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mercredi 17 décembre 2025 - 09h36
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Elle vend des livres le jour


Elle vend des livres le jour. Pour le reste je l’imagine. Elle ne peut qu’être belle. Elle ne peut qu’être sauvage et vivante. Elle ne peut que vouloir mon corps. J'entre dans son magasin, me dirige vers elle et m’approche pour lui demander si elle possède intitulé «Acme book shop». Elle me sourit et m’invite à la suivre dans l’arrière boutique. Elle avance devant moi. Elle me sourit au passage, s’arrête au fond, se retourne et m’attire à elle.

Je sens ses lèvres sur les miennes, sa langue percer mon étonnement, envahir ma bouche. Je sens ce goût fabuleux du baiser. Nos salives se mélangent. La langueur de ce contact chaud et vivant dans ma bouche me perd dans une béatitude mystique. Elle a les yeux fermés, est absente, ailleurs, je ne compte plus. Ses mains appuient mon corps, frottent mon dos. Elle m’embrasse toujours, toujours absente. Ses mains cherchent, Je sens comme un soupir dans son baiser, comme la reprise d’un souffle nouveau. Mon sexe est nerveux, perd ses premiers liquides d’un désir qui ne se cache plus. Elle me sourit et cherche maintenant en me regardant droit dans les yeux la force de mon désir en ouvrant mon pantalon. Elle extrait mon sexe. Ma verge est droite, battante, brillante devant ses yeux. Elle la prends d’un main ferme la dirige contre ses petites lèvres, la fait glisser lentement. Lentement je pénètre son ventre dans un mouvement infini. Elle m'avale, lentement, imperturbablement. Elle laisse revenir un peu de ma verge, joue avec le gland entre la volupté et la fermeté. Je sais qu’elle me regarde mais je ne la vois plus, je ne suis plus que sens. Elle amplifie les mouvements. Je ne respire plus. Elle sert mes couilles, griffe les arrières. Je ne peux plus rien pour la protéger. Je sens monter une flamme qui me brûle jusque dans mes cris. Une vague puissante, profonde. L’instant est insupportable. Rempli à raz bord d’un plaisir qui attends son sort. Elle me regarde, je la regarde nous nous égarons et d’un sourire, d’un serrement, d’un geste simple, elle obtient de moi une série d’assauts liquides sans pareil. Je sens les bouffées de plaisir épaisses se décharger en elle avec une violence que je ne me connaissais pas. Je sens mon sperme comme je ne l’avais jamais senti, je vois sa couleur perle déborder. Elle avale tout mon sexe, le mange, le noie dans mon propre sperme. Je la regarde. Elle est loin. Elle se repaît de moi.

Elle se lève me regarde droit dans les yeux. Je vois les siens remplis de gratitude. Elle me donne baiser. Nous sommes sublimes dans l’ivresse de cette joie. Elle se sépare de moi me regarde et rit de notre état. Elle me prend par la main, m’emmène vers une glace. Tous les deux debout, le sexe rouge et flacide et trempé. Nous regardons le désordre de nos visages. Elle essuie ma queue, me rhabille gentiment, m’essuie, me ramène au centre du magasin, Elle est heureuse. Je la regarde.
Elle vend des livres le jour (E)
Elle vend des livres le jour. Pour le reste je l’imagine. Elle ne peut qu’être belle. Elle ne peut qu’être sauvage et vivante. Elle ne peut que vouloir mon corps. J'entre dans son magasin, me dirige vers elle ...

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cote a cote


Une belle jeune femme brune, belle, des hanches larges, des seins lourds qui se balançaient sous son corsage de soie. Elle se serra près de moi, tres pres, trop près. Nous étions silencieux. Je la vis trembler un peu. J'en profitais pour fixer sa poitrine, emprisonnée dans une fine dentelle. Une de ses mains était posée au creux de ses cuisses, tirant le tissu à l'intérieur de ses jambes et laissant surgir sa jambe nue. Troublé, je détournais le regard et essayais de cacher mon emoi.
Sa tête se tourna vers moi et elle me sourit. Mon bras gauche se retrouva autour de ses épaules. Petit à petit ma main se posa naturellement à la naissance de son sein gauche. Je ne bougeais plus, rouge d'audace, je gardais les yeux fermés. Elle ne réagissait pas. Juste un soupir. Je sentis alors nettement sa main se poser sur ma cuisse. Ses doigt effleurent mon pantalon ... déformé. Je ne bouge pas. Cinq minutes se passent. Je bouge ma main qui affleure le haut d'un sein. Et je m'immobilise, feignant de dormir. Au bout de quelques minutes je sens sa main qui s'avance et couvre complètement la bosse de mon pantalon. Je ne sais plus ou me mettre ! Ma main glisse naturellement sous la dentelle de son soutien gorge et petit à petit, englobe la totalité de sons sein . Sa peau est chaude et d'une douceur délicieuse Sa main me caresse toujours ma bosse et commence un très léger massage. Elle serre doucement la base de mon sexe, ce qui achève de le tendre et le grossir. Mon sexe est maintenant presque entièrement dans sa main, Elle commence à pousser de petits gémissements étouffés . Son corps commence à remuer doucement. Je ne bouge toujours pas. Je sens qu'elle s'abandonne. Je glisse une main sur sa jambe, doucement je remonte le tissu de sa robe. Elle soupire. j'atteints la peau douce de ses cuisses chaudes, j'entends sa respiration
je remonte ma main un peu plus loin dans un environnement chaud. Elle resserre ses jambes sur ma main ... puis les écarte de nouveau, un peu plus. J'atteinds le fond. Elle n'a pas de culotte ! Elle est trempée ! Sa vulve est ouverte et glissante ! Je glisse un doigt dans la fente, puis deux, Sa respiration s'accelere ! J'entame un va et viens profond. Elle gémit ! j'entends un bruit de ventouse au moment ou ma main sort d'entre ses lèvres intimes. elle s'active alors sur mon sexe et entame une longue masturbation de haut en bas. Je n'y tiens plus, je décide de bouger ma main pour la plaquer brutalement sur sa vulve. Elle s'immobilise un instant mais reste en place. Elle resserre sa main autour de mon sexe et reprend sa vigoureuse masturbation.
Je sens que je vais éclater. Elle le comprend, me lance un regard vitreux, accélère son mouvement pendant que je caresse ses cheveux. Sans un bruit ... je lâche tout ... d'un coup ... plusieurs long jets de semence giclent dans sa main. Elle cesse ses mouvement ... Elle râle d'une voix légèrement rauque. Elle jouit de chaque trait. Enfin elle leve sa tete et tend son visage vers moi, complètement hagard, abandonné je sens son haleine chaude, je vois son regard, presque fou, halluciné. Son coeur bat à tout rompre. Je me reboutonne prestement pendant qu'elle se détourne. Elle s'est allongé de l'autre cote et n'a plus bougé jusqu'à la fin de la soirée. Nous n'avons échangé aucun mot.
cote a cote (E)
Une belle jeune femme brune, belle, des hanches larges, des seins lourds qui se balançaient sous son corsage de soie. Elle se serra près de moi, tres pres, trop près. Nous étions silencieux. Je la vis trembler un ...

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troublant objet de chair pâle


Ton sexe est la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caresse, infiniment lentement, et je le sens grandir, durcir et s'allonger sous mes caresses. Douce sensation, trouble émotion. Je cueille au creux de ma paume ta bourse tiède, la soupese, tendrement, délicatement. Je sens ton beau sexe mâle vivre et palpiter, les veines gonflées. L'envie de le prendre en moi, est de plus en plus forte.
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Douce main de femme qui va, qui vient, fureteuse et imprévisible. va droit au but et me fait rendre gorge. Mon sexe est noué comme un ceps de vigne, sec et douloureux. Dans ta main, douce et attentive, je bande comme un arc, de la tête à la racine. Tu devines mes désirs, m'entoure de ta langue veloutée d'un côté et rugueuse de l'autre. Tu passes et repasses, inlassablement, tu accélères en un tourbillon furieux, ou ralentit pour me faire languir. Quand pourrai-je de nouveau déguster ces arômes de miel et de fleur ?


troublant objet de chair pâle (E)
Ton sexe est la, près de moi, abandonné à mes mains, en son état de nature, troublant objet de chair pâle, frémissante, fraîche et tendre. Je le caresse, infiniment lentement, et je le sens gra ...

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adultere


Dans ma chambre vous vous êtes allongée,
puis m'avez prié de tirer votre robe.
Vous avez ensuite oté vos bas
qui, posés sur la chaise, semblent indiquer l'heure,
l'heure de prendre nos aises
et donc, sans plus tarder, de nous aimer
De mes mains caressant votre corps,
ôtant vos appâts, de mes douces bêtises,
glissant sans un effort au goût de friandise,
laissez vous donc guider,
que vos pensées s'envolent,
et que vos sens s'affolent,
laissez les gambader entre mes bras frivoles
Votre robe tombe à terre
dévoilant la douceur de vos appas charmeurs.
Je ne puis que me taire devant telle splendeur !
Mes lèvres vous embrassent, goûtent votre parfum,
plongent dans le ravin qui, entre vos deux seins,
passe pour apaiser ma faim.
Sur vos grains de beauté, ma langue se promène
découvrant ces domaines
que vous gardiez voilés sous un châle de laine.
Je découvre vos courbes en les suivants des doigts,
je poursuis sur vos bras
que mes baisers recouvrent sous le jour qui décroit.
A genoux je descends et ma bouche vous baise,
créant des frissons d'aise
que mes doigts indécents en aucun cas n'apaisent...
Je sens naître le feu sous ma langue brûlante,
vos cuisses flageolantes
sonnent comme l'aveu de l'envie de la fente.
Je descends prestement
à votre amphithéâtre et sa saveur douceâtre,
je goûte goulument pour attiser cet âtre.
Je l'entends qui murmure mille de vos désirs.
Je vois la fleur rosir,
relâcher son armure sous vos premiers soupirs.
Dans la raies de vos fesses Je fais glisser deux doigts
qui rejoignent là-bas ma langue et ses caresses
pour quelques jeux à trois.
Vos cuisses se desserrent
pour m'accorder l'accès à votre intimité.
Mes mains comme des serres
s'accrochent au fessier pour ne plus le lâcher
jusqu'à ce que mes lèvres sentent couler la sève
d'un plaisirs déniché au fin fond de vos rêves...
adultere (E)
Dans ma chambre vous vous êtes allongée,
puis m'avez prié de tirer votre robe.
Vous avez ensuite oté vos bas
qui, posés sur la chaise, semblent indiquer l'heure,
l'heure de prendre nos a ...

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intens


Elle me caressa la nuque et les cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains et l'embrassai à pleine bouche mêlant nos salives. Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. Elle se blottit contre moi. Elle redressa le buste, la poitrine en avant. Son sein lourd gonflait le léger tissu blanc et soyeux.
j'ai posé ma main sur le sein le plus proche. Je me suis mis à le palper doucement. Puis je glissais un doigt entre deux boutons du chemisier pour toucher la peau satinée de son sein. Je déboutonnais les trois premiers boutons.J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Ma bouche s'est emparée de ce fruit mur. Je l'ai sucé, aspiré. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. J'ai écarté l'autre pan du chemisier. Mon sexe bouillait. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive. Manifestement excitée elle m'interpella,
- partons d'ici, et allons dans ma chambre
Nous montames rapidement les escaliers. Après cette explosion des sens, nous nous sommes allongés sur le lit l'un contre l'autre. ses cuisses étaient écartées. Son entrejambe apparut. Une culotte en satin blanc ornait son bas ventre. Elle glissa une main entre ses cuisses et du bout des doigts, sous mes yeux, elle se caressa à travers l'étoffe.
- Lucien ! ... J'ai envie de vous !
Je la regardais, presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le visage rayonnant. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde. Je lui palpais les deux seins presque sans ménagement.
- ça va ?
- pfou, c'est fou ce que j'ai envie !
Elle commença à onduler son bassin. Ses seins ballottaient librement sous la soie blanche juste sous mes yeux. Elle s'appuya sur mes épaules. Je la saisis par les hanches. Je déboutonnais son chemisier pour voir ses seins lourds bouger en cadence. Je gobais un mamelon pour le sucer goulûment. C'était l'extase. Le desir progressivement montait dans ma tige en feu. Je n'en pouvais plus. Lentement, elle prit mon visage, l'amena à ses levres et déposa un puissant baiser. nos langues s'entremêlèrent dans un délicieux ballet. Elle me regardait intensément l’air grave. Ses yeux clairs plongeaient dans les miens. Sa bouche était entrouverte. J’ai approché mon visage et nos lèvres se sont une nouvelle fois unies. Ma langue se mit à fouiller sa bouche. Je fis durer le baiser très longuement. Ma main massait son ventre à travers la soie. Parfois, mes doigts effleuraient juste la base des seins. Ils se faisaient plus aventureux et je me permis de lui palper doucement tout un globe. son sein durcissait sous ma paume. ma palpation se fit plus entreprenante. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. J’ai senti sa main caresser mes cheveux. Elle était conquise. Nous nous sommes embrassés de nouveau. Cette fois ma main se posa sur son genou. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais vers son entrejambe. J’ai tiré un peu plus la jupe vers son ventre et j’ai découvert une culotte ravissante : Elle écarta encore les cuisses et je pus distinguer ses lèvres déjà humides de son jus intime. J’ai alors passé deux doigts sur sa fente ruisselante. Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. Elle était si excitée qu’à chaque attouchement, son corps réagissait. Je me suis déplacé entre ses cuisses. je reprenais les douces caresses pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis devenir comme folle, elle ne contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva sur le canapé et un cri rauque jaillit bruyamment du plus profond de son être. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle s’est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé et déformant mon pantalon frottait contre sa vulve chaude.
- ça va ?
- pfouh oui, je suis sur un nuage
mon sexe compressé contre son ventre. elle luisait de son jus et ses lèvres intimes étaient toutes ouvertes. Je pris ma queue et je caressais sa fente avec mon gland. Elle soupirait les yeux fermés Sans précipitation je la pénétrai. Ses chairs laissèrent entrer mon sexe sans contrainte. Je me plantais litteralement en elle. Nous nous regardions l'un l'autre. Elle grimaçait. Je commencais à coulisser en cadence. Je caressais ses flancs. Mes mains s'avancèrent jusqu'à ses seins pour les palper sur ses vêtements. Je me suis arrêté de la baiser pour déboutonner la veste et palper ses seins sur la soie. Elle fermait les yeux en gémissant à chaque retour de ma verge dans son fourreau. Je m'agrippais à ses hanches. Je ressentais son plaisir monter. Le mien aussi. Son vagin se contracta et des spasmes formidables soulevèrent son corps. Je continuais mon va et vient. J'ai rugi très fort et j'ai giclé en elle.
intens (E)
Elle me caressa la nuque et les cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains et l'embrassai à pleine bouche mêlant nos salives. Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. Elle s ...

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Premiers contacts


Premiers contacts entre nos corps. Premières chaleurs de toi. Nos visages se rapprochent. Tu es si proche, Je te respire. Déshabillons nous vite. J'en frémis. Enfonce toi bien en moi, Glisse bien dans mon ventre, je ferme les yeux. Je me détends. Je te sens, je m’abandonne à toi, liquide, légère. Sens ma chaleur humide, mon envie de toi, mon désir de toi, mon goût du vertige, continue, poursuis ton voyage en moi, explore moi, profondément. Les yeux fermés, goute mes succions intimes, les douces contractions qui enserrent ton sexe. Tes muscles se tendent, se raidissent.
Ne te retiens plus ! Vide ta joie en moi ... Oui ! ... Comme ça ! Souris moi ! Et donne moi tes lèvres.
Premiers contacts (E)
Premiers contacts entre nos corps. Premières chaleurs de toi. Nos visages se rapprochent. Tu es si proche, Je te respire. Déshabillons nous vite. J'en frémis. Enfonce toi bien en moi, Glisse bien dans mon ventre, je fer ...

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pénétration douce


Je sens son sexe dur, je l'aspire dans le mien. C'est une pénétration douce. un rythme lent au début. Il s'enfonce un peu plus. Je m'offre totalement, les jambes bien écartées.
Il commence à bouger en moi, lentement, se retire, legerement, son gland caresse le pourtour de ma vulve,
puis il me pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de son sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux. Je soupire, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte,
pénétration douce (E)
Je sens son sexe dur, je l'aspire dans le mien. C'est une pénétration douce. un rythme lent au début. Il s'enfonce un peu plus. Je m'offre totalement, les jambes bien écartées.
Il commence à bo ...

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Sa peau est douce et chaude sous mes doigts, ses jambes écartées accueillent mon corps, mon sexe frole le sien. elle mouille ! elle m'attend. Elle ne bouge plus, ses yeux ouverts fixent le plafond. Je la pénètre avec douceur, elle me reçoit tendrement. Je glisse en elle avec délice, je vais et je viens, doucement, amplement. Je la pénétre à fond, c'est chaud ... Je ressors, je reviens, plus profondement. Je touche le fond, mes bourses touchent sa peau, elle me serre dans ses bras et gémit doucement. Ses muscles intimes me serrent. Bien enfoncé en elle, je glisse dans son ventre, elle jouit ! et ... je viens ! je jouis plus fort que jamais, j'inonde son intérieur. Elle émet un autre gémissement. Pendant cinq minutes, nous sommes compressés l'un contre l'autre, moi au plus profond d'elle et elle autour de moi. Nous nous parlons, en même temps, décrivant à l'autre des choses que nous n'avions jamais senti.
Je m'endors en elle, c'est magique. Nous avons fait l'amour avec douceur et joui tout les deux à l'unisson.

(E)
Sa peau est douce et chaude sous mes doigts, ses jambes écartées accueillent mon corps, mon sexe frole le sien. elle mouille ! elle m'attend. Elle ne bouge plus, ses yeux ouverts fixent le plafond. Je la pénètre ...

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penetrations



Je la pénètre doucement, lentement, ses chairs se distendent. Je la tiens par les hanches. Elle m'accueille en elle. Elle remue, m'aspire. Elle me sent, m'accompagne. Je la fouille, la remplis. Elle découvre de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de ses reins. La sensation est diffuse, elle se propage, s’éteint, renaît. Je la sens comblée, remplie de moi. Je colle mon ventre contre le sien, nous sommes completement emboités l'un dans l'autre. je reprends mes mouvements ... Je glisse doucement en elle, ses seins ballottent . Elle mordille l'oreiller... Je vais et je viens, entrant et sortant de toute la longueur de mon membre. la caresse est douce et sensuelle. Chaque plongée lui arrache quelques larmes. La tension va s’amplifiant. elle me sent gonfler et grandir en elle. Elle frissonne, tremble.... Tout son corps se met à vibrer à chaque penetration. Elle gemit ... de plus en plus fort ...

Je la pénètre ou elle me prend. Elle est suave, onctueuse, moelleuse. Un paradis de douceur me cerne, ferme, élastique, étroit. Elle s’ouvre et me dévore. La sensation est délicieuse. Je suis en elle, au plus profond d’elle. Je sens la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartiens à ses entrailles, je fais partie d’elle, je l’habite. Tout disparaît, je suis dans un autre univers, plus rien ne compte que cette douce sensation à l’extrémité de mon être, Elle bouge lentement, d’avant en arrière, d’arrière en avant, se frotte, masse ses parois intimes contre mon gland. Tête rejetée en arrière, elle se mord la lèvre sous l’effet des sensations qu’elle fait naître. elle se soulève, cambre les reins, me suce, me roule et me déroule, se laisse retomber. Elle bouge, portée par une houle invisible, de plus en plus creuse, de plus en plus profonde. Au sommet de la vague, elle plonge avec avidité pour à nouveau s’emplir. L’ascension est plus lente, elle reflue à regret pour mieux me sentir revenir. Elle module le rythme, s’arrête, repart, me quitte presque pour se combler à nouveau. Elle glisse sur mon mat, légère, agile, elle ondule fluide, féline comme une panthère. Elle jouit de mon corps... Elle va jouir de moi. Elle remue, imperceptiblement, ouvre les yeux, cherche les miens. Un sourire de bonheur éclaire son visage. Elle me serre de sa bouche amoureuse, juteuse comme une mangue. Elle est à moi, je la garde...

Je m'enfonce ... doucement. Je l'entends soupirer. Lente pénetration. Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, Je glisse en elle avec volupté. Je sens un corps onctueux. Une vague nous inonde. J'explore un univers intime, chaud, humide. Je sens ses transformations internes. Son corps est parcouru de frissons. Elle cambre délicieusement ses reins, son corps se détend, s'ouvre. Elle s'abandonne. Elle se livre totalement au plaisir qui, au fur et à mesure, la gagne toute entière. Je remue et glisse dans ses chairs. Sa respiration se fait plus bruyante, elle gémit doucement. Je m'enfonce en elle encore et encore, je glisse avec délice. Elle gémit de plus en plus fort. Je donne et je donne. Puis je me retire, doucement, Elle semble reprendre sa respiration, inspire un grand coup. Elle me regarde, les yeux brillants, se mordille la lèvre inférieure, me supplie de revenir Je m'etend sur le dos, elle vient sur moi et s'empale. Je m'enfonce en elle, une vague de chaleur m'envahit. Ses yeux ne quittent pas les miens. Je la vois monter et descendre très lentement. Elle prend son plaisir, se fait coulisser doucement, Elle ferme ses yeux, se mord la lèvre, remue ses hanches, plus vite, Je m'enfonce maintenant au plus profond d'elle. Je sens ses cuisses trembler, se contracter. Elle vient de jouir. Ses mains caressent ma poitrine. Les miennes malaxent ses seins, tendrement. Elle est nue, belle et splendide Elle s'allonge sur le lit, sur le ventre, et ecarte les jambes. Elle s'offre à moi. Je m'approche de nouveau, et je m'enfonce en elle. Elle referme ses jambes une fois que je suis en elle. Je me sens bien, confiné dans cet endroit intime. Je vais lentement. Je m'enfonce plus profondemment et j'accélère le rythme petit à petit, je la sens venir. Je me sens venir aussi. Ma respiration s'accélère, mon rythme aussi, je me défonce. Je sors et rentre ... tout au fond... Je donne... J'accelère, l'orgasme est bientot là, je ralentis et donne de l'ampleur à mes coups de reins. Je vais plus au fond, encore, encore, encore... Et je lâche.

je glisse entre ses cuisses, à l’intérieur de son corps de femme. Elle me guide et m'adresse un sourire rempli de gratitude Nous nous embrassons amoureusement, tendrement. J'harmonise mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement est lent, puissant, profond, son bassin glisse de quelques centimètres ses muscles intimes m'emprisonnent encore plus étroitement. Elle me caresse les cheveux et le visage et me murmure à l’oreille
- Oh oui … c’est bon ! .. Vas-y doucement ... c’est bon de te sentir en moi, continue …
elle me tranquillise par des gestes et paroles. je la pénétre avec douceur, savourant la progression de mon membre dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahit, Elle remue pour bien me sentir contre ses parois intimes. C'est chaud, c'est doux, c'est mouillé et terriblement agréable. Je sens les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remue légèrement son bassin. Elle se releve, fait legerement bouger son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’est plus le même. Il est plus étroit, plus intime, plus englobant. je me mets à la caresser, massant ses seins et les malaxant à deux mains tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se met à émettre de petits cris et halètements qui soulignent son plaisir, son corps se tend sous mes caresses, je sens mon sexe s'allonger en elle et gonfler de desir. sa poitrine se souleve au rythme de sa respiration. elle ouvre encore plus ses cuisses, je fais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée,

Je sens mon sexe aspiré par une chair brûlante et innondée. c'est une pénétration ample et suave.
un rythme lent au début pour nous permettre de savourer notre plaisir.
Je m'enfonce plus profondemment. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées.
Je me sens bien, confiné dans cet endroit intime. savourant cet instant où nous ne faisons plus qu'un.
Je commence à bouger en elle, lentement, et, au meme moment, je lui prodigue de mes levres un profond baiser,
Je capture sa langue, la maîtrise, elle roule la sienne autour. Puis je la laisse respirer.
C'est elle maintenant qui ouvre une bouche gourmande en signe d'appel.
Les langues se rejoignent, se renouent, les sexes se pénètrent de nouveau.
Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve,
puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon muscle,
Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux, elle soupire.
La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte,

La pénétration ample de mon membre la comblait, c'était un véritable envahissement. inondée de ses propres sécrétions, la penetration se fit facilement. Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule. Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux, Je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Ses râles augmentaient en intensité. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux, coulissait profondément dans le vagin, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Mon penis était complètement enserré dans son ventre chaud. Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques. Elle était en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice.

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[andr]
je sens mon sexe aspiré, entrer dans le sien, glisser dans sa douce moiteur. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un grand soupir, me regarde avec des yeux troubles Je m'enfonce, je glisse lentement dans son ventre chaud. Je me sens aspiré. Je la penetre profondemment, en de lents mouvements. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps. Je coulisse en elle Elle sent les reliefs noueux qui glissent dans son ventre. Elle se fait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massent delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçe, se remplit de moi. Elle m’aspire, m’absorbe, me relâche.

un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle se donne du plaisir, je gémis de bonheur. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Elle sourit. Elle s'empale doucement, interminablement, en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle ralentit sa descente, me regarde jouir, la reprend. Ces lentes pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorbe toute la longueur de mon membre, le voilà maintenant enveloppé d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Claire savoure ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon pieu qui la pénètre profondément. Ses mouvements déplacent mon sexe dans son ventre. Elle se redresse, nouvelle sensation. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, je sens ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaisse rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant.







Nous sommes maintenant littéralement collés l'un contre l'autre sous la douche,J'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. Il avait touché un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait passé un doigt sur ma vulve, et penetra mon intimité.
- Oh mon chéri !
il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, J'étais tellement excitée que je gémissais très fort. Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alorsqu'il commença à pousser en moi le gland.
- Mon amour ! Il est énorme ! Tu m'excites !
- Noo... oui ! ... comme çà ! .... c'est bon !
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas !
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble Quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le plus bel orgasme de ces derniers mois, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Je gémissais pendant qu'il coulissait au fond de moi. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi.
C'est alors que je l'ai senti .... Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois tétanisée et au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouissait avec tant de force que je pouvais ressentir chaque giclée contre mon col d'utérus.
- Oh Mon Dieu ... je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi...
- tu me remplis .... tu m'envahis .... Que c'est bon !! ".
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps.

Je restais là, affaissée contre lui comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Son sexe était encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement, mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement.
mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons.

Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- Je sens que je vais venir ... encore !
- Restes à l'intérieur de moi,
- je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance Le resultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au fond de moi et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.

Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison trempée, était entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me detacher un peu de lui, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds Il retira doucement son sexe merveilleusement gluant de ma vulve ramolliedans un delicieux bruit de succion
penetrations (E)

Je la pénètre doucement, lentement, ses chairs se distendent. Je la tiens par les hanches. Elle m'accueille en elle. Elle remue, m'aspire. Elle me sent, m'accompagne. Je la fouille, la remplis. Elle découvre de nou ...

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deux soupirs de plaisir


je la pénétrais ... doucement, glissant avec facilité en elle. Nos deux soupirs de plaisir se mêlèrent, s'élevant de ce grand canapé au milieu de l'appartement silencieux. Nos deux corps commencèrent à onduler, ne faisant plus qu'un. J'étais submergé par des vagues de jouissance successives, nos deux regards ne se quittaient plus. Je voyais des larmes couler doucement le long de ses joues. Elle me chuchotait d'une voix à peine perceptible, un suite de mots tendres, l'excitation montait, nos mouvements s'amplifiaient, s'acceleraient,
Elle fut seccouée de spasmes, provoquant du meme coup ma jouissance. Mon corps se contracta d'un seul coup, et le flot de ma semence se répandit en elle. Je m'allongais alors à ses côtés, caressant doucement ses cheveux, et profitant du bien être qui m'avait envahi. Elle se tourna vers moi, les cheveux en désordre, les yeux brillants, et le visage légèrement empourpré. Elle souriait ...
deux soupirs de plaisir (E)
je la pénétrais ... doucement, glissant avec facilité en elle. Nos deux soupirs de plaisir se mêlèrent, s'élevant de ce grand canapé au milieu de l'appartement silencieux. Nos deux corps comme ...

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tendres mouvements


je me glisse entre ses cuisses, et mon sexe est immédiatement aspiré à l’intérieur de son corps de femme. Elle m'adresse un sourire rempli de gratitude Nous nous embrassons amoureusement, tendrement. J'harmonise mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement est lent, puissant, profond, son bassin glisse de quelques centimètres ses muscles intimes m'emprisonnent encore plus étroitement. Elle me caresse les cheveux et le visage et me murmure à l’oreille
- Oh oui … comme c’est bon ! .. c’est bon de te sentir en moi, continue …
elle me tranquillise par des gestes et paroles. je la pénétre avec douceur, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahit, Elle remue pour bien me sentir contre ses parois intimes. C'est chaud, c'est doux, c'est mouillé et terriblement agréable. Je sens les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remue légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’est plus le même. Il est plus étroit, plus intime, plus englobant. je me mets à la caresser, massant ses seins et les malaxant à deux mains tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se met à émettre de petits cris et halètements qui soulignent son plaisir, Son corps se tend sous mes caresses, je sens mon sexe s'allonger en elle. sa poitrine se souleve au rythme de sa respiration. elle ouvre encore plus ses cuisses, je fais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée,
tendres mouvements (E)
je me glisse entre ses cuisses, et mon sexe est immédiatement aspiré à l’intérieur de son corps de femme. Elle m'adresse un sourire rempli de gratitude Nous nous embrassons amoureusement, tendrement. J'harm ...

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Des voiles se referment


Des voiles se referment, la tension se relâche,
ma chaleur humide s’épanche de son corps.
Sa respiration se fait profonde, le calme revient...
Progressivement, tout retombe...
Je reste planté en elle, immobile ...
Une lourdeur pesante envahit ses membres.
Une paix profonde nous gagne,
toute de quiétude et de sérénité...
nos corps sont repus...
Des voiles se referment (E)
Des voiles se referment, la tension se relâche,
ma chaleur humide s’épanche de son corps.
Sa respiration se fait profonde, le calme revient...
Progressivement, tout retombe...
Je reste planté en ...

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après la tourmente


La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Elle se sent sans force, elle pleure doucement. Elle reste là, les cuisses ouvertes, béante. L’air sur sa toison humide lui donne le frisson.
après la tourmente (E)
La tourmente fait place à un calme absolu, à une détente totale. Elle se sent sans force, elle pleure doucement. Elle reste là, les cuisses ouvertes, béante. L’air sur sa toison humide lui donne le f ...

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J'étais chaude et mouillée


J'étais chaude et mouillée. Je le sentis alors s'enfoncer en moi. Lentement, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir.
Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi,dans un bruit de succion, liberant un flot de semence . Il tomba a genou, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.
J'étais chaude et mouillée (E)
J'étais chaude et mouillée. Je le sentis alors s'enfoncer en moi. Lentement, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’ ...

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Une impression de chaleur et de douceur


Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité. Sa langue mouillée, brillante de salive, se mit à caresser ma verge congestionnée, ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutirent progressivement la totalité de mon sexe bandé, désormais aspiré dans une cavité chaude et humide, Elle resta ainsi un moment, me faisant sentir son souffle chaud, puis elle referma les lèvres à la base de mon gland. Je sentis alors sa langue s'activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de désir. Mon sexe s'engouffrait dans sa bouche, toujours plus profond. Une fois au fond, elle lâcha son étreinte buccale. un moment, j'avais l'impression que plusieurs langues et plusieurs bouches s'affairaient pour me faire jouir. Tout tournait autour de moi, Des petits bruits humides sortaient de sa bouche, qui comme une lionne dévorant sa proie, se régalait de ma verge. Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts la consistance de mon penis. Ses mains étaient d'une extrême douceur, et d'une fraîcheur surprenante. Ce massage divin eut des conséquences prévisibles : je libérais peu à peu du liquide pré séminal, Elle continua son massage pendant quelques minutes Mon sexe était gonflé comme jamais. Penchée vers mon penis qu'elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu'elle faisait. Elle s'attardait toujours sur le gland, provoquant des gémissements que j'avais du mal à retenir. Puis doucement, elle descendit encore et je me sentais englouti comme jamais. Les abîmes dans lesquelles elle me plongeait étaient nouveaux pour moi. Elle allait et venait avec sa bouche pendant que sa main chaude me caressait les bourses. Ma main se faisait de plus en plus présente sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains.
Mes doigts avaient repoussé sa fine culotte, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s'ouvrait. La situation l'avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, facilitant le glissement de mes doigts. Ma caresse avait du déclencher une vague de plaisir chez elle. Je sentis ses globes fessiers se contracter. Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m'aspirer, Je sentais ma sève monter progressivement. Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son œuvre.
Cela ne tarda pas. J'explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d'une femme. Les deux premiers jets jaillirent entre ses lèvres et elle aspira toute la jouissance qui continuait à s'échapper. Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l'instant présent.
Une impression de chaleur et de douceur (E)
Une impression de chaleur et de douceur me coupa de la réalité. Sa langue mouillée, brillante de salive, se mit à caresser ma verge congestionnée, ses lèvres s'entrouvrirent un peu plus et engloutir ...

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fièvres (Cyr)


elle s'approche sourire aux lèvres et dégraffe bien vite son corsage gonflé de fièvres... Ses petits seins blancs, surgissent, muets de désir, dans un beau maintien que nous contemplons sans mot dire. Elle semble avoir la trentaine et sans nul doute un côté lesbienne vu ses oeillades répétées sur tes courbes et trésors exposés. D'un geste de la main je l'invite à se joindre à nos corps allongés pour ensuite bien vite finir par la déshabiller... Elle pose en douceur son corps prometteur. Près de nous deux pour commencer un nouveau jeu qui se joue à trois, deux femmes pour toi mon roi. Un bref regard entre elle et moi pour se mettre d'accord. On s'approche alors de toi pour un nouveau corps à corps devant ton corps allongé. On s'avance lentement, provocant ton membre
Je couche alors mes lèvres sur ta bouche pour un baiser et glisse ma langue, tandis que mes mains se font tendres, elles glissent sur ton cou, puis ta poitrine pendant que la très belle femme se penche sur ta grande et appétissante épine pour la mettre dans sa bouche et réveiller ta flamme Mais voilà je suis un peu jalouse Alors je m'en vais l'aider, marchant en position féline sur la pelouse pour me placer entre tes cuisses mon bien aimé. Je me met à caresser tes bourses à nouveau pleines Je les trouve très provocantes. Je dirai même qu'elles me tentent. Alors je les lèche et les suce sans peine. Que j'aime tes lèvres pulpeuses qui gobent mes pleines bourses
et ta langue qui suit sa course sur leur peau douce et crémeuse. Et je fonds aussi dans la bouche de notre invitée si peu farouche, tant elle s'applique sur mon dard pour en éprouver la dureté rare. A l'attention de notre hôtesse, je m'exclame à la ronde :
- viens me montrer ô princesse ton joli cul de blonde !
Joignant le geste à ma parole, ses cuisses s'écartent en parabole et présentent à ma bouche assoiffée son sexe humide aux parures de blé. De la pointe de la langue j'ouvre sa vulve délicate : une saveur de ginseng envahi mon palais, y éclate ! Et de ma zone génitale sourd un plaisir indicible : mais ô combien visible, dressé à la verticale, entre vos caresses buccales savament animales, mêlant vos chaudes langues contre ma chair exsangue.
fièvres (Cyr) (E)
elle s'approche sourire aux lèvres et dégraffe bien vite son corsage gonflé de fièvres... Ses petits seins blancs, surgissent, muets de désir, dans un beau maintien que nous contemplons sans mot dire. Elle ...

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Les amours (Aragon)


Que ce soit dimanche ou lundi
Soir ou matin, minuit, midi
Dans l'enfer ou le paradis
Les amours aux amours ressemblent
C'était hier que je vous ai dis
Nous dormirons ensemble

C'était hier et c'est demain
Je n'ai plus que vous de chemin
J'ai mis mon coeur entre vos mains
Avec le votre comme il va l'amble
Tout ce qu'il a de temps humain
Nous dormirons ensemble

Mon amour ce qui fut sera
Le ciel est sur nous comme un drap
J'ai refermé sur vous mes bras
Et tant je vous aime que j'en tremble
Aussi longtemps que vous voudrez
Nous dormirons ensemble

Louis Aragon
Les amours (Aragon) (E)
Que ce soit dimanche ou lundi
Soir ou matin, minuit, midi
Dans l'enfer ou le paradis
Les amours aux amours ressemblent
C'était hier que je vous ai dis
Nous dormirons ensemble

C'était hier et c'est ...

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Vivian et Tom


Viviane était accoudée au balcon de la chambre lorsqu'elle sentit Tom s'approcher d'elle, passer ses mains autour de sa taille, la serrant tendrement contre lui. Elle se laissa aller contre son torse musclé et se laissa enlacer doucement. Quand elle sentit les lèvres de Tom sur sa nuque, elle ferma les yeux et soupira. Il embrassait si bien... et ses lèvres, c'était tellement doux... Il continua un instant ses tendres baisers, puis se fit plus entreprenant, Il l'embrassa avec une passion qu'elle ne lui connaissait pas. Une lueur étrange brillait dans les yeux de Viviane. Elle se rapprocha de lui, sentant son souffle sur ses lèvres nacrées :
- Je voudrais que... que tu ailles plus loin... que tu ne t'arretes pas
Tom la prit dans ses bras et l'embrassa passionnément, glissant sa langue dans sa bouche.
- Je t'aime, murmura-t-il.
- Moi aussi, répondit-elle avec douceur.
Il commença à lui caresser sensuellement les hanches sans cesser de la regarder d'un air charmeur. Elle se laissa aller à la sensation de bien-être qu'elle ressentait et bientôt, enivrée de bonheur, ce fut comme si un feu d'artifice explosait dans sa poitrine. Un vague de désir la submergea de plein fouet, lui coupant le souffle. Elle avait envie de Tom. N'y tenant plus, elle le plaqua contre le mur, à côté de la porte ouverte de la chambre. Elle l'embrassa langoureusement en pressant son corps contre le sien. Elle sentit, contre son bas-ventre, que Tom était aussi ardent qu'elle. Elle enfouit la tête dans le cou de l'homme pendant que ses mains s'aventuraient vers ses fesses. Puis elle commença à onduler des hanches, lentement, avec sensualité...
- Tom ! J'ai envie de toi ! ... Tu veux bien... ?
Tom la fixa longuement, sentant le désir enfler de plus en plus jusqu'à devenir insupportable. Elle se pressa à nouveau contre lui, jouant avec le bouton de son pantalon, et il sut qu'il ne pourrait pas résister plus longtemps à la tentation. Il la serra plus fort contre lui, voulant la sentir toute entière à ses côtés. Il glissa une main vers la poignée de la porte de sa chambre et la ferma derriere lui d'un geste.
Viviane s'abandonna alors complètement à son étreinte, le désir se faisant chaque instant plus intense. Elle rejeta la tête en arrière, se laissant aller et offrant sa nuque aux baisers de son amant. Il posa ses lèvres à la base de son cou, la faisant frissonner de plaisir et d'anticipation. une bouffée d'impatience et d'amour se répandit en elle comme une traînée de poudre. Ses mains se promenaient sur le dos de Tom, le serrant contre elle, cherchant à le sentir davantage. Tom remonta le long de sa gorge et embrassa à nouveau sauvagement sa bouche impatiente. C'en était trop pour elle. Elle en voulait plus, ce n'était pas suffisant...Toujours plaquée contre le mur de la chambre, soupirant sous les caresses et les embrassades de Tom, Vivyan s'attaqua alors aux boutons de sa chemise, les défaisant un à un. Tom se détacha délicatement de l'étreinte de la jeune femme, fit passer le vêtement au-dessus de sa tête sans laisser le temps à son amante de finir ce qu'elle avait commencé, et envoya la chemise au sol. Il était torse nu, à présent. Il se rapprocha alors de Vivyan qui passa ses bras autours de son cou musclé, et ses doigts se posèrent enfin sur la fermeture de sa robe rouge. Délicatement, sans se presser, il ouvrit la fermeture, sans pour autant enlever la robe des épaules de Vivyan. Tom passa alors une de ses mains sous le tissu de la robe et commença à caresser le ventre de Vivyan. Celle-ci ferma les yeux pour mieux se concentrer sur ce massage, sentant les doigts de son aimé sur sa peau mise à nu. Tom, n'en pouvant plus, fit glisser les bretelles de la robe sur les épaules de son amante. L'habit glissa au sol sans un bruit et il put enfin contempler la jeune femme face à lui.

Elle portait un ensemble de dentelle: soutien-gorge à large décolleté qui mettait en valeur sa poitrine généreuse. La taille souple et mince, les hanches légèrement courbes et les rondeurs de ses cuisses rappelaient les sculptures de jadis. Et, avec son expression qui reflétait à la fois l'innocence et le Désir, elle parvint à enflammer le cœur déjà fou amoureux de Tom. Elle lui adressa un sourire si tendre, si doux qu'il ne put résister davantage à la passion qui le dévorait. Tom prit Vivyan par la taille, savourant le contact de son corps presque nu contre le sien. Elle se blottit contre lui, lui caressant le dos de la manière la plus agréable qui soit. Elle tremblait d'impatience et ouvrit ses lèvres douces qu'il captura immédiatement en un baiser profond et tendre. Il sentait la poitrine de la jeune femme se presser contre son torse et se contint avec peine. Puis il cessa de l'embrasser pour enfouir sa tête dans son opulente chevelure de bronze, lui murmurant au passage :
- Tu es belle... si belle...
Le regard ardent de Tom la fit rougir et elle l'embrassa à nouveau, consciente que son désir devrait être bientôt assouvi. Tom, de son côté, explorait le haut de son corps, lui effleurant les seins juste assez pour la faire frémir, sans pour autant aller plus loin.
Gémissant sous ses caresses et ses embrassades fougueuses, elle descendit alors ses mains plus bas. Vivyan glissa ses doigts vers la boucle de la ceinture et la défit habilement. Elle fit de même avec la braguette et le bouton du pantalon et, bientôt, le vêtement tomba sur les chevilles de l'homme qui l'envoya valser nonchalamment à travers la pièce. Elle put à son tour le contempler avec bonheur Les yeux brillants de désir impatient, Tom enlaça passionnément Vivyan, la serrant contre lui avec une ivresse amoureuse toute légitime. Elle soupira d'aise en sentant sa peau nue contre la sienne et se frotta contre lui, enivrée d'amour.
Lorsqu'il reprit ses baisers.
Elle enroula ses jambes fines autour de la taille de Tom et, le rassurant d'un regard, se laissa porter jusqu'au grand lit. Il la souleva sans difficulté et la posa avec précaution sur le matelas moelleux, se couchant au-dessus d'elle, retenant tant bien que mal son impatience. Ce n'était pas le moment de brusquer les choses...Il continua ses baisers et ses caresses, faisant soupirer Vivyan, débordant d'excitation. Elle le sentait au-dessus d'elle, se laissant griser par la sensation de son corps sur le sien. C'était si agréable ! Les mains de Tom avaient à présent retrouvé leur place sur ses hanches et la caressaient fébrilement. Ses lèvres descendirent encore plus bas et il enfouit sa tête avec volupté dans sa poitrine généreuse, ce qui eut pour effet de l'électriser davantage. Avec une fougue encore plus passionnée qu'avant, elle se pressa contre lui, le suppliant tout bas de continuer. Il mordilla au passage un téton à la pointe dressée avec provocation, la faisant gémir. Elle arqua le dos, ce qui lui permit de dégrafer délicatement son soutien-gorge qu'il ôta sans peine. Des seins sensuels s'en échappèrent, rassasiant la vue de Tom. Ils n'étaient ni trop gros, ni trop petits, juste de la bonne taille. Absolument parfaits...
Vivyan commença à haleter de plaisir tandis qu'il saisissait un mamelon dans sa bouche et le suçait, comme un enfant qui tète. Vivyan ressentit une vague de chaleur au niveau du bas-ventre et gémit, se demandant combien de temps elle pourrait encore attendre.
Lorsqu'il eut léché avidement les deux seins, aspirant leur pointe avec langueur, Tom aventura ses mains à l'intérieur des cuisses de son amante, guettant la moindre de ses réactions. Il caressa l'intérieur de ses cuisses, se rapprochant dangereusement de l'endroit si sensible. La peau était douce, tellement douce ! Lorsqu'il posa enfin ses doigts sur l'intimité de la jeune femme et qu'il commença à la toucher tendrement, Vivyan poussa un cri de plaisir, se cambrant sur le matelas et retombant dans un gémissement. Tom entendait les gémissements et la respiration saccadée de Vivyan, ce qui ne fit qu'accroître son propre désir. Il n'avait jamais pensé éprouver tant d'impatience. Elle le rendait fou, ivre de désir. Il n'avait qu'une seule envie : être en elle, sentir sa texture douce, son étroitesse, lui appartenir, s'unir à elle... Il continua donc à la caresser à travers la dentelle de sa culotte bientôt trempée. Puis, lentement, comme pour la faire attendre, il s'empara du vêtement, le fit glisser le long de ses fesses pour finalement le laisser choir à terre.
Vivyan était entièrement nue à présent, et n'essayait plus de contenir son désir. Elle savait que Tom la voulait et il n'y avait qu'une chose qu'elle désirait : LUI. Pourquoi la faire attendre, alors ? Quand il releva la tête pour la regarder, elle lui lança un long regard suppliant, souhaitant de tout cœur qu'il continue ce qu'il avait commencé. Elle ondula sensuellement les hanches devant le visage de son amant qui ne se fit pas prier davantage. Il caressa tendrement son intimité mise à nu, la sentant trembler sous ses doigts impatients. Doucement, il se rapprocha de l'endroit sensible et, sous les gémissements de sa compagne, effleura alors ses lèvres intimes d'où perlaient des gouttes de désir. Quand il posa enfin sa bouche sur cet endroit si secret, Vivyan ne put retenir une exclamation de surprise qui se mua bien vite en cris de plaisir.La langue de Tom explorait chaque crête, chaque repli, chaque recoin, goûtant avidement à ce premier contact et traçant des arabesques de feu sur son bas-ventre. Les mains de la jeune femme se perdirent dans la chevelure sombre de son amant et elle se laissa aller à cette douce torture, sachant qu'il lui faudrait encore attendre. Enfin, il trouva ce qu'il cherchait. Au cœur de son intimité, il dénicha le tendre bouton de chair rose qui était un aller simple pour le paradis. Lorsqu'il posa la bouche dessus, ce n'est pas un gémissement que Vivyan poussa, mais un véritable cri de plaisir. Ne pouvant se retenir, il commença alors à lécher son clitoris gorgé de désir, la faisant crier de plus en plus. Il l'aspirait, le suçant avidement, tournait autour avec empressement, enivré par les effluves cachées de son amante et par ses gémissements.
- Oui! Oh oui... Ouiiiiiiii!!!!!! cria Vivyan, agrippant la tête de l'homme.
Tom introduisit alors deux de ses doigts en elle, espérant de tout coeur lui donner le maximum de plaisir. Vivyan le sentit à l'intérieur d'elle, ce qui n'était pas pour lui déplaire. Il débuta alors de longs et langoureux va-et-vient, la caressant de l'intérieur, sa bouche titillant toujours son clitoris. Les mouvements se firent plus rapides et elle ondula des hanches pour suive son rythme, la passion l'emportant toujours plus haut et la faisant pousser de petits cris incontrôlables. Soudain, Tom sentit les parois étroites de son vagin se contracter sur ses doigts et il sut qu'elle venait d'atteindre son premier orgasme. Vivyan n'en pouvait plus. Elle sentait confusément que ce n'était pas tout, qu'il fallait continuer. Tom avait réveillé en elle des appétits fulgurants qu'il fallait à présent satisfaire. Encore sous le coup de son récent orgasme, elle le supplia en haletant :
- Tom, s'il te plait... Dépêche-toi... je n'en peux plus ! J'ai tellement envie de toi... Maintenant, je t'en supplie !
Il remonta vers son visage et contempla un instant ses joues rougies par son plaisir récent, sa bouche quémandant des caresses, cette femme si belle qui attendait qu'il achève ce qui était commencé. Le désir était trop fort, à présent. Il embrassa fougueusement Vivyan et enleva rapidement son boxer, révélant son sexe en érection au regard ardent de Vivyan.
La taille impressionnante de son membre dressé ne l'effraya pas, elle qui pourtant n'avait encore jamais vu d'homme nu. Au contraire, elle fut émue de voir ce touchant témoignage d'amour à sa féminité et cela ne fit que renforcer son propre désir. Elle se pressa à nouveau contre lui, écartant les jambes pour lui ménager de la place. Elle sentait son érection contre sa cuisse et se demanda ce qu'attendait Tom. Celui-ci paraissait hésiter :
- Tu... tu es sûre ? demanda-t-il d'une voix rendue rauque par le désir.
- C'est' maintenant que je te veux !
Tom embrassa alors Vivyan qui sentit l'énorme gland à l'entrée de son vagin. Avant qu'elle ait eu le temps de réagir, elle le sentit en elle. Progressivement, elle se détendit et, bientôt, sentit une merveilleuse sensation de plaisir. Elle soupira de contentement, et Tom reprenait sa lente progression. Elle le sentait se mouvoir en elle et en éprouvait un profond plaisir, une sensation totalement nouvelle. Tom accéléra imperceptiblement le mouvement et, bientôt, la pénétra totalement. Il se retira pour mieux la pénétrer à nouveau, débutant un lent manège de va-et-vient. Il prenait bien garde de ne pas aller trop vite, plus désireux que jamais de lui apporter du plaisir. Ce qui ne se fit pas attendre. Vivyan commença à gémir doucement sous les assauts de Tom qui devenaient de plus en plus fougueux. Jamais il n'aurait imaginé éprouver un tel bonheur, bien au-delà de l'attirance physique. Il voulait ne faire qu'un avec elle, l'emmener au septième ciel.
Lorsqu'elle poussa un cri de plaisir, quelque chose se brisa en lui et il s'abandonna alors complètement à ses étreintes, oubliant toute retenue. Il la pénétrait passionnément, alternant le tendre, le doux avec le fougueux et le brutal. Vivyan gémissait sous ce pilonnage intensif, ondulant des hanches, courbant le dos pour aller à sa rencontre. Chaque entrée de son amant lui procurait un plaisir inouï et chaque sortie lui laissait un profond manque... Elle rejeta la tête en arrière, ne pouvant contrôler le souffle précipité et les petits cris qui sortaient de sa bouche. Tom poussait des sons rauques tandis qu'il la pénétrait jusqu'au point de non-retour.
- Tom ! Oh... Tom !!! cria Vivyan, incapable de se contrôler davantage.
Soudain, elle enroula ses jambes autour des hanches de l'homme, le propulsant au plus profond d'elle-même. Avec un cri de jouissance, elle poussa enfin les portes du paradis, atteignant l'orgasme et découvrant pour la première fois cette sensation si intense et passionnée. Tom ne tarda pas à la rejoindre au septième ciel et, pendant plusieurs secondes, leurs voix se mêlèrent, criant leur amour et leur plaisir. Enfin, Tom, se libérant de la pression accumulée avec un sentiment de délivrance exquis, s'écroula sur Vivyan.

Elle sentit une douce vague de chaleur se répandre en elle et comprit que pour lui, c'était fini.
Leurs respirations haletantes résonnèrent longtemps dans la pièce, tandis qu'ils essayaient de reprendre leurs esprits. Ils s'étaient donnés totalement l'un à l'autre, sans aucune retenue et avec une passion débridée, réalisant ainsi une fusion parfaite de leurs corps et de leurs âmes... Même s'ils savaient que cette fantastique expérience était finie, ils n'avaient aucune envie qu'elle se termine. Ils auraient souhaité rester là à tout jamais, enlacés, l'un contre l'autre...
Au bout d'un moment pourtant, Tom se releva, délivrant Vivyan de son poids, et se coucha à côté d'elle. Elle vint enfouir sa tête au creux de son épaule et ils restèrent un moment ainsi enlacés,
Vivian et Tom (E)
Viviane était accoudée au balcon de la chambre lorsqu'elle sentit Tom s'approcher d'elle, passer ses mains autour de sa taille, la serrant tendrement contre lui. Elle se laissa aller contre son torse musclé et se laissa ...

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anniversaire


Seule dans sa chambre, Mme Granger attendait souvent un mari trop absent et semblait se morfondre ce jour là au premier étage. J'étais moi aussi seul au premier étage, elle me vit sortir de ma chambre, Elle ouvrit la porte en grand et m'appela. Je tournais doucement la tête, et vit cette belle femme à moitié dévétue qui se tenait appuyée contre le chambranle de la porte. Mme Granger était une belle femme, terriblement attirante et sensuelle. Hypnotisé, je commençais à m'avancer vers elle. Arrivé à sa hauteur, elle prit délicatement ma main qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Elle se rapprocha de moi pour me sussurer quelques mots à l'oreille :
- Julien, c'est mon anniversaire aujourd'hui, Tu es seul ... moi aussi
- tu vas me faire plaisir ... et je vais te faire plaisir, Viens !
Elle m'attira aussitôt dans sa chambre et referma la porte derrière nous. Elle se colla langoureusement à moi, caressant mon visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de ma peau pour s'imprégner de mon odeur, pour s'exciter encore davantage, elle me caressa le torse, le ventre.
Puis elle desserra ma ceinture. Elle glissa une main dans mon pantalon, prit mon sexe et commenca un lent et délicat massage. La douce caresse féminine m'excitait fortement. Je n'avais jamais songé pouvoir un jour toucher la peau de Mme Granger. Je remplissais mes poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Je posai mes mains sur les épaules dénudées et articulai un début de phrase :
- Madame Granger, je voudrais vous...
Bien que toute à son émoi, elle avait bien compris ce qui se passait dans ma tête. Elle posa un doigt sur ma bouche pour me faire taire. Puis elle se plaqua d'avantage contre moi et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les miennes. Ce fut un baiser sauvage, profond. Nos lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, nos langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois, mélangeant notre souffle, notre haleine, nos salives. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. Elle se frottait en même temps contre mon relief indécent. Nous étions à bout de souffle, à la limite de l'asphyxie, Mme Granger dégagea ses lèvres de ma bouche, planta ses yeux dans les miens:
- Julien, J'ai envie de toi, j'ai envie de te sentir dans mon ventre ...
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour m'exciter, mais aussi pour me rassurer et me mettre en confiance. Debout contre le mur de sa chambre, elle s'offrait à moi, totalement: un corps de déesse aux formes harmonieuses, sublimes, parfaites. Des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches. Elle se hissa sur la pointe des pieds. Ondulant de bassin, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. S'accrochant a mes épaules, elle me souffla à l'oreille :
- Viens, Mon amour, maintenant vas-y !
Elle s'aggripa plus étroitement à moi. Je m'affolai un peu :
- Vas-y, ne t'arrête pas !
Elle murmurait ses encouragements en me caressant amoureusement les cheveux. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que ma pénétration se fit facilement. Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux, je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Je voulais combler cette femme merveilleuse, lui donner tout le plaisir qu'elle m'avait procuré. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Pour moi, c'était de nouvelles sensations. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques. Le goût de sa peau, derrière son oreille, le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. Madame Granger n'était pas chaude, elle était brûlante. J'étais en nage et une chaleur torride irradiait du corps de ma maîtresse. Mes mains couraient frénétiquement sur le corps féminin pour le caresser, lui pétrir les seins. Sa tête roulait sur mes épaules, son souffle était court. Elle me mordit l'épaule pour ne pas hurler, je continuai mes mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier notre jouissance. Mme Granger devenait impatiente. Elle s'aggripa a mes épaules, et soulevant sa jambe gauche, elle la passa autour de ma hanche pour que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. Elle contracta ses muscles internes. Le contact du bas soyeux, la caresse de sa chair tendre m'électrisèrent comme un signal de l'assaut final. Je bandai alors mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruai dans le ventre brulant. Elle n'en pouvait plus. Elle passa ses deux jambes autour de ma taille, s'empalant davantage. Je lui empoignai les deux fesses pour mieux la pénétrer jusqu'à la garde. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu. Elle hurlait mon nom, me suppliait d'arréter, me priait d'aller plus fort. C'en était trop pour moi ! Sentant la pression de ma semence depuis mes bourses pleines, j'accélérai, déclenchant un véritable flot bouillonant de lave en fusion que je projetai au plus profond du ventre de Mme Granger. A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans son cou, je continuais de limer doucement mon amante. Elle revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle. Les dernières caresses de mon sexe ramolli la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou. Je voulus exprimer mes sentiments mais elle me fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement ma bouche pour une dernière étreinte puis elle me repoussa doucement et me fixa dans les yeux.
- Julien, mon mari ne va pas tarder. Il va falloir partir !
Je voulus protester, mais elle me posa la main sur ma bouche puis me caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement !
Elle se caressa la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de son vagin dans un océan de sperme et de cyprine. Les effluves de nos étreintes et de notre union enivrérent ses narines.
- Maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, mon sexe commença à glisser doucement de sa gaine soyeuse, nous faisant sursauter et nous laissant une impression de vide immense. Madame Granger réalisait ce qui venait de se passer. Comment, elle, bourgeoise mariée, avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre un moment inoubliable.
- Pars, maintenant, souffla Mme Granger ...
Un peu déconfit, je remontai mon pantalon. j'y rangeai rapidement mon sexe flasque et poisseux et mes bourses trempées. Elle replaça la dentelle de sa culotte et, m'embrassant tendrement au coin des lèvres, me poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres !
Je me retrouvai seul dans le couloir et la porte se referma doucement derrière moi. Le clac de la poignée me ramena définitivement à la réalité.
anniversaire (E)
Seule dans sa chambre, Mme Granger attendait souvent un mari trop absent et semblait se morfondre ce jour là au premier étage. J'étais moi aussi seul au premier étage, elle me vit sortir de ma chambre, Elle ouvri ...

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Contre-jour


Contre-jour de lumière. Le coucher du soleil. une jupe fluide. Un double tour de clef. Tu me tournes le dos. Je te prends, je t'enlace. Tu bouges, vaguement. Je te serre plus fort. Tu t'étires, tu murmures. ta tête sur mon épaule. Abandon.
Et cette lumière chaude, dans cette chambre sombre. nos ombres mouvantes sur le mur blanc. Mes lèvres sur tes joues, effluves de ton parfum. Mes mains entre tes seins qui les massent et les serrent. Mes mains qui descendent, remontent sous le corsage. Frissons. Mes mains entre tes jambes et tes jambes qui me serrent, et toi qui ondules lentement, doucement.
Ta jupe qui se tend, mon pantalon aussi. frottement de nos vêtements. Ta jupe glisse a tes pieds. L'humidité qui perle entre tes jambes m'aimante. Un murmure qui se prolonge, une invitation. Et d'un coup tu te tournes, m'embrasses, longuement. Ton ventre effleure le mien, descend, remonte, se frotte. Tu ondoies, tu m'excite, tu me pince, tu m'incite. Tu m'enlaces, tu agrippes mes chairs. Nos corps qui se frottent, s'excitent, lascivement. Tu t'accroches à mon cou, m'enveloppes de tes jambes, colles ton sexe au mien.
Nous glissons dans le lit. En silence. Contact moelleux quand je t'y allonge. ma chemise qui vole, tes dessous qui s'esquivent. Tes seins dans mes mains, qui s'affermissement. Ta peau chaude, ton odeur, ton doux râle me grisent. Tu t'allonges, te déploies, te détends sur le lit. Ton corps abandonné, tes jambes ecartées, tu m'attends, je me tend. Ma main s'attarde entre tes jambes, explore les contours de tes lèvres mouillées, s'introduit dans le puit. Tu gémis, tu te cambres, tu râle et tu implore. La sueur se mêle au goût de ton intimité. Je m'attarde, je t'excite. Tu ondules de plus en plus vite, rale de plus en plus fort. Et tu jouis, longuement, dans une plainte heureuse et apaisée.
Je me place sur toi, tu diriges mon sexe. Je pénètre ton corps ouvert humide et chaud. Je m'allonge sur toi. Tu m'enserre à nouveau. Je t'embrasse, tu m'embrasses. Et le rythme reprend possession de nos corps. Le va et vient de tes hanches s'accélère. Aller encore plus loin.
Je sens venir l'instant du plus profond de moi. Tu me regardes, tu serres tes lèvres. Tu vacilles. D'envie, de peine. Sous mon corps. Rentrant, butant dans le tien. Cherchant ton plaisir. Tu m'étreins, tu m'enfonces en toi. Jusqu'au bout. dernier coup de mon corps dans le tien, de nos corps l'un dans l'autre, je te pénètre loin et explose dans ton ventre. Cris étouffés, haletants, épuisés. Affamés l'un de l'autre. Tu m'embrasses, je t'embrasse. On s'enlace. Eternité ....




Soirée mondaine, musique douce. Elle est sur la terrasse, reveuse
appuyée sur la rambarde, elle contemple les astres dans la nuit.
Je viens derrière elle, je m'appuie contre elle, bassin contre bassin
- La lune est pleine ce soir, elle est magnifique, vous ne trouvez pas ?
Je glisse mes mains sur ses hanches et les agrippe doucement
Elle soupire :
- Oui ... mais elle semble bien seule, elle mériterait d'être visitée
J'accentue la pression sur son bassin, et caresse ses hanches
- En fait, elle a besoin d'etre explorée, me lance-t'elle
Je me serre un peu plus contre elle, mes mains remontent sur ses flancs,
elles atteignent ses seins que j'empoigne doucement.
- Oui ! Comme celà ! Vous avez deviné !
Elle ne porte pas de soutien gorge. Je caresse les pointes, lui mord doucement le cou.
Elle agite le bassin, glisse une main derrière elle et teste mes reliefs prometteurs.
Elle caresse l'objet et le masse doucement.
Elle tourne la tete, me fusille du regard.
- Viens, dépêche-toi, je suis prête
Je relève sa jupe, elle degage mon sexe, le place à l'entrée de sa vulve.
Elle s'empale sur moi. gemit doucement en se laissant penetrer.
Je reprend ses seins, les serre, lui mord le cou, lui donne d'amples coups de bassin.
Elle gémit. Je ne peux résister plus longtemps. La fusée part ! ...
et je gicle au fond de son ventre, abondemment par jets successifs. Elle s'immobilise.
Je ressors mon sexe dans un bruit de succion, elle s'essuie avec son mouchoir.
Elle se retourne et me sussurre:
- l'autre face de la lune se sent vacante !
Je me rapproche, lui prend le visage à deux mains et lui donne un baiser tendre.
Mon sexe se dresse à nouveau. Elle le sent
Elle se sent des faiblesses dans les jambes, s'accroche à mon cou et se colle contre moi.
Il la prend doucement. Avec délicatesse, il caresse les seins qui durcissent à nouveau.
Une main remonte le long des jambes, glisse entre les deux cuisses et atteint la fourche.
Il soulève la robe et sa main saisit la culotte qui commence à s'humecter. Doucement il tire le vêtement, le dégage par le bas.
Ses mains peuvent alors atteindre sa vulve. Ses doigts s'introduisent, glissant d'avant en arrière.
Ses jambes s'écartent, son corps se tend. Sa source coule à flot et soudain, c'est l'orgasme. Elle pousse un cri rauque.
Pendant quelques secondes, elle reste tendue, puis s'affaisse.
Il se serre sur elle, la prend dans ses bras et l'embrasse de ses lèvres humides.
L'echange redevient soutenu. L'excitation remonte. Et c'est une pénétration amoureuse ample et suave.
Il s'enfonce loin et provoque chez elle un râle de plaisir.
Elle ouvre ses jambes au maximum, puis l'enserre. Elle veut le garder sans bouger.
Le rythme est d'abord calme, lent. Ils se murmurent à l'oreille des mots sans suite,
ils accélèrent la cadence et bientôt, à grands coups puissants, il plonge et ressort de ce ventre acceuillant.
Le plaisir monte de plus en plus fort, ils se lancent dans un galop effréné
et c'est l'explosion simultanée des deux amants.
Le coup de tonnerre passé, ils restes unis, leurs bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment.
Contre-jour (E)
Contre-jour de lumière. Le coucher du soleil. une jupe fluide. Un double tour de clef. Tu me tournes le dos. Je te prends, je t'enlace. Tu bouges, vaguement. Je te serre plus fort. Tu t'étires, tu murmures. ta tête sur m ...

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Elle frisonne... les doigts du mâle font glisser le long de ses épaules les fines bretelles. Sur son corps passe la caresse de la dentelle... Elle tremble... en désir, Impatiente d'être baisée. Lui, commence à ôter ses boutons, lentement entr'ouvre sa chemise ... et lache son pantalon : il bande. Seul un peu de tissu cache encore son offrande. Elle le trouve élancé et séduisant. Elle aime son odeur, son souffle viril, si excitant. Elle est nue et disposée au mieux à satisfaire enfin le désir de sa queue. Elle voit enfin ce membre gonflé. A avoir tant attendu elle en est toute mouillée. Elle glisse sa main vers sa chatte promise, puis la remonte pour lever la belle gourmandise. A présent nervuré Dieu qu’il est tendu. Elle s’approche de lui pour lécher son du. Cette peau si douce hmmmm qu’il est bon Et tout d’un coup enfin il se libère d’un bond
Elle est surprise de la taille de l’engin et l’englouti aussitôt pour rassasier sa faim. Il se cambre et gémit d’être aussi bien pris. Elle se caresse les seins se pince les tétines. Son nectar coule hmmmmm la belle coquine. Elle caresse les bourses douces et gonflées, lui se tient au mur fébrile et déstabilisé. Elle engloutit le gland jusqu’au fond. Il gémit l’excitant par ses sons. Elle sue intensément savourant cet instant. Il la regarde, la suppliant pour plus et voulant arrêter tellement c’est un délice, tellement il veut déguster. Elle englobe son phallus dur et vibrant. Sa verge est brulante comme un chardon ardent. Une petite goutte trahit déjà son plaisir. Non, il faut attendre, ne pas encore jouir. Elle soupire, elle gémit, elle coule comme une fontaine, l'implore de faire d'elle sa maitresse, sa chienne, sa Reine, d'explorer ces délices qui attendent qu’une langue ou un phallus enfin les fendent. Le dard est tendu, bloqué dans sa raie. Cette sensation divine dont toute femme rêverait. Elle balance ses hanches tendant plus fort le sein. Elle cambre fort ses reins Pour enfin le faire sien. Les mains effleurent, pétrissent avec ardeur, humidifiant sa chatte hmmm quel doux bonheur
Tout à coup une main glisse vers le pieux bandé, le faisant glisser d'avant en arrière ciel c'est délicieux. Le gland insolant s'imprègne de son jus. Ah elle soupire, ça l'excite tant, elle n'en peut plus. Elle s'ouvre à lui, elle le supplie. Lui faire honneur elle l'en prie. Pendant que des doigts glissent dans ses lèvres, son corps s'ouvre à lui pour faire entrer son glaive. Oh oui pourfendez moi. Que votre vice soit Roi
Elle se cramponne au mur. Le membre est si dur. Pendant qu'elle s'empale elle rêve de le sucer. Elle sens doucement monter des picotements, cette lame de fond qui se lève, provoquée par son glaive. Il la pilonne, insolant et vicieux. Elle se cambre plus fort à côtoyer les Dieux. Elle crie, elle gémit, elle est sa chienne. Dans ce combat phallique il l'a fait Reine

Reine de mon pieu Roi, en vos entrailles de feu j'accélère mes coups profonds de barre de fer et branle d'un doigt vainqueur votre clitoris bandé de chaleurs, du verbe à la chair, enfilé sur mon sexe offert. Une vague irrésolue, magma de plaisir déferle en vous, lave volcan de jouir, éruption ! Vous hurler votre orgasme dément. En votre cul, cratère secoué de tremblements chaudement encré de mes jets de sperme blanc !
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Elle frisonne... les doigts du mâle font glisser le long de ses épaules les fines bretelles. Sur son corps passe la caresse de la dentelle... Elle tremble... en désir, Impatiente d'être baisée. Lui, commence ...

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Pierre


Pierre était seul depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Il était seul comme moi, je le trouvais charmant, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Nous nous etions retrouvés autour d'une table libre, Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Le contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je me sentis rougir. Il s'est rapproché et ses bras m'ont entouré de maniere affectueuse, saisissant fermement mes reins. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti contre mes cuisses un relief explicite. Je me laissais aller à imaginer, l'effet d'une liaison avec lui, et je commençais malgré moi à me frotter contre lui. J'étais émoustillée, au point de renverser un verre sur moi. Il était tard. Pierre m'a proposé d'utiliser la salle de bain de sa chambre. Je lui ai fait observer qu'il n'est pas raisonable d'aller dans la chambre d'hôtel d'un homme que l'on ne connait pas vraiment. Nous avons ri encore pendant qu'il me tenait le bras et m'assurait qu'il était un gentleman. Convaincue, je me suis laissée entrainer dans sa chambre.

J'étais debout devant le lavabo et essayais d'effacer la tache. Je me sentais plutôt instable. J'ai alors senti Pierre se tenir derrière moi pour m'aider à garder mon équilibre pendant que je frottais ma robe. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement qu'il bandait sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage, je me suis alors retournée .... et sans me laisser le temps de réagir ses lèvres se sont posées sur les miennes. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui et lui ai suggéré de redescendre au salon de l'hôtel, pour éviter de faire des bêtises. Il a chuchoté de vagues excuses, je me suis sentie obligée de l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus, petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise.

Cet homme était vraiment magnifique. Il a ouvert la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins généreux. Il commençait à les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre. J'ai voulu le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché et s'est mis à sucer si delicieusement les pointes de mes seins que je ne trouvais plus la force de le faire cesser.
Mes genoux fléchissaient de nouveau et j'avais absolument besoin de m'asseoir au bord du lit pour reprendre mes esprits.

Il est venu s'asseoir à côté de moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma robe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. Je ne cherchais même plus à résister, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. Je me suis allongée sur le dos, et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais trop besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je gémissais très fort. Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée.

Quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais pendant qu'il commençait à pousser en moi le gland. Je protestais mais il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il n'allait pas s'arrêter !!! Il allait me faire l'amour ! J'ai protesté encore, J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres de chaque côté. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir.

Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. C'est alors que j'ai explosé avec ce qui devait être le premier véritable orgasme, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Mon corps avait finalement ce qu'il avait attendu toute la soirée. Je gémissais pendant qu'il coulissait bien à fond en moi, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait sa vigueur masculine. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi,

j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. C'est alors que j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col., une sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant, Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi.
Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme.
La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud gicler littéralement en moi. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu un orgasme intense alors qu'il continuait à pousser fort, la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence.
Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps.

Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... J'ai commencé à pleurer. Pierre l'a vu et m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. J'ai fait une pause et l'ai regardé. Pierre m'avait remplie de son sperme. Comme je réfléchissais à la folie de cette situation, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, encore dur, bougeant doucement, lentement, tendrement. Mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé tendrement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour.

Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- je sens que je vais jouir encore, tu veux que je me retire ?
Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié,
- non, restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance et tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence
alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus. Quand il est entré dedans, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.

Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin.

Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.
J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés,
avant de me glisser rapidement dans mon lit.

j'ai aimé la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme,
sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve
mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement.
les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
Pierre (E)
Pierre était seul depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Il était seul comme moi, je le trouvais charmant, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensi ...

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Pierre


Nous étions proches, trop proches. J'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité.
- Pierre, J'ai si chaud... est-ce vraiment raisonnable ?
Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, Et quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alorsqu'il commença à me pénétrer.
- Pierre !
- juste un peu ! S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi ...
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas !
- Pierre s'il te plaît ! arrête, je t'en supplie,
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à l'accompagner au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir en l'accompagnant malgré moi pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'ai recommencé à protester du bout des lèvres, mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute cette période, Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe qui coulissait au fond de moi. j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi.

C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant, j'ai senti l'extrémité de son gland au fin fond de mon ventre. Il a gémi très fort et ... a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses.
- Oh Pierre ! Mon Dieu ... je...ton..sperme... tu me remplis .... tu m'envahis ....
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je sentais déjà le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait.
J'ai regardé entre mes jambes ouvertes: son sexe était encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes seins. Je sentis que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre a haleté,
- je sens que je viens encore !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance Le resultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au dond de moi et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.

Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Pierre dormait sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.
Pierre (E)
Nous étions proches, trop proches. J'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, trè ...

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Pierre, veuf


Pierre était veuf depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bien bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés sur la piste de danse, comme moi, il adorait danser. Je le trouvais charmant, je me detendais dans ses bras. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. Ce contact sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. Ses bras m'ont entouré de maniere plus soutenue, saisissant fermement mes reins pendant que nous tanguions ensemble. Je n'ai pas protesté. J'ai alors tres nettement senti sa vigueur masculine sur le bas de mon ventre. Je me laissais aller à imaginer, tout en dansant, l'effet de son enorme sexe entrer en moi, et je commençais malgré moi à me frotter un peu plus contre ce relief indécent. ce qui ne faisait que m'exciter davantage, Il ne resta pas longtemps sans réaction.
Sans me laisser le temps de réagir, ses lèvres se sont posées sur les miennes. Elles étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Il a poussé sa langue à la recherche de la mienne, tout en me serrant contre lui, je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui et lui ai dit
- Soyons sages ! Nous sommes en train de faire des betises !
Il m'a chuchoté de vagues excuses, m'obligeant à l'embrasser pour le remercier de sa franchise. Sa langue s'est alors de nouveau insinuée entre mes levres, et il commençait à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à faire face à la situation, je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était magnifique. Mes genoux fléchissaient J'avais absolument besoin de reprendre mes esprits. Mais il me relança
- tu es une si belle femme !
j'ai alors senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas, sur le satin de ma lingerie. il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de ma culotte de soie.
- Pierre !
Il avait touché un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Malgré un léger gémissement, je l'ai laissé faire, je m'en étonne moi même. Il a alors délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité.
- Pierre, J'ai si chaud... on va trop loin !
il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je guettais toutes les sensations de mon corps, et je commencais à sentir monter l'orgasme. Il avait relevé ma robe de soie et ouvert son pantalon sans que je réalise bien. C'est alors que j'ai senti le contact de son sexe massif sur mes lèvres dilatées, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais ....
- Pierre ! Que fais-tu ?
C'est alorsqu'il commença à pousser en moi son gland.
- Non Pierre, arrêtes, on ne peut pas faire çà...on n'a pas de protection !
- Mon amour ! juste un peu ! S'il te plait ! pour me sentir en toi quelques instants ...
- On ne doit pas ! Tu joue de ma résistance !
- Oh oui ! ... comme çà ! .... c'est bon !
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas ! J'ai protesté encore,
- non, Pierre s'il te plaît!, arrête, je t'en supplie !
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir et s'allonger de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait au plaisir.
- Oh Pierre !
Il entrait en moi et ressortait, me pénétrant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son enorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son combleJ'ai recommencé à protester du bout des lèvres,
- Qu'est-ce qu'on est en train de faire ! Ce n'est pas bien !
mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe. Je gémissais pendant qu'il coulissait au fond de moi. C'était terriblement agreable d'avoir cette queue si grosse, si dure, à l'intérieur de moi,j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir ! Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi.
- Non Pierre ! Arrête ! Je ne suis pas protégée !
C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi.
- Oh Nooon ! ... Pierre !
Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouissait avec tant de force que je pouvais ressentir chaque giclée contre mon col d'utérus.
- Mon Dieu, Pierre ! ... je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi... tu me remplis .... tu m'envahis ....
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément.
- Oh que c'est bon ! tu est en train de vaincre toutes mes résistances !
- Laisse toi faire ! C'est tellement bon !
La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je restais là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait.
- Pierre ! Qu'est-ce que nous avons fait !
J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Pierre continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons.
- Je suis dans ton ventre ! C'est si bon !
- Je suis remplie de toi ... et c'est vrai que c'est bon !
Je pouvais sentir que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsque Pierre s'est de nouveau mis à haleter
- je sens que je vais jouir encore !
- restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît !
Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi Le resultat n'a pas tardé, il s'est de nouveau bloqué au fond de mes muqueuses et je l'ai senti ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient.
- Pierre ! Tu m'as épuisée !
Lorsque Pierre s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, J'ai pu entendre un bruit de succion terriblement érotique je me suis redressée lentement et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, le long de mes jambes. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me redresser, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais.
Pierre, veuf (E)
Pierre était veuf depuis environ deux ans. C'est un homme fort, bien bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés sur la piste de danse, comme moi, il adorait danser. Je le trouvais charmant, ...

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Devais-je si vite lui succomber


il s’est approché de moi, a écarté mon corsage pour m'embrasser dans le cou. Je me laissais faire. Il a commencé à me caresser les hanches. Puis je l'ai senti passer sa main plus bas, entre mes jambes. Je tentais de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées. Je n'étais pas encore décidée. Devais-je si vite lui succomber ?
Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, mais je n'avais pas prévu de succomber si vite.Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Je cherchais à retirer ses mains qui se faisaient de plus en plus pressantes sur mon intimité. Mais il m'attrapa les mains et s’imposa, fort, viril, dominant. Je continuais de résister, mais sa manière à lui de me contrôler, de me soumettre à lui, m’excitait bien plus que je ne le pensais, et je finis par me laisser aller.
A présent je le désirais. Je le désirais de plus en plus fort. Je sentais ses mains, il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais à lui. Je le voulais. Je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent, me fasse crier … Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus. J'avais abdiqué. Je me laissais aller, J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Mon coeur lâchait Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais encore.
Bestial, animal, il m'a pris. A bout de force, je l'ai laissé présenter son sexe dur contre ma vulve ouverte. je l'ai senti venir, entrer en moi, profondément, puis ressortir et rentrer de nouveau, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je criais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. J'agrippai alors les coussins du canapé comme je pouvais et en mis un dans ma bouche pour ne pas hurler … Nos ébats durèrent un long moment. Un long moment ou il m’a soumise, désirée. Après m’avoir prise comme ça pendant un long moment, il finit par se laisser aller lui aussi et il jouit en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.
Ce soir la, je me suis sentie dominée, femme, j'ai aimé me laisser aller, J'ai adoré sa virilité, son coté bestial, animal.
Devais-je si vite lui succomber (E)
il s’est approché de moi, a écarté mon corsage pour m'embrasser dans le cou. Je me laissais faire. Il a commencé à me caresser les hanches. Puis je l'ai senti passer sa main plus bas, entre mes jamb ...

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Les amours aux amours ressemblent (Aragon)


Que ce soit dimanche ou lundi
Soir ou matin, minuit, midi
Dans l'enfer ou le paradis
Les amours aux amours ressemblent
C'était hier que je vous ai dis
Nous dormirons ensemble

C'était hier et c'est demain
Je n'ai plus que vous de chemin
J'ai mis mon cour entre vos mains
Avec le votre comme il va l'amble
Tout ce qu'il a de temps humain
Nous dormirons ensemble

Mon amour ce qui fut sera
Le ciel est sur nous comme un drap
J'ai refermé sur vous mes bras
Et tant je vous aime que j'en tremble
Aussi longtemps que vous voudrez
Nous dormirons ensemble

Louis Aragon
Les amours aux amours ressemblent (Aragon) (E)
Que ce soit dimanche ou lundi
Soir ou matin, minuit, midi
Dans l'enfer ou le paradis
Les amours aux amours ressemblent
C'était hier que je vous ai dis
Nous dormirons ensemble

C'était hier et c'est ...

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dernière offrande


J'étais chaude et mouillée. Je l'ai senti alors s'enfoncer en moi. Lentement, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir.
Je l'ai senti glisser hors de moi et n'ai rien fait rien pour le retenir. Je restais là, béante, ouverte comme je ne l'avais jamais été, obscène presque, mais apparement, oh combien desirable. J'ai relevé la tête, je l'ai regardé dans les yeux. Il me fixait d'un regard vitreux, lubrique presque. Il s'est de nouveau rapproché de moi, Il a posé son sexe sur le mien, l'a poussé ... un peu, puis ... un peu plus ... et ce fut de nouveau le paradis,
Je l'ai laissé doucement glisser en moi, il écarta mes chairs rosées avec son sexe qui avait repris toute sa vigueur, Il poussa un soupir quand il arriva au fond, je faisais durer le plaisir, et je savourais ses lentes pénétrations. Puis il accélèra, une fois, deux fois, je n'en pouvais plus ! Je jouissais. Il se lacha sans se retenir ! il se vidait dans mon ventre, n'en finissait plus !
Puis la tension s'est relâchée. Une fois les spasmes apaisés, une lourdeur pesante envahit mes membres, une chaleur humide s’épanchait de mon corps. Ma respiration se fit plus profonde, le calme revenait, progressivement. Il est resté planté en moi un instant, immobile puis, je l'ai laissé glisser hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé à mes cotés. J’étais aussi épuisée que lui. ... Je rouvris les yeux pour apprécier tout ce que j'avais reçu de lui, La tourmente fit place à un calme absolu, à une détente totale. Je me sentais sans force, je pleurais doucement. Je restais là, les cuisses ouvertes, béante. L’air sur ma toison humide me donnait le frisson. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... Nos corps étaient repus...

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dernière offrande (E)
J'étais chaude et mouillée. Je l'ai senti alors s'enfoncer en moi. Lentement, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l&rsquo ...

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je me glisse entre ses cuisses, et mon sexe est immédiatement aspiré à l’intérieur de son corps de femme. J'harmonise mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement est lent, puissant, profond, son bassin glisse de quelques centimètres ses muscles intimes m'emprisonnent encore plus étroitement. Elle me caresse les cheveux et le visage et me murmure à l’oreille
- Oh oui … comme c’est bon ! .. c’est bon de te sentir en moi, continue …
elle me tranquillise par des gestes et paroles. je la pénétre avec douceur, savourant ma progression dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahit, Elle remue pour bien me sentir contre ses parois intimes. C'est chaud, c'est doux, c'est mouillé et terriblement agréable. Je sens les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remue légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’est plus le même. Il est plus étroit, plus intime, plus englobant. je me mets à la caresser, massant ses seins et les malaxant à deux mains tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se met à émettre de petits cris et halètements qui soulignent son plaisir, Son corps se tend sous mes caresses, je sens mon sexe s'allonger en elle. sa poitrine se souleve au rythme de sa respiration. elle ouvre encore plus ses cuisses, je fais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée,
(E)
je me glisse entre ses cuisses, et mon sexe est immédiatement aspiré à l’intérieur de son corps de femme. J'harmonise mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement est lent, puissant, prof ...

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