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mercredi 17 décembre 2025 - 11h06
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lubricité (Arthemisia)


Son sexe était en joie, d’une lubricité humide et chaude
bordée d’algues et de mousse écumante.
Son sexe scintillait, se tordait du plaisir
de la vague assassine, venant et revenant, du ressac éternel,
assourdissant élan de ses marées viriles.
Son sexe s’exhibait, nu, sous un soleil violine
et voyeur, suintant de sa vie marine,
dans l’océan jurant d’orgiaques phonèmes
qui faisaient rirent les mouettes.
Son sexe disparaissait, englouti par le flot,
la caresse dévoreuse, le baiser infini
porteur de tous mes rêves.

Arthemisia
lubricité (Arthemisia) (E)
Son sexe était en joie, d’une lubricité humide et chaude
bordée d’algues et de mousse écumante.
Son sexe scintillait, se tordait du plaisir
de la vague assassine, venant et revenant, du re ...

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ta langue douce (Bertino le Pascalois)


J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit.
Et je ne sais plus de tes lèvres, De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme, A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends Le plaisir que tu me donnes
Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!

Bertino le Pascalois
ta langue douce (Bertino le Pascalois) (E)
J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

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Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise
Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal Qu'elle aime autant que moi
Ce plaisir fou sauvage Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage Sans honte ni tabou...
(E)
Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise
Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil

Sa bouche est t ...

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Au bout de la plume De l’ami Pierrot (Carimo)


Au bout de la plume De l’ami Pierrot,
Une jolie brune Lui joue du pipeau
Ta chandelle est morte Je fais de mon mieux
Et la réconforte Pour plaire à mes vœux.

Caresse opportune Pierrot se raidit
Il prend du volume Entre en appétit
Claire ma voisine Vous me voyez prêt
Chevauchez câline C’est nôtre intérêt.

Posez votre prune Sur mon bel engin
Si c’est la coutume Qui mieux vous convient.
Si d’une autre sorte Vous aimez le cours
Face à votre porte Ce sera mon tour.

Sur ma tendre enclume Du marteau le jeu
Me plait me consume Attendez un peu
Faites de la sorte Qu’un feu délicat
Enchante ma porte D’un sublime éclat.

Carimo
Au bout de la plume De l’ami Pierrot (Carimo) (E)
Au bout de la plume De l’ami Pierrot,
Une jolie brune Lui joue du pipeau
Ta chandelle est morte Je fais de mon mieux
Et la réconforte Pour plaire à mes vœux.

Caresse opportune Pierrot se raidit ...

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douce chaleur humide


Une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre.
Mes yeux s’ouvraient à peine, il faisait encore nuit.
Sur le haut de mes jambes tout juste une douce caresse
indéfinissable qui effleurait ma peau.
Un parfum capiteux flottait dans l’espace de la chambre.
C’était comme une présence invisible.
Je me disais qu’elle était là.
Un instant je crus deviner sa silhouette debout face à moi.
Mais rapidement mes yeux habitués à l’obscurité balayaient l’espace de la pièce
pour me ramener à l’évidence que j’étais seul.
Son odeur témoignait pourtant de sa présence,
et cette seule idée décupla mon excitation.
j’eu d'un coup un léger sursaut nerveux.
Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul.
Je portais ma main au bas de mon ventre.
Bientôt mes doigts se glissèrent dans une texture fine et soyeuse.
C’était une longue chevelure , la chevelure d’une femme.
Mes mains caressèrent la nuque, qui fléchissait en de longs mouvements réguliers ,
effleurant à peine les sillons de la peau si douce et tiède.
Son odeur, c’était bien son odeur !
Et maintenant, je caressais son épaule qui ondulait,
soulevant ma paume en légers soubresauts réguliers.
La gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe,
c’était la bouche de mon infirmière !
Elle s’était glissée discrètement dans la chambre ,
puis sous mes draps, pour me prodiguer cette sublime fellation.
Les mouvements de sa tête étaient d’une extrême lenteur,
et c’est pour cela que, sous l’effet de la fatigue, j’avais été un instant abusé.
Maintenant sa langue fougueuse léchait mon gland avec plus d’insistance.
En mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge.
lorsqu’elle entrepris de me sucer plus profondément en accélérant la cadence.
Au bout d’un moment que je ne pus pas évaluer,
mon liquide se répandit dans sa bouche.
Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte élégante qui fait sa toilette,
pour nettoyer mon gland de la dernière goutte.
J’allais lui susurrer des mots tendres. Mais brusquement elle se redressa
et j’ eu à peine le temps de distinguer sa silhouette disparaissant dans l’embrasure de la porte.
Les jours de la semaine qui suivirent, j’étais torturé par sa présence.
Je ne voyais qu’elle, je ne pensais qu’à elle.
douce chaleur humide (E)
Une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre.
Mes yeux s’ouvraient à peine, il faisait encore nuit.
Sur le haut de mes jambes tout juste une douce caresse
indéfinissable qui effleurait ma p ...

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abandon (Cécile)


Ton corps entier s’offre à ma bouche
Et j’aime cet intime cadeau
Cet abandon de ta personne
A ma salive à mes envies

Je me délecte de ta peau
Je la caresse et je la touche
Tout doucement lente alanguie
Je m’insinue je te sillonne

Je te possède mon bel objet
Sur le bout des doigts de la langue
Comme un bijou dans son écrin
Mon corps de femme mon âme mâle

Et lorsque las ton sexe exsangue
Me quitte vidé plein de regrets
Je me repose horizontale
Ton souvenir entre mes reins

Cécile
abandon (Cécile) (E)
Ton corps entier s’offre à ma bouche
Et j’aime cet intime cadeau
Cet abandon de ta personne
A ma salive à mes envies

Je me délecte de ta peau
Je la caresse et je la touche
Tout ...

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travail d'orphèvre (Cyr)


Profondément endormi, Je rêve dans le lit
Elle entre dans la chambre Doucement, à petits pas,
Elle Se glisse sous les draps Et cherche à tâton mon sexe flagada...
le trouve entre mes cuisses, à plat Sa main s'y pose frémissante,
Ainsi abandonnée si tentante Elle enveloppe ma chair au repos
Sa langue vient goûter ma peau Douce et chaude de sommeil
Que sans craindre mon réveil Et tendrement elle suçe mon gland.
Mon dard alors se raidi par un afflux de sang,
Elle l'avale et sourit ... De contentement...
Des images érotiques Viennent troubler mes rêves
Tandis qu'elle réanime ma verge qui toute entière se soulève.
Je gémis dans mes songes... Et dans sa gorge profonde ...
Toute ma raideur elle plonge Et, d'un féroce appétit, en sonde
la suçe telle une bonde. Tout son amour me submerge,
Un amour liquide qui trempe ma verge Et coule, impérieux, dans mon sommeil
Pour y verser mille merveilles...
Soudain ! Un feu d'artifice Irise mes paupières closes
et les vagues de mon vice Dans sa bouche explosent !
Je jouis Ca fait du bien Elle avale Tout, rien,
Et elle rit Jusque dans mes rêves Somptueux travail d'orphèvre...

Cyr
travail d'orphèvre (Cyr) (E)
Profondément endormi, Je rêve dans le lit
Elle entre dans la chambre Doucement, à petits pas,
Elle Se glisse sous les draps Et cherche à tâton mon sexe flagada...
le trouve entre mes cuisses, & ...

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ton arbre (Arthémisia)


Ton arbre Je le sens, frémissant sous la brise,
tremblant mais résistant de toute sa force blonde,
Cet arbre m’attire, me provoque, m’interpelle.
Mon âme en est captive, y nage et se délecte
se pare de son or, s’empare de son corps.
Je voudrais le prendre, le serrer, le goûter,
Ce matin, dans la lumière de l’est,
ton sexe c'est mon arbre.

Le désir est puissant et j'en ai presque mal
Je veux tes mains sur moi, ta peau contre ma peau,
Je veux sentir en toi un désir animal
Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau


Arthémisia
ton arbre (Arthémisia) (E)
Ton arbre Je le sens, frémissant sous la brise,
tremblant mais résistant de toute sa force blonde,
Cet arbre m’attire, me provoque, m’interpelle.
Mon âme en est captive, y nage et se dél ...

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Gonflé sous ma chaleur, Mûrit par mon ardeur,
Couleur lie-de-vin, Son grain de raisin.
Arrière-goût capiteux, Presque moelleux,
Saison de vendange, Parfum très étrange.
Le faire chambrer, Pour ça le lécher,
Jusqu'à la dernière goutte, Je tiendrai la route.
Mes seins en calice, Véritables complices,
Récolte son vin, Ce nectar divin!

Dentelle
(E)
Gonflé sous ma chaleur, Mûrit par mon ardeur,
Couleur lie-de-vin, Son grain de raisin.
Arrière-goût capiteux, Presque moelleux,
Saison de vendange, Parfum très étrange.
Le faire chambr ...

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Quand perle sa rosée


Quand perle sa rosée en goutte riche et tendre,
Le fruit rouge, en ma main qui le presse un peu fort,
Me stimule encore plus tout en venant se tendre
Vers ma bouche gourmande où l’attend un doux sort.

Aspiré sans vergogne, il trouve bien sa place
Dans ma gorge profonde, avec empressement,
Car ce fourreau soyeux est loin d’être de glace :
Il prise ses assauts au moindre glissement.

Raidi par ton désir et par ma langue experte
Il a pris de l’ampleur ; c’est le fruit tropical
Dont la taille étourdit par sa mesure offerte
En comblant un banquet… tel un dessert royal !

Allant, venant, d’ivresse il inflige à mes lèvres
Un rythme plus rapide et, déjà, l’avant-goût
De cette quintessence - affluant par mes fièvres -
Qu’il me délivrera me grise plus que tout.

Les remous de sa sève élèvent leur cantique.
Mais, voulant savourer encore un peu le jonc,
Je retarde son flux d’une habile pratique,
Juste avant que, d’émoi, n’explose son bourgeon.

La passion l’emporte, alors d’un bel entrain
Je suce goulûment ce fruit qui me rend folle
Pour recueillir son flot robuste, souverain,
Sur mes papilles où leur seul sens en raffole

Au verger de l’amour où, simplement, je t’aime
Quand perle sa rosée (E)
Quand perle sa rosée en goutte riche et tendre,
Le fruit rouge, en ma main qui le presse un peu fort,
Me stimule encore plus tout en venant se tendre
Vers ma bouche gourmande où l’attend un doux sort.

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grivoise


Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil

Sa bouche est tropicale
Chaude humide à la fois
Un arc en ciel bucal
Qu'elle aime autant que moi

Ce plaisir fou sauvage
Qui s'empare de nous
Ce fabuleux voyage
Sans honte ni tabou...
grivoise (E)
Sa bouche est un bonbon
Au nectar de framboise
Et devant elle je fonds
Quand elle se fait grivoise

Sa bouche est une passion
La plus pure des merveilles
Quand vorace elle fond
Sur mon simple appareil ...

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les sucettes d'Annie (Serge Gainsbourg)


Annie aime les sucettes,
les sucettes à l'anis
Les sucettes à l'anis d'Annie
donnent à ses baisers un goût anisé

lorsque le sucre d'orge
parfumé à l'anis
coule dans la gorge d'Annie,
Elle est au paradis

Pour quelques pennies
Annie a ses sucettes à l'anis
Elles ont la couleur
de ses grands yeux
La couleur des jours heureux

les sucettes d'Annie (Serge Gainsbourg) (E)
Annie aime les sucettes,
les sucettes à l'anis
Les sucettes à l'anis d'Annie
donnent à ses baisers un goût anisé

lorsque le sucre d'orge
parfumé à l'anis
cou ...

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j'adore, c'est divin Quand seule ta bouche lisse
Sur ma verge coulisse Et me pâme A ta passion
Salives à mon gland Turgescent
Pressions en free-lance A ma lance
Vas et viens sur mon pieu En feu
Mon plaisir atteint fulgurant Des faîtes indescriptibles
Seuls râles et gémissement En sont alors dicibles
Tandis qu'au rytme de tes succions
J'ai encore la frêle illusion
De garder ascendant et contrôle
Allons donc, faisons le drôle !
Tu sais, ma belle amante, Le jouir déjà me tente !
Je suis en proie à un tel transport
Qui se diffuse en mes sens, en mon corps
La fièvre me traverse de part en part
Et toi ô animale tu t'en empares
Savoureuse et profonde Enfantant tout un monde !
Je voudrais retarder l'instant Mais n'en ai pas le pouvoir,
Tu me possèdes trop bien Ah ! tu m'ennivres de ton chant
Et soudain un éclair noir Comme tes longs cheveux
Je sens que je viens Ô mon dieu !
Juguler ma jouissance Est pure utopie,
Je m'abandonne enfin Me laisser aller serein
Je cris et jouis, Dans ta bouche, mon essence
Mes muscles tremblent, faiblesse d'amour
Je coule en toi, nectar nacré
A ton doux palais, sur ta langue velours ;
A ton sourire qui m'a comblé Je m'essaime...
Je t'aime

Cyr
(E)
j'adore, c'est divin Quand seule ta bouche lisse
Sur ma verge coulisse Et me pâme A ta passion
Salives à mon gland Turgescent
Pressions en free-lance A ma lance
Vas et viens sur mon pieu En feu
Mon plaisir ...

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En jupe-culottes Un soir à Joinville
Vénus la salope M’a sucé la bite
Son joli chignon En papier doré
Me faisait bander Comme un cuirassier
Puis nous nous branlâmes Le con et la trique
Attendant un tram Pour la république

Raymond Radiguet
(E)
En jupe-culottes Un soir à Joinville
Vénus la salope M’a sucé la bite
Son joli chignon En papier doré
Me faisait bander Comme un cuirassier
Puis nous nous branlâmes Le con et la trique ...

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La belle Titine Adore les petits fruits.
Elle aime les raisins Autant que les quetches.
Elle affectionne aussi La goûteuse prunelle,
La juteuse mirabelle... N'oublions pas non plus
La cerise aigrelette Montée sur sa queue.
Mais celui qu'elle préfère lui donne tant de plaisir
Que lorsqu'elle le déguste Tout son être se déchaîne.
Titine raffole du gland Ce petit fruit oblong
Abondant de fécule...

Ido
(E)
La belle Titine Adore les petits fruits.
Elle aime les raisins Autant que les quetches.
Elle affectionne aussi La goûteuse prunelle,
La juteuse mirabelle... N'oublions pas non plus
La cerise aigrelette Montée s ...

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Annie aime les sucettes,
les sucettes à l'anis
Les sucettes à l'anis d'Annie
donnent à ses baisers un goût anisé

lorsque le sucre d'orge
parfumé à l'anis
coule dans la gorge d'Annie,
Elle est au paradis

Pour quelques pennies
Annie a ses sucettes à l'anis
Elles ont la couleur
de ses grands yeux
La couleur des jours heureux
(E)
Annie aime les sucettes,
les sucettes à l'anis
Les sucettes à l'anis d'Annie
donnent à ses baisers un goût anisé

lorsque le sucre d'orge
parfumé à l'anis
cou ...