![]() | sous la douchela porte de la salle de bain est restée entr'ouverte. Marthe est sous la douche, sans complexe, nue. Les caresses de l'eau laissent saillir les pointes de ses seins, épousent au plus prêt son corps souple et chaud. elle joue de ses rondeurs, en se tenant les seins, ses poitrines genereuses se balançent légèrement sous le crépitement de l'eau. Elle prend le savon puis remonte ses mains sous ses seins qu'elle soupese et malaxe lascivement. Mes yeux boient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse, de longues jambes fines, - Ca va mon chéri ? Tu peux venir, tu sais ! La plénitude de ses seins, de ses hanches, font monter mon excitation. J’ai chaud. - Tu peux t'approcher, ne sois pas timide ! - Tiens ! Viens donc et ferme la porte. Tu vas me savonner le dos Je pose timidement mes mains sur ses hanches, je les glisse sur la fine peau, je flatte doucement son ventre, Je remonte vers ses poitrines, - J'aime tes caresses ! sur mes seins aussi ! Tu peux ! j'ose alors les caresser à pleine main pour les masser doucement. Marthe se met à gémir et se colle contre moi. Ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leve d'un coup contre elle. Je sens sa chaleur contre mon torse, sa croupe contre mon bas ventre. Mon sexe se durcit encore et pointe entre ses cuisses. Elle me regarde d'un air étrange - Je te fais tant d'effet ? Mes mains caressent son ventre, descendent plus bas, j'atteint un endroit humide. Je le masse un moment. Elle commence à se tordre sous mes caresses, et ses cuisses massent mon sexe dressé. - Non ! là ... plus bas ! ... Tu es en train de m'exciter, tu sais ! je la serre plus fort, incrustant plus avant mon penis entre ses deux cuisses, je l’embrasse dans le cou. Je commence à la caresser d’abord doucement puis plus fermement. Elle commence à haleter. Elle se tord, s’arc-boute, elle gemit. Elle se frotte contre moi. la pression monte. J'empoigne les seins. Je les malaxe dans tous les sens, la chair a un moélleux exceptionnel. Je les tiens serrés l'un contre l'autre. Puis je glisse ma main sur sa vulve mouillée, la masse doucement - Tu es en train de toucher des endroits très intimes, tu sais ! Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense, vitreux et me dit d'une voix que je ne lui connais pas : - Tu es fou. Je n'ai jamais joui aussi fort ! ... Puis, se ressaisissant: - Viens ! Elle me tire vers elle, Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève franchement et se glisse entre ses deux cuisses. Ses deux seins ruissellent sous le savon glissant, je les palpe à pleines mains Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, elle malaxe le tout dans l'eau savonneuse c'est divin ! Je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit encore, Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je la sens cambrer les reins, Elle me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active. Je glisse ma main entre nos deux corps pour sentir son sexe chaud. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. L'eau dégouline sur nos corps. Elle s'accroche à moi, elle me serre. se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je suis à l'entrée de son vagin, et ... je la sens ... impression delicieuse ... absorber mon gland. Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle s'empale profondément d'un seul coup de rein. je la pénétre puissement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. Elle est profondément empalée sur ma verge. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Je m'enfonce, c'est brûlant... Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit, Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, j'entends son souffle s'accélérer, il siffle dans mes oreilles ... parfois saccadé Son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Elle se met à trembler de tous ses membres et a une série de spasmes violents la désarçonnent. je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte en moi. Je ne résiste plus. Je me bloque bien au fond d'elle. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, Je vibre, je tressaille et je jaillis dans son ventre et je pars en de longues giclées dans son ventre. Le temps de reprendre nos esprits, elle me rassure - J'ai l'impression que ça va mieux ! ... Embrasse moi ! Donne moi ta bouche ! - Eh bien ! Qu'est-ce que tu m'as mis ! | sous la douche (E) la porte de la salle de bain est restée entr'ouverte. Marthe est sous la douche, sans complexe, nue. Les caresses de l'eau laissent saillir les pointes de ses seins, épousent au plus prêt son corps souple et chaud. elle ... |
![]() | douce proximitéNous étions l'un contre l'autre dans cette cabine de douche. Elle était splendide dans sa maturité, des formes divines, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Nos deux corps au contact, elle me donnait des sueurs froides, elle me chuchotait - Ca va mon chéri ? Serre toi contre moi ! elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus, elle s'enlaça autour de moi, son corps vint se blottir contre moi, sa poitrine s'écrasa contre mon torse, son bassin se plaqua au mien et elle ondula très lentement sur le slow. Au gré de nos mouvements, sa cuisse s'intercalait doucement, puis plus précisément entre mes jambes Mon sexe tendu comme un arc, déformait considérablement mon pantalon, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient. - tu es bien avec moi ? Detends-toi bien, serre moi dans tes bras Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier était collé contre le mien, son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre. Je devenais rouge de confusion sentant mon désir me trahir tellement nous étions proches. Marthe ne semblait rien remarquer, sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes, sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me parler en dansant. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. N'y tenant plus, Je la saisis à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies. Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque. Je caressais à présent avec douceur ses fesses rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus, quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin. - je te sens bien ... Je l'entendis alors gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement, je plaçais alors une main entre ses fesses, découvrant une zone légèrement humide Tania se releva légèrement, se dégagea de moi - Que fais-tu ? Allons ! ... soyons sage ! Mais elle maintenait ses fesses ecartées, La résistance fut courte. Elle jouissait et gémissait de façon très perceptible, et soudain ... d'un mouvement, elle souffla à l'oreille - Tu sens ? je suis toute ouverte ! ... Viens ! Serre-toi un peu plus, viens et je sentis alors mon sexe dirigé vers elle et ... littéralement gobé, aspiré en elle. Ses mains sur mes fesses m'incitaient à aller de l'avant, je la pénétrai jusqu'à la garde, elle respirait fort. Scene incroyable, là, plus bas, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient, - Mets le moi bien profond ! Je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape, ne pas se laisser aller, ne pas crier. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux et elle jouit devant moi en serrant les dents. - Ooohh ...ouiiiii... Tu me rends folle ! Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Nous restions un moment inertes, tetanisés - Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles Il fallait passer desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le désarrimage pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir dans son lit sans plus tarder. Je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit | douce proximité (E) Nous étions l'un contre l'autre dans cette cabine de douche. Elle était splendide dans sa maturité, des formes divines, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Nos deux corps au contact, elle ... |
![]() | premiers désirsLa porte de la salle de bain est restée entr'ouverte. Mme Granger est là, sans complexe, en combinaison de soie blanche, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, Les caresses du tissu laissent saillir les pointes de ses seins, épousent au plus prêt son corps souple et chaud. elle joue des plis de sa combinaison, en se tenant les seins, ses poitrines genereuses se balançent légèrement sous sa chemise transparente. Elle remonte ses mains sous ses seins qu'elle soupese et les malaxe lascivement sous le tissu leger. Mes yeux boient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse, de longues jambes fines, moulées par le tissus luisant, - Ca va mon chéri ? Tu peux venir, tu sais ! La plénitude de ses seins, de ses hanches, font monter mon excitation. J’ai chaud. - Je t'impressionne ? Approche toi ! Je pose mes mains sur ses hanches, je les glisse sur la fine dentelle, je flatte son ventre, Je remonte vers ses poitrines, - Que fais-tu ? Tu caresses mes seins ? ils sont encore bien fermes, tu ne trouves pas ? je les empoigne à pleine main pour les masser doucement. Elle se met à gémir et se colle contre moi. Elle fait glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, Puis elle dégage l'épaule gauche. Ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leve d'un coup sous le fin tissu de mon pyjama Je sens sa chaleur contre mon torse, sa croupe contre mon bas ventre. Mon sexe se durcit encore et pointe entre ses cuisses - Je te fais de l'effet, je vois ! Mes mains caressent son ventre, descendent encore jusqu’à son sexe. Je le masse un moment avant d’y entrer deux doigts. Elle commence à se tordre sous mes caresses, et ses cuisses massent mon sexe dressé. - Tu es en train de m'exciter ! je la serre plus fort, incrustant plus avant mon penis à travers le tissu, je l’embrasse dans le cou. Je commence à la caresser d’abord doucement puis plus fermement. Elle commence à haleter. Elle se tord, s’arc-boute, elle gemit. Elle se frotte contre moi. la pression monte. J'empoigne les seins sous la soie. Je les malaxe dans tous les sens, la chair a un moélleux exceptionnel. Je les tiens serrés l'un contre l'autre. Puis je glisse ma main sur sa vulve mouillée, la masse doucement - Tu touches des endroits intimes ! Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense, et me dit d'une voix que je ne lui connais pas : - Tu es fou. Je n'ai jamais joui aussi fort ! Son visage se transforme, elle semble réfléchir, puis me lance - Viens ! On ne va pas en rester là ! Elle saisit sa culotte de soie qu'elle fait glisser sur ses cuisses. Un bruit d'élastique. Un silence. Je la tire vers moi, Je saisis ses seins au creux de mes deux mains. Je les caresse toujours avec douceur. puis je soulève sa chemise de soie le long de ses hanches je dirige mon gland et le frotte sur toute la surface de sa vulve, et ... je la sens ... impression delicieuse ... absorber mon gland. - Viens mon chéri, j'ai mon coeur tout chose de voir ainsi le désir qui t'habite... - Sens ! Je suis toute ouverte ! Mets le moi bien profond ! Enfonce le dans ma chair - Vas et Viens ... Plus loin ! ... Plus vite ! Nos deux corps soudés, ne forment plus qu'un - Et maintenant ... Ne te retiens plus ! Au creux de mes reins, fais jaillir ta sève, - Donne moi ton miel d'homme ! Inonde moi de toi ! Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle s'empale profondément d'un seul coup de rein. je la pénétre puissement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. Elle est profondément empalée sur ma verge. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Elle se met soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonne. je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte en moi. Je me bloque bien au fond d'elle et je pars en de longues giclées dans son ventre. - Eh bien ! J'ai l'impression que ça va mieux ! Embrasse moi ! - Viens allons dans ma chambre ! Elle me prend par la main, m'emmène dans la pièce adjacente et referme la porte derrière nousDélicatement, elle dégage les bretelles de sa combinaison noire. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds. - Tu peux la prendre ! je te la donne ... en souvenir Je prend la combinaison noire encore tiède et respire ses effluves. Je l'enfile et profite de la douceur du nylon sur ma queue tendue, La douceur, la fraîcheur du tissu fait gonfler ma verge comme jamais encore. Sa douce lingerie sent la femme, c'était chaud, c'était doux ! je me caresse le torse, les cuisses, les fesses, avec le doux tissu la jolie dentelle de la poitrine titille agréablement mon torse. - Tiens ! prends la nuisette dans la table de nuit ! En ouvrant le tiroir, je tombe sur ses dessous intimes. Ses petites culottes rangées sommairement, sophistiquées, en soie ajourées de dentelles.Je m'empare de sa nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide - Mets la sur moi ! Je la passe au dessus de sa tête et l'ajuste sur sa poitrine. le haut épouse la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissent sur le satin; descendent vers ses cuisses, avec de longs va et vient . Le tissu devient manifestement mouillé. Je glisse mes doigts sous la soie. Elle passe une jambe entre les miennes, entoure ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sens le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine Puis elle écrase ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me regarde en souriant. - Eh bien ? qu'attends tu ? Avances tes doigts là, plus bas dans mon pubis, écartes mes lèvres. - Tu vois elles sont toutes distendues, pretes pour t'accueillir. - Profites-en, hume pleinement l’odeur de mon sexe, enivre-toi de mes effluves. - Approche ton sexe, Vas-y, Enfouis-le bien profondément, écarte bien les lèvres, - Hummmm comme je le sens bien. je bouge pas, - Laisses moi te serrer avec mes jambes. Et toi au fait ? Tu tiens toujours ? - Je te sens fort, périlleux, fougueux. Laisse-toi aller mon bel homme, je suis tout à toi. - Vas-y ... encore ... ouiii ... ça vient ! - OUIII ! .... tu es un amant exemplaire. Moi aussi j’ai joui, Oh que c'est bon ! Ma queue reste bien enfouie dans son sexe, elle diminue un peu de volume mais reste quand même bien dressée. Elle en profite pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarde pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande de nouveau au fond de son ventre, - oh oui, je te sens, remplis-moi encore, enfonce moi, là je vais jouir, viens ! Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus ! - Regarde bien mes seins, c'est bon ! tu es bien profond en moi, vas-y, coulisses fort ! Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je jouis une deuxième fois, je sens un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Elle se couche sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes haletants, apaisés, heureux. Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances. Cette lingerie, pleine de mon odeur, de son odeur Pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir, Cette lingerie que j'aime écarter un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle. Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de la sienne, Qui me fait comme un souvenir le jour durant. Cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme Joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses. Cette lingerie si remplie de nous deux, Ses joues sont légèrement rougies. Elle prend ma main, la dirige vers elle. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Tout se precipite. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main. Puis ses cuisses se deserrent comme pour m'inviter. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante de desir s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe et sa culotte. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Ma main remonte le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains. | premiers désirs (E) La porte de la salle de bain est restée entr'ouverte. Mme Granger est là, sans complexe, en combinaison de soie blanche, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, Les caresses du tissu laiss ... |
![]() | présence sous la doucheJe venais de prendre un bain dans la piscine et me présentait aux cabines de douche. Une porte restée entr-ouverte m'incita a m'y introduire. Une jeune femme, sans complexe, les yeux clos, prenait son plaisir sous l'eau qui l'aspergeait et glissait sur son corps moite, ruisselant de ses épaules à sa poitrine avant de se répandre sur son ventre frémissant en empruntant son étroit sillon séparant ses seins gonflés. Elle se laissait emporter par ses sens en émoi et par une douce euphorie voluptueuse, Je decidais alors de tenter ma chance - Que venez-vous faire ici, me dit-elle ? - Eh bien, me doucher aussi … - avec moi ? vous êtes bien audacieux ! Ce fut sa seule réponse ! Le fouettement de l'eau lui procurait un étrange et enivrant plaisir, faisant naître de longs frissons voluptueux depuis ses reins jusqu'à son bas-ventre. L'eau tiède s'engouffrait avec force à l'intérieur de son sillon, le corps tendu vers un plaisir attendu. C'était un spectacle somptueux. Elle s’offrait à ma vue sans se dérober… comme consentante. elle avait les yeux mi-clos et la respiration un peu rapide. Comme dans un état second, elle me lança - Fermez au moins la porte de la cabine ! Sous la volupté qui peu à peu la gagnait, les mamelons de ses seins se sont gonflés tandis que ses tétons se durcisaient et se dressaient telles deux minuscules verges, dans l'attente d'un attouchement plus précis. Dans la semi-pénombre nos corps se rapprocherent .... Mes mains parcouraient doucement ses rondeurs. C’était une sensation délicieuse pleine de sensualité. Ses seins avaient une texture exceptionnellement douce et, malgré leur poids réel, flottaient dans mes mains comme deux outres de soie. - Eh bien, vous ne perdez pas de temps ! Prenez au moins du savon pour me frictionner ! Sans qu'elle s'en offusque outre mesure, j’entrepris l’exploration de son entre-jambes qu'elle ecarta franchement pour me faciliter l'approche. Le contact de mes doigts avec sa vulve humide, large, profonde, etait capiteux. Son bassin ondulait au rythme de mes doigts et elle poussait maintenant des petits feulements de plaisir. Son humidité était abondante et semblait attirer les caresses. - Vous êtes en train de m'exciter ! dit-elle dans un souffle rauque… Elle regardait mon sexe qui ne cessait de se redresser. - Mais ! ... Vous bandez ! comme un cheval ! Puis nos bouches se mélangerent. Elle me suçait la langue, glissant la sienne dessous et l’entortillant. J’en perdais la respiration. Elle ouvrit encore plus ses cuisses, prit mon sexe congestionné et l'appuya contre sa vulve - Vous me poussez à bout ! me dit elle en tournant mon gland sur ses chairs intimes… J’avais empoigné ses hanches et ses fesses et malaxait ses chairs avec une douceur matinée de passion plus sauvage lorsque je sentis mon sexe littéralement aspiré dans sa chaude intimité, ma bouche restant soudée à la sienne, Elle accentua avec son bassin mobile ma pénétration. je me suis mis alors à coulisser en elle avec un délicieux bruit de clapotis…. Elle accentuait sa jouissance en se masturbant sur moi. Mes mains cherchaient ses seins et pétrissait son dos, ses hanches, ses épaules tandis que le corps arqué, je ne maîtrisais plus mes mouvements …. lui faisant comprendre l'imminence de l'explosion. Elle atteignait pour sa part le paroxysme de son plaisir et profitait de mes derniers mouvements pour s’éclater en me lançant un: - Maintenant ! Vite ! Ce fut le signal. A longs et gros jets je me mis alors à jouir en elle… Je restais figé, mon sexe planté au plus profond de son ventre. Lorsque enfin nous reprimes nos esprits… Elle me baisa goulûment les lèvres - J'ai rarement autant joui ! Vous êtes tout à fait à la hauteur ! - rhabillons nous ...et retournons vite à l'hôtel ! | présence sous la douche (E) Je venais de prendre un bain dans la piscine et me présentait aux cabines de douche. Une porte restée entr-ouverte m'incita a m'y introduire. Une jeune femme, sans complexe, les yeux clos, prenait son plaisir sous l'eau qui l' ... |
![]() | VanessaUne vraie sirène, troublante, entièrement nue dans l'eau claire de la piscine. Cheveux bruns, des beaux seins, ronds et fermes, Des courbes ondulantes dans les reflets liquides. Elle doit avoir 18 ans, une peau lisse, délicatement bronzée. Provocante. Elle s'accroche sur le bord, me voit, s'arrête et me nargue, elle me demande le l'aider à remonter. Je la prend par la taille elle s’élance ... mais se laisse retomber dans l’eau ... et m'entraine avec elle ... dans un grand éclat de rire. Elle se raccroche à moi ... s'approche ... et tombe litteralement dans mes bras. Son visage ruisselant est à dix centimètres du mien. Nous restons immobiles une seconde. Puis sans hésiter, elle me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes Je sens alors sa main frôler mon maillot de bain qui a doublé de volume. Elle sourit et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte et plaque son ventre et le frotte contre mon maillot. Elle palpe sans pudeur mes reliefs, durs comme du bois. Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre, elle est chaude, ses seins me narguent, je bande. Je finis par toucher ses belles poitrines flottantes. Je les pétris, elle sort mon sexe de mon maillot et d'un coup, je le sens aspiré dans le sien.ça glisse tout seul, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux, elle soupire. La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, nous voulons tous les deux jouir ensemble et sans retenue. Elle grogne, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je libére toute ma sève et lui remplit le ventre abondamment. Elle me sourit, et me donne son numéro de cabine. Puis elle file. Je retourne à ma cabine, petite douche, et je me dirige vers la cabine 33. Je frappe. J'ouvre. Elle est allongée sur son lit, complètement nue. Elle me provoque et elle réussit. La bandaison est repartie ! Elle m'attends, toute ouverte. Je m'exécute et me glisse sur elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre et me repousse un moment pour vérifier l'état de mon désir. Mon sexe se dresse droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant. Elle le saisit, se l'enfile sans attendre. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre… Puis elle se relève, prend ses affaires et m'annonce - Viens ! Je te présente à ma mère | Vanessa (E) Une vraie sirène, troublante, entièrement nue dans l'eau claire de la piscine. Cheveux bruns, des beaux seins, ronds et fermes, Des courbes ondulantes dans les reflets liquides. Elle doit avoir 18 ans, une peau lisse, dé ... |
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![]() | mon corps (Marie Nizet)Je vous aime, mon corps, qui fûtes son désir, Son champ de jouissance et son jardin d'extase Où se retrouve encor le goût de son plaisir Comme un rare parfum dans un précieux vase. Je vous aime, mes bras, qui mettiez à son cou Le souple enlacement des languides tendresses. Je vous aime, mes doigts experts, qui saviez où Prodiguer mieux le lent frôlement des caresses. Je vous aime, mon coeur, qui scandiez à grands coups Le rythme exaspéré des amoureuses fièvres, Et mes pieds nus noués aux siens et mes genoux Rivés à ses genoux et ma peau sous ses lèvres... Je vous aime ma chair, qui faisiez à sa chair Un tabernacle ardent de volupté parfaite Et qui preniez de lui le meilleur, le plus cher, Toujours rassasiée et jamais satisfaite. Je suis le temple vide où tout culte a cessé Sur l'inutile autel déserté par l'idole ; Je suis le feu qui danse à l'âtre délaissé, Le brasier qui n'échauffe rien, la torche folle... Et ce besoin d'aimer qui n'a plus son emploi Dans la mort, à présent retombe sur moi-même. Et puisque, ô mon amour, vous êtes tout en moi Résorbé, c'est bien vous que j'aime si je m'aime. mon corps (Marie Nizet) | mon corps (Marie Nizet) (E) Je vous aime, mon corps, qui fûtes son désir, Son champ de jouissance et son jardin d'extase Où se retrouve encor le goût de son plaisir Comme un rare parfum dans un précieux vase. Je ... |
![]() | troublant objet de chair pâleSon sexe est la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Il me laisse le caresser infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueille au creux de ma paume sa bourse tiède, je la soupese, j'enserre la base de ton sexe, tendrement, délicatement. Je le sens vivre et palpiter, les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le prendre en moi, est de plus en plus forte. | troublant objet de chair pâle (E) Son sexe est la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Il me laisse le caresser infiniment lentement. Douce s ... |
![]() | bruit feutréUn bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un silence. Elle est là, tout près, je sens son parfum qui m'ennivre. je n'endends plus rien. Le silence dure une éternité. le contact d'une main. Je tressaille. l'autre main sur mon ventre. Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit. Je sens des gestes lents. sa peau qui glisse contre la mienne, ses jambes nues qui s'enroulent autour de mes cuisses. C'est ainsi que cela a commencé. | bruit feutré (E) Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un silence. Elle est là, tout près, je sens son parfum qui m'ennivre. je n'endends plus rien. Le silence dure une éternité. ... |
![]() | exercice de massageIl vient doucement derrière moi. Je sens ses mains chaudes qui pressent légèrement mes seins, il les palpe doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapproche l'un de l'autre. Il les lache ... ils reviennent en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fait sortir mes pointes. Il enfonce ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectue de petits cercles concentriques et écrase mes tétons. Je ressens des ondes de chaleurs. il presse doucement ma pointe par une légère torsion et l'étire. Ses doigts n'en finissent pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambre pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. Je suis au bord de l'orgasme…. Ses deux mains chaudes se posent en coupe sous mes seins et les pressent tendrement. Puis elles les soulèvent. Il plaque ensuite ses doigts sur mes mamelons et les presse durement, cherchant à enfoncer mes pointes durcies dans la masse laiteuse. Il recommence plusieurs fois, empoigne cette fois mes seins à pleine main, et leur fait décrire des cercles aussi grands qu'il le peut. Mon sexe coule. chaque malaxage attise dans mon sexe une boule de lave incandescente. les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entends geindre. Il impose une lente et savante rotation à mes pointes gonflées. Immobile, j'essaye de respirer lentement et profondément, ma vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. je râle de plaisir et un filet de salive glisse sur mes levres. Je suis au bord de l'orgasme. | exercice de massage (E) Il vient doucement derrière moi. Je sens ses mains chaudes qui pressent légèrement mes seins, il les palpe doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapproche l'un de l'autre. Il les lache ... ils rev ... |
![]() | seins chauds, vibrantsMes mains sous tes seins pour les faire saillir. Ils sont souples, chauds, vibrants Je caresse tes douces poitrines, les sous-pese, Pris d'un vertige sensuel, je les presse, je les roule, Les seins se gonflent. Les bouts sont durs, Tu pousses un profond soupir. Tu t'agites. Tes seins sont secoués de mouvements érotiques la croupe tendue vers moi, impudique, Tu t'offres de toutes parts, te laisse posséder. Tes spasmes se succédent de plus en plus vite ... de plus en plus fort. Tu tends ton buste lourd, tes bras. de maniere voluptueuse, | seins chauds, vibrants (E) Mes mains sous tes seins pour les faire saillir. Ils sont souples, chauds, vibrants Je caresse tes douces poitrines, les sous-pese, Pris d'un vertige sensuel, je les presse, je les roule, Les seins se gonflent. Les bouts ... |
![]() | Je palpais délicatement ses seins, puis les serrais doucement, et recommençais. Sentant cette fois-ci une douce chaleur. je pouvais les palper, les caresser à loisir. Elle était allongée, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement de plaisir au gré de mes caresses. | (E) Je palpais délicatement ses seins, puis les serrais doucement, et recommençais. Sentant cette fois-ci une douce chaleur. je pouvais les palper, les caresser à loisir. Elle était allongée, la tête re ... |
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![]() | massage profondAllongée sur le lit, je sens sa main chaude qui commençe à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord le bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Puis il commençe à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il a touché un point sensible. J'étouffe un gémissement. délicatement il empaume ma vulve humide. C'est vraiment bon. Je suis dans une sorte d'extase. Je commence à sentir monter l'orgasme. Je guette toutes les sensations de mon corps. Je sens alors le contact de son sexe massif sur mes lèvres dilatées. Le sexe est énorme. Je tremble .... C'est alors qu'il commençe à pousser en moi le gland. Je ne fais rien pour l'en empêcher ... et il continue à s'enfoncer un peu plus en moi, je resserre mes jambes, et cela ne fait que m'exciter davantage. Je sens son membre s'allonger et grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçe toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahit, mes hanches commençent à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne peux pas m'en empêcher, je ne peux même plus parler. Je ne peux que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduit a la jouissance. Il entre en moi et ressort, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sens son pubis collé contre le mien. Mon excitation est à son comble Je recommence à gémir du bout des lèvres, et je sens son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne peux me retenir plus longtemps. J'explose avec ce qui doit être le premier véritable orgasme depuis longtemps. Lorsque je récupére un peu, je réalise que sa tige massive coulisse puissement dans ma fente humide. Je suis remplie de son sexe. Je gémis de plus en plus bruyamment pendant qu'il coulisse au fond de moi. C'est terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, je sens alors mon deuxième orgasme qui commençe à monter rapidement au niveau de mon estomac. Je vais encore jouir tandis qu'il râle de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, Je réalise alors qu'il est sur le point de venir aussi. Et il vient !.... Son corps entier bascule en avant et je sens l'extrémité de son gland contre mon col. Il gémit très fort et lâche les premiers salves de son sperme profondément en moi. Il jouit dans mon ventre ! Je suis au bord de l'extase absolue. J'essaye de le repousser, mais il est trop tard. Ses mains tiennent les miennes et il gicle en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation est inimaginableable ! je peux sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouit avec tant de force que je peux ressentir chaque giclée contre mon col d'utérus. Mes hanches recommencent à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors un orgasme intense alors qu'il continue à coulisser en moi la seule chose que je fais est de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je cris de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'enroule mes jambes autour de sa taille et l'attire encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je peux sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continue de lâcher sa semence. Je ne peux pas croire qu'il y en a tellement en lui. Alors que les décharges faiblissent, je peux sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je reste étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produit à l'intérieur de moi. Quand je reviens à la réalité, je réalise alors ce que nous avons fait. Je regarde entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continue à me limer doucement avec son sexe qui commençe a réduire de volume. mes jambes sont encore enroulées autour de lui. Il est toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommence à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrasse très doucement et recommence à lécher doucement mes mamelons. Je sens que son membre recommençe à durcir encore. Mes hanches recommencent à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il libére mes mains et nous recommençons ce qui s'avére être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous restons longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisons l'amour, j'ai plusieurs plus petits orgasmes successifs. Je soulève ma tête et je commence à sucer les mamelons sur son torse lorsque je me sens compte qu'il veut jouir encore. Il me sourit, m'embrasse, et accélére son rythme. Sa grosse queue se raidit de nouveau, et je le sens une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance. Le resultat ne tarde pas, il finit par se bloquer au fond de moi et je le sens ... tirer un chargement incroyable de son sperme tout au fond de mon vagine, je pousse mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je peux sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'est magnifique. Même mes mamelons me brûlent. Lorsque, finalement, il se retire, il glisse lentement hors de moi, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me redresse lentement sur mes coudes et je regarde vers le bas à quoi je peux ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe est tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée est enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve est rouge et toute gonflée et ma toison brune, toute humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins sont tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coule hors de ma fente, sous moi, sur les draps. Je saisis un oreiller et le glisse sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je veux garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. Je suis ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, je réussis à me relever, chancelante, du sperme coule toujours sur mes cuisses et descend jusqu'à mes pieds. Lui dort sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. | massage profond (E) Allongée sur le lit, je sens sa main chaude qui commençe à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord le bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Puis il commen& ... |
![]() | empalementElle s'empale sur moi, absorbe mon gland, doucement, lentement. Ses chairs sont glissantes et chaudes, le glissement onctueux. Elle suçe ma verge comme une sucrerie. un frottement délicat irisé de plaisir, ma verge bandée se dresse, grossit et s'allonge dans son ventre gourmand comme un poulpe. Je m’empale tout au fond. Elle me dévore, littéralement - Sens comme je suis ouverte ! Mets le moi bien profond ! Enfonce le bien dans ma chair - Vas et Viens ... Plus vite ! Nos deux corps soudés, ne forment plus qu'un - Et maintenant ... Ne te retiens plus ! Au creux de mon vagin, fais jaillir ta sève, - Donne moi ton miel d'homme ! Inonde moi de toi ! Elle se frotte, ondule et fait tournoyer mon sexe qui se tend dans ses chairs. Elle m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Elle me sourit. Nous nous balançons l’un dans l’autre, nous savourons chaque instant. Elle se soulève, redescend, avale mon sexe. Ses seins lourds ballottent au dessus de mes yeux. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Elle lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sents. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Et caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, assouvis et heureux, | empalement (E) Elle s'empale sur moi, absorbe mon gland, doucement, lentement. Ses chairs sont glissantes et chaudes, le glissement onctueux. Elle suçe ma verge comme une sucrerie. un frottement délicat irisé de plaisir, ma verge band ... |
![]() | deux corps dans la boucheSon corps se rapproche et maintenant me frôle. Je le sens contre moi, sa peau contre ma peau. Je sens un relief très perceptible se lever contre ma cuisse. Il devine mon trouble. Nous sommes maintenant joue contre joue. Les yeux fermés, je me laisse aller. Contact avec le coin de mes lèvres. Je garde les yeux fermés. Nouveau contact, je tourne légèrement la tête et sens ses levres contre les miennes. Nos lèvres s’écartent, se rejoignent, augmentent leur pression, s’écrasent l’une contre l’autre, les langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. Il me presse maintenant contre lui. Je me pends à son cou. Je me serre contre lui, submergée par une pulsion incontrôlable. Il commence à caresser mon dos, monte jusqu’à la nuque. Il me serre contre lui, toujours accrochée à son cou, et il me pousse contre la paroi de la douche. Nos bouches sont toujours scellées l’une contre l’autre. Mes mains caressent son front glissent sur son visage et ses joues, descendent le long du cou. Sa main est chaude, le contact apaisant et tranquille. Ses doigts glissent, écartent, cherchent à tâton, suivent la courbe du sein. Ma respiration saccadée soulève ma poitrine. Ses doigts glissent, sentent le téton dressé par l’excitation, il se recule pour mieux voir ce sein blanc et son bout rose. Je me sens offerte, impudique, je le presse contre mon mamelon pour qu'il prolonge la caresse. Ses doigts entrent en contact avec la peau douce et tendre de mes cuisses. Naturellement, je leve une de mes jambes contre lui, il la saisit et la serre contre lui. Son baiser est brûlant, avide et gourmand. Attrappant mes genoux, il les tire vers lui. Je me retrouve offerte, béante, les cuisses écartées. Il plonge alors sa main vers mon sexe qu’il sait trouver là, juste sous la fine toison. Il y pose une caresse de braise, plantant ses doigts dans ce nid suintant et chaud, fouillant entre mes lèvres trempées et distendues. Sous l’assaut, je me cabre, projetant en avant mon bassin, comme pour mieux sentir ses doigts qui me fouillent. Il empaume mes seins, les presse l’un contre l’autre, crispe ses doigts dessus. Je me sens presque hystérique, libérée de tabous qui me paralysaient. J'attrape son corps, je recherche sa bouche pour regoûter sa salive, j'aventure une main, la glisse fébrilement vers le membre congestionné. Je le saisis, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous mes doigts. Je le regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur mon ventre, malaxant les testicules. Je manque presque de respiration sous l’émotion et l’effort. J'écarte les cuisses pour l’accueillir. Il dirige son membre. Je plonge mon regard dans ses yeux et guide son sexe vers le mien. - Doucement, lui dis-je, je veux te sentir me penetrer. Il s’applique, augmentant progressivement la pression. Son sexe s'enfonce, glisse lentement dans mon ventre chaud. Je lui presse la taille pour qu’il s'enfonce encore plus loin, j'avance mon bassin, il reprend son élan et recommence. Je le sens maintenant arriver au fond de moi. Il l’a compris et commence de lents mouvements, puis de plus en plus rapides, de plus en plus profonds. Je me mord les lèvres, j'ondule de tout mon corps pour amplifier le plaisir. - c’est bon, je me donne completement à toi, que c’est bon de te sentir en moi ! Il se concentre pour faire durer le plaisir. Je sens monter contre son membre mon propre orgasme, mes muscles se tendent, mon corps se cabre, les veines de mon cou se gonflent, mon souffle manque, mes yeux se révulsent comme si j'allais m’évanouir. Je pousse un cri déchirant au moment même ou il explose dans son ventre. Il continue pour me donner jusqu’à la dernière goûte de son sperme chaud. Enfin, épuisée, je m’écroule, mon amant est toujours en moi, je l’embrasse avec fougue, je l’aime. | deux corps dans la bouche (E) Son corps se rapproche et maintenant me frôle. Je le sens contre moi, sa peau contre ma peau. Je sens un relief très perceptible se lever contre ma cuisse. Il devine mon trouble. Nous sommes maintenant joue contre joue. Les yeu ... |
![]() | proximité dans l'eauElle s'approche de moi. Son visage ruisselant est à dix centimètres du mien. Nous restons immobiles une seconde. Puis sans hésiter, elle me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes. Je sens alors sa main frôler mon maillot de bain qui a doublé de volume. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche et la douceur de sa main. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte et plaque son ventre et le frotte contre mon maillot. Elle palpe sans pudeur mes reliefs, durs comme du bois. Elle frotte doucement son ventre contre le mien, elle est chaude, ses seins me narguent, je bande. Je finis par toucher ses belles poitrines flottantes. Je les pétris, elle sort mon sexe de mon maillot et d'un coup, je le sens aspiré dans le sien. Ça glisse tout seul, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux, elle soupire. La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, nous voulons tous les deux jouir ensemble et sans retenue. Elle grogne, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je libére toute ma sève et lui remplit le ventre abondamment. Elle me sourit, et me donne son numéro de chambre. | proximité dans l'eau (E) Elle s'approche de moi. Son visage ruisselant est à dix centimètres du mien. Nous restons immobiles une seconde. Puis sans hésiter, elle me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes. Je sens alors sa main f ... |
![]() | introductionCalée dans le coin de la douche, elle guide mon gland en fermant les yeux. J'introduis alors doucement mon sexe dans le sien. C'est une pénétration douce. un rythme lent au début Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux, elle soupire. La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte, Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, puis reviens puissamment La jouissance vient rapidement | introduction (E) Calée dans le coin de la douche, elle guide mon gland en fermant les yeux. J'introduis alors doucement mon sexe dans le sien. C'est une pénétration douce. un rythme lent au début Je m'enfonce un peu plus. El ... |
![]() | derriere moiIl se plaça derrière moi, Il me caressa le dos, les reins. J'entendais sa respiration s'accélérer et je commençai à mouiller abondamment dans mon entrecuisse; Il me caressa le bas du ventre, comme pour me rassurer mais cela ne faisait que me troubler un peu plus, montant progressivement, descendant puis remontant jusqu'à sentir le tendre et troublant contact de sa bourse lisse, de ses testicules, de la base de son sexe. sa main gauche vint effleurer mon sein et le caressa furtivement. Il était la, derrière moi, son sexe, pointé sur mes cuisses, en son état de nature, troublante statue de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Il me caressait, le dos, infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je santais au creux de mes reins sa bourse tiède, je sentis vivre et palpiter les veines gonflées irriguant son membre. L'envie de le sentir entrer en moi, était de plus en plus forte. Je me reculai un peu, toute attendrie, pour mieux profiter de sa nudité offerte. Sa respiration s'accélérait de plus en plus. La caresse de ses doigts se fit plus rapide, plus insistante, plus précise. Il pointa alors son sexe sur ma vulve ouverte et me pénétra d'un coup dans un glissement suave L'effet attendu fut immédiat, un profond gémissement rauque sorti de sa poitrine et je sentis entre mes muscles intimes sa tige congestionnée commencer à palpiter puis ... exploser laissant son sperme jaillir en longues saccades tièdes dans mon ventre, ses mains sur mes seins. Je reccueillais son sperme chaud, animal, sa blanche liqueur. il m'embrassa la nuque en caressant mes cheveux | derriere moi (E) Il se plaça derrière moi, Il me caressa le dos, les reins. J'entendais sa respiration s'accélérer et je commençai à mouiller abondamment dans mon entrecuisse; Il me caressa le bas du ventre, comme p ... |
![]() | au bord de la piscineSa chemise trempée baillait sur ses poitrines, les bouts des seins dressés. J'étais allongé, à demi nu et fort excité. Elle me regarda alors en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange et je sentis que son attitude changeait. Elle s'approcha près de moi et ses seins volumineux tremblaient doucement à quelques centimètres de mes lèvres, je sentais son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, je tendis mes lèvres en la fixant, elle les regarda, s'en approcha et y posa delicatement les siennes, d'abord legerement puis de maniere plus appuyée. Je me mis à caresser doucement son sein, elle posa sa main sur la mienne comme pour m'inciter à augmenter la caresse, tout en continuant à m'embrasser. Elle se pencha et ses seins gonflés vinrent s'appuyer sur mon torse, puis elle se serra sur moi et m'enlaça étroitement en m'embrassant goulûment sur la bouche, mon sexe frottait contre son ventre, et se durcissait encore à ce contact volupteux ! Au bout d'un moment elle se releva et me dit - tu m'excites ! je n'en peux plus ! Elle pris mon sexe, le caressa de sa main ma verge était étonnamment douce, je me détendis, Je caressais ses cheveux à présent défaits, de temps à autre elle se détachait de moi pour me sourire Puis elle me souffla dans les oreilles: - Je veux te sentir en moi ! Sa caresse était divine, elle se mis à califourchon sur moi et de sa main elle guida mon penis vers ses grandes lèvres distendues, et l'appliqua sur ses lèvres intimes en le faisant tourner sur sa vulve, elle était parfumée et c'était tellement doux. Elle gémissait au-dessus de moi et ondulait de la croupe, le jeu dura plusieurs minutes, je sentis alors mon membre dur comme du bois aspiré, suçé dans l'étui tiède, coulisser dans son puit. elle se pencha en avant et frotta ses seins sur mon visage, je lui lèchai les bouts au passage, elle montait et descendait sur ma queue, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'était suave, j'étais au paradis, Je découvrais cette sensation délicieuse de sentir coulisser mon membre dans son ventre doux comme du beurre. J'avais envie que le jeu n'ait pas de fin, j'étais bien, elle me souriait. Je voulus me retenir mais malgré moi je sentis ma verge se contracter, ma jouissance monta brutalement, je poussai mon bassin en avant. J'expulsais mon sperme bien au fond dans son ventre, je jouissais à n'en plus finir, elle le ressentit et sourit, - Oui ! ... vas y ! remplis moi ! je te sens bien, tu me fais du bien Ma queue restait bien enfouie dans son sexe, elle diminua un peu de volume mais resta quand même bien dressée. Elle en profitait pour se coulisser elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant au-dessus de moi ne tarda pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandais de nouveau au fond de son ventre, - mets la moi bien profond, enfonce moi, là je vais jouir, viens ! Je la tenais par les hanches et elle soulevait son bassin puis se laissait retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je voyais ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchant. Empalée à fond elle remuait pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourageait à lui en donner encore plus ! - regarde bien mes seins, c'est bon ! tu es bien profond en moi, vas-y, coulisses fort ! Elle se déchaîna, ses seins ballottaient de droite à gauche elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je jouis une deuxième fois, je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! J'étais comblé et cela me donna une folle envie de recommencer ! Elle se coucha sur moi, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous étions haletants, apaisés, heureux. Elle déménagea dans une autre ville, je ne l'ai plus jamais revue. | au bord de la piscine (E) Sa chemise trempée baillait sur ses poitrines, les bouts des seins dressés. J'étais allongé, à demi nu et fort excité. Elle me regarda alors en souriant, les yeux brillants avec un sourire ét ... |
![]() | après la doucheNous sortons de la douche. Elle m'allonge sur la moquette de la salle de bainet se positionne sur moi. Elle me sourit ... et se laisse descendre sur mon sexe bandé tel un mat. Elle l'absorbe doucement, lentement en surveillant mes réactions - Tu aimes ? me lance-t'elle J'ai à peine le temps d'acquiescer. Je vois disparaître progressivement ma queue entre ses grandes lèvres. Elle commençe alors à glisser doucement sur ma verge. impression suave Son vagin coule sur mon membre et sur mes bourses. La moquette se tache de nos sécrétions. je sens les petites contractions de son vagin autour de mon penis, en émettant un bruit de succion terriblement érotique. Elle fait entrer et sortir ma queue de plus en plus vite. Je sens ses contractions. Elle excite mes sensElle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en peux plus. Elle m'offre la vue de son corps couvert de sueur Mon sexe dur qui la fouille dans son intimité la plus profonde lui arrache de petits cris de jouissances. Je pétris ses seins et je la bourre de plus en plus puissamment. Un dernier coup de rein me plante au plus profond d'elle et .... je gicle ma semence. , puis elle ralentit La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles provoque sa jouissance. Elle s'écroule en sueur. En me retirant, ma queue émet un bruit de siphon qui nous fait rire tous les deux. | après la douche (E) Nous sortons de la douche. Elle m'allonge sur la moquette de la salle de bainet se positionne sur moi. Elle me sourit ... et se laisse descendre sur mon sexe bandé tel un mat. Elle l'absorbe doucement, lentement en surveillant mes r& ... |
![]() | Tu mouilles comme une fontaineViens mon amant, j'ai mon coeur qui palpite De voir ainsi le désir qui t'habite... Sens ! Je suis toute ouverte ! En moi tu es entré, je sens ton gland le feu comme en un volcan Mets le moi bien profond Enfonce le dans ma chair Qu'il y trouve sa gloire et qu'il me donne sa sève Vas et Viens ... Plus loin ! ... Plus vite ! L'extase est proche Nos deux corps soudés, ne forment plus qu'un Et maintenant ... Ne te retiens plus ! Au creux de mes reins, fais jaillir ta sève, Donne moi ton miel d'homme ! Inonde moi de toi ! Tu mouilles comme une fontaine, les pointes de tes seins se gonflent en saillie. Tu as un goût de miel… . Ton corps tout entier est secoué de vagues de désir. Tes douces plaintes me rendent plus impatient. Tu te cambres sous la caresse, et tu t’offres à moi. Je m’enfonce dans ta fente offerte et brûlante. D’une poussée lente et puissante, j’atteints tes profondeurs. Tu creuse le dos et rejetes la tête, tu hurles de plaisir sous mes va et viens. Puis je m'immobilise au plus profond de toi, je percois les caresses de tes muscles intimes. J'avance mes baisers et mes mains sur ton dos, ton ventre, mes mains rejoignent tes seins, je les flatte et les pese, je les palpe et les malaxe. Tu agites ton bassin le long de mon sexe. je glisse mon doigt le long de ton sillon pour le solliciter, tu t’ouvres à nouveau et me laisse m’introduire. Tu guides avec la main ma verge dans son foureau. Je me sens avalé par ton vagin brûlant, mon sexe est englouti, comprimé, avalé, sucé. tu te mets à danser sur mon axe. Je me laisse aller, planté en toi, essayant de contrôler mon plaisir, tu vas et tu viens, furieusement. Les mouvements sont longs et rythmés. Tu accompagnes chacun de mes coups de reins en geignant doucement. Tes cuisses se tendent. Puis tu t'abandonnes sur moi, totalement ouverte, les lèvres et les seins tremblants, serrant convulsivement ma main à chaque penetration. Je sens tout à coup un flot humide qui s’engouffre dans ton ventre en vagues chaudes. Je sens ta jouissance au fond de ton vagin. Nous atteignons l'orgasme. Mon sperme gicle en flots saccadés au plus profond de toi. Nous restons imbriqués l’un dans l’autre un long moment, jusqu'à ce que le calme revienne. tu roules à mes cotes et reste un long moment les yeux fermes, blottie dans mes bras. | Tu mouilles comme une fontaine (E) Viens mon amant, j'ai mon coeur qui palpite De voir ainsi le désir qui t'habite... Sens ! Je suis toute ouverte ! En moi tu es entré, je sens ton gland le feu comme en un volcan Mets le moi bien profo ... |
![]() | tendre détresseEn posant ma poitrine sur la tienne que je presse, J'emprisonne tes jambes en te serrant les fesses; Nous gémissons ensemble d'une tendre détresse, Pris d'une passion commune pour ce qui nous oppresse. Je ramène mes genoux aux côtés de tes hanches, Tes yeux deviennent fous sous cette invasion franche, Je me redresse un peu pour caresser ton corps Et te laisser tanguer entre mes cuisses ouvertes. Tu y allumes un feu qui m'éblouit bien fort Mais j'aime te regarder courir droit à ta perte, La pointe de tes seins redressée fièrement. La danse de tes reins accélère, plus rythmée, Je cueille une auréole, je serre l'autre des dents, Tes nerfs soudain s'affolent, tu t'affaisses essouflée. | tendre détresse (E) En posant ma poitrine sur la tienne que je presse, J'emprisonne tes jambes en te serrant les fesses; Nous gémissons ensemble d'une tendre détresse, Pris d'une passion commune pour ce qui nous oppresse. |
![]() | onctuosités[Lui] je la pénétre ... doucement, glissant avec facilité entre ses chairs humides. Nos deux soupirs se mêlent, ses parois intimes s'écartent progressivement, Nos deux corps commencent alors à onduler, ne faisant plus qu'un, nos mains serrées l'une dans l'autre, Je glisse en elle. Son ventre me parait immense et insondable, nous retenons notre respirationElle est comme extasiée, les jambes écartelées. Elle frissonne doucement. Ivres de plaisir nous sommes immobiles, respirant doucement notre plaisir et celui de l'autre ses yeux sont à peine entrouverts, son regard est perdu on ne sait où, Sa respiration est rapide et profonde. Ses seins sont tendus tels des obus. Son ventre se soulève vers moi. Nos deux corps nus sont imbriqués l'un vers l'autre, chacun à l'affût de son propre plaisir et de celui de l'autre. Tout doucement, je tente de me retirer d'elle. Elle me rattrape pour me retenir. Je m'enfonce à nouveau en elle, un peu plus profond encore, elle se cambre. Une ou deux fois encore, je sors un peu ... et je rentre, la jouissance s'épanouit sur sa figure. Je la pénètre doucement, lentement, ses chairs se distendent. Je la tiens par les hanches. Elle m'accueille en elle. Elle remue, m'aspire. Elle me sent, m'accompagne. Je la fouille, la remplis. Elle découvre de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de ses reins. La sensation est diffuse, elle se propage, s’éteint, renaît. Je la sens comblée, remplie de moi. Je colle mon ventre contre le sien, nous sommes completement emboités l'un dans l'autre. je reprends mes mouvements ... Je glisse doucement en elle, ses seins ballottent . Elle mordille l'oreiller... Je vais et je viens, entrant et sortant de toute la longueur de mon membre. la caresse est douce et sensuelle. Chaque plongée lui arrache quelques larmes. La tension va s’amplifiant. elle me sent gonfler et grandir en elle. Elle frissonne, tremble.... Tout son corps se met à vibrer à chaque penetration. Elle gemit ... de plus en plus fort ... Je la pénètre ou elle me prend. Elle est suave, onctueuse, moelleuse. Un paradis de douceur me cerne, ferme, élastique, étroit. Elle s’ouvre et me dévore. La sensation est délicieuse. Je suis en elle, au plus profond d’elle. Je sens la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartiens à ses entrailles, je fais partie d’elle, je l’habite. Tout disparaît, je suis dans un autre univers, plus rien ne compte que cette douce sensation à l’extrémité de mon être, Elle bouge lentement, d’avant en arrière, d’arrière en avant, se frotte, masse ses parois intimes contre mon gland. Tête rejetée en arrière, elle se mord la lèvre sous l’effet des sensations qu’elle fait naître. elle se soulève, cambre les reins, me suce, me roule et me déroule, se laisse retomber. Elle bouge, portée par une houle invisible, de plus en plus creuse, de plus en plus profonde. Au sommet de la vague, elle plonge avec avidité pour à nouveau s’emplir. L’ascension est plus lente, elle reflue à regret pour mieux me sentir revenir. Elle module le rythme, s’arrête, repart, me quitte presque pour se combler à nouveau. Elle glisse sur mon mat, légère, agile, elle ondule fluide, féline comme une panthère. Elle jouit de mon corps... Elle va jouir de moi. Elle remue, imperceptiblement, ouvre les yeux, cherche les miens. Un sourire de bonheur éclaire son visage. Elle me serre de sa bouche amoureuse, juteuse comme une mangue. Elle est à moi, je la garde... Je m'enfonce ... doucement. Je l'entends soupirer. Lente pénetration. Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, Je glisse en elle avec volupté. Je sens un corps onctueux. Une vague nous inonde. J'explore un univers intime, chaud, humide. Je sens ses transformations internes. Son corps est parcouru de frissons. Elle cambre délicieusement ses reins, son corps se détend, s'ouvre. Elle s'abandonne. Elle se livre totalement au plaisir qui, au fur et à mesure, la gagne toute entière. Je remue et glisse dans ses chairs. Sa respiration se fait plus bruyante, elle gémit doucement. Je m'enfonce en elle encore et encore, je glisse avec délice. Elle gémit de plus en plus fort. Je donne et je donne. Puis je me retire, doucement, Elle semble reprendre sa respiration, inspire un grand coup. Elle me regarde, les yeux brillants, se mordille la lèvre inférieure, me supplie de revenir Je m'etend sur le dos, elle vient sur moi et s'empale. Je m'enfonce en elle, une vague de chaleur m'envahit. Ses yeux ne quittent pas les miens. Je la vois monter et descendre très lentement. Elle prend son plaisir, se fait coulisser doucement, Elle ferme ses yeux, se mord la lèvre, remue ses hanches, plus vite, Je m'enfonce maintenant au plus profond d'elle. Je sens ses cuisses trembler, se contracter. Elle vient de jouir. Ses mains caressent ma poitrine. Les miennes malaxent ses seins, tendrement. Elle est nue, belle et splendide Elle s'allonge sur le lit, sur le ventre, et ecarte les jambes. Elle s'offre à moi. Je m'approche de nouveau, et je m'enfonce en elle. Elle referme ses jambes une fois que je suis en elle. Je me sens bien, confiné dans cet endroit intime. Je vais lentement. Je m'enfonce plus profondemment et j'accélère le rythme petit à petit. Elle attrape l'oreiller et le serre très fort, je la sens venir. Je me sens venir aussi. Ma respiration s'accélère, mon rythme aussi, je me défonce. Je sors et rentre ... tout au fond... Je donne... J'accelère, l'orgasme est bientot là, je ralentis et donne de l'ampleur à mes coups de reins. Je vais plus au fond, encore, encore, encore... Et je lâche. son ventre etait doux, chaud et etroit, je continuais ma lente penetration, et c'est son corps qui peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. j'etais bien. Cela m'a semblé une eternité de douceur et de plaisir controlé. son souffle etait lent , plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. j'atteignis bientot le fond, je restais un moment en elle sans bouger elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce penetration. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres, doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais pas son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore, je glisse entre ses cuisses, à l’intérieur de son corps de femme. Elle me guide et m'adresse un sourire rempli de gratitude Nous nous embrassons amoureusement, tendrement. J'harmonise mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement est lent, puissant, profond, son bassin glisse de quelques centimètres ses muscles intimes m'emprisonnent encore plus étroitement. Elle me caresse les cheveux et le visage et me murmure à l’oreille - Oh oui … c’est bon ! .. Vas-y doucement ... c’est bon de te sentir en moi, continue … elle me tranquillise par des gestes et paroles. je la pénétre avec douceur, savourant la progression de mon membre dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahit, Elle remue pour bien me sentir contre ses parois intimes. C'est chaud, c'est doux, c'est mouillé et terriblement agréable. Je sens les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remue légèrement son bassin. Elle se releve, fait legerement bouger son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’est plus le même. Il est plus étroit, plus intime, plus englobant. je me mets à la caresser, massant ses seins et les malaxant à deux mains tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se met à émettre de petits cris et halètements qui soulignent son plaisir, son corps se tend sous mes caresses, je sens mon sexe s'allonger en elle et gonfler de desir. sa poitrine se souleve au rythme de sa respiration. elle ouvre encore plus ses cuisses, je fais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée, Je sens mon sexe aspiré par une chair brûlante et innondée. c'est une pénétration ample et suave. un rythme lent au début pour nous permettre de savourer notre plaisir. Je m'enfonce plus profondemment. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je me sens bien, confiné dans cet endroit intime. savourant cet instant où nous ne faisons plus qu'un. Je commence à bouger en elle, lentement, et, au meme moment, je lui prodigue de mes levres un profond baiser, Je capture sa langue, la maîtrise, elle roule la sienne autour. Puis je la laisse respirer. C'est elle maintenant qui ouvre une bouche gourmande en signe d'appel. Les langues se rejoignent, se renouent, les sexes se pénètrent de nouveau. Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon muscle, Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux, elle soupire. La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte, La pénétration ample de mon membre la comblait, c'était un véritable envahissement. inondée de ses propres sécrétions, la penetration se fit facilement. Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule. Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux, Je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Ses râles augmentaient en intensité. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux, coulissait profondément dans le vagin, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Mon penis était complètement enserré dans son ventre chaud. Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques. Elle était en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. --------------------------------------------------------------------------- [andr] je sens mon sexe aspiré, entrer dans le sien, glisser dans sa douce moiteur. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un grand soupir, me regarde avec des yeux troubles Je m'enfonce, je glisse lentement dans son ventre chaud. Je me sens aspiré. Je la penetre profondemment, en de lents mouvements. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps. Je coulisse en elle Elle sent les reliefs noueux qui glissent dans son ventre. Elle se fait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massent delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçe, se remplit de moi. Elle m’aspire, m’absorbe, me relâche. un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle se donne du plaisir, je gémis de bonheur. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Elle sourit. Elle s'empale doucement, interminablement, en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle ralentit sa descente, me regarde jouir, la reprend. Ces lentes pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorbe toute la longueur de mon membre, le voilà maintenant enveloppé d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Claire savoure ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon pieu qui la pénètre profondément. Ses mouvements déplacent mon sexe dans son ventre. Elle se redresse, nouvelle sensation. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, je sens ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaisse rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant. ------F-------------------------------------------------------------------- [Elle] j’ai senti son gland s'enfoncer entre mes levres trempées, Il est entré doucement en moi. Il est resté un moment sans bouger avant d’entamer un lent va et vient à coup de reins puissants. je sentais son sexe glisser a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. J’aime ces pénétrations lentes ou je sens le frottement du sexe masculin sur mes muqueuses. Il faisait de petits mouvements de coté, avec toujours cette pénétration lente, et toujours ces mouvements de rotation. Il s’est collé à mon dos a repris mes seins dans ses mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi. Il a alors commencé à aller et venir, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes. lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient je répondais a chaque penetration en creusant les reins pour qu’il puisse aller le plus loin possible. j’étais au bord de l’explosion lorsqu'il a encore ralenti le rytme de ses intrusions allant de plus en plus loin en moi et ressortant presque complètement avant de revenir encore plus loin. J’ai senti son sexe gonfler encore et puis ... Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... Lentement le gland se lubrifie à mon humidité a chaque penetration, il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Sa verge palpite dans mon ventre, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. sa verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. - Tu es bien ? me souffle-t'il à l'oreille. - Oh oui... C'est bon... Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui me fouille et que j'aime. La transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue. Julien saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Je sens cette queue douce, raide et bienfaisante glisser tout doucement dans mon ventre. je ressens une sensation de bien-être, de douceur et de chaleur intime, Il s'enfonce à nouveau, jusqu'au fond. délicieux envahissement et détente libératrice. Un sexe mâle est enfoncé en moi, je le sens vivre dans mon ventre, c’est merveilleux. Ce sexe est délicieusement chaud et doux, il est planté en moi, immobile. J'ai l’impression d'être remplie. Après un long moment je recommence à bouger timidement mon bassin et je sens cette queue douce et raide coulisser dans mon ventre. je savoure les mouvements de cette délicieuse colonne de chair au plus profond de mes entrailles, j'en gemis de plaisir. Je suis bien, merveilleusement bien ! La pénétration ample de son membre me comble, m'envahit. Je suis inondée de mes propres sécrétions. J'enfonce mon visage dans le creux de son épaule. Il reçoit mon souffle chaud dans son cou, mes baisers mouillés sur sa peau, mes tendres caresses dans ses cheveux, Je suis une femme comblée et je suis bien, merveilleusement bien ! Il se met à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Ses mouvements se font plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçe dans mon fourreau, souple, moelleux, soyeux, coulisse profondément dans mon vagin, en épouse parfaitement la forme, caresse amoureusement la fragile muqueuse. Son penis est complètement enserré dans mon ventre chaud. Il continue ses va et vients réguliers, méthodiques. Je suis en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue sont un véritable délice. Je râle de plaisir sous ses caresses intimes. D’instinct, je passe mes jambes autour de ses reins, mes bras autour de son corps et le serre en plaquant mon ventre contre le sien, Elle sent l'enorme sexe de Louis coulissser en elle longuement, la remplir progressivement. Elle se sent fouillée au fin fond de son être. l'enorme chose palpite, frémit. Le sang bat dans les veines qu’elle enserre. Il bouge très lentement, se retire à peine et replonge, au fond. Ses chairs s'ouvrent, massent le sexe bandé avec délicatesse, le sucent, le retroussent, le déroulent. Sa vulve glisse, poussée en dedans, tirée en dehors. Cette lente caresse au fond de son ventre est d’une tendresse infinie qui la touche dans son intimité la plus profonde. Louis rend son mouvement plus ample. Il varie l’angle de sa pénétration, faisant naître d’autres tensions, allumant d’autres foyers. Il explore tous les replis secrets, fait varier la pression, amollissant les chairs, les distendant. ses reins se remettent à bouger, allant à la rencontre de l’objet qui la torture si tendrement. Elle cherche à happer le membre en elle, essayant de l’enfoncer plus profondément. Louis se retire presque entièrement. Elle s’accroche à lui pour le retenir en elle. Il la penetre de nouveau avec deux ou trois mouvements amples et puissants qui la remplissent profondément. Aline crie sa jouissance. Son corps entier est secoué. | onctuosités (E) [Lui] je la pénétre ... doucement, glissant avec facilité entre ses chairs humides. Nos deux soupirs se mêlent, ses parois intimes s'écartent progressivement, Nos deux corps commencent alors à on ... |
![]() | Je la penetre plus profondemment, en de lents et puissants mouvements Elle ondule de tout son corps. Elle se mord les lèvres. mes penetrations sont de plus en plus rapides, de plus en plus profondes, de plus en plus violentes. Je sens ses muscles se tendre, son corps s’arquer, les veines de son cou se gonfler, son souffle manquer. J'accelere mes va et viens. Je lui pétris les seins. Elle s'accroche à mes épaules, Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Elle râle de plus en plus. Je me retiens .... Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. | (E) Je la penetre plus profondemment, en de lents et puissants mouvements Elle ondule de tout son corps. Elle se mord les lèvres. mes penetrations sont de plus en plus rapides, de plus en plus profondes, de plus en plus violentes ... |
![]() | Au son de nos soupirsNos deux corps mélangés se mettent à vibrer Au son de nos soupirs, et les murs de la chambre Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés, reflétant la bougie et ses chauds rayons d'ambre Puis sur ma langue coule, échappée du foyer Ardent qui nait en toi, cette vague qui roule Jusqu'au fond de ma gorge, dont j'aime à festoyer Lorsqu'en petits sursauts ton corps sous moi s'écroule Et tu m'aspires fort et je laisse jaillir Une chaude liqueur, le fruit de mon orgasme; Sous tes baisers brûlants je me sens défaillir Sur ton corps agité de quelques derniers spasmes Djoe L'indien | Au son de nos soupirs (E) Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer Au son de nos soupirs, et les murs de la chambre Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés, reflétant la bougie et ses chauds rayon ... |
![]() | me retirer à tempsC'était la première fois j'avais bien décidé Une fois dedans de me retirer à temps Mais une fois chez elle On s'est bien amusé Et on a tant ri Que je n'ai pu me retirer On a jamais autant joui | me retirer à temps (E) C'était la première fois j'avais bien décidé Une fois dedans de me retirer à temps Mais une fois chez elle On s'est bien amusé Et on a tant ri Que je n'ai pu me retirer < ... |
![]() | apothéoseRendu au point extrême où tous les sens explosent Je lui dis mon désir d'enfin la satisfaire Et en son trou offert mon sexe put s'étirer, Et je me répandis en une apothéose… | apothéose (E) Rendu au point extrême où tous les sens explosent Je lui dis mon désir d'enfin la satisfaire Et en son trou offert mon sexe put s'étirer, Et je me répandis en une apoth&ea ... |
![]() | Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer Au son de nos soupirs, et des chants des oiseaux Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés, reflétant la bougie et ses chauds rayons d'ambre Puis sur ma langue coule, échappée du foyer Ardent qui nait en toi, cette vague qui roule Jusqu'au fond de ma gorge, dont j'aime à festoyer Lorsqu'en petits sursauts ton corps sous moi s'écroule Et tu m'aspires fort et je laisse jaillir Une chaude liqueur, le fruit de mon orgasme; Sous tes baisers brûlants je me sens défaillir Sur ton corps agité de quelques derniers spasmes Djoe L'indien | (E) Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer Au son de nos soupirs, et des chants des oiseaux Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés, reflétant la bougie et ses chauds rayon ... |
![]() | elle arrive… J'y suis presque ! elle répond qu'elle aussi … Nous voici ! Dans un cri commun, l'extase nous enlace. Tu es sur moi, tu es en moi, tu m'inondes de toi. Une marée s'accumule. Elle cède et se répand. | (E) elle arrive… J'y suis presque ! elle répond qu'elle aussi … Nous voici ! Dans un cri commun, l'extase nous enlace. Tu es sur moi, tu es en moi, tu m'inondes de toi. Une maré ... |
![]() | Mon corps brûlant de désir attise mon envie de toi Entre murmure et soupir Je me blottis au creux de tes bras. Je ressens ta chaleur qui pénétre dans mon sang Je revois cette lueur Dans tes yeux que j'aime tant. Mes bras entourent ta poitrine Mes lèvres effleurent les tiennes Tout à coup je deviens félin Le désir s'infiltre dans mes veines. J'ai envie de toi, de ton corps, de ta peau, J'ai envie de goûter la saveur du plaisir Pour ce que je ressens il n'y a aucun mot Juste cet instant, ce bonheur à saisir. S'il y a un septième ciel, je l'ai trouvé Ton corps est devenu terre d'exil Où je me réfugie quand je suis égaré Ma vie, ma maison, mon jardin, mon asile... Le Chat à la Rose Bertino le Pascalois | (E) Mon corps brûlant de désir attise mon envie de toi Entre murmure et soupir Je me blottis au creux de tes bras. Je ressens ta chaleur qui pénétre dans mon sang Je revois cette lueur Dans tes yeux que ... |
![]() | lettre a mon amantChaque nuit, je me remémore chaque instant de cette apothéose. Ma douce main qui t'effleure le sexe, l'enveloppe doucement, l'enserre fermement. Ton sexe qui se glisse dans mon doux nid d'amour avec une infinie lenteur. Petit à petit, tu te fonds en moi, nos sexes à l'unisson, mon ventre qui se soulève doucement, tes yeux qui brillent de mille feux, mes contractions qui te massent. Puis, le rythme qui s'accélère, mon ventre qui t'enserre, ton souffle qui se creuse, tout mon corps qui se cambre, et mes seins qui se dressent, un long râle de plaisir qui marque ta jouissance Et le feu qui s'éteint, doucement, tandis que je me glisse sur toi. Nos lèvres qui se rejoignent, nos langues qui se confondent dans un dialogue sans bruit, parlant de plaisirs et de jouissances, de désirs renaissants... mon sexe qui suçe le tien, les doux mouvements de ma croupe, nos mouvements qui s'amplifient. Tu t'enfonces très lentement, pour remonter plus lentement encore, afin de bien sentir la houle qui me soulève, Tu te laisses emporter... tout ton corps se contracte, la vague m'étreint, tu exploses, tu jouis, un geyser jaillit, un autre lui succède, tu hurles ton plaisir, nos corps soudés au rythme de nos spasmes... longuement, nous nous embrassons. Un dernier baiser, un dernier sourire, un geste de la main... Nuit après nuit, depuis un mois, je revis cette scène, seconde par seconde: je revis l'offrande que tu me fais de ton plaisir, la folle explosion que tu me procures... Je n'en peux plus. Tendrement Ta tendre amante | lettre a mon amant (E) Chaque nuit, je me remémore chaque instant de cette apothéose. Ma douce main qui t'effleure le sexe, l'enveloppe doucement, l'enserre fermement. Ton sexe qui se glisse dans mon doux nid d'amour avec une infinie lenteur. Petit ... |
![]() | détente libératriceJe sens toujours ta longue queue, raide et bienfaisante glisser tout doucement dans mes chairs. je ressens une sensation de bien-être, de douceur et de chaleur intime, Tu t’immobilises et t'enfonce à nouveau, jusqu'au fond. délicieux envahissement et détente libératrice. Un sexe mâle est enfoncé en moi, je le sens frémir je le sens vivre dans mes chairs, c’est merveilleux. Ce sexe est délicieusement chaud et doux, il est planté en moi, immobile. J'ai l’impression d'être remplie. et je sens ton sexe, toujours enfoncé en moi, diminuer doucement de volume et ressortir lentement, liberant un flot de secretions amoureuses puis il s’échappe totalement, dans un agréable glissement mouillé, accompagné d’un torrent de son jus qui me coule délicieusement entre les fesses. | détente libératrice (E) Je sens toujours ta longue queue, raide et bienfaisante glisser tout doucement dans mes chairs. je ressens une sensation de bien-être, de douceur et de chaleur intime, Tu t’immobilises et t'enfonce à n ... |
![]() | 523290629Side view of nude sensual woman in bed | 523290629 (E) Side view of nude sensual woman in bed ... |
![]() | Je possède, en mes doigts subtils, le sens du monde Car le toucher pénètre ainsi que fait la voix; L'harmonie et le songe et la douleur profonde Frémissent longuement sur le bout de mes doigts... Et pareils à ceux-là qui viennent des voyages, Mes doigts ont parcouru d'infinis horizons. Ils ont éclairé, mieux que mes yeux, des visages, Et m'ont prophétisé d'obscures trahisons. Ils ont connu la peau subtile de la femme Et ses frissons cruels et ses parfums sournois. Chair des choses! J'ai cru parfois étreindre une âme Avec le frôlement prolongé de mes doigts... Le givre et le brouillard des pâles broderies Où les tisseuses ont tramé leurs rêveries... Parèrent savamment ta savante impudeur Et ton corps où le rut a laissé sa tiédeur. Renee Vivien | (E) Je possède, en mes doigts subtils, le sens du monde Car le toucher pénètre ainsi que fait la voix; L'harmonie et le songe et la douleur profonde Frémissent longuement sur le bout de mes doigts... ... |
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![]() | Vanessa 1Une véritable sirène, quasiment nue dans l'eau claire de la picine Elle me voit, s'accroche sur le bord, s'arrête et me nargue, cheveux bruns, des beaux seins, ronds et fermes, - Tu m'aides à remonter sur le bord ? Elle doit avoir 18 ans, une peau lisse, délicatement bronzée. Des courbes ondulantes dans les reflets liquides Je la prend par la taille elle s’élance ... mais se laisse retomber dans l’eau ... et m'entraine avec elle ... dans un grand éclat de rire Elle se raccroche à moi ... s'approche ... et tombe litteralement dans mes bras. Son visage ruisselant est à dix centimètres du mien. Nous restons immobiles une seconde. - Je m'appelle Vanessa Puis elle me roule une pele magistrale pendant au moins 2 secondes Je sens alors sa main frôler mon maillot de bain qui a doublé de volume. Elle sourit - je te fais tant d'effet ? Et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte et plaque son ventre et le frotte contre mon maillot. Elle me palpe sans pudeur mon sexe dur comme du bois - C’est pour moi tout ça ? Elle est chaude, Je bande comme un cheval, elle me pétrit à pleines mains. je n'ai qu'une hâte, celle de planter mon sexe dans son ventre. Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre. elle accélère sans cesse le rythme, Ses seins me narguent - prends les ! Je les pétris, je suçe ses pointes Avec dextérité elle sort mon sexe de mon maillot, Elle le fait glisser sur ses levres et d'un coup, je sens mon sexe aspiré dans le sien. il rentre dans son vagin, il glisse tout seul, c'est une pénétration douce. un rythme lent au début Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux, elle soupire. La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte, Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, nous voulons tous les deux jouir ensemble et sans retenue. Elle grogne, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps, J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je libére toute ma sève et lui remplit le ventre abondamment, Elle me sourit, et me précise: - Donne moi mon soutif et ma petite culotte là sur le bord. - Mon numéro de cabine: le 33, je t'attends. Et elle file. | Vanessa 1 (E) Une véritable sirène, quasiment nue dans l'eau claire de la picine Elle me voit, s'accroche sur le bord, s'arrête et me nargue, cheveux bruns, des beaux seins, ronds et fermes, - Tu m'aides à remonte ... |
![]() | Vanessa 2Je retourne à ma cabine, petite douche, et je me dirige vers la cabine 33. Je frappe. - C’est ouvert ! Entre ! J'entre et referme la porte. Elle est allongée sur son lit, complètement nue. Elle me provoque et elle réussit. La bandaison est repartie ! - Deshabille-toi ! Viens vite ! Je m'exécute et me glisse sur elle Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre et me repousse un moment pour vérifier l'état de mon désir, Mon sexe se dresse droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant. Elle le saisit, se l'enfile sans attendre. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque, je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre… lui donne une tape amicale. - Il est doué celui-là ! - Viens tout à l'heure à la cabine 34 ! Je vais te présenter ma mère ! Le temps de me rhabiller, un peu plus tard, je frappe à la cabine voisine. Je fais la connaissance de la mère de Vanessa. - Je vous laisse ! J'ai une course à faire. Et Je me retrouve seul, face à cette belle femme, | Vanessa 2 (E) Je retourne à ma cabine, petite douche, et je me dirige vers la cabine 33. Je frappe. - C’est ouvert ! Entre ! J'entre et referme la porte. Elle est allongée sur son lit, complètement nue. Elle me pr ... |
![]() | Vanessa 3La mère de Vanessa est une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité. - Ma fille m'a dit grand bien de vous, Elle me fixe, intensément, s'approche de moi - Elle m'a chargée de vérifier quelque chose avec vous ... approchez ! et elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes, - Je suis d'accord, vos lèvres sont chaudes et très douces ! Elle me regarde en souriant, ses yeux brillent avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, ses seins tremblent doucement à quelques centimètres de mes lèvres, je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle pose sa main sur la mienne comme pour m'inciter à la caresser. Elle se penche et ses seins viennent s'appuyer sur mon torse, puis elle se serre sur moi et m'enlace étroitement Je suis totalement sous son emprise. Elle semble s’en amuser. - Vous êtes bel homme. Vous êtes seduisant ! Ses seins bougent légèrement au rythme de sa respiration. Elle me provoque. Elle reste froidement devant moi poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Nous restons un long moment face à face, sans parler. - Vous regardez mes seins ? ils vous plaisent ? Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise. - Sentez, palpez-les, ils ne sont plus aussi ronds que ceux de ma fille, mais ils restent bien souples ! Je malaxe les seins en titillant les pointes. Elle gémit, s'arqueboute et m'attire vers elle. Je tente de m'échapper, mais elle me retient et se frotte franchement à moi. Elle me tire vers elle ... rapproche son visage du mien, avec toujours ce sourire gourmand, puis, passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. | Vanessa 3 (E) La mère de Vanessa est une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité. - Ma fille m'a dit grand bien de vous, Elle me fixe, intensément, s'approche de moi - El ... |
![]() | Vanessa 4- Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire ! La mère de Vanessa est en train de me pousser à bout Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Je suis en train de perdre tous mes moyens, elle le voit - J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire ! ... On ne va pas en rester là ? Et soudain ... elle passe sa main sur mon pantalon ... bien gonflé, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, puis se detache de mes lèvres et me fixe, intensément: - Je suis mure, vous aussi ? Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont bien souples. Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle me regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur son ventre, malaxant mes testicules. - Viens ! ... vite ! Elle plonge alors son regard dans mes yeux, positionne mon sexe sur le sien et se plante littéralement sur mon mat fier et droit Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin, - J'avais tant besoin d'un beau sexe d'homme dans mon ventre chaud - le tien me remplit à merveille ! Tu es bien ? Moi, je suis bien ! elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. Tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, son regard s'humidifie - Que c'est bon ! ... Donne moi tes lèvres chaudes ! je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de gémissements et de spasmes. Le climat monte et je sens vibrer mes bourses, prêtes à exploser, Je l'avertis de l'imminence de l'eruption - Vite ! Donne moi ta sève ! Maintenant ! Je suis prête ! Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, je me bloque et ... je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Elle reste allongée, toute ouverte, trempée de mon sperme La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Je me sens sans force, du liquide coule entre nos cuisses écartées, Elle se love dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi. Mon sexe glisse doucement hors d'elle. Elle ne fait rien pour me retenir. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence. - Ma fille avait raison ! Vous êtes à la hauteur ! Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives. Puis je quitte sa cabine doucement. | Vanessa 4 (E) - Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire ! La mère de Vanessa est en train de me pousser à bout Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple. Je suis en train de perdre tous mes moyens, el ... |
![]() | Vanessa 1cheveux blonds, des beaux seins, ronds et fermes, Elle doit avoir 18 ans, une peau lisse et un charmant bikini, elle est délicatement bronzée. Vanessa est dans la piscine, elle me voit, s'arrête, et me nargue, - Tu m'aides à remonter sur le bord ? Je lui tend la main. Elle s'accroche et se serre dans mes bras. Elle me pousse contre le mur de la piscine Son visage ruisselant est à dix centimètres du mien. Nous restons immobiles une seconde. je sens sa main frôler mon maillot de bain. Elle sourit - Je m'appelle Vanessa Puis elle pose ses lèvres sur les miennes. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande. Elle s'en rend compte et serre son ventre contre le mien. Elle me provoque Elle est chaude, Je bande comme un cheval. Elle repousse ses bretelles, se déhanche un peu et laisse tout glisser à terre. Elle est nue. Elle me provoque. mon érection démarre. Je n'en peux plus Elle se coule contre mon torse. Ses seins me caressent et s'écrasent sur moi. Je bande, elle le voit, elle le sent, elle me jauge - Tu es mur ! Elle me pousse derrière le bosquet, à l'abri des regards Elle m’entoure le cou de ses bras et me "roule une pelle magistrale". Elle se tortille, son corps est léger et souple, elle sent bon, Je la prend par la taille, Elle s’attaque à mon short qu’elle descend sur mes chevilles. Mon sexe se déploie d'un coup, droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant. Elle le saisit, et, avec dextérité, se l'enfile sans attendre, il glisse tout seul dans son ventre chaud, c'est sublime Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent, mon sexe coulisse avec de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe, me malaxe les couilles, bref, elle me pousse à bout Nous accélérons la cadence, Elle grogne, elle va venir… des spasmes secouent son corps, elle serre les cuisses, elle m'excite, je perds le contrôle, elle le sent, elle me pompe, le rythme s'accelere, je m'enfonce ... et me bloque, bien au fond. Explosion Le trait part ! ... je me libère en elle, sans retenue, Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien. Elle enfile sa robe, se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre… lui donne une tape amicale. - Tu t'appelle comment ? Nous nous quittons, repus. | Vanessa 1 (E) cheveux blonds, des beaux seins, ronds et fermes, Elle doit avoir 18 ans, une peau lisse et un charmant bikini, elle est délicatement bronzée. Vanessa est dans la piscine, elle me voit, s'arrête, et me nar ... |
![]() | Je me nourris de toi comme un savoureux à la crème Je suce tes lèvres que j'aime comme un délicieux sucre d'orge Je te mets en bouche au fond de ma gorge comme un abricot juteux Je te lèche, à n'en perdre peu comme de bonbons mentholés Je te goûte et te savoure, amusée. Alicia Démon | (E) Je me nourris de toi comme un savoureux à la crème Je suce tes lèvres que j'aime comme un délicieux sucre d'orge Je te mets en bouche au fond de ma gorge comme un abricot juteux Je te lèche, ... |