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mercredi 17 décembre 2025 - 18h07
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ton jardin de Jade


Effleurer la courbe gracieuse de tes seins,
Respirer le parfum de ton jardin de Jade.
Plus près encore… Là où le désir transpire,
La liqueur aphrodisiaque, l’élixir d’Amour !
Là où la grotte à corail, l’écrin à bijoux,
Cache le trésor mystérieux.
Dans l’attention envers l’autre, la tendresse,
La prévenance, la délicatesse, La douceur,
la folie, L’imagination, la générosité, la fantaisie…
L’univers créatif et sensuel
Lui rendant son caractère merveilleux,
Ta beauté et ta pureté d’expression
Dans l’union des deux Réunis en Un.
ton jardin de Jade (E)
Effleurer la courbe gracieuse de tes seins,
Respirer le parfum de ton jardin de Jade.
Plus près encore… Là où le désir transpire,
La liqueur aphrodisiaque, l’élixir d’Amou ...

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langue douce


J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit.
Et je ne sais plus de tes lèvres, De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme, A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends Le plaisir que tu me donnes
Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!
langue douce (E)
J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

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musique (Ronvil Sluvenan)


Glisser sous un jupon et jouer de soupirs
Comme d'une partition qui s'appelle désir
Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied
Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé

C'est alors l'occasion de mieux s'y faufiler
Pénétrer en douceur son antre où réclamée
L'ardeur se déchaîne pour mieux l'enflammer
Dans un tourbillon, dénommée volupté

Au prélude soupirs, suit la sonate des cris
Balbutiements de mains sur un clavier de peaux
Au rythme des bassins, cadencé au galop
Quand de la petite mort sonne le requiem gît

Alors deux corps, laissant là le point d'orgue
Dans ce demi silence, le temps reprend sa ronde
Et dans la liberté, improvisée du monde
Le repos mérité comme tout épilogue.

musique (Ronvil Sluvenan)
musique (Ronvil Sluvenan) (E)
Glisser sous un jupon et jouer de soupirs
Comme d'une partition qui s'appelle désir
Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied
Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé

C'est alors ...

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ta saveur ...mon bonheur (explora)


Fleur..tes couleurs.. ta saveur ...mon bonheur..
Ton centre de vie.. je goûte ton fruit..
Pétales de rose.. sur elles ..je me pose..
La douceur de ton miel.. vaut tout le ciel..
Douce amour..de mon parcours..
ton essence..pour mes sens..

Charmeuse..je suis conquise.. je te trouve exquise...
Sauvage comme le vent.. suave dans les grands moments..
Ton emprise .. comme une brise..
beautée ..dévoilée..tu te laisse aimer..
Tes parfums multiples.. remplissent ma vie..mes nuits..
je suis ta disciple.. Te conquérir...pour partir..
pour te revenir..
De toi..je me passionne..
ton centre de vie.. je goûte ton fruit..
Tu frissonnes..tu t'abandonnes..
intense.. moment.. tout puissant..l'instant..
où je suis si près.. de ton ultime sommet..
La douceur de ton miel.. vaut cent arc-en-ciel..

Pétales de rose.. sur elles..je me pose..
ta jouissance..ennivrante...
cette récompense..me fait sentir vivante..

Je suis ton admiratrice..ta complice..
tu es ma partenaire de délices..
Je m'envole...vers le ciel.. comblée ..rassasiée..
chargée..de tes beautées..
Je ne suis...qu'une petite abeille..
devant tes merveilles..

explora
ta saveur ...mon bonheur (explora) (E)
Fleur..tes couleurs.. ta saveur ...mon bonheur..
Ton centre de vie.. je goûte ton fruit..
Pétales de rose.. sur elles ..je me pose..
La douceur de ton miel.. vaut tout le ciel..
Douce amour..de mon parcours. ...

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Le lethé (Charles Baudelaire - les fleurs du mal)


Viens sur mon cœur, âme cruelle et sourde,
Tigre adoré, monstre aux airs indolents;

Dans tes jupons remplis de ton parfum
Ensevelir ma tête endolorie,
Et respirer, comme une fleur flétrie,
Le doux relent de mon amour défunt.

Je veux dormir! dormir plutôt que vivre!
Dans un sommeil aussi doux que la mort,
J'étalerai mes baisers sans remors
Sur ton beau corps poli comme le cuivre.

Pour engloutir mes sanglots apaisés
Rien ne me vaut l'abîme de ta couche;
L'oubli puissant habite sur ta bouche,
Et le Léthé coule dans tes baisers.

A mon destin, désormais mon délice,
J'obéirai comme un prédestiné;
Martyr docile, innocent condamné,
Dont la ferveur attise le supplice,

Je sucerai, pour noyer ma rancœur,
Le népenthès et la bonne ciguë
Aux bouts charmants de cette gorge aiguë
Qui n'a jamais emprisonné de cœur.

Charles Baudelaire
Le lethé (Charles Baudelaire - les fleurs du mal) (E)
Viens sur mon cœur, âme cruelle et sourde,
Tigre adoré, monstre aux airs indolents;

Dans tes jupons remplis de ton parfum
Ensevelir ma tête endolorie,
Et respirer, comme une fleur flét ...

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ton miel (Yves Heurté - Jacq)


Je veux l'anis de tes tendresses, petite sœur,
et le miel de ta ruche entre tes lèvres ouvertes,
puis ta robe où m'enfouir en ses senteurs de lait.

Et ma bouche impatiente d 'aller au creux de toi,
De goûter ce nectar, issu de tes émois,
Se penche entre tes jambes qui forment une croix
Et poursuit le chemin qu'avait tracé mon doigt.
ton miel (Yves Heurté - Jacq) (E)
Je veux l'anis de tes tendresses, petite sœur,
et le miel de ta ruche entre tes lèvres ouvertes,
puis ta robe où m'enfouir en ses senteurs de lait.

Et ma bouche impatiente d 'aller au creux de toi,
D ...

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Dedans une coupe de rose (Saint Amant)


Là, sur sa bouche à demi close
Je buvais, baisant nuit et jour,
A la santé de notre amour,
Dedans une coupe de rose.

Saint Amant
Dedans une coupe de rose (Saint Amant) (E)
Là, sur sa bouche à demi close
Je buvais, baisant nuit et jour,
A la santé de notre amour,
Dedans une coupe de rose.

Saint Amant ...

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la chaleur de mes levres


Ferme les yeux. Caresses mes jambes.
Descends plus bas, le long de mes cuisses,
Sens-tu ma peau brûlante de désir ?
J’écarte les jambes pour toi. Approche ton visage,
Sens la chaleur de mes levres intimes.
Embrasse mon sexe, suçe le, pénètre le.
mes lèvres gonflent, aventure toi un peu plus loin.
écarte moi d’avantage.
Enfouis ton visage au creux de mon intimité.
Explore-moi de ta langue ! Bois moi !
la chaleur de mes levres (E)
Ferme les yeux. Caresses mes jambes.
Descends plus bas, le long de mes cuisses,
Sens-tu ma peau brûlante de désir ?
J’écarte les jambes pour toi. Approche ton visage,
Sens la chaleur de mes levre ...

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ton absinthe (Jean Ferrat)


Laisse-moi sans crainte Venir à genoux
Goûter ton absinthe Boire ton vin doux
O rires et plaintes O mots insensés
La folle complainte S'est vite élancée

Défions le monde Et ses interdits
Ton plaisir inonde Ma bouche ravie
Vertu ou licence Par Dieu je m'en fous
Je perds ma semence Dans ton sexe roux

O Pierrot de lune O monts et merveilles
Voilà que ma plume Tombe de sommeil
Et comme une louve Aux enfants frileux
La nuit nous recouvre De son manteau bleu

Rebelle et soumise Paupières lassées
Remets ta chemise Belle fiancée
L'amour est cerise Et le temps passé
C'est partie remise Pour aller danser

Jean Ferrat
ton absinthe (Jean Ferrat) (E)
Laisse-moi sans crainte Venir à genoux
Goûter ton absinthe Boire ton vin doux
O rires et plaintes O mots insensés
La folle complainte S'est vite élancée

Défions le monde Et ses i ...

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manque de toi (Herbert Leonard)


Je suis en manque de toi
Je me languis de ton parfum
Sentir ta bouche effrontée
Epouser tous mes rêves
Dans un délicieux va et vient
Retenir nos élans
Pour que la nuit N'en finisse pas
Tout oublier Sous mes doigts impatients
Trouver ta voie sacrée
Je n'ai qu'un pays Celui de ton corps
Je n'ai qu'un peché Ton triangle d'or
Je découvre en toi Toutes les audaces
Quand tu m'aimes
Lorsque tu dénoues Tes jupons soyeux
Moi je m'engloutis Au fond de tes yeux
Ta gorge étincelante Tes buissons secrets
Quand tu m'aimes
Je ne pense plus qu'à me perdre
Au plus profond de toi
Et ta peau manque à ma peau
J'ai perdu le sommeil Et je n'arrive plus à travailler
Je n'en peux plus Je paie le prix que paie
Le vice à la vertu
Je n'ai qu'un pays Celui de ton corps
Je n'ai qu'un pechéTon triangle d'or
Je découvre en toi Toutes les audaces
Quand tu m'aimes
Je souscris à tous Ces plaisirs sublimes
Et soudain tu trouves La caresse ultime
Qui arrache en moi Un cri de victoire
Quand tu m'aimes

Herbert Leonard
manque de toi (Herbert Leonard) (E)
Je suis en manque de toi
Je me languis de ton parfum
Sentir ta bouche effrontée
Epouser tous mes rêves
Dans un délicieux va et vient
Retenir nos élans
Pour que la nuit N'en finisse pas < ...

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mes pétales (Dentelle)


Du bout des doigts vous avez écarté mes pétales,
Et m’avez donné de douces caresses en rafales.
Vous avez d’abord alléché mon nombril,
Pour enfin descendre jusqu’à mon pistil.
C’est avec votre nez aquilin de félin,
Que vous avez humé mon parfum de venin,
De la langue vous avez voyagé en terrain conquis,
Toujours vous resterez le jardinier de mon pré fleuri.

© Dentelle
mes pétales (Dentelle) (E)
Du bout des doigts vous avez écarté mes pétales,
Et m’avez donné de douces caresses en rafales.
Vous avez d’abord alléché mon nombril,
Pour enfin descendre jusqu’&agrav ...

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Sa voix est une main qui caresse mes entrailles,
un vent qui se déploie de murmure en tempête.
Je l’aime.
Il caresse mon corps de ses deux yeux brillants.
Il m’étend sur un lit de velours et de soies,
à la lumière de bougies exhalant le santal.
Il glisse entre mes jambes une main chaude et froide.
Il dessine sur ma peau des oiseaux, des cascades,
Il souffle des orages sur les méandres de mes veines,
Il fait porter ma voix plus loin que le ciel.
Il m’aime.
Il dessine sur ma peau des arabesques d’or.
Le sol, le tapis, deviennent un champ immense
où sa voix me fait l’amour entre un cri et un soupir…
Je l’aime.
Il me fouille de sa langue, il m’explore de ses doigts.
Ses gémissements m’excitent, J’aime l’éclat de ses yeux quand il me desire.
Je sens leur chaleur aux endroits qu’ils effleurent.
Il remonte ma robe, la remonte encore, et se glisse dans mon ventre.
J’aime.
sa peau sur la mienne Je l’aime et plus j’y pense, plus mon cœur brûle.
ses doigts qui me fouillent,
sa langue, ses mains qui me frôlent,
sa bouche qui m’embrasse et me fait gémir.
Il y a son parfum sur ma peau.
Il m’aime.
(E)
Sa voix est une main qui caresse mes entrailles,
un vent qui se déploie de murmure en tempête.
Je l’aime.
Il caresse mon corps de ses deux yeux brillants.
Il m’étend sur un lit de velours ...

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Effleure Doucement de tes lèvres
mon vestibule de soie
Vois Ce duvet cette coiffure
Au milieu de mes jambes nues
Sens Cette odeur de chevelure
Et de marine confondue
Entend Mon ventre qui murmure
Tu ne dis rien juste une injure
De ta bouche jaillit le vent
Et la liqueur de ma blessure
Goutte C’est le chant le plus émouvant

André Cayrel
(E)
Effleure Doucement de tes lèvres
mon vestibule de soie
Vois Ce duvet cette coiffure
Au milieu de mes jambes nues
Sens Cette odeur de chevelure
Et de marine confondue
Entend Mon ventre qui murmure
Tu ne d ...

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dans la déchirure (Georges Bataille)


je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962)
dans la déchirure (Georges Bataille) (E)
je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962) ...

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Que l'amour timide et perplexe Laisse son corset puritain,
Qu'il libère sans complexe Pour jouir comme un libertin
Viens aux pétales de mon sexe, A son clitoris de satin
A sa douce fente convexe, Butiner le suc opalin.
Puisque dressée en un réflexe, Ta trompe, papillon lutin,
Baise ma bouche circonflexe Et la fait boire à son festin.

Marie-France Guerrier
(E)
Que l'amour timide et perplexe Laisse son corset puritain,
Qu'il libère sans complexe Pour jouir comme un libertin
Viens aux pétales de mon sexe, A son clitoris de satin
A sa douce fente convexe, Butiner le suc opa ...

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A ton calice (Cyr)


Mignonne allons voir ta rose
Délicate et douce fleur
Qui brille par sa couleur
Et ma langue qui l'arrose

Entre tes cuisses ma bouche repose
A ton calice tes doigts mêlent l'odeur
De mes désirs, de mes ardeurs
Dont j'use et ose

Je mets dans mes caresses, amour et volupté
Mille et un hommages à la beauté
Qui sur ton corps explose

Jusqu'à ce que montent les pleurs
De ta bouche en fleur
Aux lèvres décloses

Cyr
A ton calice (Cyr) (E)
Mignonne allons voir ta rose
Délicate et douce fleur
Qui brille par sa couleur
Et ma langue qui l'arrose

Entre tes cuisses ma bouche repose
A ton calice tes doigts mêlent l'odeur
De mes désir ...

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la secrète source


à la secrète source où je plonge, nage,
et lentement m'abreuve, insatiable, assoiffé...
Et ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise,
et ces frémissements qui n'en finissent pas.
la secrète source (E)
à la secrète source où je plonge, nage,
et lentement m'abreuve, insatiable, assoiffé...
Et ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise,
et ces frémissements qui n'en finissent pas. ...

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tombé d'une larme


Je suis tombé d’une larme Sur le rose de ta joue
Dénudé et sans armes Dans le creux de ton cou
Où le souffle du vent Murmure tendrement
Les promesses parfumées De fleurs chaudes et sucrées

J’ai roulé sur tes seins Durcis et enflammés
Par le feu de tes reins Dans cette douce vallée
Je me suis reposé Et puis dans le silence
J’ai écouté ton cœur Battre dans mon bonheur

Je m’échoue sur ton île Le nez dans ta forêt
Odorante et tactile Cachant le puits sacré
L’entrée de la matrice D'où toute la vie naît
Enivrant précipice Que je veux pénétrer

Enfin je suis en toi Intimement connectés
Tourbillon dans l’émoi De nos corps emmêlés
Communion de chakras Une vision de l’espace
Un absolu qui passe Dans la lucidité

Enfin nous sommes nous Un pluriel singulier
La somme du grand tout Au-delà du sommet
Est-ce la vie la mort Ou bien l’immensité
Je n’en sais rien encore Je n’ai fait que t’aimer…
tombé d'une larme (E)
Je suis tombé d’une larme Sur le rose de ta joue
Dénudé et sans armes Dans le creux de ton cou
Où le souffle du vent Murmure tendrement
Les promesses parfumées De fleurs chaudes et suc ...

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il me dévora


Il me couvrit de baisers,
honora mon intimité
Sans vergogne, il me dévora.
Dès la seconde où j’ai senti
sa langue me pénétrer,
j’ai joui sans relâche.
Une cascade d ‘orgasmes !
Je l’ai supplié de me faire grâce,
j’ai dû pleurer,
j’ai dû m’évanouir.
il me dévora (E)
Il me couvrit de baisers,
honora mon intimité
Sans vergogne, il me dévora.
Dès la seconde où j’ai senti
sa langue me pénétrer,
j’ai joui sans relâche.
...

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Ta dune


Ta dune je la vois je la sens qui m'ensable
Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va
Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable
Ta source tu le sais ne s'imagine pas

Et tu fais de ma bouche un complice estuaire
Et tes baisers mouillés dérivant de ton cygne
Ne se retourneront jamais pour voir la terre
Ta source s'est perdue au fond de ma poitrine

Ta dune (E)
Ta dune je la vois je la sens qui m'ensable
Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va
Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable
Ta source tu le sais ne s'imagine pas

Et tu fais de ma bouche un complice estuaire ...

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ton orifice


Ma langue se glisse, Entre tes cuisses, Douces et lisses,
Mon appendice, Titille ton clitoris,
Je cherche ton orifice, Et je m'y glisse,
De ta cyprine, J'en buvrai un calice,
Pour moi il n'y a pas de sacrifice,
Pour que tu jouisses,
Je suis à ton service, Je suis si ben entre tes cuisses,
J'y goute avec délice, Je respire ton oriffice,
C'est pourquoi toujours, Je serais à ton service,
Puisque je t'aime mon amour.
ton orifice (E)
Ma langue se glisse, Entre tes cuisses, Douces et lisses,
Mon appendice, Titille ton clitoris,
Je cherche ton orifice, Et je m'y glisse,
De ta cyprine, J'en buvrai un calice,
Pour moi il n'y a pas de sacrifice,
Pour ...

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Aminthe (Voltaire)


Je cherche un petit bois touffu,
Que vous portez, Aminthe,
Qui couvre, s’il n’est pas tondu
Un gentil labyrinthe.
Tous les mois, on voit quelques fleurs
Colorer le rivage ;
Laissez-moi verser quelques pleurs
Dans ce joli bocage.

– Allez, monsieur, porter vos pleurs
Sur un autre rivage ;
Vous pourriez bien gâter les fleurs
De mon joli bocage ;
Car, si vous pleuriez tout de bon,
Des pleurs comme les vôtres
Pourraient, dans une autre saison,
M’en faire verser d’autres.

– Quoi ! vous craignez l’évènement
De l’amoureux mystère ;
Vous ne savez donc pas comment
On agit à Cythère ;
L’amant, modérant sa raison,
Dans cette aimable guerre,
Sait bien arroser la gazon
Sans imbiber la terre.

– Je voudrais bien, mon cher amant,
Hasarder pour vous plaire ;
Mais dans ce fortuné moment
On ne se connait guère.
L’amour maîtrisant vos désirs,
Vous ne seriez plus maître
De retrancher de nos plaisirs
Ce qui vous donna l’être.

Voltaire
Aminthe (Voltaire) (E)
Je cherche un petit bois touffu,
Que vous portez, Aminthe,
Qui couvre, s’il n’est pas tondu
Un gentil labyrinthe.
Tous les mois, on voit quelques fleurs
Colorer le rivage ;
Laissez-moi verser quelques ple ...

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haikus (Ruichan)


Ses mains exploratrices
Mon corps est une contrée
Route parfumée
Son doigt glisse entre mes lèvres
Pénétration brève
Sur mon sein charnu
Il dépose ses baisers
Pour mieux la contenter
Jambes écartées
Effluves de mon désir
Il me veut entière
Tribades amours
Deux corps entremêlés
Deux corps embrasés
Deux doigts recourbés
Mon corps se cambre plus fort
Petite mort

Ruichan
haikus (Ruichan) (E)
Ses mains exploratrices
Mon corps est une contrée
Route parfumée
Son doigt glisse entre mes lèvres
Pénétration brève
Sur mon sein charnu
Il dépose ses baisers
Pour ...

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ma figue


De son écrin de douce soie
Délicatement je la dévoile
Voluptueuse, généreuse, pulpeuse.
Humant son parfum subtil
Entre mes mains, je la retiens
Puis délicatement l'entrouvre
Fraîche, humide, épanouie.
De mes lèvres charnues,
Je l'effleure, m'imprègne du suc
Ruisselant et sucré de sa chair
Rosée sous sa peau pourprée
Les arabesques s'enroulent
comme des lanières
Autour de son orifice
Au noyau imaginaire
Je l'engouffre goulûment
Ma figue..
ma figue (E)
De son écrin de douce soie
Délicatement je la dévoile
Voluptueuse, généreuse, pulpeuse.
Humant son parfum subtil
Entre mes mains, je la retiens
Puis délicatement l'entrouvre ...

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Quand, à peine repu, je brûle ta toison
D’un de ces longs baisers dont tu chéris la force,
Débordant d’allégresse, heureuse, en pâmoison,
Tu laisses tes émois bouillir sous ton écorce…
Ardente et réceptive au moindre attouchement
De mes mains sur ton corps vibrant à ces délices.
Je connais ton attrait pour cet abouchement
Te donnant le vertige, offrant tous les prémices
D’un spasme en demi-teinte avant la jouissance,
Que tu sais retarder… pour mieux la ressentir
Lorsque avec de doux cris tu lui donnes naissance.
Alors, pour ce chant là, je veux tout consentir !
(E)
Quand, à peine repu, je brûle ta toison
D’un de ces longs baisers dont tu chéris la force,
Débordant d’allégresse, heureuse, en pâmoison,
Tu laisses tes émois bouillir s ...

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en bas d'un lieu géométrique


Elle naît tout en bas d'un lieu géométrique
A la sentir couler je me crois à la mer
Parmi les poissons fous c'est comme une musique
C'est le printemps et c'est l'automne et c'est l'hiver
L'été ses fleurs mouillées au rythme de l'extase
Dans des bras de folie accrochent les amants
On dirait que l'amour n'a plus besoin de phrases
On dirait que les lèvres n'ont plus besoin d'enfants
Elles coulent les sources en robe ou en guenilles
Celles qui sont fermées celles qu'on n'ouvre plus
Sous des linges qu'on dit marqués du sceau des filles
Et ces marques ça me fait croire qu'il a plu
Qui que tu sois toi que je vois de ma voix triste
Microsillonne-toi et je n'en saurai rien
Coule dans ton phono ma voix de l'improviste
Ma musique te prend les reins alors tu viens
Ta dune je la vois je la sens qui m'ensable
Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va
Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable
Ta source tu le sais ne s'imagine pas
Et tu fais de ma bouche un complice estuaire
Et tes baisers mouillés dérivant de ton cygne
Ne se retourneront jamais pour voir la terre
Ta source s'est perdue au fond de ma poitrine
en bas d'un lieu géométrique (E)
Elle naît tout en bas d'un lieu géométrique
A la sentir couler je me crois à la mer
Parmi les poissons fous c'est comme une musique
C'est le printemps et c'est l'automne et c'est l'hiver
L'&eac ...

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langue de velours


À l’écume de mon ventre,
Au lait de mes seins lourds,
Je te donnerai soif d’apprendre
mes plus goûteux atours
Aie l’audace de me fendre
D’une langue de velours
Hardi ! vas au plus tendre
langue de velours (E)
À l’écume de mon ventre,
Au lait de mes seins lourds,
Je te donnerai soif d’apprendre
mes plus goûteux atours
Aie l’audace de me fendre
D’une langue de velours
Hardi ! v ...

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fontaine d'Amour (sweetgen)


Grain satin et soyeux de ta peau
me donnent frissons, douceur exquise.
Quand mes mains, ma langue, ma bouche,
de ton corps proie soumise,
se repaissent à ne plus faim !
A ta fontaine d'Amour je veux m'arrêter,
pour y déposer un doux et long baiser.
Y assouvir ma soif de désir,
en buvant ton hydromel du jouir.
Tes courbes sont comme océans et mers à dompter,
telle une Armada je m'y lance à naviguer.
Mouvements de tes hanches, comme flots déchaînés,
m'enfoncent en toi, pour m'y noyer.

Découvrir tes endroits les plus secrets,
endroits interdits aux étrangers.
Tu es ma Terre, je suis ton roi,
prêts à querelle si l'on t'ôte à moi.
Tu es la Mer, je suis ton roi,
comme Poseidon vivant en toi.
Tu es fontaine de l'Amour,
je m'y baigne comme aux beaux jours...
Mon Amour.

sweetgen
fontaine d'Amour (sweetgen) (E)
Grain satin et soyeux de ta peau
me donnent frissons, douceur exquise.
Quand mes mains, ma langue, ma bouche,
de ton corps proie soumise,
se repaissent à ne plus faim !
A ta fontaine d'Amour je veux m'arr&eci ...

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jardin de Jade


Respirer le parfum de son jardin de Jade.
Plus près encore… Là où le désir transpire,
La liqueur envoutante, l’élixir d’Amour !
Là où la grotte à corail, l’écrin à bijoux,
Cache le trésor mystérieux.

La bouche grande ouverte, elle geint à voix haute,
elle a les seins tendus, le ventre contracté :
Mes lèvres remontent le long de sa fente.
Elle geint et râle en continu, elle ne contrôle plus
les mouvements de son ventre
Elle se cambre violemment, et elle jouit d'un coup,
la respiration coupée, tendue comme un arc.
Laissant enfin échapper l'air de ses poumons,
elle repose ses reins sur le lit, les bras ballants,
totalement comblée.

jardin de Jade (E)
Respirer le parfum de son jardin de Jade.
Plus près encore… Là où le désir transpire,
La liqueur envoutante, l’élixir d’Amour !
Là où la grotte à cora ...

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ta douceur


J'aime ta douceur, je te fais languir, encore ...
Mon bassin bouge, ondule et se tend vers toi,
Pose ta bouche et ta langue sur mes lèvres intimes
glisse ta langue, caresse moi de ta langue ....
Je sais que tu aimes, que tu vibres très fort,
remonte ta langue à l'intérieur de moi,
soulève mes lèvres, fouille moi
et découvre ton paradis, mon clitoris.
Met ta langue mon amour, tourne autour,
presse le, bouscule le, taquine le.
Tu as enfin trouvé la clé de mon trésor
mon amour, et ce doux bouton de rose qui en garde le chemin ....
Ta bouche tiède me donne ta chaleur,
Je sens la douceur de tes baisers. caresse moi, mon ange.
approche encore tes lèvres,
lèche moi tout doucement, de bas en haut, comme une sucette glacée.
Mon corps ondule, entend mes longs soupirs d'extase.
fais durer le plaisir, encore, encore ...
mes lèvres vaginales s'écartent d'elles-mêmes !
Mon ventre se tend, mon sexe s'offre à toi...
Ecoute mon corps, écoute mon coeur,
et reprend tes caresses très doucement,
Mon orgasme arrive, je le sens.
tu entends mes gémissements
Entends mon cri. le plaisir me submerge
l'orgasme m'affole, je jouis!
Et je suis toujours là, tout contre toi.

arrête tout.
ta douceur (E)
J'aime ta douceur, je te fais languir, encore ...
Mon bassin bouge, ondule et se tend vers toi,
Pose ta bouche et ta langue sur mes lèvres intimes
glisse ta langue, caresse moi de ta langue ....
Je sais que tu aimes, ...

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perchée sur une table en pin
les jambes posées sur deux chaises
tu frisonnes au son de mes mains
ôte ce string, met toi a l'aise

ma bouche avide de ton corps
salive déjà sur des encore
pour que je m'imise au plus profond
tu ondules, et m'offres ton con

le nectar ruisselle lentement
le corps se s'accade et prophetie
la delivrance dans un rale puissant
Flo, tu es belle quand tu jouis......
(E)
perchée sur une table en pin
les jambes posées sur deux chaises
tu frisonnes au son de mes mains
ôte ce string, met toi a l'aise

ma bouche avide de ton corps
salive déjà sur de ...

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Par bonheur ou par malheur
Je connais ton secret pas coeur
Toutes les portes de ton empire
Celle des yeux celle des mains
Des seins et de ta bouche où chaque langue fond
ET la porte du temps ouverte entre tes jambes
La fleur des nuits d’été aux lèvres de la foudre
Au seuil du paysage où la fleur rit et pleure
Tout en gardant cette pâleur de perle morte
Tout en donnant ton coeur tout en ouvrant tes jambes

Tu es comme la mer tu berces les étoiles
Tu es le champ d’amour tu lies et tu sépares
Les amants et les fous
Tu es la faim le pain la soif l’ivresse haute

Paul Eluard
(E)
Par bonheur ou par malheur
Je connais ton secret pas coeur
Toutes les portes de ton empire
Celle des yeux celle des mains
Des seins et de ta bouche où chaque langue fond
ET la porte du temps ouverte entre tes jamb ...

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Ta dune je la vois
je la sens qui m'ensable
Avec ce va-et-vient
de ta mer qui s'en va
Qui s'en va et revient
mieux que l'imaginable
Ta source tu le sais
ne s'imagine pas
Et tu fais de ma bouche
un complice estuaire
Et tes baisers mouillés
dérivant de ton cygne
Ne se retourneront jamais
pour voir la terre
Ta source s'est perdue
au fond de ma poitrine
(E)
Ta dune je la vois
je la sens qui m'ensable
Avec ce va-et-vient
de ta mer qui s'en va
Qui s'en va et revient
mieux que l'imaginable
Ta source tu le sais
ne s'imagine pas
Et tu fais de ma bouche
u ...

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J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit.
Et je ne sais plus de tes lèvres, De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme, A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends Le plaisir que tu me donnes
Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!
(E)
J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse.
Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée.

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Me désaltérer de ta salive En de liquides baisers
Aux parfums de miel ou d'olive Tantôt sucrés, tantôt salés...
Et surtout, ô suprème délice, M'inonder le visage, la gorge et la langue
A la fontaine de joie entre tes cuisses Aux parfums de rose ou de mangue...

Cyr
(E)
Me désaltérer de ta salive En de liquides baisers
Aux parfums de miel ou d'olive Tantôt sucrés, tantôt salés...
Et surtout, ô suprème délice, M'inonder le visage, la gorge ...

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du bout des lèvres (Hector Rimbaud)


De ta longue robe où je ne ferai qu’un pli
Tombant sur ton dos comme une douce caresse,
Sur tes flancs sur tes reins cette senteur d’ivresse
Que ma langue tendrement enlace avec envie.

Sur tes seins sans soucis s’en vont sous d’autres ciels
Mes pensées perdues et mes désirs absolus,
Galbe cambré sur tes souliers talons, corps nu,
Je touche au parfait, sang du Christ, ivoire et miel.

Je glisse entre tes creux heureux entre tes fesses,
Brûle l’interdit aux calices des diablesses,
Je bois la vie, jus de moiteur, sirop d’eau claire,
Ce ruisseau qui coule au fond de ma gorge amère !

J’y sens monté les feux des enfers et des fièvres,
Mange à ta bouche et la chair rose et puis tes lèvres,
Ce bouton d’or fleuri qui roule en mon palais ;
Dieu que c’est bon ma belle et Dieu que ça me plait !

(Hector Rimbaud)
du bout des lèvres (Hector Rimbaud) (E)
De ta longue robe où je ne ferai qu’un pli
Tombant sur ton dos comme une douce caresse,
Sur tes flancs sur tes reins cette senteur d’ivresse
Que ma langue tendrement enlace avec envie.

Sur tes seins s ...

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bouquet final


Des yeux verts perçants,
Une bouche lascive,
Et plus je descends,
Et plus je salive,

Sous le ciel sans voile,
Saupoudré d'étoiles,
Sur l'herbe sauvage,
Je défais ton corsage,

Pour que ton regard explore,
Les confins de la grande ours,
Ma langue se revigore,
À l'eau bénite de ta source,

Ton souffle brûlant,
M'ordonne de ne faire qu'un,
Au plus profond j'atteins,
Ce point d'émerveillement,

Ton visage est Recouvert,
de tes longs cheveux nuits,
Mais tu en a rien à faire,
Pourvu que tu jouies,

Mes lévres butinent,
La crête de tes vallées,
Vois comment j'ai l'épine,
Gravissant au sommet,

Là, je me concentre,
Pour le bouquet final,
Ici au bas ventre,
dit-elle,triomphale...
bouquet final (E)
Des yeux verts perçants,
Une bouche lascive,
Et plus je descends,
Et plus je salive,

Sous le ciel sans voile,
Saupoudré d'étoiles,
Sur l'herbe sauvage,
Je défais ton corsag ...

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Dans le bois aux myrtilles (Michelle Meyer)


Dans le bois aux myrtilles
Mes lèvres mauves s’ourlaient
tel l’iris sous la rosée
et tu venais les butiner
telle l’abeille laborieuse
Mes jambes fléchissaient
comme fleur sur sa tige
Tes doigts firent naître
une jolie baie
Et bientôt ta langue la chercha
dans un nid de broussaille
Mes mains saisirent
un fruit lourd et juteux
C’était dans le bois aux myrtilles
où l’un et l’autre découvrirent
Beaucoup de fruits violets.

Michelle Meyer
Dans le bois aux myrtilles (Michelle Meyer) (E)
Dans le bois aux myrtilles
Mes lèvres mauves s’ourlaient
tel l’iris sous la rosée
et tu venais les butiner
telle l’abeille laborieuse
Mes jambes fléchissaient
comme fleur sur ...

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le miel de ta ruche (Yves Heurté)


Je veux l'anis
de tes tendresses,
petite sœur,
et le miel de ta ruche
entre tes lèvres ouvertes,
puis ta robe
où m'enfouir
en ses senteurs de lait.

Yves Heurté
le miel de ta ruche (Yves Heurté) (E)
Je veux l'anis
de tes tendresses,
petite sœur,
et le miel de ta ruche
entre tes lèvres ouvertes,
puis ta robe
où m'enfouir
en ses senteurs de lait.

Yves Heurté
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Tu puiseras ta force en mon calice,
Y trempant tes lèvres avec malice.
Tu deviendras enfin le complice,
De la fin de mon supplice.
Goûte-moi

© Dentelle
(E)
Tu puiseras ta force en mon calice,
Y trempant tes lèvres avec malice.
Tu deviendras enfin le complice,
De la fin de mon supplice.
Goûte-moi

© Dentelle ...

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L'amant bulgare (Michelle Meyer)


Elle aimait les roses Les iris et les glaïeuls aussi
Elle avait un jardin Plein de tulipes
Mais sa fleur préférée était un œillet violet
qu’elle réservait à son amant bulgare

Elle aimait les pastèques juteuses les grenades et les cassis
Elle avait une coupe pleine de beaux fruits
Mais ceux qu’elle préférait étaient deux pommes savoureuses
qu’elle réservait à son amant bulgare

Elle aimait le balancement du hamac Et le bruit mat des rames
Elle avait un yacht Au bord de la Mer Noire
Mais sa nef préférée Etait la barque de ses reins
Qu’elle réservait A son amant bulgare

Il est parti le rustre Avec une figue sèche Une vraie planche pour naufragé
Il est parti le rustre Et la belle a offert
son œillet violet ses pommes savoureuses
et la barque de ses reins à un marin qui passait par là.

Michelle Meyer
L'amant bulgare (Michelle Meyer) (E)
Elle aimait les roses Les iris et les glaïeuls aussi
Elle avait un jardin Plein de tulipes
Mais sa fleur préférée était un œillet violet
qu’elle réservait à son amant bu ...

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mon calice (Dentelle)


Tu puiseras ta force en mon calice,
Y trempant tes lèvres avec malice.
Tu deviendras enfin le complice,
De la fin de mon supplice.
Goûte-moi

© Dentelle
mon calice (Dentelle) (E)
Tu puiseras ta force en mon calice,
Y trempant tes lèvres avec malice.
Tu deviendras enfin le complice,
De la fin de mon supplice.
Goûte-moi

© Dentelle ...

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Au creux de ma féminité (Dentelle)


Au creux de ma féminité,
J’ai délicatement accroché,
Un petit diamant sacré.
Ta langue a redessiné,
Le chemin de la volupté,
Plaisir dans la sensualité.

Dentelle
Au creux de ma féminité (Dentelle) (E)
Au creux de ma féminité,
J’ai délicatement accroché,
Un petit diamant sacré.
Ta langue a redessiné,
Le chemin de la volupté,
Plaisir dans la sensualité.
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De son écrin de papier de soie
Délicatement je la dévoile
Voluptueuse, généreuse, pulpeuse.
Humant son parfum subtil
Entre mes mains, je la retiens
Puis délicatement l'entrouvre
Fraîche, humide, épanouie.
De mes lèvres charnues,
Je l'effleure, m'imprègne du suc
Ruisselant et sucré de sa chair
Rosée sous sa peau pourprée
Les arabesques s'enroulent
comme des lanières
Autour de son orifice
Au noyau imaginaire
Je l'engouffre goulûment
Ma figue..
(E)
De son écrin de papier de soie
Délicatement je la dévoile
Voluptueuse, généreuse, pulpeuse.
Humant son parfum subtil
Entre mes mains, je la retiens
Puis délicatement l'entro ...

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sous le jupon (Ronvil Sluvenan)


Glisser sous un jupon et jouer de soupirs
Comme d'une partition qui s'appelle désir
Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied
Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé

C'est alors l'occasion de mieux s'y faufiler
Pénétrer en douceur son antre où réclamée
L'ardeur se déchaîne pour mieux l'enflammer
Dans un tourbillon, dénommée volupté

Au prélude soupirs, suit la sonate des cris
Balbutiements de mains sur un clavier de peaux
Au rythme des bassins, cadencé au galop
Quand de la petite mort sonne le requiem gît

Alors deux corps, laissant là le point d'orgue
Dans ce demi silence, le temps reprend sa ronde
Et dans la liberté, improvisée du monde
Le repos mérité comme tout épilogue.
sous le jupon (Ronvil Sluvenan) (E)
Glisser sous un jupon et jouer de soupirs
Comme d'une partition qui s'appelle désir
Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied
Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé

C'est alors ...

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ta déchirure (Georges Bataille)


je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962)
ta déchirure (Georges Bataille) (E)
je bois dans ta déchirure
j’étale tes jambes nues
je les ouvre comme un livre
où je lis ce qui me tue.

Georges Bataille (1897-1962) ...

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coupe de roses (Saint Amant)


Là, sur sa bouche à demi close
Je buvais, baisant nuit et jour,
A la santé de notre amour,
Dedans une coupe de rose.

Saint Amant
coupe de roses (Saint Amant) (E)
Là, sur sa bouche à demi close
Je buvais, baisant nuit et jour,
A la santé de notre amour,
Dedans une coupe de rose.

Saint Amant ...

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jardin de Jade


L’embrasser sur la douceur du satin couvrant ses seins
poser ma bouche sur ses lèvres tièdes,
Sur la peau fine de son cou,
Effleurer la courbe gracieuse de ses seins,
Respirer le parfum de son jardin de Jade.
Plus près encore… Là où le désir transpire,
La liqueur aphrodisiaque, l’élixir d’Amour !
Là où la grotte à corail, l’écrin à bijoux,
Cache le trésor mystérieux.
Dans l’attention envers l’autre,
la tendresse, La prévenance, la délicatesse,
La douceur, la folie, L’imagination,
la générosité, la fantaisie…
L’univers créatif et sensuel
Lui rendant son caractère merveilleux,
Sa beauté et sa pureté d’expression
Dans l’union des deux Réunis en Un.
jardin de Jade (E)
L’embrasser sur la douceur du satin couvrant ses seins
poser ma bouche sur ses lèvres tièdes,
Sur la peau fine de son cou,
Effleurer la courbe gracieuse de ses seins,
Respirer le parfum de son jardin ...

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Caresses butineuses


Caresses butineuses sous la chaleur du soleil
lèvres entrouvertes petites pétales roses et fragiles
qui s'épanouissent avec délicatesse
comme les ailes légères d'un papillon
irisées d'un rouge tendre au creux de sa corolle
reluit la douce cyprine qui perle à fleur de peau
ambroisie des amoureux, je butine autour de ta fleur odorante
avant d'y poser ma bouche pour y laper le nectar des dieux
qui s'écoule de ta source
je sens ton corps qui se livre il s'offre à moi tout entier
il se confie avec ferveur à ma tendresse à ma passion
tu m'enivres de tes caresses de ton breuvage désaltérant
qui trahit si savoureusement
tes plus secrets tes plus fougueux désirs
Caresses butineuses (E)
Caresses butineuses sous la chaleur du soleil
lèvres entrouvertes petites pétales roses et fragiles
qui s'épanouissent avec délicatesse
comme les ailes légères d'un papillon
iris ...

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Frôler tes cuisses soyeuses
Oter le doux tissu
négligé, ce petit rien
Regarder ton sexe nu,
ta forêt foudroyante
Y reposer ma tête
Caresser ton dos, tes fesses
Toucher, caresser, boire
la douceur de ton divin sexe
Imaginer la verge-poisson
glisser dans ton ventre-océan
Jouir à ta demande...
(E)
Frôler tes cuisses soyeuses
Oter le doux tissu
négligé, ce petit rien
Regarder ton sexe nu,
ta forêt foudroyante
Y reposer ma tête
Caresser ton dos, tes fesses
Toucher, cares ...

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Frôler tes cuisses soyeuses
Oter le doux tissu
négligé, ce petit rien
Regarder ton sexe nu,
ta forêt foudroyante
Y reposer ma tête
Caresser ton dos, tes fesses
Toucher, caresser, boire
la douceur de ton divin sexe
Imaginer la verge-poisson
glisser dans ton ventre-océan
Jouir à ta demande...
(E)
Frôler tes cuisses soyeuses
Oter le doux tissu
négligé, ce petit rien
Regarder ton sexe nu,
ta forêt foudroyante
Y reposer ma tête
Caresser ton dos, tes fesses
Toucher, cares ...

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Approche-toi, ferme les yeux.
caresses mes jambes
remonte le long de mes cuisses,
Sens la chaleur de mes levres
ma peau est brûlante de désir,
j’écarte les jambes pour toi.
approches ton visage
dans l’antre de mes cuisses,
vois mes lèvres gonflées,
viens embrasser mon sexe.
aventures toi un peu plus loin.
écarte moi d’avantage.
enfouis ton visage
au creux de mon intimité.
je sens bien ta langue,
glisses ta langue encore, là.
sens cette chaleur si particulière
(E)
Approche-toi, ferme les yeux.
caresses mes jambes
remonte le long de mes cuisses,
Sens la chaleur de mes levres
ma peau est brûlante de désir,
j’écarte les jambes pour toi.
approches to ...