![]() | ton jardin de JadeEffleurer la courbe gracieuse de tes seins, Respirer le parfum de ton jardin de Jade. Plus près encore… Là où le désir transpire, La liqueur aphrodisiaque, l’élixir d’Amour ! Là où la grotte à corail, l’écrin à bijoux, Cache le trésor mystérieux. Dans l’attention envers l’autre, la tendresse, La prévenance, la délicatesse, La douceur, la folie, L’imagination, la générosité, la fantaisie… L’univers créatif et sensuel Lui rendant son caractère merveilleux, Ta beauté et ta pureté d’expression Dans l’union des deux Réunis en Un. | ton jardin de Jade (E) Effleurer la courbe gracieuse de tes seins, Respirer le parfum de ton jardin de Jade. Plus près encore… Là où le désir transpire, La liqueur aphrodisiaque, l’élixir d’Amou ... |
![]() | langue douceJ'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse. Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée. De mouvements lascifs En caresses secrètes C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit. Et je ne sais plus de tes lèvres, De ta langue ou tes doigts caressants Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements. Offert comme une femme, A toi comme un amant, Car je sais que tu prends Le plaisir que tu me donnes Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps La source de ta flamme! | langue douce (E) J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse. Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée. |
![]() | musique (Ronvil Sluvenan)Glisser sous un jupon et jouer de soupirs Comme d'une partition qui s'appelle désir Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé C'est alors l'occasion de mieux s'y faufiler Pénétrer en douceur son antre où réclamée L'ardeur se déchaîne pour mieux l'enflammer Dans un tourbillon, dénommée volupté Au prélude soupirs, suit la sonate des cris Balbutiements de mains sur un clavier de peaux Au rythme des bassins, cadencé au galop Quand de la petite mort sonne le requiem gît Alors deux corps, laissant là le point d'orgue Dans ce demi silence, le temps reprend sa ronde Et dans la liberté, improvisée du monde Le repos mérité comme tout épilogue. musique (Ronvil Sluvenan) | musique (Ronvil Sluvenan) (E) Glisser sous un jupon et jouer de soupirs Comme d'une partition qui s'appelle désir Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé C'est alors ... |
![]() | ta saveur ...mon bonheur (explora)Fleur..tes couleurs.. ta saveur ...mon bonheur.. Ton centre de vie.. je goûte ton fruit.. Pétales de rose.. sur elles ..je me pose.. La douceur de ton miel.. vaut tout le ciel.. Douce amour..de mon parcours.. ton essence..pour mes sens.. Charmeuse..je suis conquise.. je te trouve exquise... Sauvage comme le vent.. suave dans les grands moments.. Ton emprise .. comme une brise.. beautée ..dévoilée..tu te laisse aimer.. Tes parfums multiples.. remplissent ma vie..mes nuits.. je suis ta disciple.. Te conquérir...pour partir.. pour te revenir.. De toi..je me passionne.. ton centre de vie.. je goûte ton fruit.. Tu frissonnes..tu t'abandonnes.. intense.. moment.. tout puissant..l'instant.. où je suis si près.. de ton ultime sommet.. La douceur de ton miel.. vaut cent arc-en-ciel.. Pétales de rose.. sur elles..je me pose.. ta jouissance..ennivrante... cette récompense..me fait sentir vivante.. Je suis ton admiratrice..ta complice.. tu es ma partenaire de délices.. Je m'envole...vers le ciel.. comblée ..rassasiée.. chargée..de tes beautées.. Je ne suis...qu'une petite abeille.. devant tes merveilles.. explora | ta saveur ...mon bonheur (explora) (E) Fleur..tes couleurs.. ta saveur ...mon bonheur.. Ton centre de vie.. je goûte ton fruit.. Pétales de rose.. sur elles ..je me pose.. La douceur de ton miel.. vaut tout le ciel.. Douce amour..de mon parcours. ... |
![]() | Le lethé (Charles Baudelaire - les fleurs du mal)Viens sur mon cœur, âme cruelle et sourde, Tigre adoré, monstre aux airs indolents; Dans tes jupons remplis de ton parfum Ensevelir ma tête endolorie, Et respirer, comme une fleur flétrie, Le doux relent de mon amour défunt. Je veux dormir! dormir plutôt que vivre! Dans un sommeil aussi doux que la mort, J'étalerai mes baisers sans remors Sur ton beau corps poli comme le cuivre. Pour engloutir mes sanglots apaisés Rien ne me vaut l'abîme de ta couche; L'oubli puissant habite sur ta bouche, Et le Léthé coule dans tes baisers. A mon destin, désormais mon délice, J'obéirai comme un prédestiné; Martyr docile, innocent condamné, Dont la ferveur attise le supplice, Je sucerai, pour noyer ma rancœur, Le népenthès et la bonne ciguë Aux bouts charmants de cette gorge aiguë Qui n'a jamais emprisonné de cœur. Charles Baudelaire | Le lethé (Charles Baudelaire - les fleurs du mal) (E) Viens sur mon cœur, âme cruelle et sourde, Tigre adoré, monstre aux airs indolents; Dans tes jupons remplis de ton parfum Ensevelir ma tête endolorie, Et respirer, comme une fleur flét ... |
![]() | ton miel (Yves Heurté - Jacq)Je veux l'anis de tes tendresses, petite sœur, et le miel de ta ruche entre tes lèvres ouvertes, puis ta robe où m'enfouir en ses senteurs de lait. Et ma bouche impatiente d 'aller au creux de toi, De goûter ce nectar, issu de tes émois, Se penche entre tes jambes qui forment une croix Et poursuit le chemin qu'avait tracé mon doigt. | ton miel (Yves Heurté - Jacq) (E) Je veux l'anis de tes tendresses, petite sœur, et le miel de ta ruche entre tes lèvres ouvertes, puis ta robe où m'enfouir en ses senteurs de lait. Et ma bouche impatiente d 'aller au creux de toi, D ... |
![]() | Dedans une coupe de rose (Saint Amant)Là, sur sa bouche à demi close Je buvais, baisant nuit et jour, A la santé de notre amour, Dedans une coupe de rose. Saint Amant | Dedans une coupe de rose (Saint Amant) (E) Là, sur sa bouche à demi close Je buvais, baisant nuit et jour, A la santé de notre amour, Dedans une coupe de rose. Saint Amant ... |
![]() | la chaleur de mes levresFerme les yeux. Caresses mes jambes. Descends plus bas, le long de mes cuisses, Sens-tu ma peau brûlante de désir ? J’écarte les jambes pour toi. Approche ton visage, Sens la chaleur de mes levres intimes. Embrasse mon sexe, suçe le, pénètre le. mes lèvres gonflent, aventure toi un peu plus loin. écarte moi d’avantage. Enfouis ton visage au creux de mon intimité. Explore-moi de ta langue ! Bois moi ! | la chaleur de mes levres (E) Ferme les yeux. Caresses mes jambes. Descends plus bas, le long de mes cuisses, Sens-tu ma peau brûlante de désir ? J’écarte les jambes pour toi. Approche ton visage, Sens la chaleur de mes levre ... |
![]() | ton absinthe (Jean Ferrat)Laisse-moi sans crainte Venir à genoux Goûter ton absinthe Boire ton vin doux O rires et plaintes O mots insensés La folle complainte S'est vite élancée Défions le monde Et ses interdits Ton plaisir inonde Ma bouche ravie Vertu ou licence Par Dieu je m'en fous Je perds ma semence Dans ton sexe roux O Pierrot de lune O monts et merveilles Voilà que ma plume Tombe de sommeil Et comme une louve Aux enfants frileux La nuit nous recouvre De son manteau bleu Rebelle et soumise Paupières lassées Remets ta chemise Belle fiancée L'amour est cerise Et le temps passé C'est partie remise Pour aller danser Jean Ferrat | ton absinthe (Jean Ferrat) (E) Laisse-moi sans crainte Venir à genoux Goûter ton absinthe Boire ton vin doux O rires et plaintes O mots insensés La folle complainte S'est vite élancée Défions le monde Et ses i ... |
![]() | manque de toi (Herbert Leonard)Je suis en manque de toi Je me languis de ton parfum Sentir ta bouche effrontée Epouser tous mes rêves Dans un délicieux va et vient Retenir nos élans Pour que la nuit N'en finisse pas Tout oublier Sous mes doigts impatients Trouver ta voie sacrée Je n'ai qu'un pays Celui de ton corps Je n'ai qu'un peché Ton triangle d'or Je découvre en toi Toutes les audaces Quand tu m'aimes Lorsque tu dénoues Tes jupons soyeux Moi je m'engloutis Au fond de tes yeux Ta gorge étincelante Tes buissons secrets Quand tu m'aimes Je ne pense plus qu'à me perdre Au plus profond de toi Et ta peau manque à ma peau J'ai perdu le sommeil Et je n'arrive plus à travailler Je n'en peux plus Je paie le prix que paie Le vice à la vertu Je n'ai qu'un pays Celui de ton corps Je n'ai qu'un pechéTon triangle d'or Je découvre en toi Toutes les audaces Quand tu m'aimes Je souscris à tous Ces plaisirs sublimes Et soudain tu trouves La caresse ultime Qui arrache en moi Un cri de victoire Quand tu m'aimes Herbert Leonard | manque de toi (Herbert Leonard) (E) Je suis en manque de toi Je me languis de ton parfum Sentir ta bouche effrontée Epouser tous mes rêves Dans un délicieux va et vient Retenir nos élans Pour que la nuit N'en finisse pas < ... |
![]() | mes pétales (Dentelle)Du bout des doigts vous avez écarté mes pétales, Et m’avez donné de douces caresses en rafales. Vous avez d’abord alléché mon nombril, Pour enfin descendre jusqu’à mon pistil. C’est avec votre nez aquilin de félin, Que vous avez humé mon parfum de venin, De la langue vous avez voyagé en terrain conquis, Toujours vous resterez le jardinier de mon pré fleuri. © Dentelle | mes pétales (Dentelle) (E) Du bout des doigts vous avez écarté mes pétales, Et m’avez donné de douces caresses en rafales. Vous avez d’abord alléché mon nombril, Pour enfin descendre jusqu’&agrav ... |
![]() | Sa voix est une main qui caresse mes entrailles, un vent qui se déploie de murmure en tempête. Je l’aime. Il caresse mon corps de ses deux yeux brillants. Il m’étend sur un lit de velours et de soies, à la lumière de bougies exhalant le santal. Il glisse entre mes jambes une main chaude et froide. Il dessine sur ma peau des oiseaux, des cascades, Il souffle des orages sur les méandres de mes veines, Il fait porter ma voix plus loin que le ciel. Il m’aime. Il dessine sur ma peau des arabesques d’or. Le sol, le tapis, deviennent un champ immense où sa voix me fait l’amour entre un cri et un soupir… Je l’aime. Il me fouille de sa langue, il m’explore de ses doigts. Ses gémissements m’excitent, J’aime l’éclat de ses yeux quand il me desire. Je sens leur chaleur aux endroits qu’ils effleurent. Il remonte ma robe, la remonte encore, et se glisse dans mon ventre. J’aime. sa peau sur la mienne Je l’aime et plus j’y pense, plus mon cœur brûle. ses doigts qui me fouillent, sa langue, ses mains qui me frôlent, sa bouche qui m’embrasse et me fait gémir. Il y a son parfum sur ma peau. Il m’aime. | (E) Sa voix est une main qui caresse mes entrailles, un vent qui se déploie de murmure en tempête. Je l’aime. Il caresse mon corps de ses deux yeux brillants. Il m’étend sur un lit de velours ... |
![]() | Effleure Doucement de tes lèvres mon vestibule de soie Vois Ce duvet cette coiffure Au milieu de mes jambes nues Sens Cette odeur de chevelure Et de marine confondue Entend Mon ventre qui murmure Tu ne dis rien juste une injure De ta bouche jaillit le vent Et la liqueur de ma blessure Goutte C’est le chant le plus émouvant André Cayrel | (E) Effleure Doucement de tes lèvres mon vestibule de soie Vois Ce duvet cette coiffure Au milieu de mes jambes nues Sens Cette odeur de chevelure Et de marine confondue Entend Mon ventre qui murmure Tu ne d ... |
![]() | dans la déchirure (Georges Bataille)je bois dans ta déchirure j’étale tes jambes nues je les ouvre comme un livre où je lis ce qui me tue. Georges Bataille (1897-1962) | dans la déchirure (Georges Bataille) (E) je bois dans ta déchirure j’étale tes jambes nues je les ouvre comme un livre où je lis ce qui me tue. Georges Bataille (1897-1962) ... |
![]() | Que l'amour timide et perplexe Laisse son corset puritain, Qu'il libère sans complexe Pour jouir comme un libertin Viens aux pétales de mon sexe, A son clitoris de satin A sa douce fente convexe, Butiner le suc opalin. Puisque dressée en un réflexe, Ta trompe, papillon lutin, Baise ma bouche circonflexe Et la fait boire à son festin. Marie-France Guerrier | (E) Que l'amour timide et perplexe Laisse son corset puritain, Qu'il libère sans complexe Pour jouir comme un libertin Viens aux pétales de mon sexe, A son clitoris de satin A sa douce fente convexe, Butiner le suc opa ... |
![]() | A ton calice (Cyr)Mignonne allons voir ta rose Délicate et douce fleur Qui brille par sa couleur Et ma langue qui l'arrose Entre tes cuisses ma bouche repose A ton calice tes doigts mêlent l'odeur De mes désirs, de mes ardeurs Dont j'use et ose Je mets dans mes caresses, amour et volupté Mille et un hommages à la beauté Qui sur ton corps explose Jusqu'à ce que montent les pleurs De ta bouche en fleur Aux lèvres décloses Cyr | A ton calice (Cyr) (E) Mignonne allons voir ta rose Délicate et douce fleur Qui brille par sa couleur Et ma langue qui l'arrose Entre tes cuisses ma bouche repose A ton calice tes doigts mêlent l'odeur De mes désir ... |
![]() | la secrète sourceà la secrète source où je plonge, nage, et lentement m'abreuve, insatiable, assoiffé... Et ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise, et ces frémissements qui n'en finissent pas. | la secrète source (E) à la secrète source où je plonge, nage, et lentement m'abreuve, insatiable, assoiffé... Et ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise, et ces frémissements qui n'en finissent pas. ... |
![]() | tombé d'une larmeJe suis tombé d’une larme Sur le rose de ta joue Dénudé et sans armes Dans le creux de ton cou Où le souffle du vent Murmure tendrement Les promesses parfumées De fleurs chaudes et sucrées J’ai roulé sur tes seins Durcis et enflammés Par le feu de tes reins Dans cette douce vallée Je me suis reposé Et puis dans le silence J’ai écouté ton cœur Battre dans mon bonheur Je m’échoue sur ton île Le nez dans ta forêt Odorante et tactile Cachant le puits sacré L’entrée de la matrice D'où toute la vie naît Enivrant précipice Que je veux pénétrer Enfin je suis en toi Intimement connectés Tourbillon dans l’émoi De nos corps emmêlés Communion de chakras Une vision de l’espace Un absolu qui passe Dans la lucidité Enfin nous sommes nous Un pluriel singulier La somme du grand tout Au-delà du sommet Est-ce la vie la mort Ou bien l’immensité Je n’en sais rien encore Je n’ai fait que t’aimer… | tombé d'une larme (E) Je suis tombé d’une larme Sur le rose de ta joue Dénudé et sans armes Dans le creux de ton cou Où le souffle du vent Murmure tendrement Les promesses parfumées De fleurs chaudes et suc ... |
![]() | il me dévoraIl me couvrit de baisers, honora mon intimité Sans vergogne, il me dévora. Dès la seconde où j’ai senti sa langue me pénétrer, j’ai joui sans relâche. Une cascade d ‘orgasmes ! Je l’ai supplié de me faire grâce, j’ai dû pleurer, j’ai dû m’évanouir. | il me dévora (E) Il me couvrit de baisers, honora mon intimité Sans vergogne, il me dévora. Dès la seconde où j’ai senti sa langue me pénétrer, j’ai joui sans relâche. ... |
![]() | Ta duneTa dune je la vois je la sens qui m'ensable Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable Ta source tu le sais ne s'imagine pas Et tu fais de ma bouche un complice estuaire Et tes baisers mouillés dérivant de ton cygne Ne se retourneront jamais pour voir la terre Ta source s'est perdue au fond de ma poitrine | Ta dune (E) Ta dune je la vois je la sens qui m'ensable Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable Ta source tu le sais ne s'imagine pas Et tu fais de ma bouche un complice estuaire ... |
![]() | ton orificeMa langue se glisse, Entre tes cuisses, Douces et lisses, Mon appendice, Titille ton clitoris, Je cherche ton orifice, Et je m'y glisse, De ta cyprine, J'en buvrai un calice, Pour moi il n'y a pas de sacrifice, Pour que tu jouisses, Je suis à ton service, Je suis si ben entre tes cuisses, J'y goute avec délice, Je respire ton oriffice, C'est pourquoi toujours, Je serais à ton service, Puisque je t'aime mon amour. | ton orifice (E) Ma langue se glisse, Entre tes cuisses, Douces et lisses, Mon appendice, Titille ton clitoris, Je cherche ton orifice, Et je m'y glisse, De ta cyprine, J'en buvrai un calice, Pour moi il n'y a pas de sacrifice, Pour ... |
![]() | Aminthe (Voltaire)Je cherche un petit bois touffu, Que vous portez, Aminthe, Qui couvre, s’il n’est pas tondu Un gentil labyrinthe. Tous les mois, on voit quelques fleurs Colorer le rivage ; Laissez-moi verser quelques pleurs Dans ce joli bocage. – Allez, monsieur, porter vos pleurs Sur un autre rivage ; Vous pourriez bien gâter les fleurs De mon joli bocage ; Car, si vous pleuriez tout de bon, Des pleurs comme les vôtres Pourraient, dans une autre saison, M’en faire verser d’autres. – Quoi ! vous craignez l’évènement De l’amoureux mystère ; Vous ne savez donc pas comment On agit à Cythère ; L’amant, modérant sa raison, Dans cette aimable guerre, Sait bien arroser la gazon Sans imbiber la terre. – Je voudrais bien, mon cher amant, Hasarder pour vous plaire ; Mais dans ce fortuné moment On ne se connait guère. L’amour maîtrisant vos désirs, Vous ne seriez plus maître De retrancher de nos plaisirs Ce qui vous donna l’être. Voltaire | Aminthe (Voltaire) (E) Je cherche un petit bois touffu, Que vous portez, Aminthe, Qui couvre, s’il n’est pas tondu Un gentil labyrinthe. Tous les mois, on voit quelques fleurs Colorer le rivage ; Laissez-moi verser quelques ple ... |
![]() | haikus (Ruichan)Ses mains exploratrices Mon corps est une contrée Route parfumée Son doigt glisse entre mes lèvres Pénétration brève Sur mon sein charnu Il dépose ses baisers Pour mieux la contenter Jambes écartées Effluves de mon désir Il me veut entière Tribades amours Deux corps entremêlés Deux corps embrasés Deux doigts recourbés Mon corps se cambre plus fort Petite mort Ruichan | haikus (Ruichan) (E) Ses mains exploratrices Mon corps est une contrée Route parfumée Son doigt glisse entre mes lèvres Pénétration brève Sur mon sein charnu Il dépose ses baisers Pour ... |
![]() | ma figueDe son écrin de douce soie Délicatement je la dévoile Voluptueuse, généreuse, pulpeuse. Humant son parfum subtil Entre mes mains, je la retiens Puis délicatement l'entrouvre Fraîche, humide, épanouie. De mes lèvres charnues, Je l'effleure, m'imprègne du suc Ruisselant et sucré de sa chair Rosée sous sa peau pourprée Les arabesques s'enroulent comme des lanières Autour de son orifice Au noyau imaginaire Je l'engouffre goulûment Ma figue.. | ma figue (E) De son écrin de douce soie Délicatement je la dévoile Voluptueuse, généreuse, pulpeuse. Humant son parfum subtil Entre mes mains, je la retiens Puis délicatement l'entrouvre ... |
![]() | Quand, à peine repu, je brûle ta toison D’un de ces longs baisers dont tu chéris la force, Débordant d’allégresse, heureuse, en pâmoison, Tu laisses tes émois bouillir sous ton écorce… Ardente et réceptive au moindre attouchement De mes mains sur ton corps vibrant à ces délices. Je connais ton attrait pour cet abouchement Te donnant le vertige, offrant tous les prémices D’un spasme en demi-teinte avant la jouissance, Que tu sais retarder… pour mieux la ressentir Lorsque avec de doux cris tu lui donnes naissance. Alors, pour ce chant là, je veux tout consentir ! | (E) Quand, à peine repu, je brûle ta toison D’un de ces longs baisers dont tu chéris la force, Débordant d’allégresse, heureuse, en pâmoison, Tu laisses tes émois bouillir s ... |
![]() | en bas d'un lieu géométriqueElle naît tout en bas d'un lieu géométrique A la sentir couler je me crois à la mer Parmi les poissons fous c'est comme une musique C'est le printemps et c'est l'automne et c'est l'hiver L'été ses fleurs mouillées au rythme de l'extase Dans des bras de folie accrochent les amants On dirait que l'amour n'a plus besoin de phrases On dirait que les lèvres n'ont plus besoin d'enfants Elles coulent les sources en robe ou en guenilles Celles qui sont fermées celles qu'on n'ouvre plus Sous des linges qu'on dit marqués du sceau des filles Et ces marques ça me fait croire qu'il a plu Qui que tu sois toi que je vois de ma voix triste Microsillonne-toi et je n'en saurai rien Coule dans ton phono ma voix de l'improviste Ma musique te prend les reins alors tu viens Ta dune je la vois je la sens qui m'ensable Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable Ta source tu le sais ne s'imagine pas Et tu fais de ma bouche un complice estuaire Et tes baisers mouillés dérivant de ton cygne Ne se retourneront jamais pour voir la terre Ta source s'est perdue au fond de ma poitrine | en bas d'un lieu géométrique (E) Elle naît tout en bas d'un lieu géométrique A la sentir couler je me crois à la mer Parmi les poissons fous c'est comme une musique C'est le printemps et c'est l'automne et c'est l'hiver L'&eac ... |
![]() | langue de veloursÀ l’écume de mon ventre, Au lait de mes seins lourds, Je te donnerai soif d’apprendre mes plus goûteux atours Aie l’audace de me fendre D’une langue de velours Hardi ! vas au plus tendre | langue de velours (E) À l’écume de mon ventre, Au lait de mes seins lourds, Je te donnerai soif d’apprendre mes plus goûteux atours Aie l’audace de me fendre D’une langue de velours Hardi ! v ... |
![]() | fontaine d'Amour (sweetgen)Grain satin et soyeux de ta peau me donnent frissons, douceur exquise. Quand mes mains, ma langue, ma bouche, de ton corps proie soumise, se repaissent à ne plus faim ! A ta fontaine d'Amour je veux m'arrêter, pour y déposer un doux et long baiser. Y assouvir ma soif de désir, en buvant ton hydromel du jouir. Tes courbes sont comme océans et mers à dompter, telle une Armada je m'y lance à naviguer. Mouvements de tes hanches, comme flots déchaînés, m'enfoncent en toi, pour m'y noyer. Découvrir tes endroits les plus secrets, endroits interdits aux étrangers. Tu es ma Terre, je suis ton roi, prêts à querelle si l'on t'ôte à moi. Tu es la Mer, je suis ton roi, comme Poseidon vivant en toi. Tu es fontaine de l'Amour, je m'y baigne comme aux beaux jours... Mon Amour. sweetgen | fontaine d'Amour (sweetgen) (E) Grain satin et soyeux de ta peau me donnent frissons, douceur exquise. Quand mes mains, ma langue, ma bouche, de ton corps proie soumise, se repaissent à ne plus faim ! A ta fontaine d'Amour je veux m'arr&eci ... |
![]() | jardin de JadeRespirer le parfum de son jardin de Jade. Plus près encore… Là où le désir transpire, La liqueur envoutante, l’élixir d’Amour ! Là où la grotte à corail, l’écrin à bijoux, Cache le trésor mystérieux. La bouche grande ouverte, elle geint à voix haute, elle a les seins tendus, le ventre contracté : Mes lèvres remontent le long de sa fente. Elle geint et râle en continu, elle ne contrôle plus les mouvements de son ventre Elle se cambre violemment, et elle jouit d'un coup, la respiration coupée, tendue comme un arc. Laissant enfin échapper l'air de ses poumons, elle repose ses reins sur le lit, les bras ballants, totalement comblée. | jardin de Jade (E) Respirer le parfum de son jardin de Jade. Plus près encore… Là où le désir transpire, La liqueur envoutante, l’élixir d’Amour ! Là où la grotte à cora ... |
![]() | ta douceurJ'aime ta douceur, je te fais languir, encore ... Mon bassin bouge, ondule et se tend vers toi, Pose ta bouche et ta langue sur mes lèvres intimes glisse ta langue, caresse moi de ta langue .... Je sais que tu aimes, que tu vibres très fort, remonte ta langue à l'intérieur de moi, soulève mes lèvres, fouille moi et découvre ton paradis, mon clitoris. Met ta langue mon amour, tourne autour, presse le, bouscule le, taquine le. Tu as enfin trouvé la clé de mon trésor mon amour, et ce doux bouton de rose qui en garde le chemin .... Ta bouche tiède me donne ta chaleur, Je sens la douceur de tes baisers. caresse moi, mon ange. approche encore tes lèvres, lèche moi tout doucement, de bas en haut, comme une sucette glacée. Mon corps ondule, entend mes longs soupirs d'extase. fais durer le plaisir, encore, encore ... mes lèvres vaginales s'écartent d'elles-mêmes ! Mon ventre se tend, mon sexe s'offre à toi... Ecoute mon corps, écoute mon coeur, et reprend tes caresses très doucement, Mon orgasme arrive, je le sens. tu entends mes gémissements Entends mon cri. le plaisir me submerge l'orgasme m'affole, je jouis! Et je suis toujours là, tout contre toi. arrête tout. | ta douceur (E) J'aime ta douceur, je te fais languir, encore ... Mon bassin bouge, ondule et se tend vers toi, Pose ta bouche et ta langue sur mes lèvres intimes glisse ta langue, caresse moi de ta langue .... Je sais que tu aimes, ... |
![]() | perchée sur une table en pin les jambes posées sur deux chaises tu frisonnes au son de mes mains ôte ce string, met toi a l'aise ma bouche avide de ton corps salive déjà sur des encore pour que je m'imise au plus profond tu ondules, et m'offres ton con le nectar ruisselle lentement le corps se s'accade et prophetie la delivrance dans un rale puissant Flo, tu es belle quand tu jouis...... | (E) perchée sur une table en pin les jambes posées sur deux chaises tu frisonnes au son de mes mains ôte ce string, met toi a l'aise ma bouche avide de ton corps salive déjà sur de ... |
![]() | Par bonheur ou par malheur Je connais ton secret pas coeur Toutes les portes de ton empire Celle des yeux celle des mains Des seins et de ta bouche où chaque langue fond ET la porte du temps ouverte entre tes jambes La fleur des nuits d’été aux lèvres de la foudre Au seuil du paysage où la fleur rit et pleure Tout en gardant cette pâleur de perle morte Tout en donnant ton coeur tout en ouvrant tes jambes Tu es comme la mer tu berces les étoiles Tu es le champ d’amour tu lies et tu sépares Les amants et les fous Tu es la faim le pain la soif l’ivresse haute Paul Eluard | (E) Par bonheur ou par malheur Je connais ton secret pas coeur Toutes les portes de ton empire Celle des yeux celle des mains Des seins et de ta bouche où chaque langue fond ET la porte du temps ouverte entre tes jamb ... |
![]() | Ta dune je la vois je la sens qui m'ensable Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable Ta source tu le sais ne s'imagine pas Et tu fais de ma bouche un complice estuaire Et tes baisers mouillés dérivant de ton cygne Ne se retourneront jamais pour voir la terre Ta source s'est perdue au fond de ma poitrine | (E) Ta dune je la vois je la sens qui m'ensable Avec ce va-et-vient de ta mer qui s'en va Qui s'en va et revient mieux que l'imaginable Ta source tu le sais ne s'imagine pas Et tu fais de ma bouche u ... |
![]() | J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse. Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée. De mouvements lascifs En caresses secrètes C'est mon sexe qui durcit Et c'est moi qui fléchit. Et je ne sais plus de tes lèvres, De ta langue ou tes doigts caressants Le où, le comment de ma fièvre, De mes cris, de mes gémissements. Offert comme une femme, A toi comme un amant, Car je sais que tu prends Le plaisir que tu me donnes Mon amour, mon âme Puise encore dans mon corps La source de ta flamme! | (E) J'aime que ta langue douce Au sortir de ta bouche Amoureusement glisse Le long de mon sexe lisse. Et que tes lèvres humides Sur ma tête dressée S'entrouvrent comme un calice Sur ma peau embuée. |
![]() | Me désaltérer de ta salive En de liquides baisers Aux parfums de miel ou d'olive Tantôt sucrés, tantôt salés... Et surtout, ô suprème délice, M'inonder le visage, la gorge et la langue A la fontaine de joie entre tes cuisses Aux parfums de rose ou de mangue... Cyr | (E) Me désaltérer de ta salive En de liquides baisers Aux parfums de miel ou d'olive Tantôt sucrés, tantôt salés... Et surtout, ô suprème délice, M'inonder le visage, la gorge ... |
![]() | du bout des lèvres (Hector Rimbaud)De ta longue robe où je ne ferai qu’un pli Tombant sur ton dos comme une douce caresse, Sur tes flancs sur tes reins cette senteur d’ivresse Que ma langue tendrement enlace avec envie. Sur tes seins sans soucis s’en vont sous d’autres ciels Mes pensées perdues et mes désirs absolus, Galbe cambré sur tes souliers talons, corps nu, Je touche au parfait, sang du Christ, ivoire et miel. Je glisse entre tes creux heureux entre tes fesses, Brûle l’interdit aux calices des diablesses, Je bois la vie, jus de moiteur, sirop d’eau claire, Ce ruisseau qui coule au fond de ma gorge amère ! J’y sens monté les feux des enfers et des fièvres, Mange à ta bouche et la chair rose et puis tes lèvres, Ce bouton d’or fleuri qui roule en mon palais ; Dieu que c’est bon ma belle et Dieu que ça me plait ! (Hector Rimbaud) | du bout des lèvres (Hector Rimbaud) (E) De ta longue robe où je ne ferai qu’un pli Tombant sur ton dos comme une douce caresse, Sur tes flancs sur tes reins cette senteur d’ivresse Que ma langue tendrement enlace avec envie. Sur tes seins s ... |
![]() | bouquet finalDes yeux verts perçants, Une bouche lascive, Et plus je descends, Et plus je salive, Sous le ciel sans voile, Saupoudré d'étoiles, Sur l'herbe sauvage, Je défais ton corsage, Pour que ton regard explore, Les confins de la grande ours, Ma langue se revigore, À l'eau bénite de ta source, Ton souffle brûlant, M'ordonne de ne faire qu'un, Au plus profond j'atteins, Ce point d'émerveillement, Ton visage est Recouvert, de tes longs cheveux nuits, Mais tu en a rien à faire, Pourvu que tu jouies, Mes lévres butinent, La crête de tes vallées, Vois comment j'ai l'épine, Gravissant au sommet, Là, je me concentre, Pour le bouquet final, Ici au bas ventre, dit-elle,triomphale... | bouquet final (E) Des yeux verts perçants, Une bouche lascive, Et plus je descends, Et plus je salive, Sous le ciel sans voile, Saupoudré d'étoiles, Sur l'herbe sauvage, Je défais ton corsag ... |
![]() | Dans le bois aux myrtilles (Michelle Meyer)Dans le bois aux myrtilles Mes lèvres mauves s’ourlaient tel l’iris sous la rosée et tu venais les butiner telle l’abeille laborieuse Mes jambes fléchissaient comme fleur sur sa tige Tes doigts firent naître une jolie baie Et bientôt ta langue la chercha dans un nid de broussaille Mes mains saisirent un fruit lourd et juteux C’était dans le bois aux myrtilles où l’un et l’autre découvrirent Beaucoup de fruits violets. Michelle Meyer | Dans le bois aux myrtilles (Michelle Meyer) (E) Dans le bois aux myrtilles Mes lèvres mauves s’ourlaient tel l’iris sous la rosée et tu venais les butiner telle l’abeille laborieuse Mes jambes fléchissaient comme fleur sur ... |
![]() | le miel de ta ruche (Yves Heurté)Je veux l'anis de tes tendresses, petite sœur, et le miel de ta ruche entre tes lèvres ouvertes, puis ta robe où m'enfouir en ses senteurs de lait. Yves Heurté | le miel de ta ruche (Yves Heurté) (E) Je veux l'anis de tes tendresses, petite sœur, et le miel de ta ruche entre tes lèvres ouvertes, puis ta robe où m'enfouir en ses senteurs de lait. Yves Heurté ... |
![]() | Tu puiseras ta force en mon calice, Y trempant tes lèvres avec malice. Tu deviendras enfin le complice, De la fin de mon supplice. Goûte-moi © Dentelle | (E) Tu puiseras ta force en mon calice, Y trempant tes lèvres avec malice. Tu deviendras enfin le complice, De la fin de mon supplice. Goûte-moi © Dentelle ... |
![]() | L'amant bulgare (Michelle Meyer)Elle aimait les roses Les iris et les glaïeuls aussi Elle avait un jardin Plein de tulipes Mais sa fleur préférée était un œillet violet qu’elle réservait à son amant bulgare Elle aimait les pastèques juteuses les grenades et les cassis Elle avait une coupe pleine de beaux fruits Mais ceux qu’elle préférait étaient deux pommes savoureuses qu’elle réservait à son amant bulgare Elle aimait le balancement du hamac Et le bruit mat des rames Elle avait un yacht Au bord de la Mer Noire Mais sa nef préférée Etait la barque de ses reins Qu’elle réservait A son amant bulgare Il est parti le rustre Avec une figue sèche Une vraie planche pour naufragé Il est parti le rustre Et la belle a offert son œillet violet ses pommes savoureuses et la barque de ses reins à un marin qui passait par là. Michelle Meyer | L'amant bulgare (Michelle Meyer) (E) Elle aimait les roses Les iris et les glaïeuls aussi Elle avait un jardin Plein de tulipes Mais sa fleur préférée était un œillet violet qu’elle réservait à son amant bu ... |
![]() | mon calice (Dentelle)Tu puiseras ta force en mon calice, Y trempant tes lèvres avec malice. Tu deviendras enfin le complice, De la fin de mon supplice. Goûte-moi © Dentelle | mon calice (Dentelle) (E) Tu puiseras ta force en mon calice, Y trempant tes lèvres avec malice. Tu deviendras enfin le complice, De la fin de mon supplice. Goûte-moi © Dentelle ... |
![]() | Au creux de ma féminité (Dentelle)Au creux de ma féminité, J’ai délicatement accroché, Un petit diamant sacré. Ta langue a redessiné, Le chemin de la volupté, Plaisir dans la sensualité. Dentelle | Au creux de ma féminité (Dentelle) (E) Au creux de ma féminité, J’ai délicatement accroché, Un petit diamant sacré. Ta langue a redessiné, Le chemin de la volupté, Plaisir dans la sensualité. ... |
![]() | De son écrin de papier de soie Délicatement je la dévoile Voluptueuse, généreuse, pulpeuse. Humant son parfum subtil Entre mes mains, je la retiens Puis délicatement l'entrouvre Fraîche, humide, épanouie. De mes lèvres charnues, Je l'effleure, m'imprègne du suc Ruisselant et sucré de sa chair Rosée sous sa peau pourprée Les arabesques s'enroulent comme des lanières Autour de son orifice Au noyau imaginaire Je l'engouffre goulûment Ma figue.. | (E) De son écrin de papier de soie Délicatement je la dévoile Voluptueuse, généreuse, pulpeuse. Humant son parfum subtil Entre mes mains, je la retiens Puis délicatement l'entro ... |
![]() | sous le jupon (Ronvil Sluvenan)Glisser sous un jupon et jouer de soupirs Comme d'une partition qui s'appelle désir Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé C'est alors l'occasion de mieux s'y faufiler Pénétrer en douceur son antre où réclamée L'ardeur se déchaîne pour mieux l'enflammer Dans un tourbillon, dénommée volupté Au prélude soupirs, suit la sonate des cris Balbutiements de mains sur un clavier de peaux Au rythme des bassins, cadencé au galop Quand de la petite mort sonne le requiem gît Alors deux corps, laissant là le point d'orgue Dans ce demi silence, le temps reprend sa ronde Et dans la liberté, improvisée du monde Le repos mérité comme tout épilogue. | sous le jupon (Ronvil Sluvenan) (E) Glisser sous un jupon et jouer de soupirs Comme d'une partition qui s'appelle désir Quand des mains elle s'agrippe lorsqu'elle perd pied Qu'un lourd spasme l'agite dans son corps éveillé C'est alors ... |
![]() | ta déchirure (Georges Bataille)je bois dans ta déchirure j’étale tes jambes nues je les ouvre comme un livre où je lis ce qui me tue. Georges Bataille (1897-1962) | ta déchirure (Georges Bataille) (E) je bois dans ta déchirure j’étale tes jambes nues je les ouvre comme un livre où je lis ce qui me tue. Georges Bataille (1897-1962) ... |
![]() | coupe de roses (Saint Amant)Là, sur sa bouche à demi close Je buvais, baisant nuit et jour, A la santé de notre amour, Dedans une coupe de rose. Saint Amant | coupe de roses (Saint Amant) (E) Là, sur sa bouche à demi close Je buvais, baisant nuit et jour, A la santé de notre amour, Dedans une coupe de rose. Saint Amant ... |
![]() | jardin de JadeL’embrasser sur la douceur du satin couvrant ses seins poser ma bouche sur ses lèvres tièdes, Sur la peau fine de son cou, Effleurer la courbe gracieuse de ses seins, Respirer le parfum de son jardin de Jade. Plus près encore… Là où le désir transpire, La liqueur aphrodisiaque, l’élixir d’Amour ! Là où la grotte à corail, l’écrin à bijoux, Cache le trésor mystérieux. Dans l’attention envers l’autre, la tendresse, La prévenance, la délicatesse, La douceur, la folie, L’imagination, la générosité, la fantaisie… L’univers créatif et sensuel Lui rendant son caractère merveilleux, Sa beauté et sa pureté d’expression Dans l’union des deux Réunis en Un. | jardin de Jade (E) L’embrasser sur la douceur du satin couvrant ses seins poser ma bouche sur ses lèvres tièdes, Sur la peau fine de son cou, Effleurer la courbe gracieuse de ses seins, Respirer le parfum de son jardin ... |
![]() | Caresses butineusesCaresses butineuses sous la chaleur du soleil lèvres entrouvertes petites pétales roses et fragiles qui s'épanouissent avec délicatesse comme les ailes légères d'un papillon irisées d'un rouge tendre au creux de sa corolle reluit la douce cyprine qui perle à fleur de peau ambroisie des amoureux, je butine autour de ta fleur odorante avant d'y poser ma bouche pour y laper le nectar des dieux qui s'écoule de ta source je sens ton corps qui se livre il s'offre à moi tout entier il se confie avec ferveur à ma tendresse à ma passion tu m'enivres de tes caresses de ton breuvage désaltérant qui trahit si savoureusement tes plus secrets tes plus fougueux désirs | Caresses butineuses (E) Caresses butineuses sous la chaleur du soleil lèvres entrouvertes petites pétales roses et fragiles qui s'épanouissent avec délicatesse comme les ailes légères d'un papillon iris ... |
![]() | Frôler tes cuisses soyeuses Oter le doux tissu négligé, ce petit rien Regarder ton sexe nu, ta forêt foudroyante Y reposer ma tête Caresser ton dos, tes fesses Toucher, caresser, boire la douceur de ton divin sexe Imaginer la verge-poisson glisser dans ton ventre-océan Jouir à ta demande... | (E) Frôler tes cuisses soyeuses Oter le doux tissu négligé, ce petit rien Regarder ton sexe nu, ta forêt foudroyante Y reposer ma tête Caresser ton dos, tes fesses Toucher, cares ... |
![]() | Frôler tes cuisses soyeuses Oter le doux tissu négligé, ce petit rien Regarder ton sexe nu, ta forêt foudroyante Y reposer ma tête Caresser ton dos, tes fesses Toucher, caresser, boire la douceur de ton divin sexe Imaginer la verge-poisson glisser dans ton ventre-océan Jouir à ta demande... | (E) Frôler tes cuisses soyeuses Oter le doux tissu négligé, ce petit rien Regarder ton sexe nu, ta forêt foudroyante Y reposer ma tête Caresser ton dos, tes fesses Toucher, cares ... |
![]() | Approche-toi, ferme les yeux. caresses mes jambes remonte le long de mes cuisses, Sens la chaleur de mes levres ma peau est brûlante de désir, j’écarte les jambes pour toi. approches ton visage dans l’antre de mes cuisses, vois mes lèvres gonflées, viens embrasser mon sexe. aventures toi un peu plus loin. écarte moi d’avantage. enfouis ton visage au creux de mon intimité. je sens bien ta langue, glisses ta langue encore, là. sens cette chaleur si particulière | (E) Approche-toi, ferme les yeux. caresses mes jambes remonte le long de mes cuisses, Sens la chaleur de mes levres ma peau est brûlante de désir, j’écarte les jambes pour toi. approches to ... |