![]() | douces caressesJe rêve de la caresse de vos mains sur ma douce lingerie ! J’aime ce contact soyeux glissant entre mes cuisses Ce frottement indécent m’excite. J’aime ce doux tissu qui caresse ma fente J’aime me sentir pleine de votre désir de moi Je rêve de vos caresses, je rêve de votre beau sexe Délicieuse sensation ou vibrante détresse, Mes seins, entre vos lèvres mâles, rêvent de disparaître Je me liquéfie et fond, je touche le fond, ivresse d’une caresse qui va jusqu'à mes tréfonds désir intense de de votre sexe mâle qui s’insinue, s‘immisce, me pénètre A cette intrusion franche, je succombe déjà. Mon corps entier, vaincu, en spasmes, s’effondre je veux jouir de vos intimes caresses Venez ! Vite ! | douces caresses (E) Je rêve de la caresse de vos mains sur ma douce lingerie ! J’aime ce contact soyeux glissant entre mes cuisses Ce frottement indécent m’excite. J’aime ce doux tissu qui caresse ma fente J&rsqu ... |
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![]() | Elle est belle, elle me plait (Flore)Allongés sur le tapis de la salle de bain, nos corps sont mêlés, emmêlés, épanouis, tels deux amants. Elle est belle, elle me plait. Ses seins lourds sont une gourmandise. Affaissée sur moi, elle se meut sur mon corps, langoureusement, se penche un peu, je saisis les deux seins convoités. ils sont beaux et lourds, ils me plaisent. Je n’y tiens plus, J'ai envie de baise. Ma main se glisse entre ses cuisses, douce et agile, elle s'immisce, caresse doucement son clitoris, s’emballe, je rêve de l’embrocher avec mon pale, de caresser et baiser ces seins et pouvoir librement enlacer ses reins. Collés l'un contre l'autre, je sens mon sexe aspiré dans le sien. c'est une pénétration douce. un rythme lent au début Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux, elle soupire. La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte, Je ne peux plus arrêter, c’est divin Je la sens, elle va jouir et moi aussi. Elle est excitée, je l’entends crier, elle halète, elle me fait perdre la tête, Je prends mon plaisir avec elle, dans un soupir de plus en plus intense. Ses jambes sont écartées et tremblantes. Rendu au point extrême où tous les sens explosent Je lui manifeste mon envie pressante d'enfin la satisfaire et en son trou offert mon sexe s'enfonce à fond, et je me répands en elle en une joyeuse apothéose. 2013 © Flore Je vois ces corps mêlés, emmêlés, épanouis, de deux amants. Elle est belle, il me plait. Ses seins lourds sont une gourmandise. Affaissée sur lui, elle se meut, langoureusement, se penche un peu, il saisit des mains les seins convoités. Je n’y tiens plus, ils sont beaux et me plaisent. Je souhaiterais faire partie de leur baise. Ma main se glisse entre mes cuisses, douce et agile, elle s'immisce, caresse doucement mon clitoris, cependant qu’il la retourne et l’empale, tête en avant, avec un râle, la tenant fermement par le haut des cuisses. Sur mon con inondé, ma main s’emballe, rêvant qu’il m’embroche de son pale, De caresser du bout des lèvres ces seins Et pouvoir librement enlacer leurs reins. J’entends quelques rires au loin; mais je ne peux plus arrêter, c’est divin Je la vois, elle va jouir et moi aussi Excitée par ce que lui fait son mari Ca y est je l’entends crier, elle halète la bête Adossée au mur, ils me font perdre la tête, Je prends mon plaisir de les voir, dans un soupir Jambes écartées et tremblantes de jouirUne pluie fine commence à tomber Me ramène à la réalité Le rideau est à présent tiré Et le spectacle terminé… 2013 © Flore | Elle est belle, elle me plait (Flore) (E) Allongés sur le tapis de la salle de bain, nos corps sont mêlés, emmêlés, épanouis, tels deux amants. Elle est belle, elle me plait. Ses seins lourds sont une gourmandise. Affaissée sur moi, el ... |
![]() | Qui lavera mes seinsQui lavera mes seins magnifiques ? Quelle main lascive épongera leur splendeur D’un geste délicat, lent comme une caresse À les faire exulter de joie et d’impudeur ? Quel lait de quelle biche qui ne les salisse ? Quelle douceur de doigt qui ne heurte leur grain Sera-ce votre lait, ô chère ? et votre main, Qui laveront ce soir leur virginité lisse ? Lavez-les bien, mes seins ; lavez-les, mes seins blancs Promenez vos doigts fins sur leurs globes tremblants Et pénétrez-les d’éblouissante lumière Afin qu’en vos cheveux dont la noirceur reluit Ils brillent dans leur sérénité coutumière, Lunes de clarté nue au torse de la Nuit. Pierre Louys regarder dans l’église ceux des saintes en pensant aux siens André Cayrel (Haikus) | Qui lavera mes seins (E) Qui lavera mes seins magnifiques ? Quelle main lascive épongera leur splendeur D’un geste délicat, lent comme une caresse À les faire exulter de joie et d’impudeur ? Quel lait de quelle ... |
![]() | Sauna mixte (Wagner)Du monde dans ce sauna, trop de monde. Des couples, légitimes ou illégitimes, ou des couples de plaisir. Je descends dans le jacuzzi désert. Je m'allonge dans les bulles, doigts de pieds en éventail, yeux fermés. Je ne pense plus, je vogue en dérive, je flotte au gré des remous, tête en arrière, ma quincaillerie ramollie est ballottée par les vagues. Une bulle différente des autres vient bientôt caresser ma cuisse. Une main feminine ? La main s'aventure...je referme les yeux et ouvre un peu mes jambes. elle remonte sa main le long de l'intérieur de ma cuisse, au delà du raisonnable. Les conséquences ne tardent pas. Je me redresse. J'éparpille mes doigts sur son corps ; Mes yeux avides de connaissance partent à la découverte de cette géographie offerte et consentante. La peau est douce, vibrante, délicate. Ses mains continuent de m'explorer; je les laisse me découvrir intimement. J'y réponds avidement, parcourant monts et vallées pour y croiser des frémissements nouveaux. Je prends sa main, emmène cette nymphe hors de l'eau vers une de ces alcôves qui sera ce soir, pour nous seuls, un cocon intime, égoïste et sensuel. Elle s'allonge sur le dos, indécente et pudique. Mon souffle est court, sa poitrine monte et descend doucement, gonflant ses seins. Sa main m'a pris, me caresse... Mon désir monte, ses yeux sont sourires. Mes mains parcourent ses pieds, détaillant chaque orteil, puis ses mollets, ses cuisses qui s'ouvrent à nouveau.Je m'insinue doucement, puis parcours ses reins, gravis son dos, rejoins ses épaules qui soudainement s'effondrent ; elle lâche un soupir long et profond et glisse dans une évanescence insondable. Remontant lentement le long de ses cuisses entrouvertes, je commets l'irréparable en frôlant son sexe. Elle m'offre alors sa croupe en se cambrant, s'ouvre plus. Je ne résiste pas. Ma bouche parcourt ses reins, sa respiration devient haletante, elle gémît, s'appuie plus fort sur ma main, s'y caresse longtemps, longuement, passionnément. Sa main m'a retrouvé. Mes doigts flirtent en elle qui me laisse faire à ma guise, s'abandonnant totalement. Je couvre ses reins de baisers, ma main et mes doigts se font toujours plus pressants, plus invasifs, ses gémissements deviennent plus forts, sa bouche est ouverte sur des halètements rauques. Je recherche son plaisir. Elle m'aide à le découvrir, me guide par ses mouvements puis se tétanise violemment sur ma main qu'elle emprisonne entre ses cuisses. Un cri, des secousses, un tremblement qui semble ne plus finir. J'ai posé ma joue au creux de ses reins, comme pour apaiser ses convulsions. Elle s'effondre, s'apaise, garde ma main humide sous son mont de Vénus, m'emprisonne un instant qui semble une éternité. Puis se retourne, libérant l'objet de ses plaisirs, me sourit, me tend les bras et je plonge vers elle dans un enlacement puissant comme si nous ne voulions ne faire qu'un, souffles partagés, corps en sueurs, seuls au monde sur un océan apaisé. | Sauna mixte (Wagner) (E) Du monde dans ce sauna, trop de monde. Des couples, légitimes ou illégitimes, ou des couples de plaisir. Je descends dans le jacuzzi désert. Je m'allonge dans les bulles, doigts de pieds en éventail, yeux ferm&ea ... |
![]() | Il regarde mes formesSon corps se rapproche et maintenant me frôle. Je le sens contre moi, sa peau contre ma peau. Je sens son sexe massif se lever contre ma cuisse. Nous sommes maintenant joue contre joue. Les yeux fermés, je me laisse aller. Contact avec le coin de mes lèvres. Je garde les yeux fermés. Nouveau contact, je tourne légèrement la tête et sens ses levres contre les miennes. Nos lèvres s’écartent, se rejoignent, augmentent leur pression, s’écrasent l’une contre l’autre, les langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. Il me presse maintenant contre lui. Je me pends à son cou. Je me serre contre lui, submergée par une pulsion incontrôlable. Il commence à caresser mon dos, monte jusqu’à la nuque. Il me serre contre lui, toujours accrochée à son cou, et il me pousse contre la paroi de la douche. Nos bouches sont toujours scellées l’une contre l’autre. Mes mains caressent son front glissent sur son visage et ses joues, descendent le long du cou. Sa main est chaude, le contact apaisant et tranquille. Ses mains sont partout et sa bouche aussi…Il me caresse le ventre et les seins puis m’embrasse à pleine bouche… mes jambes s’écartent, mes mains caressent sa chevelure… il me remue, me caresse, Il regarde mes formes, il m'excite. Ses mains chaudes pressent légèrement mes seins, il les palpe doucement et peut en apprécier la souplesse. Puis il les rapproche l'un de l'autre. Il les lache ... ils reviennent en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fait sortir mes pointes. Il enfonce ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectue de petits cercles concentriques et écrase mes tétons. Je ressens des ondes de chaleurs. il presse doucement ma pointe par une légère torsion et l'étire. Ses doigts n'en finissent pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambre pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. Je suis au bord de l'orgasme…. Ses deux mains chaudes se posent en coupe sous mes seins et les pressent tendrement. Puis elles les soulèvent. Il plaque ensuite ses doigts sur mes mamelons et les presse cherchant à enfoncer mes pointes durcies dans la masse laiteuse. Mon sexe coule. chaque malaxage attise dans mon sexe une boule de lave incandescente. les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entends geindre, j'essaye de respirer lentement et profondément, ma vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. je râle de plaisir et un filet de salive glisse sur mes levres. Je suis au bord de l'orgasme, je me presse contre lui pour qu'il me sente bien, il bande, de plus en plus ! Ses doigts glissent, écartent, cherchent à tâton, suivent la courbe du sein. Ma respiration saccadée soulève ma poitrine. Ses doigts glissent, sentent le téton dressé par l’excitation, il se recule pour mieux voir ce sein blanc et son bout rose. Je me sens offerte, impudique, je le presse contre mon mamelon pour qu'il prolonge la caresse. Ses doigts entrent en contact avec la peau douce et tendre de mes cuisses. Naturellement, je leve une de mes jambes contre lui, il la saisit et la serre contre lui. Son baiser est brûlant, avide et gourmand. Attrappant mes genoux, il les tire vers lui. Je me retrouve offerte, béante, les cuisses écartées. Il plonge alors sa main vers mon sexe qu’il sait trouver là, juste sous la fine toison. Il y pose une caresse de braise, plantant ses doigts dans ce nid suintant et chaud, fouillant entre mes lèvres trempées et distendues. Sous l’assaut, je me cabre, projetant en avant mon bassin, comme pour mieux sentir ses doigts qui me fouillent. Il empaume mes seins, les presse l’un contre l’autre, crispe ses doigts dessus. Je me sens presque hystérique, libérée de tabous qui me paralysaient. J'attrape son corps, je recherche sa bouche pour regoûter sa salive, j'aventure une main, la glisse fébrilement vers le membre congestionné. Je le saisis, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous mes doigts. Je le regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur mon ventre, malaxant les testicules. Je manque presque de respiration sous l’émotion et l’effort. Je le regarde, intensement. Il semble comprendre je lui dis dans un souffle: - je suis prête ! et je le tire vers moi. Je n'en peux plus, je mouille, j'ai envie de le sentir en moi, vite... Il remonte mes deux jambes sur ses hanches et me soulève. J'écarte les cuisses pour l’accueillir. Il dirige son membre. Je plonge mon regard dans ses yeux et guide son sexe vers le mien. - Doucement, lui dis-je, je veux te sentir me penetrer. Il s’applique, augmentant progressivement la pression. Son sexe s'enfonce, glisse lentement dans mon ventre chaud. Je m'enroule sur lui, je le sens entrer en moi. Sensation divine ! Sa bouche est sur mes seins, sa queue s'enfonce en moi, je la sens enorme. Il me remplit. Je lui presse la taille pour qu’il s'enfonce encore plus loin, j'avance mon bassin, il reprend son élan et recommence. Je le sens maintenant arriver au fond de moi. Il l’a compris et commence de lents mouvements, puis de plus en plus rapides, de plus en plus profonds. Je me mord les lèvres, j'ondule de tout mon corps pour amplifier le plaisir. - c’est bon, je me donne completement à toi, que c’est bon de te sentir en moi ! Il se concentre pour faire durer le plaisir, s'introduit, ressort, reviens … je gémis … je m’ouvre à lui, Je suis ouverte… Je bascule ... Il vient en moi, il s’enfonce en moi, je le sens bouger en moi. Il se retire et s’enfonce sans fin, je gemis, il gemit, Il va de plus en plus vite, mes jambes l’enserrent plus fort, j'ai envie de jouir, une vague de chaleur m’envahit à nouveau, m’embrume les idées. Je sens monter contre son membre mon propre orgasme, mes muscles se tendent, mon corps se cabre, les veines de mon cou se gonflent, mon souffle manque, mes yeux se révulsent comme si j'allais m’évanouir. Je pousse un cri déchirant, il me fourre, de plus en plus vite, Je suis sur le bord d'exploser, et lui aussi. je le serre dans mes bras et je plante mes ongles dans son dos. J'explose de plaisir Accélération, orgasme. vague de plaisir, jouissance. morsure sur l'épaule, suçon dans le cou, vagissements étouffé, maelström, mouvements ondulatoires, accélération de la cadence, épaules agrippées, jambe autour de la hanche, pénétration plus profonde, plus intense, contraction des muscles intimes, muqueuses trempées, électricité, gaine brûlante emprisonnant le gland, Je sens qu’il va venir, il m’appelle dans sa jouissance imminente, et je crie, de violents spasmes m’emportent, déchaînent mes émotions, Je n'en peux plus, poussées fulgurantes, jambes serrant sa taille, pieu empalé, fesses empoignées à pleine main, pénétration jusqu'à la garde. possession, envahissement, pilonnage, pistonnage, ramonage, jouissance, orgasmes en continu. bouche vorace, nom hurlé, arrêter, non, aller plus fort.. gémissements de plaisir, jouissance exacerbée, accélération, coups de butoir dans le ventre brûlant. pression de la semence dans les bourses pleines, le long de la hampe du sexe tendu, hurlements orgasme, Et je le sens venir ... Ca y est ! ... il explose dans mon ventre. Il m'inonde le vagin ... je sens son sperme couler en moi. Je serre ma tete contre son cou. éjaculation, il explose en moi dans de longs râles rauques… Enfin le jet puissant, flot abondant au fond du vagin. plenitude de la jouissance, salves successives, colonne de feu. volcan, flot bouillonant de lave en fusion au plus profond de ma chatte torride. Il continue pour me donner jusqu’à la dernière goûte de son sperme chaud. Enfin, épuisée, je m’écroule, mon amant est toujours en moi, Essoufflés nous nous étreignons avec force comme si nous avions peur de nous perdre, je l’embrasse avec fougue, je l’aime. De caresses en mots d’amour nous nous endormons l’un dans les bras de l’autre… | Il regarde mes formes (E) Son corps se rapproche et maintenant me frôle. Je le sens contre moi, sa peau contre ma peau. Je sens son sexe massif se lever contre ma cuisse. Nous sommes maintenant joue contre joue. Les yeux fermés, je me laisse aller. Cont ... |
![]() | deux corps soudésLa porte de la salle de bain est restée entr'ouverte. Mme Granger est là, sans complexe, en combinaison de soie blanche, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, Les caresses du tissu laissent saillir les pointes de ses seins, épousent au plus prêt son corps souple et chaud. elle joue des plis de sa combinaison, en se tenant les seins, ses poitrines genereuses se balançent légèrement sous sa chemise transparente. Elle remonte ses mains sous ses seins qu'elle soupese et les malaxe lascivement sous le tissu leger. Mes yeux boient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse, de longues jambes fines, moulées par le tissus luisant, - Ca va mon chéri ? Tu peux venir, tu sais ! La plénitude de ses seins, de ses hanches, font monter mon excitation. J’ai chaud. - Je t'impressionne ? Approche toi ! Je pose mes mains sur ses hanches, je les glisse sur la fine dentelle, je flatte son ventre, Je remonte vers ses poitrines, - Que fais-tu ? Tu caresses mes seins ? ils sont encore bien fermes, tu ne trouves pas ? je les empoigne à pleine main pour les masser doucement. Elle se met à gémir et se colle contre moi. Elle fait glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, Puis elle dégage l'épaule gauche. Ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leve d'un coup sous le fin tissu de mon pyjama Je sens sa chaleur contre mon torse, sa croupe contre mon bas ventre. Mon sexe se durcit encore et pointe entre ses cuisses - Je te fais de l'effet, je vois ! Mes mains caressent son ventre, descendent encore jusqu’à son sexe. Je le masse un moment avant d’y entrer deux doigts. Elle commence à se tordre sous mes caresses, et ses cuisses massent mon sexe dressé. - Tu es en train de m'exciter ! je la serre plus fort, incrustant plus avant mon penis à travers le tissu, je l’embrasse dans le cou. Je commence à la caresser d’abord doucement puis plus fermement. Elle commence à haleter. Elle se tord, s’arc-boute, elle gemit. Elle se frotte contre moi. la pression monte. J'empoigne les seins sous la soie. Je les malaxe dans tous les sens, la chair a un moélleux exceptionnel. Je les tiens serrés l'un contre l'autre. Puis je glisse ma main sur sa vulve mouillée, la masse doucement - Tu touches des endroits intimes ! Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense, et me dit d'une voix que je ne lui connais pas : - Tu es fou. Je n'ai jamais joui aussi fort ! Son visage se transforme, elle semble réfléchir, puis me lance - Viens ! On ne va pas en rester là ! Elle saisit sa culotte de soie qu'elle fait glisser sur ses cuisses. Un bruit d'élastique. Un silence. Je la tire vers moi, Je saisis ses seins au creux de mes deux mains. Je les caresse toujours avec douceur. puis je soulève sa chemise de soie le long de ses hanches je dirige mon gland et le frotte sur toute la surface de sa vulve, et ... je la sens ... impression delicieuse ... absorber mon gland. Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle s'empale profondément d'un seul coup de rein. je la pénétre puissement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. Elle est profondément empalée sur ma verge. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Elle se met soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonne. je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte en moi. Je me bloque bien au fond d'elle et je pars en de longues giclées dans son ventre. - Eh bien ! J'ai l'impression que ça va mieux ! Embrasse moi ! - Viens allons dans ma chambre ! Elle me prend par la main, m'emmène dans la pièce adjacente et referme la porte derrière nousDélicatement, elle dégage les bretelles de sa combinaison noire. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds. - Tu peux la prendre ! je te la donne ... en souvenir Je prend la combinaison noire encore tiède et respire ses effluves. Je l'enfile et profite de la douceur du nylon sur ma queue tendue, La douceur, la fraîcheur du tissu fait gonfler ma verge comme jamais encore. Sa douce lingerie sent la femme, c'était chaud, c'était doux ! je me caresse le torse, les cuisses, les fesses, avec le doux tissu la jolie dentelle de la poitrine titille agréablement mon torse. - Tiens ! prends la nuisette dans la table de nuit ! En ouvrant le tiroir, je tombe sur ses dessous intimes. Ses petites culottes rangées sommairement, sophistiquées, en soie ajourées de dentelles.Je m'empare de sa nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide - Mets la sur moi ! Je la passe au dessus de sa tête et l'ajuste sur sa poitrine. le haut épouse la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissent sur le satin; descendent vers ses cuisses, avec de longs va et vient . Le tissu devient manifestement mouillé. Je glisse mes doigts sous la soie. Elle passe une jambe entre les miennes, entoure ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sens le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine Puis elle écrase ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me regarde en souriant. - Eh bien ? qu'attends tu ? Avances tes doigts là, plus bas dans mon pubis, écartes mes lèvres. - Tu vois elles sont toutes distendues, pretes pour t'accueillir. - Profites-en, hume pleinement l’odeur de mon sexe, enivre-toi de mes effluves. - Approche ton sexe, Vas-y, Enfouis-le bien profondément, écarte bien les lèvres, - Hummmm comme je le sens bien. je bouge pas, - Laisses moi te serrer avec mes jambes. Et toi au fait ? Tu tiens toujours ? - Je te sens fort, périlleux, fougueux. Laisse-toi aller mon bel homme, je suis tout à toi. - Vas-y ... encore ... ouiii ... ça vient ! - OUIII ! .... tu es un amant exemplaire. Moi aussi j’ai joui, Oh que c'est bon ! Ma queue reste bien enfouie dans son sexe, elle diminue un peu de volume mais reste quand même bien dressée. Elle en profite pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarde pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande de nouveau au fond de son ventre, - oh oui, je te sens, remplis-moi encore, enfonce moi, là je vais jouir, viens ! Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus ! - Regarde bien mes seins, c'est bon ! tu es bien profond en moi, vas-y, coulisses fort ! Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je jouis une deuxième fois, je sens un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Elle se couche sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes haletants, apaisés, heureux. Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances. Cette lingerie, pleine de mon odeur, de son odeur Pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir, Cette lingerie que j'aime écarter un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle. Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de la sienne, Qui me fait comme un souvenir le jour durant. Cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme Joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses. Cette lingerie si remplie de nous deux, Ses joues sont légèrement rougies. Elle prend ma main, la dirige vers elle. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Tout se precipite. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main. Puis ses cuisses se deserrent comme pour m'inviter. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante de desir s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe et sa culotte. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Ma main remonte le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains. | deux corps soudés (E) La porte de la salle de bain est restée entr'ouverte. Mme Granger est là, sans complexe, en combinaison de soie blanche, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, Les caresses du tissu laiss ... |
![]() | Allongés sue le tapis de la salle de bain, collés l'un contre l'autre, je sens mon sexe aspiré dans le sien. c'est une pénétration douce. un rythme lent au début Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandéLe va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux, elle soupire. La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte, | (E) Allongés sue le tapis de la salle de bain, collés l'un contre l'autre, je sens mon sexe aspiré dans le sien. c'est une pénétration douce. un rythme lent au début Je m'enfonce un peu plus. Elle s'off ... |
![]() | Rendu au point extrême où tous les sens explosent Je t'ai dis mon désir d'enfin te pénétrer. Et en ton trou offert mon sexe put entrer, Et je me suis répandis en une apothéose … | (E) Rendu au point extrême où tous les sens explosent Je t'ai dis mon désir d'enfin te pénétrer. Et en ton trou offert mon sexe put entrer, Et je me suis répandis en une apothéose & ... |
![]() | lettre amoureuse (George Sand)Je suis très émue de vous dire que j’ai bien compris l’autre soir que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit là une preuve que je puisse être aimée par vous. Je suis prête à vous montrer mon affection toute désintéressée et sans cal- cul, et si vous voulez me voir aussi vous dévoiler sans artifice mon âme toute nue, venez me faire une visite. […] Georges Sand | lettre amoureuse (George Sand) (E) Je suis très émue de vous dire que j’ai bien compris l’autre soir que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit |
![]() | La mère de Vanessa est dans sa cabine. Légèrement vêtue d'un fin déshabille de soie blanche, d'une transparence indecente. Une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité. - Ma fille m'a dit grand bien de vous, Elle me fixe, intensément, - Venez donc, ne soyez pas timide. Elle me regarde en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, son deshabillé de soie blanche baille un peu sur ses fortes poitrines, je m'approche, ses seins tremblent doucement, je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle pose doucement ses lèvres sur les miennes, se penche et ses seins viennent s'appuyer sur mon torse. Je suis totalement sous son emprise. Elle semble s’en amuser. - ma fille vous trouve très séduisant. C'est vrai ! Vous êtes très seduisant ! Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Elle se tourne vers la glace, caresse ses seins, qui débordent de son soutien gorge: - J'ai besoin de me mettre à l'aise, Pouvez vous m'aider ? Elle me provoque. Je me débat avec l’agrafe mais finit par réussir. Elle se tourne de nouveau vers moi. Elle reste bien dix secondes froidement devant moi poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Nous restons un long moment face à face, sans parler. - Eh bien ! Vous restez là ... sans rien faire ? Venez donc m'aider ! Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise. Elle se tourne et plaque mes deux mains sur ses fortes poitrines. - ils ne sont plus aussi ronds que ceux de ma fille, mais ils restent bien souples ! vous ne trouvez pas ? Je continue à caresser les seins, les soupeser, ce qui commence à m'exciter terriblement. Elle gémit, s'arqueboute et m'attire vers elle, puis elle se serre contre moi et m'enlace étroitement. Je tente de m'échapper, mais elle se frotte violemment à moi. Une de ses mains apprécie mes reliefs plus bas. Elle rapproche son visage du mien, avec toujours ce sourire gourmand, puis soudain, elle passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un baiser ardent, profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, se detache de mes levres avec un regard interrogateur: - Vous etes inquiet, il me semble ? Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si rapide. - J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire, j’ai envie de vous plaire.. Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Puis elle me déshabille, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. - Vais-je plus loin ? J’affirme de la tête. Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Sa bouche cherche ma bouche, elle cherche mon corps, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement, Je suis surpris, un moment tétanisé. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement - deshabillez-moi ! Je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa combinaison tombe en corolle sur le sol. - J'ai envie de faire l'amour ! .... J'ai envie que vous me fassiez l'amour ! Vous voulez bien ? Elle m'entraine alors dans sa chambre et maintenant vers le lit, se couche sur le dos, m'attire vers elle Allongée sur le lit, elle semble attendre une initiative de ma part. Mes yeux boient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. Ma main droite glisse dans l’ouverture de son corsage. elle se dégage et ôte avec désinvolture son chemisier. Le soutien-gorge suit et ses seins volumineux jaillissent, libérés de leur enveloppe de dentelle. Elle s'abandonne sur les draps et me fixe d'un regard intense.. - Venez ! ... vite ! Je me couche sur elle. Elle prend sans attendre mon sexe et le guide vers le sien, je l'introduis entre les plis mous et humides de sa vulve. Je la pénètre lentement. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Sa vulve masse ma verge avec un léger mouvement de succion. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. A ses contractions spasmodiques, correspondent mes fermes penetrations, je glisse mes mains sous ses fesses. une frénésie s’empare de tout son corps, Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Ses lèvres ont quitté les miennes, balbutient des mots sans suite. Mon excitation atteind un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, elle me supplie de conclure ! - Maintenant ! Vite ! Et c'est l'explosion. Le plaisir nous surprend tous les deux simultanément et j’éjacule, par jets successifs, abondamment dans son ventre, je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de gémissements et de spasmes de plaisir. Ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. - Ma fille avait raison ! Vous êtes à la hauteur ! Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives Puis je quitte sa cabine doucement. Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi. | (E) La mère de Vanessa est dans sa cabine. Légèrement vêtue d'un fin déshabille de soie blanche, d'une transparence indecente. Une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensual ... |
![]() | abandonJe sens ce pieu massif et dur s’approcher de ma vulve, je ne respire plus, tendue comme un arc. Il se plaçe à l'entrée, je serre les dents de toutes mes forces, je n'ose bouger. Je sens mes lèvres trempées s’écarter en glissant sous la légère pression de cette chose énorme, Il commence alors à enfoncer lentement son sexe, puis plus profondement, par de petits mouvements, Je sens cette délicieuse colonne de chair, s'enfoncer, jusqu’au plus profond de mes entrailles Il s'infiltre dans mes chairs, lentement. c'est doux, c'est mouillé et terriblement agréable. Mon corps se cabre. Je me laisse aller à cette exploration qui me comble. Je m'abandonne à lui, je sens son sexe s'allonger en moi et gonfler de desir. je ressens progressivement une sensation de bien-être, de douceur et de chaleur intime, une impression de délicieux envahissement de mon ventre et de détente libératrice. La pénétration ample de son membre me comble, c'est un véritable envahissement. il n'en finiit pas de rentrer, chaque centimètre m'écartèle un peu plus, j'en ai le souffle coupé. il est planté en moi, immobile. puis il enfonçe alors très lentement le reste de cette délicieuse colonne de chair jusqu’au fond, Je le sens grossir, je me sens complètement possédée, remplie. Un sexe mâle est enfoncé en moi, je le sens vivre en moi, délicieusement chaud et doux. Je me vois toute écartée, j'ouvre encore plus mes cuisses, je sens son membre aller et venir profondemment, puissemment dans mon intimité mouillée, | abandon (E) Je sens ce pieu massif et dur s’approcher de ma vulve, je ne respire plus, tendue comme un arc. Il se plaçe à l'entrée, je serre les dents de toutes mes forces, je n'ose bouger. Je sens mes lèvres tremp&eac ... |
![]() | lubrification- Vous êtes prête ? me demande t'il Lentement je sens son gland se lubrifier à mon humidité et la pénétration commence, il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Sa verge grossit et s'allonge dans mon ventre, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. sa verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre - Vous voulez...maintenant ? - Non...Pas encore... La transpiration perle entre mes seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui me fouille et que j'aime. - Maintenant ! lui dis-je. Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. il s'arrete net et crispe son regard - Attention ... Je viens ! - Oui ! Je suis prête ! Je le sens trembler et se figer face a moi. Il pousse un cri rauque, retire vite son sexe de mon ventre et son premier jet vint gicler sur mes seins, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sens qu'il défaille. Ses jambes semblent ne plus vouloir le soutenir. Je sens un flot de me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Les spasmes finis, je caresse sa queue ramollie qui coule sur mes seins, liberant un flot de semence . Il parait epuise. Je suis aussi epuisee que lui. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. | lubrification (E) - Vous êtes prête ? me demande t'il Lentement je sens son gland se lubrifier à mon humidité et la pénétration commence, il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous rest ... |
![]() | à pleine boucheIl me pousse en arrière et s’allonge sur moi. Ses mains sont partout et sa bouche aussi…Il m’embrasse le ventre et les seins puis m’embrasse à pleine bouche… mes jambes s’écartent, mes mains caressent sa chevelure… il me remue, me caresse, s'introduit … je gémis … je m’ouvre à lui, Je suis ouverte… Je bascule ... Il vient en moi, il s’enfonce en moi, je le sens bouger en moi. Il se retire et s’enfonce sans fin, je gemis, il gemit, Il va de plus en plus vite, mes jambes l’enserrent plus fort, j'ai envie de jouir, une vague de chaleur m’envahit à nouveau, m’embrume les idées. Accélération, orgasme. vague de plaisir, jouissance. morsure sur l'épaule, suçon dans le cou, vagissements étouffé, maelström, mouvements ondulatoires, accélération de la cadence, épaules agrippées, jambe autour de la hanche, pénétration plus profonde, plus intense, contraction des muscles intimes, muqueuses trempées, électricité, gaine brûlante emprisonnant le gland, Je sens qu’il va venir, il m’appelle dans sa jouissance imminente, et je crie, de violents spasmes m’emportent, déchaînent mes émotions, Je n'en peux plus, poussées fulgurantes, jambes serrant sa taille, pieu empalé, fesses empoignées à pleine main, pénétration jusqu'à la garde. possession, envahissement, pilonnage, pistonnage, ramonage, jouissance, orgasmes en continu. bouche vorace, nom hurlé, arrêter, non, aller plus fort.. gémissements de plaisir, jouissance exacerbée, accélération, coups de butoir dans le ventre brûlant. pression de la semence dans les bourses pleines, le long de la hampe du sexe tendu, Assaut final. muscles bandés, puissance des reins, ruade dans le ventre offert, hurlement, salve d'efforts, violentes poussées, coups de butoir. hurlements orgasme, éjaculation, il explose en moi dans de longs râles rauques… Enfin le jet puissant, flot abondant au fond du vagin. plenitude de la jouissance, salves successives, colonne de feu. volcan, flot bouillonant de lave en fusion au plus profond de ma chatte torride. Essoufflés nous nous étreignons avec force comme si nous avions peur de nous perdre, de caresses en mots d’amour nous nous endormons l’un dans les bras de l’autre… | à pleine bouche (E) Il me pousse en arrière et s’allonge sur moi. Ses mains sont partout et sa bouche aussi…Il m’embrasse le ventre et les seins puis m’embrasse à pleine bouche… mes jambes s’écartent, ... |
![]() | sur la table de massageTendrement allongée sur la table de massage, sur son beau corps de male, je sens sa belle queue douce, raide et bienfaisante glisser tout doucement dans mon ventre. je ressens une sensation de bien-être, de douceur et de chaleur intime, Il s'enfonce par petites touches, jusqu'au fond. délicieux envahissement et détente libératrice. Un sexe mâle est enfoncé en moi, je le sens vivre dans mon ventre, c’est merveilleux. Ce sexe est délicieusement chaud et doux, il est planté en moi, immobile. J'ai l’impression d'être remplie. Après un long moment je recommence à bouger timidement mon bassin et je sens cette queue douce et raide coulisser dans mon ventre. je savoure les mouvements de cette délicieuse colonne de chair au plus profond de mes entrailles, j'en gemis de plaisir. Je suis bien, merveilleusement bien ! La pénétration ample de son membre me comble, m'envahit. Je suis inondée de mes propres sécrétions. J'enfonce mon visage dans le creux de son épaule. Il reçoit mon souffle chaud dans son cou, mes baisers mouillés sur sa peau, mes tendres caresses dans ses cheveux, Je suis une femme comblée et je suis bien, merveilleusement bien ! Il se met à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Ses mouvements se font plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçe dans mon fourreau, souple, moelleux, soyeux, coulisse profondément dans mon vagin, en épouse parfaitement la forme, caresse amoureusement la fragile muqueuse. Son penis est complètement enserré dans mon ventre chaud. Il continue ses va et vients réguliers, méthodiques. Je suis en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue sont un véritable délice. Je râle de plaisir sous ses caresses intimes. D’instinct, je passe mes jambes autour de ses reins, mes bras autour de son corps et le serre en plaquant mon ventre contre le sien, | sur la table de massage (E) Tendrement allongée sur la table de massage, sur son beau corps de male, je sens sa belle queue douce, raide et bienfaisante glisser tout doucement dans mon ventre. je ressens une sensation de bien-être, de douceur et de chaleu ... |
![]() | Caresses butineuses sous la chaleur du soleil, tes lèvres s'entrouvrent grandes et petites pétales, roses et fragiles qui s'épanouissent avec délicatesse comme les ailes légères d'un papillon irisées d'un rouge tendre au creux de sa corolle reluit la douce cyprine qui perle à fleur de peau, ambroisie des amoureux je butine autour de ta fleur odorante avant d'y poser ma bouche pour y laper le nectar des dieux qui s'écoule de ta source je sens ton corps qui se livre il s'offre à moi tout entier il se confie avec ferveur à ma tendresse à ma passion tu m'enivres de tes caresses de ton breuvage désaltérant qui trahit si savoureusement tes plus secrets tes plus fougueux désirs | (E) Caresses butineuses sous la chaleur du soleil, tes lèvres s'entrouvrent grandes et petites pétales, roses et fragiles qui s'épanouissent avec délicatesse comme les ailes légères d'un papillon iris&e ... |