièrement, tant l'éjaculation dura. Carole se raidit subitement et grogna comme un animal, son corps tremblait comme une feuille. Etant penché sur elle, je lui caressais l'intérieur des cuisses que je trouvais abondamment mouillées, tant ma complice avait joui. Epuisé par cet acte intime, je retirais ma verge. Elle était extrêmement sensible. Se redressant, Carole me serra dans ses bras, ses tendres baisers me remercièrent de tout ce plaisir qu'elle venait de vivre et partager avec moi.
- Tu sais, j'ai jouis comme une folle, tu m'as procuré énormément de plaisir.
première avec Carole (E)
Le visage empourpré, Carole s'était rapprochée de moi et me saisissant la tête, elle posa ses lèvres sur les miennes. J'avais le cœur dans la gorge, sa langue douce et chaude s'infiltra habilement ent ...

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initiation


Le contact de sa peau douce et le moelleux de son sein lourd aggravait mon etat ! elle prit ma main tremblante, la dirigea sous le plissé, pour la poser sur le haut du sein, c'était si moelleux, sa peau de pèche me troublait terriblement: la sueur perlait en gouttes sous son décolleté, elle approcha son visage du mien. Sa main chercha et flatta mes testicules, elle serra mes bourses pendant que ma main flattait son sein , Elle écarta les jambes, souleva sa nuisette et se planta sur la hampe verticale de mon érection suintante, ses lèvres humidifiées presque inondées absorberent mon dard jusqu'a la base, elle mit ses seins en appui sur mon torse écrasant ses deux éminences contre mon corps,
je sentis alors ma verge dure se napper comme un coulis enrobe un fruit ; son liquide plus le mien englobèrent ma tige sur toute sa longueur ! Que dire quand elle se décala d'un centimètre pour glisser ses muqueuses de part et autre de mon vit c'était chaud et aqueux, son vagin se contracta d'un mouvement de constriction réflexe ; l'étranglement par son antre de mon sexe décupla s'il se put mon pulsionnel plaisir Pubis contre pubis elle remit ses blonds cheveux d'un geste de la main des plus sensuels reprendre place dans son dos, elle se dégagea un peu, abandonnant ses liquidités presque amniotiques c'est moi qui poussai mes hanches vers ses fuites ; j'eus la force en six secondes d'aller et venir trois fois, dont deux qui se traduisirent par un gémissement de ma partenaire,
Lorsqu'elle bascula sur le dos, mon membre qui obturait sa caverne laissa ses eaux m'inonder, nous étions liés au plus près assis, moi encore la traversant. mon phallus redevint Verge, je débandais en elle !
initiation (E)
Le contact de sa peau douce et le moelleux de son sein lourd aggravait mon etat ! elle prit ma main tremblante, la dirigea sous le plissé, pour la poser sur le haut du sein, c'était si moelleux, sa peau de pèche me trou ...