![]() | lubricité (Arthemisia)Son sexe était en joie, d’une lubricité humide et chaude bordée d’algues et de mousse écumante. Son sexe scintillait, se tordait du plaisir de la vague assassine, venant et revenant, du ressac éternel, assourdissant élan de ses marées viriles. Son sexe s’exhibait, nu, sous un soleil violine et voyeur, suintant de sa vie marine, dans l’océan jurant d’orgiaques phonèmes qui faisaient rirent les mouettes. Son sexe disparaissait, englouti par le flot, la caresse dévoreuse, le baiser infini porteur de tous mes rêves. Arthemisia | lubricité (Arthemisia) (E) Son sexe était en joie, d’une lubricité humide et chaude bordée d’algues et de mousse écumante. Son sexe scintillait, se tordait du plaisir de la vague assassine, venant et revenant, du re ... |
![]() | ta langue douce (Bertino le Pascalois)J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse. Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée. De mouvements lascifs En caresses secrètes C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit. Et je ne sais plus de tes lèvres, De ta langue ou tes doigts caressants Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements. Offert comme une femme, A toi comme un amant, Car je sais que tu prends Le plaisir que tu me donnes Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps La source de ta flamme! Bertino le Pascalois | ta langue douce (Bertino le Pascalois) (E) J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse. Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée. |
![]() | Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil Sa bouche est tropicale Chaude humide à la fois Un arc en ciel bucal Qu'elle aime autant que moi Ce plaisir fou sauvage Qui s'empare de nous Ce fabuleux voyage Sans honte ni tabou... | (E) Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil Sa bouche est t ... |
![]() | Au bout de la plume De l’ami Pierrot (Carimo)Au bout de la plume De l’ami Pierrot, Une jolie brune Lui joue du pipeau Ta chandelle est morte Je fais de mon mieux Et la réconforte Pour plaire à mes vœux. Caresse opportune Pierrot se raidit Il prend du volume Entre en appétit Claire ma voisine Vous me voyez prêt Chevauchez câline C’est nôtre intérêt. Posez votre prune Sur mon bel engin Si c’est la coutume Qui mieux vous convient. Si d’une autre sorte Vous aimez le cours Face à votre porte Ce sera mon tour. Sur ma tendre enclume Du marteau le jeu Me plait me consume Attendez un peu Faites de la sorte Qu’un feu délicat Enchante ma porte D’un sublime éclat. Carimo | Au bout de la plume De l’ami Pierrot (Carimo) (E) Au bout de la plume De l’ami Pierrot, Une jolie brune Lui joue du pipeau Ta chandelle est morte Je fais de mon mieux Et la réconforte Pour plaire à mes vœux. Caresse opportune Pierrot se raidit ... |
![]() | douce chaleur humideUne douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre. Mes yeux s’ouvraient à peine, il faisait encore nuit. Sur le haut de mes jambes tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Un parfum capiteux flottait dans l’espace de la chambre. C’était comme une présence invisible. Je me disais qu’elle était là. Un instant je crus deviner sa silhouette debout face à moi. Mais rapidement mes yeux habitués à l’obscurité balayaient l’espace de la pièce pour me ramener à l’évidence que j’étais seul. Son odeur témoignait pourtant de sa présence, et cette seule idée décupla mon excitation. j’eu d'un coup un léger sursaut nerveux. Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul. Je portais ma main au bas de mon ventre. Bientôt mes doigts se glissèrent dans une texture fine et soyeuse. C’était une longue chevelure , la chevelure d’une femme. Mes mains caressèrent la nuque, qui fléchissait en de longs mouvements réguliers , effleurant à peine les sillons de la peau si douce et tiède. Son odeur, c’était bien son odeur ! Et maintenant, je caressais son épaule qui ondulait, soulevant ma paume en légers soubresauts réguliers. La gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe, c’était la bouche de mon infirmière ! Elle s’était glissée discrètement dans la chambre , puis sous mes draps, pour me prodiguer cette sublime fellation. Les mouvements de sa tête étaient d’une extrême lenteur, et c’est pour cela que, sous l’effet de la fatigue, j’avais été un instant abusé. Maintenant sa langue fougueuse léchait mon gland avec plus d’insistance. En mouvements circulaires, elle s’enroulait autour de ma verge. lorsqu’elle entrepris de me sucer plus profondément en accélérant la cadence. Au bout d’un moment que je ne pus pas évaluer, mon liquide se répandit dans sa bouche. Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte élégante qui fait sa toilette, pour nettoyer mon gland de la dernière goutte. J’allais lui susurrer des mots tendres. Mais brusquement elle se redressa et j’ eu à peine le temps de distinguer sa silhouette disparaissant dans l’embrasure de la porte. Les jours de la semaine qui suivirent, j’étais torturé par sa présence. Je ne voyais qu’elle, je ne pensais qu’à elle. | douce chaleur humide (E) Une douce chaleur humide et moite envahissait mon bas ventre. Mes yeux s’ouvraient à peine, il faisait encore nuit. Sur le haut de mes jambes tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma p ... |
![]() | abandon (Cécile)Ton corps entier s’offre à ma bouche Et j’aime cet intime cadeau Cet abandon de ta personne A ma salive à mes envies Je me délecte de ta peau Je la caresse et je la touche Tout doucement lente alanguie Je m’insinue je te sillonne Je te possède mon bel objet Sur le bout des doigts de la langue Comme un bijou dans son écrin Mon corps de femme mon âme mâle Et lorsque las ton sexe exsangue Me quitte vidé plein de regrets Je me repose horizontale Ton souvenir entre mes reins Cécile | abandon (Cécile) (E) Ton corps entier s’offre à ma bouche Et j’aime cet intime cadeau Cet abandon de ta personne A ma salive à mes envies Je me délecte de ta peau Je la caresse et je la touche Tout ... |
![]() | travail d'orphèvre (Cyr)Profondément endormi, Je rêve dans le lit Elle entre dans la chambre Doucement, à petits pas, Elle Se glisse sous les draps Et cherche à tâton mon sexe flagada... le trouve entre mes cuisses, à plat Sa main s'y pose frémissante, Ainsi abandonnée si tentante Elle enveloppe ma chair au repos Sa langue vient goûter ma peau Douce et chaude de sommeil Que sans craindre mon réveil Et tendrement elle suçe mon gland. Mon dard alors se raidi par un afflux de sang, Elle l'avale et sourit ... De contentement... Des images érotiques Viennent troubler mes rêves Tandis qu'elle réanime ma verge qui toute entière se soulève. Je gémis dans mes songes... Et dans sa gorge profonde ... Toute ma raideur elle plonge Et, d'un féroce appétit, en sonde la suçe telle une bonde. Tout son amour me submerge, Un amour liquide qui trempe ma verge Et coule, impérieux, dans mon sommeil Pour y verser mille merveilles... Soudain ! Un feu d'artifice Irise mes paupières closes et les vagues de mon vice Dans sa bouche explosent ! Je jouis Ca fait du bien Elle avale Tout, rien, Et elle rit Jusque dans mes rêves Somptueux travail d'orphèvre... Cyr | travail d'orphèvre (Cyr) (E) Profondément endormi, Je rêve dans le lit Elle entre dans la chambre Doucement, à petits pas, Elle Se glisse sous les draps Et cherche à tâton mon sexe flagada... le trouve entre mes cuisses, & ... |
![]() | ton arbre (Arthémisia)Ton arbre Je le sens, frémissant sous la brise, tremblant mais résistant de toute sa force blonde, Cet arbre m’attire, me provoque, m’interpelle. Mon âme en est captive, y nage et se délecte se pare de son or, s’empare de son corps. Je voudrais le prendre, le serrer, le goûter, Ce matin, dans la lumière de l’est, ton sexe c'est mon arbre. Le désir est puissant et j'en ai presque mal Je veux tes mains sur moi, ta peau contre ma peau, Je veux sentir en toi un désir animal Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau Arthémisia | ton arbre (Arthémisia) (E) Ton arbre Je le sens, frémissant sous la brise, tremblant mais résistant de toute sa force blonde, Cet arbre m’attire, me provoque, m’interpelle. Mon âme en est captive, y nage et se dél ... |
![]() | Gonflé sous ma chaleur, Mûrit par mon ardeur, Couleur lie-de-vin, Son grain de raisin. Arrière-goût capiteux, Presque moelleux, Saison de vendange, Parfum très étrange. Le faire chambrer, Pour ça le lécher, Jusqu'à la dernière goutte, Je tiendrai la route. Mes seins en calice, Véritables complices, Récolte son vin, Ce nectar divin! Dentelle | (E) Gonflé sous ma chaleur, Mûrit par mon ardeur, Couleur lie-de-vin, Son grain de raisin. Arrière-goût capiteux, Presque moelleux, Saison de vendange, Parfum très étrange. Le faire chambr ... |
![]() | Quand perle sa roséeQuand perle sa rosée en goutte riche et tendre, Le fruit rouge, en ma main qui le presse un peu fort, Me stimule encore plus tout en venant se tendre Vers ma bouche gourmande où l’attend un doux sort. Aspiré sans vergogne, il trouve bien sa place Dans ma gorge profonde, avec empressement, Car ce fourreau soyeux est loin d’être de glace : Il prise ses assauts au moindre glissement. Raidi par ton désir et par ma langue experte Il a pris de l’ampleur ; c’est le fruit tropical Dont la taille étourdit par sa mesure offerte En comblant un banquet… tel un dessert royal ! Allant, venant, d’ivresse il inflige à mes lèvres Un rythme plus rapide et, déjà, l’avant-goût De cette quintessence - affluant par mes fièvres - Qu’il me délivrera me grise plus que tout. Les remous de sa sève élèvent leur cantique. Mais, voulant savourer encore un peu le jonc, Je retarde son flux d’une habile pratique, Juste avant que, d’émoi, n’explose son bourgeon. La passion l’emporte, alors d’un bel entrain Je suce goulûment ce fruit qui me rend folle Pour recueillir son flot robuste, souverain, Sur mes papilles où leur seul sens en raffole Au verger de l’amour où, simplement, je t’aime | Quand perle sa rosée (E) Quand perle sa rosée en goutte riche et tendre, Le fruit rouge, en ma main qui le presse un peu fort, Me stimule encore plus tout en venant se tendre Vers ma bouche gourmande où l’attend un doux sort. |
![]() | grivoiseSa bouche est un bonbon Au nectar de framboise Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil Sa bouche est tropicale Chaude humide à la fois Un arc en ciel bucal Qu'elle aime autant que moi Ce plaisir fou sauvage Qui s'empare de nous Ce fabuleux voyage Sans honte ni tabou... | grivoise (E) Sa bouche est un bonbon Au nectar de framboise Et devant elle je fonds Quand elle se fait grivoise Sa bouche est une passion La plus pure des merveilles Quand vorace elle fond Sur mon simple appareil ... |
![]() | les sucettes d'Annie (Serge Gainsbourg)Annie aime les sucettes, les sucettes à l'anis Les sucettes à l'anis d'Annie donnent à ses baisers un goût anisé lorsque le sucre d'orge parfumé à l'anis coule dans la gorge d'Annie, Elle est au paradis Pour quelques pennies Annie a ses sucettes à l'anis Elles ont la couleur de ses grands yeux La couleur des jours heureux | les sucettes d'Annie (Serge Gainsbourg) (E) Annie aime les sucettes, les sucettes à l'anis Les sucettes à l'anis d'Annie donnent à ses baisers un goût anisé lorsque le sucre d'orge parfumé à l'anis cou ... |
![]() | j'adore, c'est divin Quand seule ta bouche lisse Sur ma verge coulisse Et me pâme A ta passion Salives à mon gland Turgescent Pressions en free-lance A ma lance Vas et viens sur mon pieu En feu Mon plaisir atteint fulgurant Des faîtes indescriptibles Seuls râles et gémissement En sont alors dicibles Tandis qu'au rytme de tes succions J'ai encore la frêle illusion De garder ascendant et contrôle Allons donc, faisons le drôle ! Tu sais, ma belle amante, Le jouir déjà me tente ! Je suis en proie à un tel transport Qui se diffuse en mes sens, en mon corps La fièvre me traverse de part en part Et toi ô animale tu t'en empares Savoureuse et profonde Enfantant tout un monde ! Je voudrais retarder l'instant Mais n'en ai pas le pouvoir, Tu me possèdes trop bien Ah ! tu m'ennivres de ton chant Et soudain un éclair noir Comme tes longs cheveux Je sens que je viens Ô mon dieu ! Juguler ma jouissance Est pure utopie, Je m'abandonne enfin Me laisser aller serein Je cris et jouis, Dans ta bouche, mon essence Mes muscles tremblent, faiblesse d'amour Je coule en toi, nectar nacré A ton doux palais, sur ta langue velours ; A ton sourire qui m'a comblé Je m'essaime... Je t'aime Cyr | (E) j'adore, c'est divin Quand seule ta bouche lisse Sur ma verge coulisse Et me pâme A ta passion Salives à mon gland Turgescent Pressions en free-lance A ma lance Vas et viens sur mon pieu En feu Mon plaisir ... |
![]() | En jupe-culottes Un soir à Joinville Vénus la salope M’a sucé la bite Son joli chignon En papier doré Me faisait bander Comme un cuirassier Puis nous nous branlâmes Le con et la trique Attendant un tram Pour la république Raymond Radiguet | (E) En jupe-culottes Un soir à Joinville Vénus la salope M’a sucé la bite Son joli chignon En papier doré Me faisait bander Comme un cuirassier Puis nous nous branlâmes Le con et la trique ... |
![]() | La belle Titine Adore les petits fruits. Elle aime les raisins Autant que les quetches. Elle affectionne aussi La goûteuse prunelle, La juteuse mirabelle... N'oublions pas non plus La cerise aigrelette Montée sur sa queue. Mais celui qu'elle préfère lui donne tant de plaisir Que lorsqu'elle le déguste Tout son être se déchaîne. Titine raffole du gland Ce petit fruit oblong Abondant de fécule... Ido | (E) La belle Titine Adore les petits fruits. Elle aime les raisins Autant que les quetches. Elle affectionne aussi La goûteuse prunelle, La juteuse mirabelle... N'oublions pas non plus La cerise aigrelette Montée s ... |
![]() | Annie aime les sucettes, les sucettes à l'anis Les sucettes à l'anis d'Annie donnent à ses baisers un goût anisé lorsque le sucre d'orge parfumé à l'anis coule dans la gorge d'Annie, Elle est au paradis Pour quelques pennies Annie a ses sucettes à l'anis Elles ont la couleur de ses grands yeux La couleur des jours heureux | (E) Annie aime les sucettes, les sucettes à l'anis Les sucettes à l'anis d'Annie donnent à ses baisers un goût anisé lorsque le sucre d'orge parfumé à l'anis cou ... |