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mercredi 17 décembre 2025 - 23h33
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Elle naît tout en bas d'un lieu géométrique
A la sentir couler je me crois à la mer
Parmi les poissons fous c'est comme une musique
C'est le printemps et c'est l'automne et c'est l'hiver
L'été ses fleurs mouillées au rythme de l'extase
Dans des bras de folie accrochent les amants
On dirait que l'amour n'a plus besoin de phrases
On dirait que les lèvres n'ont plus besoin d'enfants
Elles coulent les sources en robe ou en guenilles
Celles qui sont fermées celles qu'on n'ouvre plus
Sous des linges qu'on dit marqués du sceau des filles
Et ces marques ça me fait croire qu'il a plu
Qui que tu sois toi que je vois de ma voix triste
Microsillonne-toi et je n'en saurai rien
Coule dans ton phono ma voix de l'improviste
Ma musique te prend les reins alors tu viens
Ta dune je la vois je la sens qui m'ensable
Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va
Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable
Ta source tu le sais ne s'imagine pas
Et tu fais de ma bouche un complice estuaire
Et tes baisers mouillés dérivant de ton cygne
Ne se retourneront jamais pour voir la terre
Ta source s'est perdue au fond de ma poitrine
(E)
Elle naît tout en bas d'un lieu géométrique
A la sentir couler je me crois à la mer
Parmi les poissons fous c'est comme une musique
C'est le printemps et c'est l'automne et c'est l'hiver
L'&eac ...

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À l'équateur de tes cuisses
J'ouvre un fabuleux solstice :
Ô voie lactée, galaxie magnétique,
Force d'attraction érotique !

Cyr
(E)
À l'équateur de tes cuisses
J'ouvre un fabuleux solstice :
Ô voie lactée, galaxie magnétique,
Force d'attraction érotique !

Cyr ...

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Chair des choses (Renée Vivien)


Je possède, en mes doigts subtils, le sens du monde
Car le toucher pénètre ainsi que fait la voix;
L'harmonie et le songe et la douleur profonde
Frémissent longuement sur le bout de mes doigts...

Et pareils à ceux-là qui viennent des voyages,
Mes doigts ont parcouru d'infinis horizons.
Ils ont éclairé, mieux que mes yeux, des visages,
Et m'ont prophétisé d'obscures trahisons.

Ils ont connu la peau subtile de la femme
Et ses frissons cruels et ses parfums sournois.
Chair des choses! J'ai cru parfois étreindre une âme
Avec le frôlement prolongé de mes doigts...

Le givre et le brouillard des pâles broderies
Où les tisseuses ont tramé leurs rêveries...
Parèrent savamment ta savante impudeur
Et ton corps où le rut a laissé sa tiédeur.

Renee Vivien
Chair des choses (Renée Vivien) (E)
Je possède, en mes doigts subtils, le sens du monde
Car le toucher pénètre ainsi que fait la voix;
L'harmonie et le songe et la douleur profonde
Frémissent longuement sur le bout de mes doigts...
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ton paysage (Ruichan)


Montagnes. Collines. Vallées. Forêt.
Les effluves de ton parfum
Sont les épices de l’alcôve
Cannelle de ta peau moelleuse
Les fruits que je cueille à tes branches
Sont la manne de mes nuits blanches
Sur ton duvet, mon gazon
Je peux rêver Portée par les sens
Fraises insolentes au sucre roux de ta chevelure
Cascades chantantes de tes soupirs
Rivière de mes désirs Souffle divin que tu m’insuffles
Soif que tu apaises Faim inextinguible
Montagnes. Vallées. Collines.
Toutes chargées de tes merveilles
Mon soleil Corne d’abondance
Forêt de lychees Imbibés de ton suc
Alcool, nectar dont tu me grises
Sirop de violette au goût cerise
Mélange de toi De moi De nos folies
Toi paysage Moi qui t’habite Moi qui m’abrite
Sous l’ombre douce de ton corps
Consolation. Cœur rubicond.

Ruichan
ton paysage (Ruichan) (E)
Montagnes. Collines. Vallées. Forêt.
Les effluves de ton parfum
Sont les épices de l’alcôve
Cannelle de ta peau moelleuse
Les fruits que je cueille à tes branches
Sont la manne de ...

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Ma main se baigne dans tes cheveux,
flots soyeux
étincellant et noir
et sur tes seins
ronds comme des vagues
mes longs doigts nerveux
improvisent comme sur un clavecin
aux touches d'ivoire
une mélodie douce et vague.

Alors ton corps s'ouvre et monte
respire
comme une ample houle
où mon désir
s'exprime sans honte
et chante son plaisir
à la foule.
(E)
Ma main se baigne dans tes cheveux,
flots soyeux
étincellant et noir
et sur tes seins
ronds comme des vagues
mes longs doigts nerveux
improvisent comme sur un clavecin
aux touches d'ivoire
une mé ...

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sous un jupon (Ronvil Sluvenan)


Glisser sous un jupon et jouer de soupirs
Comme d'une partition qui s'appelle désir
Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied
Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé

C'est alors l'occasion de mieux s'y faufiler
Pénétrer en douceur son antre où réclamée
L'ardeur se déchaîne pour mieux l'enflammer
Dans un tourbillon, dénommée volupté

Au prélude soupirs, suit la sonate des cris
Balbutiements de mains sur un clavier de peaux
Au rythme des bassins, cadencé au galop
Quand de la petite mort sonne le requiem gît

Alors deux corps, laissant là le point d'orgue
Dans ce demi silence, le temps reprend sa ronde
Et dans la liberté, improvisée du monde
Le repos mérité comme tout épilogue.

(Ronvil Sluvenan)
sous un jupon (Ronvil Sluvenan) (E)
Glisser sous un jupon et jouer de soupirs
Comme d'une partition qui s'appelle désir
Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied
Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé

C'est alors ...

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Que c'est bon d'être demoiselle
Car le soir dans mon petit lit
Quand l'étoile Vénus étincelle
Quand doucement tombe la nuit

Je me fais sucer la friandise
Je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise
Je me fais picorer le bonbon

Je me fais frotter la péninsule
Je me fais béliner le joyau
Je me fais remplir le vestibule
Je me fais ramoner l'abricot

Je me fais farcir la mottelette
Je me fais couvrir le rigondonne
Je me fais gonfler la mouflette
Je me fais donner le picotin

Je me fais laminer l'écrevisse
Je me fais foyer le cœur fendu


Je me fais tailler la pelisse
Je me fais planter le mont velu

Je me fais briquer le casse-noisettes
Je me fais mamourer le bibelot
Je me fais sabrer la sucette
Je me fais reluire le berlingot

Je me fais gauler la mignardise
Je me fais rafraîchir le tison
Je me fais grossir la cerise
Je me fais nourrir le hérisson

Je me fais chevaucher la chosette
je me fais chatouiller le bijou
Je me fais bricoler la cliquette
Je me fais gâter le matou

Et vous me demanderez peut-être
Ce que je fais le jour durant
Oh! cela tient en peu de lettres
Le jour , je baise, tout simplement

Colette Renard
(E)
Que c'est bon d'être demoiselle
Car le soir dans mon petit lit
Quand l'étoile Vénus étincelle
Quand doucement tombe la nuit

Je me fais sucer la friandise
Je me fais caresser le gardon ...

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Statue de chair, prête à rêver


Bruissements de la soie qui coule jusqu’à tes pieds
Statue de chair, prête à rêver... ma bouche sur ta bouche
Et closes tes paupières
Dépravées, solitaires, offertes et entravées...
Ta peau si brune, si douce, paysage lunaire...
Où je bois ce qui glisse
Et goûte entre tes cuisses
L’étrange volupté
Tes hanches comme un calice
Le poison de Léthée
Qui me fait oublier
La rigueur des pieux
Le vif de la lame
Le doux amer du miel
Sur ma langue attentive
La fureur des nuits
Contre le corps d’un dieu
Je te prends, je te veux
Tu t'implores tu m'appelles
Tu es autre tu es sel
Amère et douce contre ma bouche
Tu me ressembles
Et tu me touches
Et mon corps tremble
D'aimer et d'être comprise
Loin des combats
Ouverte et suspendue...
A ta langue, à tes lèvres
Aux mots d'amour que tu sèmes
Et pendant que le jour se lève
J'aime celle qui m'aime...
Statue de chair, prête à rêver (E)
Bruissements de la soie qui coule jusqu’à tes pieds
Statue de chair, prête à rêver... ma bouche sur ta bouche
Et closes tes paupières
Dépravées, solitaires, offertes et entra ...

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Ta petite flamme


Quand enfin arrive le soir,
Que tes cuisses laissent entrevoir,
Ta petite flamme, ton étincelle,
Ta petite fente originelle,
J’abandonne alors la vie,
Et viens mourir dans ton lit.
Dans une étreinte passionnelle,
Une longue étreinte éternelle,
Encore une fois te faire gémir,
Un dernier souffle, dernier soupir.
Ta petite flamme (E)
Quand enfin arrive le soir,
Que tes cuisses laissent entrevoir,
Ta petite flamme, ton étincelle,
Ta petite fente originelle,
J’abandonne alors la vie,
Et viens mourir dans ton lit.
Dans une étrein ...

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il existe un lieu (Pierre Louys)


Il est pour les amants un lieu pour le baiser
C’est là que rêvent les visages épuisés
Et que les cuisses sont tendres aux sourires moroses.
Nul duvet , si léger qu’il soit , ne vient ravir
L’extase de la lèvre à la peau qui frissonne
Et la chair fraîche y peut lentement assouvir
Le cruel amoureux qu’un charme passionne.
Plus douce que la joue, plus pure que les seins,
La cuisse est là si blanche au milieu des coussins
Que la bouche y promène en souriant sa grâce
Et cherche à ranimer sous les baisers voilés
La trace et le parfum des spermes écoulés
Sur le grain d’une peau voluptueuse et grasse.

Pierre Louys
il existe un lieu (Pierre Louys) (E)
Il est pour les amants un lieu pour le baiser
C’est là que rêvent les visages épuisés
Et que les cuisses sont tendres aux sourires moroses.
Nul duvet , si léger qu’il soit , ne vient ...

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corps écartelé (Jean Ferrat)


Pour vos toisons de ronces douces
Qui me retiennent, me repoussent
Quand mes lèvres vont s'y noyer
Pour vos paroles, démesures
La source, le chant, la blessure
De votre corps écartelé
Pour vos reins de houle profonde
Pour ce plaisir qui vous inonde
En long sanglots inachevés
Je vous aime

Jean Ferrat
corps écartelé (Jean Ferrat) (E)
Pour vos toisons de ronces douces
Qui me retiennent, me repoussent
Quand mes lèvres vont s'y noyer
Pour vos paroles, démesures
La source, le chant, la blessure
De votre corps écartelé
Pour ...

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Effleure
Doucement de tes lèvres
mon vestibule de soie
Vois
Ce duvet cette coiffure
Au milieu de mes jambes nues
Sens
Cette odeur de chevelure
Et de marine confondue
Entend
Mon ventre qui murmure
Tu ne dis rien juste une injure
De ta bouche jaillit le vent
Et la liqueur de ma blessure
Goutte
C’est le chant le plus émouvant

André Cayrel
(E)
Effleure
Doucement de tes lèvres
mon vestibule de soie
Vois
Ce duvet cette coiffure
Au milieu de mes jambes nues
Sens
Cette odeur de chevelure
Et de marine confondue
Entend
Mon ventre qui mu ...

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aujourd'hui, mes dentelles volages
Ont laissé leur conquête à ce troublant satin.
Ainsi je demeure, si fière et offerte,
A l'affut d'un souffle, une effluve d'espoir,
J'accueille d'un crissement tes mains expertes,
Un doux gémissement s'echappant dans le noir.

Intimement j'invite à braver l'audace
Ces doigts amoureux que j'aime tant ressentir
Dans les explorations gourmandes, voraces,
De mon corps apprêté aux plaisirs à venir.

Quand cette main, sur mes courbes, se dépose,
Apprivoisant la soie de mes jambes voilées,
Une douce chaleur m'envahit de prose,
Ses vers tactiles sur mes ailes déployées.

Cette caresse osée, pleine de malice,
Se prolonge au plus profond de mes ardeurs
En ondes brûlantes, merveilleux supplice,
Un intime frisson me flattant de douceurs.

Ce contact insensé, sensible et sensuel,
Electrise mon être au moindre effleurement
De tes doigts qui récitent au piano virtuel
Sur mes dentelles, un subtil enchantement.

Soudain, sans un bruit, l'effleurement s'embellit,
Revêtant les ondes d'effluves diffuses,
Savant mélange, dans les airs, épanoui,
Troublant les étoffes, sur ma peau, confuses.

A bout de ce trouble, l'esprit fort enivré,
Lèvres entrouvertes en passage carmin,
Ou s'y dépose enfin le message livré,
Le baiser frétillant, d'un murmure incertain.

Glisse sur ma bouche, assoiffée d'évasion,
L'invitation à t'abandonner mon âme,
Crisse sur mes jambes, fredonnant l'émotion,
L'attente d'assouvir mes désirs de femme.

L'impatience gagne de sentir le dessin
S'esquisser, sans fin, sur mes courbes attisées,
Les contourner, en accomplir les desseins,
Et me faire succomber d'un élan avisé.

Réponse intime à tes lèvres qui me gouttent,
En lisière des dentelles et du tulle,
Invités pour mettre tes sens en déroute,
Qui épousent bien plus que ne dissimulent,

A oter, un à un, mes pièges incertains
D'un toucher précis, quelques doigts s'enhardissent
Ici une agraffe, là un noeud de satin,
Et sur mes voiles, un dernier qui se glisse.

Tu m'offres un feu d'artifice sensuel,
Nourrissant tout mon être d'un repas frugal,
De tous mes charmes tu te fais le ménestrel,
Ta langue me délivrant en bouquet final.

Dans un ultime battement éphémère,
Ainsi s'achève l'odyssée sensorielle
Quand s'envole l'amusante barrière,
Que mes yeux te sourient, mes lèvres t'appellent...

2010 © François
(E)
aujourd'hui, mes dentelles volages
Ont laissé leur conquête à ce troublant satin.
Ainsi je demeure, si fière et offerte,
A l'affut d'un souffle, une effluve d'espoir,
J'accueille d'un crissement t ...

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Dans un souffle rapide, je soulevais sa robe m'engouffrant la tête et le haut du corps sous le dôme ainsi constitué !
La lumière se tamisa comme un abat-jour, la chaleur exhala son parfum de femme
subtil, fortement enivrant, légèrement épicé, musqué.
Au plus près des lèvres, je lançais ma langue roulée au plus loin que je pus,
mon entrée linguale fut vigoureuse comme un agneau tétant sa mère ! Un gémissement se fit entendre !
ses mains vinrent bloquer ma tête ; elle hésitait entre l'acceptation ou le refus de cette visite insolite,
les lèvres sur les siennes je retirai ma langue sans cesser notre lèvres à lèvres qui n'avait pas pour but la réanimation ! quoique…
Je refis onduler ma langue au plus chaud que je pus, exhalant de ce corps intimement exploré un cri de perdition d'une obscène incitation !
Lentement je gagnais millimètres sur millimètres rétractant ma langue, je refis mon caméléon puis retirais à nouveau ma langue,
à ce moment ses mains indécises glissèrent avalisant mes audaces ;
un mon dieu vint ponctuer un spasme de son bassin jetant son puits langué vers mon visage
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D'elle même, elle a écarté ses genoux. Je lui ai délicatement écarté les lèvres,
un orifice vaginal un peu englué, que ma langue a doucement parcouru et pénétré,
J'étais de plus en plus excité, j'avais du mal à me contrôler.
Elle s'est mise à se frotter sur mon visage pendant que je la léchais tout le long de sa vulve.
Elle a même pris ses doigts pour s'exciter, et quand j'ai introduit doucement ma langue humide,
elle s'est mise à jouir, en émettant une espèce de sanglot.
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Il me couvrit de baisers, s’empara de mon intimité avec sa bouche. Sans vergogne, il me dévora.
Dès la seconde où j’ai senti sa langue me pénétrer, j’ai joui sans relâche. Une cascade d ‘orgasmes !
Je l’ai supplié de me faire grâce, j’ai dû pleurer, j’ai dû m’évanouir.
Tout ce dont je me souviens c’est d’avoir refait surface, jambes écartées, ma petite culotte arrachée au bord de la piscine
et mon bel étalon m’observant l’air ému en caressant mes petits seins.
(E)
Dans un souffle rapide, je soulevais sa robe m'engouffrant la tête et le haut du corps sous le dôme ainsi constitué !
La lumière se tamisa comme un abat-jour, la chaleur exhala son parfum de femme
subtil, ...

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Doucement, de tes mains, écarte tendrement mes jambes,
ne brise pas le rythme. Va vers l'intérieur, doucement !
Avec tes doigts, tes yeux, ta bouche,
goûte moi, mange moi, déguste moi ...
Tes caresses sont légères, à droite, à gauche, en haut, en bas,
sur le creux des mes cuisses, mon ventre .
Sens mes vibrations, perçois mon appel,
moi, ton amante douce et tendre
Mes jambes s'ouvrent d'elles-mêmes,
rapproche toi doucement de mon sexe,
touche le, très doucement, tendrement,
j'en meure d'envie depuis si longtemps, sens le mon amour,
Saisis moi par les fesses, pose ton visage sur mon ventre,
descend ta langue dans le creux de ma cuisse,
J'attends ... Poursuis, pose ta bouche et ta langue sur ma vulve,
fais durer le plaisir, encore, encore ...
Glisse ta langue entre mes lèvres, elles s'écartent d'elles-mêmes !
Mon ventre se tend, mon sexe s'offre à toi...
Je t'aime, je te fais languir, encore ...
Mon bassin bouge, ondule et se tend vers toi,
glisse ta langue, lèche moi, caresse moi du bout de ta langue ....
Je sais que tu aimes, que tu vibres très fort,
et je vais te faire craquer ... et moi je te croque ...
remonte ta langue à l'intérieur de mon sexe,
soulève mes lèvres, fouille moi et découvre ton paradis, mon clitoris.
Met ta langue mon amour, tourne autour, presse le, bouscule le, taquine le.
Tu as enfin trouvé la clé de mon trésor
mon amour, et ce doux bouton de rose qui en garde le chemin ....
Ta bouche tiède me donne ta chaleur, tout en caressant mon puits d'amour.
Caresse ma vulve de tes lèvres ... Je sens la douceur de tes baisers.
Et maintenant, avec tes doigts, maintiens le haut de mon sexe, ouvert et légèrement relevé
Et glisse ton pouce à l'entrée de mon vagin.
Je caresse la douce chaleur, en tournant, en montant, descendant un petit peu ...
caresse moi l'intérieur des fesses, mon ange.
approche doucement tes lèvres de mon petit bouton,
embrasse le, mouille le, caresse le à coups de petits coups de langue légers.
Puis, pose ta langue, bien étalée, bien ouverte, bien à plat, sur mon bouton qui n'attend que cela.
lèche moi tout doucement, de bas en haut, comme une sucette glacée.
Mon corps ondule, entend mes longs soupirs d'extase. arrête tout.

Ecoute mon corps, écoute mon coeur, et reprend tes caresses très doucement,
Mon orgasme arrive, je le sens.
Je gémis, manifeste bruyament,
le plaisir me submerge, je crie ...
l'orgasme m'affole, je jouis!
Et je suis toujours là, tout contre toi.


MARIA'S LOVERS, Nastassja Kinski, John Savage, 1984
(E)
Doucement, de tes mains, écarte tendrement mes jambes,
ne brise pas le rythme. Va vers l'intérieur, doucement !
Avec tes doigts, tes yeux, ta bouche,
goûte moi, mange moi, déguste moi ...
Tes ca ...

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Quand, à peine repu, je brûle ta toison
D’un de ces longs baisers dont tu chéris la force,
Débordant d’allégresse, heureuse, en pâmoison,
Tu laisses tes émois bouillir sous ton écorce…
Ardente et réceptive au moindre attouchement
De mes mains sur ton corps vibrant à ces délices.
Je connais ton attrait pour cet abouchement
Te donnant le vertige, offrant tous les prémices
D’un spasme en demi-teinte avant la jouissance,
Que tu sais retarder… pour mieux la ressentir
Lorsque avec de doux cris tu lui donnes naissance.
Alors, pour ce chant là, je veux tout consentir !
(E)
Quand, à peine repu, je brûle ta toison
D’un de ces longs baisers dont tu chéris la force,
Débordant d’allégresse, heureuse, en pâmoison,
Tu laisses tes émois bouillir s ...

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Pose ta bouche et ta langue sur mes lèvres intimes,
fais durer le plaisir, encore, encore ...Glisse ta langue,
mes lèvres vaginales s'écartent d'elles-mêmes !
Mon ventre se tend, mon sexe s'offre à toi...
J'aime ta douceur, je te fais languir, encore ...
Mon bassin bouge, ondule et se tend vers toi,
glisse ta langue, lèche moi, caresse moi du bout de ta langue ....
Je sais que tu aimes, que tu vibres très fort,
et je vais te faire craquer ... et moi je te croque ...
remonte ta langue à l'intérieur de mon sexe,
soulève mes lèvres, fouille moi et découvre ton paradis, mon clitoris.
Met ta langue mon amour, tourne autour, presse le, bouscule le, taquine le.
Tu as enfin trouvé la clé de mon trésor
mon amour, et ce doux bouton de rose qui en garde le chemin ....
Ta bouche tiède me donne ta chaleur, tout en caressant mon puits d'amour.
Caresse ma vulve de tes lèvres ... Je sens la douceur de tes baisers.
Et maintenant, avec tes doigts, maintiens le haut de mon sexe, ouvert et légèrement relevé
Et glisse ton pouce à l'entrée de mon vagin.
Je caresse la douce chaleur, en tournant, en montant, descendant un petit peu ...
caresse moi l'intérieur des fesses, mon ange.
approche doucement tes lèvres de mon petit bouton,
embrasse le, mouille le, caresse le à coups de petits coups de langue légers.
Puis, pose ta langue, bien étalée, bien ouverte, bien à plat, sur mon bouton qui n'attend que cela.
lèche moi tout doucement, de bas en haut, comme une sucette glacée.
Mon corps ondule, entend mes longs soupirs d'extase. arrête tout.

Ecoute mon corps, écoute mon coeur, et reprend tes caresses très doucement,
Mon orgasme arrive, je le sens.
Je gémis, manifeste bruyament,
le plaisir me submerge, je crie ...
l'orgasme m'affole, je jouis!
Et je suis toujours là, tout contre toi.
(E)
Pose ta bouche et ta langue sur mes lèvres intimes,
fais durer le plaisir, encore, encore ...Glisse ta langue,
mes lèvres vaginales s'écartent d'elles-mêmes !
Mon ventre se tend, mon sexe s'offre &ag ...

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Tu puiseras ta force en mon calice,
Y trempant tes lèvres avec malice.
Tu deviendras enfin le complice,
De la fin de mon supplice.
Goûte-moi

© Dentelle
(E)
Tu puiseras ta force en mon calice,
Y trempant tes lèvres avec malice.
Tu deviendras enfin le complice,
De la fin de mon supplice.
Goûte-moi

© Dentelle ...

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- Je ferme les yeux, profites en ! Sois indiscret.
- Sens mon corps nu, Parcours le bas de mon ventre,
- sans dépasser, pour l'instant, la limite de ma chambre d'amour.
- Va vers l'intérieur, entre mes jambes, doucement !
- Avec tes doigts, tes yeux, ta bouche, goûte moi, mange moi, déguste moi ...
- Tes caresses se font légères, à droite, à gauche, en haut, en bas,
- sur le creux des mes cuisses, mon ventre .
- Sens mes vibrations, perçois mon appel, moi, ton amante douce et tendre
- Mes jambes s'ouvrent d'elles-mêmes, rapproche toi doucement de mon sexe,
- Doucement, de tes mains, écarte tendrement mes jambes, sans briser le rythme.
- touche le, très doucement, tendrement,
- j'en meure d'envie depuis si longtemps, mon amour,
- Saisis moi par les fesses, pose ton visage sur mon ventre,
- descend ta langue dans le creux de ma cuisse,
- J'attends ... Poursuis, pose ta bouche et ta langue sur mes douces lèvres,
- fais durer le plaisir, encore, encore ...
- Glisse ta langue, mes lèvres vaginales s'écartent d'elles-mêmes !
- Mon ventre se tend, mon sexe s'offre à toi...
- Je t'aime, je te fais languir, encore ...
- Mon bassin bouge, ondule et se tend vers toi,
- glisse ta langue, caresse moi du bout de ta langue ....
- Je sais que tu aimes, que tu vibres très fort,
- je vais te faire craquer ... et moi je te croque ...
- remonte ta langue à l'intérieur de mon sexe,
- soulève mes lèvres, fouille moi et découvre ton paradis, mon clitoris.
- Met ta langue mon amour, tourne autour, presse le, bouscule le, taquine le.
- Tu as enfin trouvé la clé de mon trésor
- mon amour, et ce doux bouton de rose qui en garde le chemin ....
- Ta bouche tiède me donne ta chaleur, tout en caressant mon puits d'amour.
- Caresse ma vulve de tes lèvres ... Je sens la douceur de tes baisers.
- caresse moi l'intérieur des fesses, mon ange.
- embrasse le, mouille le, caresse le à coups de petits coups de langue légers.
- lèche moi tout doucement, de bas en haut, comme une sucette glacée.
- Mon corps ondule, entend mes longs soupirs d'extase. arrête tout.
- Ecoute mon corps, écoute mon coeur, et reprend tes caresses très doucement,
- Mon orgasme arrive, je le sens. Je gémis, manifeste bruyament,
- le plaisir me submerge, je crie ... l'orgasme m'affole, je jouis!
- Et je suis toujours là, tout contre toi.
(E)
- Je ferme les yeux, profites en ! Sois indiscret.
- Sens mon corps nu, Parcours le bas de mon ventre,
- sans dépasser, pour l'instant, la limite de ma chambre d'amour.
- Va vers l'intérieur, entre mes jambes, d ...

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Approche-toi, ferme les yeux.
caresses mes jambes
remonte le long de mes cuisses,
Sens la chaleur de mes levres
ma peau est brûlante de désir,
j’écarte les jambes pour toi.
approches ton visage
dans l’antre de mes cuisses,
vois mes lèvres gonflées,
viens embrasser mon sexe.
aventures toi un peu plus loin.
écarte moi d’avantage.
enfouis ton visage
au creux de mon intimité.
je sens bien ta langue,
glisses ta langue encore, là.
sens cette chaleur si particulière
(E)
Approche-toi, ferme les yeux.
caresses mes jambes
remonte le long de mes cuisses,
Sens la chaleur de mes levres
ma peau est brûlante de désir,
j’écarte les jambes pour toi.
approches to ...

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maitresses (Gilles Butin)


J’ai eu deux belles maîtresses, pendant plus de huit mois
Elles étaient sans paresse, et elles n’aimaient que moi
Toujours l’une derrière l’autre sans jamais se fâcher
Elles étaient deux apôtres à mes pieds, enlacées.
Je les ai connues à Auch, elles sortaient d’une boîte
L’une était à ma gauche et l’autre mal à droite.
Elles avaient grand plaisir à se faire marcher.
A se faire courir, à se faire sauter.
Aussi, je n’ai pu croire à leurs virginités
Lorsque le soir venu, je les ai pénétrées.
Ça s’est fait sans un cri, tout juste un peu serré
Et quand j’en suis sorti, j’ai pu prendre mon pied.
Elles ne m’ont pas quitté malgré toutes les souffrances
Que je leur ai données souvent par ignorance.
Les coups sur les trottoirs, les attentes dans les gares
Et ces déchets de chiens, qu’elles prenaient pour un rien.
Et si je suis ici, devant vous tout penaud
C'est que votre vernis a quitté votre peau
Pardonnez-moi, mes belles, mais je dois vous laisser
Là dans cette ruelle, toutes nues, sans lacets.
Vous avez trop vieilli, vous n’êtes plus très sûres
Vous que j'ai tant chéries, vous mes vieilles chaussures.

Gilles Butin
maitresses (Gilles Butin) (E)
J’ai eu deux belles maîtresses, pendant plus de huit mois
Elles étaient sans paresse, et elles n’aimaient que moi
Toujours l’une derrière l’autre sans jamais se fâcher
Elles &eac ...

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Avec mes vastes yeux
je savoure ton corps pulpeux
je te dévore du regard
l'iris plein de nectar.

Avec mes grandes oreilles
j'écoute battre ton coeur
et j'ai ouï avec bonheur
les soupirs de ton sommeil.

Avec mon solide nez
j'inhale ton parfum,
et l'expire à volonté
entre tes seins.

Avec ma sensuelle bouche
je goûte ton jus d'amour
et te nomme tour à tour
folle Pompadour,
fière Manouche !

Avec mes douces mains
je caresse ta peau
le duvet au bas de ton dos,
là juste au creux des reins.

Enfin avec mon sexe
je te remplie, je te comble,
et par ce fier index
t'explore de fond en comble !

Cyr
(E)
Avec mes vastes yeux
je savoure ton corps pulpeux
je te dévore du regard
l'iris plein de nectar.

Avec mes grandes oreilles
j'écoute battre ton coeur
et j'ai ouï avec bonheur
les soupirs de ...

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Dans le lit ton corps se simplifie
Sexe liquide univers de liqueur
Liant des flots qui sont auteur de corps
Entiers complets de la nuque aux talons
Grappe sans peau grappe-mère en travail
Grappe servile et luisante de sang
Entre les seins les cuisses et les fesses
Régentant l’ombre et creusant la chaleur
Lèvre étendue à l’horizon du lit
Sans une éponge pour happer la nuit
Et sans sommeil pour imiter la mort.
Frapper la femme monstre de sagesse
Captiver l’homme à force de patience
Doucer la femme pour éteindre l’homme
Tout contrefaire afin de tout réduire
Autant rêver d’être seul et aveugle.

Paul Eluard
(E)
Dans le lit ton corps se simplifie
Sexe liquide univers de liqueur
Liant des flots qui sont auteur de corps
Entiers complets de la nuque aux talons
Grappe sans peau grappe-mère en travail
Grappe servile et luisant ...

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premier baiser (Renée Vivien)


Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes
La douceur et l’effroi de ton premier baiser.
Sous tes pas, j’entendis les lyres se briser
En criant vers le ciel l’ennui fier des poètes
Parmi des flots de sons languissamment décrus,
Blonde, tu m’apparus.

Renée Vivien
premier baiser (Renée Vivien) (E)
Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes
La douceur et l’effroi de ton premier baiser.
Sous tes pas, j’entendis les lyres se briser
En criant vers le ciel l’ennui fier des poètes
Parmi des ...

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une moiteur torride enveloppa mon sexe.
Je sentis sa gaine douce autour de mon gland.
Pendant quelques secondes
nous étions immobiles l’un dans l’autre.
Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière.
Elle jouissait de façon sauvage et désordonnée,
(E)
une moiteur torride enveloppa mon sexe.
Je sentis sa gaine douce autour de mon gland.
Pendant quelques secondes
nous étions immobiles l’un dans l’autre.
Son corps inondé de sueur luisait sous la ...

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gonflés de fièvres...


elle s'approche sourire aux lèvres
et dégraffe soudain son corsage gonflé de fièvres...
Ses petits seins blancs, surgissent muets de désir
dans un beau maintien que nous contemplons sans mot dire.
Elle semble avoir la trentaine et sans nul doute un côté lesbienne
vu ses oeillades répétées sur tes courbes et trésors exposés.
D'un geste de la main je l'invite à se joindre à nos corps allongés
pour ensuite bien vite finir par la déshabiller...
Elle pose en douceur son corps prometteur
Près de nous deux Pour commencer un nouveau jeu
Qui se joue à trois
Deux femmes pour toi mon roi Un bref regard entre elle et moi
Pour se mettre d'accord On s'approche alors de toi
Pour un nouveau corps à corps
A quatre pattes devant ton corps allongé
On s'avance lentement, provocant ton membre
Je couche alors mes lèvres sur ta bouche pour un baiser
Et glisse ma langue, tandis que mes mains se font tendre
Elles glissent sur ton cou, puis ta poitrine
Pendant que la très belle femme
Se penche sur ta grande et appétissante épine
Pour la mettre dans sa bouche et réveiller ta flamme
Mais voilà je suis un peu jalouse
Alors je m'en vais l'aider
Marchant en position féline sur la pelouse
Pour me placer entre tes cuisses mon bien aimé
Je me met à caresser tes bourses à nouveau pleine
Je les trouve très provocante
Je dirai même qu'elles me tente
Alors je les lèchent et les suces sans peine
Hum... que j'aime tes lèvres pulpeuses
qui gobent mes pleines bourses
et ta langue qui suit sa course
sur leur peau douce et crémeuse,
Et je fonds aussi dans la bouche
de notre invitée si peu farouche,
tant elle s'applique sur mon dard
pour en éprouver la dureté rare.
A l'attention de notre hôtesse,
je m'exclame à la ronde :
"viens me montrer ô princesse
ton joli cul de blonde !"
Joignant le geste à ma parole,
ses cuisses s'écartent en parabole
et présentent à ma bouche assoiffée
son sexe humide aux parures de blé.

De la pointe de la langue
j'ouvre sa vulve délicate :
une saveur de ginseng
envahi mon palais, y éclate !
Et de ma zone génitale
sourd un plaisir indicible :
mais ô combien visible,
dressé à la verticale,
entre vos caresses buccales
savament animales,
mêlant vos chaudes langues
contre ma chair exsangue.
gonflés de fièvres... (E)
elle s'approche sourire aux lèvres
et dégraffe soudain son corsage gonflé de fièvres...
Ses petits seins blancs, surgissent muets de désir
dans un beau maintien que nous contemplons sans mot di ...

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Tout près du sexe qui fleurit dans les poils roses
Il est pour les amants une place à baisers
C’est là que rêvent les visages épuisés
Et que la cuisses est tendre aux sourires moroses.

Nul duvet , si léger qu’il soit , ne vient ravir
L’extase de la lèvre à la peau qui frissonne
Et la chair fraîche y peut lentement assouvir
Le cruel amoureux qu’un charme passionne.

Plus douce que la joue et pure que les seins,
La cuisse est là si blanche au milieu des coussins
Que la bouche y promène en souriant sa grâce.

Et cherche à ranimer sous les baisers voilés
La trace et le parfum des spermes écoulés
Sur le grain d’une peau voluptueuse et grasse.
(E)
Tout près du sexe qui fleurit dans les poils roses
Il est pour les amants une place à baisers
C’est là que rêvent les visages épuisés
Et que la cuisses est tendre aux sourires moros ...

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Sur mes seins, le matin … ton regard est têtu
Il s’attarde, requin, sur leur douceur repue.
Traînant l’oeil aigu d’une gourmandise nue
Tu veux tendre les mains vers leurs formes charnues.

Tu palpes et interpelles leurs rondeurs rebelles
Qui réagissent bien à ton tactile appel.
Enrobant, détourant ces globes vicieux,
Tu fais naître un élan qui vient vers tes yeux.

Palpitants, arrogants, Ils se dressent vers toi,
Brandissant leur émoi, bandant et réclamant,
Ce que ta bouche, enfin, recueillera de salut,
Ces plénitudes sans fin qui les portent aux nues.

Arthémisia
(E)
Sur mes seins, le matin … ton regard est têtu
Il s’attarde, requin, sur leur douceur repue.
Traînant l’oeil aigu d’une gourmandise nue
Tu veux tendre les mains vers leurs formes charnues.

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La Saint-Valentin (Marie-France guerrier)


Mon amour tu n'es pas un saint
Lorque tu poses par essaim
Tes baisers dans mon buisson d'Eve
Pour qu'ils en butinent la sève
Quand le bonheur est sacro-saint.

Je devrais crier : spadassin !
Quand la flèche de fantassin
Me fait gémir dans une trêve ...
Mon amour ...

Lorqu'à la gourde de mon sein
Tu t'enivres dans le dessein
De m'emporter au fil du rêve,
Sur les flots de l'extase brève
Où je meurs et j'appelle en vain:
Mon amour ...

Marie-France guerrier
La Saint-Valentin (Marie-France guerrier) (E)
Mon amour tu n'es pas un saint
Lorque tu poses par essaim
Tes baisers dans mon buisson d'Eve
Pour qu'ils en butinent la sève
Quand le bonheur est sacro-saint.

Je devrais crier : spadassin !
Quand la fl&eg ...

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L'été ses fleurs mouillées
au rythme de l'extase
Dans des bras de folie
accrochent les amants
On dirait que l'amour
n'a plus besoin de phrases
On dirait que les lèvres
n'ont plus besoin d'enfants

Elles coulent les sources
en robe ou en guenilles
Celles qui sont fermées
celles qu'on n'ouvre plus
Sous des linges qu'on dit
marqués du sceau des filles
Et ces marques ça me fait
croire qu'il a plu

Qui que tu sois toi que
je vois de ma voix triste
Microsillonne-toi
et je n'en saurai rien
Coule dans ton phono
ma voix de l'improviste
Ma musique te prend
les reins alors tu viens

Ta dune je la vois
je la sens qui m'ensable
Avec ce va-et-vient
de ta mer qui s'en va
Qui s'en va et revient
mieux que l'imaginable
Ta source tu le sais
ne s'imagine pas

Et tu fais de ma bouche
un complice estuaire
Et tes baisers mouillés
dérivant de ton cygne
Ne se retourneront jamais
pour voir la terre
Ta source s'est perdue
au fond de ma poitrine
(E)
L'été ses fleurs mouillées
au rythme de l'extase
Dans des bras de folie
accrochent les amants
On dirait que l'amour
n'a plus besoin de phrases
On dirait que les lèvres
n'ont plu ...

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Glisser sous un jupon et jouer de soupirs
Comme d'une partition qui s'appelle désir
Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied
Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé

C'est alors l'occasion de mieux s'y faufiler
Pénétrer en douceur son antre où réclamée
L'ardeur se déchaîne pour mieux l'enflammer
Dans un tourbillon, dénommée volupté

Au prélude soupirs, suit la sonate des cris
Balbutiements de mains sur un clavier de peaux
Au rythme des bassins, cadencé au galop
Quand de la petite mort sonne le requiem gît

Alors deux corps, laissant là le point d'orgue
Dans ce demi silence, le temps reprend sa ronde
Et dans la liberté, improvisée du monde
Le repos mérité comme tout épilogue.

Ronvil Sluvenan
(E)
Glisser sous un jupon et jouer de soupirs
Comme d'une partition qui s'appelle désir
Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied
Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé

C'est alors ...

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J'explorerai


J'explorerai les ports de tes grâces nuptiales
D'une langue ondulante et jusqu'à te râvir.
Je baiserai ta bouche, y trouvant ma saveur,
Je saisirai la souche de mon désir fébrile
Pour écarter les lèvres pleines de saveur
En y laissant la sève d'un plaisir érectile.
J'explorerai (E)
J'explorerai les ports de tes grâces nuptiales
D'une langue ondulante et jusqu'à te râvir.
Je baiserai ta bouche, y trouvant ma saveur,
Je saisirai la souche de mon désir fébrile
Pour &ea ...

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Ta dune je la vois je la sens qui m'ensable
Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va
Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable
Ta source tu le sais ne s'imagine pas

Et tu fais de ma bouche un complice estuaire
Et tes baisers mouillés dérivant de ton cygne
Ne se retourneront jamais pour voir la terre
Ta source s'est perdue au fond de ma poitrine
(E)
Ta dune je la vois je la sens qui m'ensable
Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va
Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable
Ta source tu le sais ne s'imagine pas

Et tu fais de ma bouche un complice estuaire ...

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J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit.Et je ne sais plus de tes lèvres, De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme, A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends Le plaisir que tu me donnes
Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!
(E)
J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

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je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962)
(E)
je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962) ...

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Laisse-moi sans crainte Venir à genoux
Goûter ton absinthe Boire ton vin doux
O rires et plaintes O mots insensés
La folle complainte S'est vite élancée

Défions le monde Et ses interdits
Ton plaisir inonde Ma bouche ravie
Vertu ou licence Par Dieu je m'en fous
Je perds ma semence Dans ton sexe roux

Jean Ferrat




MARIA'S LOVERS, Nastassja Kinski, John Savage, 1984
(E)
Laisse-moi sans crainte Venir à genoux
Goûter ton absinthe Boire ton vin doux
O rires et plaintes O mots insensés
La folle complainte S'est vite élancée

Défions le monde Et ses i ...

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coronilla (Paul Valery)


Te vêtir... Ô le paradoxe
Quand au contraire je ne veux
Pour l'amour et sa tendre boxe
Que ta parure de cheveux

C'est en vain que tu te dérobes
Sous tous les plis que tu voudras
À la plus belle de tes robes
J'aime mieux le pli de tes draps.
Ôte-moi donc vite la gêne
De la souple et nerveuse gaine.

Paul Valéry
coronilla (Paul Valery) (E)
Te vêtir... Ô le paradoxe
Quand au contraire je ne veux
Pour l'amour et sa tendre boxe
Que ta parure de cheveux

C'est en vain que tu te dérobes
Sous tous les plis que tu voudras
À ...

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Rose abîme, entrée de l’enfer,
Couloir où rode Lucifer
Alcôve où couve le feu de chair
Bouche fermée, baiser sans air.

Mer des sanguines marées,
De noire pelouse parée.
Histoire que l’on n’ose narrer.
Bijoux qu’on ne peut égarer.

Fourreau de soie, tendre orifice,
Où je vins souvent, sacrifice,
De mes perles de vie, novice,
Payer la rançon de mon vice.

Doux fruit que l’on dit défendu,
Succulent abricot fendu
Au creux des hanches suspendu.
Mon été longtemps attendu.

Offre-toi et donne m’encore,
Dans cet intime corps accord,
Le plus ineffable des sorts :
L’instant qui abolit la mort.

Laurent H
(E)
Rose abîme, entrée de l’enfer,
Couloir où rode Lucifer
Alcôve où couve le feu de chair
Bouche fermée, baiser sans air.

Mer des sanguines marées,
De noire pelouse ...

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ta blessure de Vénus (Pierre Louys)


Je plongerai ma langue dans ta blessure de Vénus
Ma langue impétueuse et ma bouche abondante

Je trouerai dans les poils le baiser rubicond
Des grandes lèvres, sur qui frémiront mes lèvres
Et comme un dard de bouc à la vulve des chèvres
Le membre de ma gueule enfilera ton con.

Et tu hurleras, tu pleureras sous la brûlure
Mais l’emportement sauvage de mon allure
Tremblera jusqu’au fond par bonds interrompus

Et fou d’avoir léché la fente vaginale
Je boirai sur le spasme de ses bords lippus
Les flueurs témoignant de ta joie infernale.

Pierre Louys
ta blessure de Vénus (Pierre Louys) (E)
Je plongerai ma langue dans ta blessure de Vénus
Ma langue impétueuse et ma bouche abondante

Je trouerai dans les poils le baiser rubicond
Des grandes lèvres, sur qui frémiront mes lèvres ...

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De mes doigts pèlerins j’onde ta terre ambrée.
Tel Modigliani j’en trace les contours.
Chaudes couleurs, rougeurs, sont tes nouveaux atours,
Lorsqu’aux assauts mutins, tu te soumets, cambrée.

En vagues de désir, nous porte la marée
Pour nos corps exaltés : nul espoir de retour.
L’univers est plaisir, quand, enfin, à mon tour,
Je fléchis sous ton joug, belle enfant de Nérée.

Qui donc saurait alors, tous nos sens apaiser,
Quand, sur mon sein dressé se pose ton baiser,
Quand ma rose orchidée sous ta lèvre agonise ?

Au-delà du charnel, un bonheur résolu
Se fait jour, et c’est grâce à toi, mon absolu.
Toi, mon double, ma sœur : ma chair… amante exquise.

Naiade
(E)
De mes doigts pèlerins j’onde ta terre ambrée.
Tel Modigliani j’en trace les contours.
Chaudes couleurs, rougeurs, sont tes nouveaux atours,
Lorsqu’aux assauts mutins, tu te soumets, cambré ...

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D'elle même, elle a écarté ses genoux. Je lui ai délicatement écarté les lèvres,
un orifice vaginal un peu englué, que ma langue a doucement parcouru et pénétré,
J'étais de plus en plus excité, j'avais du mal à me contrôler.
Elle s'est mise à se frotter sur mon visage pendant que je la léchais tout le long de sa vulve.
Elle a même pris ses doigts pour s'exciter, et quand j'ai introduit doucement ma langue humide,
elle s'est mise à jouir, en émettant une espèce de sanglot.
(E)
D'elle même, elle a écarté ses genoux. Je lui ai délicatement écarté les lèvres,
un orifice vaginal un peu englué, que ma langue a doucement parcouru et pénétré ...

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mon calice (Dentelle)


Puise bien ta force en mon calice,
Y trempant tes lèvres avec malice.
Tu deviendras enfin le complice,
De la fin de mon supplice.
Goûte-moi !

Dentelle
mon calice (Dentelle) (E)
Puise bien ta force en mon calice,
Y trempant tes lèvres avec malice.
Tu deviendras enfin le complice,
De la fin de mon supplice.
Goûte-moi !

Dentelle
...

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entre tes cuisses


Ma langue se glisse,
Entre tes cuisses,
Douces et lisses,
Et je m'y glisse,
De ta cyprine,
J'en boirai
un calice,
Pour que tu jouisses,
Je suis si bien
entre tes cuisses,
Puisque je t'aime
mon amour.
entre tes cuisses (E)
Ma langue se glisse,
Entre tes cuisses,
Douces et lisses,
Et je m'y glisse,
De ta cyprine,
J'en boirai
un calice,
Pour que tu jouisses,
Je suis si bien
entre tes cuisses,
Puisque je t'aime ...

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nos corps s'enflamment, se donnent
Tes yeux pétillent quand de ma bouche j'exacerbe ton intimité.
sens mes mains glisser sur ta peau comme l'eau descendant un cour d'eau,
Tu frémis me supplies de ne pas arrêter.
Tu te consumes quand j'explore de mon sexe renflé ta douce cavité
humide et brûlante qui ne demande qu'a exploser.
Il n'est plus beau moment que deux corps repus d'amour
allongés l'un contre l'autre
s'adonnant à quelques caresses d'apaisement.
(E)
nos corps s'enflamment, se donnent
Tes yeux pétillent quand de ma bouche j'exacerbe ton intimité.
sens mes mains glisser sur ta peau comme l'eau descendant un cour d'eau,
Tu frémis me supplies de ne pas arr& ...

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Transpire son odeur
Comme une femelle en rut

Envole le de tes cheveux
Viole sa bouche
De tes lèvres

Epuise toi à le baiser
A mordiller son torse
Affoler son animalité

Tu lui masqueras les sens
Hors du temps
De l’espace
Pour le happer encore
Et te faire hurler de lui

Reine de Sabbat
Princesse de ses orgies animales
Transporte son plaisir au-delà du possible
Emmène le, ton prince des Ténèbres
Au bout de l’infiniment grand

Et qu’il joue comme tu l'entends
Avec sa chienne accroupie
Au hasard de son aveuglement provoqué

Tu l'aimes
Tu le veux
Tu désires le feu de ses doigts
Comme autant de flammèches
Sur ta peau frémissante

Tu désires être sienne au grès de son plaisir
Assouvir son désir de femmes

Aime la
Elle
Qui t’a choisi entre tous
Fais la flamber
Elle
Que tu as choisie entre toutes

Prêts au sabbat infernal
Vos corps s’unissent
A s’embraser
Pour l’éternité



Marion Lubreac


MARIA'S LOVERS, Nastassja Kinski, John Savage, 1984
(E)
Transpire son odeur
Comme une femelle en rut

Envole le de tes cheveux
Viole sa bouche
De tes lèvres

Epuise toi à le baiser
A mordiller son torse
Affoler son animalité

Tu lu ...

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joli bocage (Voltaire)


Je cherche ma douce Aminthe
un petit bois touffu que vous portez, ,
Qui couvre, s’il n’est pas tondu
Un gentil labyrinthe.
Tous les mois, on voit quelques fleurs
Colorer le rivage ;
Laissez-moi verser quelques pleurs
Dans ce joli bocage.

Voltaire
joli bocage (Voltaire) (E)
Je cherche ma douce Aminthe
un petit bois touffu que vous portez, ,
Qui couvre, s’il n’est pas tondu
Un gentil labyrinthe.
Tous les mois, on voit quelques fleurs
Colorer le rivage ;
Laissez-moi verser qu ...

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Le découvrir, ce beau calice,
Assurément, d'une glissade
Entre ses jambes, en embrassade,
Crissantes quand le satin coulisse.

Le goûter, ce beau calice,
Y déposer mes lèvres gourmandes,
Avant même que les siennes m'y mandent,
D'un timide baiser je m'immisce...

Le torturer, ce beau calice,
D'une langue un brin curieuse,
A chaque frisson, attente malicieuse,
Quand taquine l'impétueuse hélice.

Le déguster, ce beau calice,
De ma bouche, de jouissance, assoiffée,
Que ta main, point lasse de m'ébouriffer
Encourage à mener au plus haut délice.

Le câliner, ce beau calice,
D'un murmure à peine déposé,
Le périple fut fièrement osé,
De s'en faire, un instant, le complice.

2015 © François
(E)
Le découvrir, ce beau calice,
Assurément, d'une glissade
Entre ses jambes, en embrassade,
Crissantes quand le satin coulisse.

Le goûter, ce beau calice,
Y déposer mes lèvres gourman ...

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Elle avait décidé de s'offrir";"C'était le début de matinée,le ciel etait bleu l'air déja chaud.
A peine montée dans la voiture, elle posa sa main sur ma cuisse
elle avait un regard enjoué, une robe légère,
qui lui arrivait au dessus du genou, et qui flottait dans le vent
Je sentais à travers le tissu , la douceur et la chaleur de sa peau de jeune fille.
Petit à petit , ma main s'est glissé sous la robe.
Sa peau etait chaude, un peu moite
Je la carressais avec douceur, elle semblait aimer.
Ses reins se creusaient,
elle avait les yeux fermés, la bouche légèrement entre-ouverte,
elle posa, une de ses main sur la mienne, et me guida vers des endroits plus intimes
je repris mes carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis.
Elle ecarta encore ses jambes, avançant doucement son bassin,
elle s'offrait à moi,
mon doigt s'enfonca naturellement
Juste un doigt, titillant, glissant, tournoyant en elle
et son bassin, comme le reflet de mes carresses, s'agita.
Sa tete en arriere, m'offrait une gorge tendue,
nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun,
Ses cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant,
s'offrant sans detour à mes carresses, oubliant le lieu, la promiscuité,
excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en elle
Elle exprima sa jouissance dans un râle long.
Elle s'agrippa à moi, serrant les cuisses sur mes doigts,

nous sommes arrivés chez moi,
Je l'ai emmené dans ma chambre, j'ai mis un peu de musique, ouvert les volets.
Elle s'était assise sur le lit, son regard etait une invitation à lui tout seul,
les jambes croisées, légèrement en arrière elle s'appuyait sur ses mains.
Elle remarqua mon regard qui remontait, le long de ses jambes,
elle les ouvrit doucement, sa toison etait dans la lumière, claire, presque blonde.

Je m'approchais d'elle doucement , m'agenouillais devant elle , au pied du lit.
j'otai ses chaussures, ils etaient si petit, si tendres.
je remontais doucement le long de ses mollets, soulevant sa jambe.
Elle se laissa glisser sur le lit, j'embrassais ses jambes , y deposais mes levres gourmandes, les lechais.

Bientôt je la rejoignis dans le lit, nos deux corps l'un contre l'autre,
j'embrassais sa bouche, ses levres qui tout à l'heure m'avaient tant manquées.

je decouvris un sein, il etait encore dur ,
je commençais par embrasser le tour de son sein.
je dessinais doucement le contour de son sein,
passais doucement sur le dessus, puis le coté exterieur.
ma langue frolait à peine sa peau seule,la salive qui j'y deposais doucement etait notre lien, je tournais autour de son teton doucement , puis relevant un peu la tete, j'emis un souffle leger, un frisson la parcoura, hummm j'adore tant cela !

J'avais ouvert et descendu son corsage, jusqu'à son ventre,
ses seins pointaient devant moi,
J'embrassais son ventre jouais, de la langue, avec son nombril, deposais pareille au sein, ma salive , engendrais le frisson sous la bise de ma bouche, elle se tentait tendrement.Le bas de ses cotes etait bien dessiné et lors d'un sursaut, j'entrepris de le mordiller, d'y deposer ma bouche, faire glisser legèrement , ma morsure sur elle. Elle se laissa entrainé, ses petits gemissements, presque inaudible s'interrompir.

L. : fais moi l'amour !
Me dit elle d'une voix sensuelle et lointaine.

Je glissais sa robe , le long de ses jambes, elle etait nue contre moi,
ce n'etait pas la première fois que je la voyais ainsi mais j'aimais son corps,
elle etait vraiment tres belle, fine, douce, si fragile d'apparence.
J'embrassais son corps, avec envie et delactation.

Je posais mes levres sur son sexe, passais la langue sous les levres fines , legèrement gonflées de plaisir et d'envie. Les mordillais, tendrement, doucement, sensible aux reactions que je faisais naitre en elle.

Ma langue jouais, mes mains parcouraient son corps carressant ses flancs, un sein, le contour de ses hanches, remontant le long de ses jambes , dans son entre-cuisse:

Ma bouche aspirant tout son sexe, la langue attaché a son clitoris je la lechais , variant les vitesses, la pression, aspirant \"suçautant\", mordillant, le faisant rouler sous mes dents, pendant que ma langue le caresse.Tous mes sens en eveils, pour mieux la ressentir, trouver la faille, jouer avec elle. mon index, en elle carressait, ce petit cercle un peu rugueux à l'interieur de son vagin,

je la sentais se retenir, se contenir,
la pression se faisant de plus en plus forte, oprressante.
elle venait je le sentais,
elle agrippa ma tete se contractant d'un coup tandis que ça gorge lachait un rale long, suivie d'un relachant salvateur et d'autres contractions alletantes.

Je remontais vers sa bouche et l'embrassait, nos relations s'arretaient là habituellement, dans un echange de caresses et de douceurs.

L: Viens , viennnns ... , son souflle et sa respiration etait courte, presque inaudible, l'avait elle dit vraiment ? je l'embrassais tendrement en lui carressant les seins.
Moi : Tu es sur ? tu en as vraiment envie ?
L. : Oui
L. : il faut que je te dise quelquechose ....
Une larme coula sur sa joue , telle la rosée du matin, perlant sur une fleur,
je la recuperait dans un baiser.

je me plaçais au dessus d'elle, et elle me guida.
Je sentis sous mon gland s'ouvrir ses levres humides,
j'avais pris une de ses mains, nos doigts entrelacés et à chaque pression
je suis entré doucement en elle,
son vagin etait doux et chaud,
je continuais ma lente penetration,
et c'est son corps tout entier qui peu à peu s'est offert,
telle une fleur au matin de sa premiere floraison.
son souffle etait lent , aussi lent que la penetration,
plus je penetrais en elle plus il etait long et profond.
j'atteignis rapidement le fond
je restait un moment en elle sans bouger , toujours en exerçant une legere pression,
elle avait les yeux fermés, le corp offert, la bouche ouverte,
toute entiere concentrée sur la douce penetration et les sensations qu'elle engendrait.
Je l'embrassais , passant ma main dans ses cheveux, carressant son visage.

Doucement j'amorcai un va et vient,
elle avait les yeux grand ouvert, elle se mordillait les levres,
doucement le rythme s'accelera,
elle etait maintenant totalement offerte, si chaude, si douce à l'interieur,
je ne quittais son regard, il etait si intense,
je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner ,
mais il ne fallait pas , pas maintenant, pas encore,
je devais tenir , profiter encore un peu, quelques minutes .

Son souffle devint court , plus saccadé,
elle se mordait les levres, recherchait ma bouche,
serrait mes doigts d'une main et avait agrippé mon epaule de l'autre,
les traits de son visage etaient tirés, les yeux fermes,
mes va-et-vient etaient devenus vigoureux,
j'accellerai le rythme,
nos regards, nos doigts entrelacés,
nos sexe unis dans un meme elan, un même desir,
cette envie folle qui nous etreignais,
elle redressa la tete,dans un rale profond, la bouche ouverte
et mordit dans la chair de mon epaule,
je n'en pouvais plus ,
encore un assaut,
tenir encore un peu,
un autre,
encore un
oui,
et enfin .... la liberation
dans un gemissement incontrolé et liberateur,
mon sexe vibrant en elle, ne cessant ses contractions,
se liberant enfin.

je l'embrassais encore et encore
restant en elle de longues minutes encore,
l'un sur l'autre, comme pour faire durer ce moment inoubliable,
j'aurais aime en cet instant, que pour nous deux, le temps s'arrete !
(E)
Elle avait décidé de s'offrir";"C'était le début de matinée,le ciel etait bleu l'air déja chaud.
A peine montée dans la voiture, elle posa sa main sur ma cuisse
elle avait ...

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ce nectar, issu de tes émois (Jcq)


Et ma bouche impatiente d 'aller au creux de toi,
De goûter ce nectar, issu de tes émois,
Se penche entre tes jambes qui forment une croix
Et poursuit le chemin qu'avait tracé mon doigt.

Jacques
ce nectar, issu de tes émois (Jcq) (E)
Et ma bouche impatiente d 'aller au creux de toi,
De goûter ce nectar, issu de tes émois,
Se penche entre tes jambes qui forment une croix
Et poursuit le chemin qu'avait tracé mon doigt.

Jacques ...

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ta déchirure (Georges Bataille)


je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962)
ta déchirure (Georges Bataille) (E)
je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962) ...

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Elle rue, en dessus, geint, délire, vous encourage, secoue ses teignes de désespoir. Vous, la tête à l'étau, brouteur patient, le groin dans la truffe au parfum jamais mis en flacon, vous méprisez votre propre plaisir : c'est le sien qui compte. Catcheuse ruisselante, elle va vous étrangler d'un ciseau de ses cuisses. Vous haletez, tout à votre besogne salée, artisan des basses régions. Soudain elle desserre l'étau, apaise sa houle, éteint ses grognements ; vous émergez, la trogne luisante, sans autre contentement que de la savoir rassasiée.

André Hardellet
(E)
Elle rue, en dessus, geint, délire, vous encourage, secoue ses teignes de désespoir. Vous, la tête à l'étau, brouteur patient, le groin dans la truffe au parfum jamais mis en flacon, vous méprisez vo ...

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ton absinthe (Jean Ferrat)


Laisse-moi sans crainte Venir à genoux
Goûter ton absinthe Boire ton vin doux
O rires et plaintes O mots insensés
La folle complainte S'est vite élancée

Défions le monde Et ses interdits
Ton plaisir inonde Ma bouche ravie
Vertu ou licence Par Dieu je m'en fous
Je perds ma semence Dans ton sexe roux

Jean Ferrat
ton absinthe (Jean Ferrat) (E)
Laisse-moi sans crainte Venir à genoux
Goûter ton absinthe Boire ton vin doux
O rires et plaintes O mots insensés
La folle complainte S'est vite élancée

Défions le monde Et ses i ...

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Ses yeux de braise sensuels et affectueux
Sa bouche pulpeuse,
Baisers tendres, baisers grâcieux,
Sur le front, sur la joue, sur l'oreille,
L’embrasser sur la douceur du satin couvrant ses seins
poser ma bouche sur ses lèvres tièdes,
Sur la peau fine de son cou,
Effleurer la courbe gracieuse de ses seins,
Respirer le parfum de son jardin de Jade.
Plus près encore…
Là où le désir transpire,
La liqueur aphrodisiaque, l’élixir d’Amour !
Là où la grotte à corail, l’écrin à bijoux,
Cache le trésor mystérieux.
Dans l’attention envers l’autre, la tendresse,
La prévenance, la délicatesse,
La douceur, la folie,
L’imagination, la générosité, la fantaisie…
L’univers créatif et sensuel
Lui rendant son caractère merveilleux,
Sa beauté et sa pureté d’expression
Dans l’union des deux
Réunis en Un.
(E)
Ses yeux de braise sensuels et affectueux
Sa bouche pulpeuse,
Baisers tendres, baisers grâcieux,
Sur le front, sur la joue, sur l'oreille,
L’embrasser sur la douceur du satin couvrant ses seins
poser ma ...

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Laisse-moi sans crainte
Venir à genoux
Goûter ton absinthe
Boire ton vin doux

Jean Ferrat
(E)
Laisse-moi sans crainte
Venir à genoux
Goûter ton absinthe
Boire ton vin doux

Jean Ferrat
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lèvres en joie (Arthemisia)


Mes lèvres étaient en joie, d’une humidité chaude
venant et revenant, du ressac éternel,
assourdissant élan de vos marées viriles.
Mon sexe s’exhibait nu, sous votre soleil
suintant de vie marine, englouti par le flot,
la caresse dévoreuse, le baiser infini
porteur de tous mes rêves.

Arthemisia
lèvres en joie (Arthemisia) (E)
Mes lèvres étaient en joie, d’une humidité chaude
venant et revenant, du ressac éternel,
assourdissant élan de vos marées viriles.
Mon sexe s’exhibait nu, sous votre soleil ...

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Remontant le sillon attardez le désir
À faire du clitoris une confiserie
Soyez calme précis et sans agacerie
Sucez-le lentement menez le au plaisir

Tétez ou bien léchez vous devez ressentir
Son profond intérêt pour la câlinerie
Par la juste cadence une ample griserie
Au feu clitoridien vous fera aboutir

Sachez vous adapter à l’envie d’une dame
Par la diversité entretenez sa flamme
D’une issue spasmodique enchantez son bijou

De la liqueur satin épanchez l’insistance
Renouvelez la chose si elle est à son goût
La rose bien traitée aime l’exubérance.

Carimo
(E)
Remontant le sillon attardez le désir
À faire du clitoris une confiserie
Soyez calme précis et sans agacerie
Sucez-le lentement menez le au plaisir

Tétez ou bien léchez vous devez res ...

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nos corps s'enflamment, se donnent, tes yeux pétillent
quand de ma bouche j'exacerbe tes sens.
mes mains glissent sur ta peau
comme l'eau descendant un cour d'eau,
Tu frémis me supplies de ne pas arrêter.
Tu te consumes quand j'explore
de mon sexe renflé ta douce cavité
humide et brûlante qui ne demande qu'a exploser.
Il n'est plus beau moment que deux corps repus d'amour
allongés l'un contre l'autre
s'adonnant à quelques caresses d'apaisement.
(E)
nos corps s'enflamment, se donnent, tes yeux pétillent
quand de ma bouche j'exacerbe tes sens.
mes mains glissent sur ta peau
comme l'eau descendant un cour d'eau,
Tu frémis me supplies de ne pas arrête ...

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le lethé (Charles Baudelaire)


Viens sur mon coeur, âme cruelle et sourde,
Tigre adoré, monstre aux airs indolents ;
Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants
Dans l'épaisseur de ta crinière lourde ;

Dans tes jupons remplis de ton parfum
Ensevelir ma tête endolorie,
Et respirer, comme une fleur flétrie,
Le doux relent de mon amour défunt.

Je veux dormir ! dormir plutôt que vivre !
Dans un sommeil aussi doux que la mort,
J'étalerai mes baisers sans remord
Sur ton beau corps poli comme le cuivre.

Pour engloutir mes sanglots apaisés
Rien ne me vaut l'abîme de ta couche ;
L'oubli puissant habite sur ta bouche,
Et le Léthé coule dans tes baisers.

A mon destin, désormais mon délice,
J'obéirai comme un prédestiné ;
Martyr docile, innocent condamné,
Dont la ferveur attise le supplice,

Je sucerai, pour noyer ma rancoeur,
Le népenthès et la bonne ciguë
Aux bouts charmants de cette gorge aiguë
Qui n'a jamais emprisonné de coeur.

Charles Baudelaire - le lethé - les fleurs du mal
le lethé (Charles Baudelaire) (E)
Viens sur mon coeur, âme cruelle et sourde,
Tigre adoré, monstre aux airs indolents ;
Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants
Dans l'épaisseur de ta crinière lourde ;

Dans tes jupons r ...

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Ton con suave, ton con rose,
Sous une forêt de poils blonds,
Doux, frisés, parfumés et long,
A l’air d’une lèvre mi-close,
Lèvre excitant les appétits
De ma lèvre très curieuse,
D’où tant de baisers sont partis …
Car ma chère, les imbéciles
Auront beau dire ; quand on a,
Sur la fille qu’on enconna,
Fait sonner ses couilles dociles,
A moins d’être bourgeois épais
Dont la nuque indécente arbore
Un de ces fameux toupets
Aux crins roses comme l’Aurore
Il faut quand le champ se va clore,
Déposer le baiser de la paix.

Albert Glatiny (1839-1873)
(E)
Ton con suave, ton con rose,
Sous une forêt de poils blonds,
Doux, frisés, parfumés et long,
A l’air d’une lèvre mi-close,
Lèvre excitant les appétits
De ma lè ...

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J'etais allongé sur la civiere posée sur le sol, à demi inconscient
l'infirmière qui apparut au dessus de moi me fit l'effet d'un ange, descendu du ciel.
elle était élancée et avait la peau blanche, des cheveux roux comme le feu.
Ses yeux me regardèrent avec un petit air mutin et elle lança à sa collegue: :
- nous allons le transporter dans sa chambre
Elle se positionna au dessus de ma tete,, sa collegue de l'autre coté
Ma belle rousse avait un pied de chaque côté de mon visage.
j'étais sous un chapiteau blanc. Les deux jambes montaient haut, au-delà du genou.
Je du me contrôler pour ne pas glisser mes mains le long de cette peau que l'on devinait douce et soyeuse,
seul un petit carré de dentelle protégeait son intimité.
elle fléchit les genoux et me saisit sous les épaules.
mon visage n'était plus qu'à quelques 20 ou 30 centimètres de sa culotte !
Ce spectacle magnifique s'accompagnait du parfum musqué qui s'exhalait de ce lieux de delices.
Je profitais de cet instant magique, je humais une dernière fois à pleins poumons ce délicieux parfum.
et ... j'expirais sans contrôle une bouffée d'air chaud … directement entre les cuisses de la belle.
Elle resta figée quelques secondes ... puis me souleva, mais son attitude avait changé.
Elles finirent par me porter jusqu'à mon lit, où elles me déposèrent en douceur.

Je fis mine alors de reprendre mes esprits et ouvris mes yeux.
La belle rousse s'adressa à moi avec un petit sourire et un regard étrange :
- vous semblez avoir retrouvé votre vigueur, va falloir que je vous fasse une pique. respirez bien profondément. Je sais que vous savez faire …
Cette dernière phrase me fit fremir. Je me suis mis à bander comme un taureau. Le drap ne dissimulait plus mon érection.
Son regard se posa sur le lit et elle resta interdite pendant un court laps de temps. Puis elle réagit :
- Je vois que la perfusion vous fait déjà de l'effet…
Son regard s'était fait plus profond, son sourire plus complice.
- Laissez-moi voir ce qu'on peut faire pour vous !!
Elle souleva doucement la couverture puis le drap et je sentais que mon slip, sous la pression, se décollait de mon bas-ventre.
Elle découvrit mon slip tendu par le désir. Avec un sourire coquin, elle me chuchota :
- Si vous le permettez, … je vais vous calmer
La situation devenait de plus en plus torride.
Elle passa ses deux mains sous le tissu et fit descendre doucement mon slip jusqu'à mes genoux puis m'en débarrassa totalement.
Mon sexe était gonflé comme jamais. Elle admira, prit le prépuce entre ses doigts et commença à le masser légèrement,
Ce contact déclencha en moi un nouvel afflux de sang,
Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts la consistance de mon membre.
Ses mains étaient d'une extrême douceur, et d'une fraîcheur surprenante.
Ce massage divin eut des conséquences prévisibles : je libérais peu à peu du liquide pré séminal,
Elle continua son massage pendant quelques minutes qui me parurent une éternité…
Elle fixait intensément mon sexe alors que je la fixais.
J'avançais ma main sous sa blouse, et la remontais vers la base de ses fesses.
Penchée vers mon sexe qu'elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait.
Elle sembla hésiter un instant puis approcha encore un peu plus son visage.
Elle posa ses lèvres sur mon gland pour esquisser un baiser.
Elle refit le même geste en descendant jusqu'à la base, puis en remontant.
Elle releva alors la tête et me regarda profondément.
Je la fixais intensément alors que je voyais sa bouche s'ouvrir, et engloutir mon sexe.
Mon sexe semblait être dans une cavité chaude et humide,
Elle resta comme ça, me faisant sentir son souffle chaud, puis elle referma les lèvres à la base de mon gland.
Je sentis alors sa langue s'activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de désir.
Elle s'attardait toujours sur le gland, provoquant des gémissements que j'avais du mal à retenir.
Puis doucement, elle descendit encore et je me sentais englouti comme jamais.
Les abîmes dans lesquelles elle me plongeait étaient nouveaux pour moi.
Elle allait et venait avec sa bouche pendant que sa main me caressait les couilles.
De temps en temps, elle inversait, et me léchait les couilles doucement.
Ma main se faisait de plus en plus présente sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains.
Mes doigts avaient repoussé la fine culotte, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s'ouvrait.
La situation l'avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, facilitant le glissement de mes doigts.
Ma caresse avait du déclencher une vague de plaisir chez elle.
Je sentis ses globes fessiers se contracter.
Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer,
Je sentais ma sève monter progressivement.
Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son œuvre.
Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d'une femme.
Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper.
Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l'instant présent.
La belle rousse finit par quitter mon entrejambe. Elle rabaissa ma blouse et remonta le drap et la couverture.
- nous sommes quitte !
Elle me quitta sur ces mots.
(E)
J'etais allongé sur la civiere posée sur le sol, à demi inconscient
l'infirmière qui apparut au dessus de moi me fit l'effet d'un ange, descendu du ciel.
elle était élancée et avait l ...

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Circuler doux de ma langue, épouser tes formes
Lèvres coquillage, ailes fines de jeune papillon
Les sentir gonfler, s'épanouir, s'ouvrir, humides
Et onctueuses, dans ma bouche qui te transforme
Te transporte
Avec amour et passion,
Suce, chaude et avide,
Les parois de ta porte...

Et soudain, vriller fou, fouetter le cœur
De ton bouton
Clito - bonbon
Le sentir darder, bander vainqueur
Sous ma langue pressante
Caresse tourmente
Torride plaisir
Tu es au bord de jouir
... mais pas encore
Soit patiente, en fébrile attente
Car je te veux en corps à corps
A mes assauts virils pantelante
Haletante...

Cyr
(E)
Circuler doux de ma langue, épouser tes formes
Lèvres coquillage, ailes fines de jeune papillon
Les sentir gonfler, s'épanouir, s'ouvrir, humides
Et onctueuses, dans ma bouche qui te transforme
Te transp ...

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Lèvres... sublimes (Bertino le Pascalois)


Lèvres... sublimes et au parfum invitant
Qui me transportent de son miel enivrant
C’est un honneur de les goûter, feu de passion
Car sous notre fièvre, se propage le délicieux frisson.

Lèvres...ou déposent le baiser des mes envies
Qui stimulent mes vieux fantasmes endormis
Chatouillant le bouton de manière caressante
S’ouvrant et s’offrant telle une saveur aguichante.

Lèvres... qui réclame le doux et voluptueux plaisir
Qui se frôlent à ma bouche pleine de ses désirs
Qui brûlent ma langue de mots pour nous aimer
Lèvres...hum quand tu oses secréter et m’exciter...

Lèvres...qui nous lient à la ferveur de son feu
Qui se fait offrande pour le plaisir de ton amoureux
Lèvres qui sur mon phallus laissent sa trace au passage
Qui me fait rêver de doux, de longs et chauds voyages...

Bertino le Pascalois
Lèvres... sublimes (Bertino le Pascalois) (E)
Lèvres... sublimes et au parfum invitant
Qui me transportent de son miel enivrant
C’est un honneur de les goûter, feu de passion
Car sous notre fièvre, se propage le délicieux frisson.

L ...

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Tes mains introduiront mon beau membre asinin
Dans le sacré bordel ouvert entre tes cuisses
Et je veux l’avouer en dépit d’Avinain
Que me fait ton amour pourvu que tu jouisses

Ma bouche à tes seins blancs comme des petits suisses
Fera l’honneur abject des suçons sans venin
De ma mentule mâle en ton con féminin
Le sperme tombera comme l’or dans les sluices

O ma tendre putain tes fesse ont vaincu
De tous les fruits pulpeux le savoureux mystère
L’humble rotondité sans sexe de la terre

La lune chaque mois si vaine de son cul
Et de tes yeux jaillit quand tu les voiles
Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

Guillaume Apollinaire (1880-1918)
(E)
Tes mains introduiront mon beau membre asinin
Dans le sacré bordel ouvert entre tes cuisses
Et je veux l’avouer en dépit d’Avinain
Que me fait ton amour pourvu que tu jouisses

Ma bouche à ...

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Elle fut totale, amante, secrète, soumise et directive.
Elle fut câline, joueuse, féline et attentive.
Elle donna et prit sans retenue.
Elle usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces.
Elle m'apprit en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux.
Elle m'offrit sa bouche, ses mains, son ventre et ses reins.
J'étais jeune, j'étais infatigable de son corps.
Mes premières jouissances furent rapides, furent violentes.
Les siennes vinrent plus tard, elle furent sauvages.
J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner ses gémissements,
ses cris rauques quand je la sentais se crisper
et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. J'étais malhabile.
Elle me fit passer pour un amant exemplaire,
Elle me remercia de mes caresses appuyées,
des enlacements enfiévrés, du plaisir qu'elle ressentait.
Elle s'avoua perverse et imaginative
alors qu'elle ne se connaissait que passive et classique.
Je n'y étais pour rien. J'avais été là au bon moment,
ou elle avait voulu être femme.
(E)
Elle fut totale, amante, secrète, soumise et directive.
Elle fut câline, joueuse, féline et attentive.
Elle donna et prit sans retenue.
Elle usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces.
Elle m ...

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À l’écume de mon ventre, au lait de mes seins lourds,
Je te donnerai soif d’apprendre mes plus goûteux atours
Aie l’audace de me fendre d’une langue de velours
Hardi ! vas au plus tendre !
(E)
À l’écume de mon ventre, au lait de mes seins lourds,
Je te donnerai soif d’apprendre mes plus goûteux atours
Aie l’audace de me fendre d’une langue de velours
Hardi ! vas au plus tend ...

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Glisser sous un jupon et jouer de soupirs
Comme d'une partition qui s'appelle désir
Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied
Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé

C'est alors l'occasion de mieux s'y faufiler
Pénétrer en douceur son antre où réclamée
L'ardeur se déchaîne pour mieux l'enflammer
Dans un tourbillon, dénommée volupté

Au prélude soupirs, suit la sonate des cris
Balbutiements de mains sur un clavier de peaux
Au rythme des bassins, cadencé au galop
Quand de la petite mort sonne le requiem gît

Alors deux corps, laissant là le point d'orgue
Dans ce demi silence, le temps reprend sa ronde
Et dans la liberté, improvisée du monde
Le repos mérité comme tout épilogue.
(E)
Glisser sous un jupon et jouer de soupirs
Comme d'une partition qui s'appelle désir
Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied
Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé

C'est alors ...

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A genoux entre tes cuisses
Je fais ma prière
Je vénère les aréoles
de tes deux seins
Je n'allumerais pas de cierge
Mais je prierais
pour que tu allumes le mien
(E)
A genoux entre tes cuisses
Je fais ma prière
Je vénère les aréoles
de tes deux seins
Je n'allumerais pas de cierge
Mais je prierais
pour que tu allumes le mien
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Pose ta bouche et ta langue sur mes lèvres intimes,
fais durer le plaisir, encore, encore ...Glisse ta langue,
mes lèvres vaginales s'écartent d'elles-mêmes !
Mon ventre se tend, mon sexe s'offre à toi...
J'aime ta douceur, je te fais languir, encore ...
Mon bassin bouge, ondule et se tend vers toi,
glisse ta langue, lèche moi, caresse moi du bout de ta langue ....
Je sais que tu aimes, que tu vibres très fort,
et je vais te faire craquer ... et moi je te croque ...
remonte ta langue à l'intérieur de mon sexe,
soulève mes lèvres, fouille moi et découvre ton paradis, mon clitoris.
Met ta langue mon amour, tourne autour, presse le, bouscule le, taquine le.
Tu as enfin trouvé la clé de mon trésor
mon amour, et ce doux bouton de rose qui en garde le chemin ....
Ta bouche tiède me donne ta chaleur, tout en caressant mon puits d'amour.
Caresse ma vulve de tes lèvres ... Je sens la douceur de tes baisers.
Et maintenant, avec tes doigts, maintiens le haut de mon sexe, ouvert et légèrement relevé
Et glisse ton pouce à l'entrée de mon vagin.
Je caresse la douce chaleur, en tournant, en montant, descendant un petit peu ...
caresse moi l'intérieur des fesses, mon ange.
approche doucement tes lèvres de mon petit bouton,
embrasse le, mouille le, caresse le à coups de petits coups de langue légers.
Puis, pose ta langue, bien étalée, bien ouverte, bien à plat, sur mon bouton qui n'attend que cela.
lèche moi tout doucement, de bas en haut, comme une sucette glacée.
Mon corps ondule, entend mes longs soupirs d'extase. arrête tout.

Ecoute mon corps, écoute mon coeur, et reprend tes caresses très doucement,
Mon orgasme arrive, je le sens.
Je gémis, manifeste bruyament,
le plaisir me submerge, je crie ...
l'orgasme m'affole, je jouis!
Et je suis toujours là, tout contre toi.
(E)
Pose ta bouche et ta langue sur mes lèvres intimes,
fais durer le plaisir, encore, encore ...Glisse ta langue,
mes lèvres vaginales s'écartent d'elles-mêmes !
Mon ventre se tend, mon sexe s'offre &ag ...

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Pose ta bouche et ta langue sur mes lèvres intimes,
fais durer le plaisir, encore, encore ...Glisse ta langue,
mes lèvres vaginales s'écartent d'elles-mêmes !
Mon ventre se tend, mon sexe s'offre à toi...
J'aime ta douceur, je te fais languir, encore ...
Mon bassin bouge, ondule et se tend vers toi,
glisse ta langue, lèche moi, caresse moi du bout de ta langue ....
Je sais que tu aimes, que tu vibres très fort,
et je vais te faire craquer ... et moi je te croque ...
remonte ta langue à l'intérieur de mon sexe,
soulève mes lèvres, fouille moi et découvre ton paradis, mon clitoris.
Met ta langue mon amour, tourne autour, presse le, bouscule le, taquine le.
Tu as enfin trouvé la clé de mon trésor
mon amour, et ce doux bouton de rose qui en garde le chemin ....
Ta bouche tiède me donne ta chaleur, tout en caressant mon puits d'amour.
Caresse ma vulve de tes lèvres ... Je sens la douceur de tes baisers.
Et maintenant, avec tes doigts, maintiens le haut de mon sexe, ouvert et légèrement relevé
Et glisse ton pouce à l'entrée de mon vagin.
Je caresse la douce chaleur, en tournant, en montant, descendant un petit peu ...
caresse moi l'intérieur des fesses, mon ange.
approche doucement tes lèvres de mon petit bouton,
embrasse le, mouille le, caresse le à coups de petits coups de langue légers.
Puis, pose ta langue, bien étalée, bien ouverte, bien à plat, sur mon bouton qui n'attend que cela.
lèche moi tout doucement, de bas en haut, comme une sucette glacée.
Mon corps ondule, entend mes longs soupirs d'extase. arrête tout.

Ecoute mon corps, écoute mon coeur, et reprend tes caresses très doucement,
Mon orgasme arrive, je le sens.
Je gémis, manifeste bruyament,
le plaisir me submerge, je crie ...
l'orgasme m'affole, je jouis!
Et je suis toujours là, tout contre toi.
(E)
Pose ta bouche et ta langue sur mes lèvres intimes,
fais durer le plaisir, encore, encore ...Glisse ta langue,
mes lèvres vaginales s'écartent d'elles-mêmes !
Mon ventre se tend, mon sexe s'offre &ag ...

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du bout des lèvres (Hector Rimbaud)


De ta longue robe où je ne ferai qu’un pli
Tombant sur ton dos comme une douce caresse,
Sur tes flancs sur tes reins cette senteur d’ivresse
Que ma langue tendrement enlace avec envie.

Sur tes seins sans soucis s’en vont sous d’autres ciels
Mes pensées perdues et mes désirs absolus,
Galbe cambré sur tes souliers talons, corps nu,
Je touche au parfait, sang du Christ, ivoire et miel.

Je glisse entre tes creux heureux entre tes fesses,
Brûle l’interdit aux calices des diablesses,
Je bois la vie, jus de moiteur, sirop d’eau claire,
Ce ruisseau qui coule au fond de ma gorge amère !

J’y sens monté les feux des enfers et des fièvres,
Mange à ta bouche et la chair rose et puis tes lèvres,
Ce bouton d’or fleuri qui roule en mon palais ;
Dieu que c’est bon ma belle et Dieu que ça me plait !

(Hector Rimbaud)
du bout des lèvres (Hector Rimbaud) (E)
De ta longue robe où je ne ferai qu’un pli
Tombant sur ton dos comme une douce caresse,
Sur tes flancs sur tes reins cette senteur d’ivresse
Que ma langue tendrement enlace avec envie.

Sur tes seins s ...

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ton derrière est ma déesse
il s’ouvre comme ta bouche
je l’adore comme le ciel
je le vénère comme un feu

je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962)
(E)
ton derrière est ma déesse
il s’ouvre comme ta bouche
je l’adore comme le ciel
je le vénère comme un feu

je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues ...

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Ouvre-moi ta couche
Pour l'amour de Dieu
Laisse-moi sans crainte
Venir à genoux
Goûter ton absinthe
Boire ton vin doux
O rires et plaintes
O mots insensés
La folle complainte
S'est vite élancée
Défions le monde
Et ses interdits
Ton plaisir inonde
Ma bouche ravie
(E)
Ouvre-moi ta couche
Pour l'amour de Dieu
Laisse-moi sans crainte
Venir à genoux
Goûter ton absinthe
Boire ton vin doux
O rires et plaintes
O mots insensés
La folle complainte
S'est vit ...

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La bouche grande ouverte,
elle geint à voix haute,
elle a les seins tendus,
le ventre contracté :

Mes lèvres remontent
le long de sa fente.
Elle geint et râle en continu,
elle ne contrôle plus
les mouvements de son ventre
qui oscille à la recherche d'un plaisir total.

Elle se cambre violemment,
s'arc-boute, et elle jouit d'un coup,
la respiration coupée,
tendue comme un arc.
Laissant enfin échapper
l'air de ses poumons,

elle repose ses reins sur le lit,
les bras ballants,
totalement comblée.
(E)
La bouche grande ouverte,
elle geint à voix haute,
elle a les seins tendus,
le ventre contracté :

Mes lèvres remontent
le long de sa fente.
Elle geint et râle en continu,
el ...

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J'aime que ta langue douce
Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse
Le long de mon sexe lisse.

Et que tes lèvres humides
Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice
Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs
En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit
Et c'est moi qui fléchit.

Et je ne sais plus de tes lèvres,
De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre,
De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme,
A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends
Le plaisir que tu me donnes

Mon amour, mon âme
Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!
(E)
J'aime que ta langue douce
Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse
Le long de mon sexe lisse.

Et que tes lèvres humides
Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice
Sur ma peau e ...

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J'aime que ta langue douce au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs en caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit et c'est moi qui fléchit.
Et je ne sais plus de tes lèvres, de ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre, de mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme, a toi comme un amant,
Car je sais que tu prends le plaisir que tu me donnes
Mon amour, mon âme puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!
(E)
J'aime que ta langue douce au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice sur ma peau embuée.

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ta source (Paul Valery)


Je sens venir l'abandon
De ta chair délicate et dont
Parlent tes cuisses entr'ouvertes...
Oui, je descends par le chemin
De velours jusques vers ma main
Qui fait frémir ce qu'elle touche.
Laisse-moi reprendre à ta bouche
Pour surprendre une autre saveur
Ma langue prête à la ferveur...
Elle a sucé comme une mangue
Longuement ta suave langue,
Mais le temps vient d'un fruit plus doux
Ce rubis d'entre tes bijoux
De mon doigt plus ne se contente...
Ouvre vite... ouvre tes genoux
Ouvre à mon oeuvre, ô palpitante...
Que ma langue vienne chérir
Et de douceur faire périr
Ce que déjà ma lèvre effleure,
Cette grotte où le plaisir pleure.

Paul Valery
ta source (Paul Valery) (E)
Je sens venir l'abandon
De ta chair délicate et dont
Parlent tes cuisses entr'ouvertes...
Oui, je descends par le chemin
De velours jusques vers ma main
Qui fait frémir ce qu'elle touche.
Laisse-moi rep ...

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Elle rue, en dessus, geint, délire,
vous encourage, secoue ses teignes de désespoir.
Vous, la tête à l'étau, brouteur patient,
le groin dans la truffe au parfum jamais mis en flacon,
vous méprisez votre propre plaisir : c'est le sien qui compte.
Catcheuse ruisselante,
elle va vous étrangler d'un ciseau de ses cuisses.
Vous haletez, tout à votre besogne salée,
artisan des basses régions.
Soudain elle desserre l'étau, apaise sa houle, éteint ses grognements ;
vous émergez, la trogne luisante, sans autre contentement
que de la savoir rassasiée.

André Hardellet
(E)
Elle rue, en dessus, geint, délire,
vous encourage, secoue ses teignes de désespoir.
Vous, la tête à l'étau, brouteur patient,
le groin dans la truffe au parfum jamais mis en flacon,
vou ...

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Eclaboussé de soleil (Chrysalide)


Eclaboussé de soleil, Son corps nu, allongé,
A l’approche du sommeil S’inonda d’étincelles.
Des perles de l’océan Naquirent entre ses seins
Se joignirent et suivirent La rigole sacrée,
les menant, lentement, Au souffle de ses côtes
A la fontaine d’or Au parfum de vanille
Où j’allais m’abreuver.

Chrysalide
Eclaboussé de soleil (Chrysalide) (E)
Eclaboussé de soleil, Son corps nu, allongé,
A l’approche du sommeil S’inonda d’étincelles.
Des perles de l’océan Naquirent entre ses seins
Se joignirent et suivirent La rigole ...

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Mon amour tu n'es pas un saint (Marie-France Guerrier)


Mon amour tu n'es pas un saint
Lorque tu poses par essaim
Tes baisers dans mon buisson d'Eve
Pour qu'ils en butinent la sève
Quand le bonheur est sacro-saint.

Je devrais crier : spadassin !
Quand la flèche de fantassin
Me fait gémir dans une trêve ...
Mon amour ...

Lorqu'à la gourde de mon sein
Tu t'enivres dans le dessein
De m'emporter au fil du rêve,
Sur les flots de l'extase brève
Où je meurs et j'appelle en vain:
Mon amour ...

Marie-France Guerrier
Mon amour tu n'es pas un saint (Marie-France Guerrier) (E)
Mon amour tu n'es pas un saint
Lorque tu poses par essaim
Tes baisers dans mon buisson d'Eve
Pour qu'ils en butinent la sève
Quand le bonheur est sacro-saint.

Je devrais crier : spadassin !
Quand la fl&eg ...

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buisson d'éventuelles (Marie-France Guerrier)


Mon amour tu n'es pas un saint
Lorque tu poses par essaim
Tes baisers dans mon buisson d'Eve
Pour qu'ils en butinent la sève
Quand le bonheur est sacro-saint.

Je devrais crier : spadassin !
Quand la flèche de fantassin
Me fait gémir dans une trêve ...
Mon amour ...

Lorqu'à la gourde de mon sein
Tu t'enivres dans le dessein
De m'emporter au fil du rêve,
Sur les flots de l'extase brève
Où je meurs et j'appelle en vain:
Mon amour ...

Marie-France Guerrier
buisson d'éventuelles (Marie-France Guerrier) (E)
Mon amour tu n'es pas un saint
Lorque tu poses par essaim
Tes baisers dans mon buisson d'Eve
Pour qu'ils en butinent la sève
Quand le bonheur est sacro-saint.

Je devrais crier : spadassin !
Quand la fl&eg ...

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Dedans une coupe de rose (Saint Amant)


Là, sur sa bouche à demi close
Je buvais, baisant nuit et jour,
A la santé de notre amour,
Dedans une coupe de rose.

Saint Amant
Dedans une coupe de rose (Saint Amant) (E)
Là, sur sa bouche à demi close
Je buvais, baisant nuit et jour,
A la santé de notre amour,
Dedans une coupe de rose.

Saint Amant ...

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ton derrière est ma déesse
il s’ouvre comme ta bouche
je l’adore comme le ciel
je le vénère comme un feu

Georges Bataille (1897-1962)
(E)
ton derrière est ma déesse
il s’ouvre comme ta bouche
je l’adore comme le ciel
je le vénère comme un feu

Georges Bataille (1897-1962) ...

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Eulalie au lit


Eulalie Lit au lit
Tandis qu'Elie Entre ses cuisses
S'immisce Boit le calice Jusqu'à la lie
Elie au lit Ravit Eulalie
Le vit d'Elie Lui fait envie
La vallée d'Eulalie Est son hallali
Elie et Eulalie Sont liés pour la vie
Ou pour la nuit
Eulalie au lit (E)
Eulalie Lit au lit
Tandis qu'Elie Entre ses cuisses
S'immisce Boit le calice Jusqu'à la lie
Elie au lit Ravit Eulalie
Le vit d'Elie Lui fait envie
La vallée d'Eulalie Est son hallali
Elie et Eulal ...

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Elle s’est allongée sur le ventre dans la chambre,
j’ai posé ma joue sur ses fesses et elle a ri.
Ma joue était froide,
j’ai senti son rire vibrer dans sa peau.
J’ai caressé doucement ses fesses,
deux petits animaux fragiles.
J’ai embrassé son dos, très lentement,
de doux baisers qui craquaient à peine.
Elle a fermé les yeux.
J’ai posé à nouveau mon visage contre ses fesses.
Ses jambes étaient très légèrement écartées
et je devinais entre ses cuisses
quelques poils soyeux qui couvraient son sexe.
J’ai approché ma bouche et j’ai glissé ma langue.
Elle avait goût de framboise…
Je voulais apprendre son sexe par cœur,
apprécier les plus petits détails qui le composaient.
La taille de ses lèvres, les teintes de son clitoris,
ma langue fouillait chaque recoin pour mieux le connaître.
Elle avait toujours les yeux fermés,
elle mordait sa lèvre inférieure
et son visage était calme et paisible.
Elle profitait de mes caresses en silence,
je n’entendais que sa respiration.
(E)
Elle s’est allongée sur le ventre dans la chambre,
j’ai posé ma joue sur ses fesses et elle a ri.
Ma joue était froide,
j’ai senti son rire vibrer dans sa peau.
J’ai caress&ea ...

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La tête dans l'oreiller. Les bras écartés, offerte, immobile, elle attendait.
Elle était totalement passive mais dans ses yeux brillait le désir.
Je détaillais ses formes, sa peau sombre, sa toison développée,
ses beaus seins, legerements tombant. Je bandais comme un fou.
Je mis ses mains sur les hanches de Manuela.
Elle se retourna, me vit, pâlit. Ses yeux à demi-clos me scrutaient.
j'écartai lentement ses cuisses.
Docile, elle m'accompagna lorsque je commençai à lui masser la vulve,
elle se mit à soupirer et à murmurer des mots que je ne comprenais pas.
elle écarta les cuisses et se cambra, s'offrant à moi
J'ai présenté mon sexe entre ses jambes, et je l'ai pénétrée
j'ai senti une chaleur douce à l'intérieur de son vagin.
son excitation était telle que je l'ai pénétré facilement, elle ouverte et terriblement mouillée.
Son orgasme était si fort qu'elle a laissé échapper un énorme râle,
ensuite elle s'est brusquement affaissée. Nous nous sommes affalé sur le lit.
Ses seins et son ventre lisse frottaient contre ma poitrine et mon ventre velu
Ses cuisses se sont écartées.
En sentant la chaleur qui se dégageait de son sexe béant,
mon sexe s'est redressé et s'est automatiquement glissé entre les lèvres entrouvertes de son vagin.
J'ai senti sa main glisser nerveusement entre nos deux corps pour se saisir de ma verge,
ensuite elle a commencé à le frotter de bas en haut.
Au bout de quelques mouvements, elle a enfoncé d'un coup toute la tige au fond de son ventre,
en poussant une espèce de soupir de soulagement.
Notre excitation, notre chaleur et notre envie étaient telles, que notre plaisir était immense.
Sentir son corps contre le mien a vite fait de réveiller mes sens, je me suis retrouvé de nouveau en érection.
J'ai continué à l'embrasser et à la caresser en me positionnant entre ses cuisses et en frottant mon sexe contre le sien;
J'ai glissé le long de son corps et j'ai enfoncé délicatement mon sexe,
tellement lentement que j'ai pu sentir toutes les stries qui tapissaient l'intérieur de son vagin;
Sans la pénétrer totalement, j'ai refis ce geste plusieurs fois,
elle était si excitée qu'avec ces mains elle essayait de tirer sur mes hanches pour que je la remplisse totalement, sans succès.
Enfin, me retenir n'était plus possible et au bout de quelque temps, je me suis laissé faire
et je l'ai pénétré jusqu'à ce que je sente mon gland cogner le col de son utérus et mes testicules toucher ses fesses,
c'était une sensation très particulière pleine d'émotion et de plaisir.
Pour augmenter notre excitation et notre envie, j'ai laissé mon sexe au fond de son vagin, en le contractant et le décontractant,
elle était tellement convaincante que j'ai éjaculé intensément au fond de son ventre.
Je me suis alors retiré doucement de son sexe avec un grand regret d'ailleurs,
je l'ai laissé sous les draps, les yeux mi-clos et un sourire d'extase dessiné sur le visage.
(E)
La tête dans l'oreiller. Les bras écartés, offerte, immobile, elle attendait.
Elle était totalement passive mais dans ses yeux brillait le désir.
Je détaillais ses formes, sa peau sombre, s ...

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Elle s'abandonne, confiante, à ses bras experts,
Sans pudeur, son corps nu livré en offrande,
Le coeur battant, et les muscles qui se tendent,
Elle attend ses caresses, sa main qui se perd...

Prenant son temps, il joue avec l'impatience
De la belle qui se dandine en long supplice,
Mais vient une langue posée sur sa cuisse,
dévouvrant mille charmes en toute insouciance.

Quelques gouttes de champagne agrémentent
Les saveurs épicées de son intimité,
Où des lèvres gourmandes osent s'apposer,
Douces et suaves, tendres et aimantes.

Quand sa langue commence son coquin ballet,
Les yeux de la belle s'abandonnent aux plaisirs,
Laissant tous ses sens chavirer, s'épanouir,
Lèvres contre lèvres, elle se sent céder...

Arrivée en fin de cet instant magique,
Une tornade emporte son corps, son esprit,
Vers des cieux immenses, jusqu'à son dernier cri
Qui résonne tel un accord féérique...

2010 © François
(E)
Elle s'abandonne, confiante, à ses bras experts,
Sans pudeur, son corps nu livré en offrande,
Le coeur battant, et les muscles qui se tendent,
Elle attend ses caresses, sa main qui se perd...

Prenant son ...

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Des yeux verts perçants,
Une bouche lascive,
Et plus je descends,
Et plus je salive,

Sous le ciel sans voile,
Saupoudré d'étoiles,
Sur l'herbe sauvage,
Je défais ton corsage,

Pour que ton regard explore,
Les confins de la grande ours,
Ma langue se revigore,
À l'eau bénite de ta source,

Ton souffle brûlant,
M'ordonne de ne faire qu'un,
Au plus profond j'atteins,
Ce point d'émerveillement,

Ton visage est Recouvert,
de tes longs cheveux nuits,
Mais tu en a rien à faire,
Pourvu que tu jouies,

Mes lévres butinent,
La crête de tes vallées,
Vois comment j'ai l'épine,
Gravissant au sommet,

Là, je me concentre,
Pour le bouquet final,
Ici au bas ventre,
dit-elle,triomphale...
(E)
Des yeux verts perçants,
Une bouche lascive,
Et plus je descends,
Et plus je salive,

Sous le ciel sans voile,
Saupoudré d'étoiles,
Sur l'herbe sauvage,
Je défais ton corsag ...

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Que c'est bon d'être demoiselle Car le soir dans mon petit lit
Quand l'étoile Vénus étincelle Quand doucement tombe la nuit

Je me fais sucer la friandise Je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise Je me fais picorer le bonbon
Je me fais frotter la péninsule Je me fais béliner le joyau
Je me fais remplir le vestibule Je me fais ramoner l'abricot
Je me fais farcir la mottelette Je me fais couvrir le rigondonne
Je me fais gonfler la mouflette Je me fais donner le picotin
Je me fais laminer l'écrevisse Je me fais foyer le cœur fendu
Je me fais tailler la pelisse Je me fais planter le mont velu
Je me fais briquer le casse-noisettes Je me fais mamourer le bibelot
Je me fais sabrer la sucette Je me fais reluire le berlingot
Je me fais gauler la mignardise Je me fais rafraîchir le tison
Je me fais grossir la cerise Je me fais nourrir le hérisson
Je me fais chevaucher la chosette je me fais chatouiller le bijou
Je me fais bricoler la cliquette Je me fais gâter le matou

Et vous me demanderez peut-être Ce que je fais le jour durant
Oh! cela tient en peu de lettres Le jour , je baise, tout simplement

Colette Renard
(E)
Que c'est bon d'être demoiselle Car le soir dans mon petit lit
Quand l'étoile Vénus étincelle Quand doucement tombe la nuit

Je me fais sucer la friandise Je me fais caresser le gardon
Je me fai ...

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Amour en cage (Sybille Rembard)


T’abreuvant à mes lèvres calice argenté
désir tu emprisonnes le fruit mûr de ma tendresse
Derrière la lanterne
tes yeux seuls regardent ma fleur solitaire
éclore Derrière les barreaux de la passion
ton regard d’opale frémit
Tu as compris
c’est notre dernière cène
Me transformant en Physalis
écrin de volupté
j’étoufferai
apaisée

Sybille Rembard, Beauté Fractionnée, 2002
Amour en cage (Sybille Rembard) (E)
T’abreuvant à mes lèvres calice argenté
désir tu emprisonnes le fruit mûr de ma tendresse
Derrière la lanterne
tes yeux seuls regardent ma fleur solitaire
éclore Derri& ...

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Perdue en plein milieu d'herbes amoureuses,
Se tient, en terre, une plante dissimulée,
Que la nature, déesse généreuse,
A pourvu en atours d'une infinie beauté.

Sa tige fine aussi soyeuse que lisse,
qui plie, sensuelle, sous les souffles câlins,
Frissonne, si belle, aux caresses qui glissent
Vers la fleur diffusant son intime parfum.

Parfois, une patte d'un félin vagabond,
Danse suggestive, s'amuse tout au long
Des courbes discrètes aux désirs qui tanguent.

Apothéose de ce ballet minutieux,
De la fleur offerte, le matou, malicieux,
Vient cueillir le nectar du bout de sa langue.

2010 © François
(E)
Perdue en plein milieu d'herbes amoureuses,
Se tient, en terre, une plante dissimulée,
Que la nature, déesse généreuse,
A pourvu en atours d'une infinie beauté.

Sa tige fine aussi soye ...